- Ashka Velaryon
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- Demande de RP
- (Orc méchant) Mouhahahaha! Pauvre petite chose! Mon frère et moi on va d'abord te violer avant de te prendre tout ce que tu as.
- (Frère de l'orc méchant) Tu crois que ça vaut combien une peau de dragon comme la sienne? Je suis sûr qu'on peut en tirer un bon prix, alors tâchons de ne pas trop l'abîmer.
- (Jordy le destrier blanc) *Fais attention Ashka! Ces guignols ne semblent pas plaisanter!*
- (Ashka) Reste en retrait Jordy. Je vais m'occuper d'eux.
Jordy et moi faisions route vers la prochaine ville pour nous restaurer, quand deux énormes orcs sont sortis des buissons de la forêt que nous traversions pour nous attaquer. J'ai immédiatement sauté du dos de Jordy, mon fidèle ami et grand compagnon destrier de tous les instants, pour leur faire face sans aucune hésitations. Tandis qu'ils se rapprochent directement de moi avec leur air vraiment très menaçants et pas du tout gentils, ils ne savent évidemment pas que je leur réserve une petite surprise. C'est donc en moins d'un instant qu'il n'en faut pour dire "je ne vais pas vous câliner tellement vous êtes trop vilains" que j'invoque mes équipements. Armure dorée directement mise en place au-dessus de ma belle longue robe verte, longue épée de jade et bouclier lourd à tête de dragon chacun bien tenus en main, le tout avec mon diadème qui apparait sur le front, tout en cessant d'être invisible. Me voila prêt en un éclair pour accueillir ces super gros vilains.
- Dommage pour vous. Vous n'aviez qu'à juste me demander plus gentiment de vous faire une gâterie et j'aurai tout de suite dis oui.
- Hein? Qu'est-ce que c'est que ça?...
- Je ne sais pas ce qu'il raconte mon frère, mais on s'en fiche. Vois plutôt la valeur de ce dragonnet qui ne fait encore qu'augmenter. Massacrons-le sans attendre. A deux contre un, on va se le faire.
Sans attendre, les deux orcs vraiment très grossiers me foncent direct droit dessus avec leurs énormes haches. J'utilise mon bouclier pour parer leurs attaques, ainsi que les suivantes sans grande difficulté.
- Il va quand même vous falloir faire un peu mieux que ça si vous voulez espérer me toucher.
- Espèce de petit enculé de dragon. Tu crois que tu vas réussir à nous impressionner juste avec ça? T'es juste une passoire déguisée en "chevalier".
- Je savais pas qu'on avait des candidats au suicide cette année. Dommage pour toi dragonnette, tu as manqué ta chance de pouvoir te faire baiser et prendre ton pied avec nos énormes joujous.
- Je sais. Moi aussi je trouve ça vraiment dommage. Mais c'est quand même vous qui l'avez cherché.
Tout en continuant de parer leurs attaques, les deux vilains orcs très hostiles et surtout très grossiers, changent subitement de tactique. Pendant que l'un continue de m'attaquer de front, son ami essaie de me contourner pour me prendre à revers. J'active alors la magie de terre pour déployer un puissant bouclier protecteur supplémentaire. Ainsi, je peux gérer efficacement devant et derrière-moi, bien que mon bouclier principal soit nettement plus résistant. Leurs assauts, suivis de leurs injures incessantes continuent de pleuvoir. Comme je n'avais pas très envie de terminer en brochette pour leurs seuls beaux yeux, je contrattaque. Il ne faut que quelques attaques bien placées pour arriver à les blesser pour qu'ils décident de reculer.
- Bordel! Mais pourquoi il a fallut qu'on tombe sur une petite pute qui s'improvise paladin?
- Ouais, je déteste ces gros lâches qui savent rien faire d'autre que de se planquer derrière leurs énormes amures de merdes.
- Vous voulez vraiment continuer? Vous savez que j'aime vraiment pas être violent... C'est vraiment dommage que vous ne m'ayez pas accosté autrement, parce qu'on aurait vraiment pu faire des supers trucs ensemble.
Tout en rigolant, je les regarde bien que j'aurais vraiment aimé les rencontrer dans d'autres circonstances.
- Laisse tomber. On se casse... Mais attends-toi à ce qu'on revienne très vite, petit dragonnet. T'es très mal tombé avec nous. On connait du monde.
- On se retrouvera chérie. Et je te jure qu'à ce moment-là, on va tellement violer ton cadavre que même ton âme elle va en redemander.
- *Bravo Ashka, ils s'enfuient.*
C'est en les voyant partir en courant, que les deux grosses créatures très mal polies battent en retraite. Bien que j'avais réussi à parfaitement tenir le rythme, je sentais que certains coups venant de derrière avaient partiellement réussi à traverser mon bouclier terrestre. Posant mon bouclier et mon épée au sol et croyant surtout être totalement seul à ce moment-là, je me concentre sur la magie de l'eau pour commencer à régénérer.
- (Frère de l'orc méchant) Tu crois que ça vaut combien une peau de dragon comme la sienne? Je suis sûr qu'on peut en tirer un bon prix, alors tâchons de ne pas trop l'abîmer.
- (Jordy le destrier blanc) *Fais attention Ashka! Ces guignols ne semblent pas plaisanter!*
- (Ashka) Reste en retrait Jordy. Je vais m'occuper d'eux.
Jordy et moi faisions route vers la prochaine ville pour nous restaurer, quand deux énormes orcs sont sortis des buissons de la forêt que nous traversions pour nous attaquer. J'ai immédiatement sauté du dos de Jordy, mon fidèle ami et grand compagnon destrier de tous les instants, pour leur faire face sans aucune hésitations. Tandis qu'ils se rapprochent directement de moi avec leur air vraiment très menaçants et pas du tout gentils, ils ne savent évidemment pas que je leur réserve une petite surprise. C'est donc en moins d'un instant qu'il n'en faut pour dire "je ne vais pas vous câliner tellement vous êtes trop vilains" que j'invoque mes équipements. Armure dorée directement mise en place au-dessus de ma belle longue robe verte, longue épée de jade et bouclier lourd à tête de dragon chacun bien tenus en main, le tout avec mon diadème qui apparait sur le front, tout en cessant d'être invisible. Me voila prêt en un éclair pour accueillir ces super gros vilains.
- Dommage pour vous. Vous n'aviez qu'à juste me demander plus gentiment de vous faire une gâterie et j'aurai tout de suite dis oui.
- Hein? Qu'est-ce que c'est que ça?...
- Je ne sais pas ce qu'il raconte mon frère, mais on s'en fiche. Vois plutôt la valeur de ce dragonnet qui ne fait encore qu'augmenter. Massacrons-le sans attendre. A deux contre un, on va se le faire.
Sans attendre, les deux orcs vraiment très grossiers me foncent direct droit dessus avec leurs énormes haches. J'utilise mon bouclier pour parer leurs attaques, ainsi que les suivantes sans grande difficulté.
- Il va quand même vous falloir faire un peu mieux que ça si vous voulez espérer me toucher.
- Espèce de petit enculé de dragon. Tu crois que tu vas réussir à nous impressionner juste avec ça? T'es juste une passoire déguisée en "chevalier".
- Je savais pas qu'on avait des candidats au suicide cette année. Dommage pour toi dragonnette, tu as manqué ta chance de pouvoir te faire baiser et prendre ton pied avec nos énormes joujous.
- Je sais. Moi aussi je trouve ça vraiment dommage. Mais c'est quand même vous qui l'avez cherché.
Tout en continuant de parer leurs attaques, les deux vilains orcs très hostiles et surtout très grossiers, changent subitement de tactique. Pendant que l'un continue de m'attaquer de front, son ami essaie de me contourner pour me prendre à revers. J'active alors la magie de terre pour déployer un puissant bouclier protecteur supplémentaire. Ainsi, je peux gérer efficacement devant et derrière-moi, bien que mon bouclier principal soit nettement plus résistant. Leurs assauts, suivis de leurs injures incessantes continuent de pleuvoir. Comme je n'avais pas très envie de terminer en brochette pour leurs seuls beaux yeux, je contrattaque. Il ne faut que quelques attaques bien placées pour arriver à les blesser pour qu'ils décident de reculer.
- Bordel! Mais pourquoi il a fallut qu'on tombe sur une petite pute qui s'improvise paladin?
- Ouais, je déteste ces gros lâches qui savent rien faire d'autre que de se planquer derrière leurs énormes amures de merdes.
- Vous voulez vraiment continuer? Vous savez que j'aime vraiment pas être violent... C'est vraiment dommage que vous ne m'ayez pas accosté autrement, parce qu'on aurait vraiment pu faire des supers trucs ensemble.
Tout en rigolant, je les regarde bien que j'aurais vraiment aimé les rencontrer dans d'autres circonstances.
- Laisse tomber. On se casse... Mais attends-toi à ce qu'on revienne très vite, petit dragonnet. T'es très mal tombé avec nous. On connait du monde.
- On se retrouvera chérie. Et je te jure qu'à ce moment-là, on va tellement violer ton cadavre que même ton âme elle va en redemander.
- *Bravo Ashka, ils s'enfuient.*
C'est en les voyant partir en courant, que les deux grosses créatures très mal polies battent en retraite. Bien que j'avais réussi à parfaitement tenir le rythme, je sentais que certains coups venant de derrière avaient partiellement réussi à traverser mon bouclier terrestre. Posant mon bouclier et mon épée au sol et croyant surtout être totalement seul à ce moment-là, je me concentre sur la magie de l'eau pour commencer à régénérer.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 17 juin 2025 17:08, modifié 18 fois.
- Kamiye Goupile
- Messages : 144
- Enregistré le : 14 août 2024 20:08
S’il avait réussi à s’hydrater correctement lors de ces dernières soixante-douze heures, Kamiye se serait surement uriné dessus. Dissimulé dans un buisson, il haletait en essayant de maîtriser sa respiration chaotique à la vue de ces deux orcs. Deux bestiaux capables de la briser… de le violer… ou de le ramener à son ancien Maître contre récompense. En fait, ces deux orcs étaient capables de faire les trois. Et Kamiye haletait en silence en priant, un Dieu ?, une Déesse ?, peu importe quoi qu’on vienne à sa rescousse. Lui qui, bêtement, avait suivi un mouvement de foule et s’était retrouvé d’abord dans une révolte d’esclaves. Et enfin à l’air libre.
Libre ?...
Ce ciel immense lui donnait le tournis. Alors il avait marché. Et marché. Marché encore et toujours en regardant ses pattes… Il avait faim. Il était déjà mal nourri quand il se trouvait entre quatre murs. Aujourd’hui, après trois jours de fuite sans destination, il était encore plus faible qu’il ne l’avait jamais été. Obligé de faire des pauses régulières car il voyait des « étoiles » dans ses yeux tant il manquait d’énergie. C’est lors d’une de ces pauses imposées qu’il avait découvert ces deux orcs.
Puis ce dragon. Un DRAGON ! Et pas n’importe lequel, un dragon d’OR ! Ce devait être l’intervention « divine » qu’il avait priée.
Le combat ne connaît aucun mort. Alors que Kamiye avait parfaitement entendu le sujet de violer un cadavre qui lui avait fait froid dans le dos… déjà qu’il grelottait dans ses frusques sales et déchirés. A force de se prendre dans des ronces… de tomber à cause d’une motte, d’une pierre ou d’une racine… L’androgyne qui aurait pu être une beauté avait la peau sur les os…
Le Dragon d’Or prend une pause bien mérité. Et plus il l’observe, plus Kamiye réalise que ce n’est pas une créature légendaire mesurant la taille d’un château. En fait, et sa vision est un peu floue, il se demande si ce ne serait pas une femelle d’environ sa taille. Une qui aurait utilisé cet étrange caillou sur son front. Et si ?... et s’il subtilisait cette pierre de pouvoir à ce qui doit être un hybride comme lui ? Oui ! C’est décidé, il lui volera.
Maintenant, il doit attendre. L’hybride draconique semble savoir manipuler la terre et l’eau. L’art martial aussi. Mais il ne semble plus si effrayant. Si seulement il pouvait prendre une longue pause. Une sieste. Alors Kamiye tenterait une percée. S’approcher sur la pointe de ses pattes. Il est si léger qu’il ne fera pas de bruits. Sa main subtilisera le joyau comme il récupérait tout ce qui devait disparaitre chez ces Maîtres et Maîtresses. Il était un « bon » esclave ! Il avait sa petite fierté de bien faire son travail. Malgré les quolibets. Malgré les regards. Malgré les punitions.
Maintenant, dans son buisson, il attendait l’occasion. L’opportunité qui changerait sa vie. Il se voyait déjà, lui le renard, dans l’armure de Soleil du dragon ! Tant de puissance. Jamais plus il ne serait alors esclave.
Libre ?...
Ce ciel immense lui donnait le tournis. Alors il avait marché. Et marché. Marché encore et toujours en regardant ses pattes… Il avait faim. Il était déjà mal nourri quand il se trouvait entre quatre murs. Aujourd’hui, après trois jours de fuite sans destination, il était encore plus faible qu’il ne l’avait jamais été. Obligé de faire des pauses régulières car il voyait des « étoiles » dans ses yeux tant il manquait d’énergie. C’est lors d’une de ces pauses imposées qu’il avait découvert ces deux orcs.
Puis ce dragon. Un DRAGON ! Et pas n’importe lequel, un dragon d’OR ! Ce devait être l’intervention « divine » qu’il avait priée.
Le combat ne connaît aucun mort. Alors que Kamiye avait parfaitement entendu le sujet de violer un cadavre qui lui avait fait froid dans le dos… déjà qu’il grelottait dans ses frusques sales et déchirés. A force de se prendre dans des ronces… de tomber à cause d’une motte, d’une pierre ou d’une racine… L’androgyne qui aurait pu être une beauté avait la peau sur les os…
Le Dragon d’Or prend une pause bien mérité. Et plus il l’observe, plus Kamiye réalise que ce n’est pas une créature légendaire mesurant la taille d’un château. En fait, et sa vision est un peu floue, il se demande si ce ne serait pas une femelle d’environ sa taille. Une qui aurait utilisé cet étrange caillou sur son front. Et si ?... et s’il subtilisait cette pierre de pouvoir à ce qui doit être un hybride comme lui ? Oui ! C’est décidé, il lui volera.
Maintenant, il doit attendre. L’hybride draconique semble savoir manipuler la terre et l’eau. L’art martial aussi. Mais il ne semble plus si effrayant. Si seulement il pouvait prendre une longue pause. Une sieste. Alors Kamiye tenterait une percée. S’approcher sur la pointe de ses pattes. Il est si léger qu’il ne fera pas de bruits. Sa main subtilisera le joyau comme il récupérait tout ce qui devait disparaitre chez ces Maîtres et Maîtresses. Il était un « bon » esclave ! Il avait sa petite fierté de bien faire son travail. Malgré les quolibets. Malgré les regards. Malgré les punitions.
Maintenant, dans son buisson, il attendait l’occasion. L’opportunité qui changerait sa vie. Il se voyait déjà, lui le renard, dans l’armure de Soleil du dragon ! Tant de puissance. Jamais plus il ne serait alors esclave.
- Ashka Velaryon
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- *Baille* Tu sais quoi Jordy? Je crois je vais faire une sieste. Maintenant que c'est redevenu calme par ici et qu'il n'y a plus aucun danger dans les environs, autant qu'on se repose un peu avant de continuer. En plus ce combat m'a vraiment donné super faim.
- *Mais ils ont dit qu'il allaient revenir et toi tu veux tranquillement faire la sieste en les attendant ici. S'il t'arrive quelque chose, je ne suis pas responsable moi.*
C'est après avoir terminé de soigner les quelques égratignures que ces vilains orcs avaient réussis à m'infliger, que j'ai décidé de manger un peu à côté de Jordy. Par chance, j'avais pas mal de réserves dans mon sac, bien qu'il faille que je profite de la prochaine ville pour me restaurer. Laissant une partie de la nourriture que je n'avais pas consommé dans le sac une fois rassasié, je me suis ensuite allongé dans l'herbe pour dormir un peu. Par prudence, j'avais quand même décidé de rester intégralement équipé. Sait-on jamais que les gros vilains reviennent quand même pour une nouvelle bagarre.
Un certain temps passe ensuite durant lequel je fais un incroyable rêve avec tout plein d'hommes et de femmes nus et qui veulent me câliner du matin au soir...
