
James Hartmann, directeur (et gros pervers sans pitié)
O----------------------------------------------------------------------------O
"Tu faiblis Suki!"
Le directeur, assis à son bureau, arbore sa tête des mauvais jours. Pourtant, il n'a aucune raison d'être mécontent. L'établissement privé qu'il dirige se porte bien financièrement et jouit d'une réputation qui provoque bien des jalousies. Pour l'intégrer, il faut présenter un parcours scolaire sans faille, disposer de qualités utiles et avérées, ou disposer de l'option plus contraignante d'avoir des parents fortunés prêts à investir dans "le développement" de l'institution.
Cet établissement scolaire supérieur privé est situé en périphérie de la ville, en bordure du grand parc municipal. Toutes les structures sont dédiées à l'épanouissement des élèves, aussi bien les espaces scolaires et sportifs que la résidence de l'internat qui occupe l'angle Nord du terrain. L'année scolaire moyenne coûte une vingtaine de milliers de dollars (sans les options), ce qui est loin d'être accessible au commun des mortels. Néanmoins, comme l'établissement se veut de réputation ouverte et moderne, il accepte volontiers les élèves boursiers qui présentent un niveau remarquable.
Les origines de l'établissement restent assez méconnues mais il est de notoriété publique qu'il résulte d'investissement étrangers massifs. C'est aussi pour cela que la population des étudiants est très cosmopolite. De très nombreuses nationalités sont représentées.
Et pour coacher tout ce beau monde, il faut une équipe pédagogique et de fonctionnement irréprochable. C'est là qu'intervient monsieur Hartmann ou Hartmann-sama plus localement. Le directeur est apprécié des élites. Son sens de l'organisation et la disciple qu'il impose conviennent tout à fait au climat japonais. Il gère son personnel, impose la performance scolaire et ne tolère aucun écart.
Un cercle plus restreint de privilégiés l'apprécie pour sa capacité à offrir des services qui n'apparaissent pas dans la brochure de l'établissement. Car en vérité, James Hartmann est un pervers ... un pervers méchant, égoïste, sans pitié, et qui aime l'argent.
Le business qu'il a développé dans les coulisses du campus est juteux et inclue la participation souvent forcée des étudiants, qu'ils soient garçons ou filles, dans des prestations sexuelles en tout genres: orgies, gangbangs, bukkakes, sessions privées, mises à disposition pour évènements particuliers ... Hartmann contraint ses élèves par le chantage, la force, l'addiction à certaines substances ou tout simplement par l'achat à des parents qu'il retourne. Evidemment il se sert au passage t c'est lui seul qui détermine et teste ses nouvelles victimes.
"Dégage Suki!"
Le gros homme assis derrière son bureau regarde la chose pathétique qui tente de le sucer, agenouillée entre ses jambes écartées. Elle n'a pas réussi à le faire gicler et le sexe mou et massif d' Hartmann pendouille devant son nez. Il faut dire que la jeune fille est brisée. Autrefois star du campus, elle est dorénavant une loque usée qui ne compte plus le nombre d'hommes qui lui sont passés dessus. Comme d'autres avant elle, elle est tombée dans les filets du directeur et lui sert maintenant de pute à tout faire. En contrepartie, elle dispose d'un carnet de notes et d'appréciations remarquables, digne des meilleurs.
Hartmann soupire. il est temps de renouveler le cheptel. La perte de qualité nuit à ses affaires personnelles.
Suki, le regard vide, se relève et s'arrange un peu avant de quitter le luxueux bureau sans un mot. Le directeur referme également son pantalon et saisit un dossier, premier d'une pile épaisse. Sur la page de garde, Un nom, un prénom, une photo ... la pute parfaite pour ses prochains jeux. Tout est prêt. Par l'interphone, il demande à sa secrétaire de convoquer immédiatement la jeune fille en question, dans son bureau. Il est temps de voir quelle poupée exceptionnelle elle fera.