The Multiversity

Le grand jour était enfin arrivé, l'anniversaire de Yanagi, la cadette de la famille Uzaki. Elle allait avoir seize ans et, si on ne lui avait jamais rien caché jusqu'ici, on l'avait toujours un minimum éloigné de certaines choses, certaines pratique. Étant adolescente, sa mère, sa sœur, elles lui avaient expliqué certaines choses concernant le corps d'une femme, des différents besoins et la façon dont on pouvait se satisfaire, mais jamais elles ne lui avaient pris sa virginité. Non, ça, c'était réservé à leur maîtresse. Elle avait joué avec elles, elle s'était satisfaite de bien des façons, mais aucun de ses trous n'avaient été forcé. Caressé, léché, mais pas forcé. Alors en cette grande occasion, elle allait enfin devenir une femme en compagnie de leur maîtresse, comme ce fut le cas avec sa mère, sa grande sœur, et même son père avant elle. Offrir sa virginité à Mélinda, c'était une tradition dans la famille ! Quand elles auront des enfants, eux aussi iront s'offrir à Mélinda une fois leur seizième anniversaire atteint ? Très certainement. Mais elles en étaient encore bien loin, au minimum, dans seize années donc, c'est pas pour demain. Leur père était absent, comme souvent, il reviendra bien avec une surprise pour se faire pardonner, mais que voulez-vous, il avait un poste avec des responsabilités, il ne pouvait pas s’éclipser comme ça pour si peu. Il n'était même pas au Japon actuellement, c'est pour dire !

Yanagi n'avait pas peur, elle avait reçu toutes les informations qu'elle voulait et à dire vrai, elle était impatiente d'arrivée à ce soir ! Elle allait devenir une femme et elle allait pouvoir profiter pleinement des jeux, que ce soit avec Maîtresse ou en famille. Pouvoir participer en se refusant certaines choses, c'était un peu frustrant donc là, elle ferra enfin ses premiers pas dans la cours des grands ! Étant donné que c'était son anniversaire en plus, elle avait droit à une sacrée fête chez sa maîtresse ce soir, en famille, bien entendue, mais outre les Uzaki et Mélinda, il y aura sûrement tout un tas de filles de Mélinda, en général, c'était très animé les fêtes d'anniversaire. Cela ne se terminait pas forcément en orgie, mais en général quand elles le fêtaient là-bas, peu importe de qui il s'agissait, elles ne manquaient de rien et sexe ou non, ça restait une soirée très agréable. Sans partir à l'excès, elle était bien habillée ce soir, sans avoir de robe de princesse ou de tenue vulgaire, elle avait juste enfilé quelques petites dessous sur les conseils de sa mère et de sa sœur sur les goûts de leur Maîtresse. C'était un honneur de lui offrir sa virginité, elle devait donc en faire autant pour qu'elle aussi trouve son bonheur, outre sa première fois.

Du côté du manoir Warren, la Main s'occupait de tout, comme à chaque fois pour aider leur maîtresse, des plats en passant par la décoration ou les personnes présentes ou non, tout était passé au peigne fin. Mélinda pouvait y ajouter des ordres si besoin, mais sauf en cas de changement de dernières minutes, tout était selon ses instructions. Les Uzaki étaient esclaves de leur maîtresse depuis bien avant leur naissance alors elles devaient rendre cela parfait pour elles, surtout Yanagi. Nino aidait pour les plats, Miku au dessert, Istuki dirigeait le tout, Ichika et Yotsuba aidant à la décoration essentiellement. Même dans le bureau de Mélinda, Harmony restait près d'elle comme toujours, sa maid personnelle, servant le thé de sa maîtresse en attendant que la famille arrive. Fête ou non, Mélinda avait du travail de son côté même si généralement, quand elle était sur Terre, son travail n'était que minime comparé à quand elle occupait le harem. Ici, les Nakano géraient pratiquement tout, sa maîtresse n'avait que ses soucis de lycéenne pour ainsi dire donc, quasiment rien. Quand vint enfin retentir la sonnette bien plus tard, il était temps ! Elles avaient un anniversaire à fêter !

C’était un jour important, alors Mélinda se préparait. Aujourd’hui, la cadette des Uzaki, la petite Yanagi-chan, allait devenir une femme à part entière ! C’était son seizième anniversaire, et cela signifiait qu’elle pouvait faire l’amour avec sa Maîtresse. Mélinda connaissait Yanagi-chan depuis qu’elle était toute petite, elle l’avait tenu dans ses bras alors qu’elle venait de sortir du ventre de sa mère. Les Uzaki avaient beau vivre hors du manoir, elles n’en restaient pas moins les servantes dévouées de Mélinda, ses esclaves. Mélinda avait commencé par séduire la mère de maison, Tsuki, quand elle était lycéenne. Son mari avait également été séduit par Mélinda. Deux esclaves qui s’étaient unis, et, quand Tsuki avait commencé à avoir une fille, Mélinda avait choisi de la laisser vivre hors du manoir. Tsuki avait fondé une vie de famille, mais toujours avec pour objectif de servir sa Maîtresse. Elle allait donc fréquemment au manoir.

Hana, sa première fille, avait été dépucelée par Mélinda lors de son seizième anniversaire, dans le cadre d’une somptueuse orgie où elle avait juré de servir sa Maîtresse légitime. C’était désormais au tour de Yanagi-chan. Insoupçonnables, les Uzaki étaient de superbes esclaves, et il tardait à Mélinda qu’elle lui apporte de magnifiques petits-amis.

