Le contrat était tombé sur l'application sécurisée en fin de matinée, laissant à Nyssa juste le temps nécessaire pour se rendre de New York au Massachusetts.
**Pour professionnels confirmés uniquement, l'Agence se décharge de toute responsabilité en cas de blessures ou de décès.
30.000$ pour l'élimination de la cible MKU-065, identifiée sous le nom de Joseph Costello, domicilié à Boston, Massachusetts. Modus operandi libre. Fournir preuve par réponse à ce message pour valider le paiement**
Le fait que la CIA considère cette mission comme risquée faisait sourire Nyssa. N'importe quel débutant de la Ligue des Assassins pourrait s'en charger aisément. Au moins ce genre de contrat lui apportait une source de revenus faciles.
L'identifiant MKU indiquait, pour toute personne versée dans ce genre d'affaire, que la cible était un sujet du projet MK-Ultra. La CIA s'était décarcassée pendant des années à créer des agents dormants en utilisant notamment des doses massives de drogues sur des citoyens ordinaires. L'idée était d'en faire des machines à tuer parfaites que l'on pourrait activer n'importe quand à l'aide d'une phrase codée, d'une odeur particulière ou encore d'une image soigneusement choisie qu'ils pourraient recevoir un matin par courrier. L'expérience n'avait que partiellement fonctionné. Si les sujets réagissaient généralement bien face au stimulus choisi, il arrivait aussi fréquemment qu'ils pètent les plombs sans raison et que cela se finisse dans un bain de sang.
Comme c'était le réseau de chimistes et de trafiquants mis en place par Nyssa qui avait fourni la majorité du LSD employé dans ce projet, elle estimait légitime de s'occuper elle-même de l'élimination des sujets, une façon de nettoyer derrière elle en étant encore payée. Du gagnant-gagnant en somme.
Pour l'occasion, elle avait opté pour une tenue lui donnant l'air d'une banale étudiante semblant rentrer chez elle et délaissa sa voiture à l'entrée du quartier assez sordide où sa cible vivait.
Pas question d'y aller de front, ces anciens de MK-Ultra sont de vraies bombes à retardement, elle contourna donc l'immeuble et grimpa par l'escalier de secours qui serpentait sur la façade. Elle stoppa juste avant d'être au niveau de la fenêtre de sa future victime et attendit en tendant l'oreille.
Des coups sourds frappés contre une porte puis une voix qui s'exclamait "Hé Costello ! T'as encore garé ta putain de poubelle sur ma place de parking!!"
Parfait, le mendiant à qui elle avait glissé un billet de 50$ jouait parfaitement son rôle de diversion, lui permettant de rentrer par la fenêtre, pistolet à la main. Et tandis que le sujet 65 allait ouvrir sa porte pour répondre par un chapelet d'injures et probablement même s'en prendre physiquement à un pauvre innocent, trois balles au son étouffé par un silencieux lui trouèrent la peau et son corps s'effondra lourdement au sol.
Nyssa posa son sac par terre, y rangea son arme et commença à sortir son matériel.
Elle commença par prendre une photo du corps pour l'envoyer sur le serveur sécurisé de l'agence afin de toucher la récompense promise puis s'affaira.
Une fourchette en métal fut mise dans un bac d'eau lui même mis dans le compartiment freezer du réfrigérateur de la victime. Pendant que la glace prenait forme autour de la fourchette, la tueuse s'occupa à retirer les balles du cadavre à l'aide d'une pince pour les ranger ensuite dans son sac en attendant de pouvoir les détruire. Pendant l'opération, elle se surprit à se demander si c'était son entrainement ou l'exposition à l'eau des puits de Lazare qui faisait que cette tâche ne la rebutait absolument pas.
Estimant qu'elle avait encore un peu de temps, Nyssa fit le tour de l'appartement pour vérifier si rien d'intéressant ne pouvait être ramassé, choses de valeurs, armes ou documents compromettants, et ce qu'elle trouva sur la table basse du salon lui fit esquisser un sourire. Elle empocha le billet de concert et commença à rassembler ses affaires.
