Banlieue sud de Yoake, quartier résidentiel. Un endroit calme, bien sous tous rapports. C’est là que trois hommes retenaient prisonnière une adolescente peu commune. Ils l’avaient achetée au marché noir et l’exploitaient depuis des années. Ils l’avaient élevée, presque dressée, pour leur propre plaisir, mais aussi celui de leurs clients grâce auxquels ils arrondissaient grassement leurs fins de mois. Cet argent facile leur permettait, entre autres, d’obtenir des faveurs auprès de gens peu fréquentables.
Ils étaient très aisés, leur domination sur la fille et leurs clients les rendait terriblement sûrs d’eux. Entre ces deux états de fait, ils se croyaient au-dessus de la fange, tout permis. De petits maîtres du monde qui en voulaient toujours plus. Cette attitude détestable ne leur avait pas valu que des amis, mais tant que chacun y trouvait son compte, personne n’en prenait plus ombrage qu’il ne le fallait. Jusqu’au jour où ils se montrèrent trop gourmands, où de nouveaux clients chassèrent d’anciens car il n’y avait pas de place pour tous et la loi du plus offrant régnait.
Dans ces milieux clandestins, il y avait toujours quelqu’un pour vendre la mèche, quelqu’un de frustré ou revanchard. Aussi un client évincé vendit-il la mèche. C’était un client de la première heure, un ami du trio qui ne les reconnaissait plus à présent. Il avait été chassé comme un malpropre, ses passe-droits révoqués unilatéralement au profit de nouveaux amis plus riches. Il avait trouvé refuge dans les bras d’une des filles de Valeria, l’une de celles qui font ce que les autres ne veulent pas. La fidélité de cette fille-là était inconditionnelle : Valeria l’avait créée, l’éduquait et la formait pour à terme en faire une de ses secondes. La femme expérimentait sa nouvelle condition de succube et elle ne se trompa pas sur la valeur de cette information. Avec habileté, elle fit de cet homme son jouet, le rendit tellement accro qu’il s’endetta au-delà de toute possibilité de recouvrement. Lorsqu’il fut complètement à sa merci, elle le fit tourner sur le bout de son doigt et le lessiva pour de bon afin d’avoir quelque chose de tangible, puis elle rapporta l’information à sa Maîtresse.
Curieuse, Valeria fit mener une enquête afin de vérifier la véracité des dires de ce péquenot qui lui devait de l’argent. Et à sa grande surprise, il n’avait pas menti. Toutes les informations s’étaient recoupées. Sans parler de toutes les autres informations que ses enquêteurs, humains et démoniaques, avaient découvertes.
Le trio avait monté un business très intéressant autour d’une seule fille. Et ce qui ressortait de ses capacités était clairement au-dessus de la moyenne. Ses conditions de détention et d’exploitation étaient également nettement moins bonnes que celles de la moyenne.
Valeria avait donc décidé de s’approprier cette esclave et fait capturer ces trois hommes.
Après une torture en bonne et due forme pour obtenir toutes les informations complémentaires désirées, notamment sur son habitat, mais aussi et surtout sur son passé, ses goûts, sa personnalité… elle avait étudié les renseignements obtenus et s’en était imprégnée. Elle voulait faire bonne impression sur la fille – Kanaé – quand elle la rencontrerait. Elle ne voulait pas être le même genre de Maîtresse que ces trois proxénètes.
Elle envisageait d’offrir à cette esclave une vie meilleure, toujours dans le domaine du sexe, bien sûr, mais elle la traiterait comme ses autres employées. Elle serait protégée, éduquée, payée. Elle pourrait vivre. Peut-être même gravir quelques échelons dans la société, allez savoir.
Elle avait fait emprisonner les trois hommes, les avait offerts comme jouets à ses équipes. La seule consigne était de ne pas trop les amocher et, bien sûr, de les garder en vie. L’imagination des Démons allait faire des merveilles avec eux. L’abruti d’informateur revint à sa rabatteuse, Nikima. Elle pouvait en faire ce qu’elle voulait. Et sa récompense l’amena à la tête de l’établissement où elle se produisait peu avant.
Il était désormais temps de faire connaissance avec Kanaé.
