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Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 01 sept. 2024 18:28
par Sélipa
Tu n'es point encore habituée aux voyages à travers les portails. Tu te demandes d'ailleurs si tu le seras un jour et pour cause : ton dernier transfert s'est avéré presque aussi laborieux que le premier ! La faille s'est ouverte en plein ciel et t'as recraché au dessus d'un vaste océan. Momentanément secouée par ce moyen de transport insolite, tu as bien failli louper le coche et t'écraser tête la première à la surface de l'eau salée. Mais comme d'habitude, l'utilisation de ton ki t'a sauvé la mise.
Voilà que tu te retrouves à quelques centimètres au dessus du niveau de l'eau, à flotter paresseusement dans l'air marin. Le murmure assourdissant des vagues emplit tes esgourdes tandis que le vent te fouette agréablement peau et cheveux.

- Pas si dégueu que ça, comme destination de vacances, constates-tu malgré l'absence notable de grande terre à proximité.

Parce que tu as beau dire, tu n'es certainement pas venue ici pour savourer de quelconques congés ! En tant que saïyajin de sang et d'esprit, tu n'as que deux idées en tête : te battre et conquérir. Les deux sont supposées t'apporter de l'expérience et te rendre toujours plus forte.
Ce n'est pas demain la veille que ta mentalité de combattante acharnée va changer.
Que serait mon existence sans les remous qui lui sont associés ?
Pas question de relâcher tes efforts sous prétexte tu as été séparée de ton peuple !
La vie continue, pour le meilleur et pour le pire...
Les poings sur les hanches, un petit sourire narquois soulève le coin de tes lèvres.
Ce sont tes ennemis qui goûteront au pire ; toi, tu consommeras le meilleur au détriment des autres.

- Bien ! Voyons voir ce que cette planète bleue a à nous offrir...

Une simple pression sur l'appareil de mesure accroché à ton oreille suffit pour que la lunette colorée se lance dans un rapide calcul des forces alentours. Des symboles complexes défilent en conséquence, t'indiquant qu'il y a de la vie à proximité. Des entités plus qu'abordables, à en juger par les chiffres. Tu estimes pouvoir en affronter plusieurs à la fois - un bon échauffement en perspective.
Tu étudies tranquillement les différents signaux. Curieusement, il s'avère qu'ils convergent tous sous l'eau.
Des proies marines, donc ? Amusant ! Relevons le défi~
Gonflant ta poitrine à fond, tu avales une grande goulée d'air avant de piquer en direction des profondeurs.
Les bras plaqués le long du corps, tu fonces tellement vite que l'on pourrait facilement te prendre pour une torpille !
Tu as déjà hâte de tomber sur tes prochaines victimes.

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 01 sept. 2024 18:29
par Lyli
Dans quel foutue galère je venais encore de me mettre, moi ? J'avais déserté à mon poste depuis des années déjà pour échapper à l'ennuie, explorer le monde, et parce que je ne voulais pas passer ma vie entière à me battre contre ces créatures des abysses... Et maintenant, voila qu'une horde de ces choses étaient à mes trousses !! Chacun de ces monstres prêts à me tuer. Comme mon peuple combat ces choses difformes depuis des millénaires, que je leurs cherche des noises ou non n'a aucune importance, c'est ancré bien profondément dans leurs gênes : Ceux de mon espèces doivent tous mourir à vu, peu importe la raison. D'ailleurs, comment un groupe de ces monstres avaient bien pu quitté les abysses ? Les miens avaient ils mal fait leurs boulots ? Sortaient-ils d'une nouvelle faille encore inconnue à ce jours ?

Heureusement, je nage plus vite et je peux au bout d'un moment les distancer pour me cacher sous les roches d'une faille. Je peux sentir leurs aura meurtrière planer autours de moi. Les fantassins abyssales. sont les premiers  à arriver sur la zone. Ce sont les plus rapides parmi les 6 catégories, et les plus dangereux offensivement aussi, en contrepartie de leurs vulnérabilité. Généralement, un seul coup bien placé est capable d'en venir à bout... mais il faut déjà parvenir à les toucher. S'il n'y en avait que 2 ou 3... j'aurais pu aisément les surpasser, mais là, on parle d'une bonne dizaines ! Et surtout... Les nécrom. sont aussi de la partie. Lents, ils arrivent un peu plus tard sur la zone, ils sont 3... pas très puissant, mais un peu plus coriace à tuer. Seuls, ils sont presque inoffensif, mais leurs maitrises de la magie des ombres leurs permet le lancement de sort nuisible tel que le poison, l'engourdissement, mais surtout... la capacité de ramener à la vie les fantassins. Même si j'arrivais à tuer ces rapides guerriers des profondeurs, les nécromanciens rendraient cette tâche impossible. Il faudrait que je dégomme d'abord ces 3 " sorciers " pour vraiment me débarrasser ensuite des autres. Autant dire qu'ils ne me laisseront pas faire si facilement.

Mais alors que j'essaye d'établir un plan, un son provient à mes oreilles, se propageant jusque dans le fond des océan. Quelque chose arrive, c'est tombé contre la surface avec fracas, et ça descend à toute vitesse. Je ressens une énergie assez forte, ce n'est pas quelque chose d'inerte, ces choses l'ont d'ailleurs également senties et se tournent à l'unisson vers le haut. En quelque seconde je ne semble plus être la cible numéro  une, il ne suffit que d'un grand cri strident à l'unisson pour lancer l'assaut vers ce nouvel opposant.

Parfait... ça va me faire des vacances... je les laisses s'entretuer, et je fini vite fait bien fait le dernier qui restera debout... quelque soit le vainqueur il sera surement épuisé... Cette personne qui arrive semble vraiment dangereuse après tout... je ne peux pas laisser cette menace repartir sans en savoir plus... quel aura meurtrière...

Je ne sais pas trop l'expliquer, mais je ne peux pas laisser cette chose qui arrive repartir, j'ai l'impression qu'il s'agit d'une grande menace... ou que ça pourrait du moins l'être. D'ailleurs je ne me trompe pas, à peine puise-je l'apercevoir que la moitié des fantassins y passent, les autres esquivent. Quel surprise cependant de voir une femme, elle semble si fière, si sure d'elle... mais déjà un indice m'interpelle...

Comme sous l'eau, mes sens sont tous décuplés par rapport à ceux des créatures terrestres, je peux entendre son coeur battre, ou du moins les vibrations que celui-ci émet. Ce serait imperceptible pour un humain, et pour elle même aussi, sans doute. Mais les variations de ses battements de coeurs évoluent subtilement, lentement... ce qui me prouve qu'en ce moment même, elle retient sa respiration. Se battre sans respirer, quel calvaire ça va être ! Il y aura forcément une limite, et ce sera là qu'elle sera le plus faible pour passer à l'assaut ! Enfin, si c'est elle qui remporte ce combat, déjà ! Car ils se jettent de nouveau vers elle, les fantassins qu'elle a démolie se reformant comme un amas d'ombre sanguinaires, certains essayant de foncer tête la première vers son ventre comme des torpilles... Pourra t-elle tout esquiver ? Comprendra t-elle comment s'en sortir ?

