The Multiversity

La société Umbrella, une société pharmaceutique faisant tout son possible pour améliorer le quotidien des gens trouvant de nouveaux remèdes révolutionnaires ! Derrière cette image bon public se cache une société menant des expériences secrète, interdite et dangereuse. Sur la fin du vingtième siècle, durant le mois de juillet 1998, de drôles de rumeurs et disparition commencent aux alentours d'un manoir abandonné. Une première équipe du STARS est envoyée sur place, suivie d'une seconde, tout contact a été coupé avec eux. Se réfugiant à l'intérieur du manoir à cause d'une meute de chien sauvage, le groupe fait face à des menaces improbables, zombies, plantes carnivores, créature difforme, des choses qu'un rapport ne pourrait tolérer tant c'est gros ! Ils ne sont pas nombreux à s'en être sortis de ce manoir. Jill Valentine, Chris Redfield, Barry Burton et Brad Vickers de l’équipe Alpha des STARS ainsi que Rebecca Chambers de l’équipe Bêta. L'agent Albert Wesker est « mort » dans l’exercice de ses fonctions sur place. Malgré leur rapport, le manoir et son laboratoire secret ont fini en fumée, les preuves tout comme les créatures qui peuplaient cet endroit. Malgré leur rapport, aucun de leurs supérieurs n'a accepté cela, le chef de la police, Brian Irons rejette ce rapport dément. L'équipe est donc plus ou moins dissoute, Chris a fuit en Europe, Jill est suspendue de ses fonctions, tout comme Barry, seul Brad qui n'était que le pilote de l'hélicoptère continue son travail. Quant à Rebecca, elle a disparu après tout ça...

En septembre de la même année, des actes de cannibalisme défraient la chronique à Racoon City et bien vite, ces cannibales se trouvent être des zombies qui se jettent sur tout ce qui était vivant sous leurs yeux. Umbrella sait que la ville va être rasée pour éviter que l'épidémie s'échappe, mais en attendant, ils libèrent ses créatures pour éliminer des gens susceptible de vendre la mèche. Le Némésis se chargera d'éliminer les deux membres du STARS encore en ville, Jill et Brad, quant au commissariat qui était l'endroit où il pourrait rester des agents, ils ont libéré dessus le Tyran, allias, Mister X. Un être implacable qui traquera sa proie jusqu'à la mort. Sur place, il traquera sans cesse un nouveau membre de la police arrivé récent, Léon S. Kennedy. Mais il y avait aussi une autre fouineuse, Claire Redflied, petite sœur de l'agent ayant disparu. Les nuisibles étant éliminé, Umbrella a ordonné à ses jouets de changer leur plan. Ils ont ainsi eut pour ordre de ramener les deux survivantes encore en ville. Leur création coûtant extrêmement cher, il était temps de mener une série d'expérience.

Maintenant que le monde savait que, quoi ils étaient capable, les demande ne tarderaient pas à arrivée. Et pour offrir au plus vite des produits de qualité, il était temps de mener une expérience très simple qui pourrait bien leur faire économiser plusieurs milliers de Dollars et produire plus d'armes le plus vite possible. Après tout, certaines de leurs armes n'étaient pas si éloignée de l'être humain ? Le Némésis en était un avant de subir ses mutations. Le Tyran reste un homme déguisé en arme. Il y avait trois salles. Un simple lit, une des prisonnières dans chacune d'entre elles, toutes plongées dans un profond sommeil depuis quelque temps. Elles sont nourries et bien traitée, car c'était leur cobaye. Derrière leurs écrans, plusieurs scientifiques observaient le cobaye numéro un, leur plus ancien spécimen, Rebecca Chambers. Il était temps pour elle de mettre son corps au service du progrès après l'avoir mis au service de la sécurité de Racoon City. La jeune femme n'était vêtue que d'une blouse de patient, la salle ne possédait aucune entrée, aucune sortie visible, elle était blanche, bien éclairé et dedans était diffusée une certaine odeur qui avait pour but de la réveiller après ce long sommeil. La belle au bois dormant allait reprendre connaissance, mais elle ne sera pas la seule à se réveiller. Umbrella avait profité de son sommeil pour lui injecter différentes phéromones qui seront là pour son nouvel ami. Même si pour facilité la chose, ils lui ont aussi donné un petit aphrodisiaque pour qu'elle puisse mieux profiter de ce qui va suivre.

Le temps pour elle de se réveiller, se poser quelques questions, peut-être reprendre conscience de ses derniers souvenir, une trappe s'ouvrait au mur, laissant passer une créature aux traits reptiliens et dangereux. Un Hunter Alpha. Une créature redoutable sur ce monde fait pour tuer et chasser sa proie comme le laisse deviner son nom. Mais il n'était pas là pour tuer la jeune femme. Avant elle, les scientifiques ont mener quelque expérience. Face à un homme, il tue. Face à une femme, il tue. Face à un enfant, il tue. Pourquoi ça allait changer pour Rebecca ? Ils se sont rendu compte que face à un homme nu, sans défense, il ne tue pas immédiatement, seulement après avoir montré le peu d'intérêt qu'il lui portait. Face à une femme nue, il était plus intéressé, tenter de laisser parler son instinct animal, bestial. Mais ça arrivait parfois que cette femme meurt aussi. C'est pour ça que Rebecca ne se rendait pas compte qu'elle dégageait des phéromones fait pour exciter la créature et qu'elle aussi se sentait excitée. Si ça commence mal, ils enverront une décharge au Hunter pour le mettre aussi en bonne condition de reproduction. Elle pouvait se défendre, sans arme, elle n'ira pas loin, il faut juste espérer que le Hunter ne se vexe pas pour une petite gifle ou un geste qui monterait qu'elle n'est pas consentante... Derrière leurs écrans, les scientifiques observaient, prêt à savourer chaque détail qu'ils pourraient ajouter à leur rapport. Comment allait se passer la rencontre entre eux ?

Tout ce dont Rebecca Chambers se souvenait, c’était d’être rentrée chez elle, loin de Racoon City, avant d’être attaquée. Cette jeune femme avait connu des évènements traumatisants au Manoir Spencer, un manoir luxueux situé dans les montagnes entourant Raccoon City. Ce qu’elle avait vu était terrible ; un virus redoutable, développé par une société pharmaceutique très puissante, la Umbrella Corporation, qui transformait les victimes en zombies décérébrés ! Umbrella cherchait à développer de nouvelles armes, des « bio-armes ». Au manoir Spencer, Rebecca avait rencontré plusieurs bio-armes : Yawn, un serpent géant qui avait empoisonné son compagnon, Richard Aiken ; les Hutners, ces guerriers tueurs prédateurs incontrôlables ; et, surtout, le Tyran, un tueur indestructible qui avait finalement été battu à l’aide d’un lance-roquettes après avoir poursuivi les survivants dans tout le manoir.

Suite à cet incident, Rebecca avait quitté la ville. Ancien membre des STARS, un corps d’élite de la police de Raccoon City, elle était partie s’enterrer dans un coin, mais n’avait jamais oublié. Elle avait alors commencé à agir discrètement contre Umbrella, consciente que le gouvernement était parasité, et que la justice n’ordonnerait jamais une enquête contre cette puissante société. Elle avait donc mené des recherches, rejoignant des groupes d’activistes informatiques en ligne, flirtant de près avec les conspirationnistes. Rebecca était très intelligente, un petit génie, mais, malgré tout son talent, Umbrella l’avait retrouvé.

Elle avait appris que de graves évènements avaient lieu à Raccoon City, et, ensuite, elle était retournée chez elle, avec l’envie urgente de retourner là-bas, d’appeler Chris… Mais elle s’était faite attaquer dans son appartement.

« Hmmm… »

Ouvrant péniblement les yeux, Rebecca constata qu’elle se trouvait dans une pièce aux murs blancs, lumineux, avec des vitres fumées en hauteur, dans ce qui ressemblait à une pièce d’observation. Soupirant doucement, elle sentit peu à peu ses jambes revenir, et constata alors qu’elle ne portait qu’une simple blouse, blouse qui commença à se défaire quand elle se releva. Rougissant alors, Rebecca protégea ses seins d’une main, tout en regardant autour d’elle.

« Hey ! Vous jouez à quoi, bande de sales pervers ?! »

Personne ne lui répondit, évidemment. Elle constata aussi qu’elle avait été très proprement épilée, que ce soit sur les jambes, les bras, et même… Rebecca rougit encore en constatant qu’elle n’avait plus aucun poil pubien. Tandis qu’elle reprenait ses esprits, une trappe s’ouvrit alors devant elle, et libéra…

Rebecca écarquilla les yeux en voyant un Hunter !

