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Essayage de tenues sensuelles [Vanillia Warren]

Posté : 17 août 2024 01:36
par Mélinda Warren
Cela faisait maintenant plusieurs semaines que Mélinda avait participé au rituel divin de Lust dans son plan de luxure, Lusst’ghaa. Plusieurs semaines que Mélinda avait subi une véritable renaissance. Pour lui permettre de féconder, il avait fallu pratiquer un rituel complexe, l’amenant plus proche que jamais de la mort. Son corps avait été vidé de son sang, jusqu’à la plus petite dernière goutte, et ce sang avait été mélangé avec celui de la Déesse Aphrodite. Jamais pareille expérience n’avait été tentée. Il avait fallu que la Déesse et la vampire se fassent compulsivement et frénétiquement l’amour pour que leur sang rythme en harmonie. Un rituel expérimental, qui avait donné à Vanillia des nuits blanches. Le sang d’un vampire était-il vraiment compatible avec celui d’une Déesse ? Le sang avait été mélangé, tandis que Mélinda avait été placé en hypothermie. Sans aucune goutte de sang, le corps humain, y compris vampirique, ne pouvait survivre que quelques dizaines de minutes. Finalement, le sang de Mélinda lui avait été réinjecté, après avoir été mélangé avec celui d’Aphrodite.

Un miracle divin qui avait abouti à ce que Mélinda ait surmonté l’éternelle malédiction des vampires, l’incapacité à procréer. En revenant à la vie, elle avait à son tour offert son nouveau sang à Vanillia, puis avait laissé sa femme l’enfanter. Un bébé se développait désormais dans son ventre, et il ne se passait pas une journée sans que Vanillia ne mène des examens. Elle voulait s’assurer que tout allait bien. Mélinda, elle, était convaincue que tout irait bien. Des deux, Vanillia était toutefois celle qui était la plus inquiète… Ce qui était très paradoxal, car elle était aussi bien plus puissante que Mélinda, et bien plus érudite qu’elle.

Mélinda et elle se trouvaient ce soir au château, et Vanillia continuait à travailler tard dans le laboratoire, expérimentant sur les nouvelles propriétés de ce sang vampirique divin, recherchant dans les archives de sa famille les références à un sang de cette qualité. Elle s’était notamment intéressée aux textes concernant Kanchelsis, le Dieu des vampires, une figure mystique et mythique. Dieu ou plus puissant des vampires, la notion était floue. De plus, elle savait que son propre père avait toujours cherché à améliorer le sang des vampires, à devenir un « Vampire Ascendant », c’est-à-dire un vampire parfait, qui aurait toutes les qualités des plus puissants vampires, mais sans leurs faiblesses. Pour réaliser cela, il avait souhaité sacrifier sa propre fille. Mélinda savait que Vanillia se demandait si, à leur manière, ce bébé issu d’une union avec une Déesse n’était pas en passe de faire partie d’une nouvelle race de vampire.

Seulement, il ne fallait pas négliger Mélinda ! La vampire avait passé une partie de la soirée à faire l’amour avec plusieurs de ses esclaves. Depuis qu’elle était enceinte, ses hormones réagissaient étrangement. De base, Mélinda était déjà nymphomane, mais, maintenant qu’elle avait en elle un sang béni par Aphrodite, et une grossesse, elle avait du mal à rester calme. Ce soir, donc, plusieurs de ses esclaves étaient venus lui apporter une nouvelle collection de tenues érotiques. Mélinda leur avait donc fait l’amour, puis avait enfilé l’une de ces tenues. Elle attendait désormais, dans la chambre commune, que sa femme revienne du laboratoire.

*Je t’attends, mon amour…*

La pièce était plongée dans l’oibscurité. Quand Vanillia finit par arriver, elle entendit la porte s’ouvrir, puis les flammes s’allumèrent. Le corps de Mélinda apparut alors. Couchée sur le flanc, la pièce était encore nimbée d’une irrésistible aura de sexe. Mélinda portait un justaucorps noir moulant très court, avec un décolleté plongeant et vertigineux en forme de long losange, avec des chaînettes argentées et enchantées au milieu. Le justaucorps remontait jusqu’à son cou, et comprenait sur les côtés des résilles, ainsi que, pour finir, des collants en dentelles en bas se terminant par des cuissardes à talons. Le tout se terminait par une paire de gants opéra noirs.