Ce soir, elle se préparait donc. La virginité de Yanagi-chan était quelque chose de précieux, et, quand on lui annonça que les Uzaki étaient arrivées, un frisson de plaisir traversa le corps de Mélinda. La vampire était dans son bureau, signant et remplissant des lettres et des missives.

« Parfait, parfait… »

Maintenant que Mélinda était la Matriarche d’un clan vampirique, ses journées étaient particulièrement chargées. Elle ne pouvait plus s’occuper de tout ce qu’elle faisait avant, alors elle déléguait beaucoup, mais conservait encore du temps pour les choses essentielles. Elle se releva donc, et caressa le visage d’Harmony, avant de l’embrasser tendrement.

« Très bien, allons-y… »

La vampire savait que la Main avait soigneusement préparé cette soirée. Comme toujours, les Nakano avaient veillé scrupuleusement sur chaque détail, et Mélinda descendit donc, heureuse de revoir les Uzaki. Elle rejoignit le hall d’entrée du manoir depuis la mezzanine, et sourit en les voyant là, toutes les trois. Tsuki-chan, Hana-chan, et Yanagi-chan. Ses « vaches adorées ».

Mélinda sourit donc, éblouissante dans sa robe dorée.

« Bonsoir, mes chéries ! Vous m’avez manqué, mes petits trésors ! »

Elle descendit les marches, heureuse de pouvoir les prendre dans ses bras, de les retrouver…

Les Uzakis servaient depuis toujours Mélinda, c'était d'autant plus vrai pour les filles, si encore les parents avaient eu leur moment de liberté, depuis leur naissance, les filles voyaient souvent Mélinda qui était à leurs yeux autant leur maîtresse que leur tante. Elles obéissaient à cette dernière, sans le moindre souci, mais voilà, elles savaient plaisanter avec elle et rester simple. Un peu comme tante ou oncle encore jeune avec qui parlé cinéma ou jeux vidéo n'était pas aussi étrange que le faire avec ses parents. Il y avait des parents encore jeunes avec qui c'était simple, mais ce n'était pas aussi courant. Si dans le manoir de Mélinda, tout était fin prêt, la maîtresse arriva pour saluer ses esclaves et de suite, les filles couraient pour se jeter dans les bras de la vampire. Leur poitrine si ronde et moelleuse se pressait contre elle, Hana plus démonstrative que sa petite sœur Yanagi, embrassait déjà la joue de Mélinda, presque en lui criant dans les oreilles. Elle a toujours débordé d'énergie, contrairement à Yanagi, plus discrète qui rappelait Tsuki dans sa jeunesse.

« Maitresse !!! J'avais trop hâte de vous voir, vous et les autres ! »
« Moi aussi, Maîtresse... Et je suis impatiente d'avoir votre cadeau... »

Elle parlait bien entendu du fait de se faire dépuceler par cette dernière. Elle n'a jamais été privée de sexe, mais les filles, depuis qu'elles étaient en âge de s'intéresser à cela, ce qui est normal, avait droit à plus d'amour, de la part de la vampire comme de leur mère. Mais tout contacte ou pénétration n'allait pas plus loin que la langue et les doigts. Elles pouvaient passer des nuits en compagnie de Mélinda, mais seules ces deux choses pouvaient les pénétrer et bien sûr, toute verge était prohibé, naturelle ou en jouet. Mélinda se devait d'être la première verge qu'elles toucheront et goûterons ! Pour Hana, c'était fait, elle jouait avec sa maîtresse sans le moindre souci et aujourd’hui, c'était le tour de sa petite sœur. Tsuki n'était pas en reste, la petite maman aussi grande que ses filles avancèrent en souriant, ne se jetant pas au cou de Mélinda, étant donné que ses filles étaient déjà accrochées sur elle, et puis, sans l'aimer moins, elle était plus dans la retenue.

« Ce fut compliqué de leur demander de rester calme, Maîtresse... Elles sont toujours si excitées à l'idée de venir vous voir. »

Belle et presque chaste, Tsuki avait cette élégance à la fois jeune et maman, même si ses formes étaient un peu plus rondes que le corps svelte de ses filles, elle avait cet avantage d'avoir un fessier plus mature et qui donnait très souvent envie à Mélinda ou aux autres, de vouloir taper dedans ! Mais chez les Uzaki, ça restait quand même leur poitrine qui restait la première chose que l'on voyait ! Ronde et ferme, Tsuki avait son propre lait, même encore aujourd’hui, car son secret pour qu'ils restent bien rond et ferme et développer la croissance chez ses enfants – enfin, surtout la croissance mammaire vu que les filles n'étaient pas très grandes en taille – c'était de donner le sein. Là où les mamans s'arrêtaient assez tôt, Tsuki à toujours donner le sein, ce matin encore, ses filles étaient accrochée à elle pour boire son lait. Une pratique que Mélinda ne pouvait qu'encourager. Elle observait un instant la décoration comme les filles qui les accueillaient, ça lui rappelait des souvenirs du temps où elle avait habité ici en servant Mélinda.

Les Nakano étaient avec les autres, souriantes du résultat comme de leur arrivée, c'était pour elles une joie de servir Mélinda, que leur travail soulage cette dernière, la rende fière de sa Main. Même Harmony dont la tâche était similaire aux Nakano, mais au plus près de Mélinda. Ses tâches étaient moins lourdes mais plus nombreuses. Elle restait sagement dans son dos, ne bousculant ni sa maîtresse ni ses invitées, elle se devait d'être toujours proche de sa maîtresse, c'est tout.