- Ha! Ça fait vraiment du bien. Jordy j'ai fais un rêve, tu vas même pas me croire.
- *Je parie que tu as rêvé de plein d'hommes et de femmes nus qui te couvraient de câlins matin, midi et soir?*
Lorsque je me relève tranquillement de la sieste que je viens de faire, je commence à expliquer mon rêve à Jordy, lui parlant d'homme et de femmes nues qui...
- ... et alors, ils sont tous venus pour m'embrasser matin, midi et... attends, il est où le sac? Et... Hééé! Mais on sont passées toutes mes affaires?
Il ne faut que quelques instants pour que je réalise que je ne porte en fait plus rien sur moi, à part ma robe. Persuadé d'avoir fait la sieste avec mon équipement tout entier, je suis alors pris de panique quand je touche mon front, là où était supposé de trouver le diadème...
- Ho non! Jordy, il y a quelqu'un qui est venu voler mon sac et mon diadème!
- *Et voila je l'avais bien dit. Tu n'as pas voulu m'écouter. Seulement moi, je n'ai rien vu non plus...*
- Holalalalala! Vite Jordy! Il faut retrouver celui qui a fait ça! Sans mes affaires, je risque vraiment de ne pas aller loin du tout.
C'est en état de panique, que je prends direct mon envol, essayant de repérer le vilain voleur qui avait osé touché à mes affaires sans ma permission. Pour une raison que j'ignorais, j'étais capable de sentir la présence de mon diadème lorsque je ne le portais pas sur moi. Quelques instant à regarder au-dessus des arbres me suffisait pour repérer mon rapidement mon précieux. C'est sans attendre, que je me dirige vers l'endroit en question, tout en planant au-dessus de l'immense forêt. Une fois arrivé juste au-dessus de là où je suis certain d'avoir localisé mon précieux diadème magique, je fonce vers le sol. Lorsque j'atterris en force, je remarque directement un humain avec des oreilles et une queue de renard.
- Hé! C'est toi qui a volé mes affaires? Rends-moi tout de suite ce que tu m'as piqué, espèce de sale voleur!
C'est quand même un peu en colère, que je demande à la fille de me rendre ce qui m'appartient de droit. Je pose alors les mains sur les hanches, observant ensuite de très très près la vilaine renarde qui a osé faire ça.
- Dis-donc? Tu sais que je ne suis vraiment pas content du tout là? C'est à moi tout ça et on ne vole pas les affaires des autres.
Pendant que je lui faisais sentir que je n'avais pas du tout apprécié ce qu'elle avait fait, je me rapproche de la renarde avec ses grandes oreilles, tout en lui soufflant au visage avec mon museau, avec un air accusateur.
- *Mais ils ont dit qu'il allaient revenir et toi tu veux tranquillement faire la sieste en les attendant ici. S'il t'arrive quelque chose, je ne suis pas responsable moi.*
C'est après avoir terminé de soigner les quelques égratignures que ces vilains orcs avaient réussis à m'infliger, que j'ai décidé de manger un peu à côté de Jordy. Par chance, j'avais pas mal de réserves dans mon sac, bien qu'il faille que je profite de la prochaine ville pour me restaurer. Laissant une partie de la nourriture que je n'avais pas consommé dans le sac une fois rassasié, je me suis ensuite allongé dans l'herbe pour dormir un peu. Par prudence, j'avais quand même décidé de rester intégralement équipé. Sait-on jamais que les gros vilains reviennent quand même pour une nouvelle bagarre.
Un certain temps passe ensuite durant lequel je fais un incroyable rêve avec tout plein d'hommes et de femmes nus et qui veulent me câliner du matin au soir...
- Ha! Ça fait vraiment du bien. Jordy j'ai fais un rêve, tu vas même pas me croire.
- *Je parie que tu as rêvé de plein d'hommes et de femmes nus qui te couvraient de câlins matin, midi et soir?*
Lorsque je me relève tranquillement de la sieste que je viens de faire, je commence à expliquer mon rêve à Jordy, lui parlant d'homme et de femmes nues qui...
- ... et alors, ils sont tous venus pour m'embrasser matin, midi et... attends, il est où le sac? Et... Hééé! Mais on sont passées toutes mes affaires?
Il ne faut que quelques instants pour que je réalise que je ne porte en fait plus rien sur moi, à part ma robe. Persuadé d'avoir fait la sieste avec mon équipement tout entier, je suis alors pris de panique quand je touche mon front, là où était supposé de trouver le diadème...
- Ho non! Jordy, il y a quelqu'un qui est venu voler mon sac et mon diadème!
- *Et voila je l'avais bien dit. Tu n'as pas voulu m'écouter. Seulement moi, je n'ai rien vu non plus...*
- Holalalalala! Vite Jordy! Il faut retrouver celui qui a fait ça! Sans mes affaires, je risque vraiment de ne pas aller loin du tout.
C'est en état de panique, que je prends direct mon envol, essayant de repérer le vilain voleur qui avait osé touché à mes affaires sans ma permission. Pour une raison que j'ignorais, j'étais capable de sentir la présence de mon diadème lorsque je ne le portais pas sur moi. Quelques instant à regarder au-dessus des arbres me suffisait pour repérer mon rapidement mon précieux. C'est sans attendre, que je me dirige vers l'endroit en question, tout en planant au-dessus de l'immense forêt. Une fois arrivé juste au-dessus de là où je suis certain d'avoir localisé mon précieux diadème magique, je fonce vers le sol. Lorsque j'atterris en force, je remarque directement un humain avec des oreilles et une queue de renard.
- Hé! C'est toi qui a volé mes affaires? Rends-moi tout de suite ce que tu m'as piqué, espèce de sale voleur!
C'est quand même un peu en colère, que je demande à la fille de me rendre ce qui m'appartient de droit. Je pose alors les mains sur les hanches, observant ensuite de très très près la vilaine renarde qui a osé faire ça.
- Dis-donc? Tu sais que je ne suis vraiment pas content du tout là? C'est à moi tout ça et on ne vole pas les affaires des autres.
Pendant que je lui faisais sentir que je n'avais pas du tout apprécié ce qu'elle avait fait, je me rapproche de la renarde avec ses grandes oreilles, tout en lui soufflant au visage avec mon museau, avec un air accusateur.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 15 juin 2025 18:00, modifié 3 fois.
- Kamiye Goupile
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Que l’attente aura été pénible ! Kamiye était planqué dans un buisson en train d’observer attentivement le Dragon d’Or. Au début, il avait tapé du pied nerveusement. Mais il avait très vite du se retenir de peur de se faire repérer. Un oiseau s’était envolé au-dessus de sa tête. Ses mains s’étaient plaquées contre sa bouche pour étouffer un cri de surprise. Ses grandes oreilles de renard s’étaient alors dressées sur sa tête lorsqu’il avait eu l’impression que la monture du Dragon d’Or avait tourné sa tête vers lui. Mais non, rien. Son cœur avait ralenti. Tant qu’il avait manqué piqué des yeux à un moment !
Le Dragon d’Or s’était finalement endormi après avoir bien mangé. Et la priorité était devenue le sac de victuailles. Kamiye se détestait déjà. Cela devait faire pas loin de cent fois qu’il se disait non puis que oui. Même esclave, il ne supportait pas de voler autrui. Seulement, il avait beaucoup trop faim. Entre les maigres repas au château, la fuite, la révolte des esclaves et maintenant la survie en solitaire sans notions ? Non, il fallait qu’il mange. A chaque fois qu’il se relevait, il pensait perdre connaissance… Alors il avait cédé à une pulsion. Il s’était approché et s’était découvert une sorte de faculté à ne pas faire beaucoup de bruits. Dû au fait d’avoir été un esclave presque toute sa vie ? A son côté hybride animal ? Il n’empêche qu’il parvient à voler le sal. ET la gemme sur le front du Dragon d’Or ! Il suait à grosses gouttes. Son cœur tambourinait un rythme de guerre dans ses oreilles : c’était ASSOURDISSANT !!!
Du temps passa. L’équivalent d’une sieste pour un dragon. Pendant ce temps, Kamiye avait dévoré les victuailles. Il n’en restait plus. Ca lui avait presque fait mal d’avaler les dernières denrées. Mais il avait tellement peur d’en manquer les jours prochains qu’il s’était dit qu’il arriverait peut-être à faire des réserves… Puis il avait essayé le diadème. En le collant sur son front. En le frottant pour le nettoyer. En disant des mots. Des sons. Il avait essayé tant de choses. Mais ? Il était toujours aussi faible. Si pathétiquement faible…
« AaAAahhhH !!! »
Le Dragon d’Or l’avait retrouvé !
Kamiye tomba le cul en premier. Il recula nerveusement en arrière mais n’alla pas loin. Le Dragon d’Or lui parlait. Il ne comprenait pas. Son cerveau mettait un temps de retard à la compréhension. La voix « jeune » n’allait pas avec l’image légendaire qu’il s’était imaginé. Un dragon, même sur deux pattes comme un être humain, pouvait-il rester crédible en robe ?... Bien entendu, le processus n’était pas conscient pour l’esclave. Mais les doutes s’instillaient déjà en lui…
« Je-j-je suis d-désolé !... »
Une partie de son esprit ne comprit pas pour quoi le Dragon d’Or était « pas content » sans « e ». Elle portait une robe, non ?
« J-j’avais trop faim. J’ai-ai-ai tout mangé. Je suis d-désolé. Vraiment ! Je-… »
Il se mit à pleurer, tendant le sac vide. Sa main tenant le diadème était venue le cacher au seul endroit qui paraissait « sensé » à un ancien esclave en froques et sans bagage. A savoir entre ses jambes jointes.
« Je suis-suis désolé. Ne me p-punissez pas trop-trop f-fort. »
Il courbait l’échine. Il se préparait déjà à une punition. Evidemment qu’il allait souffrir. Mais s’il pouvait avoir un peu de compassion du Dragon d’Or et ne pas trop souffrir… Et surtout ne pas retourner entre les serres de son ancien Maître ! Il ferma les yeux très fort tout en tremblant en anticipation du premier coup qui allait tomber sur sa couenne…
Le Dragon d’Or s’était finalement endormi après avoir bien mangé. Et la priorité était devenue le sac de victuailles. Kamiye se détestait déjà. Cela devait faire pas loin de cent fois qu’il se disait non puis que oui. Même esclave, il ne supportait pas de voler autrui. Seulement, il avait beaucoup trop faim. Entre les maigres repas au château, la fuite, la révolte des esclaves et maintenant la survie en solitaire sans notions ? Non, il fallait qu’il mange. A chaque fois qu’il se relevait, il pensait perdre connaissance… Alors il avait cédé à une pulsion. Il s’était approché et s’était découvert une sorte de faculté à ne pas faire beaucoup de bruits. Dû au fait d’avoir été un esclave presque toute sa vie ? A son côté hybride animal ? Il n’empêche qu’il parvient à voler le sal. ET la gemme sur le front du Dragon d’Or ! Il suait à grosses gouttes. Son cœur tambourinait un rythme de guerre dans ses oreilles : c’était ASSOURDISSANT !!!
Du temps passa. L’équivalent d’une sieste pour un dragon. Pendant ce temps, Kamiye avait dévoré les victuailles. Il n’en restait plus. Ca lui avait presque fait mal d’avaler les dernières denrées. Mais il avait tellement peur d’en manquer les jours prochains qu’il s’était dit qu’il arriverait peut-être à faire des réserves… Puis il avait essayé le diadème. En le collant sur son front. En le frottant pour le nettoyer. En disant des mots. Des sons. Il avait essayé tant de choses. Mais ? Il était toujours aussi faible. Si pathétiquement faible…
« AaAAahhhH !!! »
Le Dragon d’Or l’avait retrouvé !
Kamiye tomba le cul en premier. Il recula nerveusement en arrière mais n’alla pas loin. Le Dragon d’Or lui parlait. Il ne comprenait pas. Son cerveau mettait un temps de retard à la compréhension. La voix « jeune » n’allait pas avec l’image légendaire qu’il s’était imaginé. Un dragon, même sur deux pattes comme un être humain, pouvait-il rester crédible en robe ?... Bien entendu, le processus n’était pas conscient pour l’esclave. Mais les doutes s’instillaient déjà en lui…
« Je-j-je suis d-désolé !... »
Une partie de son esprit ne comprit pas pour quoi le Dragon d’Or était « pas content » sans « e ». Elle portait une robe, non ?
« J-j’avais trop faim. J’ai-ai-ai tout mangé. Je suis d-désolé. Vraiment ! Je-… »
Il se mit à pleurer, tendant le sac vide. Sa main tenant le diadème était venue le cacher au seul endroit qui paraissait « sensé » à un ancien esclave en froques et sans bagage. A savoir entre ses jambes jointes.
« Je suis-suis désolé. Ne me p-punissez pas trop-trop f-fort. »
Il courbait l’échine. Il se préparait déjà à une punition. Evidemment qu’il allait souffrir. Mais s’il pouvait avoir un peu de compassion du Dragon d’Or et ne pas trop souffrir… Et surtout ne pas retourner entre les serres de son ancien Maître ! Il ferma les yeux très fort tout en tremblant en anticipation du premier coup qui allait tomber sur sa couenne…
- Ashka Velaryon
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- Demande de RP
Bien que je n'appréciais vraiment pas ces manières de faire, j'ai commencé à me sentir un peu mal quand j'ai vu la renarde pleurer et exprimer sa détresse. C'est vrai qu'elle n'avait pas l'air d'être bien grosse non plus... et pour ne pas aider, elle paraissait avoir vraiment peur, en plus de ne porter aucun vêtement ou presque, à part cet espèce de caleçon sale. Était-elle vraiment capable de croire que j'allais lui faire du mal et la frapper, quand je l'ai vue se mettre à trembler et fermer les yeux?... C'est sans hésiter que je me rapproche d'elle et que je l'enlace dans mes petits bras.
- Ne pleure pas jolie renarde. Jamais je ne te ferai du mal. Avec Ashka, saches tu es en sécurité.
Me laissant aller à l'enlacer avec douceur et tendresse, tout en ressentant sa peau qui était à la fois douce et chaude, je tente de consoler cette jolie renarde apparemment en grande détresse.
- Si tu étais aussi affamée que ça, il suffisait de venir me le dire. Bon, pour ce qui est du diadème, j'avoue que j'en ai vraiment besoin. Il n'est pas à vendre, même contre tout l'or du monde.
C'est avec beaucoup de douceur que je laisse un bras autour d'elle, tout en plongeant ma main avec l'autre pour récupérer récupérer le diadème à l'intérieur de son caleçon, le seul vêtement qu'il portait. Et c'est lorsque j'allais le reprendre, tout en regardant ma main se poser à l'intérieur, que je vois qu'il y a autre chose en plus dedans que simplement celui-ci. J'étais tellement surpris, que mes iris draconiennes se rétractent par réflexe. Je baisse alors bien plus bas son vieux tissu tout sale pour vérifier que je ne me trompais pas sur ce que je venais de voir en plus dedans...
- Mais... mais tu n'es pas une renarde, mais un renard?... Mais alors, ça veux dire que tu es comme moi? Vilain cachotier. Hahaha.
Je ris en voyant son adorable petit manche, oubliant le diadème qui était tombé par terre. Quand je le regarde à nouveau, je reprends le renard dans mes bras avec beaucoup de tendresses et d'affection.
- Bon... C'est peut-être vrai que tu n'as pas été très sympa de m'avoir volé mon diadème. Même Jordy ne serait pas content si je revenais sans. Mais tu as l'air d'être tellement gentil en vérité, que j'ai plutôt envie de te câliner comme tu le mérites.
C'est non avec désir, que je prends son zizi dans ma main, le caressant et le serrant bien fort dans celle-ci. Tout en faisant tendrement des allers et venues avec ma main dessus, je me colle en même temps contre lui pour l'embrasser et passer ma langue à travers sa bouche pour sentir la sienne, douce et chaude.
- Ne pleure pas jolie renarde. Jamais je ne te ferai du mal. Avec Ashka, saches tu es en sécurité.
Me laissant aller à l'enlacer avec douceur et tendresse, tout en ressentant sa peau qui était à la fois douce et chaude, je tente de consoler cette jolie renarde apparemment en grande détresse.
- Si tu étais aussi affamée que ça, il suffisait de venir me le dire. Bon, pour ce qui est du diadème, j'avoue que j'en ai vraiment besoin. Il n'est pas à vendre, même contre tout l'or du monde.
