Patricia Thompson, Cosplayeuse de profession [Valiobservée !]
Posté : 02 sept. 2024 13:28
Nom : Thompson
Prénom : Patricia (surnommé Pattie)
Âge : 26 ans
Monde d'origine : Terre
Expérience : variée
Histoire:
Patricia Thompson, plus connue sous le surnom de Pattie, est une Japonaise dont ses parents, Américains, sont venue s'installer au Japon au début des années quatre-vingt-dix pour voir naître leur fille quelques années plus tard. Malgré sa peau bronzée, malgré ses yeux non bridés, elle était bel et bien aussi japonaise que la petite Sakura vivant au coin de la rue. Forcément, vu cette « particularité », elle attirait bien des regards à l'école, parfois par jalousie, parfois par admiration, car la petite demoiselle avait toujours été ravissante, très mignonne. Grandissant avec les filles de son quartier, elle avait eu cette chance en quelque sorte d'avoir ce physique loin des standards nippons. Car une fois au collège, avec ses formes naissantes, son teint de peau plus mate, ses cheveux, elle était le mannequin parfait des clubs otakus fan de cosplay des filles du collège. Certes, au début, elle faisait cela pour s'amuser et rendre service, sans vraiment s'intéresser plus que ça aux mangas ou autres, mais petit à petit, elle se laissait de plus en plus prêter au jeu. Idem au lycée où ses formes étaient plus développées, la mignonne petite fille était devenue une lycéenne très sexy. Elle avait même vu combien les cosplays professionnels pouvaient rapporter gros en séance photo. Rien qu'au ComiFest, cet événement ayant lieu deux fois par an – en été et en hiver – organisaient le plus gros lieu de vente de dojinshi, mais aussi de cosplay, amateur ou non. Certes, selon l'emplacement choisi, il ne fallait pas avoir peur des appareils photo si ras du sol, car oui, c'était autorisé, légal, mais il fallait savoir où mettre les pieds et pas gambader n'importe où. Puis, évidemment, ce genre de choses n'était pas gratuit, heureusement. La passion, c'est gentil, mais ça ne remplit pas l'estomac, ça ne comble pas le prix du tissu, de la fabrication, ect...
D'abord fait par ses amies du lycée, elle a dû apprendre à faire cela seule, par passion et moins chargée ses amies de travail. Patricia s'amusait beaucoup de sa passion, attirant autant les bons comme les mauvais regards, des garçons comme des filles, mais elle et ses amies ne craignaient rien, dans son cercle d'amis, elle avait deux amis, Ryota et Tessou Tsuzuri, une amie d'enfance avec qui elle a grandi dans le même quartier. La jeune femme visait avec son petit ami l'école de police donc, elle avait des airs de conseil de disciple, sans vouloir non plus faire leur travail à la place. De son côté, Patricia vivait de sa passion, certes, cela n'avait rien de prestigieux de prime abord, mais quand on côtoie le cercle professionnel de cette passion, ça pouvait payer gros ! Entre les invitations aux festivals, certaines marques voulant se payer sa frimousse pour utiliser certains gadgets, accessoire ou tissu pour la fabrication de cosplay ou autres, elle vivait bien. Elle ne roulait pas sur l'or, mais elle n'avait pas à s'en plaindre.
Pattie menait une belle vie, vivant de sa passion, cela impliquait de se maintenir en forme, certes, sa beauté était aussi son outil de travail après tout et à notre époque, il était assez simple de tirer son épingle du jeu comme ça. Non pas qu'elle allait se trémousser le derrière sur le genre de site fréquenter par des millions de jeunes gens encore mineurs, mais elle vendait ses photographies, plus ou moins explicites sur des sites spécialisés, cela pouvait être érotique, sans trop en montrer non plus, elle avait une certaine dignité. Les cosplayeuses étaient libre d'aller plus loin, mais il ne fallait pas non plus dénaturer le personnage. Si elle incarnait un personnage de jeu vidéo, pas de raison de se mettre nue, si en revanche elle imitait un personnage issu d'un eroge – un jeu érotique – ou un hentai, oui, être nue serait respecter le personnage. Elle voulait bien « vendre » son corps en quelque sorte, sans ne pas respecter le personnage qu'elle cosplayais, elle avait sa fierté d'otaku, le respect du personnage qu'elle incarnait. Avec les années, Pattie était devenue une certaine star sur le net, et même aux conventions, mais elle n'a jamais chercher à vivre loin de ses racines à Yoake, qu'elle avait regagné après avoir vécu quelques années loin de sa ville natale. Avec les conventions, les séances photos, tout ça, c'était compliqué de trop s'éloigner de Tokyo, mais elle avait besoin de se ressourcer là où était ses racines. Certes, elle avait tendance à se cacher en quelque sorte quand elle sortait dans la rue pour éviter d'attirer trop les regards, mais c'est ce qu'implique aussi la notoriété à un certain degrés, surtout quand elle fréquentait des quartiers plus côtoyer des jeunes personnes susceptibles de la reconnaître. Oui, ce serait étonnant qu'une personne âgée la reconnaisse. Pas impossible, mais étonnant. L'occasion pour elle de retrouver ses amis d'enfance par exemple.