Mélinda sourit en sentant le sang de Vanillia bouillonner à cette vue.

« Bonsoir, mon amour. Nous avons reçu la nouvelle gamme de tenues dont je t’ai parlé hier… Mais tu n’étais pas là, donc j’ai préféré ne pas te déranger, et j’en ai essayé une. Je dois toutefois t’avouer que j’ai un peu froid dedans… Et puis… »

Elle se retourna alors, se couchant sensuellement sur le ventre, donnant à Vanillia une vue plongeante sur son délicieux petit cul.

« …J’ai l’impression que cette tenue descend mal au niveau des fesses. Tu en penses quoi ? » demanda-t-elle en toute innocence.

Re: Essayage de tenues sensuelles [Vanillia Warren]

Posté : 17 août 2024 01:36
par Vanillia Warren
Vanillia se mettait une pression gigantesque sur les épaules depuis plusieurs semaines maintenant. Non pas que cela change techniquement quoi que ce soit à ce qu'elle faisait d'ordinaire, mais tout le processus pour que Mélinda puisse enfin tomber enceinte, et le fait qu'elle le soit maintenant avec toutes les incertitudes que cela impliquait, rendait forcément l'esprit analytique de Vanillia en ébullition constante. Elle qui était du genre à vouloir tout contrôler et calculer, surtout lorsqu'il s'agissait de choses aussi importantes que le bon développement du foetus de leur future fille, ne s'octroyait donc quasiment plus de moment de répit. Cela faisait trois bonnes semaines qu'elle alternait son temps entre Mélinda, dont elle surveillait très régulièrement l'état, son laboratoire, et les gigantesques archives et bibliothèques familiales. Elle était en quête de réponses après le rituel que Mélinda avait fait avec la déesse Aphrodite pour se purger de cette malédiction d'infertilité, car si il avait été couronné de succès, Vanillia avait senti pendant un moment que Mélinda avait été techniquement morte, et avait ressenti pendant ces longues secondes un sentiment effroyable où toute envie de vivre avait disparu en elle. Vanillia avait été consciente des conséquences qu'un mariage vampirique impliquait, et ce n'était pas proprement pour pallier à cet aspect de leur union qu'elle faisait autant de recherches, mais plus parce que son amour inconditionnel pour Mélinda avait...passé un autre cap après avoir eu autant peur de la perdre. Elle s'en voulait, quelque part, de ne pas avoir été capable par ses propres recherches d'offrir à Mélinda une alternative moins dangereuse de se soigner, et maintenant qu'elles étaient enfin parvenues les deux à concevoir un enfant, Vanillia mettait plus qu'un point d'honneur à faire en sorte que la grossesse se déroule bien, c'était même une véritable obsession. Et puis, il y avait aussi toutes les questions que la naissance de leur fille allait engendrer, car si elle ne serait de toute évidence pas une vampire classique...qu'allait-elle devenir ?

Vanillia était pour ainsi dire submergée  de questionnements et d'inquiétudes, elle se plongeait dans ses études pour y trouver des réponses. Mais là, présentement, la belle vampire marchait dans un des longs couloirs du domaine familial pour rejoindre la chambre principal, que bien évidemment elle partageait avec Mélinda. Elle s'y rendait pour passer un peu de temps avec elle, vérifier son état de santé et celui de leur fille qui était en train de grandir dans son ventre. Son esprit purement analytique aurait pu encore continuer pendant des jours à faire ces études sans discontinuer, mais elle avait bien conscience qu'elle n'était pas seule dans cette histoire, et que Mélinda avait un besoin physique qu'elles se voient, qui était partagé. Après tout ce temps, Vanillia devait encore parfois "s'habituer" à être autant dépendante émotionnellement d'une autre personne, mais ne plus être seule comme elle avait pu l'être par le passé était...ça valait bien le fait de quitter ses tanières d'études pour passer un peu de bon temps, enfin.
Elle arriva donc en vue des doubles portes au style gothique qui caractérisaient tant la demeure ancestrale des Carlberg, qui s'ouvrirent magiquement à son arrivée, avant de se refermer une fois le pas de la porte passé. Elle était dans une sorte de salle de transition, avant de faire son petit chemin jusqu'à la chambre à coucher elle même, que Vanilla vit comme étant plongée dans l'obscurité.