Mélinda avait beau ne pas vieillir physiquement, elle était à Yoake depuis plus d’une vingtaine d’années. Vingt ans à établir ses plans, à séduire des adolescents pour en faire des esclaves au sein de sa grande famille, de son clan. Elle avait eu le temps de former bien des esclaves, et Tsuki-chan avait été l’une de ses premières proies. Elle avait aimé faire de cette jeune adolescente l’une de ses premières esclaves en arrivant ici, et Tsuki-chan n’avait jamais eu à le regretter. Elle formait la première de ses esclaves terriennes à s’être mariée avec Seto, un autre esclave du clan, et à avoir fondé une famille d’esclaves. Hana-chan et Yanagi-chan avaient été bien éduquées, formées pour être ses esclaves, pour la vénérer. Mélinda avait dépucelé Hana-chan, et c’était désormais au tour de Yanagi-chan. Pour l’occasion, elle avait donc réuni beaucoup de ses esclaves, et, comme à leur habitude, les Nakano avaient organisé le manoir pour cet évènement.

« Je sens ça, elles sont fébriles… Mais c’est normal, c’est un jour important pour elles… Aujourd’hui, Yanagi-chan va devenir une grande fille ! »

Du haut de ses seize ans, Yanagi-chan était désormais prête. Bien formée, elle se frottait contre sa Maîtresse. Mélinda posa sa main sur sa croupe, pressant l’une de ses moelleuses fesses, et l’embrassa longuement sur les lèvres. Un tendre et chaleureux baiser, qui exprimait tout l’amour que Mélinda ressentait pour elles. Comment dire non ? Comment refuser un tel élan ? Yanagi-chan était trop jeune pour avoir assisté au baptême sexuel de sa grande-sœur, mais Mélinda était sûre qu’Hana-chan avait dû lui en parler, et avait dû lui dire que cela avait duré toute la nuit.

Au lendemain, Yanagi-chan ne serait plus du tout la même, c’était une certitude ! Mélinda mit fin à ce baiser, et attrapa les mains de Yanagi-chan et de Hana-chan.

« La dernière fois, Hana-chan a accepté que votre Maman participe à nos ébats. Tu auras le choix ce soir, Yanagi-chan. Dans tous les cas, le début de ton baptême commencera entre seulement toi et moi. Ensuite… Ensuite, ce sera la seconde partie de la fête. Pour l’heure, les Nakano-chan ont organisé une belle fête d’anniversaire pour toi, Yanagi-chan ! »

Une fête normale pendant le jour, et une orgie à venir pendant toute la nuit… Quoi de plus normal au sein du manoir Warren, après tout ?

Tsuki et Seto étaient toujours redevables envers Mélinda, elle sera à jamais leur maîtresse et il en était de même pour leurs filles. Même si elles fréquentaient leur maîtresse depuis leurs plus jeunes âges, elle avait le même titre qu'avec ses parents, mais elle était un peu comme leur tante. Elle ne devenait leur maîtresse qu'en ayant grandi et s'être ouvert à certaines choses. C'était logique que leurs parents n'allaient pas faire de choses étranges à leurs enfants, la seule chose « étrange » que l'on pourrait noter et encore, certains parents pourraient ne pas trouver ça choquant, c'est que depuis leur premier jour, elles tétaient leur mère, tous les jours, sauf en de rares exceptions. Pour Tsuki, c'était aussi un secret de famille, ce qui expliquait que mère et filles avaient cette poitrine très opulente ! À se demander si cela n'était donc pas la vérité ? En tout cas, les filles étaient contentes de retrouver leur maîtresse, surtout Yanagi qui allait enfin devenir une femme aujourd'hui !

Elle avait eu des cours d'éducations sexuelles, comme tout enfant de son âge, elle jouait avec sa mère, sa sœur, et même son père quand il était là, mais elle n'avait droit qu'aux caresses, rien de plus que des doigts ne pénétrait la cadette de la famille. Donc, maintenant, elle était prête à pénétrer dans la cours des grandes ! Yanagi sentait la pression de Mélinda sur sa fesse et cela ne faisait qu'agrandir son sourire alors qu'elle buvait les paroles de la vampire. Elle savait déjà comment ça allait se passer et oui, sa mère et sa grande sœur seront à leurs côtés, c'est normal. Les Uzaki étaient très proches après tout, Mélinda avait mis l'accent sur ça dés leur plus jeune âge, elles devaient rester souder. Non pas que ça leur interdisait de s'ouvrir aux autres, mais, même si ça n'a pas empêché les chamailleries entre sœurs, il n'y a jamais eu de vrais problèmes au sein de la famille. Yanagi se mit sur la pointe des pieds pour embrasser la joue de Mélinda, toujours plus souriante.

« Merci pour tout, Maîtresse ! »

Elle fuyait avec sa sœur retrouvée leurs nombreuses amies qu'il y avait au manoir de Mélinda. Même si cette soirée finira dans le sexe le plus total, pour le moment, ce n'était que des enfants qui profitaient simplement de cette grande fête sans que rien ne semble louche. Tsuki resta près de sa maîtresse, souriante en voyant ses enfants si heureuses ici, dans ce même endroit où elle avait passé de merveilleux moments.

