The Multiversity

Une nuit tout ce qu'il y a de plus basique, d'après moi. Pour l'heure, je sais que Makoto est en sécurité et qu'elle se sent bien, alors je peu vaquer à mes occupations. De toute façon, si jamais elle a besoin de moi, je lui ai déjà donné la possibilité de m'appeler avec la Guitare des Anges Noirs. Comme d'habitude, j'ai beaucoup de contrats à remplir, mais ça va, les mecs sont patients et je ne change pas mon prix en fonction du temps passé.

Par contre, il y a une cible sur lequel je me concentre plus que les autres, tout simplement car je suis parvenue à le piéger, et parce que ce type fréquente assez souvent une des ruelles pour ses trajets habituels. C'est parfait, j'ai plus qu'à le cueillir et à offrir son cœur à Dame Scarifa. Je finis par me montrer pendant qu'il est en chemin, profitant de l'ombre qui me rend tout aussi sombre que mes ailes. Je le regarde donc avec un sourire macabre, sortant mon épée de l'aimant qui se trouve sur mon dos pour bien l'accrocher.

Le mec, pour se défendre, sort donc un pistolet de sa poche, sans la moindre peur. Tss ! Ca me fait pas peur. Je m'approche donc de lui, pendant qu'il tire sur moi. Il remarque qu'à chaque fois ça touche, mais que ça me fait rien. Je déploie donc mes ailes noires, lui montrant que je ne suis pas une fille comme les autres. Se rendant compte que je suis désormais son bourreau, il se met à fuir. Bof, hein ! Je m'envole donc rapidement vers lui et je le fais tomber, je lui fais retourner pour qu'il puisse pleinement voir mon visage, souriant toujours de manière macabre.

"Rien de personnel."

Je mets direct ma main sur sa gorge, arrachant sa peau et tout ce qui constitue ses cordes vocales, pour qu'il ne puisse plus crier. Juste après je me relève et mets direct mon pied sur sa ceinture en arrachant ses jambes à mains nues, ce qui fait qu'il ne peut plus fuir. Maintenant, le massacre peut commencer. Je commence donc à lui déchirer tout le corps avec mon épée, de manière assez anarchique, pendant un bon moment, jusqu'à ce que je voie son coeur. Mon bras gauche se transforme donc en un vrai monstre d'un rouge sang dont la main devient une véritable tête avec une véritable mâchoire, et d'un coup de dents, il mange le cœur du type, celui-ci étant désormais offert à Dame Scarifa.

Désormais, il est officiellement mort. Je décapite ensuite ce corps pour le ranger dans mon aile, où il le fait "disparaître" pour que je puisse l'offrir à mon employeur. J'arrache alors une plume de mon aile et je le lance sur son corps, celui-ci est comme "absorbé" par cette plume, car désormais, il ne reste plus que ma plume et une grosse flaque de sang, mais cette flaque, je peux désormais l'absorber. Alors je pose ma main dessus et tout le sang autour va vers ma main pour se faire absorber, alors que mes ailes commencent à se ranger.

Une fois tout ça fait, je me retourne, surtout que je sens une certaine odeur assez enivrante et je vois une jolie femme qui semble avoir le double de mon âge… et vu que j'ai 17 ans, c'est pas si dur d'avoir le double de mon âge. C'est une jolie brunette avec une poitrine généreuse avec des vêtements qui la met en valeur. Mais bref, ça ferait un potentiel témoin, ce qui pourrait me gêner. Alors, avec un sourire narquois en sortant une liasse de billets et en rangeant mon épée. Avec ma main libre, je pose mon index sur ses lèvres de manière aussi délicate que ce que ma forme nocturne peut me le permettre, tout en mettant ma liasse de 100.000 yens dans sa main, même en remarquant avec sa tenue que 100.000 yens, c'est que dalle pour elle.

"Tu n'as rien vu, rien entendu, ma belle."

Quel ennui !

Ce soir, Chiara devait assister à un gala de charité. Elle s’y était rendue au bras de Yui Takanito, un jeune golden boy ayant fait fortune dans les jeux video. Cet idiot avait été happé par des fans et passait maintenant son temps à faire une démonstration sur la nouvelle console.

Le boulet de base ! Vraiment.

Mais il ne l’intéressait pas. Il lui avait juste servi de vitrine. Pour qu’on sache que même dans ce domaine elle était présente. Elle avait d’ailleurs déjà racheté son entreprise. Mais il ne le savait pas encore. Il serait du coup, pour le moment en tout cas, bien plus productif ainsi.

Elle avait papillonné entre les invités, mais aucun n’était vraiment intéressant. Elle venait de s’éclipser pour fumer une cigarette dans une pièce à l’arrière du bâtiment, là où les invités n’avaient rien à faire. La pièce avait une fenêtre et une grande porte qui donnaient sur une ruelle. Le point de livraison, bien entendu.

Elle sortit, il lui fallait de l’air. Soudain, des coups de feu retentirent tout près d’elle. Elle n’avait pas remarqué qu’il y avait quelqu’un dans cette ruelle. Surprise, elle se baissa et jeta un œil dans la direction des coups de feu.

Un type était en train de tirer sur une gamine avec une drôle d'épée. On aurait presque dit... un demi ciseau ?! Ca ce n'était pas commun !

Qu’est-ce que c’est que ce truc ?

Soudain, la gamine déploya des ailes noires. Le gars prit peur et se mit à courir.

Ah ! Un ange noir ! Ou une démone. Tu perds ton temps mon gars…

En effet, d’un bond la fille survola la ruelle et le jeta au sol d’un coup de pied en atterrissant. Un autre coup de pied le retourna sur le dos. Elle s’agenouilla brutalement sur lui, enserrant sa gorge d’une main puissante.

« Rien de personnel. »

Elle lui offrit un sourire en lui arrachant la gorge. Brutale, violente, sans pitié. Sans état d’âme. Presque sans émotion même.

Alors que l’homme gargouillait et s’étouffait dans son sang, elle lui arracha une partie de ses jambes sans effort apparent. Puis elle se redressa et se mit à marteler son corps moribond de coups de lame. Encore et encore. C’était inutile, l’homme était mort – ou tout comme – bien avant qu’elle lui arrache les jambes.

Le sang giclait et maculait le sol, les murs, la fille. Chiara regardait avec une fascination morbide ce macabre spectacle. Une goutte vola et s’écrasa sur sa joue.

Enfin, la fille s’arrêta. Elle se mit alors en devoir de « nettoyer » la scène de crime. Elle y arriva plutôt pas mal, même si elle oublia de s’occuper des murs.

Puis elle vit Chiara.

Ah quand même !

Alors qu’elle s’approchait d’elle, le succube effaça le sang d’un geste du doigt et porta celui-ci à sa bouche pour le nettoyer. Sa main retomba quand la fille se dressa face à elle. Elle devait avoir tout au plus seize ou dix-sept ans.

Elle lui posa un doigt sur les lèvres en lui glissant quelque chose qui ressemblait à un paquet de papiers dans la main.

"Tu n'as rien vu, rien entendu, ma belle."

Elle sourit sous le doigt et le happa entre ses lèvres charnues avant de laisser sa langue glisser sur lui et goûter encore un peu le sang de l’homme.

Elle leva la main, vit la liasse et la laissa dédaigneusement tomber au sol.

« C’est ce que tu veux ? »

Elle agrippa la fille et leur fit faire 180° pour la plaquer au mur.

Yeux dans les yeux, souriante, elle souffla doucement quelques mots tout en usant de son pouvoir de charme pour faire naître un désir brûlant chez l’assassine.

« Mon silence te coûtera bien plus que ces quelques misérables yens. Es-tu capable de me combler toute une nuit ? »

Elle l’embrassa langoureusement, ajoutant une nouvelle vague de pouvoir pour l’enfermer dans son désir.

Ce massacre l’avait excitée. Elle n’avait plus vu pareille bestialité depuis très longtemps. Et que ce soit une telle gamine qui en soit l’auteur rajoutait à son désir. Elle voulait cette nuit de dépravation.