*Non ! Non, non, non ! Tout, mais pas ça !*

Les souvenirs de ses affrontements contre les Hunters au Manoir Spencer refirent surface. Elle chercha une arme autour d’elle, mais il n’y avait rien. La pièce était vide, à l’exception de cette table médicale sur laquelle elle s’était réveillée. Le Hunter bondit alors en grognant, et déchira d’un coup sec la blouse de Rebecca, qui tomba au sol, retenant ses larmes. Face à elle, le Hunter l’observait silencieusement.

Déglutissant lentement, Rebecca se recroquevilla, espérant que tout cela ne soit qu’un mauvais cauchemar, protégeant inutilement son visage avec son bras. Elle entendit l’haleine forte du Hunter, et ne vit pas qu’une verge verdâtre et veineuse avait jailli entre ses cuisses, se redressant progressivement…

Derrière les écrans, chaque scientifique observait l'arrivée du Hunter avec précision, près à noter le moindre de ses faits et geste. L'expérience était peut-être un peu perverse, mais ça n'en restait pas moins une expérience et ils devaient faire leur travail, ce pour quoi Umbrella les avaient engager. Dans la pièce blanche, Rebecca faisait face à cette créature redoutable, aux allures de lézard humanoïde, ce monstre était, comme son nom l'indiquait, un excellent prédateur qui usait de ses puissantes griffes pour ouvrir ses proies. Que ce soit le ventre ou la gorge, il y avait peu de chance que la blessure infligée soient mimine. Si le STARS avait eut de la chance dans le manoir, c'était grâce à ses couloirs étroits qui avaient souvent bloqué les coups portés par ses créatures capables de bondir, défoncer des portes d'un simple coup de pattes. Mais ici, elle n'était pas là pour tuer, sauf si l'expérience dérapait, mais ils espéraient que non. Les dernières expériences avaient montré, en tout logique, comment amener cette expérience sur le bon chemin.

Rebecca ne présentait aucun signe de danger pour le monstre, pas d'arme sur elle ou entre ses mains, elle était pratiquement nue, il ne pouvait pas se sentir menacer. De plus, elle puait les phéromones qui faisaient déjà effet sur le Hunter qui s'était doucement rapprocher d'elle, laissant sa nature de bête prendre doucement le dessus pendant que son sens émergeait entre ses jambes pour doucement se redresser. Son horrible visage se rapprochait d'elle, grognant et bavant, il renfilait la jeune femme, ce qui attisai plus encore ses plus bas instincts. Il avait déchiré ce qui couvrait le corps de la jeune femme, sans l'abîmer, c'était déjà bien. Sa patte s'écrasait sur son épaule, la plaquant au sol alors qu'il reniflait de plus belle la jeune femme, son visage près du sien, sa langue passait sur son visage, plusieurs fois alors que son sexe se dressait de plus en plus, fièrement dresser et palpitant d'une vigueur incroyable, il était près à passer à la suite mais il continuait pour le moment de lui lécher le visage.

Après une bonne minute de cette « preuve d'affection » - peut-être une sorte de parade pour les Hunters – il plaquait sa seconde patte sur son épaule avant de chercher à se placer, sa verge était de taille normale – cela égalait celle d'un homme en tout cas – à la différence qu'elle était un peu plus pointue, avec de petits picots le long de sa verge. Trouvant la bonne entrée, il pénétra la jeune femme, hurlant son plaisir une fois en elle. Il grognait de plaisir en remuant d'avant en arrière, sur ça, la bête n'était pas si éloignée de l'homme. Même une créature pareil, un tueur de talent pouvait faire preuve de douceur envers sa partenaire sexuelle. Sa langue passait à nouveau sur son visage, même plus bas en passant sur sa petite poitrine. Sa langue glissait sur sa peau pendant qu'il enfonçait sa verge en elle. Ses grognements étaient de plus en plus intense alors qu'il desserrait la pression sur ses épaules. Ses épaisses pattes descendaient le long de son corps pour la saisir à la taille et une fois sa proie bien en main, il donnait des coups de reins plus puissant, chaque coup de rein faisait naître un nouveau râle de plaisir de la créature qui semblait apprécier son jouet. Combien de temps il allait tenir avant l'orgasme ? Va-t-il se lasser de ce jouet ? Continuer ? Et surtout, l'expérience va-t-elle réussir ? Là était la question qu'ils allaient devoir retranscrire sur papier...

Complètement paniquée, Rebecca n’y comprenait plus rien. Alors qu’elle s’attendait à ce que le Hunter le tue, il se mit… À la lécher. Son épaisse bave infâme tomba sur sa joue, et elle éternua, posant ses mains sur son torse musclé et saillant, comme pour le repousser. Au lieu de ça, le monstre resta contre elle, et Rebecca trembla alors en sentant, contre ses cuisses… Une épaisse verge ! Depuis quand les Hunters avaient des verges ?! Il faut dire que, lors de ses affrontements au manoir Spencer, elle n’y avait pas spécialement fait attention ! Très angoissée, Rebecca se débattit encore.

« N-Non, au secours… Arrêtez ça ! »

Il ne pouvait s’agir que d’une autre expérience d’Umbrella ! La firme maléfique avait réussi à la retrouver, elle l’avait capturé, et l’utilisait pour une sorte de sinistre et grotesque expérience. Bien que n’ayant pas encore tous les aboutissants, Rebecca savait ce que la firme faisait avec elle, ce qu’elle planifiait. Elle l’exploitait, elle voulait utiliser les Hunters à des fins spécifiques. Ceux-ci avaient été déployés au manoir Spencer pur qu’Umbrella reprenne le contrôle, pour que la corporation tue les infectés et les agents des STARS. Mais, sur le terrain, les Hunters s’étaient montrés beaucoup moins dociles que prévus, leurs instincts primaires reprenant le dessus.0

Là, devant elle, le Hunter grognait longuement, son haleine atroce venant agresser ses narines. Rebecca se détendit encore, et sa langue lécha encore son visage. Elle frissonna, se sentant… Patraque. De curieuses sensations remontaient en elle, des vagues de peur, bien sûr, mais… Il y avait également une étrange chaleur qui remontait dans son estomac, une pointe chaude qui se diluait en elle, remontant encore.

« N-Non, non… »

La verge épaisse du Hunter se rapprochait d’elle. En la sentant titiller ses lèvres intimes, Rebecca eut comme un sursaut, mais elle n’avait rien, aucune arme, aucun dispositif, aucun projectile, rien ! Elle déglutit en voyant le bracquemart monstrueux du monstre. Ses yeux s’écarquillèrent. Fort heureusement, elle n’était plus vierge, mais jamais un sexe de cette taille n’était entré en elle !

« Non, NON !! AU SECOURS, À L’AIDE, NON !! DÉGAGE, SALE MONSTRE !! »

Mais le Hunter, bien évidemment, n’obtempéra pas, et, au lieu de ça… S’enfonça brusquement en elle ! Sous ce contact, les yeux de Rebecca s’écarquillèrent dans ses orbites, et un cri silencieux mourut dans sa gorge, avant qu’un râle ne la saisisse. Des larmes coulaient de ses yeux, tandis qu’elle tapait frénétiquement avec ses petits poings les épaisses épaules du monstre.

« HAAAAAAAAA !! NON !! NOOONN !! JE VAIS TE TUER, SALOPERIE !! NOOOON !! HAAAAAAAAA… !! »

Elle hurlait, autant de peur, de douleur, que de fureur…

…Un Hunter la violait ! Même dans ses pires cauchemars, elle n’aurait pu imaginer pire situation !

Derrière leurs écrans, les scientifiques d'Umbrella n'en perdaient pas une miette ! Il était plaisant de mener parfois ce genre d'expérience où il suffisait d'observer et noter plutôt que manipuler des cellules et autres bactéries, là, c'était bien plus plaisant. Il fallait aussi avoué que la majorité des scientifiques ici présent étaient des hommes et voir cette frêle créature face à ce monstrueux Apollon à écailles, c'était un plaisir pervers. Mais important pour la science ! Dans la petite salle, le Hunter savourait l'antre chaud et humide de sa partenaire, continuant de la saisir par la taille avec ses grosses pattes en remuant son corps contre sa queue en elle. Difficile de lire un quelconque plaisir sur le visage de la créature, mais il grognait plus que d'habitude, une similitude avec bien des animaux en plein ébat sexuel, donc rien de grave. Cependant, de voir Rebecca se débattre en faisant cogner ses petits poings contre le Hunter, tous les scientifiques étaient soudain pris d'une peur... Celle de voir leur monstre se vexer et tuer le cobaye ! Si ça devait arriver, la prochaine devra être enchaîné, mais est-ce que ce sera aussi plaisant pour leur spécimen... Ce serait peut-être le sujet d'une prochaine expérience. En tout cas, face à sa lutte inutile, le Hunter ne poussa qu'un hurlement bestial, sa gueule ouverte vers sa proie, ses dents acérées bien visible, sa salive expulsé partiellement sur son visage face à la puissance de son cri, mais c'est tout...