Quelques minutes plus tard, elle dévalait à grande vitesse l'escalier de secours et sauta souplement sur le bitume avant de s'éloigner en courant de l'immeuble.
Le bloc de glace tournait dans le micro-ondes de l'appartement, fondant lentement à mesure que la chaleur l'attaquait, jusqu'à ce que le métal provoque une étincelle provoquant l'explosion de l'appareil...puis de l'appartement dans lequel le robinet de gaz avait été ouvert par l'assassine avant de fuir.
Elle était quasiment arrivée à sa voiture quand elle entendit la puissante détonation qui réduisit l'immeuble en cendres, effaçant ainsi les traces de son passage.
Elle mit le contact et parti vers le centre-ville de Boston où une réservation dans un hôtel de luxe l'attendait. Un contrat cette après-midi, un concert des Dropkick Murphys ce soir et les festivités de la St Patrick pour le reste de la semaine, son séjour s'annonçait sous les meilleures augures.
Tout en se glissant dans la dense circulation de Boston elle ne put s'empêcher de chanter à tue-tête "I'm shipping up to Boston!!!!!! Wéééé Héééé Hoooo!!"
Erika était un bon élément, engagé par le FBI et souvent en collaboration avec le SHIELD, pour assister les héros dans des groupes commandos spéciaux, là où souvent les services normaux sont juste dépassé. Mais si y a bien une chose qu'elle a compris depuis ses 1ères classe, c'est qu'elle bossait pour l'état Américain. Et que l'état Américain, n'a pas les mêmes intérêts que le SHIELD bien souvent. Rien que la CIA, qui n'a pas les mêmes intérêts que le FBI, qui n'hésitait pas à user de service plus que douteux, sur des réseaux criminelles sous surveillance du FBI et/ou du SHIELD.
Les conflits avec la CIA qui avait ses petits secret à cacher sous le tapis ou à défendre, sont courant. Des criminelles qu'on relâche, des témoins qui disparaissent, des preuves détruites ou laboratoire clandestin mystérieusement vidé avant une intervention et des morts douteuses. Et des bras de fer s'engage et on est jamais sur de qui va gagner, mais bien souvent les intérêts les plus profitable au gouvernement. Pour Erika, c'était simple. Si c'est en dehors des clous de la loi et au détriment des citoyens, elle fera tout pour apporter justice. C'est ce qui l'avait fait se rapprocher du SHIELD et recruter par le FBI.
Et c'est en entrant dans un appartement complètement détruit du Massachusetts, qu'elle repensait à tout ça. Pourquoi ? Un appartement qui explose, peut être pour dissimuler des preuves, surtout quand c'est une personne sous surveillance de la police, après un épisode inexpliqué de rage l'ayant amener à tabasser un pauvre gars qui lui avait rien fait. Et qu'il n'est pas le premier. Des cas semblable avait été recensé à travers le pays, mais jamais criminelle, accident domestique. Une grosse tête en avait fait une compilation, ce qui avait attirer l'attention de plusieurs agents, dont Erika qui avait l'habitude de fouillé dans les archives, histoire d'être toujours à jours.
Le FBI avait toujours un œil sur toute les affaires de la police et un agent avait remonté les échanges de la police. Erika était dans le coin avec une collègue, on les avait envoyé en support, si on découvrait quelque chose d'inhabituelle, pour récupérer l'affaire. Elle intervenait en même temps que les pompiers, usant de son insigne et de sa formation en incendie criminelle, pour intervenir. Un ignare ne verrait rien, mais en discutant avec les pompiers, on établie rapidement la cause. Une fuite de gaz et une étincelle, mais l'origine de l'étincelle ? Une rapide inspection des traces de brûlures, et ce fut le micro-onde qui fut désigné. Rien d'exploitable, et le corps était méconnaissable, nécessitait une autopsie. Accident domestique, le type avait sûrement oublié un couvert en métal dans son plat, on était le week-end et d'après ses infos, le gars travaillait de nuit, il devait avoir la tête dans le cul pour faire attention.