Valeria se conforma à tout ce qu’elle avait appris, revêtit une apparence masculine. Bien plus avenante que celle des trois tortionnaires. Il fallait plaire. Il fallait séduire, charmer, embobiner. Kanaé devait l’apprécier. Elle devait devenir un mentor, une figure paternelle réconfortante.
Elle se fit conduire dans la banlieue, là où vivait la fille. La maison était banale, comme toutes les maisons dans ce quartier. Par contre, le sous-sol avait été remarquablement aménagé et sécurisé. La chambre de Kanaé était un véritable coffre-fort. Grâce aux indications du trio, ses hommes l’ouvrirent et elle put pénétrer à l’intérieur, porteuse d’un bouquet de fleurs dans un vase et d’un paquet de cookies. Elle envisageait d’amadouer la fille pour lier connaissance avant toute chose.
Mais quand elle entra dans la pièce, une atmosphère inattendue la saisit. Son regard se posa sur la fille et ses intentions changèrent radicalement. Elle parvenait à se contenir – ça aurait été dramatique qu’une Démone de son statut en soit incapable ! – mais l’aura de Kanaé était irrésistible. Seul son propre pouvoir la protégeait – et encore.
Elle lui sourit en lui tendant ses cadeaux.
« Bonjour Kanaé. Je suis Sato. Ton oncle, ton cousin et ton frère sont partis pour une raison très importante. Une solution au virus aurait peut-être été trouvée. Ils m’ont demandé de veiller sur toi. Je sais, ce n’est pas idéal. Moi aussi, j’aurais préféré qu’ils nous présentent avant de partir, mais c’était urgent. »
Elle sourit, engageante, laissant s’écouler d’elle une aura de confiance et de sympathie.
« On va se débrouiller tout seuls, qu’est-ce que tu en dis ? »
Cependant, son corps commençait à réagir malgré elle. Qu’est-ce qui se passait ici ? Face à qui se trouvait-elle ? Aucune humaine ne pouvait dégager une telle aura ! La dernière fois qu’elle avait ressenti ça, c’était avec les favorites d’Asmodée, dont elle faisait partie !
- Kanae Anarima
- Messages : 3
- Enregistré le : 16 août 2024 11:45
- Fiche
Depuis qu’elle était enfermée dans cette chambre en sous-sol, Kanae n’avait plus vue la lumière du jour. Enfin, elle ne s’en souvenait pas, vu que tout ses souvenirs se limitaient à cette seule pièce. Outre sa “famille”, la jeune fille avait vue pléthore d’autres hommes venir leur administrer leur traitement crémeux.
Selon les dires de son oncle, seule la semence masculine pouvait ralentir la maladie dont les quelques femmes survivantes souffraient encore, mais il fallait varier celle-ci autant que possible pour empêcher le virus de s’adapter et y résister. C’était l’excuse choisie pour la rendre aussi docile que possible pour les ébats. Et pour la rouquine, ce devait sans doute être vrai…
Mais depuis quelques jours, plus personne ne venait la voir dans sa chambre. Elle pouvait le savoir grâce au cycle jour/nuit qui continuait avec les lampes. Elle ignorait pourquoi elle avait été oubliée de la sorte, mais cela lui permettait de souffler un peu… même si c’était pas évident dans son état. Outre le fait de ne pas avoir avalée quoi que ce soit depuis l’absence de sa “famille”, c’était surtout qu’il était peu évident de se reposer, attachée comme elle l’était.
En effet, ses poignets étaient attachés au dessus de sa tête avec des cordes, et ses chevilles l’étaient tout autant de chaque côté de la tête de lit, ce qui lui faisait écarter les cuisses en grand. Dans ses orifices, deux godes épais vrombissaient furieusement, maintenu par les cordages pour les empêcher de glisser en dehors, à cause de la surabondance de fluides intimes. Et pour compléter le tableau, un anneau maintenait sa mâchoire ouverte, assez large pour laisser un membre y entrer, même si pour l’heure, sa langue trempée de salive en pendait mollement.
Combien de fois avait-elle jouis au cours des 72 dernières heures ? Au moins une bonne centaine, donc bien plus qu’elle ne saurait elle même le compter. Son état n’était donc pas bien reluisant, les draps comme le corps détrempés, la langue pendante et de légers spasmes la prenant par à coups, le regard vitreux et l’estomac gargouillant.