Ouf, il ne comptait pas tuer... pour le moment. Mais face à sa petite rébellion, il lâchait sa taille et ses énormes pattes venaient se plaquer sur ses mains, les écrasant de son poids en se penchant sur elle. Rebecca étaient dans une drôle de position, les Hunters n'étaient pas aussi grand que des humains normaux, alors le bas de son corps était légèrement relever pour être à haute de son sexe, mais le haut de son corps était plaqué au sol. Le Hunter, penché sur elle, reprenait ses coups de langue en léchant cette fois sa poitrine pour commencer. Par chance pour elle, seule sa langue passait dessus, il ne semblait pas connaître ce qu'était un baiser donc pas de risque de se faire mordiller... cela dit avec lui, ça risquera d'être une vraie morsure et pas un petit pincement. Ça restait un animal et aucun animal se pratiquait un baiser comme les humains, sauf les singes, peut-être... Quoi qu'il en soit, le Hunter venait à donner des coups de reins plus puissant, grognant plus fortement par la même occasion avant de pousser un hurlement de jouissance face à sa partenaire, sentant son fluide partir dans le corps de sa partenaire humaine.

Une vraie satisfaction pour le Hunter bien que cela ne se lisait pas sur son visage. Les animaux n'étaient après tout pas connue pour leur endurance sexuelle. Si les scientifiques pouvaient se féliciter de cette première récolte, ce n'était pas fini pour autant. Sa queue perdait en longueur et en dureté, mais la créature n'avait pas finie de jouer. Il écrasait sa partenaire, reprenant sa séance de léchouille sur le visage bien que cette fois, sa langue semblait voir explorer sa petite bouche. Face à refus, son épaisse main, munie de griffe, se plaquait sur son visage, lui masquant partiellement la vue alors que la pression exercée dessus pouvait la convaincre d'ouvrir sa bouche ou de voir son crâne se broyer sous la pression. Au choix. Une façon qu'avait peut-être le Hunter pour dire merci ? À moins qu'il explorait de lui-même une nouvelle forme de plaisir ? De curiosité face à cette proie qui ne pouvait rien face à lui ? Ou était-ce la prémisse d'un acte deux ? Difficile à dire, mais les scientifiques n'en perdait pas une miette. Ce monstre restait une créature, une arme, donc elle ne pouvait ou ne pensait pas à faire preuve de douceur après l'acte comme un humain, pas de caresse, de frottement, de ronronnement, donc ce « baiser » était une preuve d'affection ? Difficile à dire, mais intéressant à retranscrire.

Rebecca avait déjà croisé les Hunters lors de sa mission cauchemardesque dans les montagnes Arklay, et plus précisément ensuite au manoir Spencer. Mais jamais un Hunter n’avait cherché à… À la violer ! Car c’était bien cela que l’Hunter faisait en ce moment ! Pour Rebecca, il était désormais évident qu’elle avait été capturée par Umbrella, et que la firme pharmaceutique se livrait désormais à des expériences supplémentaires avec elle. Rebecca pleurait encore, mais, en sentant la langue épaisse et baveuse du Hunter sur ses seins, ainsi que ses terribles grondements, elle se calmait, craignant en effet de se faire dévorer par lui. Les dents épaisses du Hunter, ses griffes terribles… Le monstre écrasa les mains de Rebecca sur le sol, manquant broyer ses phalanges, tout en enfonçant une épaisse trique en elle. Une verge qui la fit hurler, tandis que le bas de son corps était surélevée. Instinctivement, Rebecca enroula ses jambes autour du Hunter, cherchant vainement à le repousser. Le Hunter était en effet beaucoup plus massif qu’elle, et la maintenait sur place sans difficulté.

La jeune femme gémissait à nouveau, la salive coulant de ses lèvres. La virilité massive du Hunter s’accompagnait de picots le long de sa verge, frottant sur ses parois internes, l’excitant et la stimulant. Les grognements du Hunter résonnaient encore contre ses oreilles. Elle pleurait à nouveau, tandis que sa mouille s’échappait de ça. Son corps la trahissait, la panique se mélangeant à des réflexes physiologiques. Comment son corps pouvait-il ressentir du désir face à une telle bête ? Fermant les yeux, Rebecca essayait de ne pas vomir, sentant la langue remuer encore. La salive chaude du Hunter glissait sur son corps, et le monstre continuait à s’écraser sur elle.

Quand elle le sentit jouir, Rebecca pleura encore, craignant soudain que son sperme ne la tue de l’intérieur, ou ne libère des parasites dans son corps. Le Hunter se mit à jouir longuement, et libéra ensuite la pression. Le corps de Rebecca s’effondra mollement sur le sol, et la jeune femme continuait à pleurer silencieusement.

*C’est un cauchemar, c’est nécessairement ça, je vais me réveiller…*

Le sperme du monstre sortait de sa chatte, et, tandis qu’il venait lécher son visage, Rebecca, elle, déplaça sa main. Elle tapota le sperme qui s’écoulait de ses cuisses, et se sentit brièvement rassurée en ne sentant aucun œuf, aucune forme de parasite, juste une texture gluante, non acide. Bien sûr, cela ne signifiait pas que le sperme ne pouvait pas muter en elle, mais elle ne sentait aucun monstre. La simple idée d’avoir des parasites en elle, remuant de l’intérieur, formant des boules le long de sa peau, la terrorisait.

*Je dois trouver un moyen de fuir…*

Mais comment ? Le Hunter pouvait la tuer si jamais elle se rebellait trop. Il grognait moins, maintenant, et Rebecca tourna la tête vers lui. Elle déglutit en voyant les yeux du Hunter. Ses yeux la fixaient lentement, et, s’il était difficile d’y discerner une quelconque trace d’intelligence, Rebecca déglutit doucement. Le Hunter Alpha restait la menace prioritaire, et elle remonta sa main. Lentement, maladroitement, elle la posa sur sa joue, sentant une peau reptilienne, assez sèche. Le Hunter grogna encore, et Rebecca se redressa, puis tenta de l’embrasser sur les lèvres. Un baiser timide et maladroit, sans trop savoir comment le Hunter allait réagir…

…Mais, peut-être qu’en l’amadouant, il n’allait pas la dévorer !

C'était un succès ! Non pas qu'ils savaient déjà si leur cobaye était enceinte et, si ce bébé Hunter sera viable, mais leur Hunter avait jouis en elle. Malgré les « races » différentes, ses hormones lui faisaient comprendre qu'un vagin était un vagin. Reste à pousser l'expérience plus loin. C'était bien la première fois qu'un Hunter venait jouir dans une partenaire sans la tuer, c'était un succès ! Mais à présent, il y avait encore plus de notes à prendre. Comment allait-il réagir ? Il allait se lasser et la laisser tranquille ? Recommencer ? Avoir un quelconque sentiment de mâle devant protéger sa femelle ? Pour l'heure, la créature restait calme en observant la jeune femme qui le caressant, le faisant légèrement grogner alors que ses lèvres se rapprochaient des siennes. C'était risqué, non ? Un Hunter n'est pas un homme qui va se laisser amadouer, c'était déjà un miracle qu'il ai simplement vu en elle une femelle à féconder et non une cible à abattre alors pourquoi jouer avec le feu ? Ils voulaient stopper ça... mais ils voulaient voir la suite.

Rebecca posait ses lèvres sur les siennes, mais ses dents venaient à apparaître. Cette créature ne connaissait pas le terme « baiser », ce geste souvent d'amour fait avec les lèvres, ça restait un monstre et montrer son affection, pour lui, c'était plutôt avec sa langue. Et justement, il ne repoussait pas sa partenaire, mais face à ce geste affectueux, sa gueule s'ouvrait de nouveau sa langue glissa dans la bouche de Rebecca. Venant sans mal titiller sa gorge avec. Qu'il cherche à copier ou agir instinctivement, il ne savait pas comment ça fonctionnait un baiser chez les humains alors il reproduisait. Sa langue était petite, la sienne plus grande, où était la limite ? Si elle avait une langue aussi longue, elle en ferait autant ? La créature ne pensait pas à tout cela, il agissait ainsi. À quoi pouvait penser le Hunter ? Il aimait ? Il copiait ? Il expérimentait ? Est-ce que pour lui, ça voulait vraiment dire quelque chose tout ça ? Que de questions pour les scientifiques !