C'est avec beaucoup de douceur que je laisse un bras autour d'elle, tout en plongeant ma main avec l'autre pour récupérer récupérer le diadème à l'intérieur de son caleçon, le seul vêtement qu'il portait. Et c'est lorsque j'allais le reprendre, tout en regardant ma main se poser à l'intérieur, que je vois qu'il y a autre chose en plus dedans que simplement celui-ci. J'étais tellement surpris, que mes iris draconiennes se rétractent par réflexe. Je baisse alors bien plus bas son vieux tissu tout sale pour vérifier que je ne me trompais pas sur ce que je venais de voir en plus dedans...
- Mais... mais tu n'es pas une renarde, mais un renard?... Mais alors, ça veux dire que tu es comme moi? Vilain cachotier. Hahaha.
Je ris en voyant son adorable petit manche, oubliant le diadème qui était tombé par terre. Quand je le regarde à nouveau, je reprends le renard dans mes bras avec beaucoup de tendresses et d'affection.
- Bon... C'est peut-être vrai que tu n'as pas été très sympa de m'avoir volé mon diadème. Même Jordy ne serait pas content si je revenais sans. Mais tu as l'air d'être tellement gentil en vérité, que j'ai plutôt envie de te câliner comme tu le mérites.
C'est non avec désir, que je prends son zizi dans ma main, le caressant et le serrant bien fort dans celle-ci. Tout en faisant tendrement des allers et venues avec ma main dessus, je me colle en même temps contre lui pour l'embrasser et passer ma langue à travers sa bouche pour sentir la sienne, douce et chaude.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 31 mai 2025 19:27, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
- Messages : 144
- Enregistré le : 14 août 2024 20:08
Quelle était cette nouvelle punition ? Kamiye était allé de Maître en Maîtresse. De Maîtresse en Maître. Jamais il n’avait eu ce genre d’attouchements sans que cela ne suive par une douleur ou une humiliation. Qu’est-ce que le Dragon d’Or allait lui faire ?...
Mais ça n’allait pas. Plutôt que Kamiye ne comprenait pas. Cette voix qui paraissait être jeune. Cette robe à fleurs qui semblait davantage respirer l’idée du foyer que de la geôle. Et ces mots… Ashka ? « Simplement » demander ? Quelle quantité cela pouvait faire tout l’or du monde ? De quoi bâtir une montagne plus grande que la plus grandes des forteresses que Kamiye avait servi ? Il ne savait pas. Il ne savait plus…
Un glapissement !
*Pourquoi il me touche le zizi ?!... *
Nouvelle incompréhension. Déjà qu’un Dragon d’Or en robe de femme est étrange. Mais la femme est en réalité un homme ? Kamiye est complètement perdu. Tremblotant. Incapable de se rebeller (malgré la révolte des esclaves dont il a été un parfait mouton pour suivre…) : il ne dit rien et se laisse caresser. Cette main si douce. Cette façon de le toucher si… « gentille » ? Il s’en veut de se sentir durcir entre ses doigts qu’il aurait envie de qualifier de féminin alors qu’il vient de dire qu’il serait masculin. De là à éprouver une sensation de vertige… Mais c’est peut-être la faim.
« Qu-qui est Maître J-Jordy, Maître et Maîtresse Dragon d’Or ? AaAAah !!... »
Mais voilà que la main douce recommence à faire des allers-retours sur son organe à pipi. Certes, il sait que les êtres copulent. Mais Kamiye n’a pas été perverti de la sorte. Il sait que son statut d’androgyne fait de lui un être « unique ». Qu’il a été plusieurs fois sources de quolibets. D’attouchements. D’humiliations où il a été exposé nu aux yeux de pleins de dames dans une chambre pendant une prise de thé. Mais, bizarrement, il n’a jamais été utilisé à des fins sexuelles.
« Ca- !... Ca fait plutôt du bien… Je-j-je ne comprends pas. C’est ma punition ? Han… Pardon, c’est sorti tout seul de ma bouche. »
Kamiye sentait quelque chose venir. Une sorte d’élancement au bout de son pénis. Et ce Dragon d’Or qui vient maintenant l’embrasser. Tellement soumis par une vie d’esclavage, Kamiye ouvre les lèvres et laisse la langue (bifide ?) entrer dans propre bouche. C’est bizarre. C’est envahissant. Et en même temps, est-ce que ça ne serait pas un peu plaisant ?
Quand il récupérera la possibilité de parler, il ajoutera toujours en bredouillant :
« Je ne vous volerais plus, Maître. Je serais gentil. Je suis un bon esclave : c’est vrai ! Mais je ne veux pas être enfermé à nouveau. Je ferai ce que vous voudrez. S’il vous plaît. Kamiye est un bon esclave. Pas le meilleur. Mais il tient à cœur à faire le meilleur qu’il puisse donner. »
Ses genoux s’entrechoquèrent alors que le plaisir gagnait son corps. Il ne pouvait pas fuir. Il n’avait plus assez d’énergie pour courir. Peut-être même qu’il était si faible qu’une éjaculation pourrait le faire tomber dans l’inconscience ?!...
Mais ça n’allait pas. Plutôt que Kamiye ne comprenait pas. Cette voix qui paraissait être jeune. Cette robe à fleurs qui semblait davantage respirer l’idée du foyer que de la geôle. Et ces mots… Ashka ? « Simplement » demander ? Quelle quantité cela pouvait faire tout l’or du monde ? De quoi bâtir une montagne plus grande que la plus grandes des forteresses que Kamiye avait servi ? Il ne savait pas. Il ne savait plus…
Un glapissement !
*Pourquoi il me touche le zizi ?!... *
Nouvelle incompréhension. Déjà qu’un Dragon d’Or en robe de femme est étrange. Mais la femme est en réalité un homme ? Kamiye est complètement perdu. Tremblotant. Incapable de se rebeller (malgré la révolte des esclaves dont il a été un parfait mouton pour suivre…) : il ne dit rien et se laisse caresser. Cette main si douce. Cette façon de le toucher si… « gentille » ? Il s’en veut de se sentir durcir entre ses doigts qu’il aurait envie de qualifier de féminin alors qu’il vient de dire qu’il serait masculin. De là à éprouver une sensation de vertige… Mais c’est peut-être la faim.
« Qu-qui est Maître J-Jordy, Maître et Maîtresse Dragon d’Or ? AaAAah !!... »
Mais voilà que la main douce recommence à faire des allers-retours sur son organe à pipi. Certes, il sait que les êtres copulent. Mais Kamiye n’a pas été perverti de la sorte. Il sait que son statut d’androgyne fait de lui un être « unique ». Qu’il a été plusieurs fois sources de quolibets. D’attouchements. D’humiliations où il a été exposé nu aux yeux de pleins de dames dans une chambre pendant une prise de thé. Mais, bizarrement, il n’a jamais été utilisé à des fins sexuelles.
« Ca- !... Ca fait plutôt du bien… Je-j-je ne comprends pas. C’est ma punition ? Han… Pardon, c’est sorti tout seul de ma bouche. »
Kamiye sentait quelque chose venir. Une sorte d’élancement au bout de son pénis. Et ce Dragon d’Or qui vient maintenant l’embrasser. Tellement soumis par une vie d’esclavage, Kamiye ouvre les lèvres et laisse la langue (bifide ?) entrer dans propre bouche. C’est bizarre. C’est envahissant. Et en même temps, est-ce que ça ne serait pas un peu plaisant ?
Quand il récupérera la possibilité de parler, il ajoutera toujours en bredouillant :
« Je ne vous volerais plus, Maître. Je serais gentil. Je suis un bon esclave : c’est vrai ! Mais je ne veux pas être enfermé à nouveau. Je ferai ce que vous voudrez. S’il vous plaît. Kamiye est un bon esclave. Pas le meilleur. Mais il tient à cœur à faire le meilleur qu’il puisse donner. »
Ses genoux s’entrechoquèrent alors que le plaisir gagnait son corps. Il ne pouvait pas fuir. Il n’avait plus assez d’énergie pour courir. Peut-être même qu’il était si faible qu’une éjaculation pourrait le faire tomber dans l’inconscience ?!...
- Ashka Velaryon
- Messages : 38
- Enregistré le : 17 mai 2025 21:07
- Fiche
- Demande de RP
Quand je trouve sa belle langue, je la touche bien fort et je l'enroule passionnément avec la mienne, tout en me collant à l'adorable renard, qui n'était pas une renarde en vérité. Je ressentais toute la chaleur et l'humidité à l'intérieur de celle-ci. Avec mon bras libre qui s'enroule bien tout autour de lui, je profitais de ce superbe baiser avec mon tout nouvel ami, tout en continuant de ressentir son adorable tige bien dure que j'avais en même temps dans mon autre main. Appuyant et pressant bien fort sur le bel engin de mon tout nouvel amoureux aux oreilles et à la queue certainement toutes douces, je continuais de l'embrasser, mais avec plus grande fougue encore. Quand j'ai terminé et que je retire mon museau de ses belles petites lèvres au genre humain, le doux et gentil renard qui veut m'appeler "maitre", semblait encore avoir curieusement peur. Tout en me promettant qu'il ne me volera plus et qu'il sera un... bon esclave???... je l'entends se présenter sous un joli nom. Je le prends par les épaules avec ma main libre et je le regarde avec tendresse. Je voulais essayer de le rassurer et certainement pas de lui faire peur.
- Mais pourquoi tu voudrais que je te fasse du mal? On est maintenant amis tout pleins toi et moi et même pour la vie entière si tu veux? Et puis tu n'as pas besoin de m'appeler "maître", mais plutôt Ashka. C'est quand même plus joli non?
Je retourne ensuite l'embrasser un grand coup, tout en serrant bien fort son instrument de joli mâle renard, très content de savoir qu'il dise quand même que ça lui faisait vraiment du bien. Quand je retire une fois encore ma langue de la sienne et qu'un filet de bave remplis d'un baiser passionné nous relient, je regarde alors son torse, avant de venir lécher ses jolis petits tétons avec beaucoup d'envie.
- Ho oui Kamiye! Je t'aime!
Tout en lui disant que je l'aimais, je lèche doucement son mignon petit bout de chair, utilisant le bout de ma langue pointue pour tourner délicatement en rond tout autour, avant de faire pareil avec l'autre, en léchant son torse au milieu. Pendant que ma main tire bien fort sur son beau sexe bien dur et que je presse en même temps, je lui suce directement l'un de ses tétons. J'aimais tellement lui faire ça, que mes oreilles en vibraient. C'était vraiment délicieux. Au point que je trouvais que c'en était presque dommage qu'il n'y aurait pas lait, mais c'était normal comme c'était un garçon. Pendant que son tout petit bout passe entre mes grande dent draconiennes, je continue de m'appliquer dessus avec tout mon amour possible.
- Mmmmmh! Fé bon...
Lui disant entre les lèvres que je trouvais ça vraiment très délicieux, je gémis tout en ne cessant pas de caresser son joli sexe. Et quand je retire un peu après ma bouche de son mignon téton qui est maintenant devenu tout rouge, avec la pression amoureuse que j'ai fais dessus, je colle ma langue sur sa peau toute blanche, fine et douce pour ensuite descendre encore plus bas, jusqu'à arriver au niveau de son petit nombril vraiment tout mignon.
- Miam! Là aussi j'aime beaucoup. Je trouve que c'est doux.
Passant le bout de ma langue à l'intérieur de celui-ci, je tourne doucement dedans. Je lèche, je pousse bien fort, je titille ce tout petit trou de ventre qui a servi à donner naissance à mon tout nouvel ami tout doux. Rapidement, je sentais l'odeur de son zizi qui me rentrait à travers mon museau de dragon et ça me donnait encore plus envie de jouer avec lui.
- Miam! Tu es si bon et si doux Kamiye, tu sais?
Je lance un regard langoureux dans la direction de Kamiye, avant de reprendre l'exploration de son corps. Sans lâcher son délicieux manche, je continuais encore et toujours de le presser dans ma main draconienne avec tendresse et passion, tout en poursuivant les délicieux allers et venus.
- Mais pourquoi tu voudrais que je te fasse du mal? On est maintenant amis tout pleins toi et moi et même pour la vie entière si tu veux? Et puis tu n'as pas besoin de m'appeler "maître", mais plutôt Ashka. C'est quand même plus joli non?
Je retourne ensuite l'embrasser un grand coup, tout en serrant bien fort son instrument de joli mâle renard, très content de savoir qu'il dise quand même que ça lui faisait vraiment du bien. Quand je retire une fois encore ma langue de la sienne et qu'un filet de bave remplis d'un baiser passionné nous relient, je regarde alors son torse, avant de venir lécher ses jolis petits tétons avec beaucoup d'envie.
- Ho oui Kamiye! Je t'aime!
Tout en lui disant que je l'aimais, je lèche doucement son mignon petit bout de chair, utilisant le bout de ma langue pointue pour tourner délicatement en rond tout autour, avant de faire pareil avec l'autre, en léchant son torse au milieu. Pendant que ma main tire bien fort sur son beau sexe bien dur et que je presse en même temps, je lui suce directement l'un de ses tétons. J'aimais tellement lui faire ça, que mes oreilles en vibraient. C'était vraiment délicieux. Au point que je trouvais que c'en était presque dommage qu'il n'y aurait pas lait, mais c'était normal comme c'était un garçon. Pendant que son tout petit bout passe entre mes grande dent draconiennes, je continue de m'appliquer dessus avec tout mon amour possible.
- Mmmmmh! Fé bon...
Lui disant entre les lèvres que je trouvais ça vraiment très délicieux, je gémis tout en ne cessant pas de caresser son joli sexe. Et quand je retire un peu après ma bouche de son mignon téton qui est maintenant devenu tout rouge, avec la pression amoureuse que j'ai fais dessus, je colle ma langue sur sa peau toute blanche, fine et douce pour ensuite descendre encore plus bas, jusqu'à arriver au niveau de son petit nombril vraiment tout mignon.
- Miam! Là aussi j'aime beaucoup. Je trouve que c'est doux.
Passant le bout de ma langue à l'intérieur de celui-ci, je tourne doucement dedans. Je lèche, je pousse bien fort, je titille ce tout petit trou de ventre qui a servi à donner naissance à mon tout nouvel ami tout doux. Rapidement, je sentais l'odeur de son zizi qui me rentrait à travers mon museau de dragon et ça me donnait encore plus envie de jouer avec lui.
- Miam! Tu es si bon et si doux Kamiye, tu sais?
Je lance un regard langoureux dans la direction de Kamiye, avant de reprendre l'exploration de son corps. Sans lâcher son délicieux manche, je continuais encore et toujours de le presser dans ma main draconienne avec tendresse et passion, tout en poursuivant les délicieux allers et venus.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 02 juin 2025 19:25, modifié 2 fois.
- Kamiye Goupile
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- Enregistré le : 14 août 2024 20:08
Kamiye était complètement perdu par cette toute nouvelle situation. Le Dragon l’avait emprisonné dans son bras avant de l’embrasser sans même le prévenir. Et puis sa main ne quittait plus son sexe. Il n’était pas particulièrement long ou épais. Mais il avait cette « perfection ». Lisse. Blanc. Malgré que c’était un membre fait pour le sexe, il y avait une « innocence ». Mais pour le moment, Kamiye devait essayer de comprendre pourquoi le Dragon lui parlait ainsi. Bien sur qu’il avait peur ! Il avait tenté de voler son nouveau Maître. Il ne comprenait pas pourquoi il n’y avait pas besoin de lui donner ce rang. Encore moins le fait qu’ils étaient…amis ?! C’était la panique dans la petite tête épuisée d’un esclave qui n’avait jamais connu ni l’amitié, ni l’amour et ni la liberté.
Les sensations physiques engourdissaient encore plus son esprit. Néanmoins, la peur guerroyait au plaisir. Le Dragon-qu’il-devait-appeler-Ashka était sur le point de dévorer son téton ! Il avait eu un aperçu de ses dents aiguisés. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’il se repaisse de sa chair et de son sang ! (au contraire de ce dernier qui aurait aimé que le côté androgyne soit davantage féminin pour y boire son biberon de lait). Et voilà maintenant qu’il voulait pénétrer son nombril pour un jeu sordide, assurément ! Sans compter qu’il ressentait comme un élancement dans ses tétons. Ce n’était pas désagréable…
« Je…je ne suis pas à m-manger, Maître Ash-shka. »
Un Dragon, même petit, ce devait avoir un sacré appétit. Peut-être que toutes ces léchouilles visaient à le préparer. Un peu comme on assaisonnait un plat ? Kamiye le pensait. Mais il n’avait de toute façon plus la force de courir longtemps. Alors il restait sur place, le corps tendu tandis que la main du Dragon Ashka continuait ses mouvements d’aller-retour.