C’est ainsi qu’un nouvel arrivant pourra la voir en entrant dans sa chambre, avec des présents incongrus au vu de la situation, même si Kanae aurait dévorée la boîte de cookies si elle était en capacité de le faire. Tout au plus lui répondra t-elle avec un énième orgasme, expulsant sa mouille loin devant elle, en gémissant faiblement.
Une vraie loque…
Selon les dires de son oncle, seule la semence masculine pouvait ralentir la maladie dont les quelques femmes survivantes souffraient encore, mais il fallait varier celle-ci autant que possible pour empêcher le virus de s’adapter et y résister. C’était l’excuse choisie pour la rendre aussi docile que possible pour les ébats. Et pour la rouquine, ce devait sans doute être vrai…
Mais depuis quelques jours, plus personne ne venait la voir dans sa chambre. Elle pouvait le savoir grâce au cycle jour/nuit qui continuait avec les lampes. Elle ignorait pourquoi elle avait été oubliée de la sorte, mais cela lui permettait de souffler un peu… même si c’était pas évident dans son état. Outre le fait de ne pas avoir avalée quoi que ce soit depuis l’absence de sa “famille”, c’était surtout qu’il était peu évident de se reposer, attachée comme elle l’était.
En effet, ses poignets étaient attachés au dessus de sa tête avec des cordes, et ses chevilles l’étaient tout autant de chaque côté de la tête de lit, ce qui lui faisait écarter les cuisses en grand. Dans ses orifices, deux godes épais vrombissaient furieusement, maintenu par les cordages pour les empêcher de glisser en dehors, à cause de la surabondance de fluides intimes. Et pour compléter le tableau, un anneau maintenait sa mâchoire ouverte, assez large pour laisser un membre y entrer, même si pour l’heure, sa langue trempée de salive en pendait mollement.
Combien de fois avait-elle jouis au cours des 72 dernières heures ? Au moins une bonne centaine, donc bien plus qu’elle ne saurait elle même le compter. Son état n’était donc pas bien reluisant, les draps comme le corps détrempés, la langue pendante et de légers spasmes la prenant par à coups, le regard vitreux et l’estomac gargouillant.
C’est ainsi qu’un nouvel arrivant pourra la voir en entrant dans sa chambre, avec des présents incongrus au vu de la situation, même si Kanae aurait dévorée la boîte de cookies si elle était en capacité de le faire. Tout au plus lui répondra t-elle avec un énième orgasme, expulsant sa mouille loin devant elle, en gémissant faiblement.
Une vraie loque…

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Un gémissement sourd de plaisir s’échappa des lèvres de Kanaé tandis que son corps se tendait et que sa cyprine jaillissait pour se répandre sur le lit et maculer un peu ses jambes.
Le spectacle qu’elle offrait était pathétique. Le corps écartelé par les liens fixés à la tête du lit qui enserraient ses membres, la bouche maintenue ouverte par un anneau de plastique rigide qui l’empêchait d’avaler et laissait s’écouler sa bave sur son menton et sa poitrine.
La vue était atrocement érotique et les phéromones qui se dégageaient de Kanaé n’arrangeaient rien. N’importe quel humain lambda aurait déjà été en train de se jeter sur elle. Valeria tenait, mais son désir distendait son pantalon à présent. Il y avait vraiment quelque chose de pas net dans cette histoire, ce n’était pas naturel.
Elle laissa son regard passer « au-delà » et s’immergea dans l’aura magique… et manqua reculer d’un pas ! C’était énorme ! Pas étonnant qu’il se dégage d’elle un tel désir et une telle attraction !
Val étudia sommairement la magie impliquée et n’y trouva aucun « piège » ni aucun glyphe. Ce n’était qu’une très puissante aura de désir. Oh il serait certainement possible de la canaliser et l’exploiter mais il faudrait entraîner Kanaé et cela prendrait des années. En l’état, elle était juste une machine à baiser, un méga fucktoy.
Elle sourit en regardant la fille attachée, impuissante, et commença à déboutonner sa chemise, dévoilant un torse musclé mais pas trop.
« Je manque à tous mes devoirs. Tu as besoin de ta dose. Ca fait trop longtemps que tu ne l’as pas eue. La maladie ne recule devant rien. »
Valeria-Sato se déshabilla entièrement devant la fille dont les stimuli ne cessaient aucunement, les godes vrombissant comme de beaux diables, reliés qu’ils étaient à des prises électriques afin de ne pas cesser de fonctionner.