Cessant de jouer avec sa langue, il reniflait à nouveau la femelle, rapprochant ses narines de sa peau, la reniflant sans gêne. Ses phéromones étaient toujours actives, cela l'excitait toujours plus. Mais la bête se penchait sur elle, venant renifler son entrejambe. Manipulant sa femelle comme une poupée, il la repoussait de façon à la retourner et son visage se retrouvait presque contre son joli petit cul. Il reniflait, encore, encore et encore. Que cherchait-il vraiment ? Sa langue sortait de nouveau de sa bouche, se baladant sur ses belles bosses si douces, sans viser d'endroit précis. Et pourtant, au bout d'un moment, il finit par découvrir avec sa langue que sous cette fente, il y avait un petit trou. Moins visible et moins évident que son vagin, avait-il la même fonction ? Est-ce qu'une créature comme un Hunter connaissait la sodomie ? Les animaux, connaissaient-ils cela ou bien se limitaient-ils juste à la reproduction ? Oui, non ? En tout cas, pour le moment, pas de sodomie, mais le Hunter y enfonçait sa langue dans cet étrange petit trou, bien décider à jouer les explorateurs avec sa langue. Un avant-goût de la suite peut-être ?

Pour les scientifiques, ce qui se passait, c'était une mine d'or ! Umbrella sera sûrement fier de leur trouvaille ! Même si bon, pour le moment, rien ne garantissait que la reproduction avec une humaine était possible et savoir qu'un Hunter aimait apparemment enfoncer sa langue dans un anus, ce n'est pas sûr que ce soit de l'argent bien dépensé pour leurs supérieurs...

Aucune larme ne viendrait la sauver. Rebecca avait mis des mois à pouvoir dormir un peu la nuit, à ne plus penser aux griffes des Hunters, aux zombies qui la poursuivaient, à cette peur qui avait envahi tout son corps. Elle s’était endurcie, elle avait tenté de retrouver sa force, sa foi, mais, finalement, Umbrella était revenue à elle. Face au Huntrer, elle n’avait aucune chance de survie. Se battre contre lui était tout simplement impossible. Il était trop fort, trop massif, et elle aurait eu besoin d’un grand espace. Même avec une arme à feu, sa carapace résistait aux balles. Le monstre grognait donc devant elle, et Rebecca prenait vaguement conscience que, derrière les larmes, son corps la trahissait. Son corps, qui n’avait pas eu de relations sexuelles depuis des mois ; son corps, qui avait envie de sexe, une envie telle que Rebecca s’était parfois demandée si elle n’allait pas juste coucher avec le premier venu dans le motel où elle vivait réfugiée.

Le Hunter venait de jouir en elle, et son sperme n’était au moins pas toxique, ni même acide, mais la peur revint,c ar elle craignait d’être transformée. Après tout, c’était un monstre génétique. Son sperme n’allait-il pas faire d’elle un monstre ? Elle trembla à l’idée de devenir un Hunter, ou un zombie, ou une sorte de mélange sinistre entre les deux ! Difficile de dire quel réflexe l’avait poussé à embrasser le Hunter… Sans doute l’instinct de survie, la crainte que, comme les mantes religieuses, il ne la tue. Le monstre gronda alors, et fourra sa langue dans sa poche, arrachant à Rebecca de profonds soupirs.

« Hmmmmmmm… Ûûûûrrkk !! »

Incapable de le repousser, elle le laissa donc faire, sa langue massive s’enfonçant en elle. Il s’écrasa contre elle.

Dans la salle de suivi, les scientifiques examinaient tout ça, et des talons claquèrent sur le sol. Ils reconnurent rapidement son parfum, ses escarpins luxueux claquant sur le sol. La femme gloussa doucement. Elle était l’héritière d’une grande famille de négociants européens qui avaient fait fortune grâce aux routes de la soie, une famille originaire d’Italie. Excella Gionne était à la tête de ce projet, une femme aussi belle que cruelle, hautaine, qu’on disait avoir des liens avec la plupart des organisations criminelles majeures du monde. D’ailleurs, on disait que le clan Gionne était très proche de Cosa Nostra, la célèbre Mafia sicilienne. Elle suçotait une sucette en se déplaçant, et caressa de la main la chevelure de Trevor, un généticien informatique, véritable génie, qui était à l’origine du produit aphrodisiaque permettant l’évolution du Hunter. Un geek pur jus, qui vivait en autarcie, multipliant les fraudes bancaires. Elle l’avait recruté pour qu’il utilise au mieux les technologies d’Umbrella.

« Je vois que tout se passe bien.
-  O-Oui, Maîtresse, vous aviez raison… »

Excella exigeait qu’on l’appelle, non pas « Madame », mais « Maîtresse ». Et elle se pinça les lèvres en voyant le Hunter retourner Rebecca.

De son côté, Rebecca trembla en sentant les mains du Hunter palper ses fesses. Elle se tortilla sur place, et peina à retenir ses larmes, sentant une vague supplémentaire de peur la saisir quand la langue du monstre titilla son fondement. Elle se crispa sur place, et se pinça les lèvres.

*Oh non, pas ça !*

Rebecca gémit doucement, sentant la langue la titiller, et couina encore.

« N-Ne… Ne fais pas ça, pitié… » l’implora-t-elle, sachant très bien qu’il ne pouvait pas la comprendre.

Actuellement, tout se passait bien, même que trop bien. Tout bon scientifique sait que c'est à la fois une bonne et une mauvaise chose. Cela voulait dire que leur calcul était bon, que leur esprit avait bine prévue le coup, mais personne n'était à l'abri d'un facteur X qui viendrait perturber cela. Et si un second Hunter arrive ? Un combat à mort pour se partager le cobaye ? Les deux peuvent jouer avec une seule proie ? Est-ce que le Hunter peut trouver d'autres formes de plaisir non lié à la reproduction ? C'était une créature, un monstre, mais quelque part aussi, un animal. Alors quoi ? Pouvait-il prendre goût au sexe et pas seulement vaginal ? Il y a bien des zoophiles qui jouent avec des chiens, des cochons ou encore des chevaux et ils ne se font pas forcément prendre par le vagin, certaines sucent ou branlent simplement l'animal. Est-ce que le Hunter pourrait juste se laisser branler et savourer ce petit plaisir impossible pour lui avec ses grandes pattes munies de griffes ? Rébecca Chambers peut devenir le jouet de ce Hunter ? Des Hunters ? Tout dépendra de la suite, le but premier de cette expérience était de savoir si la procréation normale pouvait avoir lieu ? Économiser quelques milliers de Dollars en usant de jeunes femmes pour faire naître des Hunters. Mais seront-ils viables ? Mi-Hunter, mi-humain, quel drôle de bébé pourrait en sortir si ça fonctionne ?

Bien qu'Excella venait d'arriver, laissant quelques sueurs froides aux scientifiques sur leurs écrans, ils redoutaient tant d'être la proie de cette puissante femme, cela en excitait certaines, en effrayant d'autres, car une telle femme pouvait bien tirer un trait sur leur carrière, sur leur vie si ça lui chante. Telle cette superbe lycéenne fille du maire ou d'un grand politicien qui, si on ne lui dit pas oui, ruine votre vie. Avec des mensonges ou juste parce que son cher papa lui dit oui à tout. Tandis que la bande de blouses blanches redoublait de concentration pour la suite, le Hunter avait renifler cet autre trou. Le prenait-il pour un vagin ou bien, il avait conscience que comme pour lui, ce trou servait juste à faire sortir la nourriture qu'elle aurait pu manger ? Quoi qu'il en soit, la créature à écaille venait ouvrir sa gueule, il aurait pu mordre ce ravissant petit cul même si dans son cas, ça n'aurait rien d'érotique, et sa langue s'approchait, glissait sur ce petit trou avant de doucement en forcer le passage pour s'y enfoncer. Le monstre grognait... Pourquoi ? Le goût ? La sensation ? Le plaisir ?

Chaque scientifique était hypnotisé à chaque élément qu'ils n'avaient pas prévu, mais rien de grave semblait se produire, il laissait sa langue continue de s'enfoncer sous les gémissements et les plaintes de la demoiselle aux cheveux courts. Il continuait de grogner, sa queue se redressait toujours plus, retrouvant sa vigueur passée, prenant peut-être goût à se nouveau trou ? En tout cas, il finissait par y retirer sa langue en se redressant. Sans la moindre délicatesse, il écrasait sa patte sur le dos de Rébecca, la plaquant au sol avant que sa verge tendue ne caresse ses fesses, à la rencontre aveugle de son orifice pour s'y enfoncer, sans la moindre compassion. Le Hunter ne fit que pousser un cri de plaisir ou de souffrance dans cette étroite cavité, mais quoi qu'il en soit, il continuait. Retirant sa main de son dos, il plaquait ses pattes près d'elle en sodomisant la jeune femme avec énergie, sans caresse, sans baiser, sans mot doux, évidemment, montrant toute sa force en donnant de puissants coup de butoir, son corps massif s'écrasait sur elle, son bassin rebondissait sur ce mignon petit cul que le Hunter semblait apprécier. Délicatesse ou preuve de puissance, sa langue venait lécher le dos, l'épaule de sa partenaire alors qu'il continuait son petit jeu.