« Si v-vous continuez ainsi, quelque chose va en-en sortir, vous savez ? »
C’était déjà une expérience en soi que de se faire masturber par une main étrangère ! Certes, Kamiye n’était pas absolument niais au point de ne s’être jamais fait plaisir. Mais quand on était un esclave à plein temps, qu’il fallait courir d’un bout à l’autre d’un château, qu’il fallait se méfier des gens fortunés et des autres esclaves : se faire plaisir n’était pas une priorité. Surtout quand on dormait à même le sol avec une dizaine ou davantage d’esclaves dans la même pièce.
« Je ne veux pas tâcher votre jolie robe ! »
Aucun bafouillage. Il y avait même une exclamation nouvelle. Pourquoi ? Est-ce qu’Ashka était capable de comprendre que « son » renard avait un intérêt pour les belles choses ? Etait-il fin psychologue pour comprendre qu’à plusieurs reprises déjà, Kamiye avait observé la robe au lieu du porteur ? Et ce n’était même pas pour déterminer ce qui se cachait au-dessous. La seule fois où il y avait pensé, Kamiye avait imaginé un gourdin douloureux. Mais c’était un choix impossible entre souiller la belle robe ou se faire utiliser quitte à ne plus pouvoir s’asseoir… Ca lui était déjà arrivé…
Les sensations physiques engourdissaient encore plus son esprit. Néanmoins, la peur guerroyait au plaisir. Le Dragon-qu’il-devait-appeler-Ashka était sur le point de dévorer son téton ! Il avait eu un aperçu de ses dents aiguisés. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’il se repaisse de sa chair et de son sang ! (au contraire de ce dernier qui aurait aimé que le côté androgyne soit davantage féminin pour y boire son biberon de lait). Et voilà maintenant qu’il voulait pénétrer son nombril pour un jeu sordide, assurément ! Sans compter qu’il ressentait comme un élancement dans ses tétons. Ce n’était pas désagréable…
« Je…je ne suis pas à m-manger, Maître Ash-shka. »
Un Dragon, même petit, ce devait avoir un sacré appétit. Peut-être que toutes ces léchouilles visaient à le préparer. Un peu comme on assaisonnait un plat ? Kamiye le pensait. Mais il n’avait de toute façon plus la force de courir longtemps. Alors il restait sur place, le corps tendu tandis que la main du Dragon Ashka continuait ses mouvements d’aller-retour.
« Si v-vous continuez ainsi, quelque chose va en-en sortir, vous savez ? »
C’était déjà une expérience en soi que de se faire masturber par une main étrangère ! Certes, Kamiye n’était pas absolument niais au point de ne s’être jamais fait plaisir. Mais quand on était un esclave à plein temps, qu’il fallait courir d’un bout à l’autre d’un château, qu’il fallait se méfier des gens fortunés et des autres esclaves : se faire plaisir n’était pas une priorité. Surtout quand on dormait à même le sol avec une dizaine ou davantage d’esclaves dans la même pièce.
« Je ne veux pas tâcher votre jolie robe ! »
Aucun bafouillage. Il y avait même une exclamation nouvelle. Pourquoi ? Est-ce qu’Ashka était capable de comprendre que « son » renard avait un intérêt pour les belles choses ? Etait-il fin psychologue pour comprendre qu’à plusieurs reprises déjà, Kamiye avait observé la robe au lieu du porteur ? Et ce n’était même pas pour déterminer ce qui se cachait au-dessous. La seule fois où il y avait pensé, Kamiye avait imaginé un gourdin douloureux. Mais c’était un choix impossible entre souiller la belle robe ou se faire utiliser quitte à ne plus pouvoir s’asseoir… Ca lui était déjà arrivé…
- Ashka Velaryon
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- Enregistré le : 17 mai 2025 21:07
- Fiche
- Demande de RP
Pendant que je continuais de lécher Kamiye avec tout plein d'amour, je ne comprenais pas pourquoi il disait qu'il croyait que j'allais le manger. Déjà que je ne mange personne, alors jamais je ne mangerai en plus un tout nouvel ami que je viens tout juste de me faire. Mais comme j'aimais tellement ce que je lui faisais en même temps, j'ai continué sans lui répondre, parce que c'est vrai que j'avais vraiment très très envie de le gouter. C'est aussi quand je suis tout près son joli sexe tout doux et toujours bien dur, que Kamiye me dit avoir peur de tâcher ma robe. Accroupi par terre, juste devant son bel engin qui sentait vraiment très bon le mâle, je m'arrête pour le regarder. Mes membranes gigotent un instant, avant que je ne me relève pour l'embrasser encore une fois avec plein de passion, tout en retirant doucement le long nœud qui entoure ma jolie robe blanche à fleurs bleues. Pendant que je gigotais ma langue avec la sienne durant quelques instants de plus, j'arrête de prendre sa jolie bouche pour y enlever ma robe que je soulève par le haut. Celle-ci glisse sur ma peau et lorsque je finis de la retirer, je la pose délicatement dans l'herbe un peu plus loin, avec mon beau nœud dessus.
Maintenant que je n'étais plus qu'en culotte blanche et en sandales, je me rapproche encore de mon adorable ami en lui souriant, les yeux remplis d'amour débordant et étincelant pour lui. C'est presque tout nu en comparaison avec lui, que je pouvais facilement voir la différence entre sa jolie peau rose humaine, par rapport à la mienne qui était grise et à la fois très lisse et aussi un tout petit peu rugueuse au toucher, surtout quand on la compare bien entre nous deux.
- Ça ne me gêne pas d'avoir le sperme de mon copain tout doux sur ma robe, mais c'est vrai que c'est peut-être mieux sans.
Je retourne appliquer un gros poutou amoureux directement dans le cou de Kamiye, avant de rattraper son bel engin encore bien tout dur. C'est à partir de là que je recommence de lui lécher le nombril, collant plein de bave sur son ventrou. Appuyant et pressant fort sur son zizi tout en même temps, je lui lèche le ventre en rond, avec ma langue draconienne bien mouillée. Quand j'ai fais ça plusieurs fois, je prends sa belle verge toute dure dans ma bouche, tout en écartant avec une main mes cheveux qui passaient un peu trop près mon visage.
- Miam! C'est bon! Mmmhpf! <3 Mmmmhpf! <3
A peine je la mets en moi, que j'ai la bosse dans ma culotte qui grossit encore plus, pendant que je suis en train de lécher avec tout mon amour possible, le sexe tout mignon de mon adorable ami à la queue et aux oreilles poilues. Prenant son zizi avec douceur entre mes dents pointues, tout en essayant de ne pas lui faire mal, j'utilise ma main qui agrippe sa belle verge toute dure pour pouvoir plus facilement le sucer, bougeant ma tête en même temps. C'était vraiment super délicieux. J'adorais faire ça à Kamiye. Et pendant que je continue de le prendre avec tout plein dans ma bouche, son manche fait un joli "pop", quand il ressort de ma grande gueule pour le regarder après.
- Mmmh! Est-ce que tu aimes ça aussi Kamiye? Tu aimes jouer avec moi comme on fait?
Tout en sortant ma langue, je lui lèche le bout maintenant devenu tout rouge, mes oreilles draconiennes pulsant à cause de l'envie et l'excitation de vouloir faire du bien à mon nouvel ami. J'attrape ensuite ses jolies fesses avec mes deux mains, tout en reprenant son adorable manche dans ma gueule draconique, avec sa bonne odeur de mâle. Ça faisait maintenant des bruits où en entendait bien que je le suçais fort, parce que je creusais les joues en même temps. Tout en faisant aller et venir lentement ma tête, avec le zizi de Kamiye en moi, je malaxe ses adorables petites fesses, prenant bien soin de ne pas les griffer avec mes gros ongles.
Maintenant que je n'étais plus qu'en culotte blanche et en sandales, je me rapproche encore de mon adorable ami en lui souriant, les yeux remplis d'amour débordant et étincelant pour lui. C'est presque tout nu en comparaison avec lui, que je pouvais facilement voir la différence entre sa jolie peau rose humaine, par rapport à la mienne qui était grise et à la fois très lisse et aussi un tout petit peu rugueuse au toucher, surtout quand on la compare bien entre nous deux.
- Ça ne me gêne pas d'avoir le sperme de mon copain tout doux sur ma robe, mais c'est vrai que c'est peut-être mieux sans.
Je retourne appliquer un gros poutou amoureux directement dans le cou de Kamiye, avant de rattraper son bel engin encore bien tout dur. C'est à partir de là que je recommence de lui lécher le nombril, collant plein de bave sur son ventrou. Appuyant et pressant fort sur son zizi tout en même temps, je lui lèche le ventre en rond, avec ma langue draconienne bien mouillée. Quand j'ai fais ça plusieurs fois, je prends sa belle verge toute dure dans ma bouche, tout en écartant avec une main mes cheveux qui passaient un peu trop près mon visage.
- Miam! C'est bon! Mmmhpf! <3 Mmmmhpf! <3
A peine je la mets en moi, que j'ai la bosse dans ma culotte qui grossit encore plus, pendant que je suis en train de lécher avec tout mon amour possible, le sexe tout mignon de mon adorable ami à la queue et aux oreilles poilues. Prenant son zizi avec douceur entre mes dents pointues, tout en essayant de ne pas lui faire mal, j'utilise ma main qui agrippe sa belle verge toute dure pour pouvoir plus facilement le sucer, bougeant ma tête en même temps. C'était vraiment super délicieux. J'adorais faire ça à Kamiye. Et pendant que je continue de le prendre avec tout plein dans ma bouche, son manche fait un joli "pop", quand il ressort de ma grande gueule pour le regarder après.
- Mmmh! Est-ce que tu aimes ça aussi Kamiye? Tu aimes jouer avec moi comme on fait?
Tout en sortant ma langue, je lui lèche le bout maintenant devenu tout rouge, mes oreilles draconiennes pulsant à cause de l'envie et l'excitation de vouloir faire du bien à mon nouvel ami. J'attrape ensuite ses jolies fesses avec mes deux mains, tout en reprenant son adorable manche dans ma gueule draconique, avec sa bonne odeur de mâle. Ça faisait maintenant des bruits où en entendait bien que je le suçais fort, parce que je creusais les joues en même temps. Tout en faisant aller et venir lentement ma tête, avec le zizi de Kamiye en moi, je malaxe ses adorables petites fesses, prenant bien soin de ne pas les griffer avec mes gros ongles.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 06 juin 2025 18:48, modifié 2 fois.
- Kamiye Goupile
- Messages : 144
- Enregistré le : 14 août 2024 20:08
Ses mains se couvrirent les yeux. Son nouveau Maître Ashka était en train de se déshabillé sous ses yeux. Kamiye ne comprenait plus rien. Un coup dans sa tête il faisait face à un Maître. Et puis il lui apparaissait comme étant une Maîtresse. Quelle surprise de voir, entre ses doigts écartés, qu’il n’y avait pas de poitrine et une culotte. Il soupira de soulagement tout de même. Puis baissa progressivement ses mains pour les remettre le long de son corps. Ce n’était pas un comportement approprié pour un esclave. Et puis, Maître Ashka avait des yeux incroyables ! Magnifiques ! Pendant un bref instant, Kamiye eut l’impression de plonger au-dedans. Une eau chaleureuse dans laquelle il aurait aimé tremper longtemps.
A nouveau, il devint passif. Son petit esprit brisé mille fois par les épreuves n’arrivaient pas à accepter qu’il pouvait répandre son jus à bébé sur un Maître. Qu’il pouvait être une petite chose douce dans le bon sens du terme. Et non pas comme un adulte-enfant qu’on touchait en gloussant avec ses amies bourgeoises. Il n’était pas une peluche. Il avait des sentiments. Mais ce Maître Ashka était différent. Il commençait à le croire. Il- Oooh ! Son zizi tout dur se retrouva à nouveau dans la grotte du dragon. Un endroit si moite et si chaud. Agréable était un bon pour résumer la situation. Kamiye ferme les yeux. Pour…ne pas voir et donc ne pas accepter ce traitement. Mais aussi pour ressentir davantage. Son corps était allé naturellement vers ce réflexe de ténèbres. Perdre un sens pour en sublimer les autres.
Voilà que son nouveau Maître Dragon sortait une nouvelle énormité !
« O-on m’a toujours appris à ne pas, ne pas mentir alors… »
Ce qui ne signifiait pas qu’il était à l’aise avec toutes les vérités.
« Votre bouche chaude me fait d-d-d-des choses. Des choses bi-bien… Mais je ne suis pas sur d’ai-aimer ça. Je crois que c’est m-mal… Han !... On a déjà joué avec m-moi… Des filles très très bien habillées dans des sublimes robes. Elles s-se touchaient entre les j-j-jambes. Je devais les toucher. Mais quand je m’app-pprochais. Elles me donnaient des baffes. Et elles riaient. Et elles m-me pinçaient les tétons forts. Ca f-faisait très m-mal… »
Que faisait son Maître Dragon maintenant ?! Il voulait lui ouvrir les fesses pour exposer à l’air libre son petit trou ?! Kamiye avait bien aperçu rapidement une bosse dans la culotte. Mais la queue caudale, c’était ce membre qui l’effrayait. La façon dont Maître Ashka suçait et faisait des choses d’aspiration avec son zizi l’empêchait de se concentrer. La peur se disputait à l’orgasme en approche. Et puis, peut-être parce qu’il valait mieux « finir » maintenant pour ne pas prolonger la punition et finir avec quelque chose d’épais entre ses petites fesses : il éjacula dans la bouche.
« AH ! Pardon, Maître Dragon ! Pardon-pardon-pardon ! Ce n’est pas quelque chose qu’il faut avaler ! Il faut recracher, Maître Ashka ! »
La détresse avait donné une assurance à sa voix. Aucun bégaiement. Aucune hésitation. Aucune longueur. Une multiplicité d’excuses, certes. Mais un message clair. Et comment nettoyer la bouche d’un Maître ? Il n’en avait aucune idée. Une punition allait lui tomber dessus. Baissant la tête et croisant ses bras derrière son dos : il attendit la sentence.
A nouveau, il devint passif. Son petit esprit brisé mille fois par les épreuves n’arrivaient pas à accepter qu’il pouvait répandre son jus à bébé sur un Maître. Qu’il pouvait être une petite chose douce dans le bon sens du terme. Et non pas comme un adulte-enfant qu’on touchait en gloussant avec ses amies bourgeoises. Il n’était pas une peluche. Il avait des sentiments. Mais ce Maître Ashka était différent. Il commençait à le croire. Il- Oooh ! Son zizi tout dur se retrouva à nouveau dans la grotte du dragon. Un endroit si moite et si chaud. Agréable était un bon pour résumer la situation. Kamiye ferme les yeux. Pour…ne pas voir et donc ne pas accepter ce traitement. Mais aussi pour ressentir davantage. Son corps était allé naturellement vers ce réflexe de ténèbres. Perdre un sens pour en sublimer les autres.
Voilà que son nouveau Maître Dragon sortait une nouvelle énormité !
« O-on m’a toujours appris à ne pas, ne pas mentir alors… »
Ce qui ne signifiait pas qu’il était à l’aise avec toutes les vérités.
« Votre bouche chaude me fait d-d-d-des choses. Des choses bi-bien… Mais je ne suis pas sur d’ai-aimer ça. Je crois que c’est m-mal… Han !... On a déjà joué avec m-moi… Des filles très très bien habillées dans des sublimes robes. Elles s-se touchaient entre les j-j-jambes. Je devais les toucher. Mais quand je m’app-pprochais. Elles me donnaient des baffes. Et elles riaient. Et elles m-me pinçaient les tétons forts. Ca f-faisait très m-mal… »
Que faisait son Maître Dragon maintenant ?! Il voulait lui ouvrir les fesses pour exposer à l’air libre son petit trou ?! Kamiye avait bien aperçu rapidement une bosse dans la culotte. Mais la queue caudale, c’était ce membre qui l’effrayait. La façon dont Maître Ashka suçait et faisait des choses d’aspiration avec son zizi l’empêchait de se concentrer. La peur se disputait à l’orgasme en approche. Et puis, peut-être parce qu’il valait mieux « finir » maintenant pour ne pas prolonger la punition et finir avec quelque chose d’épais entre ses petites fesses : il éjacula dans la bouche.