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 01 sept. 2024 18:29
par Sélipa
Là, droit devant toi ! Tu les aperçois en même temps que bipes ton scouter. Des silhouettes vaporeuses, aussi sombres que la nuit, que ton arrivée semble avoir intéressé.
Tu ramènes les poings en première ligne, diminuant presque imperceptiblement ta vitesse. Les griffes de ces spectres abyssaux n'ont pas le temps de se lever ; leurs propriétaires explosent à ton contact, laissant derrière toi une nuée de goudronneuses guirlandes.
Hmpf ! Plutôt fragiles.
Tu réduis ta vitesse en constant que la moitié de ces étrangetés faméliques ont survécu en s'écartant de ta trajectoire mortelle. Leurs plaintes lugubres te chatouillent les oreilles. Elles ne t'effraient pas quand bien sont-elles chargées d'une froide menace.
Tu souris en coin de façon particulièrement vicieuse.
Vous en voulez aussi ? Parfait !
Alors que tu te trouvais au point mort un instant plutôt, te voilà déjà repartie à l'assaut !
Tu feintes la première ombre ciblée. Ses ongles acérés sifflent à ton oreille droite. Elle récolte ton poing en retour, ce qui provoque sa désagrégation en une froide parodie de nuage d'encre craché par un poulpe en détresse. Si ton second adversaire n'a pas l'occasion de croiser ton regard, il a en revanche le malheur de recevoir un trait de ki entre les deux yeux ! Il explose comme feu son camarade alors que tu t'élances brutalement vers le suivant. Celui-ci étend ses membres ténébreux en ayant sans doute pour intention première de stopper ta dévastatrice progression.
Quelle mollesse !
D'un large revers, tu te débarrasses négligemment de cette piètre entrave avant de foncer sur son auteur et de le réduire en poussière. Ses sombres résidus s'accrochent à ta silhouette avant de se retirer... pour prendre à nouveau forme, à l'instar de toutes les autres aberrations que tu pensais avoir terrassées.
Hm ?!
Un coup d'œil sur ta lunette colorée t'indique que les forces en présence sont toujours aussi nombreuses.
Un phénomène clairement anormal ! Il y avait anguille sous roche, et...
Lancé à toute allure, un de tes assaillants présumé mort te loupe de peu. Il est suivi par un autre, dont une griffe t'effleure le ventre. Une ligne de feu s'y dessine, te frustrant plus qu'elle ne te fait souffrir.
Ces saloperies ont la capacité de se régénérer ?
C'est en esquivant ces horreurs avec de courtes impulsions que tu distingues les trois curiosités qui se tiennent en retrait. Plus maigres encore que les autres, elles arboraient un crâne squelettique et de petits tentacules sur les côtés de leur mâchoire inférieure. Leurs griffes étaient tendues vers les "cadavres" de leurs compagnons, comme pour les remodeler à distance...
Ok ! J'ai pigé.
Il te faut les éliminer en premier.
Tu en as encore largement le temps, tes poumons n'ayant pas été vidés de leur précieux oxygène.
Une ombre se précipite vers toi. Tu recules le ventre pour esquiver sa frappe en taille. Elle enchaîne par un autre coup qui t'effleure la joue et manque de t'arracher ta boucle d'oreille au passage.
Bâtard !
Tu la châties d'un bon coup de latte. Elle s'éparpille dans une purée de pois, obstruant ton champ de vision. Cette diversion te pousse à te décaler. Un de tes adversaires a profité de cette occasion en or pour te lacérer les omoplates. Tu grognes en laissant échapper quelques bulles ! Revancharde, tu pivotes sur toi-même et le pulvérises du dos du poing.
Je ne dois plus traîner.
Ces salauds ont déjà entamé leur sinistre résurrection.
D'une impulsion, tu te catapultes en direction des trois sorciers. Les autres monstres, plus classiques, bifurquent pour te prendre en chasse. Cela ne t'empêche pas d'entrer en collision avec le premier des nécromanciens et de lui faire sa fête ! Au contact de tes poings meurtriers, son crâne noirâtre vole en éclats. Le reste de son enveloppe, beaucoup plus léger, se dissipe proprement.
Et un salopard en moins - un !
Il est encore un peu tôt pour se réjouir : les deux autres invocateurs ont braqué leur attention sur toi.
C'est alors que tu sens confusément tes membres perdre de leur écrasante vigueur.
Qu'est-ce que... ?!
Quelque chose te rendre dedans. Une ombre qui te poursuivait, sans doute ! Une autre l'imite dans la foulée, écorchant ta peau de ses rasoirs en guise de main. La troisième te heurte au niveau des reins avec une telle force que tu te retrouves à tourner sur toi-même.

- Blrrrrgh !

Tes lèvres évacuent un peu d'oxygène.
La douleur ressentie supplante l'engourdissement dont les deux sorciers t'ont affligée, t'en libérant bien malgré leurs désirs.
Mais leurs sauvages compagnons continuent de te griffer - et ce de tous les côtés !
Les maudits... charognards !
Tu écartes brutalement les bras, expulsant ton ki par tous les pores de ta peau. La flamme de ton aura rosée explose, réduisant à néant tes plus proches assaillants non sans repousser ceux qui n'ont pas eu la place pour te blesser.
Tes yeux de prédatrice se braquent sur les deux sorciers.
Ces misérables crevures se tiennent côte-à-côte ? Tant mieux pour toi, tant pis pour eux ; ils font l'objet d'une double corde à linge et meurent décapités !
Leur décès abrupt provoque une onde de stupeur parmi les maigres survivants.
Tu te tournes vers eux, les mains luisantes d'un feu rosé.
Pour vous, la partie est finie !
Ton sourire se fait mauvais, cruel...
Puis l'écho des détonations criminelles résonne dans l'océan.

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 01 sept. 2024 18:29
par Lyli
C'est qu'elle s'en sort bien cette humaine... enfin, humaine, c'est vite dit, qui que soit cette femme impossible que ce soit une simple humaine. Mais alors qui est-elle, et surtout que veut-elle ? C'est pas comme si elle avait un compte à régler avec les créatures abyssales, non ? J'ai du mal à imaginer son plan, en fonçant comme ça tête baisser au fond de l'eau pour se les faire un par un. Bon au moins, elle me retire une épine du pied, elle se débrouille bien mieux que j'aurais pu l'espérer, je n'aurais pas besoin de me charger de tout ces monstres. Après une telle aide, il lui faudra bien une récompense adaptée, n'est-ce pas ? Sa récompense sera... de profiter de sa faiblesse après ce rude combat aquatique ! Ca a du la fatiguer, autant en profiter pour sauter sur l'occasion et la maitriser à moindre risque. Comment ça, pas fairplay ? L'océan est un monde cruel... c'est comme ça.

