Gorge profonde [Theorem]
Posté : 19 août 2024 01:38
« Messieurs-dames, bienvenue à Mijak ! Et je vous prie de vous taire, s’il-vous-plaît. Silence... Messieurs... Non... S’il-vous-plaît... Hum... SILENCE, BORDEL ! Voilà... Hum... Comme je le disais, vous êtes désormais au cœur de l’Empire d’Mijak. Le voyage a été loin et difficile, j’en ai conscience, aussi mon allocution sera-t-elle brève. Je sais ce qui vous est arrivé. Vos terres ont été ravagées par nos armées, et vous avez perdu vos biens, et beaucoup des vôtres. Vous avez été trimballés dans des cages pendant des semaines à travers l’Empire, depuis les prisons de Sylvandell, jusqu’à ce harem. Non, silence ! Je n’ai pas fini ! Vous êtes fatigués, affamés, exténués, et vous vous demandez ce qui va vous arriver. Il n’est pas impossible que vous regagniez vos terres. Maintenant qu’elles sont sous autorité de notre Empire, ce dernier va les sécuriser, et les pacifier, et aura besoin de colons pour les peupler. Les colons viendront du cœur de l’Empire, mais peuvent être aussi les anciens fermiers. Tout dépendra de vous. Vous êtes maintenant sous ma protection. Je suis Mélinda. Mélinda Warren, et ceci est ma demeure. Vous avez droit au gîte, au couvert, à des repas chauds, à des lits, et à la protection. Pour l’heure, je vous demande de vous reposer, et je vous certifie que, tant que vous respecterez mes règles, vous ne finirez plus derrière des barreaux. »
Après ce petit discours, Mélinda se retira rapidement. Mine de rien, ça s’était plutôt bien passé. Une vingtaine d’esclaves tout frais venaient d’arriver depuis des chariots. Un convoi qui venait depuis le royaume de Sylvandell. En vertu d’accords commerciaux passés entre le royaume et le domaine des Warren, ce dernier récupérait les nouveaux esclaves, généralement des prisonniers de guerre, afin de les dresser, de les former, de les éduquer, pour les renvoyer en partie au royaume, conservant l’autre partie pour soi. Cette partie se composait parfois de prostitué(e)s ou de domestiques qui resteraient à vie au harem, mais, plus généralement, il s’agissait de les revendre. Mélinda leur mentait donc plus ou moins en leur promettant qu’ils retrouveraient leurs fermes, mais ils étaient suffisamment paniqués comme ça. Si elle leur balançait tout, elle risquait une émeute, et ce n’était pas une très bonne manière de commencer leur éducation.
Elle se rendit dans ses appartements, dans son bureau, et s’assit sur un confortable fauteuil. Elle s’était occupée du cas de tous les esclaves d’aujourd’hui... Sauf d’un. Un cas spécial, qui avait été mis hors du lot, parce qu’il était spécial, et faisait l’objet d’instructions figurant dans une lettre frappée du sceau sylvandin. Mélinda brisa le sceau pour lire le contenu de la lettre. Rédigée de la plume d’Alice, elle comportait quelques explications :
Mélinda abrégea la lecture du long parchemin, qui, pour faire simple, lui demandait de voir quelles étaient les capacités sexuelles de Theorem, et de les améliorer.
*Allons bon, la petite Princesse ne sait décidément plus quoi inventer depuis qu’elle s’est entichée de cette ancienne esclave... Mais bon, la somme est généreuse...*
La marchande d’esclaves se pinça les lèvres, réfléchissant brièvement, puis ordonna à l’une de ses nekos d’aller lui amener cet Inu. La seconde resta dans la pièce. Il s’agissait de Liana, une neko serveuse qui était au service de Mélinda depuis fort longtemps. Cette dernière lui fit signe de rester.
« Myuw ?
- Viens, Liana, viens... »
Sans rien dire, cette dernière obéit, allant devant Mélinda, qui écarta lentement ses jambes. Liana baissa la tête, à quatre pattes, se calant sous le bureau. Une plaque en bois empêchait à ceux se trouvant de l’autre côté du bureau de la voir. Caressant avec un doigt ses lèvres, la vampire avait bien écarté ses jambes, et Liana releva lentement la tête, avant de rougir, miaulant très faiblement, remuant sa queue.
« Allons, allons... Comme tu vois, je n’ai pas mis ma culotte, Liana... Car tu l’as vu, n’est-ce pas ?
- O-Oui...
