[Franklin] In nomine licentia (PV Helena Wayne) (Terminé)
Posté : 18 août 2024 20:42
Il y a toute sorte de criminels. Des sadiques, des voleurs, des violeurs, des manipulateurs.... Ils sont assassins, patron de la pègre, chef de gang et parfois, à la tête d'un culte. Et c'est précisément le cas de l'antagoniste de cette histoire. Transportons-nous dans une ville qui n'est pas très loin de l'iconique Gotham: Franklin (la 36 ème agglomération du pays à porter ce nom) dont la principale caractéristique est d'être... Complètement insignifiante. Pas de crime majeur, pas de chômage élevé, pas de pauvreté alarmante, rien qui intéresse les journalistes même locaux ne serait qu'avec un festival local.
Ou tout du moins, c'était le cas jusqu'à ce qu'il y ait une semaine où une vague de terreur est en train de balayer la ville. Cela a commencé avec une bizarrerie. Un homme complètement fou parlant d'apocalypse qui a subitement pris feu et qui a rapidement succombé à ses blessures.
Quelques heures plus tard, une jeune femme entre dans le poste de police local, demande si les beignes sont bons et explose, détruisant le bâtiment. Si une enquête doit être faite, le plus curieux est l'absence complète d'explosif artificiel.
La caserne de pompiers et l'hôpital suivront le lendemain.
Franklin est la cible de quelque chose ou quelqu'un. Les gens n'explosent pas comme ça sans crier gare, ils ne prennent pas en feu et il n'y a aucune raison valable pour qu'une ville si inintéressante, si insignifiante soit choisie pour... Ça. Sauf si bien sûr, comme on commence à le remarquer, la présence d'un tatouage au bras de certaines personnes... Ces mêmes personnes qui n'hésitent pas à se sacrifier à la gloire d'on ne sait qui.
Il y a un grave danger à Franklin. Et comme tout grave danger, il faut un héros pour le régler. Dans ce cas, une héroïne.
Bienvenue à Franklin, T-1 avant une mini apocalypse.
Ou tout du moins, c'était le cas jusqu'à ce qu'il y ait une semaine où une vague de terreur est en train de balayer la ville. Cela a commencé avec une bizarrerie. Un homme complètement fou parlant d'apocalypse qui a subitement pris feu et qui a rapidement succombé à ses blessures.
Quelques heures plus tard, une jeune femme entre dans le poste de police local, demande si les beignes sont bons et explose, détruisant le bâtiment. Si une enquête doit être faite, le plus curieux est l'absence complète d'explosif artificiel.
La caserne de pompiers et l'hôpital suivront le lendemain.
Franklin est la cible de quelque chose ou quelqu'un. Les gens n'explosent pas comme ça sans crier gare, ils ne prennent pas en feu et il n'y a aucune raison valable pour qu'une ville si inintéressante, si insignifiante soit choisie pour... Ça. Sauf si bien sûr, comme on commence à le remarquer, la présence d'un tatouage au bras de certaines personnes... Ces mêmes personnes qui n'hésitent pas à se sacrifier à la gloire d'on ne sait qui.
Il y a un grave danger à Franklin. Et comme tout grave danger, il faut un héros pour le régler. Dans ce cas, une héroïne.
Bienvenue à Franklin, T-1 avant une mini apocalypse.
Jeannie incarne:

Shayne Hannigan, Aussi connue sous le nom de Miss Fortune ou Sir Prize.

Shayne Hannigan, Aussi connue sous le nom de Miss Fortune ou Sir Prize.
Franklin. Une petite ville si tranquille, si paisible. Si dégueulassement insipide et ordonnée. Mais nous allons remédier à tout ceci, n’est-ce pas? Ce serait quand même dommage de les laisser dans cet état passif et complaisant. Un peu de chaos n’a jamais tué personne… En fait si. Si. Bien souvent même. Comment j’ai découvert cette ville, je ne m’en souviens plus et c’est sans importance. Probablement un des fanatiques à ma botte qui l’a mentionné dans une conversation. Comme si j’écoutais tout ce que ce troupeau insignifiant a à dire. Tant qu’ils se sacrifient en mon nom, le reste, je m’en fous. J’ai un ego à satisfaire. Et ils sont le combustible pour les flammes de ce dernier. Et ils se sacrifient pour moi. Je les transforme en bombes vivantes, je les envoie en mission et au moment opportun… BOUM! Mais comme le gore, c’est plutôt chiant, je préfère un truc plus pyrotechnique et spectaculaire.
Évidemment, comme dans n’importe quoi, il y en a qui pense qu’ils peuvent quitter le troupeau quand bon leur semble. Non. Certainement pas. Je suis possessive de mes jouets et ceux qui ne collaborent pas ne vivent pas très longtemps. La preuve, ce vieux fou n’a pas eu le temps de dire grand-chose avant de finir en bougie humaine. Quant au reste, c’est toujours drôle de voir ô combien ces pathétiques créatures que sont les humains sombrer dans le chaos le plus totale quand on brise leur illusion de sécurité. Plus de police, plus de pompiers, plus de médecins ou d’ambulanciers : je veux m’assurer que ce que je vais défaire le reste et que personne ne vienne déranger ma plus récente œuvre d’art. Comme je me délecte de toute cette incompréhension, de cette terreur, de ce désespoir… Ça se déguste à la petite cuillère, ça. Il faut savoir apprécier les bonnes choses dans la vie. Encore que ce que j’aime et que vous aimez sera bien différent.
