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Fête à domicile (Le Lys)

Posté : 22 nov. 2025 17:05
par Les soeurs Seishi
Le Lys.
Megumi, après y avoir fait un tournage, en avait beaucoup parlé à ses sœurs. Il faut dire que le lieu lui a fait forte impression, tout comme celle avec qui elle avait tourné là-bas. Alors forcément, quand elle leur a parlé d’une soirée costumée aux alentours d’Halloween, toutes ont été ravies à l’idée d’y aller !

Et d’ailleurs…

En attendant Iori, les Seishi boivent un verre dans le salon. Leurs tenues, plus ou moins extravagantes mais surtout sexy, feront très certainement leur office : faire tourner les têtes et pimenter la soirée ! Mais pour le moment, elles attendent l’ancienne étudiante, toujours dans sa chambre…

Face à son miroir, celle-ci tourne sur elle-même. La tenue est parfaite : sexy, pour ne pas dire un peu vulgaire, mettant bien en avant ses formes. Sauf qu’aujourd’hui, Iori s’est réveillée avec un pénis. Et, dans l’immédiat, celui-ci ne semble pas vouloir se ‘calmer’.

“C’est pas possible…”

Si elle maîtrisait ses pouvoirs, elle se contenterait de le faire disparaître - mais ce n’est pas le cas.
Si elle comprenait qu’elle est partiellement succube et que son aura aphrodisiaque ainsi que celle de ses sœurs lui font de l’effet, elle penserait sans doute à aérer pour faire redescendre le chapiteau… mais ce n’est pas le cas non plus.
Résultat : c’est bien tendu, et on ne voit que ça ! Impossible de faire la route comme ça.

“Bon…”

Pour elle, une seule solution : assouvir sa libido, et rapidos ! Elle saute sur son lit, attrappe le premier doujin qui lui passe sous la main et commence à faire son affaire en espérant que ça ne lui prendra qu’une poignée de minutes… et sans se douter de ce qu’il va se passer.

Re: Fête à domicile (Le Lys)

Posté : 24 nov. 2025 01:20
par Le Lys
Dans les appartements feutrés du Lys, où les murs eux-mêmes semblent respirer l’odeur entêtante de rose fanée et de luxure ancienne, Teto se tenait immobile devant le grand miroir ovale, le cœur cognant si fort qu’elle sentait chaque battement résonner jusque dans les ofuda collés sur sa peau nue. Le costume qu’on lui avait imposé était une œuvre perverse de raffinement et d’impudeur : un haut traditionnel bleu nuit aux manches immensément larges, si larges qu’elles flottaient comme des ailes de corbeau autour de ses bras frêles, brodé de fils d’or et fermé par de grands nœuds rouge sang noués aux épaules ; mais ce haut s’arrêtait net sous ses clavicules, laissant tout le reste de son torse entièrement exposé, sa peau pâle parsemée de taches de rousseur luisant doucement sous la lumière tamisée, ornée seulement de quatre talismans rouge et or collés avec une précision cruelle : un sur chaque sein, assez grand pour masquer l’aréole tout en laissant deviner le relief durci et rosé en dessous, un troisième juste au-dessus du nombril, et le dernier, plus bas, posé exactement entre ses cuisses comme un sceau vivant, couvrant à peine la fente lisse et déjà légèrement humide de nervosité, soulignant au contraire la courbe délicate de son mont de Vénus et la ligne fine de ses lèvres. Ses jambes étaient entièrement nues, ses cuisses pâles et lisses exposées jusqu’à la naissance, sans rien pour les voiler, seulement un chapeau sur ses cheveux rouges ondulés et le tatouage du Lys juste au-dessus du talisman inférieur qui semblait pulser faiblement, comme s’il réagissait à la honte brûlante qui lui montait aux joues.

Elle tirait désespérément sur les manches flottantes pour tenter de cacher un peu plus, mais chaque mouvement ne faisait qu’attirer davantage l’attention sur sa poitrine nue sous les ofuda, sur la façon dont les talismans se décollaient légèrement quand elle respirait trop vite, révélant un bout de téton durci ou l’ombre d’une fente déjà luisante. « Tout le monde va me voir comme ça… » murmura-t-elle d’une voix tremblante, les yeux baissés, les mains crispées sur le tissu comme si elle pouvait encore négocier avec son reflet. Kongiku avait été formelle : ce soir, pour la grande soirée costumée d’Halloween, elle devait accompagner les sœurs Seishi depuis leur appartement jusqu’au salon principal du Lys, et ce costume était « l’épreuve initiatique parfaite pour une Papillon de Soie qui doit apprendre à se montrer ». Alors elle inspira profondément, ferma les yeux, sentit l’énergie rose et sucrée de son pouvoir novice monter en elle comme une vague timide, et se concentra sur l’aura des Seishi, cette fragrance de pouvoir et de luxure qu’elle reconnaissait entre mille.