« Je ne vous remercierais jamais assez, Maîtresses. Elles sont si heureuses grâce à vous. »

Mélinda n'y était pas pour pas grand-chose. Elle avait réuni Tsuki et Seto, elle avait tiré deux ou trois ficelles quand il y en avait besoin, mais c'étaient les Uzaki qui avaient fait le plus gros du travail, ses enfants étaient à l'image de l'éducation donné aux enfants. Avec amour tout en restant juste ! Tripotant ses mains avec une certaine impatience, elle se rapprocha de l'oreille de sa maîtresse.

« Voulez-vous boire mon lait, Maîtresse ? »

Il était évident que ce qui saute au visage chez les filles Uzaki, ce n'était pas forcément leur grande taille – même si elles sont un peu plus petites que la moyenne japonaise – c'était surtout leur poitrine qui là, la croissance avait gâté ! Et depuis toujours, du moins, la naissance d'Hana, Tsuki avait toujours du lait à offrir, naturel et délicieux. Ses filles y avaient toujours droit, sa maîtresse aussi, naturellement. Comme quoi, son secret de famille était peut-être vrai, pratique en tout cas. Elle était un peu la vache humaine de sa maîtresse.

La famille Uzaki… On la surnommait ici la « famille Ushi », car, comme Tsuki-chan le proposa, elle sécrétait naturellement du lait. Tsuki avait toujours eu un dérèglement mammaire, qui se traduisait par sa grosse poitrine, mais aussi par son lait, sa sécrétion naturelle de lait. Mélinda s’était souvent demandée si Tsuki-chan n’avait pas, parmi ses parents, une Ushi, ce qui aurait pu expliquer cette proportion naturelle à allaiter. Normalement, une femme n’allaitait que quand elle avait accouché, pour nourrir le bébé, mais ce n’était pas le cas des Uzaki… Ou, du moins, de Tsuki-chan. Mélinda sursauta donc doucement quand Tsuki-chan lui rappela qu’elle avait du bon lait à lui offrir. Elle se retourna vers elle, et sourit doucement à la jeune femme.

« Oh… Refuser une telle offre, ce serait cruel ! »

Certes, Mélinda allait devoir s’occuper ce soir de Yanagi-chan, mais cela ne signifiait pas négliger les autres ! Quelle cruelle Maîtresse elle aurait fait en agissant ainsi ! Et cruelle, Mélinda ne l’était sûrement pas… Oh ça non ! Avouons même qu’elle débordait d’amour et de passion, qu’elle en avait à revendre à chaque instant, et pour tout le monde. Mais il fallait bien admettre que le lait de Tsuki-chan était un délicieux péché mignon, quelque chose qui risquait toutefois de faire partir la belle vampire dans les octaves.

Elle sourit donc, et rejoignit un salon en attrapant la main de Tsuki-chan. C’était un agréable petit salon où il n’y avait personne. Quelques confortables divans et sofas s’étalaient ici et là, ainsi qu’un grand écran de télévision. Mélinda sourit doucement, puis invita Tsuki-chan à s’asseoir.

« Voilà, Maman Tsuki. Mélinda a été une gentille fille, non ? Je trouve aussi que j’ai bien mérité de boire un peu de lait… »

Même avec ses esclaves adultes, Mélinda aimait bien jouer à un jeu de rôle. Elle aimait être la « fille » de mères affectueuses et perverses. Elle attendit donc que sa « Maman » vienne la féliciter…

Pour Tsuki, le secret de sa taille de poitrine était d’allaiter, encore et toujours. Ses filles avaient beau être grande, au moins tous les matins, elles venaient la téter goulûment sans que cela ne les gêne, ni même que cela soit vue comme un acte érotique. Depuis leur plus tendre enfance, elles agissaient comme ça. Alors oui, au vu de la société, c'était sûrement anormal, mais pas pour elles. Et même si les filles étaient encore vierges en ce qui concerne le lait qu'elles pourraient produire, leur poitrine valait au moins celle de leur mère ! Moins grosse, mais plus lisse et plus ferme. Non pas que sous son chemisier, ce soit un désastre, mais Tsuki approchait de la quarantaine et ses filles de la vingtaine, doucement, donc, forcément, leur poitrine était plus jeunes et fermes ! Elles étaient occupées à saluer leurs amies ici, qu'elles soient du lycée ou simplement de chez Mélinda, elles venaient ici depuis toute petites alors à part les nouvelles têtes, elles se connaissaient toutes un peu ! La proposition de la mère Uzaki ne fut aucunement refusée par Mélinda qui l'attirait ailleurs, dans un petit salon privé. Mélinda avait beau avoir éduqué Tsuki sur sa vie d'esclave et en matière de sexe, dans ce moment, c'était l'humaine la plus âgée des deux.

Doucement, elle déboutonnait son chemisier en prenant place confortablement sur le canapé. Sans surprise, sa voluptueuse poitrine était couverte par un soutien-gorge à motif noir et blanc, évoquant une vache. Elle savait bien qu'on la comparait à cela et elle s'en amusait, elle en était même flattée. Maintenant prête une fois le soutien-gorge relever, elle invita sa maîtresse à prendre place, la maintenant sur elle, presque allongée. Sa tête était juste face à l'un de ses seins, elle n'avait plus qu'à couvrir sa poitrine avec sa bouche et se régaler.

« Oh mais ma petite Méli-chan mérite tout le lait qu'elle veut ! »

Ses bras l'entouraient, surtout sa tête où elle pouvait caresser sa douce crinière en la couvrant de baisers, aussi naturellement qu'elle le ferait avec ses filles. Mais elle savait bien que tôt ou tard, ses caresses se feront sous sa robe, elle aussi ira traire sa maîtresse d'une autre façon. Mais pour le moment, elle se faisait toute douce, agissante comme la parfaite maman qui dorlotait sa fille.