Lorsqu'elle a fini de se battre, je profite de sa concentration sur le combat qui vient de se produire pour me faufiler derrière elle comme une anguille, et la ceinturer. Comme je suis derrière, elle ne peut pas voir qui je suis, mais elle pourra comprendre à ma voie, que je ne suis pas l'une de ces créatures sans cervelles qu'elle vient de réduire en bouillie... dont le dernier rescapé s'échappe, dans une maigre lueur d'intelligence. Deux adversaire, ça semble trop pour lui.

- Salut joli cul ! Belle prouesse, éliminer toutes ces choses... alors que tu n'es pas une créature marine ! C'est tout à ton honneur... Mais tu dois être un peu fatiguée maintenant non ? Le combat vient de se terminer, l'adrénaline retombe... la surface est loin... Je suis prête à parier que tu as très envie de respirer...

Je dis cela, mais en réalité je ne sais pas vraiment ce qu'il en est de ses forces restantes. Je me permet de vaguement lui saisir un sein au travers de sa tenue de combat, en le pressant comme un trophée, mais pas bien longtemps pour éviter un éventuel retours.. on ne sait jamais. Pour ce qui est de respirer par contre, je suis presque certaine d'avoir raison.

- Mhh... drôle de truc, ça te sert à quoi, tu m'expliques ? ... ... Ah oui je suis bêtes, tu peux pas parler sous l'eau, toi ! Si tu me promet d'être très très sage... je te laisser remonter pour respirer, et tu pourras m'expliquer ça, ok ?

La manière dont je lui demande d'être sage, avec mon petit sourire narquois, suggère que dans le cas contraire, je la maintiendrais sous l'eau jusqu'à son point de rupture. Pour le moment, toujours avec une distance de sécurité entre elle et moi, je regarde ce dispositif dans tous les sens, essayant de comprendre ce que cette lunette coloré est capable de faire. Peut-être est-ce même le secret de sa puissance ?

Si elle décide de s'attaquer à moi, par contre, il faudra qu'elle soit prête à faire face à un adversaire plus rapide que ces choses, et habituée à se battre ! Avec la capacité de réflexion en plus.

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 01 sept. 2024 18:29
par Sélipa
Faire exploser l'adversité a toujours été jouissif ! En tout cas, de ton avis.
Lorsque la flamme de ton aura s'éteint au même titre que cette froide énergie présente dans tes doigts, il ne reste pratiquement rien de tes assaillants abyssaux... si ce n'est quelques sombres guirlandes ressemblant à des algues aux extrémités carbonisées.
Voilà ce qu'il vous en a coûté, tas d'abrutis.
Ton scouter émet un léger bip. C'est là que tu remarques que l'un de ces spectres aqueux a échappé au funeste sort de ses congénères ; dos tourné, ce diable de petit effronté est en train de se faire la malle !
Tu ne t'en tireras pas à si bon compt-
Un choc dans ton dos t'interrompe, t'arrachant un hoquet dont le son est en grande partie atténué par ton environnement marin. Quelque chose s'est enroulé autour de tes membres supérieurs, les bloquant le long de ton corps. Mâchoires serrées, tu retiens une plainte qui n'aurait que pour conséquence désastreuse de te priver d'un peu plus d'air.
Cette nouvelle pression exercée sur tes diverses plaies ne te fait pas du bien, et pour cause : un peu de sang s'en échappe...

Tandis que ta cible disparait dans les fonds marins, une voix féminine, parfaitement intelligible et donc nullement déformée par votre milieu, se moque de tes récentes prouesses. Le ton se fait narquois mais les paroles, elles, sont empreintes d'une douceur inquiétante. Un signe manifeste que ta nouvelle adversaire est très sûre d'elle et, surtout, de l'efficacité de son approche en traitre.
Comble de l'audace, ton assaillante se permet un bref attouchement au niveau de ta poitrine. Ton armure est souple, ce qui fait bien ses affaires avant même que tu songes à te débattre.
La garce ! Même mon scouter n'a pas su me prévenir à temps de sa foutue présence.
L'appareil de mesure de puissance a tout juste commencé à biper. Il n'y a aucun chiffre qui s'affiche étant donné que la cible ne se trouve pas dans le champ de la lunette...
Elle continue de s'amuser à tes dépends. Jouant sur le fait que, dans ce contexte, tu ne peux pas maintenir éternellement ta respiration. Les joues rondes, tu t'agites afin de tester la solidité de sa prise. Malheureusement, il s'avère qu'elle t'a bien verrouillée et qu'elle ne te lâchera pas de si tôt. Tu te contractes - plus de frustration qu'autre chose - avant de te tordre le cou pour décocher un regard noir à ce démon marin.
C'est à peine si tu parviens à voir ce grâcieux visage encadré par une longue tignasse rousse.
Lui promettre de me tenir tranquille ? Alors qu'elle s'est collée à moi comme une sangsue ? Cette espèce de... !
Oh, tu es beaucoup trop fière pour lui accorder obéissance.
L'arrogance des saïyens ? Ça ne pardonne jamais et ne facilite la vie à personne.
Il te reste suffisamment de ki et d'oxygène pour faire flamboyer ton aura une dernière fois ! De cette bruyante et lumineuse manifestation nait un courant marin qui, tu l'espères, affaiblira l'étau brachial de cette sirène en manque d'affection.

Pour autant, exprimer ainsi ton ressentiment t'arrache une grimace équivoque. Cela tire naturellement sur cette collection de sillons sanglants présents sur tes chairs, lègues de tes assaillants ténébreux. Après un tel combat, tu es en état de faiblesse. Rebondir sur un autre n'est clairement pas une bonne idée.
Cela ne t'empêche pas de tenter le diable, et ce pour deux raisons : la première, tu restes fidèle à ton caractère de chien ; la deuxième, tu n'as pas confiance en cette femme pernicieuse !
Il va donc falloir qu'elle te prouve ta sincérité autrement qu'avec de simples mots.