Mélinda ?

Vanillia n'était toutefois nullement inquiète, une pièce plongée dans la pénombre où sa femme était censée se trouver, c'était très souvent le signe d'une surprise à venir, et ce fut effectivement le cas. Les lumières s'allumèrent par magie, dont le feu de cheminée qui contribuait grandement à la luminosité et à la chaleur du lieu. Le regard de la vampire se posa donc sur sa femme qui était allongée de façon très sensuelle sur leur lit, et dans une tenue qui...ne manqua pas de faire manquer un battement de coeur ou deux à Vanillia. C'était donc ça, une des fameuses "tenues" dont elle lui avait vaguement parlée hier. Depuis que Mélinda avait fait découvrir à Vanillia l'existence de la Terre ainsi que de certaines de ses spécificités, cette dernière s'était aussi découverte un certain amour pour le latex, ou plus précisément, qu'elle adorait quand sa femme en portait en se montrant aussi séductrice qu'elle pouvait l'être. Elle ne le faisait pas systématiquement, pour ne pas qu'une lassitude s'installe, car elles aimaient changer et pimenter leur vie amoureuse, mais c'était une carte qu'elle sortait souvent quand Vanillia se trouvait trop...absorbée à son goût par d'autres sujets. La vampire pencha la tête sur le côté quand Mélinda s'allongea alors sur le ventre, lui offrant une belle vue sur sa croupe, un léger sourire aux lèvres qui parvenait même à se dessiner.

Hum...j'en pense qu'il faudrait que j'examine ça de plus près pour te donner mon avis sur la question.

Vanillia et Mélinda étaient en couple depuis maintenant assez longtemps pour qu'elle puisse lire les messages, somme toute, bien peu subtils, qu'elle lui envoyait quand elle ressentait le besoin particulier qu'elles fassent l'amour. Elle se rapprocha donc, faisant claquer au sol les talons de ses bottes, le tissu de sa longue robe noire flottant juste au dessus du sol de façon élégante, avant qu'elle ne vienne délicatement s'asseoir sur le rebord du lit, non loin de Mélinda. Elle glissa alors une délicate main sur les fesses de sa femme, glissant le bout de ses doigts, avec ses longs ongles, contre la fabrique de son justaucorps, et plus particulièrement sur les pourtours qui moulaient ses fesses.

Ma foi, tout ça m'a l'air de mettre en valeur ton fessier comme à l'accoutumée, c'est à dire divinement bien. Après, peut-être suis-je biaisée, vu que je te trouve belle dans n'importe quelle tenue.

Elle s'amusa cependant à tirer sur la tenue, de façon à faire d'avantage rentrer les plis dans la raie des fesses de Mélinda, de façon à donner un effet d'avantage string, libérant bien plus ses deux belles fesses qu'elle lui présentait de façon aussi insolente.

Mais je dois admettre que tu as l'air d'avoir décidée de me sortir le grand jeu ce soir mon amour. Est-ce que...je t'ai trop négligée ces derniers temps ?

Re: Essayage de tenues sensuelles [Vanillia Warren]

Posté : 17 août 2024 01:37
par Mélinda Warren
Elles se complétaient mutuellement, aussi proches que différentes. Cela rendait leur amour tenable. Chacune était ambitieuse à sa manière. Vanillia était plus cérébrale que Mélinda, qui fonctionnait de manière plus instinctive et reptilienne. Ainsi, chacune comblait naturellement les défauts de l’autre. Sous sa rigueur intense, Vanillia masquait son manque de confiance, cette fragilité résultant de son enfance, de ce père dictatorial qui l’avait éduqué pour en faire un gibier de potence. Mélinda et Vanillia formaient donc un duo dynamique.