« Mmmmmh, elle avait faim, ma chérie~ là là~... Maman doit veiller à ce que sa petite Méli-chan mange bien, c'est important ! »

Mélinda fut la seconde personne à la téter, naturellement, la première fut Hana, à sa naissance, mais Mélinda eut l'honneur en tant que maîtresse d'y goûter. Elle ne volait pas la place du bébé, mais elle pouvait bien téter ce qui restait une fois son petit estomac rempli du bon lait de sa maman, sa maîtresse venait terminer le biberon.

« Tu as toujours cette douceur... cette peau de bébé, ma Méli-chan... Maman t'aime tellement... »

Ce n'était même pas pour la flatter, c'était vrai, une simple vérité dite de Tsuki à Mélinda, de l'esclave à sa maîtresse, de la maman à sa fille.

La production de lait chez Tsuki-chan était impressionnante. En fait, elle produisait naturellement du lait, un peu comme les Ushis. C’était cela qui avait souvent amené Mélinda à se demander s’il n’y avait pas chez Tsuki-chan des gènes d’Ushi, ce qui permettrait d’expliquer sa production naturelle de lait, même après les périodes d’allaitement. Il fallait régulièrement la traiter, purger ses gros seins de ce lait qu’elle produisait abondamment. Mélinda ne se l’expliquait pas autrement. Cela était toujours une bonne excuse pour aller chez Tsuki-chan, ou pour qu’elle vienne au manoir. Même si Tsuki-chan avait désormais sa propre maison, il arrivait fréquemment qu’elle ait des visites heureuses, et qu’on vienne apaiser ses tensions mammaires.

« Hmmm… »

Ressemblant à une sorte de gros bébé concentré sur le sein de Tsuki-chan, Mélinda se laissa bercer. Elle avalait avec appétit le lait maternel de Tsuki-chan, permettant à celle-ci d’enfiler sans difficulté son rôle de « Maman ». Une Maman gentille et douce, que les pensionnaires du manoir appréciaient forcément. Mélinda avait toujours droit à ce bon lait maternel, l’un de ses mets préférés avec le sang. Elle se délectait de ce liquide, sentant les doigts de la MILF se serrer sur ses cheveux. Mélinda soupira encore, laissant passer les minutes, tandis que Tsuki-chan la complimentait sur sa beauté, sur la douceur naturelle de sa peau. Tout cela était évidemment dû à la nature vampirique de Mélinda, mais c’était malgré tout toujours aussi agréable à entendre !

Se laissant bercer, Mélinda gémissait longuement, jusqu’à ce que le flux se tarisse. Elle cligna alors des yeux, ressemblant plus que jamais, avec ses joues pâles, sa peau douce, à une délicieuse poupée de porcelaine. Elle sourit alors à Tsuki-chan, et se redressa alors, venant l’embrasser sur les lèvres.

« Hmmm… Maman est toujours aussi attentionnée envers sa Maîtresse… »

Cela ne pouvait que faire plaisir, une telle dévotion, un tel amour !

« Mélinda aime aussi sa Maman… Tu es si douce, si gentille… Et ton lait est magnifique ! »

Elle l’embrassa encore, tout en continuant à se relever, jusqu’à se retrouver assise contre elle, à califourchon, ses genoux s’enfonçant à droite et à gauche autour de Tsuki-chan. Quand on connaissait Mélinda, on savait aussi que la douceur avec elle n’était qu’une étape, une étape qui conduisait tôt ou tard à une séquence bien plus intime !

Et ça, maintenant qu’elle avait allumé le feu, Tsuki-chan n’allait pas pouvoir y échapper…

La mère de famille a toujours été une femme douce et généreuse, pas seulement du côté mammaire. Elle n'était pas très grande, mais sa douceur était immense, même si ses filles sont bien élevées et qu'elles n'ont pour ainsi dire, jamais vue leur mère en colère contre elles, elles sont ainsi sans forcément devoir passé par des punitions ou autres. Alors oui, il ne faut pas tout céder à son enfant, au risque de n'avoir aucune autorité, mais elle était la preuve que l'amour maternel était aussi un très bon moyen d’élever son enfant. Son mari était souvent absent pour son travail et si elles voyaient régulièrement Mélinda, ce n'était pas pour autant qu'elles la voyaient tout les jours ou que c'était elle qui jouait à la méchante maman pour que les filles restent sages. Non, sur ça, Tsuki avait de la chance. Hana avait un petit côté espiègle et taquineuse, mais elle n'était pas méchante. Allongée sur elle, Mélinda se régalait de son lait, et Tsuki se plaisait à nourrir sa maîtresse. Même si ses filles buvaient encore de son lait, c'était surtout le matin que c'était une étape obligatoire, mais après, elle trouvait toujours quelqu'un pour venir l'aider à se soulager, que ce soit une personne du manoir ou un invité surprise... Personne ne disait non à une si gentille maman.