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 01 sept. 2024 18:30
par Lyli
Cette lumière qui parait d'abord anodine et douce semble sans danger, et Lyli se serait prit l'attaque de plein fouet dans une autre circonstance. Sauf qu'avec le combat précédent, la sirène a eu le temps de voir les ravages que pouvait provoquer ce... relâchement d'énergie ? Lyli, ne connaissant pas le nom de cette technique, voyait ça comme ça. Du coup, elle eu le temps et la présence d'esprit de vite relacher la pression sur sa victime, se prenant quand même une belle décharge d'énergie et l'envoyant valser. La sirène se prit même un rocher au creux des reins, à la retombée. Outch, heureusement qu'elle a a esquivé en grande partie l'attaque. La leçon est en tout cas bien clair, elle n'ira plus se coller à cette femme, dans le doute... du moins pour l'instant.

-Hey... ça fait mal... Tu aurais pu VRAIMENT me blesser... aie aie aie... j'imagine que c'ets ce que tu voulais de toute façon. Cependant...

Lyli recommence à sourir, même en gardant ses distances. Ca fait quand même un moment qu'elle est sous l'eau, cette guerrière, et même si son apnée semble très bonne, ses limites viendront. Ce simple fait est suffisant pour offrir un avantage énorme à Lyli, qui aurait fini en poisson frit en un rien de temps à al surface.

- Bon ok alors on la joue comme ça... Mais tu penses que ce sera suffisant pour t'en sortir indemne ? Tu n'es qu'un tas de muscles sans reflexion ?

Lyli recommence à faire étalage de sa vitesse hors normes sous l'eau, zigzagant et se déplassant bien trop rapidement pour une créature terrestre. Même si elle ne l'encercle plus, elle garde son avantage, et en un instant, la sirène disparait des yeux de la guerrière, pour se glisser derrière. Pour la narguer, et jouer avec ses nerfs, elle lui donne une belle tappe sur les fesses en ricannant. Aussitôt, elle reapparait devant son visage et profite de la surprise de la grosse fessée, pour lui pincer la joue. Comme pour humilier un enfant, elle secoues un peu sa tête en gardant sa joue pincée entre ses doigts, puis s'octroie même le vice de lui infliger une petite giffle, plus agaçante que douloureuse.

- Tu vois... je suis rapide, bien trop rapide pour toi. Alors va y, remonte à la surface... je penses que tu dois en avoir envie... n'est-ce pas ?

Lyli s'écarte, croisant les bras sous sa poitrine et continuant de fixer la guerrière avec cet air si sur et arrogant. Lyli aussi, peut se montrer fière.

- Mais au dernier moment, quand tu seras proche du but... je serais là pour t'empêcher de remonter... je t'attraperait la jambe pour t'enfoncer de nouveau au fond de l'océan ! Je recommencerais autant de fois qu'il ne le faut, jusquà ce que tu te tortille devant mes yeux en buvant la tasse... vilaine guerrière !

En plus d'être sadique, et de montrer clairement qu'elle n'attends que ce moment, elle essaye de lui faire comprendre à quel point son sort semble désespéré, et de voir ce qui fait le plus peur à la guerrière : perdre sa fierté contre de l'oxygène ? Ou la conserver quite à avoir les poumons en feu et s'étouffer sous les yeux de la sirène ?

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 01 sept. 2024 18:30
par Sélipa
La jolie garce s'est fait éjecter. De quoi refroidir un peu ses ardeurs ! Personne ne te touche impunément. Tu as beau t'être introduite dans ce qui semble être le territoire de cette rousse plantureuse, tu n'en restes pas moins une satanée guerrière libre comme l'air !
Air qui va inévitablement finir par te faire cruellement défaut si tu ne te dépêches pas de rejoindre la surface.
Quelle connerie ! Cette plongée n'est pas la meilleure idée que j'ai eue...
Il est un petit peu tard pour s'en plaindre.
La sirène, que tu n'as fait qu'égratigner avec le simple déploiement de ton aura, se gausse de ta condition. Elle est très bavarde, la greluche ! Et même si sa voix est agréable à l'oreille, ses propos n'en demeurent pas moins irritants. Tu brûles d'envie de la remettre à sa place ; de lui infliger une correction aussi douloureuse que destructrice, quasi identique à celle des ombres sur lesquelles tu as jeté ton dévolu.
Tu serres les poings.
C'est loin d'être gagné d'avance.
Frustrant constat qui ne fait que s'amplifier : sous l'eau, ton adversaire est rapide. Trop vive pour que tu puisses suivre l'intégralité de ses mouvements. Elle te le prouve en se glissant dans ton dos avant de t'administrer une cinglante fessée. La rage au cœur, tu te retournes dans l'espoir de mener la contre-attaque.
Tentative inutile dans la mesure où la sirène a de nouveau disparu.
Elle se fout complètement de ma gueule !
C'est peu de le dire.
L'instant d'après, la voilà déjà face à toi en train de te pincer la joue. Une gifle s'ajoute à l'outrage ! Tu balances ton poing en avant mais l'audacieuse créature sous-marine s'en écarte avec une certain désinvolture.
Fait chier !
Jouant de psychologie, elle se relance alors dans un de ses foutus monologues. A ses yeux, ton avenir semble tout tracé : tu finiras sous l'eau, torturée par le manque d'oxygène, à te débattre inutilement comme un poisson arraché à son bocal.
Putain, mais qu'elle aille au diable !
Aiguillée par ta colère, tu lui décoches un mince projectile de ki plus rapide que les autres. Beaucoup moins puissant du fait de tes réserves appauvries, il n'a pas pour objectif premier de la supprimer : plutôt de la déstabiliser le temps que tu te catapultes vers les hauteurs en désespoir de cause.
Tu ignores si tu parviendras à rejoindre la surface ainsi mais, en tout cas, ce sont là tes dernières forces qui se consument. Le feu de ton ki vacille comme jamais, rendant ta progression plus difficile que prévu.

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 01 sept. 2024 18:30
par Lyli
Hey ça fait un peu mal ! Bon pas de quoi la tuer mais cette boule d'énergie, assez rapide pour même surprendre Lyli, lui a tout de même provoqué une douleur. Sa jolie peau est irritée au niveau de l'épaule, car par manque de chance celle-i s'est écrasée à un des rares endroits n'étant pas protégé parl a peau écailleuse de la sirène. Ou alors, la guerrière l'aurait fait exprès ? Ayant jaugé que ce serait la partie la plus sensible ? Quoi qu'il en soit, cela ne change rien à sa détresse, et la voici, encore une fois, qui essaye de se propulser à la surface à toute jambe.

- Ben dis donc t'apprends vraiment rien...