Une fois nue, elle grimpa sur le lit et s’avança jusqu’à elle, debout. Elle lui attrapa les cheveux, plaqua sa tête contre le mur et enfonça sa queue dans sa bouche, d’abord petit à petit mais assez rapidement avec ardeur, faisant dégouliner de plus en plus de bave sur le corps de Kanaé, la faisant pleurer d’étouffement par moments.
Entre plusieurs défonces buccales, elle détacha les liens qui lui maintenaient les membres. Elle envisageait de la démonter comme il se devait, la fille aurait besoin de pouvoir bouger pour participer, voire simplement subir ce qu’elle prévoyait.
Les minutes passèrent, devinrent dizaines, durant lesquelles elle lui défonça la gorge encore et encore, le corps et l’esprit emmenés par l’aura de débauche qui se dégageait de la fille. Elle jouit enfin dans sa gorge et se retira petit à petit pour finir en bukkaké. Elle essuya sa queue sur ses joues puis lui enleva l’étau qui maintenait sa bouche ouverte.
« Bien. La première partie du traitement s’est bien passée, mais vu le temps que tu as passé sans, il va te falloir une sacrée dose. On n’a pas fini… »
Le spectacle qu’elle offrait était pathétique. Le corps écartelé par les liens fixés à la tête du lit qui enserraient ses membres, la bouche maintenue ouverte par un anneau de plastique rigide qui l’empêchait d’avaler et laissait s’écouler sa bave sur son menton et sa poitrine.
La vue était atrocement érotique et les phéromones qui se dégageaient de Kanaé n’arrangeaient rien. N’importe quel humain lambda aurait déjà été en train de se jeter sur elle. Valeria tenait, mais son désir distendait son pantalon à présent. Il y avait vraiment quelque chose de pas net dans cette histoire, ce n’était pas naturel.
Elle laissa son regard passer « au-delà » et s’immergea dans l’aura magique… et manqua reculer d’un pas ! C’était énorme ! Pas étonnant qu’il se dégage d’elle un tel désir et une telle attraction !
Val étudia sommairement la magie impliquée et n’y trouva aucun « piège » ni aucun glyphe. Ce n’était qu’une très puissante aura de désir. Oh il serait certainement possible de la canaliser et l’exploiter mais il faudrait entraîner Kanaé et cela prendrait des années. En l’état, elle était juste une machine à baiser, un méga fucktoy.
Elle sourit en regardant la fille attachée, impuissante, et commença à déboutonner sa chemise, dévoilant un torse musclé mais pas trop.
« Je manque à tous mes devoirs. Tu as besoin de ta dose. Ca fait trop longtemps que tu ne l’as pas eue. La maladie ne recule devant rien. »
Valeria-Sato se déshabilla entièrement devant la fille dont les stimuli ne cessaient aucunement, les godes vrombissant comme de beaux diables, reliés qu’ils étaient à des prises électriques afin de ne pas cesser de fonctionner.
Une fois nue, elle grimpa sur le lit et s’avança jusqu’à elle, debout. Elle lui attrapa les cheveux, plaqua sa tête contre le mur et enfonça sa queue dans sa bouche, d’abord petit à petit mais assez rapidement avec ardeur, faisant dégouliner de plus en plus de bave sur le corps de Kanaé, la faisant pleurer d’étouffement par moments.
Entre plusieurs défonces buccales, elle détacha les liens qui lui maintenaient les membres. Elle envisageait de la démonter comme il se devait, la fille aurait besoin de pouvoir bouger pour participer, voire simplement subir ce qu’elle prévoyait.
Les minutes passèrent, devinrent dizaines, durant lesquelles elle lui défonça la gorge encore et encore, le corps et l’esprit emmenés par l’aura de débauche qui se dégageait de la fille. Elle jouit enfin dans sa gorge et se retira petit à petit pour finir en bukkaké. Elle essuya sa queue sur ses joues puis lui enleva l’étau qui maintenait sa bouche ouverte.
« Bien. La première partie du traitement s’est bien passée, mais vu le temps que tu as passé sans, il va te falloir une sacrée dose. On n’a pas fini… »
- Kanae Anarima
- Messages : 3
- Enregistré le : 16 août 2024 11:45
- Fiche
Kanae n'avais donc pas vraiment remarquée la présence d'une nouvelle personne présente, trop occupée à mourir de faim tout en se noyant dans son plaisir interminable. Elle ne constata donc cette présence que lorsque un gros membre érigé et veineux se présenta devant son visage.
