La famille Uzaki vous accueille chaleureusement [Valiobservées !]
Posté : 02 sept. 2024 13:20
Nom : Uzaki
Prénoms : Tsuki (mère), Hana (ainée) et Yanagi (cadette)
Age : 39, 18 et 16
Origine : Terre
Histoire :
Dans la petite ville de Yoake, source de bien des rumeurs et d'étrangeté, vivait une petite famille paisible. De simples êtres humains, sans pouvoir, sans richesse, une simple famille comme des milliers dans cette même ville. Le père de famille, Seto, était le plus souvent absent, son travail ne lui laissait que peu d'occasion de pleinement profiter de sa famille qui pouvait, elles, vivre en tous confort grâce à lui, sans craindre quoi que ce soit – financièrement parlant. Tsuki, la mère de famille, est simplement une mère de famille, vivant son petit quotidien en s'occupant de ses grandes filles. Enfin grande... Dans la famille Uzaki, la taille n'était pas vraiment au rendez-vous. En dehors du père de famille, les filles peinaient à atteindre le mètre soixante ! D'accord, les Japonaises ne sont pas très grandes en général, mais quand même ! Cependant, un détail saute aux yeux, car tout chez les femmes de la famille Uzaki n'est pas si petit. Leur poitrine. La mère de famille, proche de la quarantaine affichait une superbe poitrine bien ronde et bien ferme encore pour son âge. Pur fruit du fantasme de la Milf bien portante, c'était le moins que l'on puisse dire !
Ensuite, il y avait Hana, avec sa coupe de garçon manqué, elle était du genre très taquine, ne loupant pas une occasion de se moquer des autres, en restant gentil et à condition d'être un minimum proche. La demoiselle qui avait dix-huit ans était très proche de sa mère sur le plan physique, en dehors de la coupe et forcément, de sa jeunesse, elles se ressemblaient beaucoup. Même au niveau de la poitrine, Maman avait l'expérience et l'âge ce qui la rendait un peu plus grosse que celui de sa fille ainée, mais elle n'avait pas à en rougir, elle était très bien portante de ce niveau-là. Et enfin pour conclure dans la famille, la petite dernière qui n'avait que deux ans de différences avec sa grande sœur, Yanagi. La forte poitrine est apparemment le point commun des femmes dans cette famille, très bien lotie pour ses seize ans, la cadette était un peu plus timide que sa grande sœur, sans être introvertie, elle était plus discrète et, même sa coupe de cheveux semblait indiqué qu'elle ne voulait pas se faire remarqué. Plus long sur le devant, ça camouflait ses yeux. Si cette petite famille est très normale – au-delà du développement mammaire – leur histoire était quand même pas si banale. Du moins, en dehors de Yoake. Car les parents Uzaki se connaissaient depuis très longtemps, ils ont pratiquement grandi ensemble, car tous les deux servaient la même personne. Mélinda Warren.
Au vingt-et-unième siècle où l'on dit l'esclavage aboli pratiquement partout, ça ne veux pas dire que c'est le cas sur toute la planète. Même dans un pays civilisé comme le Japon, certains endroits avaient encore ce genre de pratique. Cependant, on était loin de l'image des gens enfermées dans des cages nourie à grands coup de fouet, ils étaient très bien traités. Aux ordres de leur maîtresse, les jeunes gens s'étaient rapprochées, aimer, et épousé avec le consentement de leur maîtresse. La petite vie de famille idéal où, là aussi, un détail n'était pas si banal que ça. La belle poitrine de Tsuki était certes naturelle, mais c'était un secret de famille qu'elle possédait pour que ce soit si ferme, si moelleux et si bien entretenue avec l'âge... Donner le sein. Cela semble idiot mais dés la naissance d'Hana, elle la nourrissait chaque jour au sein, même après avoir dépassé l'âge autorisé. Sa mère l'avait éduqué ainsi, et sa grand-mère et ainsi de suite ! Tous les jours, elle donnait le sein à sa fille, à ses filles par la suite et, hors jours spéciaux où elle ne pouvait pas faire avec, elle leur donnait le sein.
Même les filles ne trouvaient ça en rien bizarre, elles aimaient le goût, c'était comme manger la nourriture que leur préparait leur mère après tout donc, en quoi ce serait un drame ? Certes, elles n'en parlaient pas simplement à l'école ou autre, mais chez leur maîtresse Mélinda, personne ne les regardait bizarrement ! On les enviait, à la limite, mais c'est tout. Car oui, même mariée, ils restaient au service de leur maîtresse, Mélinda fut une seconde maman pour les deux sœurs et toute la famille s'amusait bien chez leur maîtresse. Elles ont donné leur virginité à Mélinda, comme leur mère quand elle fut plus jeune. C'est simple, Mélinda Warren faisait partie de la famille, c'était comme une tante avec qui elles pouvaient s'amuser normalement à des jeux-vidéo ou des trucs normaux mais aussi coucher avec dans la joie et la bonne humeur. Il n'y avait aucune tension dans la famille, même si le mari de Tsuki était le plus souvent absent à cause de son travail, la famille aimait inviter des gens à passer la nuit chez elles. De beaux hommes, de belles femmes, des camarades de classe, pour sûr que personne n'est sortie de chez les Uzaki en étant de mauvaise humeur. Il n'y avait que lorsque leur père était à la maison ou là, les invités étaient rares, car toute la famille profitait de moment en familles ! Il n'était en rien jaloux, il profitait juste que trop peu d'elles, et inversement. Bref, dans la famille Uzaki, ce n'était que de l'amour dans sa forme la plus simple.