« AH ! Pardon, Maître Dragon ! Pardon-pardon-pardon ! Ce n’est pas quelque chose qu’il faut avaler ! Il faut recracher, Maître Ashka ! »
La détresse avait donné une assurance à sa voix. Aucun bégaiement. Aucune hésitation. Aucune longueur. Une multiplicité d’excuses, certes. Mais un message clair. Et comment nettoyer la bouche d’un Maître ? Il n’en avait aucune idée. Une punition allait lui tomber dessus. Baissant la tête et croisant ses bras derrière son dos : il attendit la sentence.
- Ashka Velaryon
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- Demande de RP
Pendant que je continuais de sucer Kamiye avec tout mon amour, j'entends qu'il me parle de son passé où il y avait des très jolies filles et qui étaient habillées avec de très belles robes. Elle se touchaient le minou et Kamiye devait le leur toucher aussi. Ça aurait pu être vraiment sympa, si elles ne s'étaient pas montrées particulièrement méchantes avec lui. Il disait même qu'elles lui donnaient des baffes, qu'elles se moquaient de lui et même qu'elles le pinçaient. Mais qu'est-ce qu'elles avaient l'air d'être vilaines alors... Je ne comprenais pas comment on pouvait être aussi cruel que ça...
Mais ça ne m'empêche pas de toujours jouer avec le délicieux sexe de mon ami aux très grandes oreilles touffues et que j'étais train de "manger" avec ma gueule de dragon. Puis vient le moment ou ce petit coquin tout adorable jouit à l'intérieur de ma bouche draconique. A cet instant, pendant que je ressens son jus d'amour qui se répandre à l'intérieur de moi, je creuse aussi fort les joues que je le pouvais, tout en caressant bien le son sexe avec ma langue. Régulièrement, j'entendais que ça faisais des bruits d'aspiration vraiment très cochons. Et quand il finit de répandre son délicieux liquide à l'intérieur de moi, je rassemble tout ce somptueux jus d'amour maintenant entreposé dans ma gueule, avant de l'avaler en une seule fois, avec un bruit de déglutition vraiment très coquin.
- *Glups!*... Miam! J'adore! <3
J'ai tellement été content d'avoir fait plaisir à Kamiye en avalant son sperme, que je pars direct en avant pour l'embrasser à pleine bouche, comme tout à l'heure.
- Mon copain tout à moi!
Quand mes mains attrapent ses épaules, je lui relève sa tête baissée avec la main et c'est là que je replonge avec tout plein de fougue, ma langue dans sa délicieuse cavité orale de doux renard, aussi chaude que humide. Nos langues se touchent et roulent ensemble, pendant que ça faisait par moment des "Smack" "Smack", que je connaissais vraiment bien. Et quand je me retire après un loooong baiser à presque vouloir aspirer Kamiye tout en entier, je le regarde. Je tire ensuite ma langue pointue, en même temps qu'un filet de bave nous unit, un peu comme s'unissent des mariés pour la vie entière.
- Haaaaaaaah... Désolé mon petit coupinou, mais j'ai pas pensé à te faire partager ton délicieux sperme. Mais J'ai adoré! D'ailleurs je ne vois vraiment pas pourquoi je n'aurais pas dut l'avaler?
Un peu étonné, c'est tout joyeux que je sautille tout autour de Kamiye, bien content de l'avoir sucé comme je l'ai si bien fais. J'adorais faire plaisir comme ça aux autres, surtout quand ils étaient aussi mignons et gentils comme Kamiye. Et c'est sautillant encore tout autour de mon ami, que je finis par m'arrêter juste derrière-lui, au niveau sa belle et grande queue poilue. Je la regarde avec grand intérêt, avant de vouloir la toucher et la caresser.
- Hooooo... Quelle belle queue tu as là. Dis Kamiye, est-ce que toi aussi tu es sensible quand on te la touche comme ça?
Tout en la caressant de haut en bas, je pince la partie qui devait normalement être la plus sensible, à savoir l'extrémitié. Il fallait avouer que moi aussi ça me rendait parfois presque fou, quand on me faisait ça.
- Qu'est-ce qu'elle est belle et surtout douce. Dommage que la mienne ne soit pas du tout comme la tienne...
C'est presque jaloux, que je la câline avec amour. Et quand je la relâche un peu après l'avoir bien prise et bien caressée, je lui reparle de ce que nous avons fait coquinement ensemble juste avant.
- Dis Kamiye, toi aussi tu aimes jouer avec le zizi de tous tes amis? D'ailleurs, tu sais que j'avale le sperme de tous mes copains?
A ce moment-là, je remets les mains sur les jolies fesses de Kamiye. C'est que s'il s'était vidé, moi pas et j'avais vraiment besoin d'exploser aussi. Ça commençait à devenir vraiment urgent.
- Tu as vraiment des très jolies fesses kamiye. Tu veux que je te mette mon sexe dedans? J'adore faire ça aussi. Hihi!
C'est à la fois très excité et très heureux, que j'attendais sa réponse. Après, s'il voulait me faire la même chose ou même n'importe-quoi d'autre qui lui ferait plaisir, il savait qu'il n'avait qu'à juste me le demander et que Ashka serait là pour le combler, sans aucune retenue. Vraiment aucune.
- Et au fait. Arrête de m'appeler "maître". Je ne suis le maître de personne, pas même de mon Jordy que je considère comme mon ami. Voila maintenant, tu sais tout mon chéri.
C'est en donnant une mignonne claque sur ses fesses, tout en tenant sa belle queue touffue de l'autre main, que j'attendais que Kamiye exprime tous ses désirs les plus grands et les plus fous.
Mais ça ne m'empêche pas de toujours jouer avec le délicieux sexe de mon ami aux très grandes oreilles touffues et que j'étais train de "manger" avec ma gueule de dragon. Puis vient le moment ou ce petit coquin tout adorable jouit à l'intérieur de ma bouche draconique. A cet instant, pendant que je ressens son jus d'amour qui se répandre à l'intérieur de moi, je creuse aussi fort les joues que je le pouvais, tout en caressant bien le son sexe avec ma langue. Régulièrement, j'entendais que ça faisais des bruits d'aspiration vraiment très cochons. Et quand il finit de répandre son délicieux liquide à l'intérieur de moi, je rassemble tout ce somptueux jus d'amour maintenant entreposé dans ma gueule, avant de l'avaler en une seule fois, avec un bruit de déglutition vraiment très coquin.
- *Glups!*... Miam! J'adore! <3
J'ai tellement été content d'avoir fait plaisir à Kamiye en avalant son sperme, que je pars direct en avant pour l'embrasser à pleine bouche, comme tout à l'heure.
- Mon copain tout à moi!
Quand mes mains attrapent ses épaules, je lui relève sa tête baissée avec la main et c'est là que je replonge avec tout plein de fougue, ma langue dans sa délicieuse cavité orale de doux renard, aussi chaude que humide. Nos langues se touchent et roulent ensemble, pendant que ça faisait par moment des "Smack" "Smack", que je connaissais vraiment bien. Et quand je me retire après un loooong baiser à presque vouloir aspirer Kamiye tout en entier, je le regarde. Je tire ensuite ma langue pointue, en même temps qu'un filet de bave nous unit, un peu comme s'unissent des mariés pour la vie entière.
- Haaaaaaaah... Désolé mon petit coupinou, mais j'ai pas pensé à te faire partager ton délicieux sperme. Mais J'ai adoré! D'ailleurs je ne vois vraiment pas pourquoi je n'aurais pas dut l'avaler?
Un peu étonné, c'est tout joyeux que je sautille tout autour de Kamiye, bien content de l'avoir sucé comme je l'ai si bien fais. J'adorais faire plaisir comme ça aux autres, surtout quand ils étaient aussi mignons et gentils comme Kamiye. Et c'est sautillant encore tout autour de mon ami, que je finis par m'arrêter juste derrière-lui, au niveau sa belle et grande queue poilue. Je la regarde avec grand intérêt, avant de vouloir la toucher et la caresser.
- Hooooo... Quelle belle queue tu as là. Dis Kamiye, est-ce que toi aussi tu es sensible quand on te la touche comme ça?
Tout en la caressant de haut en bas, je pince la partie qui devait normalement être la plus sensible, à savoir l'extrémitié. Il fallait avouer que moi aussi ça me rendait parfois presque fou, quand on me faisait ça.
- Qu'est-ce qu'elle est belle et surtout douce. Dommage que la mienne ne soit pas du tout comme la tienne...
C'est presque jaloux, que je la câline avec amour. Et quand je la relâche un peu après l'avoir bien prise et bien caressée, je lui reparle de ce que nous avons fait coquinement ensemble juste avant.
- Dis Kamiye, toi aussi tu aimes jouer avec le zizi de tous tes amis? D'ailleurs, tu sais que j'avale le sperme de tous mes copains?
A ce moment-là, je remets les mains sur les jolies fesses de Kamiye. C'est que s'il s'était vidé, moi pas et j'avais vraiment besoin d'exploser aussi. Ça commençait à devenir vraiment urgent.
- Tu as vraiment des très jolies fesses kamiye. Tu veux que je te mette mon sexe dedans? J'adore faire ça aussi. Hihi!
C'est à la fois très excité et très heureux, que j'attendais sa réponse. Après, s'il voulait me faire la même chose ou même n'importe-quoi d'autre qui lui ferait plaisir, il savait qu'il n'avait qu'à juste me le demander et que Ashka serait là pour le combler, sans aucune retenue. Vraiment aucune.
- Et au fait. Arrête de m'appeler "maître". Je ne suis le maître de personne, pas même de mon Jordy que je considère comme mon ami. Voila maintenant, tu sais tout mon chéri.
C'est en donnant une mignonne claque sur ses fesses, tout en tenant sa belle queue touffue de l'autre main, que j'attendais que Kamiye exprime tous ses désirs les plus grands et les plus fous.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 06 juin 2025 19:04, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
- Messages : 144
- Enregistré le : 14 août 2024 20:08
Mais-maismaismais !? Kamiye était trop embarrassé. Il n’était pas fier de lui. Il avait éjaculé dans la gueule du Dragon. Il avait ensuite eu un mouvement de dégoût en réalisant qu’il ne voulait pas se faire embrasser. Alors, peut-être qu’une partie en lui n’y était pas si farouchement contre, mais sentir encore une fois cette langue autre touchant la sienne alors que cette langue autre devait être souillé de son sperme ?! Mais le baiser dure. Et Maître Ashka sait y faire. Ce n’est pas seulement de la soumission. Ou de la fatigue. Il y a un réel talent qui fait que Kamiye suit le mouvement jusqu’à… la fin du baiser. Et cette bave qui les relie tous deux. C’est si sale et si intime. Perdu dans ce qu’il vit, les questions s’accumulent et son silence ne semble pas stopper le moulin à paroles draconique.
Il respire vite. Il a chaud. Et malgré le fait qu’il ait été trait comme une vache, force est de constater que son membre reste dur.
« Je…ma queue est sensible. Enfin, celle de derrière. Enfin, ça va quand même. C’est surtout mes grandes oreilles qui-qui le sont. Et cette zone au milieu des deux. Si on me caresser à cet endroit, je d-deviens tout mou. Un peu comme une ch-chatte qui ronronne… »
Et ça, c’était la partie la plus facile à répondre. Parce que la douleur cuisante dans la peau de sa fesse ? Ça augure un traitement d’un tout autre calibre. Sa petite poitrine émaciée se met à haleter un peu plus fort. La peau est tendue contre ses os. Pauvre petit renard qui mériterait d’être bien nourri pour être remplumé.
Maître Dragon est toujours dans son dos. Il lui a encore répété de ne pas lui donner du « Maître » mais c’est impossible pour Kamiye. Il est un être inférieur. N’importe quel enfant sait qu’un renard est un animal faible face à un dragon. N’importe qui sait qu’un esclave ne vaut rien face à un guerrier qui combat dans une armure d’or. Alors ? Alors il n’a pas fini de donner du « Maître » à Ashka.
« Je ne suis pas une f-fille. Je veux dire, mettre votre sexe entre mes fesses ne me rendra pas enceint-t-te. Alors… »
Mais il n’ose pas refuser. Il a volé. Et jusqu’à maintenant, si ce n’est beaucoup de bisous et couvrir son corps de salive : la punition est largement acceptable. Bien qu’il ne comprenne toujours pas pourquoi il soit considéré comme l’ami du Maître Dragon. De toute façon, Kamiye ne veut pas d’un ami. Tous ceux qu’il a cru avoir jusqu’à maintenant l’ont toujours trahi dans son dos tôt ou tard…
« Si Maître Dragon a beaucoup d’amis, peut-être qu’il d-devrait aller les voir eux ? Il doit y avoir des amies filles qui seront surement ravi de pouvoir avoir un ventre tout-tout rond. Et…mais…Maître Ashka a dit qu’il aimait avaler le sp-, enfin la, euh, chose de tous ses amis. Ca veut dire que vous n’aimez pas les filles ? »
Avec un peu de chance, Kamiye allait s’en tirer avec seulement quelques fessées. Ses yeux descendirent encore une fois à son sexe dur. Ce n’était pas un phénomène normal pour lui. Puis ses yeux retournèrent à la robe correctement pliée un peu plus loin. Il pensa qu’il aimerait l’essayer. Il se demanda aussi pourquoi son nouveau Maître qui semblait préférer les garçons s’habillait en fille. Mais il n’osa pas lui pose la question. Parce qu’en la posant, il pourrait aimer la réponse. Un garçons-fille qui aimait le garçon qu’il était et qui n’avait pas honte de s’habiller en fille. Kamiye devait s’avouer que ça le mettait dans un sacré état de tête et de corps !
Il respire vite. Il a chaud. Et malgré le fait qu’il ait été trait comme une vache, force est de constater que son membre reste dur.
« Je…ma queue est sensible. Enfin, celle de derrière. Enfin, ça va quand même. C’est surtout mes grandes oreilles qui-qui le sont. Et cette zone au milieu des deux. Si on me caresser à cet endroit, je d-deviens tout mou. Un peu comme une ch-chatte qui ronronne… »
Et ça, c’était la partie la plus facile à répondre. Parce que la douleur cuisante dans la peau de sa fesse ? Ça augure un traitement d’un tout autre calibre. Sa petite poitrine émaciée se met à haleter un peu plus fort. La peau est tendue contre ses os. Pauvre petit renard qui mériterait d’être bien nourri pour être remplumé.
Maître Dragon est toujours dans son dos. Il lui a encore répété de ne pas lui donner du « Maître » mais c’est impossible pour Kamiye. Il est un être inférieur. N’importe quel enfant sait qu’un renard est un animal faible face à un dragon. N’importe qui sait qu’un esclave ne vaut rien face à un guerrier qui combat dans une armure d’or. Alors ? Alors il n’a pas fini de donner du « Maître » à Ashka.
« Je ne suis pas une f-fille. Je veux dire, mettre votre sexe entre mes fesses ne me rendra pas enceint-t-te. Alors… »
Mais il n’ose pas refuser. Il a volé. Et jusqu’à maintenant, si ce n’est beaucoup de bisous et couvrir son corps de salive : la punition est largement acceptable. Bien qu’il ne comprenne toujours pas pourquoi il soit considéré comme l’ami du Maître Dragon. De toute façon, Kamiye ne veut pas d’un ami. Tous ceux qu’il a cru avoir jusqu’à maintenant l’ont toujours trahi dans son dos tôt ou tard…
« Si Maître Dragon a beaucoup d’amis, peut-être qu’il d-devrait aller les voir eux ? Il doit y avoir des amies filles qui seront surement ravi de pouvoir avoir un ventre tout-tout rond. Et…mais…Maître Ashka a dit qu’il aimait avaler le sp-, enfin la, euh, chose de tous ses amis. Ca veut dire que vous n’aimez pas les filles ? »
Avec un peu de chance, Kamiye allait s’en tirer avec seulement quelques fessées. Ses yeux descendirent encore une fois à son sexe dur. Ce n’était pas un phénomène normal pour lui. Puis ses yeux retournèrent à la robe correctement pliée un peu plus loin. Il pensa qu’il aimerait l’essayer. Il se demanda aussi pourquoi son nouveau Maître qui semblait préférer les garçons s’habillait en fille. Mais il n’osa pas lui pose la question. Parce qu’en la posant, il pourrait aimer la réponse. Un garçons-fille qui aimait le garçon qu’il était et qui n’avait pas honte de s’habiller en fille. Kamiye devait s’avouer que ça le mettait dans un sacré état de tête et de corps !
