Camille Marquise - compte n°6 de Rorschach [Valiobservé !]
Posté : 14 août 2024 20:08
Camille.
Arrêtons-nous déjà sur son prénom. Camille, est-ce un prénom masculin ou féminin ? La réponse est qu’il peut être donné aux deux. Et c’est révélateur d’une partie importante de la personnalité, mais aussi du physique de Camille. En effet, Camille est androgyne. Son visage vous évoquera une femme. Le voir nu vous fera immanquablement penser à un homme.
Prenons donc quelques instants sur son physique avant de se perdre dans les méandres de son caractère.
Camille n’est pas grand. Il dit qu’il fait 1m70 alors que les données du médecin sont claires : il mesure 1m69. Mais dire 1m70 donne l’impression qu’il est plus grand. Sans compter le fait qu’il esquive toutes les blagues à caractère sexuel. En plus d’être aussi grand que la majorité des femmes, son corps est aussi svelte qu’elles. Il a des formes douces et une manière de se tenir, ainsi que de marcher, qui évoque une certaine féminité. Il faut alors le voir nu pour réaliser qu’il est véritablement un garçon au vu de l’absence de poitrine. Pourtant, le doute revient quand on découvre un agréable piercing de nombril. Et disparait à nouveau quand on pose les yeux sur un magnifique chibre. Assurément, Camille plonge dans la confusion tant par son prénom que par son physique.
Arrêtons-nous maintenant sur son caractère.
Naître dans un corps de garçon aux courbes féminines. Posséder un corps si petit et si maigre. Tout cela forge une personnalité, disons, douce. Camille est le genre de personne qui se laisse porter par le courant et qui n’a pas un magnétisme qui attire les autres à lui. Il a une beauté que beaucoup reconnaissent. Mais Camille est une personne plutôt effacée et timide. C’est aussi une personne complexée qui se retrouve parfois dans des situations à quiproquo. Combien de fois s’est-il fait dragué par des hommes alors qu’ils le prenaient pour une femme ? Combien de fois est-il entré dans une boutique de lingerie en croyant qu’il n’avait rien à y faire ? Mais Camille est ainsi fait. Partagé entre le mondes des hommes et celui des femmes. Mais n’appartenant véritablement à aucun des deux et se retrouvant seul à la frontière.
Avec un caractère pareil, Camille doit avoir une pauvre vie sociale ? Qu’en est-il de ses relations ?
Figurez-vous que non, bien au contraire ! Camille s’est trouvé une copine. Le genre de femme qui compense son côté féminin par un côté masculin. Cheveux courts. Abdominaux dessinés. Une carrure d’athlète, en somme. Soyons galant et ajoutons simplement que sa copine possède quelques centimètres et quelques kilos supplémentaires comparés à Camille.
Du côté de ses amis, Camille est bien entouré. Il fait partie d’un groupe d’amis de huit personnes, lui inclus dans ce chiffre. L’originalité de ce groupe ? Il est le seul humain. L’unique 100% humain. En effet, tous les autres se trouvent être des furrys. Et il faudrait faire couler une bonne quantité d’encre pour tous les présenter. Que ce soit leur prénom, leur physique ou encore les liens qui se tissent entre chacun de ces huits-là. Le principal étant que Camille suit ce groupe et jouit ainsi d’une vie sociale.
Mais qu’en est-il de sa vie ?
A l’époque où il allait encore à l’école primaire, Camille était gardé le soir par une nounou. Jusque-là, c’est une chose normale dans le cadre où les parents ont tous les deux un travail et rentrent tard le soir. Mais est-ce normal que la nounou joue à la poupée avec Camille ? Et il n’est pas fait question des jouets qu’on achète dans le commerce. Certes, ça a commencé avec ces jouets puis ce sont devenus des modèles. Car en effet, Camille est devenu la « poupée » de cette nounou qui aimait bien « coudre des vêtements ». Raison avancée quand les parents ont découvert que leur garçon portait des vêtements de fille en rentrant plus tôt que prévu.
