La Sainte-Arcadie, plus simplement appelée « l’Arcadie », était un ouvrage monumental situé dans les hauteurs d’Atarashï Yoake. Bâti sur l’ancien manoir des Morimoto, ravagé pendant la Seconde Guerre Mondiale, l’Arcadie était un monument historique, inscrit au patrimoine national du Japon, et était la vaste demeure des Morimoto. Le domaine Morimoto comprenait l’Arcadie ainsi que de nombreux hectares. On y trouvait un centre équestre avec des pistes, un parc comprenant une aire de jeux et d’élégants jardins soigneusement entretenus par le personnel zélé des Morimoto. Des parties accessibles au public, là où le manoir, sauf circonstances particulières, était un domaine privatif.
Aujourd’hui, une nouvelle employée se rapprochait de l’entrée principale du manoir. Une épaisse grille en fer forgée se trouvait là. L’agence d’intérim liée à Romy avait retransmis à ce dernier un courriel du domaine Morimoto qui, après avoir pris connaissance de son CV et de sa lettre de motivation, la convoquait à un entretien comme maid.
Travailler au sein du domaine Morimoto était un honneur, mais aussi intéressant, car le salaire versé était conséquent. Cependant, les conditions étaient assez fortes. Les maids devaient accepter de pouvoir rester plusieurs jours d’affilée à l’Arcadie, tous leurs frais étant alors pris en charge.
Ce fut un taxi qui le mena jusqu’à l’Arcadie, pris en charge par le domaine Morimoto. Tout était bon pour rappeler au quidam que les Morimoto étaient richissimes. La riche histoire de la famille Morimoto était intrinsèquement liée à celle du Japon, car les Morimoto affirmaient avoir comme ancêtres la légendaire reine Himiko, elle-même descendante de l’Impératrice Himetataraisuzu-hime, la légendaire épouse de l’Empereur Jinmu.
« Bonjour, Romy-san ! Vous pouvez rentrer ! »
Le portail s’ouvrit, et Romy put suivre un chemin menant jusqu’à l’Arcadie. Il ne tarda pas à être accueilli par une superbe maid qui la salua. Répondant au nom d’Amalia, elle faisait partie du personnel du domaine, et était l’une des responsables-en-chef des maid du domaine Morimoto.
« Salut, Romy-san, je m’appelle Amalia ! C’est Leona-sama qui va t’auditionner, Romy-san. Mais, pour ça, il va falloir que tu portes une tenue de maid. Nous en avons en stock, je suis sûre que ça t’ira bien ! Tu n’es pas trop nerveuse, j’espère ? »
Aujourd’hui, une nouvelle employée se rapprochait de l’entrée principale du manoir. Une épaisse grille en fer forgée se trouvait là. L’agence d’intérim liée à Romy avait retransmis à ce dernier un courriel du domaine Morimoto qui, après avoir pris connaissance de son CV et de sa lettre de motivation, la convoquait à un entretien comme maid.
Travailler au sein du domaine Morimoto était un honneur, mais aussi intéressant, car le salaire versé était conséquent. Cependant, les conditions étaient assez fortes. Les maids devaient accepter de pouvoir rester plusieurs jours d’affilée à l’Arcadie, tous leurs frais étant alors pris en charge.
Ce fut un taxi qui le mena jusqu’à l’Arcadie, pris en charge par le domaine Morimoto. Tout était bon pour rappeler au quidam que les Morimoto étaient richissimes. La riche histoire de la famille Morimoto était intrinsèquement liée à celle du Japon, car les Morimoto affirmaient avoir comme ancêtres la légendaire reine Himiko, elle-même descendante de l’Impératrice Himetataraisuzu-hime, la légendaire épouse de l’Empereur Jinmu.
« Bonjour, Romy-san ! Vous pouvez rentrer ! »
Le portail s’ouvrit, et Romy put suivre un chemin menant jusqu’à l’Arcadie. Il ne tarda pas à être accueilli par une superbe maid qui la salua. Répondant au nom d’Amalia, elle faisait partie du personnel du domaine, et était l’une des responsables-en-chef des maid du domaine Morimoto.
« Salut, Romy-san, je m’appelle Amalia ! C’est Leona-sama qui va t’auditionner, Romy-san. Mais, pour ça, il va falloir que tu portes une tenue de maid. Nous en avons en stock, je suis sûre que ça t’ira bien ! Tu n’es pas trop nerveuse, j’espère ? »