Je me doutais qu'elle pourrait refuser l'argent. 100.000 ¥, elle peut les perdre sans qu'elle n'ait de difficulté avec ça. Après, elle pouvait me demander une plus grosse mise, genre 10.000.000 ¥, je ne sais pas.

Après, j'aurais dû me douter de la suite, car elle profite du fait que mon doigt est sur ses lèvres pour l'attraper avec et commencer à le sucer. Je ne peux m'empêcher de de caresser sa langue avec, et en plus mes mains n'ont pas encore terminé d'absorber tout ce sang pour me rendre plus puissante de manière temporaire, ou pour simplement l'offrir à ma déesse, et cette femme semble en profiter.

Un truc pas prévu au programme, c'est qu'elle me prend par les épaules, pour me plaquer au mur. Je ne peux pas m'empêcher de soupirer de surprise. Elle me fixe dans les yeux, et je sens mon cœur sombre envoûté d'un coup, mon côté angélique encore plus rapidement que mon côté humain, et en plus comme si ce côté angélique l'entraîne dans cet envoûtement. De plus, suite au désir qui est presque instantané, mes ailes se déploient.

Elle me souffle encore quelques mots pour me dire que son silence vaut beaucoup mieux que cet argent. Si je peux la combler pour toute une nuit ? Je sais pas, ça dépend si tu es un être surnaturel ou pas. Une chose est sûre, c'est que là, je ne peux pas avoir la moindre once de volonté de partir. Je veux lui offrir mon corps.

Je n'ai même pas eu le temps de répondre qu'elle m'embrasse langoureusement. Le désir est brûlant, c'est comme si ce désir avait la température à l'intérieur du soleil. Avec ma main qui avait posé son doigt dans sa bouche, je serre son cou de manière à ce que son visage se serre plus contre le mien, et je prolonge le baiser en lui exprimant tout mon désir d'une intensité intenable. Le baiser devient beaucoup plus bestial, presque véhément, mais appréciable.

L'autre main de son côté serre sa hanche de sorte à ce qu'elle se colle plus à moi, avant de se glisser sous sa robe de soirée, sous sa culotte, commençant direct par la doigter avec une grande vigueur, non seulement venant de ma jeunesse, mais ensuite venant de mon envie que même avec une heure entière je serais incapable de l'exprimer complètement.

Ce baiser dure des minutes entières, où elle a largement le temps de me doigter et de me faire gémir fort. Je finis par rompre le baiser pour la regarder dans les yeux.

"Je n'ai jamais eu autant envie de baiser quelqu'un, et pourtant j'ai déjà eu des expériences avec des très belles femmes. Tu ne serais pas une succube, par hasard ?"

Pour moi, c'est la seule possibilité de corrompre à ce point mon cœur à la dépravation. Ma prof de maths est en partie succube, bien qu'elle préfère son côté humaine, donc j'aurais vraiment pas de souci à le croire. Et puis, je suis une putain d'ange noire, moi. Je suis surnaturelle de base.

Je la laisse répondre, mais je me fais violence pour retarder le baiser, qui est inévitable de toute façon. Quand elle finit de me répondre, je l'embrasse à nouveau, exprimant à nouveau tout le désir qu'elle m'a fait, qu'elle pourrait limite dire que ça marche encore mieux que pour une humaine de base. Sa tête est encore serrée contre la mienne, et mes doigts se frottent d'une rapidité surnaturelle dans sa chatte.

La gamine était sur la même longueur d’ondes. Elle joua de son doigt sur la langue qui le léchait. Chiara déclencha son pouvoir et elle succomba. C’était d’une telle évidence, d’une telle facilité. Les ailes de l’ange se déployèrent alors que son désir éveillait chacune de ses cellules.

Chiara sourit, féline, aguicheuse. Une petite lueur de surprise passa dans les yeux de la fille lorsqu’elle la plaqua contre le mur, échangeant leurs places pour prendre les commandes. Elle fondit sur sa bouche et la trouva déjà entrouverte, impatiente. Le baiser, de langoureux, devint fougueux, empreint d’un désir d’une intensité à peine maîtrisée.

Une intensité malgré tout humaine. Celle-ci est bien plus. Voyons voir…

Chiara en remit une couche, leurs regards plantés l’un dans l’autre. Du pain bénit pour l’utilisation de son pouvoir. Yeux dans les yeux, rien de tel pour un impact maximal. La fille fondit littéralement sous elle. Elle sentit son désir imploser, prendre les commandes. Plus rien de réfléchi en cet instant chez l’ange, juste un désir brut, impérieux, immédiat.

La main de la fille releva son visage pour mieux le rapprocher du sien. Son baiser lui transmit tout ce qu’elle savait déjà, mais elle le goûta avec satisfaction. Elle agrippa sa hanche, l’amena à elle, puis releva sa jupe juste pour s’y glisser avec fébrilité. Les doigts ensanglantés dégagèrent le string, trouvèrent les lèvres humides et s’insérèrent entre elles sans attendre, bien trop impatientes ne fut-ce que pour les titiller un instant.

Un gémissement d’approbation rauque s’échappa de la gorge du succube, étouffé par leur baiser affamé qui maculait leurs visages du rouge à lèvres waterproof hors de prix qui ornait les lèvres sensuelles. Aucun rouge à lèvre, aussi waterproof fut-il, ne pouvait résister à un tel baiser.

Le temps s’écoula, se distendit. Les hanches de Chiara ondulaient autour de la main de l’ange, son ventre aspirant les doigts tandis que sa cyprine les maculait abondamment. Elle se laissa faire, l’initiative lui reviendrait bien assez vite.

La fille cessa finalement le baiser. Entre deux souffles rapides pour retrouver le rythme, elle l’entendit poser une question.

« Je n'ai jamais eu autant envie de baiser quelqu'un, et pourtant j'ai déjà eu des expériences avec des très belles femmes. Tu ne serais pas une succube, par hasard ? »

Chiara se contenta de rire puis l’embrassa à nouveau. Les doigts en elle se mouvaient à une vitesse anormale. Le plaisir montait rapidement. Ses seins plantureux s’écrasèrent contre la poitrine de l’ange noir, ses tétons durcis frottant le tissu.

Elle décida de se laisser aller. Elle jouit sans cesser leur baiser et cracha une belle dose de cyprine gluante et odorante sur la main, la récompensant de son travail.

« Bon petit en-cas… »

Elle glissa alors la main dans les cheveux de l’ange, les agrippa et lui tira brutalement la tête en arrière, dévoilant sa gorge sur laquelle elle se jeta férocement. Ses baisers, suçons et morsures y laissèrent de belles traces tandis qu’elle stimulait jusqu’au plus infime atome cette zone érogène. Sa main libre déchira le chemisier de la fille, emprisonna son sein. La chaleur infernale de son être éveilla immédiatement tout ce qu’il était possible d’éveiller dans ce globe magnifique. Le téton pointa douloureusement sous son pouce et son index. Elle le pinça sans pitié.
Sa langue dansait une sarabande sur la gorge offerte à un rythme connu des succubes seuls, propre à amener la cible au plaisir en quelques brefs instants. L’ange tiendrait un peu plus qu’un humain, mais sa réceptivité à son pouvoir il succomberait tout de même assez vite. Et son plaisir n’en serait sans aucun doute que plus intense : l’attente est un excellent chemin vers l’apothéose.

Une fois sa politesse rendue, elle lui caressa la joue puis se tourna vers la ruelle qui, au loin, donnait une belle vue sur la cité. D’un geste de la main, elle désigna la haute tour Hichitomi, la plus haute de la ville.

« Je veux que tu me bouffes la chatte là. Sur ce toit. Emmène-nous. »

Le désir contenu dans ces quelques mots était tout bonnement un ordre qui ne souffrirait même pas une fraction de seconde de tergiversation.

Mon corps ne peut plus offrir aucune résistance face à ce désir qui m’a complètement enfermée, et qui a scellé ma réflexion. Je suis complètement offerte à cet être qui n’a finalement pas grand-chose d’humaine. Je n’ai jamais autant succombé au plaisir, et pourtant ça m’est déjà arrivée de tomber sous le charme d’une pute qui n’attend plus qu’à prendre une partie de mon argent sale. Là, tout ce que je perds, c’est une liasse de billets qu’elle a refusé.