L'affaire serait rapidement classé et sans suite. Comme à chaque fois. Mais Erika n'était pas chargé de la circulation. Son instinct la poussa à poursuivre plus loin. Les voisins avaient été évacué, beaucoup plus simple de les interroger plutôt que de faire du porte à porte. Si les ¾ n'apportèrent rien, un seul, le voisin d'en face, qui mentionna une personne qui était venue taper à sa porte pour une place de parking, ce qui n'était pas rare dans le coin. Et il était partie quand il y a eu l'explosion. La police ne s’embêterait pas à aller plus loin, d'ailleurs plusieurs agents étaient déjà là et un sergent semblait pas aimer sa présence, mais rien à foutre.
Ce qui retint son attention, fut une habitante de l'immeuble qui intervint, deux étages plus bas et qui avait croisé le dit homme dans la cage d'escalier. Un clodo. Encore un ivrogne, ça courrait les rues ici et les bâtiments de vrai gruyère. Rien de probant. Mais ça valait le coup. Elle interrogea les policiers pour connaître les coins à clodo, on se moqua d'elle mais on la renseigna. Elle fit signe à sa collègue d'aller chercher la voiture. Un coin n'était pas loin. Elle y alla à pied. Et rapidement elle tomba sur eux, sous un pont d'une route. Elle fut accueillit par des insultes et beaucoup s'enfuir.
-100 dollars contre une info.
Ça se calma et un se dirigea vers elle.
-Veut koi comme info la poulette ?
-Y a un gars d'ici qui est allez dans l'immeuble deux rues plus loin ? Dit-elle en lui donnant 50 dollar. La suite après.
-Mmrrhumpff. Fit-il, hésitant, grommelant. Peut-être bien que oui.
-Dit moi qui et c'est 150 dollars en plus.
-Euh...
-125
-quoi ?
-100
-LUI ! Gueula t-il en désignant un de ses comparses, qui s'enfuit.
Mais c'était une bicyclette fuyant une locomotive. Sans s’arrêter, elle envoya dans le décor un gars qui s'interposa, et chopa par le col le clodo rapidement. L'autre qui l'avait balancé, les avait poursuivit en gueulant vouloir sa récompense. Il heurta le dos de Erika, et tomba à la renverse. Elle lui donna ses dollars.
-Bien mon gars. Toi repose cette planche ou je te l'enfonce dans la gorge. Dit-elle en pointant du doigt un autre. Bien. Toi, pourquoi tu es allez dans l'immeuble.
-J... m'en souvient pas...
-T'es allez gueuler à Costello, qu'il avait piquer ta place.
-T'as vue ma gueule ? J'étais bourré. J'vivais dans ct'immeuble à une époque, une épiphanie
-Ouais, et pour 50 dollars ?
-On m'a demander de jouer la comédie. J'sais pas qui, j'sais pas pourquoi !
-Et pour 100 dollars en plus ?
-Euh... je... une femme, jeune, étudiante, super bonne, cheveux long et brun, l'air asiatique. T-shirt et casquette blanc, sac noir et un grand manteau. Et euh... plus petite que vous. J'sais pas plus.
-Bien. Tu m'accompagne. Pas envie que tu disparaisse.
Elle retourna à la voiture, le soulevant sans problème du sol, il osa rien dire ni bouger. Il fut enfermé à l'arrière, tandis que sa collègue l'interpella.
-Alors ?
-Je crois qu'on tient quelque chose de lourd. Ce type à été payé pour taper à la porte de la victime, avant l'explosion. Et il à la description de celle l'ayant payé. Une femme.
-Louche en effet.
-Pour moi c'est pas un accident. Imagine que le type à été tuer avant ? Et qu'on camoufle le crime avec un accident domestique qui souffle toute la pièce et le cadavre du bonhomme qui devient un tas de viande grillé ?
