Page 1 sur 1

Culte et partage (PV Naamah)

Posté : 26 juil. 2025 18:19
par Vaan la lance Divine
Lustoria. Au beau milieu de grandes plaines arborées, à quelques centaines de lieues à l’Ouest du temple qu’occupe d’ordinaire la jeune et belle Naamah.

À l’orée d’un bois, joliment coloré d’or par l’arrivée imminente de l’automne, semble s’être planté un bien étonnant convoi constitué de carrioles en grand nombre.

De grands pieux, taillés pour servir de défense de fortune, entourent de larges tentes colorées, que l’on pourrait facilement compter par dizaine. Ça chahute, chante et parle fort. Inutile de trop s’approcher, donc, pour deviner que ce campement mobile grouille d’orcs en garnison, comme ceux que l’on rencontre parfois ça et là en tant de guerre.

À en croire la bannière sans motif qui flotte bien haut à l’entrée du campement, ceux-là ne sont d’aucune armée à proprement parler. Non. De toute évidence, la bonne centaine d’orcs en armes se reposant ici, n’est sans nul doute rien d’autre qu’une troupe de mercenaires, de ceux que l’on emploie pour tout et rien… pour rien, surtout, en temps de paix, comme maintenant.

Puisque les orcs se déplacent le plus souvent en nombre, que leur carrure est imposante -ceux-ci mesurant parfois jusqu’à 3,50m de haut-, et que leur air patibulaire seul suffit souvent à faire peur aux badauds, il n’est pas rare qu’un convoi comme celui-ci soit affecté à l’escorte d’un caravansérail de marchands, ou bien serve de renforts à l’armée régulière. Mais… malgré tout, il reste chose rare d’en rencontrer en si grand nombre.

Ce convoi-ci, qui stationnait alors à Lustoria, était, il fallait l’avouer, particulièrement impressionnant.
Cependant, et puisqu’il n’y avait aucune trace apparente du moindre convoi fait d’hommes, ou de marchands à escorter, pouvait-on se poser la question : que diable faisaient donc autant d’orcs armés, campant ainsi au milieu de nulle part ?

Peut-être fallait-il, pour trouver réponse à cette question, suivre de près les regards de ces dizaines de peaux vertes, tous hauts comme des arbres et qui, tour à tour, se tournaient, depuis les grandes allées de tentes, jusqu’au petit bosquet, un peu plus loin, où nos campeurs avaient trouvé une petite source dans laquelle faire leur toilette.

En celui-ci, et jusqu’au bord de la rivière, arrivait alors, au beau milieu de l’après-midi, la belle prêtresse blonde qu’escortaient tous ces orcs à travers le pays. Tous s’étaient retournés sur son passage, comme chaque jour depuis qu’elle les avait rejoints, d’ailleurs. Tous s’étaient tut, évitant le moindre commentaire, mais laissant tout de même leurs regards insistants faire le travail à leur place.

Il fallait dire qu’au beau milieu de ce camp de soldats, celle qui répondait au nom de Naamah était la seule femme.

Interrompus par son arrivée timide, les dix orcs qui se lavaient là, nus, et sans la moindre gêne -les orcs n’étaient pas réputés pour leur pudeur-, s’arrêtèrent, les pieds dans l’eau, pour la voir s’avancer.

Sans doute aurait-elle préféré un peu d’intimité pour se laver, s’étaient-ils tous dit, seulement, le sujet ayant déjà été abordé quelques jours plus tôt, leur position sur le sujet demeurait claire, quand bien même ces bois où ils faisaient halte quelques jours étaient particulièrement calmes.

Regardant ses camarades et s’assurant que tous pensent la même chose, l’un d’eux se décida finalement à prendre la parole.

« Prêtresse ? Navrés, mais on peut pas vous laisser vous baigner seule ici. Vous savez c’qu’a dit le chef, hein ? Les ordres sont les ordres. On voudrait pas qu’il vous arrive quelque-chose, voyez ? »

Un autre surenchérit alors :

« Vous s’rez sûrement mieux dans un bon bain chaud, dans les quartiers des officiers. Puis vous seriez tranquille, dans l’campement. »

Acquiesçant, plusieurs d’entre eux se mirent à marmonner. C’est vrai que les officiers avaient de la chance, eux, à pouvoir profiter d’une bonne baignoire d’eau chaude. Pourquoi la jeune femme se refuserait-elle à pareil confort pour lui préférer l’eau froide d’un ruisseau ?
Même ces orcs, rustres en apparence, mais en apparence seulement, ne parvenaient à le comprendre.