Je ne peux pas aller doucement, tout mon envie me contrôle, autant en tant qu’humaine qu’en tant qu’ange. Je ne vais même pas pour mettre un nichon dans la bouche pour faire attendre, je ne peux que directement la doigter, sans encore déchirer ses vêtements. Je ne remarque absolument pas le rouge à lèvre qui s’étend autant sur ses lèvres que sur les siens, je ne regarde même pas. Mes yeux sont complètement fermés pour profiter du baiser que je lui offre, et tout ce que j’ai de ce rouge à lèvres, c’est son goût sucré.

Au moment où je parviens à réfléchir, pendant un assez court instant, je lui pose la question, et en réponse elle se contente de rire et de m’embrasser à nouveau, et je ne peux plus réfléchir à nouveau, continuant de lui doigter la chatte pendant qu’elle colle toujours plus son corps contre le mien, écrasant ses beaux nichons contre les miens.

Je sens qu’elle finit par jouir sur mes doigts et au-delà. J’enlève donc mes doigts pendant qu’elle rompt le baiser pour que ma gorge lui soit offerte pour qu’elle en fasse ce qu’elle veut avec sa bouche et ses dents, me faisant fortement gémir, alors que j’amène mes doigts dans ma bouche, étouffant mes forts gémissements. Je sens ma tenue de tueuse à gages se faire déchirer pour qu’elle prenne mon sein, et je sens cette zone se faire stimuler rien qu’au toucher. Je finis par pousser des petits cris quand elle commence à pincer mon sein.

Elle finit de faire ce qu’elle veut de mon cou, et me caresse mon cou. Elle me désigne la haute tour Hichitomi, la plus haute tour de Yoake, et elle veut que je lui bouffe la chatte au sommet de cette tour. Disons que ça rendrait le désir encore plus difficile à tenir, mais je pense que c'est l'objectif principal de cette succube, alors pourquoi pas.

"D'accord."

Alors, je vais derrière elle avant de la prendre et je commence à m'envoler, un aura rouge sang commençant à entourer mes ailes, et il n'y a que les anges icariens pour avoir cette particularité ; le vol est acquis grâce à une divinité, et cet aura le prouve. En l'occurrence, c'est Dame Scarifa. C'est d'ailleurs là que vient ma particularité dans ma race déjà particulière, je peux voler plus longtemps que 5 minutes. Ce ne sera pas infini, mais je peux attendre encore un bon moment avant que mes ailes ne brûlent.

Je m'envole donc avec elle, assez rapidement, et je profite de ce temps de vol pour lui rendre la pareille sur son cou, commençant à lui embrasser le cou tout en faisant des suçons et des morsures, mais c'est pas tout. Sa robe a un très beau décolleté qu'il faut être aveugle pour ne pas voir. C'est comme si ses nichons sont en attente. Alors j'en profite, mettant mes mains sous son décolleté pour commencer à malaxer ses nichons, les pinçant et les serrant même. Il me faut un peu de temps pour que ses tétons se pointent, pendant que je continue mes baisers, mes suçons et mes morsures… mais ces derniers vont jusqu'au sang, et cette fois pas de retenue, car non seulement je sais qu'elle n'est pas vraiment humaine, mais en plus le désir qui est extrêmement fort m'en empêche de toute façon. Alors, quand je croque le cou de la belle, c'est vraiment à pleines dents, et j'en profite même pour sucer son sang. De toute façon, elle résiste, avec sa nature démoniaque.

On arrive finalement au toit de la tour Hichitomi, et je finis par la déposer, et une fois que j'ai posé, je lâche ses nichons pour prendre les tissus de sa robe, mes mains prenant cette fois un aura bleu, signe que j'utilise un autre pouvoir, et je la déchire d'un coup, en deux, faisant qu'elle se trouve désormais seulement en string, alors que la robe prend feu bleu… mais ce feu ne veut pas se répandre, il préfère rester focalisé sur cette robe, et le toucher ne change pas sa température. Pourtant, la robe est en train de se consumer, comme si elle brûlait.

Après l'avoir déposée, je la prends par la taille et je la mets sur la barrière qui protège un minimum de la chute, et sans prendre le temps de l'embrasser, je me baisse pour finir avec la tête près de la chatte. Je pose mes mains sur ses hanches et je mords son string avant de tirer pour qu'elle se fasse déchirer, de sorte à ce qu'il n'y a plus que la ceinture, et je commence à bouffer sa chatte, collant bien ma tête contre, les yeux fermés pour mieux profiter de ce mets. Ma langue entre bien en elle, captant la moindre goûte de mouille qui en sort.

La fille s’abandonna aux attentions de Chiara comme il se devait : totalement. Son désir la dominait entièrement, impérieusement. Elle avait du mal à le contenir, à le freiner. Le succube pouvait sentir son empressement et sa fièvre.

Satisfaite, Chiara en profita pour jouer un peu plus longtemps avec elle pour l’amener à une jouissance supérieure à la moyenne.

Son endurance était aussi supérieure à la moyenne car lorsque Chiara lui soumit son ordre, elle réagit rapidement.

« D’accord. »

Elle se place derrière le succube et déploie ses ailes qui s’illuminent d’une aura purpurine.

Tiens ? On dirait un pouvoir des anges icariens. Etonnant… Je les croyais disparus.

Tandis qu’elle emmenait Chiara, Shehtra ne se gêna pas pour goûter à son tour au cou et la gorge du succube. Un peu surprise par son ardeur somme toute compréhensible, Chiara se laissa peloter sans vergogne. Sa peau douce se déchira aisément sous les crocs de l’ange noir. Elle poussa un gémissement sourd.

Ses seins ne pouvaient pas être malmenés comme ils l’auraient dû, faute de quoi elle serait tombée, et elle regretta de ne pas s’être enroulée autour de Shehtra pour ce vol court mais intense.

Enfin elles atteignirent la tour. A peine les pieds au sol, la fille déchira son décolleté puis l’entièreté de la robe de ses mains à l’aura bleutée puis la laissa tomber au sol. elle ne s’arrêta pas là : elle poussa Chiara contre la rambarde et s’agenouilla immédiatement pour mordiller son string. Elle tira dessus avec insistance, jusqu’à la déchirer.

Le succube rit de tant d’empressement.

« Ne sois pas si pressée. Tu vas devoir tenir toute la nuit après tout… »

Le visage de l’ange s’enfonça entre ses cuisses et elle sentit sa langue déjà se lancer à l’assaut de son intimité.

Chiara rit. Un rire chaud, profond, porteur de bien des délices. Son regard tomba sur sa robe au sol en train de se consumer sans émettre ni chaleur ni propagation.

Hmmm ? Sympa ce pouvoir…

Sa main se perdit dans la tignasse de Shehtra et lui pressa le visage plus fort contre sa fente. Elle la força à la regarder, son opulente poitrine en contre-plongée cachant quelque peu son beau visage.

D’un geste simple de sa main libre, elle se libéra de sa ceinture. Sans quitter ces beaux yeux du regard.

« Pas mal… pour un début ! Dis-moi ton nom avant que je te noie dans ma mouille. »

Elle leva une jambe et posa sa cuisse sur l’épaule de Shehtra, lui laissa le temps de répondre puis fourra à nouveau son visage dans sa fente. Elle se frotta contre lui, le balaya du front au menton, le maculant de cyprine odorante. Elle en profita pour jouer de son clitoris sur son nez, apprécia l’action de la langue fouisseuse simultanément avec sa propre masturbation.

Sa main libre se mit à jouer avec son sein, qu’elle maltraita avant de le porter à sa bouche.

Shehtra entre ses mains était comme un jouet, esclave de ses pulsions, mais elle lui laissait une certaine liberté d’action.

« Enlève tous tes vêtements et brûle-les eux aussi. Je te veux aussi nue que moi ! »

Hors de question de continuer avec des vêtements. On passait à l'étape suivante.