Le Hunter l'avait baisé de façon normale, il avait exploré d'autres possibilités avec sa langue et voilà à présent qu'il tentait la sodomie. Allait-il tenter par la suite la fellation ou cela restait encore trop obscure pour son cerveau de monstre ? Ici, il n'y avait pas de fuite possible. Personne n'allait débouler pour la sauver, pas de Deux Ex pour la sortir de ce pétrin et quand bien même un pauvre fou voudrait défier Umbrella et mettre fin à cela, il serait mort avent même d'avoir trouvé un ascenseur pour descendre ici. Comme tout projet de la firme pharmaceutique était secrète, ce genre d'expérience était connue que par les plus grands de l'entreprise, la moindre fuite et c'est le sang de celui ou celle qui en aura trop dit qui allait couler. Dire que cela n'était que le début de cette série d'expérience... Fascinant !

Rebecca n’était plus qu’une poupée de chiffon. Elle n’avait jamais autant été baisée de façon si intensive, et, pour son malheur, le Hunter s’avérait extrêmement endurant. Dans son dos, il la sodomisait brutalement, et elle en cracha sa salive, la jetant au sol. Sa vision devenait floue, et elle sentit la main du Hunter glissant sur son corps. Il grognait contre elle, et, quand elle manqua s’affaler, il attrapa sa tête, et la releva alors. Ses griffes raclèrent contre sa peau. Pas de saignements, fort heureusement, mais Rebecca hurla encore, gémissant fortement, sentant le Hunter bander contre elle, se crispant sur place.

« Haaaaaaaaa… !! »

Insoutenable, la douleur l’amenait dans ses derniers retranchements. Sa salive continuait à s’échapper, ainsi que des sillons de larmes, tandis que la queue massive du Hunter remuait profondément en elle. Elle tremblait encore, peinant à se retenir, ou à rester consciente. La jeune adolescente ne pouvait que soupirer, totalement impuissante, démunie, sentant toutefois un plaisir sauvage et incompréhensible croître en elle. Comment pouvait-elle ressentir quoi que ce soit, au milieu de cette douleur terrible ?

Le Hunter gronda encore, et elle le sentit s’écraser contre elle, s’allongeant dans son dos. Il lécha sa nuque, grognant contre son oreille, répandant sa salive, une odeur infernale, tandis que son corps se couvrait d’une sorte de sueur gluante. Rebecca grognait encore, sentant la sueur suinter de ses écailles. Le contact était humide, gluant, collant, et elle remua faiblement sur place, crachant encore sa salive, gémissant fortement.

*Oh bon sang, je n’arrive même plus à parler ni à me concentrer, je… !*

Personne ne viendra la sauver… Non, personne ! Elle grogna encore, sentant bien malgré elle son sexe s’humidifier,  de la mouille s’en échappant. C’était horrible, tout simplement horrible et ignoble de sentir à ce point votre corps vous trahir, cette impuissance, et de ne pouvoir rien y faire, avec cette peur que le monstre ne se fâche et ne l’égorge sur place, tout en l’écrasant encore fortement ! Avec ce mucus collant, elle se soulevait quand il se redressait, le mucus gluant la reliant à son corps, donnant à l’ensemble une atmosphère beaucoup plus insectoïde !

Et elle ne pouvait que subir…

Pendant que le Hunter se faisait plaisir avec son nouveau jouet, les hommes et femmes en blouse blanche n'en perdaient pas une miette, récoltant la moindre information à leurs sujets. Ils savaient qu'avec les phéromones transmis en Rebecca et même directement dans la pièce, le Hunter n'allait pas se contenter d'un seul orgasme. Mais de là à le voir lécher son jouet puis même à supposer l'anal comme une alternative, voir juste par curiosité, dans leurs hypothèses, ça avaient que très peu de chance de voir le jour ! Autant parfois, que ce genre de situation à faible risque arrive était mauvais signe, autant parfois ça pourrait valoir se sabrer le champagne ! Mais il était trop tôt pour crier victoire, l'expérience numéro un n'était pas fini, il y avait d'autres choses ensuite à étudier. Le monstre continua sa petite affaire, se logeant dans l'étroit petit trou de la jeune femme, continuant de grogner contre elle alors que, sans al moindre délicatesse, il lui rentrait dedans. L'avantage, c'est que ses grognements étaient plus joyeux que menaçant, mais si un second Hunter arrivait, ce serait sûrement pour montrer lequel des deux décidait dans cette pièce. Mais ne risquons pas la vie du cobaye...

Ses énormes pattes aux griffes longues et acérer servait à la maintenir au sol si elle remuait trop, voir parfois à écraser ses petits bras pour éviter qu'elle ne gigote trop. La créature à écaille semblait adorer enfoncer son sexe dans son nouveau jouet ! Reste à savoir ce qu'il préférait entre l'anus et le vagin, ça, à moins d'avoir des jumelles sous la main et lui offrir l'accès à seulement un trou par jumelle, difficile à dire. Mais actuellement, il semblait heureux, heureux de pouvoir laisser sa sexualité se calmer en bourrant le petit cul de son nouveau jouet. Il ne semblait pas prêt à vouloir retourner se reposer, il préférait jouer avec elle. Le Hunter Alpha se redressa, ses énormes pattes venaient saisir le frêle corps de sa partenaire aux niveaux des hanches pour la maintenir et s'en donner à cœur joie de lui bourrer l'arrière-train. Il hurlait de plaisir dans sa chambre, comme pour asseoir sa dominance pendant que sa longue queue s'enfonçait toujours plus loin et plus fort dans son cul. Il continua ainsi jusqu'à l'orgasme. S'il n'aurait pas un minimum d'intelligence, l'orgasme aurait pu couper la jeune femme en deux mais il se retenait, hurlant plutôt que refermer ses grosses pattes.

Bien qu'il se retira d'elle, il se pencha à nouveau sur elle, non pas pour observer son travail de plus près, mais son attention était de nouveau attirer par sa vulve luisante. Reniflant cette petite chose qu'il avait déjà souillée, il ouvrait sa gueule pour lécher la zone, extérieur comme intérieur. Il semblait aimer sa mouille, ce qui signifie sûrement qu'il y aura bientôt un round deux quand sa queue aura repris un peu de force. Il était intéressant d'observer le Hunter, mais aussi le cobaye qui était violé par le monstre, combien de temps avant qu'elle abandonner totalement ? Et dans quel sens, l'abandon ? Devenir une simple poupée de chiffon ou, quitte à abandonner, autant prendre son pied ?

Rebecca vivait un véritable enfer, encore pire que lors de ses pérégrinations au Manoir Spencer ! Ici, elle était totalement démunie, et soumise à une torture bien pire que de simplement combattre des monstres : un monstre la violait ! Et, bien malgré elle, son esprit se fracturait, son corps divaguait… Une douleur exquise, intense, inattendue, se déversa en elle quand le Hunter la sodomisa brutalement. Ses yeux s’écarquillèrent, et son hurlement mourut dans sa gorge. À quatre pattes sur le sol, elle cracha sa salive, et commença ensuite à hurler, et à pleurer. Cette douleur était insoutenable, elle dépassait tout ce qu’elle pouvait imaginer. La queue massive du Hunter croissait régulièrement en elle, la mettant en triste état. Impossible de lutter, elle ne pouvait que subir, que sentir ce mandrin épais la transpercer de part en part. La douleur furieuse remontait dans tout son corps, la faisant trembler sur place.

« Hmmmmmmmmm… !!! »

Elle essayait de se retenir, elle essayait de se calmer, elle essayait sincèrement de ne pas paniquer autant que possible, mais… Tout cela, c’était trop, bien trop pour elle ! Cette douleur horrible, insoutenable, qui la tiraillait de part en part ! Elle sentait son corps la trahir, des sensations inconnues l’envahir. La verge du Hunter enflait encore, et les minutes défilaient, interminables, longues, atroces. Dans l’air, les scientifiques d’Umbrella diffusaient un gaz spécial, un gaz qui trahissait également Rebecca, et qui amenait sa chatte à s’humidifier. Le fait qu’elle arrive à prendre du plaisir, le fait que son corps puisse aimer ça… C’était encore plus horrible que tout ! Elle se maudissait elle-même, mais, plus le temps passait, et plus les signes extérieurs étaient visibles. Ses seins se durcissaient, ses tétons pointaient, ses joues rougissaient… Bref, tout son corps trahissait une forte excitation, un désir furieux qui ne demandait qu’à sortir !