-Trop de coïncidence, mais c'est un peu le fond de notre job. J'amène le clodo au nid, on va le cuisiner, avec de la chance on trouva le signalement. On fait une patrouille ?
-Nan... ça vaut pas le coup. On va se contenter du clodo.
-Bon. On va le refourguer au nid. Ce soir y a les Dropkick Murphys, pas questions de les louper, mon mec à enfin du temps libre !
-Oh punaise oui ! Je commence le rapport maintenant, pas question de passer des heures au bureau !
Les conflits avec la CIA qui avait ses petits secret à cacher sous le tapis ou à défendre, sont courant. Des criminelles qu'on relâche, des témoins qui disparaissent, des preuves détruites ou laboratoire clandestin mystérieusement vidé avant une intervention et des morts douteuses. Et des bras de fer s'engage et on est jamais sur de qui va gagner, mais bien souvent les intérêts les plus profitable au gouvernement. Pour Erika, c'était simple. Si c'est en dehors des clous de la loi et au détriment des citoyens, elle fera tout pour apporter justice. C'est ce qui l'avait fait se rapprocher du SHIELD et recruter par le FBI.
Et c'est en entrant dans un appartement complètement détruit du Massachusetts, qu'elle repensait à tout ça. Pourquoi ? Un appartement qui explose, peut être pour dissimuler des preuves, surtout quand c'est une personne sous surveillance de la police, après un épisode inexpliqué de rage l'ayant amener à tabasser un pauvre gars qui lui avait rien fait. Et qu'il n'est pas le premier. Des cas semblable avait été recensé à travers le pays, mais jamais criminelle, accident domestique. Une grosse tête en avait fait une compilation, ce qui avait attirer l'attention de plusieurs agents, dont Erika qui avait l'habitude de fouillé dans les archives, histoire d'être toujours à jours.
Le FBI avait toujours un œil sur toute les affaires de la police et un agent avait remonté les échanges de la police. Erika était dans le coin avec une collègue, on les avait envoyé en support, si on découvrait quelque chose d'inhabituelle, pour récupérer l'affaire. Elle intervenait en même temps que les pompiers, usant de son insigne et de sa formation en incendie criminelle, pour intervenir. Un ignare ne verrait rien, mais en discutant avec les pompiers, on établie rapidement la cause. Une fuite de gaz et une étincelle, mais l'origine de l'étincelle ? Une rapide inspection des traces de brûlures, et ce fut le micro-onde qui fut désigné. Rien d'exploitable, et le corps était méconnaissable, nécessitait une autopsie. Accident domestique, le type avait sûrement oublié un couvert en métal dans son plat, on était le week-end et d'après ses infos, le gars travaillait de nuit, il devait avoir la tête dans le cul pour faire attention.
L'affaire serait rapidement classé et sans suite. Comme à chaque fois. Mais Erika n'était pas chargé de la circulation. Son instinct la poussa à poursuivre plus loin. Les voisins avaient été évacué, beaucoup plus simple de les interroger plutôt que de faire du porte à porte. Si les ¾ n'apportèrent rien, un seul, le voisin d'en face, qui mentionna une personne qui était venue taper à sa porte pour une place de parking, ce qui n'était pas rare dans le coin. Et il était partie quand il y a eu l'explosion. La police ne s’embêterait pas à aller plus loin, d'ailleurs plusieurs agents étaient déjà là et un sergent semblait pas aimer sa présence, mais rien à foutre.
Ce qui retint son attention, fut une habitante de l'immeuble qui intervint, deux étages plus bas et qui avait croisé le dit homme dans la cage d'escalier. Un clodo. Encore un ivrogne, ça courrait les rues ici et les bâtiments de vrai gruyère. Rien de probant. Mais ça valait le coup. Elle interrogea les policiers pour connaître les coins à clodo, on se moqua d'elle mais on la renseigna. Elle fit signe à sa collègue d'aller chercher la voiture. Un coin n'était pas loin. Elle y alla à pied. Et rapidement elle tomba sur eux, sous un pont d'une route. Elle fut accueillit par des insultes et beaucoup s'enfuir.