C'est normalement très difficile de me faire soumettre autant au plaisir. Mon côté angélique déteste se faire soumettre, et pourtant ce désir est si fort que même mon côté angélique ne peut pas me dominer. Les demi-succubes comme Ichtora-sensei ne m'ont pas fait autant soumettre, alors c'est impossible que la meuf devant moi soit moins qu'une succube.

Je sens d'ailleurs son étonnement quand elle voit mes ailes prendre un aura rouge sang, comme si elle n'avait jamais vu un ange icarien, ou alors que ça fait longtemps. Il faut dire qu'ils ne sont pas courants et qu'ils sont concentrés à Angel Land.

Depuis que je suis l'ange de Scarifa, mon affinité avec le sang s'est fortement accru, au point qu'il m'arrive de boire du sang sans en avoir besoin, par simple plaisir d'en boire, en plus d'en absorber pour devenir plus puissante de manière temporaire. Alors ce désir s'exprime toujours quand son cou est bien offert durant ce vol.

Quand on se pose au sol, je lui arrache et brûle sa robe et je lui arrache sa culotte pour avoir sa chatte libre, pendant qu'elle me dit de ne pas se presser. Tu aurais pas dû me faire monter en désir à ce point, meuf. Je commence ensuite à lui bouffer la chatte, en essayant de la regarder de manière très envieuse, pendant qu'elle commence à mettre ma main dans mes cheveux.

Elle me demande ensuite mon nom. C'est vrai, ça, on a même pas pris le temps de se faire connaissance. Alors, je retire ma tête de sa chatte, pendant qu'elle met sa cuisse sur mon épaule, tout en lui souriant.

"Je m'appelle Shehtra, et toi ?"

Elle me fourre ensuite mon visage sur sa chatte à nouveau, et je la lèche à nouveau. Contrairement à Dame Scarifa, je ne compte pas bouffer sa chatte dans le sens littéral, bien que j'en sois capable. Mais ça veut pas dire que je m'arrête là, juste que je me retiens un minimum.

Elle me demande d'enlever tous mes vêtements et de les brûler eux aussi. Elle me l'a déjà déchiré un peu sans que je m'en offusque, donc je vais pas refuser. Mais j'ai autre chose, puisque je veux pas m'arrêter de lui lécher la chatte pour ça. Comme si ces vêtements sont pris de combustion spontanée, ils commencent à brûler à leur tour tout en restant sur mon corps. Il n'y a que les vêtements qui brûlent, je ne ressens aucune sensation de chaleur, et elle non plus. Je finis donc à poil, toujours léchant sa chatte qui mouille abondamment, m'encourageant en soi à continuer et même à y mettre encore plus du sien.

« Je m'appelle Shehtra, et toi ?
- Je suis celle qui va faire de ta nuit entière un orgasme. Appelle-moi Chiara… »

Pas le temps pour autre chose. La tête de la fille fut de nouveau plaquée contre l’entrejambe du succube. Qui se frotta longuement et sans aucune considération  sur son visage entier, le maculant de cyprine et de sa propre salive, se masturbant sur le nez et la langue avec ardeur.  La fille s’abandonna à cet acte brutal, sans sentiment, si proche de la baise brutale qu’on peut avoir dans une ruelle sombre après une soirée de beuverie.

L’ordre suivant fut obéi sans discussion, les vêtements de l’ange noir se consumèrent sur elle sans aucune chaleur ni douleur, la laissant nue comme un ver, dévoilant des formes opulentes qu’on n’aurait pas supposées se trouver là.

Belle surprise…

Chiara se lécha les lèvres tandis que Shehtra léchait les autres. Son excitation grimpa d’un cran. Elle avait déjà envie de la fille, mais cette surprise lui donna encore plus envie d’elle. Elle allait la faire jouir comme une salope en rut, ça oui, mais elle voulait plus de celle-ci. Maintenant que sa cruauté, sa sauvagerie et son absence de pitié avaient été démontrées, elle venait de dévoiler une autre facette d’elle-même, celle de l’amante affamée de sexe. Et, cerise sur le gâteau, un corps sublime !

Elle n’allait pas la baiser, elle devait la baiser. Elle devait la posséder, la faire sienne. Cette nuit marquerait un point de non-retour dans l’esprit de l’ange. Jamais elle ne l’oublierait. Chiara voulait la voir soumise au joug de son désir et de son corps.

Son corps suivit ses idées et son esprit guida la métamorphose. Peu à peu, des couilles et une queue mâle se formèrent au-dessus de son bas-ventre. Bien vite, les couilles se posèrent sur le visage de Shehtra, mais la queue grandissait toujours.

Attentive, Chiara dégagea de sa poigne ferme la tête de l’ange de son intimité pour qu’elle puisse mieux voir ce qui l’attendait. Elle laissa grandir et gonfler son membre jusqu’à voir dans les yeux de la fille son effarement devant ce qu’elle allait devoir accepter dans son corps.

Chiara la rejeta au sol, la dominant de toute sa hauteur. Elle pouvait voir à son entrejambe à quel point elle mouillait. Mieux ! Elle pouvait le sentir. Et ces émotions étaient un vrai nectar pour elle. Plus Shehtra la désirait, plus elle se sentait puissante et nourrie.

« Surprise ? Pas sûre d’encaisser ? Ne t’inquiète pas, tu peux. Mais il va falloir la lubrifier un peu quand même… »

Elle sourit, toute puissante chienne en rut, incarnation totale du désir primal. Elle avança d’un pas, les yeux fixés sur le corps voluptueux à ses pieds. La nuit n’allait jamais finir…

Chiara, donc. Enchantée. En tout cas, je lui bouffe bien la chatte, qui se frotte bien sur mon visage. Je ne peux toujours pas me retenir, je peux juste apprécier cette chatte qu'elle m'offre. Je me sers ensuite de mes mains pour encore mieux serrer ma tête contre sa chatte, ma langue, mes dents et mon nez s'occupant de lui faire plaisir, de jouer avec sa chatte.

C'est pendant que je bouffe sa chatte que je finis par sentir un truc pousser se poser sur le haut de mon visage, à partir de mes yeux, me surprenant. Ces trucs me gênent la vue et me forcent à garder les yeux fermés, et que elle fait partir mon visage de sa chatte, c'est là que je peux me rendre compte de ce qui se passe : une vraie queue se met à pousser entre ses cuisses. Une queue non seulement réelle, mais aussi grosse. Oh putain ! De toutes les queues que j'ai senti pour de vrai, c'est de loin la plus grosse du lot… mais en même temps, quand je regarde les hentais, il y en a de bien plus gros jusqu'à ce que c'en soit ridicule.

Du coup, je ne peux que montrer ma surprise, mais je suis excitée. Je pense que ça va être ma première fois avec une bite comme ça, mais c'est pas ça qui va me faire peur. J'ai plus envie de l'avoir dans la bouche que d'avoir peur. Elle me rejette au sol, le temps qu'elle essaie de s'imposer. Ca me fait sourire, montrait que je suis pas intimidée le moins du monde. Surtout quand je sais qu'elle est à peine plus grande que moi en réalité.

"T'inquiète, je sais déjà que je peux encaisser tout ça."

Elle s'approche de moi, et sa queue aussi, le gland se collant donc à mon visage. Je reste assise pendant que je la regarde toujours dans les yeux. Je la branle donc, vers la racine, et sans retenir ma force surnaturelle. Je commence par la branler mais je commence à la sucer juste après, mettant la queue dans la bouche et bougeant ma tête, et la mettant même dans ma gorge pour mieux lubrifier la queue. Mes mouvements sont rapides, très rapides, alors que je suce bien, la succube va bien ressentir l'effet de succion sur cette bite. Tout ce que je sais pas, c'est si la queue va traverser tout l'œsophage pour que le gland puisse être dans mon estomac, c'est tout. Sinon, je sais que j'aurai pas de problème avec cette queue.