Bon, concentré comme elle est sur sa natation et son envie de respirer, et avec la distance qui sépare les deux protagonistes, elle doit surement même pas faire attentuion à ce que Lyli lui dit. Enfin bon, qu'elle nage vers la surface si elle en a tellement envie, qu'elle fonce vers la lumière salvatrice qui lui permettra de respirer. La sirène ne la suit même pas, la laissant faire, la laissant prendre espoir, la laissant s'approcher au plus qu'elle ne peut. 10 mètres, 8 mètres... 5 mètres... 3...2... 1... plus que quelques centimètres, Lyli lui offre même le luxe de sortir sa main de l'eau puis... plus rien... le visage de Sélipa, bloqué, cruellement maintenu à seulement 10 centimètres de la surface. La sirène l'avait suivit.

- C'est bien plus sadique de te stopper au tout dernier moment, tu ne penses pas ? Tu te voyais déjà respirer ? Insipirer cet air frais à plein poumons... mais voila, il y a encore cette fine pellicule qu'on appelle la surface, entre toi et cet oxygène.

la " pauvre " guerrière doit certainement avoir les poumons en feu et une irrépressible envie de respirer à force de rester sous l'eau. Ca fait longtemps qu'elle retient son souffle, son apnée est déjà bien plus longue que n'importe quel humaine ! Une proie résistante sous la main est toujours drôle ! Elle la laisse se battre pour gagner ces derniers centimètres alors même que son corps n'avance plus du tout. La poigne sous-marien de Lyli est bien trop puissante...

- On arrive plus à retenir sa respiration ? Mon offre tient toujours, si tu ne veux pas commencer à te noyer. Abandonne ta fierté, supplie moi poliment, et je soulagerais ce feu sui tourmente tes pauvres poumons. Il faut apprendre à perdre, parfois.

Elle tire un bon coup sur ses bottes blanches, l'éloignant de la surface de plusieurs centimètres encore, comme pour lui signaler qu'elle peut rechuter vers le fond à tout moment.

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 01 sept. 2024 18:30
par Sélipa
Tu tends la main vers la lumière. Elle se trouve au bout de ce tunnel aquatique vers la surface. L'oxygène pullule de l'autre côté. Il te fait méchamment envie ! Oui, l'air commence à te manquer cruellement. Ta fulgurante ascension n'y est pas pour rien non plus. Un dernier effort salvateur. Une nage digne d'une professionnelle qui se solde par...

- Buglub ?!

Rien ! Ton visage n'a pas pu quitter ce bassin infernal. Au lieu de cela, ce sont de nouvelles bulles qui t'ont échappée.
La raison est toute simple : c'est cette maudite sirène qui te tient littéralement par la jambe. Cette maudite salope ne manque pas de poigne ! Contrairement à toi, elle ne s'est quasiment pas dépensée. En plus, c'est son putain d'environnement naturel. Toi ? Tu n'es qu'une étrangère sur son territoire. Une terrestre aussi musculeuse que sexy. Sa proie robuste, oui ! Son foutu jouet obscène. Un trophée à ranger dans son armoire de princesse des mers.
Ses paroles te brûlent les oreilles autant que ce manque d'oxygène dans tes poumons. Tu portes une main crispée à ta gorge douloureuse...
Tu as beau remuer les gambettes, rien n'y fait : ces quelques centimètres vers la surface restent inatteignables.
Cette chienne a les griffes solides !
Son speech résonne dans ta tête. Tu commences à voir trouble. Ou peut-être que ça a toujours été le cas, avec toute cette eau autour de vous ? Quoiqu'il en soit, la sirène a gagné. Elle le sait ; tu le sais. T'es dans la mouise ; elle en éprouve un certain plaisir. Comme toi, c'est une dominatrice. Ta souffrance l'emplit d'une profonde satisfaction.
Du coup... qu'est-ce que ça fait de se retrouver du mauvais côté de la balance, chère Sélipa ?
Tu secoues la tête, comme la dernière gesticulation d'un poisson arraché à sa petite bulle de survie. Le fait que ta tortionnaire te tire plus bas encore achève de te convaincre de sa supériorité.
Signes de reddition manifeste : tu inclines la tête, les bras mous et le regard fébrile...
Tes yeux se ferment tout doucement.
Tu te soumets jusqu'à ce qu'elle daigne approcher son visage du tien. Là, tu rouvres les yeux et tu te jettes à ses lèvres comme une perdue bien vénère !
Tu ne t'en tireras pas aussi facilement, espèce de garce !
Un ultime acte désespéré en quête d'air. Tu cherches à la siphonner, quitte à devoir l'affaiblir avec ta langue ! Tu ne sais pas ce que cela va donner avec une sirène - si cette tentative sera la bonne ? - mais c'est là ta dernière carte à jouer avant de sombrer dans les profondeurs de l'océan et l'oubli qui va avec...

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 01 sept. 2024 18:30
par Lyli
La jolie guerrière n'en peut plus et s'abandonne enfin à l'océan. Il faut dire que la sensation de se noyer n'est pas des plus agréable, entre le feu que cela procure aux poumons et la sensation de suffoquer, il faudrait vraiment être maso pour aimer cela ! Et ma sochiste, la fière guerrière ne semble pas l'être. Lyli est sur le point de la prendre en pitié et d'aller lui donner de l'air mais... voila que la guerrière prends les devant par elle même, presque agressivement. Sur la surprise, la sirène ne peut que se laisser faire, mais si elle ne se débat pas, c'est aussi parce qu'au fond, ce baiser fougueux est plaisant. La créature aquatique joint donc sa langue dans celle de la Sayan, s'enroulant comme un serpent, tournoyant dans tous les sens langoureusement. Avec le manque de concentration, sur le moment, elle ne remarque même pas que la guerrière siphonne son air, Lyli expire du coup une petiite quantité d'oxygène qui soulagera les pauvres poumons en feu de la belle guerrière. Qu'elle ne s'attende pas à totalement remplir sa jauge cependant ! La sirène n'est pas dupe, elle s'en rends compte assez vite et retient son souffle durant le reste du baiser. Résultat, la farouche jeune femme s'en siort avec un peu d'oxygène, juste un peu... de quoi la maintenir en apnée un léger moment supplémentaire.

Sans lui donner plus d'air, la sirène profite un peu du corps de la belle guerrière, Elle a beau être féroce, son corps galbé offre de belles courbes alléchantes, surtout ses cuisses, et sa poitrine. Une poitrine que Lyli saisit pendant le baiser fougueux et forcé, commençant à le lui malaxer. Cependant, aussi agréable que cela puisse être, elle n'a pas oublié l'affront, et romp le baiser, tout en ceinturant férocement la guerrière avec ses deux bras, la serant fort. Un sourire sadique anime ses lèvres.

- Et dire que j'étais sur le point de te prendre en pitié, mais tu n'as rien compris, rien apprit... Ici, c'est moi qui mène la danse, je ne t'ai pas parmis de te jeter sur mes lèvres, et de voler MON oxygène, sans mon autorisation. Dommage pour toi, cet élan d'idiotie risque de te faire mal... trés mal... accroche toi.