Lorsque Vanillia vit sa femme ainsi lascivement étalée, son sang ne fit qu’un tour. L’un des passe-temps favoris de Mélinda était de régulièrement déconcentrer sa femme, de la sortir de ses grimoires et de ses formules, et, dans ce domaine, Mélinda multipliait les techniques et les méthodes, surprenant et excitant toujours sa femme, réveillant en elle ce côté reptilien et bestial qui lui donnait envie de la baiser avec force.

Elle entendit les talons claquer sur le sol, puis Vanillia s’assit à côté d’elle. Elle portait une belle robe noire gothique, et n’avait même pas vu le présentoir sur lequel figuraient les autres tenues courtes… Car Mélinda comptait bien lui en enfiler une ! Elle soupira en l’état quand elle sentit les deux mains gantées de sa femme parcourir sa croupe, tirant sur le bas de sa tunique pour la resserrer sur sa croupe, libérant ainsi totalement ses fesses, formant deux beaux obus bien ronds.

« Hmmm… Là, oui, réchauffe-moi… »

Elle sentait les mains de Vanillia malaxer ses fesses. C’était un contact doucereux, très agréable. Mélinda s’appuyait sur ses bras croisés, mais elle finit par tourner la tête quand Vanillia, d’une voix un peu moins assurée, lui demanda si elle ne la négligeait pas trop en ce moment.

Mélinda sourit doucement, et se retourna alors, s’appuyant sur ses avant-bras, et posa son pied contre le corps de Vanillia en repliant sa jambe.

« Ça, c’est une question-piège… Si je dis que tu m’as négligé, tu vas t’en vouloir. Si je te dis l’inverse, tu vas m’en vouloir. Je préfère donc te répondre en te disant que ça fait partie de notre dynamique. Toi, tu travailles, et moi, je viens te perturber dans ta concentration… Mais, maintenant, je suis enceinte, et j’ai un bébé qu’il faut nourrir. »

Mélinda sourit encore, puis désigna ensuite du regard le présentoir.

« Il y a ton pyjama là-dedans. »

Elle se redressa un peu, et s’agenouilla devant Vanillia. Mélinda l’embrassa ensuite, avec appétit et tendresse.

« J’aime ce côté sérieux chez toi… Ça me donne toujours envie de te faire sortir de tes gonds, j’aime quand tu laisses parler ta frustration, et que tu me baises avec force. J’ai spécialement choisi cette tenue pour ça… Si tu n’es pas trop fatiguée, bien sûr… »

Re: Essayage de tenues sensuelles [Vanillia Warren]

Posté : 17 août 2024 01:37
par Vanillia Warren
C'était un héritage provenant de décennies d'abus en tous genre de la part de son père, et qui mettrait sans doute autant de temps si ce n'est plus à complètement disparaître, un grand manque de confiance en soi. Vanillia s'était tellement faite rabaisser à l'époque qu'une partie d'elle avait fini par l'accepter comme une réalité, et elle avait du mal à complètement se débarrasser de cette image d'elle même. Vanillia avait donc peur de ne pas être à la hauteur de cette relation exceptionnelle qu'elle avait avec Mélinda, et plus que tout, elle avait peur de la perdre. C'était une angoisse qui s'était renforcée ces derniers temps avec le succès de leurs longues tentatives de concevoir un enfant. Mélinda était enceinte, mais les procédés qui avaient été utilisés pour rendre ce miracle possible avaient été dangereux, et même maintenant alors qu'elle était enceinte, le déroulement de la grossesse allait être une grande plongée dans l'inconnu car c'était une première qui n'avait jamais été documentée, pour autant que Vanillia pouvait en conclure. C'était la raison pour laquelle, et encore plus que d'ordinaire, la vampire passait du temps dans ses grimoires, à se perdre dans les gigantesques archives et bibliothèques dont elle avait héritée. Vanillia n'aimait pas les sauts dans l'inconnu, et elle n'aimait pas être incapable de s'assurer que tout irait bien, mais elle était tellement focalisée sur ça qu'il lui arrivait, souvent, de ne pas se rendre compte qu'elle en négligeait d'être aux côtés de Mélinda. Et quand elle le réalisait, elle s'en voulait, et la spirale de culpabilité et d'impuissance menaçait encore et toujours de l'emporter à nouveau.
Mélinda faisait toutefois preuve de beaucoup de patience à l'encontre de ça, sans doute parce que en retour, Vanillia tolérait que Mélinda vienne la "déranger". Cela faisait sans doute un moment que les deux vampirezs n'avaient pas vraiment partagées leur couche ensemble, et ce soir, Mélinda faisait savoir qu'il fallait y remédier. Mélinda se retourna, tout en posant ses pieds proche de Vanillia, et alors qu'elle parlait pour la réconforter, et se rapprocher d'elle pour l'embrasser, Vanillia sentait des mauvaises pensées se dissipper petit à petit. Mélinda pouvait généralement sembler aux antipodes de Vanillia, mais c'était aussi pour ça que leur couple fonctionnait aussi bien, elle se complétaient mutuellement, et être la femme de Mélinda se révélait être une forme de thérapie somme toute...assez efficace pour Vanillia qui, même si elle avait encore un long chemin à parcourir pour se soigner de ses traumatismes passés, avait fait des progrès grâce à l'aide de sa femme.