- Ashka Velaryon
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- Demande de RP
- Mais oui. Tes oreilles aussi, elles en veulent. <3
Quand Kamiye les mentionne, je les touche et je les caresse un instant, tout en continuant de l'écouter. Je m'arrête de les toucher, quand il me dit que je ne pourrais pas le mettre enceinte. Je trouvais ça tellement drôle, que ça me faisait rigoler.
- Quand même, Kamiye. Je sais depuis longtemps qu'un garçon ne peut pas mettre enceinte un autre garçon. Si ça se faisait, je ne sais vraiment pas combien d’œufs j'aurai déjà pondu avant. Hihihi.
Je glousse et c'est là que je recaresse sa queue et que nous continuons de parler. Pendant que j'attends qu'il me dise comment il voulait jouer avec avec ma queue lubrique draconienne encore cachée sous ma culotte, Kamiye me demande pourquoi je ne vais pas simplement voir tous mes amis, pour faire amoureusement ce qu'on est déjà en train de faire ensemble. Il parle ensuite de mes amies filles, en me disant que je pourrais leur faire un ventre tout beau et tout rond, avant de me demander après si aimer avaler le sperme des garçons, ça voulait donc dire que je n'aimais pas les filles.
- Hihihi. Tu es vraiment rigolo Kamiye. Mais tu poses des questions assez bizarres, tu sais?
Je caresse et j'embrasse encore affectueusement sa belle grosse queue toute pleine de poils, avant de lui révéler tous mes petits secrets sur tous mes amis.
- Mais aimer le sperme et les zizis comme le tiens, ça ne veut pas dire que je n'aime pas les filles. J'ai même plein de copines et on a déjà fait plein de choses ensemble. Après, je ne crois pas qu'elles soient tombées enceintes de moi, sinon je le saurais. Enfin euh... je crois?...
C'est en serrant bien fort la queue de Kamiye, que je réfléchis à ça, avant de continuer.
- Hmmmmm... Je ne me souviens vraiment pas que l'une de mes copines m'ait dit qu'elle ait déjà été enceinte de moi. Après tu imagines le truc, si je serai vraiment papa? Ça pourrait être marrant non?
Marrant oui, mais ça voudrait dire qu'il faudrait aussi que je revienne chez moi et ça, je n'en avais vraiment pas envie. Peut-être que je rentrerais un jour, mais je ne sais vraiment pas quand...
- Bon allez petit vilain. J'ai joué avec toi en te faisant du bien, maintenant c'est à toi de me faire pareil, parce que j'ai vraiment très très envie de le faire avec toi.
Comme Kamiye semblait ne pas trop vouloir se décider, je retire d'abord ma culotte qui glisse le long de mes cuisses, puis de mes mollets avant de finir à mes pieds. Quand je l'ai retiré et que je suis tout nu, je m'accroupis derrière son joli petit cul pour lui retirer complètement son tissu tout sale et qui était resté abaissé au milieu de ses jambes.
- Viens là mon petit chéri. Toi aussi tu dois enlever ça. En plus, c'est vraiment pas beau et tout sale.
Quand je lui ai retiré sa propre culotte, j'écarte ses mignonne petites fesse, léchant avec ma langue pointue son petit trou qui se trouvait juste au milieu. Utilisant celle-ci pour essayer de la rentrer dedans, je gigote en y faisant des petits mouvement rapides et fluides. Après quelques instants à le titiller, je me colle complètement dessus pour lécher très fort le petit derrière de mon ami renard. Pendant que j'écarte ses mignonnes petites fesses toutes roses, je l'embrasse. Je pose plein de bisous dessus, autant sur le petit trou lui-même, que sur son petit cul. Ça faisait encore "Smack" "Smack" un peu partout.
- Je vais préparer ton joli petit derrière avec plein d'amour, mon adorable petit Kamiye.
De temps en temps je mordille ses fesses, de plus en plus excité à l'idée de m'enfoncer à l'intérieur de lui. Bien que j'utilisais parfois les dents, je faisais toujours attention à ne jamais lui faire mal. C'est que je ne voulais pas que mon tout nouvel ami tout doux se mette à crier.
Quand Kamiye les mentionne, je les touche et je les caresse un instant, tout en continuant de l'écouter. Je m'arrête de les toucher, quand il me dit que je ne pourrais pas le mettre enceinte. Je trouvais ça tellement drôle, que ça me faisait rigoler.
- Quand même, Kamiye. Je sais depuis longtemps qu'un garçon ne peut pas mettre enceinte un autre garçon. Si ça se faisait, je ne sais vraiment pas combien d’œufs j'aurai déjà pondu avant. Hihihi.
Je glousse et c'est là que je recaresse sa queue et que nous continuons de parler. Pendant que j'attends qu'il me dise comment il voulait jouer avec avec ma queue lubrique draconienne encore cachée sous ma culotte, Kamiye me demande pourquoi je ne vais pas simplement voir tous mes amis, pour faire amoureusement ce qu'on est déjà en train de faire ensemble. Il parle ensuite de mes amies filles, en me disant que je pourrais leur faire un ventre tout beau et tout rond, avant de me demander après si aimer avaler le sperme des garçons, ça voulait donc dire que je n'aimais pas les filles.
- Hihihi. Tu es vraiment rigolo Kamiye. Mais tu poses des questions assez bizarres, tu sais?
Je caresse et j'embrasse encore affectueusement sa belle grosse queue toute pleine de poils, avant de lui révéler tous mes petits secrets sur tous mes amis.
- Mais aimer le sperme et les zizis comme le tiens, ça ne veut pas dire que je n'aime pas les filles. J'ai même plein de copines et on a déjà fait plein de choses ensemble. Après, je ne crois pas qu'elles soient tombées enceintes de moi, sinon je le saurais. Enfin euh... je crois?...
C'est en serrant bien fort la queue de Kamiye, que je réfléchis à ça, avant de continuer.
- Hmmmmm... Je ne me souviens vraiment pas que l'une de mes copines m'ait dit qu'elle ait déjà été enceinte de moi. Après tu imagines le truc, si je serai vraiment papa? Ça pourrait être marrant non?
Marrant oui, mais ça voudrait dire qu'il faudrait aussi que je revienne chez moi et ça, je n'en avais vraiment pas envie. Peut-être que je rentrerais un jour, mais je ne sais vraiment pas quand...
- Bon allez petit vilain. J'ai joué avec toi en te faisant du bien, maintenant c'est à toi de me faire pareil, parce que j'ai vraiment très très envie de le faire avec toi.
Comme Kamiye semblait ne pas trop vouloir se décider, je retire d'abord ma culotte qui glisse le long de mes cuisses, puis de mes mollets avant de finir à mes pieds. Quand je l'ai retiré et que je suis tout nu, je m'accroupis derrière son joli petit cul pour lui retirer complètement son tissu tout sale et qui était resté abaissé au milieu de ses jambes.
- Viens là mon petit chéri. Toi aussi tu dois enlever ça. En plus, c'est vraiment pas beau et tout sale.
Quand je lui ai retiré sa propre culotte, j'écarte ses mignonne petites fesse, léchant avec ma langue pointue son petit trou qui se trouvait juste au milieu. Utilisant celle-ci pour essayer de la rentrer dedans, je gigote en y faisant des petits mouvement rapides et fluides. Après quelques instants à le titiller, je me colle complètement dessus pour lécher très fort le petit derrière de mon ami renard. Pendant que j'écarte ses mignonnes petites fesses toutes roses, je l'embrasse. Je pose plein de bisous dessus, autant sur le petit trou lui-même, que sur son petit cul. Ça faisait encore "Smack" "Smack" un peu partout.
- Je vais préparer ton joli petit derrière avec plein d'amour, mon adorable petit Kamiye.
De temps en temps je mordille ses fesses, de plus en plus excité à l'idée de m'enfoncer à l'intérieur de lui. Bien que j'utilisais parfois les dents, je faisais toujours attention à ne jamais lui faire mal. C'est que je ne voulais pas que mon tout nouvel ami tout doux se mette à crier.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 09 juin 2025 16:52, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
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C’est la normale pour Ashka. Mais pour Kamiye, c’est une sorte de petite révolution dans sa tête à l’idée que son nouveau Maître pond des œufs. Bon, peut-être pas lui, comprend-il. Mais une femelle Dragon. Ou une sœur au Maître ? Dans le fond, il ne sait à quel point la famille du Maître Dragon est grande ou non. Avant cette rencontre, il avait cette image d’une immense créature à quatre pattes, dans une grotte sombre, faisant de longs sommeils sur des tas de pièces d’or froide. Il sourit rapidement. Parce qu’en pensant à cette image, il avait un jour aperçu un chat faisant une sieste sur un muret. Et il s’était dit que les Dragons devaient dormir aussi longtemps que des chats à la recherche d’un rayon de soleil pour se mettre bien.
Voilà que son nouveau Maître évoque le fait de mettre enceinte des femmes. Kamiye ne comprend pas comment apporter une nouvelle vie sur un monde si compliqué pourrait être qualifié de marrant. Si un enfant doit être une source de joie, Kamiye imagine également à quel point ce doit être des contraintes, de la fatigue et tant d’autres choses. Pour avoir croisé des bébés en train de pleurer ou faire leurs besoins sans contrôle : marrant n’est pas le mot qui lui vient à la tête. Mais voilà déjà que le Maître Dragon est impatient ! Sa culotte quitte ses hanches et il se retrouve tout nu.
« AaHh ! Je-je… »
C’est très bizarre d’avoir une langue dans son petit trou.
« Il-il ne faut paaas, Maître Dragon ! Ça doit être tout sale là en b-bas !? »
Même si c’est son nouveau Maître qui a tous les droits sur lui parce qu’il est un petit voleur, Kamiye se doit d’être un bon esclave. Un esclave sale n’est pas un bon esclave quand il s’agit de devoir subir ce genre de tâches.
« Je-j-je CROIS que- AaHh ! Je crois qu’il faut mettre plein d’eau dans mes fesses. Je crois que…je c-crois qu’il faut les laver. Pas mes fesses. Le trou dans mes, mes…mes fesses… »
Il avait déjà assisté à ça une fois. Un esclave tout nu qui devait être utilisé par un gros ami d’un Maître. Il avait un tout petit zizi et aimait passer entre les fesses. Particulièrement les esclaves adultes qui donnaient l’impression d’être des enfants ou des filles. Heureusement pour Kamiye, il n’avait pas été choisi. Enfin, pas cette fois-là. Mais il se souvient d’avoir apporté un tuyau et de l’eau. Et il se souvient aussi qu’une de ces méchantes filles avec une robe exceptionnelle s’était un jour amusé à mettre de l’eau dans ses fesses. Ça faisait une sorte de filet d’eau qu’il devait recracher en étant accroupi…
*Je peux peut-être éviter ça. Si mon Maître crache dans ma bouche, ce sera plus facile. Alors… *
« Je p-peux faire pareil que VOUS ! Je veux dire, je peux mettre votre zizi dans ma b-b-bouche… »
*Je n’ai pas eu le temps de voir. Est-ce que c’est gros ? Est-ce que ça fait peur parce que c’en est un d’un dragon ? J’espère que non… Je ne veux pas qu’il me blesse dans la bouche… *
Voilà que son nouveau Maître évoque le fait de mettre enceinte des femmes. Kamiye ne comprend pas comment apporter une nouvelle vie sur un monde si compliqué pourrait être qualifié de marrant. Si un enfant doit être une source de joie, Kamiye imagine également à quel point ce doit être des contraintes, de la fatigue et tant d’autres choses. Pour avoir croisé des bébés en train de pleurer ou faire leurs besoins sans contrôle : marrant n’est pas le mot qui lui vient à la tête. Mais voilà déjà que le Maître Dragon est impatient ! Sa culotte quitte ses hanches et il se retrouve tout nu.
« AaHh ! Je-je… »
C’est très bizarre d’avoir une langue dans son petit trou.
« Il-il ne faut paaas, Maître Dragon ! Ça doit être tout sale là en b-bas !? »
Même si c’est son nouveau Maître qui a tous les droits sur lui parce qu’il est un petit voleur, Kamiye se doit d’être un bon esclave. Un esclave sale n’est pas un bon esclave quand il s’agit de devoir subir ce genre de tâches.
« Je-j-je CROIS que- AaHh ! Je crois qu’il faut mettre plein d’eau dans mes fesses. Je crois que…je c-crois qu’il faut les laver. Pas mes fesses. Le trou dans mes, mes…mes fesses… »
Il avait déjà assisté à ça une fois. Un esclave tout nu qui devait être utilisé par un gros ami d’un Maître. Il avait un tout petit zizi et aimait passer entre les fesses. Particulièrement les esclaves adultes qui donnaient l’impression d’être des enfants ou des filles. Heureusement pour Kamiye, il n’avait pas été choisi. Enfin, pas cette fois-là. Mais il se souvient d’avoir apporté un tuyau et de l’eau. Et il se souvient aussi qu’une de ces méchantes filles avec une robe exceptionnelle s’était un jour amusé à mettre de l’eau dans ses fesses. Ça faisait une sorte de filet d’eau qu’il devait recracher en étant accroupi…
*Je peux peut-être éviter ça. Si mon Maître crache dans ma bouche, ce sera plus facile. Alors… *
« Je p-peux faire pareil que VOUS ! Je veux dire, je peux mettre votre zizi dans ma b-b-bouche… »
*Je n’ai pas eu le temps de voir. Est-ce que c’est gros ? Est-ce que ça fait peur parce que c’en est un d’un dragon ? J’espère que non… Je ne veux pas qu’il me blesse dans la bouche… *
- Ashka Velaryon
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- Demande de RP
- Miam! <3 Miam! >3 Miam! <3
Je continue de me régaler de lui lécher son petit trou tout en utilisant ma grande langue pointue pour bien passer dessus et essayer de la faire rentrer à l'intérieur. Entre parfois quitter son adorable petit anus tout chaud pour cajoler ses mignonnes petites fesses qui n'étaient vraiment pas bien grosses du tout. Les mordiller avec douceur et attention tout en utilisant mes dents pointues, j'entends Kamiye qui me dit que ses fesses étaient sales. Surtout son derrière qu'il fallait laver avec plein d'eau. Je m'arrête quand il me dit qu'il avait lui aussi envie de mettre mon zizi dans sa bouche. J'ai un grand sourire quand je l'entends dire ça.
- Ah? Tu as changé d'avis Kamichou? Mais tu sais, pour ce qui est de tes fesses toutes sales si tu veux, je peux te les laver? Regarde.
Je me concentre pour utiliser la magie de l'eau. Mais au lieu de m'en servir avec mes mains, je la crache avec ma gueule, comme certains dragons font avec le feu.
- Pouvoir de l'eau. Pffffffffffffft...
Après avoir bien écarté ses petites fesses et m'être collé contre le derrière de Kamiye, c'est là que je fais jaillir l'eau. Comme j'avais utilisé ma langue souple et pointue juste avant, l'intérieur s'était un peu écarté, ce qui était plus facile pour la faire rentrer bien dedans. Avec la gueule collé contre son adorable petit trou du cul tout "sale", je souffle encore plus fort, que qui fait jaillir encore plus d'eau. Bien qu'une grande partie me coulait en plein dessus et tout autour, je sentais que plus je lui en envoyais, moins ça résistait au fond.
- Pffffffft! Pffffft! C'est marrant non? En plus, c'est un jeu que je faisais avec certains de mes amis à moi et qui savent aussi utiliser la magie de l'eau. Non parce qu'avec le feu, je risquerais surtout de brûler complètement tes mignonnes petites fesses qui finiront toutes cramées après.
Je recommence encore une fois, essayant de bien faire pénétrer l'eau tout au fond. Quand je pensais que c'était bien tout propre comme il fallait, j'arrête de faire la fontaine à eau magique. Je me relève et je passe la main sur ses fesses trempées pour me placer tout nu, juste devant mon ami Kamiye, avec mon sexe de dragon tout dur et aussi gris que l'était ma peau.