Sortant entièrement de l’eau, le premier s’avança vers Naamah pour s’arrêter devant elle, la toisant de toute sa hauteur avec bienveillance, en lui montrant le chemin du campement.

« Allez venez, je vous raccompagne. »

Gigantesque comme l’étaient ses frères d’armes, l’énorme peau-verte devait bien faire deux fois la taille de la petite prêtresse. En comparaison, son corps tout entier devait paraître énorme. De ses cuisses, jusqu’à ces zones plus intimes mais bien charnues… le géant vert était… tout bonnement démesuré.

Re: Culte et partage (PV Naamah)

Posté : 02 août 2025 10:22
par Naamah
Après avoir rencontré la Reine Bel, d’avoir porté deux enfants venant d’une Déesse et d’un Dieux qu’elle vénérait depuis ses seize ans. Naamah avait laissé exceptionnellement ses deux enfants à une nourrice ou plutôt une prêtresse du culte d’Aphrodite. Elle était retourné en quête de personne pour agrandir son culte des Dieux de l’Aurore et du Crépuscule, pour avoir de l’aide lorsqu’elle devait porter des objets lourd et autres. Elle avait de l’aide pour les rituels de la Déesse Aphrodite, mais pas pour les autres qu’elle gérait en tant que grande prêtresse de ces deux Dieux. Elle avait besoin un peu de personnel ou d’adeptes, elle verrait bien ce qu’elle trouverait.

Pour commencer elle n’avait pas prit ses gardes habituels, (vu comment ils l’avaient protégé avant sa rencontre et l’aide de Bel), elle avait entendu parlé d’un groupe d’Orc qui était situé à l’Ouest de son temple à quelques lieux de celui-ci. Chose qui avait motivé sa décision de les prendre sous son « aile » ou plutôt de les engager pour l’aider. Elle n’avait aucun problème avec les autres races, bien qu’elle soit humaine. Toutes les personnes dans le monde avait une âme et si celle-ci était bonne pouvait l’aider et pour les mauvaises, elle les guiderait dans le bon chemin. Même si ils avaient une culture différente, puis cela lui permettait d’en apprendre plus sur autrui.

La blonde avait donc rejoins le groupe d’Orc pour le moment, elle était un peu intimider. Par quoi ? Déjà, ils étaient largement plus grand qu’elle et surtout car elle était la seule femme parmi tout le groupe qui était constitué que d’hommes. Elle avait pourtant passer plusieurs jours dans l’Univers sexuelle de Lusst’ghaa, où elle avait eu du plaisir charnel plus qu’on ne pourrait le penser. Mais les Orcs avaient un autre niveau de taille sur tous leurs corps, mais à force elle avait apprit à mettre cet intimidation de côté. Maintenant elle arrivait à marcher normalement avec eux, même lorsqu’ils prenaient le temps de se laver dans la rivière. Elle portait alors sur son dos un petit sac qui contenait tout ce qu’elle avait besoin pour prendre un bain dans la rivière. Alors qu’elle le posait au sol, un des Orc qui était dans la rivière prit la parole. Lui disait qu’elle n’avait pas le droit de se baigner dans la rivière toute seule, c’était l’ordre du chef. Et bien sûr aucun de ses guerriers allaient remettre en question un ordre venant de leur supérieur. D’une voix douce et calme Naamah prit la parole.

-Je ne suis pas seule, vous êtes là.

Elle les montra un par un avec doigt pour dire que de se laver devant eux ne la dérangeait pas du tout. Elle avait apprit à accepter son corps sans la moindre gêne, alors elle n’allait pas se laisser faire comme ça. Après on lui expliqua que dans les quartiers des officiers, il y avait des bains chaud, certes cela pouvait être tentant. Mais elle voulait vivre cette expérience jusqu’au bout, donc même se laver nue entouré d’hommes largement plus grand qu’elle.

Naamah regarda le premier à sortir de l’eau, pour se placer devant elle, lui bloquant le passage et la surplombant de deux fois sa taille à elle. Mais têtue comme une mule, elle leva la tête vers lui, le regard déterminé.