Merci, d'être patiente avec moi, ma chérie.

Vanillia regardait son épouse avec beaucoup de tendresse, et l'embrassa à son tour, d'abord très délicatement, avant de juste au moment de se retirer, lui mordiller la lèvre à l'aide de ses canines, transformant au passage son regard vers quelque chose de plus...taquin et affamé.

Je pense que même aux portes de la mort, ta simple présence serait suffisante pour me donner assez d'énergie pour vouloir, comme tu le dis si bien, te baiser avec force. Et puis, comment résister à pareille tenue ? Je me dois de t'honorer comme il se doit, comme tu le souhaites, et surtout comme tu le mérites...

Cette dernière partie de sa phrase fût prononcée d'une façon très sensuelle, qui commençait à faire émaner chez elle la noble vampire qu'elle était. Elle glissa le revers de sa main sur le menton de sa belle avant de se redresser du lit. D'un geste de la main, Vanillia usa de sa magie pour que les vêtements qu'elle était en train de porter ne s'enlèvent de son corps, de sorte à ce qu'elle se retrouve complètement nue en faisant face au présentoir. De nombreuses tenues et ensembles, toutes plus sexy les unes que els autres, étaient en évidence ici, et il n'y avait que l'embarras du choix. Vanillia tournait ainsi le dos à Mélinda, qui pouvait voir la magnifique chute de reins de sa belle, ainsi que sa longue queue caudale qui remuait naturellement de gauche à droite, signe de l'excitation qui parcourait Vanillia.

Donc...une tenue qui correspondrait à "je veux baiser fort ma femme, qui s'est habillée comme une vulgaire prostituée soumise", voyons voir...

Vanillia fit mine, pendant quelques temps, d'hésiter sur la tenue à choisir. Son choix était déjà fait, mais elle allait s'amuser à quelque peu, également, frustrer sa femme. Ce soir, elles allaient essayer moultes tenues, ou peut-être même allaient-elles rester ensemble plus qu'une seule nuit pour compenser, mais quoi qu'il en soit, Vanillia revêtait ici son rôle qui allait être celle de la dominatrice, qui, quand elle était encouragée par sa femme, lui allait tellement bien. Elle termina le suspense en finalement "choisissant" sa tenue, et claqua des doigts pour animer par magie l'ensemble qui se mit à léviter, et à s'enfiler de lui même sur Vanillia. Mélinda la verrait d'abord de dos avant que, progressivement, Vanillia ne se retourne pour permettre à sa femme de la voir dans toute sa splendeur de dominatrice. Vanillia se rapprocha alors de quelques pas, puis monta l'une de ses jambes pour la poser sur le rebord du matelas, le pied posé dessus et la jambe faisant avec son genoux une équerre à 90 degrés.

Qu'en penses-tu ? Est-ce assez à ton goût pour que tu m'appelles "Maîtresse" et que tu vienne me lécher comme une chatte en chaleur ?