Au sol, Shehtra crânait un peu malgré sa surprise, un léger sourire aux lèvres. Peu importait au succube en fait, seule maintenant comptait la luxure qui s’était emparée de la fille. Elle pouvait sentir son désir, sa soif de sexe. C’était viscéral. Un filet humide suintait de toutes ses lèvres, illustrant de leur faim de ce membre encore absent quelques instants auparavant.

Chiara s’approcha jusqu’à entièrement dominer la fille sous elle et lui offrir la vue de ses globes formidables, son ventre plat sans musculature apparente, ses couilles lourdes et sa queue épaisse. Shehtra s’assit et présenta son visage comme repose service trois pièces. Chiara sourit. Cette vue était érotique. Mais elle voulait plus.

L’ange noir aussi. Elle prit la queue en mains et se mit à la branler vigoureusement, sans vraiment retenir sa force. C’était bien mais un peu trop brutal. Pour le moment. Chiara posa la main sur sa main pour la calmer.

« Quel intérêt ? Vas-y plus doucement, on a pour toute la nuit… »

L’ange goba son gland sans attendre, comme l’affamée que Chiara avait fait d’elle. Elle glissa une main dans ses cheveux, encore, mais caressante cette fois. Pas besoin de la forcer, elle savait ce qu’elle faisait. Sa faim était dévorante. Petit à petit, la queue était avalée sans que le succube ait besoin de forcer la gorge. Le succube sentait les parois s’écarter pour lui faire place, l’accepter, céder sous son joug. Ca l’excitait terriblement, mais les efforts méritoires de l’ange devaient lui amener seuls leur récompense. Les bruits de succion devenaient absolument obscènes, la salive coulait librement le long de la queue, maculait les couilles puis s’égouttait au sol. Par moments, elle retirait entièrement la queue pour respirer et crachait une morve épaisse terriblement gluante qui faisait entrer le membre si aisément en elle.

Le sol autour d’elles devenait peu à peu le théâtre de leurs ébats.

Enfin, le nez de Shehtra s’enfonça dans la peau de Chiara. Sa queue était tout entière engloutie dans la gorge angélique. Elle lui bloqua la tête un instant, savourant l’étroitesse du fourreau qui l’accueillait. La fille semblait vouloir aller encore plus loin.

« Tsss tsss… Si tu es sage, peut-être plus tard. »

Chiara lui caressa la joue puis la gifla. Elle empoigna ses cheveux à deux mains et se mit alors à lui baiser la gorge en savourant l’étroitesse parfaitement lubrifiée dans laquelle elle coulissait sans tenir compte du temps qu’elle prenait à jouir de ce qui lui était offert. Après tout, c’était un être surnaturel, elle devait pouvoir encaisser plus qu’une simple humaine.

La bave giclait à chaque retour de hanches, ses couilles tapaient avec un bruit humide sur le menton trempé, le tout coulait abondamment sur les seins de Shehtra. Le succube adorait quand sa proie s’abandonnait ainsi. Elle savourait ce début d’ébats tout en regardant les yeux de la fille. Les voir détrempés de larmes, ce qui était somme toute tout à fait normal, augmentait son excitation.

Après trois minutes de ce traitement, elle se retira pour laisser respirer Shehtra mais la força à lever la tête vers elle.

« Tu es délicieusement belle ainsi. Dommage que tu n’étais pas plus maquillée… »

Il allait être temps de goûter le suc intime de ce jeune ange. Chiara la laissa récupérer, attendant de voir ce qu’elle allait faire. Peut-être s’allongerait-elle ? Peut-être voudrait-elle la sucer plus longuement ? Peut-être allait-elle la surprendre ?

J'ai eu trop envie, c'est obligé que j'y aille trop fort. Du coup, il fallait qu'elle mette sa main sur la mienne pour me calmer un peu, pendant que je la branle. Putain que cette queue est grosse, mais je peux tenir sans trop de souci. Par contre, vu que j'y suis peu habituée, il faut s'attendre à ce que je bave et que je chiale. Ca va être un peu dégueu, mais bon.

J'ai pas d'expérience pour les futas comme elle, mais j'ai de l'expérience pour les mecs, alors je sais faire une bonne fellation de base. Vu que j'ai envie et qu'elle en a sûrement envie, j'avale cette queue sans qu'elle ne le demande. Je m'empêche un peu de respirer, mais bon, je tiens beaucoup mieux le manque d'air que les autres humains. Parfois, je retire la queue pour que je reprenne mon souffle, faisant cracher de la morve au passage. Pas trop attirant pour moi, mais la succube y est fortement habituée. Je reprends la fellation une fois que j'aie repris mon souffle, branlant encore jusqu'à ce que la main n'ait plus la place pour le faire. Après, c'est moins souvent que pour n'importe quel autre humain.

Je peux cependant pas aller plus loin que le nez sur son pubis, Chiara elle-même m'en empêchant. Elle me caresse avant de gifler, ce qui me fait pas grand-chose. Ce qui me fait un truc, c'est quand elle me baise bien la gorge, tout en tenant bien mes cheveux. Je lutte pas, mais elle baise fort. Je peux pas m'empêcher de gémir en chialant. C'est impossible de me retenir, et je suis vraiment pas triste.

Le temps passe, et j'ai un trop plein de CO2 qui commence à envahir mes poumons. C'est en fait ça qui s'appelle un manque d'air. Je commence petit à petit à manquer d'air et quand elle finit par enlever sa queue de ma bouche, je respire fort, ma gueule toujours autant ouverte que quand elle me baise la gorge pour reprendre mon souffle.

"Je suis même pas maquillée ! Je trouve ça chiant !"

Okay, ça permet de mieux passer inaperçue, mais bon, c'est pas mon genre de me maquiller pour changer de visage. Tant que je laisse pas de trace et qu'on vienne pas témoigner contre moi, ça me sert à que dalle. Mais bon, après avoir repris mon souffle, je la branle à nouveau et je reprends la fellation, mettant direct sa bite dans ma gorge, et je suce bien, bougeant ma tête rapidement, voulant voir à quelle quantité elle allait jouir.

Alors que Chiara la regardait cracher le mucus et récupérer son souffle, elle l’entendit dire quelques mots entre deux quintes de toux.

« Je suis même pas maquillée ! Je trouve ça chiant !
- Grave erreur ma chère. Tu apprendras avec le temps que le maquillage peut s’avérer être un atout inestimable, de bien des manières. »

La fille se redressa et reprit la queue en bouche.

C’était rapide, presqu’affamé. Toujours affamé à vrai dire. Depuis qu’elle l’avait ferrée. Cet ange semblait dans un drôle d’état de manque. A moins qu’elle n’ait forcé la dose de pouvoir ? C’était peu probable.

Elle la regarda la gober, encore et encore, jusqu’à la garde, toujours. Elle s’activa, elle voulait manifestement l’amener au bout. Chiara sourit devant tant d’empressement et d’envie.

La tête de Shehtra s’activait, montait et descendait sans arrêt, tandis que sa langue jouait sur sa queue et que sa gorge la massait autant que la caressait. Chiara se laissa doucement tomber à genoux, puis s’étendit sur le sol, appuyée sur ses coudes pour bien regarder, toujours abandonnée aux attentions de son amante.

« Continue, tu pourrais bientôt recevoir ce que tu espères… »

Elle se laissa aller progressivement, le présperme afflua paresseusement et s’écoula dans la gorge et la bouche de l’ange noir.

Je sais vraiment pas maîtriser tout ce désir. C'est tellement soudain qu'il faut que ce soit immédiat. J'ai déjà eu un trop plein de désir, plus d'une fois, mais là encore, ça s'éliminait comme il faut, je pouvais quand même éviter de me laisser dominer. Mais là, c'est tellement d'un coup que je suis incapable de me retenir. Heureusement, je peux quand même parler, même en n'étant plus qu'un monstre de Lust.

Je trouve le maquillage chiant à faire et chiant à sentir. Je sais, elle me parle pas forcément d'être un pot de peinture, mais bon, à la limite, le seul truc qui pourrait me faire maquiller, c'est quand j'ai des boutons ou des trucs moches au visage. Là c'est justifié pour éviter qu'on pense plus qu'à ça quand on voit ma gueule. Mais si c'est pas pour se faire reconnaître, bah autant mettre une cagoule.