- Voila. Ton derrière que tu trouvais sale, il est maintenant tout beau et tout propre grâce à moi. C'est chouette non?
Je touche le visage de mon adorable ami tout plein, avant de l'embrasser encore une fois, bouche contre bouche et langue contre langue. Quand j'arrête de l'embrasser, je regarde ma tige, avec les mains sur les hanches. Elle était peut-être pas très grosse, mais j'ai toujours trouvé qu'elle était plus jolie que celle des humains en comparaison, malgré qu'elle soit un peu plus petite que la leur.
- D'accord. Si tu préfères me sucer, alors vas-y mon copinou. Montre-moi comment les renards comme toi avec les queues et les oreilles toutes douces, ils font pour sucer tous leurs amis.
Je continue de me régaler de lui lécher son petit trou tout en utilisant ma grande langue pointue pour bien passer dessus et essayer de la faire rentrer à l'intérieur. Entre parfois quitter son adorable petit anus tout chaud pour cajoler ses mignonnes petites fesses qui n'étaient vraiment pas bien grosses du tout. Les mordiller avec douceur et attention tout en utilisant mes dents pointues, j'entends Kamiye qui me dit que ses fesses étaient sales. Surtout son derrière qu'il fallait laver avec plein d'eau. Je m'arrête quand il me dit qu'il avait lui aussi envie de mettre mon zizi dans sa bouche. J'ai un grand sourire quand je l'entends dire ça.
- Ah? Tu as changé d'avis Kamichou? Mais tu sais, pour ce qui est de tes fesses toutes sales si tu veux, je peux te les laver? Regarde.
Je me concentre pour utiliser la magie de l'eau. Mais au lieu de m'en servir avec mes mains, je la crache avec ma gueule, comme certains dragons font avec le feu.
- Pouvoir de l'eau. Pffffffffffffft...
Après avoir bien écarté ses petites fesses et m'être collé contre le derrière de Kamiye, c'est là que je fais jaillir l'eau. Comme j'avais utilisé ma langue souple et pointue juste avant, l'intérieur s'était un peu écarté, ce qui était plus facile pour la faire rentrer bien dedans. Avec la gueule collé contre son adorable petit trou du cul tout "sale", je souffle encore plus fort, que qui fait jaillir encore plus d'eau. Bien qu'une grande partie me coulait en plein dessus et tout autour, je sentais que plus je lui en envoyais, moins ça résistait au fond.
- Pffffffft! Pffffft! C'est marrant non? En plus, c'est un jeu que je faisais avec certains de mes amis à moi et qui savent aussi utiliser la magie de l'eau. Non parce qu'avec le feu, je risquerais surtout de brûler complètement tes mignonnes petites fesses qui finiront toutes cramées après.
Je recommence encore une fois, essayant de bien faire pénétrer l'eau tout au fond. Quand je pensais que c'était bien tout propre comme il fallait, j'arrête de faire la fontaine à eau magique. Je me relève et je passe la main sur ses fesses trempées pour me placer tout nu, juste devant mon ami Kamiye, avec mon sexe de dragon tout dur et aussi gris que l'était ma peau.
- Voila. Ton derrière que tu trouvais sale, il est maintenant tout beau et tout propre grâce à moi. C'est chouette non?
Je touche le visage de mon adorable ami tout plein, avant de l'embrasser encore une fois, bouche contre bouche et langue contre langue. Quand j'arrête de l'embrasser, je regarde ma tige, avec les mains sur les hanches. Elle était peut-être pas très grosse, mais j'ai toujours trouvé qu'elle était plus jolie que celle des humains en comparaison, malgré qu'elle soit un peu plus petite que la leur.
- D'accord. Si tu préfères me sucer, alors vas-y mon copinou. Montre-moi comment les renards comme toi avec les queues et les oreilles toutes douces, ils font pour sucer tous leurs amis.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 12 juin 2025 17:28, modifié 3 fois.
- Kamiye Goupile
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Kamiye ne comprend pas. Kamichou ? Ca semble mignon. Ca lui apparait mignon. Mais est-ce que ce ne serait pas trop personnel pour une relation Maître/esclave ? Ca le perturbe. Mais beaucoup moins que ce jet d’eau qui sort de nulle part !? Enfin, pas vraiment de nulle part. Alors qu’il plaque ses mains sur sa bouche (sèche) pour empêcher le reste du cri. Car il n’a pas pu empêcher ce petit cri mignon de s’échapper de ses lèvres déjà de nombreuses fois embrassées. Maintenant, il se dit que l’eau sort de la gueule du Maître Dragon. Mais il y en a tellement que ça le perturbe. Et puis il ne sait pas trop ce que ça lui fait. Ca le remplit. Et ça le fait se sentir bizarre. Et il sent l’eau qui ne veut pas rester en lui. Et qui coule contre sa cuisse. Et puis ça n’est pas désagréable. Et puis-et puis-et puis…
Maître Ashka parle. Au lieu d’évoquer un lavement, il parle d’un jeu. La main de Kamiye se pose sur son ventre. Et s’il avait gonflé ? L’idée lui fait peur. Mais pas autant que la perspective d’avoir le Maître Dragon cracher du feu-flammes directement dans son petit trou !!! La réaction est immédiate. C’est un GEYSER d’eau qui est expulsé de sa paire de petites fesses. En plein contre son nouveau Maître qui…
…recommence à coller sa gueule contre ses fesses et de nouveau le remplir de l’intérieur. Kamiye aurait voulu s’excuser. Mais il n’en a pas eu le temps. Ses mains à nouveaux plaquées pour contenir les sons qui… obscènes ? …trahiraient un certain plaisir au « jeu » ? Kamiye ne veut pas se retrouver face à face avec lui-même et les choses qui pourraient être plaisantes. Et voilà que ses yeux se baissent dans une petite flaque d’eau qu’il a produite LUI ! Il se voit. Mais il ne veut pas faire son Narcisse. Alors il relève les yeux. Et il y a son Maître Dragon. Un baiser l’empêche de le voir tout nu.
OUF ! Ce n’est pas une queue monstrueuse de dragon effrayante qui lui aurait fait du mal ! Il est tellement soulagé qu’il relâche son contrôle sur ses sphincters et laisse à nouveau un jet d’eau abreuver le sol. Mieux pour Ashka qui reçoit un sourire de son nouvel amant-ami.
*Si je fais ça rapide, et qu’il met tout dans ma bouche, il laissera mes fesses tranquille. C’est le mieux que je puisse espérer. *
« Je n-ne sais pas comment font les autres hy-hybrides. Je vais faire ce que je peux pour vous, Maître Ashka. »
Kamiye se retrouve à genou. Et à nouveau c’est du soulagement. Ce zizi en face de lui, il y a presque quelque chose de mignon. Il ne lui fait pas peur. Attention, il ne dit pas qu’il veut l’accueillir entre ses petites fesses. Mais l’idée est déjà beaucoup plus supportable que quand il imaginait le pire. Alors, pour le moment, il tire fébrilement sa langue et vient laper le bout de la tige grise. Comme un petit animal qui boit.
*Ca ne va pas suffire. Tu sais que ça ne va pas suffire. *
« Je v-vais essayer. N’hési-sitez pas à vous libérer dans ma bouche. »
Fermant les yeux comme s’il s’apprête à manger un aliment qu’il n’aime pas, ses lèvres frolent le zizi du Maître Dragon alors qu’il avance pour finalement se refermer sur le vit. Le zizi est dans sa bouche chaude ! Est-ce qu’il peut faire quelque chose avec sa langue ? Est-ce qu’il DOIT faire quelque chsoe avec sa langue ? Avec maladresse, il essaie de faire des mouvements d’aller-retour. Et puis il pense aussi à utiliser sa grosse queue touffue douce pour venir caresser l’intérieur des jambes du Maître Dragon. Des jambes sèches qui ne perlent pas de gouttes d’eau comme les siennes.
Maître Ashka parle. Au lieu d’évoquer un lavement, il parle d’un jeu. La main de Kamiye se pose sur son ventre. Et s’il avait gonflé ? L’idée lui fait peur. Mais pas autant que la perspective d’avoir le Maître Dragon cracher du feu-flammes directement dans son petit trou !!! La réaction est immédiate. C’est un GEYSER d’eau qui est expulsé de sa paire de petites fesses. En plein contre son nouveau Maître qui…
…recommence à coller sa gueule contre ses fesses et de nouveau le remplir de l’intérieur. Kamiye aurait voulu s’excuser. Mais il n’en a pas eu le temps. Ses mains à nouveaux plaquées pour contenir les sons qui… obscènes ? …trahiraient un certain plaisir au « jeu » ? Kamiye ne veut pas se retrouver face à face avec lui-même et les choses qui pourraient être plaisantes. Et voilà que ses yeux se baissent dans une petite flaque d’eau qu’il a produite LUI ! Il se voit. Mais il ne veut pas faire son Narcisse. Alors il relève les yeux. Et il y a son Maître Dragon. Un baiser l’empêche de le voir tout nu.
OUF ! Ce n’est pas une queue monstrueuse de dragon effrayante qui lui aurait fait du mal ! Il est tellement soulagé qu’il relâche son contrôle sur ses sphincters et laisse à nouveau un jet d’eau abreuver le sol. Mieux pour Ashka qui reçoit un sourire de son nouvel amant-ami.
*Si je fais ça rapide, et qu’il met tout dans ma bouche, il laissera mes fesses tranquille. C’est le mieux que je puisse espérer. *
« Je n-ne sais pas comment font les autres hy-hybrides. Je vais faire ce que je peux pour vous, Maître Ashka. »
Kamiye se retrouve à genou. Et à nouveau c’est du soulagement. Ce zizi en face de lui, il y a presque quelque chose de mignon. Il ne lui fait pas peur. Attention, il ne dit pas qu’il veut l’accueillir entre ses petites fesses. Mais l’idée est déjà beaucoup plus supportable que quand il imaginait le pire. Alors, pour le moment, il tire fébrilement sa langue et vient laper le bout de la tige grise. Comme un petit animal qui boit.
*Ca ne va pas suffire. Tu sais que ça ne va pas suffire. *
« Je v-vais essayer. N’hési-sitez pas à vous libérer dans ma bouche. »
Fermant les yeux comme s’il s’apprête à manger un aliment qu’il n’aime pas, ses lèvres frolent le zizi du Maître Dragon alors qu’il avance pour finalement se refermer sur le vit. Le zizi est dans sa bouche chaude ! Est-ce qu’il peut faire quelque chose avec sa langue ? Est-ce qu’il DOIT faire quelque chsoe avec sa langue ? Avec maladresse, il essaie de faire des mouvements d’aller-retour. Et puis il pense aussi à utiliser sa grosse queue touffue douce pour venir caresser l’intérieur des jambes du Maître Dragon. Des jambes sèches qui ne perlent pas de gouttes d’eau comme les siennes.
- Ashka Velaryon
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- Demande de RP
- Haaaaaa... Oui! Oui! Oui! Ouiiii!...
Je me laisse aller avec tout plein d'amour pour celui que j'aime déjà tellement très fort, quand Kamiye met le bout mon de mon zizi tout chaud dans sa bouche et qu'il commence après à faire des vas et viens dessus, avec sa trop belle tête de renard aux oreilles toutes poilues. J'avais un peu rigolé, quand il a d'abord regardé mon petit manche tout dur, avant de donner un coup de câlin dessus. Enfin, un coup de langue. Avec les mains toujours sur les hanches, je gémis encore plus fort quand il passe sa grosse queue touffue.
- Hooooo... La belle queue... Celle-là aussi, je l'aime vraiment beaucoup!
Je me tire un peu en arrière pour sentir mon zizi tout dur se faire "manger" par mon ami tout doux, tout en ressentant en même temps sa trop jolie queue pleine de douceur qui est en train de me caresser l'intérieur des jambes. C'était tellement bon d'être aimer et d'être cajolé comme ça, que j'en rougissais et en souriais tout plein. En plus d'être un grand ami à aimer pour la vie entière, Kamiye était vraiment super doué. Alors, pendant que mon zizi se fait câliner et attraper d'avant en arrière avec sa bouche, je prends sa queue dans les mains quand elle passe tout prêt de mon ventrou. Quand je regarde le bout de celle-ci qui bouge tout en la serrant très fort contre moi, je mets le bout sur mes tétons pour ressentir toute sa douceur dessus. La pointe de sa belle queue me faisait avoir les tétons tous durs, tellement c'était trop bon. Et en plus de me faire du bien comme ça, ma queue commençait à se presser déjà très fort dans sa bouche.
- Ho oui Kamiye! Continue encore! Continue de jouer avec mon zizi, pendant que je joue avec le bout de ta queue tellement trop belle!
Tout en sentant ma queue, celle qui était entre les jambes se faire toujours câliner très fort, je mets déplace la pointe de sa queue de renard pour la mettre en plein sur mon nombril. Quand elle bouge dedans, ça me faisait presque jouir!
- Haaaaaa! Kamiiiiye! C'est trop bon! Ta queue et ta bouche, ça me rend tout tout fou tout plein!
Mes cuisses commençaient à trembler toutes seules, tellement c'était bon de sentir l'amour débordant de mon gentil copain tout mignon. Mais j'en voulais encore. Je voulais qu'il continue de me faire du bien avec tout ça.
- Haaaa! Kamiye! Encore!... Encore!... Ça me fait du bien tout partout!...
Ashka en plein extase devant toute cette tendresse débordante, devient de plus en plus sensible à face aux attentions multiples de son ami le renard aux grandes oreilles. A chaque parcelle où il se fait caresser avec tendresse, le fait onduler et fondre à travers un vertige décuplé de sensations et de sensibilité à l'expression intense. La queue de Kamiye finit d'ailleurs par lui échapper des mains.
Je me laisse aller avec tout plein d'amour pour celui que j'aime déjà tellement très fort, quand Kamiye met le bout mon de mon zizi tout chaud dans sa bouche et qu'il commence après à faire des vas et viens dessus, avec sa trop belle tête de renard aux oreilles toutes poilues. J'avais un peu rigolé, quand il a d'abord regardé mon petit manche tout dur, avant de donner un coup de câlin dessus. Enfin, un coup de langue. Avec les mains toujours sur les hanches, je gémis encore plus fort quand il passe sa grosse queue touffue.
- Hooooo... La belle queue... Celle-là aussi, je l'aime vraiment beaucoup!
Je me tire un peu en arrière pour sentir mon zizi tout dur se faire "manger" par mon ami tout doux, tout en ressentant en même temps sa trop jolie queue pleine de douceur qui est en train de me caresser l'intérieur des jambes. C'était tellement bon d'être aimer et d'être cajolé comme ça, que j'en rougissais et en souriais tout plein. En plus d'être un grand ami à aimer pour la vie entière, Kamiye était vraiment super doué. Alors, pendant que mon zizi se fait câliner et attraper d'avant en arrière avec sa bouche, je prends sa queue dans les mains quand elle passe tout prêt de mon ventrou. Quand je regarde le bout de celle-ci qui bouge tout en la serrant très fort contre moi, je mets le bout sur mes tétons pour ressentir toute sa douceur dessus. La pointe de sa belle queue me faisait avoir les tétons tous durs, tellement c'était trop bon. Et en plus de me faire du bien comme ça, ma queue commençait à se presser déjà très fort dans sa bouche.
- Ho oui Kamiye! Continue encore! Continue de jouer avec mon zizi, pendant que je joue avec le bout de ta queue tellement trop belle!
Tout en sentant ma queue, celle qui était entre les jambes se faire toujours câliner très fort, je mets déplace la pointe de sa queue de renard pour la mettre en plein sur mon nombril. Quand elle bouge dedans, ça me faisait presque jouir!
- Haaaaaa! Kamiiiiye! C'est trop bon! Ta queue et ta bouche, ça me rend tout tout fou tout plein!
Mes cuisses commençaient à trembler toutes seules, tellement c'était bon de sentir l'amour débordant de mon gentil copain tout mignon. Mais j'en voulais encore. Je voulais qu'il continue de me faire du bien avec tout ça.
- Haaaa! Kamiye! Encore!... Encore!... Ça me fait du bien tout partout!...
Ashka en plein extase devant toute cette tendresse débordante, devient de plus en plus sensible à face aux attentions multiples de son ami le renard aux grandes oreilles. A chaque parcelle où il se fait caresser avec tendresse, le fait onduler et fondre à travers un vertige décuplé de sensations et de sensibilité à l'expression intense. La queue de Kamiye finit d'ailleurs par lui échapper des mains.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 15 juin 2025 15:06, modifié 3 fois.