Prénoms : Tsuki (mère), Hana (ainée) et Yanagi (cadette)
Age : 39, 18 et 16
Origine : Terre
Histoire :
Dans la petite ville de Yoake, source de bien des rumeurs et d'étrangeté, vivait une petite famille paisible. De simples êtres humains, sans pouvoir, sans richesse, une simple famille comme des milliers dans cette même ville. Le père de famille, Seto, était le plus souvent absent, son travail ne lui laissait que peu d'occasion de pleinement profiter de sa famille qui pouvait, elles, vivre en tous confort grâce à lui, sans craindre quoi que ce soit – financièrement parlant. Tsuki, la mère de famille, est simplement une mère de famille, vivant son petit quotidien en s'occupant de ses grandes filles. Enfin grande... Dans la famille Uzaki, la taille n'était pas vraiment au rendez-vous. En dehors du père de famille, les filles peinaient à atteindre le mètre soixante ! D'accord, les Japonaises ne sont pas très grandes en général, mais quand même ! Cependant, un détail saute aux yeux, car tout chez les femmes de la famille Uzaki n'est pas si petit. Leur poitrine. La mère de famille, proche de la quarantaine affichait une superbe poitrine bien ronde et bien ferme encore pour son âge. Pur fruit du fantasme de la Milf bien portante, c'était le moins que l'on puisse dire !
Ensuite, il y avait Hana, avec sa coupe de garçon manqué, elle était du genre très taquine, ne loupant pas une occasion de se moquer des autres, en restant gentil et à condition d'être un minimum proche. La demoiselle qui avait dix-huit ans était très proche de sa mère sur le plan physique, en dehors de la coupe et forcément, de sa jeunesse, elles se ressemblaient beaucoup. Même au niveau de la poitrine, Maman avait l'expérience et l'âge ce qui la rendait un peu plus grosse que celui de sa fille ainée, mais elle n'avait pas à en rougir, elle était très bien portante de ce niveau-là. Et enfin pour conclure dans la famille, la petite dernière qui n'avait que deux ans de différences avec sa grande sœur, Yanagi. La forte poitrine est apparemment le point commun des femmes dans cette famille, très bien lotie pour ses seize ans, la cadette était un peu plus timide que sa grande sœur, sans être introvertie, elle était plus discrète et, même sa coupe de cheveux semblait indiqué qu'elle ne voulait pas se faire remarqué. Plus long sur le devant, ça camouflait ses yeux. Si cette petite famille est très normale – au-delà du développement mammaire – leur histoire était quand même pas si banale. Du moins, en dehors de Yoake. Car les parents Uzaki se connaissaient depuis très longtemps, ils ont pratiquement grandi ensemble, car tous les deux servaient la même personne. Mélinda Warren.
Au vingt-et-unième siècle où l'on dit l'esclavage aboli pratiquement partout, ça ne veux pas dire que c'est le cas sur toute la planète. Même dans un pays civilisé comme le Japon, certains endroits avaient encore ce genre de pratique. Cependant, on était loin de l'image des gens enfermées dans des cages nourie à grands coup de fouet, ils étaient très bien traités. Aux ordres de leur maîtresse, les jeunes gens s'étaient rapprochées, aimer, et épousé avec le consentement de leur maîtresse. La petite vie de famille idéal où, là aussi, un détail n'était pas si banal que ça. La belle poitrine de Tsuki était certes naturelle, mais c'était un secret de famille qu'elle possédait pour que ce soit si ferme, si moelleux et si bien entretenue avec l'âge... Donner le sein. Cela semble idiot mais dés la naissance d'Hana, elle la nourrissait chaque jour au sein, même après avoir dépassé l'âge autorisé. Sa mère l'avait éduqué ainsi, et sa grand-mère et ainsi de suite ! Tous les jours, elle donnait le sein à sa fille, à ses filles par la suite et, hors jours spéciaux où elle ne pouvait pas faire avec, elle leur donnait le sein.
Même les filles ne trouvaient ça en rien bizarre, elles aimaient le goût, c'était comme manger la nourriture que leur préparait leur mère après tout donc, en quoi ce serait un drame ? Certes, elles n'en parlaient pas simplement à l'école ou autre, mais chez leur maîtresse Mélinda, personne ne les regardait bizarrement ! On les enviait, à la limite, mais c'est tout. Car oui, même mariée, ils restaient au service de leur maîtresse, Mélinda fut une seconde maman pour les deux sœurs et toute la famille s'amusait bien chez leur maîtresse. Elles ont donné leur virginité à Mélinda, comme leur mère quand elle fut plus jeune. C'est simple, Mélinda Warren faisait partie de la famille, c'était comme une tante avec qui elles pouvaient s'amuser normalement à des jeux-vidéo ou des trucs normaux mais aussi coucher avec dans la joie et la bonne humeur. Il n'y avait aucune tension dans la famille, même si le mari de Tsuki était le plus souvent absent à cause de son travail, la famille aimait inviter des gens à passer la nuit chez elles. De beaux hommes, de belles femmes, des camarades de classe, pour sûr que personne n'est sortie de chez les Uzaki en étant de mauvaise humeur. Il n'y avait que lorsque leur père était à la maison ou là, les invités étaient rares, car toute la famille profitait de moment en familles ! Il n'était en rien jaloux, il profitait juste que trop peu d'elles, et inversement. Bref, dans la famille Uzaki, ce n'était que de l'amour dans sa forme la plus simple.
