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Une petite sauvageonne [Valiobservée !]

Posté : 31 août 2024 16:53
par Levy
Nom : Levy (n'a pas de nom de famille)
Âge : Environ la vingtaine
Monde d'origine : Terra, une île perdue en mer
Race : Humaine

Histoire
Il existe sur les océans bon nombre d’îles et de coins de paradis. Parfois, il ne s'agit que d'une couverture, au loin, cela ressemble à un endroit où l'on ne voudrait jamais partir et on se retrouve face à des insecte dix fois trop gros et moult danger supplémentaire. Et parfois, c'est vraiment un paradis ! Ce qui est le cas ici justement. Sur une île assez grande, regroupant plusieurs petites tribut vivant chacun en paix sur leur coin d'île, vivait une tribut qui, on ne sait pas comment ses gens se sont retrouvé ici ? Était-ce des gens venue d'ailleurs pour s'isoler ? Des naufragés qui n'ont pas eut le choix que de vivre ici ? Personne ne sait, même les plus anciens et sages de l'île disait que déjà étant enfant, leur sage de l'époque ignorait leur venue ici. Mais pourquoi partir ? Nourriture, fruit en abondance, soleil, paradis ? Certes, les enfants et adultes se demandent parfois ce qui se passe au-delà de la mer, de l'océan bleu mais ignorant la navigation et parvenant au mieux à faire un radeau de fortune, ça n'allait pas loin sans voile. Car les feuilles de palmier et autres, ce n'était pas très efficace. Coupé du monde, des guerres politiques, des désastres qui se jouaient sur la terre ferme, cette tribue avait développé avec le temps leur propre langage, vivant dans la nature, des antursite. Était-ce des gens venue d'ailleurs pour s'isoler ? D'où l'absence de voile sur leur radeau.

Ici, le froid, ils ne connaissent pas. La nuit est parfois plus fraîche, mais dormant ensemble ou avec quelques longues feuilles, ça suffisait à se réchauffer un peu. Parfois, oui, parfois, le ciel était en colère, il hurlait et brillait de colère. C'était bien une des rares choses dont ils avaient peur ici. La faune locale ne les effrayait pas, ils les chassaient pour leur chair sans pour autant les mener à leur perte, juste de quoi se nourrir et les laisser se reproduire. Pourquoi chasser sans arrêt quand les arbres donnaient eux aussi leur fruit juteux et délicieux ? Le paradis quoi. Mais un beau jour, un énorme radeau gigantesque accosta sur l'île, laissant descendre bien des gens qui étaient étrange ? Ils n'étaient pas nus, brandissaient des armes bien plus évolué que leur lance faite au mieux d'un bâton et d'un caillou taillé au bout, la tribue n'avait aucune peur d'eux. Jamais personne n'était venu, le terme menace n'existait sûrement même pas dans leur langue ? Ignorant bien de quoi pouvait parler ses étranges personnes, on les tirait à eux pour les amener dans leur rustique village fait de paillote et de hutte, leur offrant leurs meilleures boissons, leur meilleure viande, bref, un accueille royal ! Ils avaient beau ne pas comprendre un traître mot de ce qu'ils pouvaient raconter, ce fut festif, ça dansait, ça rigolait, c'était une belle vie ! Même si le lendemain de cette journée et nuit de fête, ils avaient compris qu'ils étaient là pour réparer leur radeau, ils n'avaient pas les outils ou connaissances pour réparer une telle chose ! Mais les ressources ne manquaient pas et chacun aidait, apportant bois et fer dont ils pouvaient avoir besoin.

Cela ne se fit pas en une journée et avec le temps, même si le bateau attirait autant les petits comme les grands, l'une des filles du chef de la tribue, Levy, s'attachait beaucoup au capitaine du navire. Toujours dans ses pattes, assises entre ses jambes quand venait la fête, elle était toujours là pour lui tendre des fruits ou de l'alcool. La seule chose qu'elle réussit à faire comprendre, c'était son nom. Tapotant sa poitrine pour se désigner, elle répétait sans cesse son nom, Levy. Ici, le sexe n'était en rien tabou, très vite des gens de la tribue couchait en pleine fête avec leurs invitées, ça ne choquait personne ici. Une fois les réparation terminé et la fête aussi, les pirates devaient quitté la tribue bien amicale mais avant leur départ, Levy refusa de lâcher la jeune femme aux cheveux blanc, capitaine du navire, Alexia. Même ses parents ne disaient rien, bien au courant qu'elle voulait partir avec eux. Bien que personne ne se comprenait, ils espéraient bientôt revoir ses gentilles personnes ainsi que Levy, et même avant de partir, on leur offrait encore de l’alcool et des vivres – viande comme fruit. Puis ce fut le grand départ. Pour Levy, quitté son coin de paradis ne fut pas si joyeux les premiers jours, car première fois sur un bateau, elle avait le mal de mer...

Quelques jours à vomir, à se faire à ce bateau qui tanguait et elle commençait à aller mieux. On lui apprenait à se couvrir, car en pleine mer, la température n'était pas pareille que sur son île, la nuit était parfois très froide et elle devait protéger son corps. Bien qu'elle avait besoin d'aide pour s’habiller, elle acceptait de porter ces drôles de choses ? Elle aimait bien dormir avec Alexia qui se privait rarement de lui faire l'amour tout en lui apprenant des choses, parfois lui faire répéter des choses dont elle ignorait même ce que ça voulait dire. Avec le temps, Levy apprenait doucement leur langue, apprenant des choses simple, le nom des fruits, des armes, des images représentant des choses, mais pour elle qui a vécu sur cette île toute sa vie, des images de château, de chevaux ou de canon, c'était très étrange ? Enfin, elle maîtrisait à son rythme la langue commune sans oublier ses racines. Sa seule faiblesse était la même avec laquelle elle a grandi sur son île. En pleine tempête sur un bateau, c'était pire que chez elle ! Roulée en boule, elle se cachait parfois sous un lit pour être en sécurité tant elle en avait peur !

Même si sur ce bateau, elle était une esclave, ce terme lui était déjà inconnue, mais elle était contente de voyager et parfois découvrir de très très grandes îles si différentes de la sienne ! Il y avait des cailloux partout, des gens habillée bizarrement, des gens étrange, bref, Levy voyait tout cela avec un œil nouveau, un regard d'enfant découvrant le monde ! Cependant, la notion de politesse n'étant pas la même chez elle que sur ces autres îles, il lui était arrivé de faire des bêtises comme piocher des fruits sans payer, de taper plus ou moins fort sur des armures ou des choses pour en tester la dureté, bref, on pouvait la voir comme une sauvagesse, mais elle découvrait juste le monde. Sur son île, elle n'avait même pas appris 0,01% du monde qui l'entourait.

Re: Une petite sauvageonne [Valiobservée !]

Posté : 03 sept. 2024 10:26
par Observateur
Re-Bienvenue, petite sauvage !

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