« Mmmmh, ma douce Mélinda-chan... »

Tsuki avait un grand respect pour sa maîtresse, comme n'importe lequel de ses esclaves, elle avait été une simple fille à son service et depuis cette époque, Mélinda n'avait pas changer d'un pouce, même si Tsuki avait aujourd'hui deux grandes filles, mais même depuis la naissance d'Hana, elle donnait le sein régulièrement à sa maîtresse. Elle devait être une des rares personnes qui a le plus donné le sein que son sang à la vampire ! En même temps, cela ne la dérangerait pas de faire les deux, mais son lait maternel était si délicieux... Comment expliquer sinon pourquoi tant de personnes en raffolent ? Elle ne pensait pas avoir des gênes Ushis ou autre, pour elle, ce n'était qu'un secret de famille pour avoir une belle poitrine, la preuve chez ses filles qui avaient déjà elles aussi une belle et ronde poitrine ! Pas encore de lait pour elles, mais quand elles en auront elles aussi, on pourra voir laquelle Uzaki avait le meilleur lait ? Même si bon, les goûts et les couleurs. La vampire termina de boire, se redressant pour lui faire face, sur ses cuisses. Oh, elle n'avait même pas eu le temps de traire sa maîtresse... dommage.

« Mmmmh, Maîtresse. »

Son chemisier ouvert, elle passait ses bras autour de sa maîtresse pour partager son baiser, prenant chacun de ses compliments pour ce qu'il était, une récompense que chaque personne à son service raffolait. Les mains de la maman se posaient dans le bas de son dos, venant doucement empoigner les fesses de la vampire, elle ignorait comment se passerait la suite ? Elle avait sa petite idée, mais il y avait tellement de pistes... Voir sa verge se perdre entre ses seins, dans sa bouche, ailleurs. Mélinda pouvait faire preuve d'autant d'amour que de sévices, toujours en quête de plaire à ses esclaves, bien sûr.

« Après mon lait... comment je peux rendre ma Maîtresse heureuse ? »

Elle lui tendait la perche, c'était normal que ce soit à Mélinda de trancher dans la suite de leur petit jeu entre elles.

Le lait de Tsuki était un lait maternel particulièrement délicieux, similaire au lait des Ushis, un lait qui était très prisé sur Terra. Les fermes à Ushis étaient des fermes richissimes, car les Ushis produisaient beaucoup de lait. Elles étaient donc très précieuses pour les fermiers, qui veillaient à bien les nourrir et les entretenir, afin que le lait reste de bonne qualité. Ouvrir une ferme à Ushis était l’un des objectifs de Mélinda, et les Uzuki allaient être utiles pour ça. Il n’y avait pas mieux que Tsuki-chan pour éduquer des Ushis, car elle était après tout déjà, en soi, presque une Ushi. Et son lait était si bon ! Mélinda se plaisait à chaque fois à aller traire la belle Tsuki-chan, palpant ses seins, avalant ce généreux lait. Ses seins gorgés d’envie étaient toujours irrésistibles, du bon petit lait aphrodisiaque qui enflamma les sens de Mélinda, exaltant sa soif. Elle se redressa donc, jusqu’à se mettre à califourchon sur le corps de Tsuki-chan, et sentit avec envie ses mains sur ses fesses. Certes, Tsuki-chan était avant tout venue ici pour offrir à leur Maîtresse la virginité de sa petite dernière, mais cela n’empêchait pas Mélinda de venir se faire plaisir.

« Oh, Tsuki-chan… Pose-toi sur le lit. »

Mélinda se pinça les lèvres, sentant sa verge se déployer. Le bon lait aphrodisiaque de Tsuki-chan avait naturellement excité Mélinda, enflammant ses sens. Elle se frotta encore contre elle, soupirant doucement en  étant proche d’elle. Les deux femmes s’embrassèrent encore, tandis que Tsuki-chan lui demanda ce qu’elle envisageait. Mélinda n’avait que l’embarras du choix, mais il aurait été dommage de se séparer si vite des gros seins de sa partenaire. La vampire poussa donc en avant, et finit ainsi par coucher Tsuki-chan. Elle l’amena à se coucher sur le lit, et se déplaça un peu, enfonçant ses genoux dans le lit, à droite et à gauche du corps de Tsuki-chan.

La vampire se positionna afin de caler sa verge entre les gros seins de Tsuki-chan. Elle frémit doucement en frottant ainsi sa verge, la nichant dans le renflement des seins de sa partenaire.

« Fais-moi jouir avec tes seins, Tsuki-chan, tu sais comme j’aime sentir tes seins emprisonner ma queue… »

Et on ne refusait rien à sa Maîtresse…

Tout pour sa maîtresse, les Uzaki vénéraient Mélinda comme tout le monde ici. Peu importe son milieu, son âge, tous ici vénéraient la belle vampire. Les cinq adorables sœurs qui collaient Mélinda, les démones venues d'ailleurs, les timides mais présentes demoiselles ici et là, Mélinda était un centre de gravité qui faisait venir bien des gens à ses côtés. Alors oui, une fidèle jeune femme, devenue avec le temps une belle maman tout en forme, elle continuait de lui vouer sa fidélité. Cette jolie milf qui n'était peut-être pas très grande, tout comme ses filles, mais qui au moins avait des formes plus que généreuses ! Sa maîtresse, comme toutes les autres, ne pouvaient retirer leur bouche de sa poitrine, son lait était d'une qualité exceptionnelle ! D'autant plus qu'elle était une humaine ! Des Ushis, elle n'en avait que la poitrine et encore, du côté des femmes vaches, il devait en avoir des bien plus généreuses que les Uzaki. Mais sa maîtresse avait une autre envie, dicter par ce qui poussait entre ses cuisses. Elle pouvait tout lui demander alors elle ignorait sur quel pied danser ? Mais la belle vampire se rapprocha de son corps allongé, sa verge glissant entre ses seins si lourds et si chaud. Il avait une place toute prête !