Je gobe donc à nouveau la queue, provoquant de bruits de succions qu'elle pourrait qu'entendre, ma langue qui limite s'est fait prendre en sandwich entre ma lèvre inférieure et son énorme queue qu'un noir serait jaloux, avec une partie de la langue qui dépasse. Au moins, elle peut s'assurer que ma langue glisse bien sur sa queue, et pas seulement mes lèvres et mes dents. En plus, je la suce jusqu'à la garde, toujours. Mes sourcils ont vraiment du mal à froncer si je le voulais, alors que je commence à en trembler un peu.

Elle commence à se mettre à genoux et à s'étaler au sol, pendant que je continue la fellation, pendant que je commence à sentir du pré-foutre s'écouler dans ma gorge. Je commence ensuite à masser ses couilles avec une main, les serrant et les desserrant, mes doigts se glissent sur sa peau des couilles, alors que je vais de plus en plus vite dans la fellation. Elle sent bien que je veux la faire craquer ?

D'ailleurs, cette queue commence à sentir qu'il y a pas que de la glaire qui entoure la queue : la gorge commence à faire sortir du sang, ce qui fait qu'elle sent cette substance aller sur sa bite, ce qui peut lui faire bizarre. Non, il y a pas de fistule, juste mon corps étant celui d'un ange de sang, quand j'en ai envie, du sang sort d'un endroit sans que je sois en danger. Ce sang commence à remonter dans ma gorge à force que la fellation est forte, et du coup du sang commence à atterrir sur ma langue, ce qui ajoute à ce goût de queue celui du sang que j'aime beaucoup. Mes yeux commencent petit à petit à prendre une teinte rouge sang, mais j'arrête surtout pas cette fellation. Elle peut voir que cette queue s'entoure de sang, mais ça influe pas sur son endurance ou quoi… quoique. Mais ça montre que je suis associée au sang.

Chiara se laissait aller au plaisir qui montait, doucement mais sûrement. Elle avait le temps, mais elle voulait aussi récompenser la débouche d’efforts de l’ange si soumis à ses bas instincts. A vrai dire, Shehtra n’avait plus rien d’angélique à cet instant : elle ressemblait plus à une humaine en manque cruel de dope, shootée à l’extrême auparavant, à tel point qu’elle jouerait sa vie sur une pipe pour avoir sa dose.

Lorsque le succube vit perler quelques gouttes de sang, elle fronça les sourcils. Ce n’était pas normal. Elle coulissait trop facilement dans cette gorge. Elle était serrée, oui, mais pas au point de se blesser sur une gorge profonde. Elle n’avait rien senti en ce sens en tout cas.

Bon, elle n’est pas suffisamment en mon pouvoir pour se blesser sans rechigner, c’est sûr. Donc elle peut s’arrêter. Alors qu’elle fasse ce qu'elle veut…

C’était un ange après tout. Elle avait une capacité à encaisser la douleur largement hors normes. Et elle restait maîtresse de ses choix. En partie du moins, Chiara ayant quand même une emprise suffisante pour que l’ange n’ait pas envie de la trucider.

Elle la laissa continuer, le sang maculant petit à petit sa queue, toujours avalée jusqu’à la garde, à chaque coup. La langue de la fille massait ses couilles autant que ses mains quand elle arrivait là et le succube adorait ça. Bien souvent, ses proies arrivaient déjà difficilement à finir l’avalement de la queue, alors jouer en plus avec leur langue, c’était une gageure que peu parvenaient à accomplir. Mais Shehtra était douée.

Intéressant. Tu as du potentiel ma belle.

Enfin le plaisir se déclencha. Bien mérité pour Shehtra. Chiara, elle, se contenta de le ressentir et le distiller à son amante du soir.

Les couilles se mirent à pulser sous les doigts de l’ange, la semence envoyée dans le canal afflua, gicla puissamment dans la gorge qui l’accueillait. De longs traits brûlants tapissèrent les parois œsophagiennes. Le succube gémit alors que la jouissance parcourt son corps, sa main agrippa pourtant les cheveux de Shehtra pour retirer sa tête progressivement, tapissant de semence sa bouche puis finissant sur son visage, ou plutôt ses lèvres, son nez et son menton. Le vrai bukkake serait pour plus tard.

Chiara la regarda, le bas du visage blanchâtre légèrement coloré de rouge devenant rose en se mélangeant au foutre.

« Je veux te baiser, pas te massacrer les cordes vocales. N’abuse pas non plus… »

Le regard de l’ange avait pris une teinte rouge sang. C’était surprenant, on aurait dit qu’il n’y avait pratiquement plus d’iris ni de pupille.

Elle la regarda, toujours appuyée sur son coude, et lâcha sa chevelure pour lui rendre sa liberté de mouvements. Sa queue tapa contre le menton de Shehtra puis glissa le long de sa gorge pour se poser contre ses gros seins tandis qu’elle se redressait un petit peu. Ce spectacle était très intéressant, mais après une telle fellation, Chiara n’avait plus envie que de deux choses : soit lui manger la chatte, soit la lui défoncer.

Elle laissa l’initiative à Shehtra. Quelle serait sa prochaine action ? L’une ? L’autre ? Un autre choix plus inattendu ? Il ne faudrait cependant pas tarder, parce que dans le cas contraire, elle prendrait les choses en main. A voir donc, mais vite.

Elle lui adressa un sourire entendu.

Je finis par sentir une grosse quantité de foutre entrer dans ma gorge, remplissant rapidement mon estomac. Je ferme donc les yeux, fronçant même les sourcils pour faire l'effort de mieux supporter. Mon estomac se remplit rapidement, au point de faire grossir mon ventre. Elle prend aussi ma tête pour retirer progressivement ma tête, pour finir par jouir sur ma bouche. Ce qui sort de la queue est blanche alors que ce qui sort de ma bouche est rose, car il y a du sang dedans, du sang qui tapissait ma gorge de manière complètement volontaire de ma part.

Elle me fait remarquer qu'elle veut juste me baiser, mais qu'elle a l'impression qu'elle est en train de défoncer mes cordes vocales. Bof ! C'est pas ce qu'elle croit, et je suis sûre qu'elle aurait préféré ça.

"T'inquiète, le sang venant de ma gorge, c'est volontaire de ma part. Je suis associée au sang."

Je dis ça en me relevant, me blottissant contre elle, mes nichons se collant à ceux de Chiara, mes bras entourant son cou, alors que je lui souris. Je sais qu'elle a bien envie de mettre sa queue dans ma chatte, alors qu'elle en profite. Je l'embrasse langoureusement, lui faisant donc goûter à mon sang, alors que je lâche d'une main Chiara pour prendre sa queue et la mettre direct dans ma chatte. Je commence à bouger mon corps pour non seulement que nos seins se frottent entre eux, mais aussi que sa queue coulisse dedans, me faisant gémir dans le baiser fougueux.

Je finis ensuite le baiser pour mordre à nouveau son cou et boire ce que son cou a pu accumuler comme sang, vu que son cou a déjà été mordue jusqu'à sang. Je suce donc son sang, léchant donc son cou et aspirant pour qu'elle soit nettoyée de ce sang, mais pas que, car j'ai envie de plus de sang. Ce n'est pas du cannibalisme, mais plus du vampirisme, sauf que ça ne me soigne pas. Je n'ai pas besoin de sang pour vivre. J'aime le goût du sang, c'est tout, et Dame Scarifa m'a donné goût à ce liquide qui va partout dans notre corps.

"Je suppose que tu as déjà baisé des vampires."

En tout cas, se faire sucer son sang n'a pas l'air de la déranger. Ca n'a pas l'air de la faire bizarre. Ce qui l'a gênée, c'est juste que je me suis mise à saigner de la gorge, mais de manière volontaire.

Shehtra se redressa pour s’avancer sur Chiara avec une lenteur prédatrice, son regard rouge illustrant parfaitement les propos qui suivirent tandis que ses seins caressaient le corps sous eux avec une douceur alléchante.