Le collège a été une période compliquée pour Camille. A un âge où certains se posent déjà des questions voire passent à l’acte concernant les relations de couples : Camille se voyait persécuté par le simple fait d’être un garçon ressemblant à une fille, d’être un garçon de la taille d’une fille. Quant à lui, il se persécutait tout seul en voyant que les filles autour de lui voyaient leur poitrine grossir tandis que la sienne restait plate. Etait-ce une bonne chose ou pas ? Il ne savait pas. Et il se torturait avec un pareil sujet.
Le lycée est une période où il commence à accepter qui il est. Pendant les périodes scolaires, il s’habille de gros pulls avec des capuches. Des pantalons qui sont tous sauf moulants. Ses cheveux sont attachés en une que de cheval grossière. Il fait tout pour être le solitaire dans son coin. Mais sitôt rentré chez lui ? Enfermé dans sa chambre à double tour ? Le désir grimpe en lui tandis qu’il se déshabille. Les premiers essais furent vraiment tabous car il s’habilla avec la lingerie de sa mère. Par la suite, il commença à entrer dans des boutiques de lingerie. Combien de joues rouges et d’érections incontrôlables il eut en sentant le regard d’une femme sur lui ou alors que ses doigts touchaient une lingerie magnifique ?
C’est également au lycée qu’il connut sa première copine. Celle avec qui il est encore. Eris, une femme aux cheveux courts et aux abdominaux marqués. Camille n’a pas pu faire autrement que la fixer quand il l’a découvert pour la première fois en cours de sport. Ce physique masculin. Cette intensité dans le regard. Ses muscles apparents. C’est davantage à ça qu’il aurait dû ressembler. Lui qui ressemble à une fille. Lui qui aime porter de la lingerie. Ça aurait dû en rester là étant donné son caractère. Mais Eris est venu le voir. Et avant qu’il ne comprenne comment les événements s’étaient enchaînés : Camille était en couple avec elle.
Au fait, si on prend le temps de se faire un portrait mental de Camille, on réalise qu’il manque quelques informations.
En effet, son âge par exemple. Camille vient de fêter ses 18 ans tout récemment. Mais la douceur de ses traits féminins fait qu’on le croit plus jeune.
Que manque-t-il également ? Son nom de famille. Marquise.
Arrêtons-nous déjà sur son prénom. Camille, est-ce un prénom masculin ou féminin ? La réponse est qu’il peut être donné aux deux. Et c’est révélateur d’une partie importante de la personnalité, mais aussi du physique de Camille. En effet, Camille est androgyne. Son visage vous évoquera une femme. Le voir nu vous fera immanquablement penser à un homme.
Prenons donc quelques instants sur son physique avant de se perdre dans les méandres de son caractère.
Camille n’est pas grand. Il dit qu’il fait 1m70 alors que les données du médecin sont claires : il mesure 1m69. Mais dire 1m70 donne l’impression qu’il est plus grand. Sans compter le fait qu’il esquive toutes les blagues à caractère sexuel. En plus d’être aussi grand que la majorité des femmes, son corps est aussi svelte qu’elles. Il a des formes douces et une manière de se tenir, ainsi que de marcher, qui évoque une certaine féminité. Il faut alors le voir nu pour réaliser qu’il est véritablement un garçon au vu de l’absence de poitrine. Pourtant, le doute revient quand on découvre un agréable piercing de nombril. Et disparait à nouveau quand on pose les yeux sur un magnifique chibre. Assurément, Camille plonge dans la confusion tant par son prénom que par son physique.
Arrêtons-nous maintenant sur son caractère.
Naître dans un corps de garçon aux courbes féminines. Posséder un corps si petit et si maigre. Tout cela forge une personnalité, disons, douce. Camille est le genre de personne qui se laisse porter par le courant et qui n’a pas un magnétisme qui attire les autres à lui. Il a une beauté que beaucoup reconnaissent. Mais Camille est une personne plutôt effacée et timide. C’est aussi une personne complexée qui se retrouve parfois dans des situations à quiproquo. Combien de fois s’est-il fait dragué par des hommes alors qu’ils le prenaient pour une femme ? Combien de fois est-il entré dans une boutique de lingerie en croyant qu’il n’avait rien à y faire ? Mais Camille est ainsi fait. Partagé entre le mondes des hommes et celui des femmes. Mais n’appartenant véritablement à aucun des deux et se retrouvant seul à la frontière.