- Alors, occupe-toi de ta Maîtresse ! »
Rougissant à nouveau, Liana obtempéra, et se glissa sous la longue robe de sa Maîtresse, rejoignant son intimité. Mélinda releva et écarta les jambes, et sentit la langue de Liana se poser sur son sexe. Cette dernière commença son cunnilingus, et Mélinda soupira lentement en fermant les yeux. La porte s’ouvrit alors, et deux gardes s’avancèrent, entourant un Inu. Un style très efféminé. Il n’était même pas attaché, ce qui témoignait du fait qu’il avait un statut particulier, et portait des vêtements normaux.
« Bonjour, Theorem. Sais-tu qui je suis ? Ou ce que tu fais là ? »
Mieux valait commencer par les bases. Mélinda ferma lentement les yeux, essayant de ne rien montrer de son trouble, ou du plaisir qu’elle ressentait. Juste en face d’eux, une neko était en train de lécher son intimité.
Après ce petit discours, Mélinda se retira rapidement. Mine de rien, ça s’était plutôt bien passé. Une vingtaine d’esclaves tout frais venaient d’arriver depuis des chariots. Un convoi qui venait depuis le royaume de Sylvandell. En vertu d’accords commerciaux passés entre le royaume et le domaine des Warren, ce dernier récupérait les nouveaux esclaves, généralement des prisonniers de guerre, afin de les dresser, de les former, de les éduquer, pour les renvoyer en partie au royaume, conservant l’autre partie pour soi. Cette partie se composait parfois de prostitué(e)s ou de domestiques qui resteraient à vie au harem, mais, plus généralement, il s’agissait de les revendre. Mélinda leur mentait donc plus ou moins en leur promettant qu’ils retrouveraient leurs fermes, mais ils étaient suffisamment paniqués comme ça. Si elle leur balançait tout, elle risquait une émeute, et ce n’était pas une très bonne manière de commencer leur éducation.
Elle se rendit dans ses appartements, dans son bureau, et s’assit sur un confortable fauteuil. Elle s’était occupée du cas de tous les esclaves d’aujourd’hui... Sauf d’un. Un cas spécial, qui avait été mis hors du lot, parce qu’il était spécial, et faisait l’objet d’instructions figurant dans une lettre frappée du sceau sylvandin. Mélinda brisa le sceau pour lire le contenu de la lettre. Rédigée de la plume d’Alice, elle comportait quelques explications :
« Au nom du Royaume,
Je, soussignée Alice Korvander, présentement Princesse de Sylvandell, certifie par la présente que l’Inu Theorem est ma propriété. Vous trouverez ci-joint une copie de l’acte d’état civil qui... »
Mélinda abrégea la lecture du long parchemin, qui, pour faire simple, lui demandait de voir quelles étaient les capacités sexuelles de Theorem, et de les améliorer.
*Allons bon, la petite Princesse ne sait décidément plus quoi inventer depuis qu’elle s’est entichée de cette ancienne esclave... Mais bon, la somme est généreuse...*
La marchande d’esclaves se pinça les lèvres, réfléchissant brièvement, puis ordonna à l’une de ses nekos d’aller lui amener cet Inu. La seconde resta dans la pièce. Il s’agissait de Liana, une neko serveuse qui était au service de Mélinda depuis fort longtemps. Cette dernière lui fit signe de rester.
« Myuw ?
- Viens, Liana, viens... »
Sans rien dire, cette dernière obéit, allant devant Mélinda, qui écarta lentement ses jambes. Liana baissa la tête, à quatre pattes, se calant sous le bureau. Une plaque en bois empêchait à ceux se trouvant de l’autre côté du bureau de la voir. Caressant avec un doigt ses lèvres, la vampire avait bien écarté ses jambes, et Liana releva lentement la tête, avant de rougir, miaulant très faiblement, remuant sa queue.
« Allons, allons... Comme tu vois, je n’ai pas mis ma culotte, Liana... Car tu l’as vu, n’est-ce pas ?
- O-Oui...
- Alors, occupe-toi de ta Maîtresse ! »
Rougissant à nouveau, Liana obtempéra, et se glissa sous la longue robe de sa Maîtresse, rejoignant son intimité. Mélinda releva et écarta les jambes, et sentit la langue de Liana se poser sur son sexe. Cette dernière commença son cunnilingus, et Mélinda soupira lentement en fermant les yeux. La porte s’ouvrit alors, et deux gardes s’avancèrent, entourant un Inu. Un style très efféminé. Il n’était même pas attaché, ce qui témoignait du fait qu’il avait un statut particulier, et portait des vêtements normaux.
« Bonjour, Theorem. Sais-tu qui je suis ? Ou ce que tu fais là ? »
Mieux valait commencer par les bases. Mélinda ferma lentement les yeux, essayant de ne rien montrer de son trouble, ou du plaisir qu’elle ressentait. Juste en face d’eux, une neko était en train de lécher son intimité.