- Kamiye Goupile
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Son Maître est vraiment une personne bizarre. Kamiye sait à quel point sa queue de renard peut être douce. Combien de fois a-t-elle été apprécié par les enfants de ses différents Maîtres et Maîtresses ? Combien de fois des filles ou des jeunes femmes l’ont touché ? Le pire étant le genre de commentaire où on évoquait s’il était possible de le tuer pour transformer sa queue de renard en accessoire pour magnifier leurs robes hors de prix…
Et donc, son Maître actuel aime lui aussi sa queue de renard. D’une façon très bizarre. Pourquoi caresser son nombril avec ? Et, parce que son cerveau doit être bizarre, il fronce des sourcils. Il y a un problème. Non, son cerveau n’est pas bizarre. Il est réglé en mode survie. Et ce qu’il vient de découvrir c’est une bizarrerie. Un possible mensonge… Son Maître si attentionné cache probablement son jeu. Autrement, pourquoi sa race aurait besoin d’un nombril alors qu’elle pond des œufs ?!
Mais ça ne change rien à la situation présente. Si sa langue est petite et humaine, contrairement à celle du Maître Dragon, elle n’en demeure pas moins efficace à stimuler la peau hyper-sensible du sexe qu’il a dans sa bouche. Et voilà qu’il le mordille un peu. Pulsion de sauvagerie ? De rébellion ? Peut-être. L’idée d’un sexe tranché en deux le répudie tant que son esprit le force à croire que c’est une façon de stimuler son partenaire.
« Je…je me disais que, euh, peut-être… »
Ses grands yeux de petite créature affaiblie regardent son Maître Dragon. Il réalise qu’il serait prêt à faire encore des choses qu’il ne lui plaise pas pour en finir avec cette nouvelle et énième épreuve…
« Peut-être que si vous vous allongez par terre, alors je pourrais c-continuer, euh, ce que je-je-je fais. Et euh… Et bien je serai all-llongé sur votre corps et…et ma queue de re-renard pourrait vous cha-chatouiller. Vous semblez bien l’ai-l’aimer… »
Kamiye stresse. Si l’idée d’avoir son petit sexe écrabouillé contre la poitrine de son Maître Dragon est supportable. Il pense même que ça pourrait jouer sur l’excitation et accélérer le fait de recevoir cette « chose » dans sa bouche. Par contre, l’idée que la gueule de son Maître soit proche de son petit trou… Ca le plonge dans un état double et contradictoire. Parce qu’il se dit que peut-être, en fait, que ça pourrait être lui qui voudrait ce genre d’attention…
Dans tous les cas, Kamiye va redoubler d’efforts pour lutiner le zizi du Maître Dragon. Et après ça, il sera tranquille pendant un temps. Peut-être même qu’il pourra recevoir nourriture et eau sans devoir attendre une ou deux journées complètement privé de tout. De toute façon, la vie ne va pas être méchante au point d’utiliser cette nouvelle position sexuelle pour leur faire des misères ? Ce serait quand même fâcheux que de grands gaillards à gros braquemarts profite du fait que le paladin soit à terre et aveuglé pour attaquer…
Et donc, son Maître actuel aime lui aussi sa queue de renard. D’une façon très bizarre. Pourquoi caresser son nombril avec ? Et, parce que son cerveau doit être bizarre, il fronce des sourcils. Il y a un problème. Non, son cerveau n’est pas bizarre. Il est réglé en mode survie. Et ce qu’il vient de découvrir c’est une bizarrerie. Un possible mensonge… Son Maître si attentionné cache probablement son jeu. Autrement, pourquoi sa race aurait besoin d’un nombril alors qu’elle pond des œufs ?!
Mais ça ne change rien à la situation présente. Si sa langue est petite et humaine, contrairement à celle du Maître Dragon, elle n’en demeure pas moins efficace à stimuler la peau hyper-sensible du sexe qu’il a dans sa bouche. Et voilà qu’il le mordille un peu. Pulsion de sauvagerie ? De rébellion ? Peut-être. L’idée d’un sexe tranché en deux le répudie tant que son esprit le force à croire que c’est une façon de stimuler son partenaire.
« Je…je me disais que, euh, peut-être… »
Ses grands yeux de petite créature affaiblie regardent son Maître Dragon. Il réalise qu’il serait prêt à faire encore des choses qu’il ne lui plaise pas pour en finir avec cette nouvelle et énième épreuve…
« Peut-être que si vous vous allongez par terre, alors je pourrais c-continuer, euh, ce que je-je-je fais. Et euh… Et bien je serai all-llongé sur votre corps et…et ma queue de re-renard pourrait vous cha-chatouiller. Vous semblez bien l’ai-l’aimer… »
Kamiye stresse. Si l’idée d’avoir son petit sexe écrabouillé contre la poitrine de son Maître Dragon est supportable. Il pense même que ça pourrait jouer sur l’excitation et accélérer le fait de recevoir cette « chose » dans sa bouche. Par contre, l’idée que la gueule de son Maître soit proche de son petit trou… Ca le plonge dans un état double et contradictoire. Parce qu’il se dit que peut-être, en fait, que ça pourrait être lui qui voudrait ce genre d’attention…
Dans tous les cas, Kamiye va redoubler d’efforts pour lutiner le zizi du Maître Dragon. Et après ça, il sera tranquille pendant un temps. Peut-être même qu’il pourra recevoir nourriture et eau sans devoir attendre une ou deux journées complètement privé de tout. De toute façon, la vie ne va pas être méchante au point d’utiliser cette nouvelle position sexuelle pour leur faire des misères ? Ce serait quand même fâcheux que de grands gaillards à gros braquemarts profite du fait que le paladin soit à terre et aveuglé pour attaquer…
- Ashka Velaryon
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- Enregistré le : 17 mai 2025 21:07
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- Demande de RP
En plus de me sucer le sexe assez fort et de recevoir toute cette belle douceur avec sa queue de renard, Kamiye me mordille le zizi. Déjà qu'il était tout pressé à l'intérieur de sa bouche, le pincement me le faisait encore plus vibrer. Je laisse mon ami câlin continuer de me faire du bien, jusqu'à ce qu'il s'arrête et qu'il me regarde. Pendant que je lui tapote la tête remplie elle aussi par pleines douceurs, il hésite avant de dire quelque chose.
- Mais vas-y Kamichou. Ne sois pas timide. Dis-moi tout et je te jure que je te le rendrai avec amour.
C'est en souriant à mon copains des forêts qui tient toujours mon zizi bien dur dans sa main, qu'il me demande alors si je pouvais m'allonger par terre, pendant qu'il viendrait sur moi pour continuer de me sucer et aussi me faire plein de chatouilles avec sa queue touffue. Je souris encore plus en imaginant le faire avec lui.
- Haaaaa, mais bien sûr. Tu veux qu'on joue par terre allongés tous les deux? C'est une super idée et j'aime beaucoup ça. En plus, j'adore les chatouilles.
Quand je m'assois par terre sans attendre, je regarde Kamiye avec mon sexe qu'il a commencé à câliner et qui est vraiment tout dur. Je pose ensuite le dos dans l'herbe pour me retrouver entièrement allongé tout aux pieds de grande et toute belle mère nature, avec nous deux, tous nus en train de faire l'amour dans ce bel endroit. C'est tout excité et vraiment bien tout joyeux d'imaginer la suite avec sa queue trop belle et trop douce au milieu, que je dis à Kamiye que je suis prêt pour continuer à faire notre jeu d'amour ensemble.
- C'est bon Kamiye. Je suis prêt pour recevoir des guiliguilis et des câlins sur le zigouigoui.
Avec beaucoup d'entrain, Ashka fébrile et à présent positionné dans l'herbe verte, reste attentif aux prochaines attentions coquines de son ami, avec sa bien jolie queue touffue. Son petit pénis draconien, partiellement rougi et vibrant suite aux succions à la fois tendres, passionnées et répétées, se trouve dans l'attente de recevoir de nouvelles tendresses affectives à faire fondre son petit cœur sensible de jeune dragon.
C'est à l'ombre des grands arbres, que souffle une petite brise légère et particulièrement rafraichissante, qui caresse la peau des deux amis en tenue d'Adam. De son côté, Ashka pouvant ressentir l'air passer sur son sexe de plus en plus vulnérable, tandis traverse délicatement sa peau grise et un brin rugueux, pour venir onduler jusque dans ses cheveux longs. Une caresse subtile, avant que ne précède un torrent de chatouilles à en faire perdre la tête du gentil et doux dragon écailleux.
- Mais vas-y Kamichou. Ne sois pas timide. Dis-moi tout et je te jure que je te le rendrai avec amour.
C'est en souriant à mon copains des forêts qui tient toujours mon zizi bien dur dans sa main, qu'il me demande alors si je pouvais m'allonger par terre, pendant qu'il viendrait sur moi pour continuer de me sucer et aussi me faire plein de chatouilles avec sa queue touffue. Je souris encore plus en imaginant le faire avec lui.
- Haaaaa, mais bien sûr. Tu veux qu'on joue par terre allongés tous les deux? C'est une super idée et j'aime beaucoup ça. En plus, j'adore les chatouilles.
Quand je m'assois par terre sans attendre, je regarde Kamiye avec mon sexe qu'il a commencé à câliner et qui est vraiment tout dur. Je pose ensuite le dos dans l'herbe pour me retrouver entièrement allongé tout aux pieds de grande et toute belle mère nature, avec nous deux, tous nus en train de faire l'amour dans ce bel endroit. C'est tout excité et vraiment bien tout joyeux d'imaginer la suite avec sa queue trop belle et trop douce au milieu, que je dis à Kamiye que je suis prêt pour continuer à faire notre jeu d'amour ensemble.
- C'est bon Kamiye. Je suis prêt pour recevoir des guiliguilis et des câlins sur le zigouigoui.
Avec beaucoup d'entrain, Ashka fébrile et à présent positionné dans l'herbe verte, reste attentif aux prochaines attentions coquines de son ami, avec sa bien jolie queue touffue. Son petit pénis draconien, partiellement rougi et vibrant suite aux succions à la fois tendres, passionnées et répétées, se trouve dans l'attente de recevoir de nouvelles tendresses affectives à faire fondre son petit cœur sensible de jeune dragon.
C'est à l'ombre des grands arbres, que souffle une petite brise légère et particulièrement rafraichissante, qui caresse la peau des deux amis en tenue d'Adam. De son côté, Ashka pouvant ressentir l'air passer sur son sexe de plus en plus vulnérable, tandis traverse délicatement sa peau grise et un brin rugueux, pour venir onduler jusque dans ses cheveux longs. Une caresse subtile, avant que ne précède un torrent de chatouilles à en faire perdre la tête du gentil et doux dragon écailleux.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 17 juin 2025 17:38, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
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Si c’était une sorte de stratégie perverse, Kamiye était bien obligé d’accepter le fait qu’il changeait d’avis sur son Maître Dragon. Un Maître sadique et inutilement cruel aurait-il pu utiliser dans la même phrase les termes de « guiliguilis » et de « zigouigoui ». Kamiye ne le croyait pas. Spécialement parce qu’il n’y avait pas eu de crise de rire en préambule et de coups de fouets en conclusion. Non. Son Maître Dragon s’était bel et bien allongé et présentait toute son excitation de son sourire à son sexe tendu.
*Peut-être que ce Maître sera le bon ? Il a vraiment l’air gentil, en tout cas. Je ne sais pas. Je crois qu’il me trouble… *
Bon, il fallait donc qu’il remette sa bouche autour du (petit) sexe du Maître Dragon. A nouveau, Kamiye éprouva du soulagement à la taille de ce membre qu’il essayait de prendre au maximum. Ca tapait dans sa gorge et ça lui donnait parfois des espèces de réflexes à vouloir vomir. Pas qu’il voulait vomir ! Mais tout comme. Et il y retournait. D’après les bruits de couloirs entre conversations d’esclaves et ceux des gardes en faction : les hommes aimaient beaucoup ce qui était appelé une gorge profonde.
Son nouveau Maître était quand même un grand bavard. Il n’arrêtait jamais. Est-ce qu’il lui faudrait autant parler pour rester sous sa protection ? Tiens ! Kamiye réalisait qu’il changeait vraiment son état d’esprit concernant la personne sous lui. Il ne pensait plus du tout à faire mal (déjà qu’il ne le pensait pas en temps normal). Et il ne pensait plus à fuir. En fait, alors qu’il sentait la langue de son Maître Dragon s’évader encore sur ses fesses et particulièrement sur son petit trou : Kamiye se dit qu’il ne pourrait pas mettre son doigt dans le petit trou de son Maître Dragon. Par contre, en addition des caresses avec sa queue de renard sur la gueule de Maître Ashka, il pouvait caresser ses cuisses de ses mains.
*Tout pour qu’il libère son jus à bébé le plus rapidement possible ! Et puis, est-ce qu’il est endurant ? Peut-être que je vais avoir mal à la mâchoire avant ? Je n’espère pas… Je préférerais plutôt que mon Maître Dragon soit faible. Enfin, pas trop non plus. Je n’ai pas envie d’en changer, encore… Je crois que je préfèrerais que ce soit lui. Peut-être même que je pourrais avoir de jolies choses ? Et me promener et découvrir le monde au-delà des grands murs de pierre grise ? Je crois que j’aimerai bien ça ! *
Alors il suçait comme un enfant le ferait avec une sucette sucrée délicieuse. Il ne voulait pas prendre de pause. Il ne voulait pas retirer le petit pénis du fourreau chaud qu’était sa bouche. Alors il y allait et revenait, encore et encore. Ce qui commençait à le faire baver. Est-ce que son Maître Dragon aimerait ? S’il n’était pas d’accord, il se retirerait et avalerait rapidement. Sinon, il irait en ce sens pour, disons, lubrifier toujours plus.
*Peut-être que ce Maître sera le bon ? Il a vraiment l’air gentil, en tout cas. Je ne sais pas. Je crois qu’il me trouble… *
Bon, il fallait donc qu’il remette sa bouche autour du (petit) sexe du Maître Dragon. A nouveau, Kamiye éprouva du soulagement à la taille de ce membre qu’il essayait de prendre au maximum. Ca tapait dans sa gorge et ça lui donnait parfois des espèces de réflexes à vouloir vomir. Pas qu’il voulait vomir ! Mais tout comme. Et il y retournait. D’après les bruits de couloirs entre conversations d’esclaves et ceux des gardes en faction : les hommes aimaient beaucoup ce qui était appelé une gorge profonde.
Son nouveau Maître était quand même un grand bavard. Il n’arrêtait jamais. Est-ce qu’il lui faudrait autant parler pour rester sous sa protection ? Tiens ! Kamiye réalisait qu’il changeait vraiment son état d’esprit concernant la personne sous lui. Il ne pensait plus du tout à faire mal (déjà qu’il ne le pensait pas en temps normal). Et il ne pensait plus à fuir. En fait, alors qu’il sentait la langue de son Maître Dragon s’évader encore sur ses fesses et particulièrement sur son petit trou : Kamiye se dit qu’il ne pourrait pas mettre son doigt dans le petit trou de son Maître Dragon. Par contre, en addition des caresses avec sa queue de renard sur la gueule de Maître Ashka, il pouvait caresser ses cuisses de ses mains.
*Tout pour qu’il libère son jus à bébé le plus rapidement possible ! Et puis, est-ce qu’il est endurant ? Peut-être que je vais avoir mal à la mâchoire avant ? Je n’espère pas… Je préférerais plutôt que mon Maître Dragon soit faible. Enfin, pas trop non plus. Je n’ai pas envie d’en changer, encore… Je crois que je préfèrerais que ce soit lui. Peut-être même que je pourrais avoir de jolies choses ? Et me promener et découvrir le monde au-delà des grands murs de pierre grise ? Je crois que j’aimerai bien ça ! *
Alors il suçait comme un enfant le ferait avec une sucette sucrée délicieuse. Il ne voulait pas prendre de pause. Il ne voulait pas retirer le petit pénis du fourreau chaud qu’était sa bouche. Alors il y allait et revenait, encore et encore. Ce qui commençait à le faire baver. Est-ce que son Maître Dragon aimerait ? S’il n’était pas d’accord, il se retirerait et avalerait rapidement. Sinon, il irait en ce sens pour, disons, lubrifier toujours plus.