- Je manque à tous mes devoirs. Tu as besoin de ta dose. Ça fait trop longtemps que tu ne l’as pas eue. La maladie ne recule devant rien.
Et l'instant suivant, le membre turgescent s'enfonça entre ses lèvres grandes ouverte pour s'enfoncer au plus profond de sa gorge, sa langue glissant sur les testicules glabres, le crane plaqué contre la tête de lit alors que l'homme lui agrippait la tête. La suite devint un peu floue, car la rouquine se fit défourailler le gosier durant plusieurs dizaines de minutes, salivant à outrance sur l'intru, évacuant d'épais filets de bave sur son sa poitrine érigée. Ses gémissements étouffés s'intensifièrent à plusieurs reprise, jouissant coup sur coup et maculant chaque fois un peu plus le matelas de son jus intime.
- Glork ! Glork ! Glork ! Glurk ! Glurk ! Glork !
Kanae sembla tourner de l’œil à cause du manque d'oxygène. L'épaisse éjaculation de semence qui s'ensuivit n’arrangea pas la situation. Déjà que son aura décuplait la quantité moyenne de sperme chez une personne normale, mais dans le cas présent, ce fut plusieurs litres qui la maculèrent. Son estomac gargouillant se remplis à sa pleine capacité en peu de temps. Toutefois, le flot bouillant et ininterrompu se déversa ensuite sur son visage, puis le reste de son corps, la rendant toute collante et visqueuse. Même si ses poignets et chevilles avaient été détachées, la rouquine était encore trop inerte pour bouger, surtout avec ce qu'elle venait de se prendre à l'instant.
- Bien. La première partie du traitement s’est bien passée, mais vu le temps que tu as passé sans, il va te falloir une sacrée dose. On n’a pas fini…
- Buuurp...
Une grosse bulle de sperme gonfla de ses lèvres, puis éclata en déversant du sperme de ses lèvres. Si le nouveau voulait continuer de la remplir avec son remède, ce n'était pas Kanae qui allait le repousser, surtout vu l'état lamentable dans lequel elle était.
- Je manque à tous mes devoirs. Tu as besoin de ta dose. Ça fait trop longtemps que tu ne l’as pas eue. La maladie ne recule devant rien.
Et l'instant suivant, le membre turgescent s'enfonça entre ses lèvres grandes ouverte pour s'enfoncer au plus profond de sa gorge, sa langue glissant sur les testicules glabres, le crane plaqué contre la tête de lit alors que l'homme lui agrippait la tête. La suite devint un peu floue, car la rouquine se fit défourailler le gosier durant plusieurs dizaines de minutes, salivant à outrance sur l'intru, évacuant d'épais filets de bave sur son sa poitrine érigée. Ses gémissements étouffés s'intensifièrent à plusieurs reprise, jouissant coup sur coup et maculant chaque fois un peu plus le matelas de son jus intime.
- Glork ! Glork ! Glork ! Glurk ! Glurk ! Glork !
Kanae sembla tourner de l’œil à cause du manque d'oxygène. L'épaisse éjaculation de semence qui s'ensuivit n’arrangea pas la situation. Déjà que son aura décuplait la quantité moyenne de sperme chez une personne normale, mais dans le cas présent, ce fut plusieurs litres qui la maculèrent. Son estomac gargouillant se remplis à sa pleine capacité en peu de temps. Toutefois, le flot bouillant et ininterrompu se déversa ensuite sur son visage, puis le reste de son corps, la rendant toute collante et visqueuse. Même si ses poignets et chevilles avaient été détachées, la rouquine était encore trop inerte pour bouger, surtout avec ce qu'elle venait de se prendre à l'instant.
- Bien. La première partie du traitement s’est bien passée, mais vu le temps que tu as passé sans, il va te falloir une sacrée dose. On n’a pas fini…
- Buuurp...
Une grosse bulle de sperme gonfla de ses lèvres, puis éclata en déversant du sperme de ses lèvres. Si le nouveau voulait continuer de la remplir avec son remède, ce n'était pas Kanae qui allait le repousser, surtout vu l'état lamentable dans lequel elle était.

