La journée avait été longue pour Haru.
Comme souvent, les cours s’étaient moyennement bien passés. Des notes à peine bonnes, des railleries de la part de certains, des filles un peu trop intéressées par son physique atypique pour être honnêtes… rien de particulier donc.
Après ça, il avait tenu la caisse de la supérette du coin pendant quelques heures. De quoi gagner un peu d’argent, car après tout il faut bien payer le loyer. Là encore, quelques échanges un peu limites avec certains clients… et une cliente assez à l’aise financièrement pour lui proposer un ‘extra’ pour le weekend à venir. Pourquoi pas après tout… ?
Avec tout ça, lorsqu’il arrive enfin chez lui, il s’endort comme une masse dans son canapé. Il n’a même pas pris le temps de se faire à manger, ayant opté pour un sandwich de la supérette qui allait être retiré du rayon à cause de sa date de péremption.
Cette nuit-là, Haru rêve. Des rêves un peu étranges, qui ne font pas vraiment sens du peu qu’il s’en souviendra, et il a même l’impression qu’un gros bruit sourd le tire de l’un de ses rêves. Un bruit si fort qu’il en fait trembler les murs ! Mais il se rendort aussi tôt, rêvant d’un paysage désertique, d’une ville qui y prospère, et de ses habitants et habitantes exotiques… il aperçoit même des noms d’échoppes incompréhensibles, bien qu’il arrive à les lire…
« … attend un peu… »
Je prends un peu plus conscience de ce qui m’entoure, observant les choses plus en détail. Même si je ne comprends pas les mots, je peux les lire. Les gens me dévisagent et inversement, leur apparence restant stable. Et je suis sûr que si je voyais une horloge, j'arriverais à lire l'heure... ce qui veut dire que... merde, ce n’est pas un rêve !
Je me faufile rapidement dans une ruelle calme, commençant à paniquer. J'ai été bien inspiré de ne pas dormir nu, mais quand même... le bruit que j’ai entendu à dû provoquer une nouvelle téléportation ! Ça craint ! J’essaie de prendre quelques points de repères, d’étudier les humanoïdes qui ont l’air de vivre dans cette ville, sans me rendre compte que l’une d’elle fait de même avec moi… au moins ils n'ont pas l'air hostiles, aucun d'eux ne s'est jeté sur moi... je ne suis peut-être pas tant en territoire hostile que ça...
Comme souvent, les cours s’étaient moyennement bien passés. Des notes à peine bonnes, des railleries de la part de certains, des filles un peu trop intéressées par son physique atypique pour être honnêtes… rien de particulier donc.
Après ça, il avait tenu la caisse de la supérette du coin pendant quelques heures. De quoi gagner un peu d’argent, car après tout il faut bien payer le loyer. Là encore, quelques échanges un peu limites avec certains clients… et une cliente assez à l’aise financièrement pour lui proposer un ‘extra’ pour le weekend à venir. Pourquoi pas après tout… ?
Avec tout ça, lorsqu’il arrive enfin chez lui, il s’endort comme une masse dans son canapé. Il n’a même pas pris le temps de se faire à manger, ayant opté pour un sandwich de la supérette qui allait être retiré du rayon à cause de sa date de péremption.
Cette nuit-là, Haru rêve. Des rêves un peu étranges, qui ne font pas vraiment sens du peu qu’il s’en souviendra, et il a même l’impression qu’un gros bruit sourd le tire de l’un de ses rêves. Un bruit si fort qu’il en fait trembler les murs ! Mais il se rendort aussi tôt, rêvant d’un paysage désertique, d’une ville qui y prospère, et de ses habitants et habitantes exotiques… il aperçoit même des noms d’échoppes incompréhensibles, bien qu’il arrive à les lire…
« … attend un peu… »
Je prends un peu plus conscience de ce qui m’entoure, observant les choses plus en détail. Même si je ne comprends pas les mots, je peux les lire. Les gens me dévisagent et inversement, leur apparence restant stable. Et je suis sûr que si je voyais une horloge, j'arriverais à lire l'heure... ce qui veut dire que... merde, ce n’est pas un rêve !
Je me faufile rapidement dans une ruelle calme, commençant à paniquer. J'ai été bien inspiré de ne pas dormir nu, mais quand même... le bruit que j’ai entendu à dû provoquer une nouvelle téléportation ! Ça craint ! J’essaie de prendre quelques points de repères, d’étudier les humanoïdes qui ont l’air de vivre dans cette ville, sans me rendre compte que l’une d’elle fait de même avec moi… au moins ils n'ont pas l'air hostiles, aucun d'eux ne s'est jeté sur moi... je ne suis peut-être pas tant en territoire hostile que ça...