-Je n’irais pas au campement ! Maintenant vous restez ici à vous lavez et moi je viens. Je ne serais pas seule et vous êtes une dizaine environ donc rien ne va m’arriver !

Sa voix était ferme, la femme timide avait disparut pour laisser place à la vrai prêtresse qu’elle était et donner des ordres ne lui faisait pas peur. Personne ne lui disait quoi faire à part les Dieux et pour le moment ils étaient trois. Elle se décala pour sortir de son sac des sous-vêtements propre et ses produits d’hygiènes. Elle alla les poser au bord de rive, avant de retirer sa robe aussi légère comme toujours. Son corps ne comportait aucune cicatrices, même si elle avait porté deux enfants, elle avait retrouvé son physique de base. Elle mit ses affaires sale sur le côté et s’apprettait à rentrer dans l’eau froide qui lui ferai du bien. Cela changerait des bains chaud qu’elle avait l’habitude de prendre partout où elle se rendait à vrai dire. Si ils voulaient vraiment qu’elle aille au campement, ils devraient alors la porter de force, ce qui serait une tâche simple pour eux à vrai dire. Elle pesait pratiquement rien pour la force d’un Orc.

-Tu vois je peux aussi me lavez à l’eau froide, je suis pas en sucre ! Si vous tenez tant que ça à ce que j’aille au campement alors attrapait moi pour m’y obliger !

Avec tout ce que la prêtresse avait vécu, son caractère c’était endurci et presque plus rien ne lui faisait plus peur, même pas un Orc.

Re: Culte et partage (PV Naamah)

Posté : 03 août 2025 20:10
par Vaan la lance Divine
Pas plus qu’ils n’auraient eu le droit de laisser Naamah se baigner seule, détourner leurs yeux de la prêtresse en un pareil moment aurait été comme trahir leurs voeux, et la mission qui leur avait été confiée.

Aussi, lorsque la belle blonde se dévêtit avant d’entrer dans la rivière, ce furent des dizaines d’yeux, qui la dévorèrent toute crue, non sans un appétit grandissant, qu’ils ne tentèrent même pas de lui cacher.

« Oh… hum. Bien. Comme vous voudrez, prêtresse. », fit le premier, le rouge aux joues, alors que Naamah se mettait nue devant lui.

Sa poitrine, lourde est bien ronde, lui sembla énorme, tout comme ses hanches lui semblèrent bien larges, pour celles d’une femme humaine. Aucun des dix orcs présents en ce moment ne manqua d’ailleurs de se le dire : Naamah était… particulièrement attirante, et bien faite.

Beaucoup d’entre eux s’imaginèrent vite la culbuter, dans un sens, puis dans un autre. Dans tous les sens, à vrai dire… mais, quand bien même les dix peaux-vertes la regardèrent tous avec insistance, alors que son corps disparaissait dans l’eau jusqu’à son petit ventre plat, aucun d’eux n’en dit mot, ni n’en laissa transparaître plus qu’il n’en fallait.

Après tout, de un : elle était sous leur protection. De deux : chacun savait, et ce pertinemment, qu’une telle union était prohibée, dans ce royaume, comme dans bien d’autres aux alentours. Les queues des peaux vertes étant, même au repos, presque aussi larges que ne l’étaient les mollets de la jeune femme, jamais la moindre demoiselle un peu sensée qui soit, n’aurait voulu s’essayer à pareille expérience.

Encore maintenant, racontait-on qu’en des âges anciens et plus sombres, bien des esclaves humaines servirent de mères porteuses à des compagnies d’orcs telles que celle-ci, jadis plus sauvages et barbares, du fait de l’incroyable compatibilité entre ces deux espèces du vieux monde… seulement, raconte-t-on également que les mères ne survivaient jamais bien longtemps, aux assauts de leurs immenses et infatigables amants.

À l’ère de la modernité et de la bienséance, même ici, tout cela semblait impensable.

« Vous devez avoir l’habitude mais… ne vous offusquez pas si l’on vous regarde, ma Dame. », reprit le premier des orcs qui avait pris la parole pour ses frères.

S’approchant d’un tout petit pas, pour la toiser de nouveau de toute sa hauteur, l’orc se saisit d’un savon parfumé, que la jeune femme avait posé sur le bord de la rivière. Humant son parfum délicat -chose à laquelle les orcs n’étaient que peu habitués-, le géant poussa comme un léger soupir.