Ses hurlements devinrent plus légers, plus cassés, n’exprimant pas que sa peur, mais aussi un plaisir profond. Elle se crispa sur place, et ferma les yeux, gémissant à nouveau, son corps se détendant. Son esprit se fissurait, laissant imaginer des pensées folles. Le Hunter répandait son virus en elle, et, quand il se mit à jouir, et que Rebecca eut également un orgasme anal, ses yeux se rouvrirent… Et ses pupilles avaient changé de couleur ! L’iris de ses yeux était devenue plus sombre, une couleur violacée qui dura quelques secondes, tandis que ses veines devinrent noirâtres pendant quelques temps.

Le Hunter se relâcha copieusement en elle, et Rebecca s’écroula sur le sol, inerte, respirant lourdement. Elle sentait l’air frotter sur ses fesses, le sperme visqueux du Hunter s’en écoulant lentement. Les hurlements du monstre avaient couvert ses cris, et il la retourna alors, venant la lécher. Rebecca gémit et ferma les yeux, écartant les jambes. La langue râpeuse du monstre glissa dessus, et il lécha encore, avalant davantage de cette mouille. Le temps passa, et Rebecca soupirait lentement, fermant toujours les yeux.

*Qu’est-ce qu’ils m’ont fait ? Ce… Ce n’est pas moi, ça ne peut pas être moi…*

Le Hunter grognait encore, léchant ses cuisses, et promena sa langue encore dans son sexe, titillant parfois son clitoris, arrachant à la femme quelques cris. Elel mordilla même son pouce, et le sentit finalement se relever, sa queue tendue. À l’idée de se faire à nouveau sodomiser, Rebecca se redressa alors. Le Hunter grogna, mais elle posa alors sa main sur sa verge, et appuya dessus. Le contact provoqua une vague de plaisir qui dut surprendre le monstre.

*Non, je ne vais pas faire ça, non, non, non…
Mais tu n’as aucune autre option, Rebecca !*

C’était une redoutable verge verte, qui pulsait doucement entre ses doigts. Sa queue s’était redressée, et, à quatre pattes, elle se rapprocha.

« Laisse-moi faire, okay ? Laisse-moi faire… »

À vrai dire, elle ignorait s’il pouvait le comprendre, mais ce n’était pas bien important. En l’état, elle voulait juste éviter de se faire à nouveau défoncer par le monstre. Sa queue gonfla encore, et elle souffla dessus, avant de commencer à le lécher. Une odeur poisseuse en émana, mais elle ne la repoussa pas, au contraire.

Tandis qu’elle léchait sa queue, ses yeux prirent à nouveau une teinte violacée…

Bien que conçut comme une arme, le Hunter avait une certaine forme de sexualité bien que ce ne soit pas priorité alors, dans l'esprit un peu fou des scientifiques, il menait une expérience ou plutôt, plusieurs, rien que pour lui. À savoir déjà si une humaine pouvait enfanter un Hunter ? Théoriquement, non, leurs ADN n'étaient pas compatibles, mais la science avait parfois de drôles de réponses. Et de plus, même si c'était impossible, il fallait voir si lui offrir un nouveau jouet pouvait motiver leur arme à être plus efficace encore lors de leurs missions ? Les Hunters n'étaient pas défectueux, c'était de bonnes armes qui pouvait tuer en un seul coup bien placé ! Mais ils ont eut la malchance de tomber sur des agents du STARS assez fort mentalement pour affronter tous ses cauchemars. Sachant que Rebecca en avait déjà croisé avant l'incident du manoir en compagnie de ce prisonnier en fuite.

Mais pour le moment, la créature à écaille se plaisait à jouer avec elle bien que les scientifiques ignoraient jusqu'à quel point, il aimait ça ? Était-ce pour le simple but de libérer sa libido ou bien y voyait-il un but de procréation ? Difficile à dire, surtout quand les deux sujets étaient drogués pour facilité les choses, ce n'était pas simple. Mais tout se passait bien, même si parfois, ils donnaient un petit coup de pouce à ce drôle de couple. Et une fois que le Hunter avait de nouveau jouis, hurlant sa joie en remplissant le frêle corps de Rebecca, il semblait plus satisfait que jamais ! Mais à chaque orgasme, chaque personne se demandait si c'était terminé ? Avait-il eu sa dose ? Était-il lassé du jouet ? C'était toujours un coup de roulette Russe, soit ça « clic » et l'expérience peut continuer, soit ça « bang » et c'est terminé pour le cas numéro un. Bien qu'il continuait de lécher un peu le corps de Rebecca, surtout entre ses jambes, ils ignoraient si c'était une sorte de « Merci » de la part du monstre ou les prémices d'un nouveau round ? 

Debout, grognant pendant que sa queue laissait peu à peu le sang parcourir tout son corps, ce fut au tour de Rebecca de prendre les devants cette fois. La demoiselle, à quatre pattes devant elle se rapprocha, laissant la bête grogner doucement, comme une mise en garde. En avait-il fini ? Voulait-il garder le contrôle de la situation en bon dominateur ? Les deux étaient possibles. Leur cobaye venait par contre commencer à, semble-t-il lui offrir une fellation ? Au moins, soit leur aphrodisiaque fonctionnait bien, soit elle avait un sacré syndrome de Stockholm ! Mais le Hunter allait-il apprécier ? C'était plus un animal sauvage qu'un être humain, pour lui, son sexe servait à l'enfoncer dans sa partie intime, sa partie anale vu qu'il s'était montré un poil curieux, mais la bouche. Il avait découvert les joies du baiser, maintenant, en était-il de même pour ça ? Pour le moment, il semblait se laisser faire, laissant Rebecca jouer avec sa bouche sur sa queue, ses grosses pattes, munies de ses longues griffes, restaient immobiles, sa gueule tourner vers elle, grognant doucement en la regardant faire. Les légers grognements lâchés par la créature ne semblaient pas être mauvais signe, mais prudence !

Peu à peu, il poussait des grognements plus fort, sans pour autant bouger, cela était peut-être sa façon d'exprimer son plaisir ou s'assouvir sa domination sur ses compagnons ? Bien que non-présent, peut-être voulait-il faire entendre à ses camarades « Je suis le dominant » ? Inconnu à cette pratique, la créature à écaille restait immobile, usant juste de sa voix, laissant son jouet faire le travail dans cette situation qui ne semblait pas lui déplaire.

L’expérience d’Umbrella semblait prendre un tournant inattendu, celui où la victime de ce viol monstrueux finissait par prendre les devants. Mais quelle autre option Rebecca avait-elle ? Elle n’avait aucune arme, rien à disposition qui soit capable de lui permettre de vaincre un Hunter. À défaut de pouvoir se sortir de cet enfer, elle devait sympathiser avec son bourreau. Rebecca savait que les Hunters n’avaient pas vraiment de conscience humaine, ils fonctionnaient comme des animaux sauvages. Elle n’irait pas jusqu’à prétendre pouvoir le dompter, mais, si la créature voulait du sexe, Rebecca préférait contrôler les choses en agissant d’elle-même. C’était ce raisonnement logique qui amenait la jeune femme à sucer sa grosse queue.

Elle entendait la créature grogner lentement, sifflant sur place, tandis que sa queue gonflait et se durcissait. Ce membre était très épais, mais aussi assez long. Fermant les yeux, Rebecca peinait à croire que c’était cette queue qui s’était enfoncée en elle. Elle en avait encore mal au cul, sentant des sifflements d’air contre ses fesses. Elle se dandinait un peu sur place. Rebecca s’était attendue à ce que cette séance de succion soit un supplice, mais, au lieu de ça, elle se surprenait elle-même à aimer ce qu’elle goûtait.

*C’est impossible… Impossible !*

Un plaisir incroyable remuait en elle, et elle gémissait encore. Remuant doucement, d’avant en arrière, Rebecca se laissait aller, tandis que le monstre semblait de plus en plus docile. Sa verge lisse s’enfonçait jusque dans sa gorge, déclenchant chez Rebecca de magnifiques chaleurs. Elle sentait même ses cuisses s’humidifier à nouveau. Cette vague était magnifique, et elle continuait à la sucer avec appétit. La jeune femme ne pouvait qu’aimer ce contact, et sa main se déplaça alors, venant caresser les testicules du monstre. Quand elle les gratta, elle sentit des frémissements parcourir le monstre. Le Hunter soupirait encore, visiblement sous le charme.