« T'inquiète, le sang venant de ma gorge, c'est volontaire de ma part. Je suis associée au sang. »

Elle se blottit contre le succube, l’enlaçant pour l’embrasser avidement. Chiara répondit à ce baiser avec passion, absolument pas rassasiée par son plaisir.

Shehtra était vive et impatiente, aussi, sans cesser de l’embrasser, elle glissa une main entre elles pour prendre sa queue et directement la guider en elle. Le succube gémit, satisfait, tandis que le bassin de l’ange se mouvait pour avaler son membre épais. Les seins frottaient maintenant les uns contre les autres, stimulant leurs zones érogènes. L’ange gémit tandis que la queue en elle prenait de plus en plus de place.

Elle cessa le baiser et mordit alors le cou de Chiara, encore, à la recherche de son sang. Le succube grimaça légèrement, la douleur était une vieille amie et se faire percer la peau par des crocs acérés était toujours aussi délicieusement excitant.

L’ange était associée au sang ? Pas étonnant alors qu’elle se mette à la sucer ainsi. Mais c’était bizarre de « suinter » le sang à volonté comme elle venait de le faire. Chiara n’en voyait pas l’intérêt si ce n’était une forme de fétichisme. Elle lui pressa le visage contre sa gorge tandis qu’elle enclenchait son pouvoir d’absorption d’énergie sexuelle : tandis que Shehtra s’abreuvait, elle se régénérait. Elle sourit.

« Je suppose que tu as déjà baisé des vampires.
- Tu n’as rien d’un vampire… »

Shehtra mettait trop de temps à l’avaler entièrement. Elle en voulait plus. Tout de suite. Elle les retourna et se retrouva au-dessus, et s’enfonça dans le vagin à sa disposition avec brutalité, terminant sa course contre la paroi utérine d’une seule poussée sans pitié.

Elle se redressa quelque peu, histoire de bien voir le visage de Shehtra et lui refuser l’accès à sa gorge – pour le moment – intéressée par sa réaction. Elle était canon. Pas farouche pour un sou. Totalement esclave de son désir.

Sur une impulsion, elle fit gonfler sa queue en elle, gagnant une dizaine de centimètres et la circonférence correspondante. Elle viola sans attendre l’utérus angélique. Quel délice de baiser ainsi un ange ! Même s’il ne s’agissait pas d’un des fils de l’ennemi d’Asmodée, c’était quand même par extension une jouissance extrême. Et elle lui était pour le moment totalement soumise, pour autant qu’elle n’aille pas contre sa nature profonde, ce qui lui permettrait de sortir de l’emprise de son désir. Elle restait une créature surnaturelle extrêmement puissante.

Chiara se mit à la matraquer sans pitié, prenant un plaisir intense à sentir son ventre se faire violence pour l’accepter sans parvenir à s’adapter. La mouille de Shehtra maculait déjà ses couilles qui claquaient contre ses lèvres avec entrain.

« Tu voulais ma queue ? Tu l’as ! Qu’est-ce que ça te fait ? »

Elle sourit, prédatrice, avant de fondre sur sa bouche et lui mordre les lèvres à sang. Il n’y avait pas de raison qu’elle ne goûte pas elle aussi à cette substance intime.

« Alors ? »

Pendant que je suce son sang par simple plaisir, je commence à me faire sucer le sang, mais de manière plus indirecte. C'est comme si même en suçant mon sang, je ne gagne pas plus de sang dans mon corps, ce qui n'est pas un mal en soi. D'ailleurs, je me dis qu'elle a sûrement déjà baisé des vampires, qui ont eu aussi pour envie de sucer du sang d'autrui. En effet, je n'ai pas grand-chose d'une vampire. Je suis une ange noire liée au sang, c'est pas pareil.

"En effet. Mon seul truc digne d'un vampire c'est que je suce du sang."

Si c'était suffisant, en effet, il y aurait carrément les cannibales qui seraient vampirisés. Mais la question c'est juste pour dire qu'elle s'est déjà faite sucer son sang, et elle aime sûrement ça. D'un coup, elle me retourne, de sorte à ce que ce soit moi qui me trouve collée à la façade. C'est pour pouvoir me baiser comme elle l'entend, et c'est ce qu'elle fait, de manière brutale, me faisant déjà crier. Je sens son gland déjà traverser mon col, violemment. Je sens une belle douleur dans ma chatte. Elle sent que j'ai mal, mais que j'aime cette douleur. Désormais, elle sait ce que Dame Scarifa m'avait débloqué en moi : mon côté maso.

Je commence ensuite à sentir que la queue se met à grossir en moi, forçant mon utérus à s'étendre. Après, il est fait pour s'étendre quand j'aurai un gosse, mais il s'attend pas à le faire comme ça. Elle baise ensuite mon utérus, me faisant crier encore de plaisir. L'extension forcée et brutale me fait mal, mais c'est une douleur qui me plait. J'ai connu encore plus douloureux, de toute façon, comme quand Dame Scarifa m'avait complètement déchiquetée et dévorée jusqu'à l'os, littéralement, dans son monde. Je mouille beaucoup sur sa bite, cette mouille qui limite lubrifie cette queue pendant qu'elle continue de faire étendre de force mon utérus, sans la moindre délicatesse.

Elle me mord la lèvre à sang, lui faisant goûter à mon sang, sans que je n'aie l'impression de protester. Je la regarde dans les yeux, continuant de crier à la fois de douleur et de plaisir.

"Ca fait… une délicieuse souffrance !"

C'est dit, je peux plus le nier. Elle l'a sûrement remarqué, alors autant être franche : j'aime avoir mal. Si je suis sadomaso ? Je sais pas, mais maso, putain ouais !

Alors qu’elle la prenait d’une traite, elle lui arracha – déjà – un cri de plaisir. Plusieurs coups de reins furent ponctués d’autant de cris. La douleur se marquait dans son regard. Le plaisir aussi. Une parfaite petite pute esclave de son désir et de son plaisir, mais adorablement maso ? A voir jusqu’où on pourrait la pousser du coup.

La croissance de la queue en elle lui arrache de nouveaux halètements. Puis des cris alors que le matraquage prenait de l’ampleur. Elle avait du mal à l’encaisser. Quoi de plus normal au vu du monstre qui lui fouraillait les entrailles ? Mais elle tentait de faire contre mauvaise fortune bon cœur et se montrait brave sous les assauts impitoyables.

Elle adorait en réalité. Elle mouillait comme une folle, les bruits générés par le coït devenaient déjà obscènes alors que seulement quelques minutes s’étaient écoulées.

Chiara lui mordit la lèvre à sang puis lui demanda si elle aimait l’effet que lui procurait sa queue.

« Ca fait… une délicieuse souffrance ! »

Trois mots… Et une abdication dans son regard à cet aveu. Chiara sourit, prédatrice, carnassière.

« Quelle douce musique… »

Elle se mit à baiser l’ange avec ardeur. Ses mains s’accrochèrent à sa chevelure, la forcèrent à baisser sa tête en arrière et offrir sa gorge. Les yeux du succube s’enflammèrent, ses canines crûrent et elle déchira la peau tendre pour s’abreuver elle aussi du sang divin tandis que la cyprine angélique maculait sa queue démonique.

Le contraste était saisissant. Et pourtant, à les voir, on ne pouvait pas aisément départager l’ange du démon. La dépravation de Shehtra ne faisait pas de doute. Sa luxure non plus. Mais était-ce dû à l’impulsion de Chiara ou était-ce sa vraie nature ? Son vrai moi ?

Les mains du succube lâchèrent les cheveux pour venir s’occuper des seins de son amante. Ses ongles prirent la forme de griffes, déchirèrent là aussi la peau délicate pour faire couler l’ichor écarlate sur la peau pâle, érotisant encore un peu une scène déjà chargée à son maximum.

Elle pompait l’énergie sexuelle de l’ange à grande vitesse, se nourrissant avec appétit, tandis qu’elle la soumettait au joug de son sexe surdimensionné.