Naturellement, je veux pouvoir observer le carnage et il me faut donc un endroit où garder mes fidèles avant de les lâcher sur la population. Ça tombe bien, j’aime le look de cette centrale désaffectée. Et puis du reste, ce n’est pas comme si j’en avais quelque chose à faire qu’ils ne dorment pas dans des lits. À la dure, sur le sol et puis hop. On en a bien assez des sacs de couchage. Et pour les nourrir… Je dirais qu’avec tout le bordel ambiant, ils vont très certainement pouvoir piller ce dont ils ont besoin des commerces qui étaient dans les environs des premières explosions. Les gens n’aiment pas rester à proximité des scènes de sinistres. Moi… Je n’ai pas ce genre de problème. Et sur mon calendrier, j’ai choisi mes nouvelles cibles pour la semaine. Jusqu’à ce que quelqu’un finisse enfin par réagir. Alors… Hier soir juste avant le repas du soir, on a fait sauter l’église, ce matin c’était la station de nouvelles…
À un moment donné il ne restera plus de cibles intéressantes. On se rabattra sur les habitations, c’est tout. Et les paris vont bon train pour savoir quand enfin quelqu’un va venir interférer dans mes affaires. Moi? C’est de peu d’intérêt. Oh ce serait une distraction intéressante, je ne dis pas. Mais quand bien même il ne se passerait rien, ce ne serait pas plus mal. J’aurais eu mon petit carnage et c’est parfait comme ça. Si je termine tout avant que les « ennuis » ne se pointent, je me contenterai simplement de signer mon œuvre avant de partir. Tout grand artiste se doit de signer son œuvre. C’est pratiquement une obligation. Pas une loi non écrite. Non. Je ne les suis pas, les lois. Ça n’a jamais été mon genre. Je suis née des plus sombres émotions, je ne suis pas du genre à me laisser imposer. C’est plutôt l’inverse en fait. Et ça me convient parfaitement. Bon allez, je vais aller faire un discours à mes « fidèles » pour les galvaniser. Qui sera le prochain à se sacrifier en mon nom?
Évidemment, comme dans n’importe quoi, il y en a qui pense qu’ils peuvent quitter le troupeau quand bon leur semble. Non. Certainement pas. Je suis possessive de mes jouets et ceux qui ne collaborent pas ne vivent pas très longtemps. La preuve, ce vieux fou n’a pas eu le temps de dire grand-chose avant de finir en bougie humaine. Quant au reste, c’est toujours drôle de voir ô combien ces pathétiques créatures que sont les humains sombrer dans le chaos le plus totale quand on brise leur illusion de sécurité. Plus de police, plus de pompiers, plus de médecins ou d’ambulanciers : je veux m’assurer que ce que je vais défaire le reste et que personne ne vienne déranger ma plus récente œuvre d’art. Comme je me délecte de toute cette incompréhension, de cette terreur, de ce désespoir… Ça se déguste à la petite cuillère, ça. Il faut savoir apprécier les bonnes choses dans la vie. Encore que ce que j’aime et que vous aimez sera bien différent.
Naturellement, je veux pouvoir observer le carnage et il me faut donc un endroit où garder mes fidèles avant de les lâcher sur la population. Ça tombe bien, j’aime le look de cette centrale désaffectée. Et puis du reste, ce n’est pas comme si j’en avais quelque chose à faire qu’ils ne dorment pas dans des lits. À la dure, sur le sol et puis hop. On en a bien assez des sacs de couchage. Et pour les nourrir… Je dirais qu’avec tout le bordel ambiant, ils vont très certainement pouvoir piller ce dont ils ont besoin des commerces qui étaient dans les environs des premières explosions. Les gens n’aiment pas rester à proximité des scènes de sinistres. Moi… Je n’ai pas ce genre de problème. Et sur mon calendrier, j’ai choisi mes nouvelles cibles pour la semaine. Jusqu’à ce que quelqu’un finisse enfin par réagir. Alors… Hier soir juste avant le repas du soir, on a fait sauter l’église, ce matin c’était la station de nouvelles…
À un moment donné il ne restera plus de cibles intéressantes. On se rabattra sur les habitations, c’est tout. Et les paris vont bon train pour savoir quand enfin quelqu’un va venir interférer dans mes affaires. Moi? C’est de peu d’intérêt. Oh ce serait une distraction intéressante, je ne dis pas. Mais quand bien même il ne se passerait rien, ce ne serait pas plus mal. J’aurais eu mon petit carnage et c’est parfait comme ça. Si je termine tout avant que les « ennuis » ne se pointent, je me contenterai simplement de signer mon œuvre avant de partir. Tout grand artiste se doit de signer son œuvre. C’est pratiquement une obligation. Pas une loi non écrite. Non. Je ne les suis pas, les lois. Ça n’a jamais été mon genre. Je suis née des plus sombres émotions, je ne suis pas du genre à me laisser imposer. C’est plutôt l’inverse en fait. Et ça me convient parfaitement. Bon allez, je vais aller faire un discours à mes « fidèles » pour les galvaniser. Qui sera le prochain à se sacrifier en mon nom?