Prenant un peu d’eau dans le creux de son énorme main, il en versa, avec délicatesse, sur la nuque, et les épaules de Naamah, observant le liquide froid parcourir ses beaux obus.

Lentement, alors qu’il venait de faire un nouveau pas, pour réduire toute distance entre elle et lui, l’orc passa le savon tout contre les omoplates de la prêtresse…

D’autres, voyant comme il la touchait, s’approchèrent alors à leur tour, se saisissant eux aussi de savons, qu’il passèrent dans son dos, puis… avec plus d’insistance encore, sur ses grosses fesses blanches et charnues.

Rapidement, la prêtresse se trouva-t-elle encerclée par trois d’entre eux, faisant mousser les briques parfumées contre sa peau de pêche.

Du fait de sa taille, en comparaison de la leur, avait-elle leurs gigantesques sexes verts à hauteur d’yeux, encore au repos mais ballottant avec puissance et lourdeur, aussi longs que ses bras.

Le premier reprit, en voyant comme le sien était proche du visage de la jeune femme.

« J’ose espérer que la vue ne vous gênera pas non plus. Si vous vous baignez avec nous… vous allez en voir, des bites vertes. »

Et, l’orc le dit à raison :
Le bruit s’étant très vite répandu dans le campement, que leur charmante protégée s’était mise nue devant certains des leurs, d’autres ne tardèrent pas à rejoindre à leur tour la rivière… par dizaines…
Nombre d’entre eux, sur la pointe des pieds, espérant apercevoir la belle qui, déjà, désormais, était encerclée de part en part, par près de la moitié du campement.

Ils étaient… cinquante.

Re: Culte et partage (PV Naamah)

Posté : 07 août 2025 01:25
par Naamah
Totalement nue dans l'eau, entourée par une dizaine de paires d’yeux qui la fixaient, Naamah s'en moquait totalement. À vrai dire, ils pouvaient tous la reluquer autant qu’ils le voulaient. Celui qui était sorti de l’eau disait qu’elle faisait ce qu’elle voulait — et il avait raison. On lui avait dit un jour que son corps était fait pour être admiré.

Un corps aux formes généreuses, une poitrine plus lourde qu’on ne le pense, des fesses bien rebondies, et un ventre plat ne laissant deviner aucune grossesse, malgré ses deux enfants.

— Regardez autant que vous le voulez, le corps d’une personne doit être admiré, surtout s’il plaît aux autres.

Sa voix était légèrement séductrice. L’eau froide ne cachait ni n’atténuait son envie de sexe. Cela faisait des jours qu’elle n’avait rien fait, et elle commençait à être en manque. Son corps réclamait du plaisir, une délivrance impossible à ignorer. Pour le moment, personne n’avait osé la toucher, et elle ne comprenait pas pourquoi.

Mais l’orc qui était sorti de l’eau pour la conduire vers le campement versa de l’eau sur son corps pâle. L’eau fit briller légèrement sa peau, glissant de sa nuque à ses épaules, avant de couler sur ses seins. Elle espérait que la vue leur plaisait. Elle n’eut même pas besoin de prendre son savon : l’un d’eux commença à savonner sa peau. Elle se laissa faire. Vu sa petite taille, elle avait les yeux rivés sur le membre au repos de l’orc. Sa taille était immense, aussi long et large que son bras.

Alors qu’elle se faisait savonner par un seul orc, deux autres arrivèrent pour aider leur camarade. Elle leva les bras pour les laisser faire ce qu’ils voulaient d’elle, pour la laver. Rare étaient les personnes qui touchaient le corps d’une prêtresse comme elle.

— Oh, qu’ils viennent ! Je suis sûre qu’on peut s’amuser tous ensemble. Regardez !

Elle reprit l’un de ses bras pour attraper le membre immense de l’orc en face d’elle et y passa sa langue sur toute la longueur. Vu qu’elle ne voyait rien d’autre que ça devant elle, elle prit l’initiative de leur faire comprendre ses intentions. Elle continua de le lécher de la base jusqu’au gland, qu’elle aspira dans sa bouche.

Elle espérait ne pas être arrêtée, car désormais, c’était la Naamah affamée de sexe qui parlait et agissait.