« Petite meurtrière… Tu vas subir ma loi. Tu vas t‘y plier. »

Elle plongea son regard dans les yeux rouge de l’ange.

« Et tu vas aimer. Abandonne tout ce qui te reste. Maintenant ne compte plus que ton plaisir. Et le mien. »

Elle déchira un téton en frottant plus fort sa queue contre le clitoris gonflé. En même temps, elle sondait l’âme de l’ange. La damner serait une telle jouissance !

Mais… Son âme est déjà revendiquée… Par une entité supérieure ? Qui ? Scarifa ? Qui est-ce ?

Chiara se ficha le plus profondément possible dans le ventre offert, arrachant le plus possible de douleur et de plaisir mêlés à Shehtra, et se vida une première fois en elle, prenant possession de l’utérus avec violence pour étancher cette frustration de savoir son âme hors de portée. Avec un peu de chance, son corps serait lui possédé par sa semence démoniaquement féconde.

C’était puéril et indigne d’elle, mais la surprise l’avait quelque peu vexée et, en bonne démone égocentrique, elle se vengeait bassement.

Elle jouit longuement, abondamment, une semence épaisse et gluante qui macula les moindres recoins du ventre de l’ange avant de se trouver à l’étroit et le forcer quelque peu à enfler pour le recevoir. Alors que son plaisir se répandait, elle regardait le visage de Shehtra, guettant ses réactions, cherchant le plaisir, la surprise, la douleur, ou tout autre sentiment qui exacerberait son plaisir.

Le sang coulait sur la peau angélique, s’égouttant lentement sur le dallage de pierre du toit de la tour. Bientôt, il serait rejoint par d’autres fluides tout aussi intimes.

Elle regarda la lune. La nuit était jeune…

Elle me baise donc avec force, me faisant crier à la fois de plaisir et de douleur, alors qu'elle commence par me prendre par mes cheveux pour me forcer à les mettre en arrière, pour que je lui offre ma gorge. Cette gorge qui se fait donc mordre jusqu'au sang, me faisant souffrir et me faisant perler du sang. Je sens que cet ébat va être bien, bien sanglante. Limite on finirait toutes les deux avec la peau pleine de cicatrices.

Après le cou et la gorge, la démone s'occupe de mes nichons, les griffant aussi jusqu'au sang. Elle remarque qu'ici la cicatrisation est lente, mais c'est volontaire, alors que mes mains commence réellement à se griffer, et se met à lacérer son corps, sur les côtés, à la hauteur de ses nichons, mais sans encore les toucher. On se déchire mutuellement la peau, on se met du sang sur les mains et la gueule. Sa loi ? On va voir. Pour l'instant, j'accepte d'être sa soumise, mais pas sûre que ce soit à vie.

Elle me regarde dans les yeux, mais je lui réponds pas. Elle essaie de voir si je suis vraiment à prendre, mais dans mon âme, elle voit un symbole gravé dessus. Ce symbole représentant une goutte de sang ailée avec une queue qui tient un couteau de sacrifice, qui montre qu'en fait je sers déjà une divinité. Sentant ça, elle donne un très violent coup de queue dans ma chatte, me donnant une intense mais plaisante douleur, me faisant donc crier intensément. Je sens qu'elle jouit dans ma chatte, et abondamment, remplissant donc mon utérus et même au-delà, jusqu'à ce que l'utérus ne tienne plus et rejette la queue de force, alors que mon ventre a bien gonflé, et que l'utérus se met à se vider du trop plein de foutre.

Je la regarde ensuite. Elle semblait plutôt revancharde, vu sa gueule. Je me mets à sourire, de manière provocante.

"Quoi ? Tu as mal pris un truc sur moi ?"

Après, je me doute que les démons, une fois qu'ils veulent un truc, ils sont prêts à tout. Par contre, pour avoir ma fidélité, il faut vraiment y aller, parce que je sers une déesse du Sang et du Sacrifice. Par contre, si elle veut que je la serve mais de manière plus humaine, c'est jouable. Genre je bosse pour la démone, ça me va.

D'ailleurs, il reste qu'un seul orifice à remplir, le temps que ma chatte se débarrasse du foutre. Du coup, je me retourne de sorte à ce que je me trouve face au balcon. De toute façon, il y a pas beaucoup de monde qui peuvent nous voir. Mon cul est carrément offert. Ouais, je fais ma salope, mais en même temps, comment ne pas le faire devant une succube quand on sait comment le faire ? Pendant ce temps, je pose mes mains sur son cou, le griffant un peu.

Oui, la douleur la prit. Le plaisir aussi. Celui de Chiara en fut augmenté. Ces expressions intenses étaient toujours source de jouissance pour elle. Alors que sa semence démoniaque se répandait dans les organes reproducteurs de l’ange, y laissant une traînée de feu bien supérieure à celle d’une semence de mortel, elle la regardait, admirait son ventre qui commençait à pulser au rythme de son plaisir qui le déformait doucement.

Shehtra cria de plaisir. Un cri intense, chargé d’émotions, qui se perdit dans la nuit anonyme.

Enfin elle se retira, admirant le corps à la peau pâle maculé de petites plaies et de bien plus de sang. L’ange cicatrisait rapidement, mais pas partout à la même vitesse. A moins que ce ne soit voulu ? Peu importait en réalité. Ce qui était agréable, c’était la vue du sang. Et du foutre qui déjà s’y mêlait sur les cuisses maculées et sur le sol, alors que le corps de l’ange finissait de reprendre son apparence naturelle.

Shehtra sourit, provocante.

« Quoi ? Tu as mal pris un truc sur moi ? »

Chiara sourit en réponse, tout aussi provocante.

« Je ne pensais pas que tu avais une Maîtresse. Tu parais si indépendante. Il faudra que tu m’en parles, avant qu’on se quitte. Je ne connais pas Scarifa…Pourtant, j’en connais des divinités… »

Shehtra s’était déjà positionnée pour la suite. En parfaite salope, elle s’appuya contre la balustrade, le cul tendu vers Chiara. Celle-ci avança lentement et claqua durement la fesse de sa main droite, déchirant à nouveau la peau.

« Ah tu veux que je m’occupe de ton cul ? Espèce de petite salope. Tu ne sais pas ce que tu demandes… Tu ne sais pas ce qui t’attend… »

Le sang coulait aussi sur le corps de la démone, mais les plaies se refermaient aussi vite qu’elles apparaissaient, l’influx de régénération sexuelle fonctionnant à plein régime. Elle posa sa queue entre les fesses de Shehtra, se masturba lentement contre le bas de ses reins en se servant d’elles comme guide.

L’ange essaya de l’attraper par au-dessus de ses épaules, mais ne parvint qu’à érafler son cou avant qu’elle le force à se pencher plus en avant encore.

Sa queue se présenta devant l’anus serré mais totalement consentant. Elle la fit gonfler un peu plus, posa les mains sur les épaules de la fille.

Et s’enfonça brutalement en prenant appui sur elles et s’en servant pour s’attirer plus profondément et plus rapidement en elle. Aucune douceur puisqu’elle ne semblait pas en vouloir. Oh non, elle n’en voulait pas. Il suffisait de regarder son corps ensanglanté et son regard de braise qui criait « ENCORE ».

Elle acheva sa percée anale d’une seule traite, fichant en elle un membre comme elle n’en avait sans doute que très rarement, voire jamais connu, l’emplissant totalement jusqu’à ce que ses couilles viennent frapper sa fente dégoulinante de foutre et de cyprine. Alors elle déchira son dos de ses griffes. Le sang gicla, dégoulina.

« C’est ça que tu veux ? Plus de douleur encore ? Je peux t’amener aux portes de la mort si tu le souhaites. Là où les orgasmes impossibles sont possibles. Là où tu devras te battre pour ne pas sombrer dans l’oubli du plaisir. C’est là que tu veux que je t’emmène ? Là que tu veux te perdre et te retrouver ? »

Elle planta ses griffes entre ses côtes puis se servit de celles-ci comme appui alors qu’elle commençait à lui défoncer le cul.

« Dis-moi ce que tu veux. Demande-moi… Supplie-moi ! »