Oui, Lyli insiste bien sur le fait que ce soit SON oxygène, une danrée absente ici bas, auquel la guerrière n'as pas le droit. Même le simple fait de respirer appartient à la sirène, qui compte bien lui montrer quel est le prix de la désobéissance.

- Ca tuerait surement une humaine normale, ou ça lui provoquerait de sérieux dégats mais... ton corps à toi est solide, hein ? Tu devrais y survivre...

Si la Sayan ne comprends pas encore, ça va vite venir... Lyli, qui la ceinture, ricanne avant de soudainement se laisser couler de tout son poid vers le fond, et surtout, à toute vitesse. Tout ces mètres qu'elle avait remonté, redescendu en un éclair, grâce à l'aisance et la vitesse de Lyli. Un tel changement de pression, et à tel vitesse... ça ne laisse pas indifférent ! Si la guerrière n'avait pas un corps solide, Lyli ne se serait pas permis de lui infliger un tel supplice. Mais bon, c'est une bataille après tout, et face à un adverssaire résistant, il faut savoir se battre avec ses armes les plus puissantes.

Une fois au fond, Lyli ricanne encore, lui laissant digérer ce choc. en la gardant bien ceinturé contre son corps. Leurs poitrines sont collées l'une à l'autre.

Comme tu ne comprends que la manière forte, je ne serais pas satisfaite tant que tu ne suffoquera pas sous mes yeux... Tant que je ne verrais pas ton corps paniquer, et ta poitrine se soulever sous l'envie de respirer... je continuerait, même si tu me supplie... Aller ma belle, prête pour un second tours ?

Lyli ne lui laisse pas le choix, elle remonte vers la surface, en gardant la guerrière contre elle, ne lâchant pas un seul instant du regards le visage de la Sayan, voulant se délecter de chacune de ses expressions. Une fois à bon port, la créature marine compte cruellement jusqu'à 3, puis... POUF ! encore une fois, cette lourde et rapide descente, ce changement de pression écrasant. Lyli s'emporte un peu, sans s'en rendre compte... même si son clan de sirène guerrière est habitué à se battre, la créaturer marine n'est normalement pas si violente par nature. Cependant, c'est justement son instant de combattante aquatique qui prends le dessus, comme pour lui signaler qu'elle a face à elle un adverssaire puissant qu'il faut à toux prix briser ! C'est d'une importance capitale, car elle est dangereuse...

C'est avec ce sentiment ancré en elle, que Lyli recommence à monter. Un troisième tours ? Pauvre Sayan, Lyli peut déjà sentir la poitrine de la guerrière cogner contre la sienne, se cambrant de plus en plus, se contractant et se soulevant de plus en plus régulièrement. C'est ce qui arrive, lorsque l'ont retient trop longtemps son souffle et qu'on commence à avoir sérieusement envie de respirer. Le diaphragme pousse sur la cage thoracique, dans un instinct de survit, pour essayer de forcer les poumons à inspirer profondément. Un instinct contradictoire, sous l'eau. Comprenant à quel point elle a envie de respirer, Lyli se permet même de narguer la Sayan, en inspirant et expirant avec exagération juste sous ses yeux. Le message est clair : " regarde comme il est facile de respirer pour moi, rergarde tout cet oxygène qui s'envole devant toi. " Mais il est déjà l'heure de la troisième et dernière descente, sans même prévenir cette fois...

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 01 sept. 2024 18:30
par Sélipa
L'espace d'un court instant, la sirène s'est fourvoyée sur tes véritables intentions. Sa langue si bavarde s'est mêlée à la tienne avec un certain répondant. Contrairement à toi, l'agressivité n'y est pas. Un détail quelque peu déstabilisant qui, à lui seul, prouve que ce palot est à son goût. Un moment d'inattention bienvenu à partir duquel tu lui soutires une petite quantité d'oxygène qui te monte directement au cerveau. Ta vue, qui s'était quelque peu troublée, retrouve couleurs et netteté.
Un larcin pour le moins vital alors que l'autre, qui a malheureusement fini par s'en apercevoir, trouve le moyen d'en tirer plaisir. Sans s'arrêter de jouer avec ta langue fougueuse, elle cesse subitement de t'alimenter en air, allant même jusqu'à se servir de ses mains pour te tripoter les seins. Une diversion dans la mesure où les bras de la sirène finissent par te ceinturer tandis que sa bouche, qui s'est décrochée de tes lèvres chaudes, ourle un sourire mauvais.
Il semblerait bien que l'heure soit venue pour toi de payer cet affront.
Tu lui lances un regard de tueuse.
C'est toi qui m'a retenu sous la surface. Vois ça comme une taxe !
Dommage que tes yeux seuls ne puissent pas retranscrire en détail tes noires pensées.

Alors que tu essaies de briser sa prise, cette libidineuse emmerdeuse vous tire vers le fond ! Et elle ne fait pas semblant. En un temps record, elle dévore la distance que tu as eu tant de mal, dans le sens inverse, à traverser. Cette folie te file un violent tournis. Impossible de conserver les yeux ouverts. Tes oreilles, que tu ne peux pas boucher, encaissent un bruit horrible - un raclement infernal ! Contractée en un bloc, tu n'as déjà plus la force de répliquer.
La... salope.
Elle ricane. Ta tête, incroyablement lourde, te met à la torture. Une putain de migraine comme tu n'en as jamais eue ! Entre ce souci là et l'air consommé, le cauchemar a décuplé. Tu ouvres péniblement un œil dans une intention tout à fait futile. Votre proximité relève de l'épuisement. Sa poitrine est compressée contre la tienne, ce qui aurait pu être agréable en d'autres circonstances moins... asphyxiantes ?
Tes mâchoires se serrent. Tu brûles d'envie de lui montrer les dents mais c'est impossibles - pas sans accélérer ce processus de mort. D'une secousse de la tête, tu réponds à ses propos sadiques.
Et vous voilà reparties pour un autre tour ! Une ascension fulgurante qui t'arrache une splendide grimace de douleur. Durant ce supplice, tes traits se durcissent et la peau de ton visage rougit furieusement. La poitrine et la gorge incendiées, tu libères de précieuses bulles qui éclatent à la surface. La sirène ne te laisse pas jouir de ce privilège et, sans plus tarder, vous ramène dans les profondeurs.

Nouvelle descente, nouvelle violence !
Plus vive, la douleur menace de te faire tomber dans les vapes. Tu ne sais pas trop pourquoi tu t'entêtes à garder connaissance mais tu y mets du tien. A tel point que tes oreilles, durement sollicitées par la pression, crachent de petits rubans carmin avant même que tes lèvres ne fassent de même. Tu n'entends plus que les battements affolés de ton propre cœur. La douleur pulse entre tes tempes, comme si ton crâne était sur le point t'exploser à la manière d'un fruit trop mûr.
Vous remontez pour un troisième tour - vraiment gratuit, celui-là !

