Ce RP contient une collaboration commerciale #PUB #Opéspé [PV : Yumi Makishi]
Posté : 20 nov. 2025 00:49
Fefe sortait à peine de la suite VIP du Lys, encore rouge et luisante des jeux de la nuit.Trois Papillons avaient laissé sur sa peau des marques de morsures, de griffes et de cordes rouges qui formaient de jolis motifs sur ses hanches et ses seins. Elle sentait encore le goût de leurs lèvres sur sa langue, la chaleur de leurs corps collés au sien, et le souvenir de leurs gémissements résonnait dans sa tête comme une basse saturée.
Elle fila directement dans la salle de bain privée de sa suite de streaming. L’eau brûlante coula sur elle, emportant le parfum des autres, mais pas les frissons. Elle se savonna lentement, paumes glissant sur ses tétons encore sensibles, entre ses cuisses encore gonflées d’excitation. Un sourire carnassier aux lèvres, elle se rinça, laissant l’eau ruisseler sur ses tatouages, sur le tatouage du Lys doré luminescent juste au-dessus de son sexe. Elle ne mit rien d’autre : juste ce minuscule triangle noir, un string qui couvrait à peine son sexe, les ficelles disparaissant entre ses fesses rondes.
En sortant, elle croisa la pieuvre. Pas n’importe laquelle : l’une des créatures apprivoisées du Lys, dressée pour faire plaisir. L’animal s’enroula autour d’elle avec une douceur possessive. Une tentacule s’enroula autour de son épaule gauche, une autre autour de sa taille, deux autres serpentèrent autour de ses seins nus, les ventouses se collant délicatement à sa peau, effleurant ses tétons durcis sans jamais les lâcher. Une cinquième glissa le long de sa hanche, s’enroula autour de sa cuisse droite, écartant légèrement ses jambes. La tête du poulpe reposait contre son épaule, œil tranquille, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde.
Fefe traversa le couloir pieds nus, tentacules ondulant doucement sur sa peau, et entra dans la pièce de stream.
La salle était plongée dans une lumière violette et rose. Au centre : le grand canapé en cuir noir, profond, bien entretenu mais déjà taché de souvenirs. Devant lui, une table basse couverte de jouets, de lubrifiant, de micros sur pied, et la petite roue de la fortune qui décidait des défis. À gauche, le mur d’instruments : guitare rouge sang, basse noire mate, clavier lumineux. À droite, une immense tablette graphique sur pied, stylet prêt pour les sessions de dessin nu. Au fond, trois caméras professionnelles, drones en attente, lumières LED qui pulsaient déjà.
Le stream était lancé. Écran d’attente rose bonbon avec le compteur de viewers qui grimpait : 47 000… 52 000… 60 000. Le titre clignotait en gros : « Fefe & Yumi – You Laugh You Loose ».
Fefe s’installa sur le canapé, jambes écartées, la pieuvre ajustant ses tentacules comme pour la présenter. Une ventouse se posa juste sous son sein gauche, une autre effleura l’intérieur de sa cuisse, dangereusement proche du string. Elle passa une main dans ses cheveux courts, blancs aux reflets roses et lilas. Elle chaussa ses énormes lunettes de soleil roses en cœur, derrière lesquelles ses yeux brillaient déjà de vice.
Elle tapota le micro principal, voix rauque et sucrée :
« Salut les dégénérés… On attend ma reine. Yumi arrive. En attendant, regardez bien ce que la pieuvre me fait déjà… »
Elle laissa échapper un petit rire, mordit sa lèvre, et laissa une tentacule glisser lentement, très lentement, sous le tissu noir de son string, alors que la caméra la filmait déjà. Le compteur explosa : 92 000 viewers. Elle sourit, carnassière, seins nus offerts aux caméras, tentacules dansant sur sa peau : « Dépêche-toi, Yumi… Ils vont pas tenir longtemps… et moi non plus. »
Elle fila directement dans la salle de bain privée de sa suite de streaming. L’eau brûlante coula sur elle, emportant le parfum des autres, mais pas les frissons. Elle se savonna lentement, paumes glissant sur ses tétons encore sensibles, entre ses cuisses encore gonflées d’excitation. Un sourire carnassier aux lèvres, elle se rinça, laissant l’eau ruisseler sur ses tatouages, sur le tatouage du Lys doré luminescent juste au-dessus de son sexe. Elle ne mit rien d’autre : juste ce minuscule triangle noir, un string qui couvrait à peine son sexe, les ficelles disparaissant entre ses fesses rondes.
En sortant, elle croisa la pieuvre. Pas n’importe laquelle : l’une des créatures apprivoisées du Lys, dressée pour faire plaisir. L’animal s’enroula autour d’elle avec une douceur possessive. Une tentacule s’enroula autour de son épaule gauche, une autre autour de sa taille, deux autres serpentèrent autour de ses seins nus, les ventouses se collant délicatement à sa peau, effleurant ses tétons durcis sans jamais les lâcher. Une cinquième glissa le long de sa hanche, s’enroula autour de sa cuisse droite, écartant légèrement ses jambes. La tête du poulpe reposait contre son épaule, œil tranquille, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde.
Fefe traversa le couloir pieds nus, tentacules ondulant doucement sur sa peau, et entra dans la pièce de stream.
La salle était plongée dans une lumière violette et rose. Au centre : le grand canapé en cuir noir, profond, bien entretenu mais déjà taché de souvenirs. Devant lui, une table basse couverte de jouets, de lubrifiant, de micros sur pied, et la petite roue de la fortune qui décidait des défis. À gauche, le mur d’instruments : guitare rouge sang, basse noire mate, clavier lumineux. À droite, une immense tablette graphique sur pied, stylet prêt pour les sessions de dessin nu. Au fond, trois caméras professionnelles, drones en attente, lumières LED qui pulsaient déjà.
Le stream était lancé. Écran d’attente rose bonbon avec le compteur de viewers qui grimpait : 47 000… 52 000… 60 000. Le titre clignotait en gros : « Fefe & Yumi – You Laugh You Loose ».
Fefe s’installa sur le canapé, jambes écartées, la pieuvre ajustant ses tentacules comme pour la présenter. Une ventouse se posa juste sous son sein gauche, une autre effleura l’intérieur de sa cuisse, dangereusement proche du string. Elle passa une main dans ses cheveux courts, blancs aux reflets roses et lilas. Elle chaussa ses énormes lunettes de soleil roses en cœur, derrière lesquelles ses yeux brillaient déjà de vice.
Elle tapota le micro principal, voix rauque et sucrée :
« Salut les dégénérés… On attend ma reine. Yumi arrive. En attendant, regardez bien ce que la pieuvre me fait déjà… »
Elle laissa échapper un petit rire, mordit sa lèvre, et laissa une tentacule glisser lentement, très lentement, sous le tissu noir de son string, alors que la caméra la filmait déjà. Le compteur explosa : 92 000 viewers. Elle sourit, carnassière, seins nus offerts aux caméras, tentacules dansant sur sa peau : « Dépêche-toi, Yumi… Ils vont pas tenir longtemps… et moi non plus. »