Quand l'art des poisons se mélange à celui des chansons [avec Korë Grémorya]
Posté : 27 août 2024 00:10
Les mains posées sur la rambarde de pierre, il est l'incarnation de l'archétype de l'assassin. Silhouette fine. Habillé tout de noir. Une capuche reposant sur sa tête et un masque complémentaire l'ensemble pour ne faire apparaître que ses yeux. Et quels yeux ! A l'image du peuple de Shéhérazade qui n'affiche qu'un regard de grande beauté féminine. Car cette silhouette qui s'affiche en plein jour malgré une apparence ténébreuse, cette silhouette paraît féminine. Dans le regard d'abord mais aussi dans la posture d'attente.

La grande ville de Sudo s'est construite dans une vallée entre deux flancs de montagne rapprochée. Il ne sera pas question ici de faire un cours d'histoire mêlé de géographie. Les points importants étant que cette grande ville se trouve en terrain montagneux, traversé par une rivière et proche d'un lac. Également les faits qu'au fur et à mesure du temps, les bâtiments sont montés toujours plus haut dans un style fortifié. Il existe aussi de nombreuses passerelles et ponts à différentes hauteurs.
La silhouette assassine, à la nuit tombée, pénètre dans ce qu'on appellera un quartier marchand. Un rendez-vous doit avoir lieu devant une boutique exposée directement sur rue. De nombreuses étagères dans lesquels repose un bazar sorcellerique. Une femme toute en noire et portant un chapeau pointu de la même couleur se rapproche de la silhouette assassine. Elle lui demande dans une formulation capillotractee ce dont il voudrait acheter. Le mot de passe est donné. La transaction se poursuivra à l'arrière-boutique où la silhouette assassine récupérera ses informations pour sa présente nouvelle mission.

A la nuit tombée, il pénétrera dans un très grand et très beau bâtiment. Au dehors, un humanoïde active un à un les lampadaires à l'aide d'un grand bâton. Mais c'est à la lumière de bougie que la silhouette assassine espionnera, dissimulée dans les ténèbres, un cours en amphithéâtre. Si les élèves sont tous habillés d'une cape aux motifs célestes et que le professeur possède cet attribut de sage qui est une longue barbe blanche. Le fait que le cours soit nocturne et le sujet autopsié une fée aux ailes arc-en-ciel questionne sur le bon droit à ce cours...

La silhouette assassine poursuit son exploration silencieuse. Il se joue sans problème et avec sang-froid des quelques couples de gardes ici et là. Dans une grande pièce dans un étage plus haut, il découvrira une grande salle où sont exposés notamment différentes espèces de papillons épinglés aux murs. Un homme, la trentaine probablement, de larges épaules et une queue de cheval blonde. Un homme bien habillé, un bras de chair et un bras de métal croisés sur une cape rouge dans son dos. Il observe un autre homme. Épinglé artistiquement parmi les papillons qui forme un "élégant" decorum. La victime épinglée est décédée il y a peu, à l'égard de l'aspect encore humide qui a maculé ses beaux vêtements.
*Cette nuit est le début de la fin de tous ses drames qui se jouent dans ce bâtiment...*


La grande ville de Sudo s'est construite dans une vallée entre deux flancs de montagne rapprochée. Il ne sera pas question ici de faire un cours d'histoire mêlé de géographie. Les points importants étant que cette grande ville se trouve en terrain montagneux, traversé par une rivière et proche d'un lac. Également les faits qu'au fur et à mesure du temps, les bâtiments sont montés toujours plus haut dans un style fortifié. Il existe aussi de nombreuses passerelles et ponts à différentes hauteurs.
La silhouette assassine, à la nuit tombée, pénètre dans ce qu'on appellera un quartier marchand. Un rendez-vous doit avoir lieu devant une boutique exposée directement sur rue. De nombreuses étagères dans lesquels repose un bazar sorcellerique. Une femme toute en noire et portant un chapeau pointu de la même couleur se rapproche de la silhouette assassine. Elle lui demande dans une formulation capillotractee ce dont il voudrait acheter. Le mot de passe est donné. La transaction se poursuivra à l'arrière-boutique où la silhouette assassine récupérera ses informations pour sa présente nouvelle mission.

A la nuit tombée, il pénétrera dans un très grand et très beau bâtiment. Au dehors, un humanoïde active un à un les lampadaires à l'aide d'un grand bâton. Mais c'est à la lumière de bougie que la silhouette assassine espionnera, dissimulée dans les ténèbres, un cours en amphithéâtre. Si les élèves sont tous habillés d'une cape aux motifs célestes et que le professeur possède cet attribut de sage qui est une longue barbe blanche. Le fait que le cours soit nocturne et le sujet autopsié une fée aux ailes arc-en-ciel questionne sur le bon droit à ce cours...

La silhouette assassine poursuit son exploration silencieuse. Il se joue sans problème et avec sang-froid des quelques couples de gardes ici et là. Dans une grande pièce dans un étage plus haut, il découvrira une grande salle où sont exposés notamment différentes espèces de papillons épinglés aux murs. Un homme, la trentaine probablement, de larges épaules et une queue de cheval blonde. Un homme bien habillé, un bras de chair et un bras de métal croisés sur une cape rouge dans son dos. Il observe un autre homme. Épinglé artistiquement parmi les papillons qui forme un "élégant" decorum. La victime épinglée est décédée il y a peu, à l'égard de l'aspect encore humide qui a maculé ses beaux vêtements.
*Cette nuit est le début de la fin de tous ses drames qui se jouent dans ce bâtiment...*