-100 dollars contre une info.
Ça se calma et un se dirigea vers elle.
-Veut koi comme info la poulette ?
-Y a un gars d'ici qui est allez dans l'immeuble deux rues plus loin ? Dit-elle en lui donnant 50 dollar. La suite après.
-Mmrrhumpff. Fit-il, hésitant, grommelant. Peut-être bien que oui.
-Dit moi qui et c'est 150 dollars en plus.
-Euh...
-125
-quoi ?
-100
-LUI ! Gueula t-il en désignant un de ses comparses, qui s'enfuit.
Mais c'était une bicyclette fuyant une locomotive. Sans s’arrêter, elle envoya dans le décor un gars qui s'interposa, et chopa par le col le clodo rapidement. L'autre qui l'avait balancé, les avait poursuivit en gueulant vouloir sa récompense. Il heurta le dos de Erika, et tomba à la renverse. Elle lui donna ses dollars.
-Bien mon gars. Toi repose cette planche ou je te l'enfonce dans la gorge. Dit-elle en pointant du doigt un autre. Bien. Toi, pourquoi tu es allez dans l'immeuble.
-J... m'en souvient pas...
-T'es allez gueuler à Costello, qu'il avait piquer ta place.
-T'as vue ma gueule ? J'étais bourré. J'vivais dans ct'immeuble à une époque, une épiphanie
-Ouais, et pour 50 dollars ?
-On m'a demander de jouer la comédie. J'sais pas qui, j'sais pas pourquoi !
-Et pour 100 dollars en plus ?
-Euh... je... une femme, jeune, étudiante, super bonne, cheveux long et brun, l'air asiatique. T-shirt et casquette blanc, sac noir et un grand manteau. Et euh... plus petite que vous. J'sais pas plus.
-Bien. Tu m'accompagne. Pas envie que tu disparaisse.
Elle retourna à la voiture, le soulevant sans problème du sol, il osa rien dire ni bouger. Il fut enfermé à l'arrière, tandis que sa collègue l'interpella.
-Alors ?
-Je crois qu'on tient quelque chose de lourd. Ce type à été payé pour taper à la porte de la victime, avant l'explosion. Et il à la description de celle l'ayant payé. Une femme.
-Louche en effet.
-Pour moi c'est pas un accident. Imagine que le type à été tuer avant ? Et qu'on camoufle le crime avec un accident domestique qui souffle toute la pièce et le cadavre du bonhomme qui devient un tas de viande grillé ?
-Trop de coïncidence, mais c'est un peu le fond de notre job. J'amène le clodo au nid, on va le cuisiner, avec de la chance on trouva le signalement. On fait une patrouille ?
-Nan... ça vaut pas le coup. On va se contenter du clodo.
-Bon. On va le refourguer au nid. Ce soir y a les Dropkick Murphys, pas questions de les louper, mon mec à enfin du temps libre !
-Oh punaise oui ! Je commence le rapport maintenant, pas question de passer des heures au bureau !
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Le soir était venue, finit le boulot et pas d'astreinte ! Erika avait revêtit une de ses tenues de cuir favorite avant d'aller chevaucher sa Harley Davidson Nightster. Elle fila comme flèche. Son arrivé ne fut pas discrète, faisant vrombir le moteur plus que de raison, juste pour le kif, avant de s'arrêter. Et sa taille n'aidé pas, elle dépasse largement la moyenne des gens de 2 têtes et sa tenue était plutôt moulante, rien ne cachant le renflement au niveau de son entrejambe. Elle devrait arrêter les donuts, elle se sentait un peu boudiné. Antivol et autre installé, elle se dirigea vers l'estrade. Une bonne soirée en perspective ! Fallait juste trouver les collègues, elle avait un peu de retard.