Le supplice se révèle beaucoup trop intense, même pour une guerrière de ton calibre. Tu décroches en chemin sans même en avoir conscience, dodelinant mollement de la tête lorsqu'il s'avère que vous êtes de retour dans les profondeurs.
On dirait bien... que c'est... foutu.
Tes yeux injectés de sang croisent les joyaux océaniques de la sadique. Cette diablesse trois fois damnée respire l'air comme elle siroterait un bon vin juste sous ton nez. Elle a gagné et ça a refait sa journée. Un sentiment que tu comprends mais qui, aujourd'hui, ne t'appartient pas.
Pour toi le rideau tombe ?
Pas grave ! sur une impulsion, vous retournez vers la surface.

Tes extrémités s'engourdissent. Tes sens, mis à mal, t'abandonnent comme le peu d'espoir qu'il te reste de garder la vie sauve. Ta bouche tordue crache ses toutes dernières bulles - minuscules - en un soupir à priori mortel...
La délivrance après la pénitence ?
Ce ne sont pas tes mains qui tiennent les cartes qui pourraient te sauver les miches.

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 09 nov. 2024 15:01
par Lyli
Sélipa semble à l'ouest, les dernières bulles quittent ses lèvres entrouvertes avec un faible gloussement, accompagné par la vive secousse de sa poitrine se cambrant vers l'avant. Ooops, ce sont là les limites de la guerrière, Lyli y a peut-être été un peu fort, son but après tout n'est pas de la tuer. Une dernière fois, elle la regarde droit dans ses yeux jonchés de vaisseau sanguin bien rouge, à cause de l'asphyxie intense. Elle ricane, et repousse sa tête en arrière d'un simple doigt, comme pour l'abandonner à son sort.

- Et ben alors vilaine guerrière ? On a fini par boire la tasse ? Comme quoi... tes poumons avaient bien une limite, ah ah ah !

Lyli la laisse continuer à suffoquer jusqu'à l'extinction complète, une telle guerrière ne va pas mourir pour " si peu " pense t-elle. Et de toute façon, elle a besoin que cette garce soit hors d'état de nuire pour la maitriser sans recevoir le retour de bâton. Ainsi donc à ce moment là, la guerrière suffocante entre deux mondes se fera juste trainée par Lyli. Ou ça ? dans un dédalle caverneux sous-marins aux multiples embranchement, de quoi s'y perdre à jamais lorsqu'on ne connait pas le chemin. Est-elle encore à moitié consciente ? Ou dans les bras de morphée ? Dans tous les cas, Sélipa semble maintenant léthargique.

Au bout de quelque minutes, Lyli perce la surface vers ce qui semble être une grande cave sous marine, avec comme seule issus de sortie, le chemin qu'elles viennent d'emprunter.

- J'espère qu'elle va revenir à elle quand même...

C'est une grande salle circulaire et caverneuse, jonchée de roches à l'intérieur desquelles une lumière bleutée émane, éclairant le sinistre lieu. Il y a également divers coffre en bois, remplit de choses utiles et moins utiles... qui sont en réalité les choses que Lyli récupèrent provenant du monde des humains. D'une des mâles, elle sort des cordes pour lier les poignets et les chevilles de la guerrière, pendant qu'elle est encore dans son petit monde, hors d'état de nuire. Toutefois avant de l'entraver complètement avec ces liens, je lui retire son plastron et les parties défensives de son armures, ne lui laissant que les vêtements basique qu'elle portait.

Dommage qu'elle soit si dangereuse... elle semble plutôt mignonne quand son visage est apaisé.

Quand la colère du combat ne semble pas ronger ses traits, la guerrière est plutôt mignonne, et Lyli arrange les quelques mèches trempés de ses cheveux noirs. J'espère qu'elle restera calme une fois réveillée, Lyli mise sur l'hypothèse qu'elle sera encore un peu étourdi, et pas tout de suite à 100% de ses capacités... le temps de lui faire comprendre que de toute façon, elle ne quittera pas ces lieux aisément toute seule... voir pas du tout ! Pour essayer de la réveiller, la sirène envoies de petites gilettes à la sayan, en s'octroyant l'affront de s'assoir sur son bas ventre.

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 31 déc. 2024 12:12
par Sélipa
Les ténèbres finissent par se résorber. Tu en émerges dans un sursaut ! Elan coupé par une charge installée sur ton bas-ventre. Poids de chair, de sang et d'écailles que tu reconnais comme étant la sirène qui t'a faire boire la tasse. En parlant de tasse, l'eau qui s'est infiltrée dans tes poumons ne tarde pas à remonter, jaillissant autant par tes narines que par ta gorge encombrée. Tu expectores brutalement le tout, contractant tant bien que mal tes abdominaux couverts de ton simple maillot rose.
Ici : largement de quoi bousiller le portait de fille mignonne que ta prédatrice s'est fait de toi alors que tu dormais d'un sommeil sans rêve.
Avec ceci, tu n'as pas encore l'occasion de grogner à la face de cette insupportable rousse qui t'a transportée Dieu sait où. Dieu auquel tu ne crois pas, au passage. Tes yeux rougis par de cuisants efforts scrutent vaguement le décor qui vous entoure. En bref, une caverne plus ou moins aménagée.
L'antre de cette saleté de sorcière des mers ?
Selon toute vraisemblance...
Tes poignets et tes chevilles sont entravées par des liens solides. Des cordages que tu n'aurais eu aucun mal à détruire en d'autres circonstances ; malheureusement, saïyajin ou pas, tu restes un être vivant et, plus encore, une femme ayant frôlé la mort par noyade.
Il va donc te falloir un certain temps pour t'en remettre.
Incommodée par les gouttelettes que la sirène s'amuse à te lancer au visage, tu secoues mollement la tête.

- Arrête tout... de suite tes... conneries...

Ta voix est faible - enrouée même. Logique après avoir autant "picolé" !
C'est tout juste si tu parviens à serrer les mâchoires pour lui paraître plus agressive. Heureusement que les muscles de ton front sont encore parfaitement opérationnels. Tes sourcils se froncent donc avec une aisance proprement remarquable.

- ...Pourquoi ?

Ah, ça y est ! Tu parviens à la fusiller du regard.
Son petit jeu n'est pas à ton goût. Mais peut-être qu'au fond, c'est justement ce constat qui l'excite ?
Cette femme est peut-être bien aussi mauvaise que tu l'es sur la terre ferme.
Patience ! je jure de te faire payer cet affront.
Et ses projets alors ? Quels sont-ils, te concernant ?
La sirène ne t'a pas à moitié déshabillée sans arrière-pensée.