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Un sac à foutre. C’était ce à quoi Kanaé était réduite en cet instant. Elle rota et une bulle de sperme éclata entre ses lèvres pour en faire dégouliner encore un peu plus sur son menton. Valeria la regardait avec autant de désir que de compassion, un peu de pitié aussi. En arriver à ce stade-là était plutôt rare.
Le conditionnement et les mensonges avaient fait de cette jeune femme ce qu’elle était à présent. Mais elle allait remédier à ça, il n’y avait rien de permanent. Surtout avec les moyens dont elle disposait. Mais en l’état, elle était bien trop soumise aux impulsions sexuelles dégagées par son amante pour pouvoir penser clairement sans se concentrer un minimum.
Elle descendit du lit, prit Kanaé par les chevilles et l’attira à elle. Elle enleva les deux monstres qui stimulaient sa chatte et son cul puis lui leva les jambes haut, elle voulait la sodomiser par devant. Elle cala ses jambes contre son torse, son cul soulevé du matelas. D’une main elle écarta les fesses et de l’autre se guida sans effort en elle. Le cul ultra dilaté et gorgé de cyprine l’accueillit sans effort. Elle glissa en lui d’un geste fluide.
Son bassin se macula immédiatement de cyprine quand il s’achoppa à elle. Valeria commença à la sodomiser avec envie, le regard braqué sur son corps si parfait, les sens embrumés par l’écrasante aura de stupre que dégageait Kanaé.
Faudra que je me penche là-dessus…
Mais pas maintenant. Le cul semblait avaler la queue comme un vortex, le sphincter la pompait comme une ventouse. Valeria était subjuguée, elle en avait baisé des filles, mais comme Kanaé, très peu, voire jamais.
Elle accrocha les hanches de ses mains puissantes, maintint le bassin surélevé pour pouvoir y coulisser comme sur une autoroute. Le corps de la jeune femme était un peu recroquevillé sur lui-même par la position et les pieds battaient dans l’air sans retenue.
Le foutre qui maculait Kanaé offrait une vision enchanteresse, d’autant plus que la fille en bavait à foison et que son regard hagard s’approchait de ce que les japonais appelaient ahegao.
Espérons qu’elle réagisse bientôt !
Valeria avait envie de se gorger de son énergie sexuelle, pas de devoir la recharger.
Le conditionnement et les mensonges avaient fait de cette jeune femme ce qu’elle était à présent. Mais elle allait remédier à ça, il n’y avait rien de permanent. Surtout avec les moyens dont elle disposait. Mais en l’état, elle était bien trop soumise aux impulsions sexuelles dégagées par son amante pour pouvoir penser clairement sans se concentrer un minimum.
Elle descendit du lit, prit Kanaé par les chevilles et l’attira à elle. Elle enleva les deux monstres qui stimulaient sa chatte et son cul puis lui leva les jambes haut, elle voulait la sodomiser par devant. Elle cala ses jambes contre son torse, son cul soulevé du matelas. D’une main elle écarta les fesses et de l’autre se guida sans effort en elle. Le cul ultra dilaté et gorgé de cyprine l’accueillit sans effort. Elle glissa en lui d’un geste fluide.
Son bassin se macula immédiatement de cyprine quand il s’achoppa à elle. Valeria commença à la sodomiser avec envie, le regard braqué sur son corps si parfait, les sens embrumés par l’écrasante aura de stupre que dégageait Kanaé.
Faudra que je me penche là-dessus…
Mais pas maintenant. Le cul semblait avaler la queue comme un vortex, le sphincter la pompait comme une ventouse. Valeria était subjuguée, elle en avait baisé des filles, mais comme Kanaé, très peu, voire jamais.
Elle accrocha les hanches de ses mains puissantes, maintint le bassin surélevé pour pouvoir y coulisser comme sur une autoroute. Le corps de la jeune femme était un peu recroquevillé sur lui-même par la position et les pieds battaient dans l’air sans retenue.
Le foutre qui maculait Kanaé offrait une vision enchanteresse, d’autant plus que la fille en bavait à foison et que son regard hagard s’approchait de ce que les japonais appelaient ahegao.
Espérons qu’elle réagisse bientôt !
Valeria avait envie de se gorger de son énergie sexuelle, pas de devoir la recharger.