Re: Essayage de tenues sensuelles [Vanillia Warren]

Posté : 17 août 2024 01:37
par Mélinda Warren
Si elles avaient été exactement similaires, leur couple n’aurait pas marché. Mélinda et Vanillia étaient de fait effectivement bel et bien complémentaires. Vanillia était paradoxalement bien plus puissante que Mélinda, mais souffrait d’un manque de confiance que Mélinda n’avait pas. La vampire s’était développée toute seule, et elle avait dû protéger ses esclaves, diriger son harem, et s’imposer petit à petit. Alors, Mélinda avait appris à être sûre d’elle. Vanillia était aussi beaucoup plus sérieuse et calme qu’elle, mais, quand Mélinda la motivait bien, la pudique Vanillia devenait alors beaucoup plus perverse. C’était ce manque de confiance qui poussait Vanillia à étudier, encore et encore, et qui l’amenait parfois à douter de toi, même de l’amour de sa femme. Mélinda apprenait petit à petit à gérer ça. Elle sourit donc quand Vanillia répondit à son baiser, et quand elle mordilla sa lèvre inférieure. La pointe de douleur qui se diffusa en elle exalta Mélinda, qui commença alors à frissonner sur place, anticipant avec envie la suite du programme.

« Hmmmm… Tu sais toujours comment me parler, mon amour… »

Vanillia rejoignit alors le présentoir, tout en usant de sa magie pour finir toute nue. Mélinda se retourna sur le lit et se mordilla les lèvres, ses yeux glissant naturellement de la chute de dos de Vanillia à ses magnifiques fesses musclées. Une femme callipyge, assurément ! Mélinda se mordilla les lèvres, devant résister à l’envie d’embrasser ce cul, de le malaxer. La queue caudale de Vanillia remuait de droite à gauche, et Mélinda se caressa fugacement le cou, se rappelant toutes les fois où sa femme l’étranglait avec, tout en ‘enfonçant la pointe de sa queue dans sa chatte. Elle s’amusait à regarder chaque tenue, comme pour chercher quoi choisir. Il y avait un ensemble de lingerie fine, de dentelle, mais aussi des tenues plus érotiques, en cuir ou en latex. Mélinda savait que sa femme aimait le nylon, la dentelle, mais aussi le cuir, et, plus généralement, tout ce qui était lié au gothique. Mais, influence de Mélinda oblige, elle succombait parfois au latex et aux tenues moulantes.

Prenant tout son temps, Vanillia promenait sa main sur les tenues. Elle savait comment faire monter la tension quand elle s’y mettait. Finalement, sa magie s’anima, et une tenue s’envola de son cintre, puis se mit sur le corps de Vanillia. Le sang de Mélinda s’enflamma, s’accéléra, la gorge de la vampire s’assécha en voyant les collants noirs, un amour pour toute fétichiste digne de ce nom, ses longs gants opéra finissant en mitaines, la ficelle d’une culotte noire gothique, et les lanières croisées au centre d’un magnifique bustier. Vanillia se retourna ensuite, et se rapprocha sensuellement du lit, puis posa son pied dessus, près de Mélinda. Les rougeurs qui apparurent sur ses joues pâles témoignaient de son attirance.

« Ooh.. »

Mélinda, qui était assise sur ses genoux, se laissa glisser en avant, et finit ainsi à quatre pattes. Le choix était évident, et la langue de Mélinda glissa sur le collant, près du mollet.

« Maîtresse sait comment me parler… »

Des deux, Mélinda était aussi celle qui incarnait le plus facilement la soumise. Après tout, elle avait grandi esclave. Elle lécha donc, puis déposa un baiser, et commença à descendre. Elle léchait le collant, filant du haut vers le bas, jusqu’au pied, où elle lécha la peau nue de Vanillia, puis embrassa ensuite la pointe de la chaussure. Sa langue repartit ensuite sensuellement à l’assaut, et lécha le talon de Vanillia, frémissant doucement, avant de remonter, en déposant une série de baisers et de longs coups de langue, faisant doucement crisser le latex…