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 04 janv. 2025 11:52
par Lyli
Et voila, elle recommence... Cette idiote aussi impuissante qu'une poupée, depuis sa noyade, recommence à jacter. La sirène soupire, c'était vraiment plus agréable quand elle dormait. Pour la faire taire, sa seule réponse et de se lever et de la tirer par la queue. Tiens, elle se demande vraiment si cette queue est sensible comme chez les hybrides qu'elle a côtoyé, ou si il s'agit d'une zone érogène ? En tout cas, elle n'as pas l'air bien contente quand la sirène tire dessus pour la trainer contre le sol. Ou la vilaine Sayan est-elle trainée ? Au bord de l'eau, eau dans laquelle la tête de la Sayan plonge à nouveau, pendant que Lyli s'assoit sur ses fesses. Elle tire sur l'arrière de son crâne, empoignant ses cheveux cours, pour sortir sa tête de la flotte.

- Bon comme t'es un peu énervée je vais te rafraichir moi, peut-être qu'on pourra enfin parler calmement, ensuite.

Et encore une fois, plouf. Lyli lui remet la tête sous l'eau, la lui maintenant, et claquant à plusieurs reprises son cul bien musclé avec son autre main. Faisant raisonner dans toute la caverne les lourdes gifle contre son haut rose et moulant. Comme seul son visage est maintenu sous l'eau, ce n'est pas le cas de ses oreilles, lui permettant d'entendre la sirène dicter les règles.

- Franchement, t'étais bien plus mignonne quand tu dormais. Bref, tu vois cette eau ? C'est le seul chemin de retour, et sans compter la distance énorme qui nous sépare de la surface, je te souhaite bon courage pour sortir de ce dédale de grotte aquatique. Si tu veux tenter ta chance et fuir, va y, mais je peux te garantir que tu finira noyée bien avant de trouver ton chemin... il est même possible que tu ne le trouve jamais en tournant des heures ah ah !!

Bloup bloup semblent être les seules réponses concrète que Lyli obtient, et d'avantage lorsqu'elle tire sa longue queue de singe en arrière, pour voir les réaction sur son corp. Lorsque la sayan s'agite trop, et qu'elle semble à cours de souffle après un bon moment, Lyli lui sort la tête de l'eau, et la traine de nouveau vers l'arrière, loin de cette cavité inondée. La sayan aura le droit au pied de la sirène logée droit dans son bas ventre, fermement appuyée, mais sans chercher à l'écraser, voulant simplement garder une posture dominatrice vis à vis d'elle.

- Bon, maintenant que tu as compris, enfin j'espère ! Tu vas commencer par me dire ce que tu es, et ce que tu foutais ici. C'est que tu n'as pas l'air très commode, je me méfies un peu. J'aimerais bien te détacher moi, tu vois, si tu me promet de rester mignonne ! Mais j'ai besoin d'en savoir un peu plus. Voila " pourquoi ". D'ailleurs, c'est quoi cette queue bizarre ? T'es une hybride ?

Lyli fait remonter lentement son pied vers la poitrine de la belle sayan, avec un sourire aux lèvres.

- Et pour tout te dire, les femmes fortes comme toi, qui ont du caractère... ça a le don de m'intéresser.

Alors, va t-elle coopérer pour gagner un peu plus de liberté ? Ou va t-elle choisir le chemin de la fierté, quitte à s'en prendre plein la tronche ?

Re: Quand l'eau et l'air laissent place au calvaire ! [PV Lyli]

Posté : 16 janv. 2025 18:34
par Sélipa
- Gggh ?!!

En essayant de trouver une prise au sol, tu serres les dents. Contrariée par tes propos, ta geôlière te traîne en te tirant par la queue. Dans ton état de faiblesse, cela revient à manipuler le point faible inhérent à tout débutant Saïyajin ; règle à laquelle tu n'échappes pas aujourd'hui même !
C'est donc totalement impuissante que tu te retrouves, à nouveau, la tête plongée dans l'eau salée.

- Blrglrrhhhlghh !!!!

Une insulte, très certainement. Voire plusieurs à la chaîne ? Ce n'est pas une fois de retour à la surface qu'elles franchissent le palier de tes lèvres, non ; l'air, trop limité, reste plus précieux que ce fiel destiné à blesser celle qui, de par son comportement, s'amuse à t'offenser.
La sirène en profite également pour te flageller les fesses. Tu découvres qu'en plus d'avoir de la poigne, cette maudite sorcière à la main aussi légère que la lanière d'un fouet. Ton cul rougit donc sous ses assauts - presque autant que ton visage, qui n'a plus rien de mignon.
Je vais te... !!!
Que dalle. La priorité ne revient guère à tes poings serrés. L'appel à ton ki demeure totalement muet. Et, à en juger par les dires de ta tortionnaire, mieux vaut ne pas trop jouer avec au risque de faire s'effondrer toute la caverne.
Remarque : cette sympathique noyade n'en serait que plus rapide, non ?

- Oubloughrlgourgglh !!!

Tais-toi et bois ?
Plus la sorcière des mers s'amuse à tirer sur ta queue, plus ça te crispe ! Les bulles, toujours plus nombreuses, éclatent à la surface du bassin. Ce n'est qu'une fois qu'elle t'a bien affaiblie que la sirène te ramène à l'écart, sur la pierre froide et trempée. Son pied droit te cloue au sol. Elle te domine, c'est une évidence. Sélipa l'Insoumise, qui se retrouve avec le cul aussi rouge que celui d'un babouin, en plus de ne plus pouvoir faire montre de la moindre agressivité...
Quelle ironie !
La sirène, donc, étant donné sa position de force, se permet de te poser la question.
Qui es-tu ? Que fais-tu ici ? D'où viens-tu ? Es-tu une hybride ?
Tu prends le temps de faire un plein d'oxygène avant de lui dire "bien gentiment" :

- Va donc te chier dessus en enfer, saleté de poiscaille.

Ah, c'est fin, ça ! Très fin...
Ton sourire en coin te confère un air quelque peu sadique.

- Commence par t'intéresser à ton propre cul, grognasse, articules-tu avec un calme trompeur, parce que lorsque je serai en pleine possession de mes moyens, je me ferai une joie de te le dépiauter écaille par écaille avant de le défoncer jusqu'à ce que tu ne puisses plus jamais t'asseoir sur quiconque.

Terriblement fin, oui...
On dirait bien que tu n'as pas intégré la leçon.
On le recommence, ce petit concours d'apnée ? Ou bien on passe directement au niveau supérieur ?
Que la diablesse des océans se fasse plaisir : sa suprématie n'est jamais que provisoire.