Un battement d’ailes invisibles. L’air se troubla autour d’elle, une nuée de papillons d’énergie rose tourbillonna, l’odeur de sucre brûlé envahit la pièce, et elle disparut… pour réapparaître exactement là où sa téléportation mal maîtrisée l’avait projetée : pas dans le salon où les autres sœurs attendaient, non, mais dans la chambre d'Iori, au pied de son lit, pile au moment où celle-ci, jambes écartées, s’occupait avec une vigueur désespérée de quelque chose qu’elle n’était clairement pas censée avoir ce matin-là, un doujinshi grand ouvert à côté d’elle.

Le cri de Teto fut si aigu qu’il aurait pu briser du cristal. Elle plaqua immédiatement ses deux mains devant ses yeux, paumes grandes ouvertes, mais, comme toute jeune succube timide et irrémédiablement curieuse, elle écarta aussitôt les doigts pour regarder entre, les joues passant du rose au cramoisi en une seconde, son aura pulsant par éclats roses incontrôlés qui emplirent la pièce d’une chaleur douce et aphrodisiaque. « P-p-pardon ! Je… je me suis trompée de pièce ! J’étais censée vous accompagner au Lys mais… mais… c-c’est… ! » bafouilla-t-elle, trébuchant en arrière, les manches flottantes s’ouvrant comme des ailes affolées, dévoilant complètement sa poitrine nue sous les ofuda qui se décollèrent à moitié sous le mouvement, révélant un téton durci et rose avant de se recoller maladroitement, tandis que le talisman du bas-ventre remontait dangereusement, dévoilant une fraction de seconde sa fente luisante avant de retomber. « Je… je peux attendre dehors ! Ou… ou… non non non oubliez ça j’ai rien dit ! » gémit-elle, toujours les mains devant les yeux mais les doigts obstinément écartés, incapable de détourner le regard, son aura de succube novice pulsant si fort maintenant que la tension sexuelle dans la pièce devint presque palpable, comme si sa propre excitation gênée alimentait sans le vouloir celle, déjà explosive, de la Seishi.

Re: Fête à domicile (Le Lys)

Posté : 06 déc. 2025 17:04
par Les soeurs Seishi
“Aaah… hmm…”

Je m’active du mieux que je peux, peut-être même un peu trop, les yeux rivés sur mon doujinshi. C’est l’un de mes préférés, je suis excitée comme jamais, mais je sens que non ça ne vient pas. Du moins, pas encore. Mince ! Si ça continue l’accompagnatrice va arriver et on va venir me chercher… et me voir dans cet état ! Et je sais très bien comment ça va finir : en plan cul, et au final demain on me dira que c’est de ma faute si on a raté la sauterie au Lys.

Je tourne une nouvelle page, penchant la tête pour dévorer la double page du regard. Qu’est-ce qu’elle prend l’héroine ! Parfois je me dis que j’adorerais être à sa place, et parfois je suis dans la même situation qu’aujourd’hui et je me dis que je lui passerais bien dessus… mais tout d’un coup, quelque chose me tire de ma ‘lecture’. Ou plutôt quelqu’un. Une fille quasiment nue, qui s’excuse, bafouille, fait comme si elle ne voulait pas regarder puis regarde quand même…

“Euh…”

Je suis un peu gênée, et aussi carrément surprise, au point où j’arrête de bouger durant un instant. C’est qui ? La fille du Lys ? Elle est sexy ! Je refais glisser ma main le long de mon membre en regardant son corps sans même m’en rendre compte, sentant une nouvelle vague de chaleur me traverser. Je ne sais pas pourquoi mais je me sens encore plus excitée, alors que je ne pensais pas ça possible !

“Non non attends ! Va pour le ‘ou’ !”

Elle s’est proposée d’attendre dehors ou de… je ne sais pas quoi, mais cette option a l’air bien meilleure que la première ! Je me glisse jusqu’au pied du lit et me laisse tomber à côté d’elle, mon visage faisant face au sien.

“Aide moi s’il te plait ! Je suis trop excitée je n’arrive pas à débander !”

Moi, directe ? Oui peut-être ! Je me redresse, me retrouvant sur les genoux devant elle alors que mon érection pointe dans sa direction.

“T’es la fille du Lys hein ? Tu sais forcément y faire non ?”

Pas un seul instant je me dis que le cri de la fille a peut-être été entendu par mes soeurs en bas, et que peut-être que l’une d’elle va finir par monter pour voir ce que je fais…