« D'accord, Maîtresse. »

Mélinda était passée de sa fille à sa maîtresse en un rien de temps, Tsuki savait quand elle devait gâter sa gentille fille chérie ou se mettre à quatre pattes devant sa maîtresse. Pressant sa poitrine autour de sa queue, celle-ci fut engloutie, entièrement, dans ce doux cocon de chair où Mélinda n'avait plus qu'à remuer pour sentir cette douce prison pour elle. Son opulente poitrine la camouflait parfaitement, Tsuki avait du mal à en voir le gland émerger de sa poitrine tant elle était bien cachée. Sa chair si chaude et si douce rien que pour elle, elle pressait sa poitrine, la comprimant avec amour. Même le meilleur des sex-toy ne peut pas rivaliser avec une telle sensation. D'autant plus que Tsuki remuait doucement ses mains dessus, offrant un semblant de pression sur sa queue. Tout, pour sa maîtresse.

« Mmmmh, est-ce que Maîtresse va réussir à me jouir sur le visage ? Huuum ouuuuuu bien elle va noyer sa queue dans son propre foutre ? »

Une telle poitrine, difficile d'en faire jaillir un petit geyser blanc tant cette prison était redoutable pour sa verge ! Pressant ses seins dessus, son lait coulait doucement le long de sa poitrine, parfois sur ses mains ou simplement sur son corps. Elle avait deux grandes filles à nourrir, pour sûr qu'elle ne manquait pas de lait. Il ne faut pas croire, Tsuki aimait cette vision, Mélinda qui confondait l'espace entre ses seins avec son anus ou son vagin, donnant de bons coups dedans, elle avait une très belle vue sur ce qui se passait, elle attendait juste avec impatience le grand final !

Assise à califourchon sur le corps de Tsuki-chan, Mélinda était heureuse. Elle était toujours heureuse que ses esclaves reviennent à elle, ses heureuses amantes qu’elle avait soigneusement formé et éduqué. Son manoir était pour elles l’équivalent de la maison familiale, un lieu de refuge, un lieu où on savait qu’on se sentirait toujours bien. Mélinda comptait donc s’amuser avec Tsuki-chan, elle allait en profiter !

Profitant donc, là vampire était assise sur le corps moelleux de Tsuki-chan, sa verge glissant contre ses seins. Sa partenaire avait une grosse poitrine, moelleuse et voluptueuses, une poitrine massive et agréable contre laquelle elle jouait avec appétit. Sa queue disparaissait à l’intérieur, et, quand Tsuki-chan s’amusait à les presser l’un contre l’autre, sa queue n’était même plus visible, totalement engloutie par ce corps.

« Oh, ma Tsuki-chan, tu, haaa… Tu es si bonne ! »

Parler devenait un exercice compliqué quand on était excitée comme Mélinda, alors elle limitait ses mots au profit d’une action certaine et intense. Non pas qu’elle ait forcément grand-chose à faire en l’état, mais elle s’amusait à remuer d’avant en arrière, à sentir ce corps parfait sous elle. Tsuki-chan se permit même de la provoquer, allant jusqu’à lui demander si elle comptait jouir dans sa poitrine, et si du sperme fuserait sur sa bouche.

Face à de telles déclarations, un sourire amusé éclaira les délicates lèvres de Mélinda.

« Tu… Tu es toujours aussi provocante, ma chérie, hmmm… »

Cela était une qualité qu’on ne pouvait assurément pas lui enlever ! Mélinda aimait ça, et elle continuait donc naturellement à danser sur elle, accompagnant les mouvements de la femme, sentant ses seins comprimer sa queue avec force. Oh, oh, que c’était bon ! À ce rythme, son orgasme était une certitude, et ça, Tsuki-chan le savait. Elle en jouait volontiers, s’amusant de voir la manière dont sa Maîtresse se tortillait sur place. Avec elle, les cravates de notaire étaient toujours exquises, car Tsuki-chan avait de gros seins moelleux qu’elle manipulait sans peine. Mélinda remuait donc, filant d’avant en arrière, multipliant les coups de reins, sa peau glissant sur celle de Tsuki-chan. Elle était bien décidée à l’exciter ainsi, à l’amener dans ses ultimes retranchements…

…Et à jouir vivement sur elle ! Il suffisait d’ailleurs qu’elle y pense pour que sa queue se roidisse… Et le jet crémeux jaillit alors. Son sperme éclata contre les seins de Tsuki-chan, mais la pointe remonta, heurtant son menton et son visage.

« Haaaan… !! »

Dans un grand soupir, Mélinda se mit à jouir avec appétit, maculant le corps de sa belle « Maman » de son foutre savoureux, chaud, et gluant. Un vrai régal, assurément !

Les Uzaki avaient bien des qualité, mais mère comme filles partageaient ce point commun, une poitrine plus que généreuse ! Les filles étaient encore jeunes, Tsuki était une maman de deux grandes filles, sa poitrine avait connu nombre de queues qui se glissaient entre ses seins pour y finir étouffé. Elle savait y faire donc. Ce n'était donc pas sa maîtresse qui allait s'en plaindre, elle savait ce qu'elle faisait et ce qu'elle risquait. La vampire remuait, sa verge coincée entre ses seins, bien presser dans sa chair chaude et tendre, ça ne valait peut-être pas un de ses orifices, mais c'était un luxe qui était bien mieux que ses mains, aussi douées soit-elle ! Tsuki voyait sa maîtresse remuer, comme si elle lui faisait l'amour, mais elle ne faisait que remuer, la pression de ses seins et de ses mains qui pressaient sa poitrine, masturbait la vampire. Il est vrai que tout cela devait être si savoureux et si doux, une chose ô combien précieuse et délicieuse. Les gens paieraient sûrement cher pour un tel service, mais à quoi bon ? Celles et ceux qui tombaient entre les griffes de la milf en profitaient gratuitement !

