Meatslave Aiko Iwase [PV]
Posté : 30 août 2024 15:24
Aiko Iwase avait été une camarade de classe d’Aoki Kou lors de ses études, de l’école primaire à l’université. Cette jeune brunette très stricte était très solitaire, car elle passait beaucoup de temps à étudier. Très douée, elle était maintenant devenue une avocate à Yoake. Célibataire, elle avait aussi comme fantasme l’écriture de fanfics et était une mangaka. Elle avait percé dans l’édition sous un pseudonyme, et passait son temps ainsi. A priori, sa route, qui avait croisé celle d’Aoki, ne semblait jamais devoir la croiser à nouveau… Mais Aiko avait récemment eu des clients particuliers, des clients qui souhaitaient lancer une procédure contre la société « Aoi Kitsune ». Une société très connue qui aidait de jeunes élèves à devenir des idols. Les parents reprochaient à cette société d’avoir corrompu leur fille, et affirmaient qu’elle avait des relations sexuelles avec l’une des éducatrices de la société, Aoki Kou. La direction de la société avait nié en bloc toutes les accusations des parents, rappelant que leur fille n’avait jamais porté plainte, et qu’elle ne s’était pas associée à ce mouvement des parents, deux conservateurs qui avaient déjà tenté de faire des procès contre le lycée Jinmu.
La jeune avocate en savait quelque chose, car elle avait aidé les parents à fonder une association destinée à combattre le lycée Jinmu. Un procès avait même eu lieu, mais l’association avait été déboutée. Aiko était donc chargée de lancer un nouveau procès, mais, en apprenant qu’Aoki était ciblée, elle avait décidé de faire un rendez-vous avec elle. Si elles n’avaient jamais été intimes, elles avaient tout de même été proches au lycée, avant de progressivement s’éloigner au fur et à mesure que les années passaient.
Le dossier d’Aiko était solide, car les parents de la jeune fille, Minako Mimoto, avaient fouillé son ordinateur personnel, ainsi que son téléphone portable. Ils avaient également contacté un informaticien qui avait restauré des mails érotiques supprimés échangés entre Minako et Aoki, des mails où Minako l’appelait « Maîtresse », et se photographiait dans des tenues particulièrement indécentes. Bunny girl, maid érotique, ou des ensembles en latex moulant… Aiko n’arrivait pas à croire qu’Aoki, une femme enjouée et calme, puisse être devenue une telle dégénérée. Elle voulait donc la confronter, et lui avait proposé un entretien dans son cabinet.
Aiko n’avait pas de secrétaire, car, quand on commençait, le métier d’avocat n’était pas facile. Elle avait de lourdes charges à payer, et, comme elle travaillait beaucoup, dormant parfois dans son cabinet, elle n’en avait pas besoin. Il n’y avait donc personne quand Aoki arriva.
Aoki avait de quoi être inquiète, car une enquête interne avait eu lieu. Elle avait rencontré sa patronne, mais l’enquête interne n’avait rien donné, car Aoki disposait de l’aide de Félicia. La Chatte Noire veillait sur elle, et, pour Aiko, une autre approche avait été décidée. Elles avaient encore répété la veille, tandis que Félicia, pour calmer Aoki, lui faisait compulsivement l’amour. Couchée en missionnaire sur Aoki, elle la prenait. Aoki avait un bandeau sur les yeux, son corps recouvert d’une tenue érotique noire, tandis que, dans sa combinaison de Chatte Noire, Félicia la pénétrait longuement.
« La direction connaît cette avocate… Les Morimoto ont souvent envisagé de leur infliger leur traitement, mais… Je crois qu’il va être temps de nous en occuper, hmmm… »
La préparation conduisait donc Aoki ce jour dans le bureau d’Aiko. Celle-ci était venue avec un lourd et long manteau, car Félicia avait tenu à bien la préparer. Dessous, Aoki portait une tenue très érotique, un body moulant et sanglé en latex avec des vibromasseurs remuant dans son corps. Tout ce qu’Aoki avait à faire était de discuter un peu avec Aiko, car Félicia comptait leur rendre visite en passant par la fenêtre du bureau d’Aiko.
Aoki n’eut pas trop à attendre quand elle entra. Sans secrétaire, Aiko sortit de son bureau, qui était juste devant la salle d’attente, et la salua.
« Kou-san, je suis ravie que tu aies acceptée mon invitation. Viens, entre ! »
Son bureau était plutôt agréable, avec une fenêtre juste derrière son fauteuil. Il y avait de nombreuses piles de dossiers s’entassant sur des armoires, et commençant même à s’empiler sur le sol, signe que son activité marchait plutôt bien…