Avec un caractère pareil, Camille doit avoir une pauvre vie sociale ? Qu’en est-il de ses relations ?
Figurez-vous que non, bien au contraire ! Camille s’est trouvé une copine. Le genre de femme qui compense son côté féminin par un côté masculin. Cheveux courts. Abdominaux dessinés. Une carrure d’athlète, en somme. Soyons galant et ajoutons simplement que sa copine possède quelques centimètres et quelques kilos supplémentaires comparés à Camille.
Du côté de ses amis, Camille est bien entouré. Il fait partie d’un groupe d’amis de huit personnes, lui inclus dans ce chiffre. L’originalité de ce groupe ? Il est le seul humain. L’unique 100% humain. En effet, tous les autres se trouvent être des furrys. Et il faudrait faire couler une bonne quantité d’encre pour tous les présenter. Que ce soit leur prénom, leur physique ou encore les liens qui se tissent entre chacun de ces huits-là. Le principal étant que Camille suit ce groupe et jouit ainsi d’une vie sociale.
Mais qu’en est-il de sa vie ?
A l’époque où il allait encore à l’école primaire, Camille était gardé le soir par une nounou. Jusque-là, c’est une chose normale dans le cadre où les parents ont tous les deux un travail et rentrent tard le soir. Mais est-ce normal que la nounou joue à la poupée avec Camille ? Et il n’est pas fait question des jouets qu’on achète dans le commerce. Certes, ça a commencé avec ces jouets puis ce sont devenus des modèles. Car en effet, Camille est devenu la « poupée » de cette nounou qui aimait bien « coudre des vêtements ». Raison avancée quand les parents ont découvert que leur garçon portait des vêtements de fille en rentrant plus tôt que prévu.
Le collège a été une période compliquée pour Camille. A un âge où certains se posent déjà des questions voire passent à l’acte concernant les relations de couples : Camille se voyait persécuté par le simple fait d’être un garçon ressemblant à une fille, d’être un garçon de la taille d’une fille. Quant à lui, il se persécutait tout seul en voyant que les filles autour de lui voyaient leur poitrine grossir tandis que la sienne restait plate. Etait-ce une bonne chose ou pas ? Il ne savait pas. Et il se torturait avec un pareil sujet.
Le lycée est une période où il commence à accepter qui il est. Pendant les périodes scolaires, il s’habille de gros pulls avec des capuches. Des pantalons qui sont tous sauf moulants. Ses cheveux sont attachés en une que de cheval grossière. Il fait tout pour être le solitaire dans son coin. Mais sitôt rentré chez lui ? Enfermé dans sa chambre à double tour ? Le désir grimpe en lui tandis qu’il se déshabille. Les premiers essais furent vraiment tabous car il s’habilla avec la lingerie de sa mère. Par la suite, il commença à entrer dans des boutiques de lingerie. Combien de joues rouges et d’érections incontrôlables il eut en sentant le regard d’une femme sur lui ou alors que ses doigts touchaient une lingerie magnifique ?
C’est également au lycée qu’il connut sa première copine. Celle avec qui il est encore. Eris, une femme aux cheveux courts et aux abdominaux marqués. Camille n’a pas pu faire autrement que la fixer quand il l’a découvert pour la première fois en cours de sport. Ce physique masculin. Cette intensité dans le regard. Ses muscles apparents. C’est davantage à ça qu’il aurait dû ressembler. Lui qui ressemble à une fille. Lui qui aime porter de la lingerie. Ça aurait dû en rester là étant donné son caractère. Mais Eris est venu le voir. Et avant qu’il ne comprenne comment les événements s’étaient enchaînés : Camille était en couple avec elle.
Au fait, si on prend le temps de se faire un portrait mental de Camille, on réalise qu’il manque quelques informations.
En effet, son âge par exemple. Camille vient de fêter ses 18 ans tout récemment. Mais la douceur de ses traits féminins fait qu’on le croit plus jeune.
Que manque-t-il également ? Son nom de famille. Marquise.