Prénom : Patricia (surnommé Pattie)
Âge : 26 ans
Monde d'origine : Terre
Expérience : variée
Histoire:
Patricia Thompson, plus connue sous le surnom de Pattie, est une Japonaise dont ses parents, Américains, sont venue s'installer au Japon au début des années quatre-vingt-dix pour voir naître leur fille quelques années plus tard. Malgré sa peau bronzée, malgré ses yeux non bridés, elle était bel et bien aussi japonaise que la petite Sakura vivant au coin de la rue. Forcément, vu cette « particularité », elle attirait bien des regards à l'école, parfois par jalousie, parfois par admiration, car la petite demoiselle avait toujours été ravissante, très mignonne. Grandissant avec les filles de son quartier, elle avait eu cette chance en quelque sorte d'avoir ce physique loin des standards nippons. Car une fois au collège, avec ses formes naissantes, son teint de peau plus mate, ses cheveux, elle était le mannequin parfait des clubs otakus fan de cosplay des filles du collège. Certes, au début, elle faisait cela pour s'amuser et rendre service, sans vraiment s'intéresser plus que ça aux mangas ou autres, mais petit à petit, elle se laissait de plus en plus prêter au jeu. Idem au lycée où ses formes étaient plus développées, la mignonne petite fille était devenue une lycéenne très sexy. Elle avait même vu combien les cosplays professionnels pouvaient rapporter gros en séance photo. Rien qu'au ComiFest, cet événement ayant lieu deux fois par an – en été et en hiver – organisaient le plus gros lieu de vente de dojinshi, mais aussi de cosplay, amateur ou non. Certes, selon l'emplacement choisi, il ne fallait pas avoir peur des appareils photo si ras du sol, car oui, c'était autorisé, légal, mais il fallait savoir où mettre les pieds et pas gambader n'importe où. Puis, évidemment, ce genre de choses n'était pas gratuit, heureusement. La passion, c'est gentil, mais ça ne remplit pas l'estomac, ça ne comble pas le prix du tissu, de la fabrication, ect...
D'abord fait par ses amies du lycée, elle a dû apprendre à faire cela seule, par passion et moins chargée ses amies de travail. Patricia s'amusait beaucoup de sa passion, attirant autant les bons comme les mauvais regards, des garçons comme des filles, mais elle et ses amies ne craignaient rien, dans son cercle d'amis, elle avait deux amis, Ryota et Tessou Tsuzuri, une amie d'enfance avec qui elle a grandi dans le même quartier. La jeune femme visait avec son petit ami l'école de police donc, elle avait des airs de conseil de disciple, sans vouloir non plus faire leur travail à la place. De son côté, Patricia vivait de sa passion, certes, cela n'avait rien de prestigieux de prime abord, mais quand on côtoie le cercle professionnel de cette passion, ça pouvait payer gros ! Entre les invitations aux festivals, certaines marques voulant se payer sa frimousse pour utiliser certains gadgets, accessoire ou tissu pour la fabrication de cosplay ou autres, elle vivait bien. Elle ne roulait pas sur l'or, mais elle n'avait pas à s'en plaindre.
Pattie menait une belle vie, vivant de sa passion, cela impliquait de se maintenir en forme, certes, sa beauté était aussi son outil de travail après tout et à notre époque, il était assez simple de tirer son épingle du jeu comme ça. Non pas qu'elle allait se trémousser le derrière sur le genre de site fréquenter par des millions de jeunes gens encore mineurs, mais elle vendait ses photographies, plus ou moins explicites sur des sites spécialisés, cela pouvait être érotique, sans trop en montrer non plus, elle avait une certaine dignité. Les cosplayeuses étaient libre d'aller plus loin, mais il ne fallait pas non plus dénaturer le personnage. Si elle incarnait un personnage de jeu vidéo, pas de raison de se mettre nue, si en revanche elle imitait un personnage issu d'un eroge – un jeu érotique – ou un hentai, oui, être nue serait respecter le personnage. Elle voulait bien « vendre » son corps en quelque sorte, sans ne pas respecter le personnage qu'elle cosplayais, elle avait sa fierté d'otaku, le respect du personnage qu'elle incarnait. Avec les années, Pattie était devenue une certaine star sur le net, et même aux conventions, mais elle n'a jamais chercher à vivre loin de ses racines à Yoake, qu'elle avait regagné après avoir vécu quelques années loin de sa ville natale. Avec les conventions, les séances photos, tout ça, c'était compliqué de trop s'éloigner de Tokyo, mais elle avait besoin de se ressourcer là où était ses racines. Certes, elle avait tendance à se cacher en quelque sorte quand elle sortait dans la rue pour éviter d'attirer trop les regards, mais c'est ce qu'implique aussi la notoriété à un certain degrés, surtout quand elle fréquentait des quartiers plus côtoyer des jeunes personnes susceptibles de la reconnaître. Oui, ce serait étonnant qu'une personne âgée la reconnaisse. Pas impossible, mais étonnant. L'occasion pour elle de retrouver ses amis d'enfance par exemple.