*Je… Je ne peux pas aimer ça, voyons… Non, c’est impossible !*

Et pourtant… Oui, pourtant, elle aimait ça ! Elle suçait sa queue avec un appétit croissant, multipliant les gorges profondes, inhalant la délicieuse odeur qui s’échappait de cette verge. Rebecca voulait le faire jouir, elle voulait sentir son sperme en elle, elle voulait qu’il la baiser encore, avec toute sa puissance, toute son énergie…

…Oh, mais que lui arrivait-il donc ?!

Pour les scientifiques, tout se déroulait à merveille pour le moment ! L'un des seuls mystères était de savoir si elle allait pouvoir mettre au monde un bébé Hunter ou bien si leur ADN serait incompatible, comme celui des animaux avec les humains. De leurs points de vues, le cobaye, Rebecca, semblait prendre de plus en plus de plaisir en compagnie de la créature, ce qui était une bonne chose. Chose surprenante, c'est que le Hunter semblait se laisser faire pour le moment, laissant Rebecca s'occuper de sa queue, laissant que quelques grognements et sifflement face à la jeune femme qui le suçait. Son regard était porté sur elle, avec toujours ce même doute chez eux, va-t-il se fâcher si ça dérapait, au point de la tuer ? Avec ce genre de monstre, on ne sait jamais comment ça allait tourner. Elle continuait d'elle-même de lui faire plaisir, venant même passer sa main sur ses bourses, ce qui ne semblait pas déplaire au Hunter pour le moment, et ce, jusqu'à l'orgasme où dans un cri, la créature laissait s'échapper sa semence, giclant dans la bouche de la jeune femme.

Ils n'auraient jamais cru qu'un Hunter, dans sa conscience animale, puisse se laisser sucer. Surprise donc ! Mais voilà, face à ce petit coup de mou, les scientifiques envoyaient une nouvelle petite dose d'aphrodisiaque dans la pièce, le Hunter le perçu presque de suite et sa queue flasque venait presque instantanément retrouver la forme ! Bien dresser, il posa son regard sur elle et sans plus de détail, il s'enfonça en elle, sa longue queue retrouvant à nouveau le chemin menant à l'utérus. Son poids écrasait la frêle demoiselle pendant que sa queue se cognait au bout de son vagin. On pouvait y voir une légère bosse remuer à la surface de son ventre.

Bientôt, ils devront tenter le cas numéro deux et les laisser se reposer, mais pas maintenant. Pour le moment, le Hunter était à nouveau pris par l'envie de la remplir, de faire son devoir de mâle face à cette femelle. Sans douceur, sans demander un quelconque consentement, il la prenait, la queue tapait au fond et il comptait bien y jouir à nouveau pour pouvoir s'y reposer après avoir fait son travail. Ses pattes étaient plaquées près d'elle, mais pas sur elle, ses coups de reins étaient puissants, comme s'il savait que ce serait sa dernière fois avant une petite réelle pause. La créature y allait de bon cœur, grognant son plaisir, allant parfois lécher le visage de son jouet, sa bave lui coulant dessus. Il n'était pas ici pour faire dans la dentelle, il allait faire son devoir, point final.

Rebecca était dans un état second, dans une situation où elle était déconnectée de son cerveau et des réactions normales. Ce Hunter la besognait avec une férocité stupéfiante. Elle venait de le sucer. Elle venait de le sucer ! C’était quelque chose d’à peine croyable. Rebecca avait pompé la verge de ce monstre, elle venait de boire son sperme, de le recevoir en pleine figure, et, alors qu’elle pensait en avoir enfin fini avec ce cauchemar, elle sentit l’atmosphère se remplir d’un nouveau gaz. Rebecca tourna la tête autour d’elle, et regarda les vitres sans teint à l’étage.

« Arrêtez ça, bande de pervers !! »

Le Hunter se mit alors à grogner. Rebecca sursauta, et écarquilla les yeux en se reculant prudemment, constatant que son érection revenait. Sa queue se mit à durcir furieusement, et les petits yeux serrés du Hunter s’écarquillèrent alors. Déglutissant nerveusement, elle vit le monstre se rapprocher alors d’elle, visiblement prêt à un second tour de piste avec elle. Et, encore une fois, Rebecca n’avait aucune protection à proximité ! Surtout, elle se mit à inhaler le gaz aphrodisiaque qui se diffusait dans la pièce, et sentit son corps trembler sur place. Le Hunter bondit ensuite, et elle hurla en tombant au sol.

Il se mit à la besogner à nouveau, bavant sur son visage, sa salive abondante glissant sur son buste. Les mains nerveuses de Rebecca se crispèrent sur ses épaules. Impossible de repousser un tel monstre, dont la massive verge s’enfonça lourdement en elle. Ses yeux s’écarquillèrent dans ses orbites, et elle hurla encore, se pinçant les lèvres en fermant les yeux. Son corps tremblait furieusement, tandis que des sensations contradictoires se bataillaient dans son esprit. Excitation, honte, dégoût, désir… Impossible de s’expliquer concrètement ce qu’elle ressentait, tant elle était horrifiée par tout ça !

« Haaaaaannn… !!! »

Fermant les yeux, Rebecca se refusait à voir le regard du Hunter, à observer ce visage monstrueux, et son corps remuait furieusement sur place. Sa mouille venait  remplir sa chatte, s’enroulant autour de l’épaisse queue du Hunter. Le membre épais du monstre continuait à la prendre avec un appétit féroce et croissant, la mettant en haleine. Quand donc comptait-il s’arrêter ? Combien de fois est-ce que ce monstre comptait la remplir ? Et allait-elle enfin réussir à reprendre le contrôle de son corps ? Car, au-delà de tout le reste, une seule chose était véritablement en train de l’effrayer…

…Le fait qu’elle adorait ça !

Dans l'un des laboratoires secret d'Umbrella, les scientifiques jouaient là un drôle de tour afin de voir si une humaine pouvait attendre un bébé de leurs créations ? Si la méthode naturelle pouvait fonctionner, ça pourrait leur faire gagner pas mal d'argent. Reste à savoir aussi la période de gestation afin d'êtres sûr que cette méthode ne soit pas trop lente, mais pour le savoir, il fallait que ça réussite. Pour le moment, c'était un succès dans le sens où le Hunter la voyait comme une partenaire sexuelle, c'était déjà ça de gagner. Mais le reste allait réussir ? Il était trop tôt pour le dire, mais entre eux, les scientifiques savaient que le test numéro un était celui qui avait le moins de chance de réussite, le Hunter était plus proche de la créature que de l'humain, contrairement aux deux autres salles à côté. Mais si ça pouvait réussir, ce serait une grande réussite pour eux ! Les types en blouse blanche continuaient de noter chaque détail qu'ils remarquaient pour ensuite réunir leur note afin de faire leur rapport.

Actuellement, la créature en était à son second essaie vaginal, remplissant la jeune femme pour assouvir ses instincts naturels. Peu de chance que le Hunter se préoccupe de devenir papa, pour lui, seul le fait de calmer ses ardeurs l'intéressait, voilà tout. L'une des préoccupations des scientifiques était de garder leur cobaye vivante, déjà pour y effectuer leur test afin de voir si tout va bien, mais aussi, car ses derniers jouaient avec le feu. Ce n'était rien d'officiel, mais l'on disait le président Wesker attaché à cette femme. Certaines sources disent qu'il avait dans son bureau du STARS une photo de la jeune femme quand elle était au club de basket de l'école de police. Mais cette même source n'était plus de ce monde pour le confirmer donc, vrai ou faux, il ne faut pas contrarier Albert Wesker. Il avait donné son accord pour ce test, mais quelque chose leur fait dire que si cette fille perdait la vie, elle ne serait pas seule dans son trépas. Que ce soit des rumeurs, son type de femme ou qu'il ait vraiment le béguin pour elle, l'idéal serait qu'à la fin de ce test, elle soit toujours vivante. Enceinte ou non, ce n'était que des détails. C'est aussi pour ça qu'elle servait au Hunter, dans un sens, c'était le moins risqué. Contrairement aux deux autres sujets, il était difficilement contrôlable, mais sa verge était encore assez normale. Là où Mister X ou le Némésis avait un mandrin qui allait tout détruire sur son passage !

Le Hunter continuait de la prendre, grognant et remuant sur elle en laissant sa queue continuer de se frotter en elle, suivant ce même chemin, sa verge pointue allant titiller le col de son utérus. Ils laissèrent leur petit monstre finir son affaire avant de diffuser un nouveau gaz qui aura pour effet de calmer les deux tourtereaux afin de les séparer et voir par la suite, si leur cobaye aurait de bonnes nouvelles à annoncer ? Du moment qu'Excella ne venait pas ajouter son grain de sel et leur dicter des ordres, ils devraient pouvoir bosser en paix. Elle avait encore un de ses toutous après tout, espérons que ce dernier lui suffise. Une série d'écran s'éteignaient, de nouveaux s'allumaient dans une ambiance similaire, une salle blanche, carré, où il n'y avait qu'un lit avec une femme assoupie dessus uniquement. Ce n'était pas une personne directement impliquée avec Umbrella, mais c'était la sœur d'un des membres du STARS qui leur avait mis des bâtons dans les roues au manoir. Claire Redfield. Elle allait goûter à une créature moins sauvage que le Hunter, mais plus insurmontable à moins nue, une de leurs armes secrète qui se baladait en ville pendant l'épidémie, Mister X. Bien que ce dernier ait surtout courue derrière la dernière recrue de la police de Racoon City, elle l'avait peut-être vue passé ici ou là. Du moins, l'un d'eux.

Plus facilement contrôlable, leur cobaye se réveillait dans sa nouvelle chambre et, au milieu de ses murs blanc, comme pour le Hunter, un sas laissait entrer une personne immenses, haute d'au moins deux mètres, tout en muscle. Il semblait humain en dehors de son teint pâle, mais son corps était parfaitement humain, en dehors des quelques cicatrices liées aux expériences. Alors que le sas derrière lui se refermait, le géant en imper commençait à retirer ses vêtements, sans se préoccuper de quoi que ce soit d'autre. Il avait une mission, et il allait la mener à bien, comme toujours...

C’était le chaos à Raccoon ! Venue ici pour retrouver son grand-frère, Claire Redfield avait eu la surprise d’être attaquée à une station-service par des individus contaminés, des zombies. Claire avait perdu toute trace de son frère suite à une mission ayant lieu dans les abords de Raccoon City. La jeune femme avait décidé d’y aller, en constatant que la hiérarchie ne voulait pas lui répondre, et qu’il y avait beaucoup de trucs très curieux autour de cette ville… Mais elle ne s’était jamais attendue à tomber sur des zombies ! Formée aux armes à feu par son frère, et grande amatrice de motos, elle avait donc décidé de partir mener sa propre enquête.

Résultat, elle avait été sauvée des zombies par un policier, Léon S. Kennedy, et ils s’étaient rendus au commissariat de Raccoon City, dans l’espoir d’obtenir des informations sur ce qui se passe, ou des renforts. Hélas, le commissariat était envahi par les zombies, et le duo s’était séparé en chemin. Elle avait rejoint difficilement le commissariat, pour constater qu’il y avait des zombies partout ! Claire s’était mise à fuir, mais avait fini par tomber sur une espèce d’improbable colosse de plus de deux mètres de haut avec un visage gris et un imperméable noir. Il l’avait attrapé par la gorge, et l’avait plaqué violemment contre le mur. Claire s’était battue avec acharnement, plantant même un couteau dans le bras du monstre, mais cela ne l’avait nullement ébranlé, tout comme les balles qu’elle avait tiré sur lui. Il l’avait jeté au sol, et avait broyé entre ses doigts son pistolet.

Ensuite… Le trou noir.

Claire émergea brusquement, et regarda autour d’elle. La forte lumière du projecteur l’aveugla provisoirement, et elle plissa les sourcils, tournant la tête. Elle grogna lentement, tout en entendant le son d’un sas, d’une porte métallique qui se refermait. Couchée sur le sol, elle éternua ensuite, une sensation de bile remontant depuis son ventre, et nota ensuite… Un imperméable tombant au sol. Un corps massif lui faisait face, et ses yeux se levèrent brusquement.

Ses yeux s’écarquillèrent progressivement tandis qu’elle devinait la silhouette massive qui lui faisait face. Un corps osseux, musculeux, avec une verge monstrueuse… Mr. X ! Elle bondit brusquement en arrière, et heurta le mur, avant de chercher une arme. Hélas, on avait retiré son holster, tout comme son couteau.

« N-Non… Où est-ce que je suis ? Qu’est-ce qui se passe ?! »

C’était un cauchemar ? Oui, ça ne pouvait être que ça ! Elle chercha autour d’elle, ne voyant aucune arme quelconque. Elle croisa ensuite le regard de Mr. X, et s’apprêta à se battre, au besoin en utilisant ses jambes… Et bondit alors vers lui, optant pour un coup de pied retourné en visant son visage !

Pour cette seconde expérience, ce serait plus simple, Mister X était plus facile à gérer déjà et de plus, cette arme était plus proche d'un être humain que le Hunter. Tandis qu'un groupe de scientifique était déjà en train de taper un rapport avec toutes ses données, certains iront faire des prélèvement chez Rébecca, et même leur Hunter, voir que tout allait bien dans les deux camps. Dans la seconde salle, la seconde expérience débutait, Mister X était présent, retirant son énorme manteau. Nul besoin de mettre à l'œuvre son talent d'arme, là, c'était autre chose, une sorte de récompense quelque part. Serait-il heureux de vivre cela ou pour lui, ce n'était qu'une mission de plus, comme un Terminator sans sentiment ? Ils verront peut-être cela au cours de sa mission. Claire était paniqué face à ce colosse exhibitionniste, et même si elle savait se défendre, son coup de pieds heurta son visage, lui faisant détourner le regard un instant, mais bien trop faible pour le faire reculer. Il attrapait la jeune femme, la tenant par sa tunique pour la plaquer au mur. Ce n'était pas une machine chez qui, un ordre ou un bouton mettrait son sexe en érection, comme le Hunter, comme un être vivant, il devait être exciter pour que ça arrive. Il la soulevait, toujours plaquer au mur pour l'embrasser de force.

Mister X n'était pas un top-modèle mais par chance pour elle, ce n'était pas le Némésis, ça, c'était pour la pièce suivante. Donc il fallait espérer que Claire Redfield ait un faible pour les colosses chauve et bien musclé, au teint un peu cadavérique... Cela dit, étant un « mâle », son point faible restait assez évident pour se défendre, mais attisé sa colère n'était peut-être pas la meilleure idée. Lui faire face, sans arme, c'était plus pratique de l'avoir à son état naturel que colérique à cause d'un coup mal placé. Les scientifiques pouvaient toujours l'empêcher de la tuer, mais il vaut mieux éviter de jouer avec ses limites même ça pourrait être l'occasion de voir à quel niveau un Mister X – donc un Tyran – pète un câble et deviens hors de contrôle ? Son corps massif venait se plaquer contre elle, en silence, il l'embrassait de force, tandis que les scientifiques se demandaient si sa démarche était faite pour inciter l'érection ou tenter de partager un minimum ce plaisir avec sa partenaire ? Le Hunter à fini par avoir un minimum d'empathie et de bienveillance envers sa femelle, et lui alors ? Une main la plaquait au mur, la seconde lui passait doucement dans les cheveux, avec toujours cette même question derrière les caméras... geste bienveillant ou mise en scène pour accélérer l'afflux sanguin entre les cuisses ?

N'étant pas des monstres, comme pour la première expérience, ils diffusaient un petit aphrodisiaque afin de préparer les deux tourtereaux à de meilleures conditions. Claire allait abandonner et subir son sort ou chercherait-elle à se déloger de cette situation ? Elle pouvait que retarder l’inévitable, pas s'échapper. L'espoir fait vivre après tout.

Claire déglutit doucement en se retrouvant face à ce monstre massif. C’était un colosse blanchâtre, avec une queue massive qui se dressait devant elle. Mortifiée, Claire n’arrivait tout simplement pas à croire à ce qui lui arrivait ! Elle était pourtant bel et bien face à un géant ! Un colosse de muscles qui se rapprocha d’elle, et la plaqua contre le mur sans difficulté. Pas d’armes, aucune échappatoire, et il se mit à l’embrasser énergiquement, plaquant ses épaisses lèvres contre les siennes, tandis qu’un aphrodisiaque se diffusait dans la pièce.

« Hnnn… »

Claire était confuse. Paniquée, elle l’était assurément. Ce monstre pouvait la briser en quelques secondes, et elle était visiblement devenue une victime des expériences sinistres d’Umbrella Corporation. Elle grognait nerveusement, paniquée, sentant des effluves l’envahir. La jeune femme était encore suffisamment lucide pour comprendre qu’on cherchait à la droguer. Quels monstres ! Mais pourquoi faire ça ? Elle manqua vomir quand elle sentit la verge de Mister X se redresser énergiquement, tapant contre ses cuisses. C’était répugnant, tout simplement !

Incapable de repousser cet homme, Claire se retrouva encore plaquée contre le mur, et il caressa alors ses cheveux.

« Je… Mais qu’est-ce que vous me voulez… ?! » demanda-t-elle, d’une voix blanche et faible.

À quoi est-ce que ce cirque rimait ?! Paniquée, Claire n’osait pas combattre ce colosse, par peur qu’il ne la démembre sur place !