« Han, Maîtresse. Maîtresse m'aime comme ça, non ? »

Elle n'avait pas été éduquée par Mélinda, mais elle avait passé assez de temps avec sa maîtresse pour savoir ce qu'elle aimait ou non, comment elle voulait être servie. Après, libre à elle de demander quelque chose de spécial selon ses envies sinon, elle savait comment recevoir de l'attention de sa maîtresse comme une punition. La vampire prenait son pied, pas besoin d'être devin pour le savoir, ça se voyait et Tsuki était au premier rang pour s'en rendre compte. De même quand Mélinda explosa, sa poitrine se retrouvant noyée de foutre, mais son visage aussi, Mélinda ayant bien pressé ses seins pour sortir la tête hors de l'eau et lui asperger en partie le visage.

« Haaaaan ! Oh, maîtresse... »

Elle la laissait souffler, sa queue toujours noyé sous la chair, pendant qu'elle prenait avec ses doigts le foutre sur son visage, mettant rapidement ses doigts en bouche pour se nettoyer sous le regard de sa maîtresse. Lentement, mesurant chacun de ses gestes pour mieux plaire à la vampire, elle remuait doucement son corps, le foutre chaud entre ses seins.

« Maîtresse... J'ai envie de sentir votre sperme... en moi~ »

Elle lui laissait le choix, de préférence sous la ceinture, devant ou derrière, mais oui, après lui avoir donné le sein et vider sa queue, elle aussi avait besoin d'un orgasme ! Et ça, Mélinda pouvait le lui offrir sans grande difficulté. Ce sera même un plaisir pour l'une comme pour l'autre.

Mélinda frémit en observant sa belle Tsuki-chan avaler goulûment son sperme. Elle se nettoya le visage à sa manière, suçotant son propre sperme. Ses mains risquaient de coller ensuite ! Cependant, cela ne dérangeait nullement sa Tsuki-chan. Comme bien des gens passés entre les douces mains de Mélinda, Tsuki-chan était totalement débridée. Elle se laissait aller, et c’était pour Mélinda un pur régal ! En la voyant ainsi avaler insolemment son propre sperme, la verge de Mélinda retrouva rapidement de sa superbe… Puis, tout naturellement, Tsuki-chan lui demanda de la prendre, de jouir en elle. La vampire se pinça doucement les lèvres à cette idée, et se rapprocha de Tsuki-chan. Elle n’avait que l’embarras du choix, mais, avec le corps voluptueux de cette femme, Mélinda aimait beaucoup la prendre en missionnaire. La différence de gabarit était notable, et cela n’était pas pour lui déplaire. Se mordillant donc les lèvres, elle se rapprocha de sa partenaire, posa ses deux mains sur ses joues, et l’embrassa avec appétit… Puis elle la poussa ensuite, et la coucha sur un tapis rembourré sur le sol.

« Très bien, ma chérie… Ta Maîtresse arrive ! »

Et ça, pour venir, Tsuki-chan n’allait pas être déçue du voyage ! Mélinda se coucha contre elle, et attrapa sa verge, puis l’orienta dans la bonne direction. Elle s’enfonça ainsi dans le corps de sa partenaire, et frémit doucement. Bien qu’étant plus âgée que Tsuki-chan, Mélinda conservait son apparence d’adolescente. Cette différence de gabarit était donc notable, et elle embrassa la femme tout en s’enfonçant en elle, s’unissant. Leurs deux corps ne formèrent plus qu’un, reliés par sa verge qui se glissa dans l’intimité de Tsuki-chan. La solide et plantureuse blonde se crispa contre elle, leurs corps nus se frottant sensuellement l’un à l’autre. Tout en l’embrassant, Mélinda pinça l’un des seins de Tsuki-chan avec sa main, et commença à remuer, de haut en bas, d’avant en arrière.

« Hmmm… Ma belle, je t’aime toujours autant, haaaa… »

Ses formes voluptueuses, sa peau d’une incroyable douceur… Oh, comme elle était bonne !

Tsuki était une maman, une très belle femme qui avait déjà deux grandes filles, mais comme les filles de sa famille, elle semblait certes généreuse en formes, et l'âge ne faisait que renforcer ce point, mais surtout, elle n'était pas très grande. Les Japonaises ne le sont pas en règle général, de base, mais pour les Uzaki, elles étaient même un peu en dessous de la moyenne. Dépassant péniblement le mètre cinquante, on se retrouvait bien vite grand à côté des filles de cette famille. Elle ne complexait pas sur sa taille, au contraire, elle aimait tomber sur des personnes, grandes, forte de préférence, pour s'occuper d'elle. Non pas que Mélinda remplisse ses conditions, mais elle était la bienvenue, en tout temps, en tout lieu, sa maîtresse avait la priorité absolue, même sur son mari ! Il ne pouvait pas dire le contraire, tout deux appartenaient à Mélinda, c'était un honneur pour lui de laisser sa maîtresse lui passer devant pour honorer son épouse ! Après que la verge de la vampire ai servi de cette façon, la belle et jolie maman voulait être prise par cette dernière et la jeune maîtresse accepta, la mettant au sol, pour se coucher sur elle.

« Mmmmmh ! »

Sentir sa puissante verge coulisser entre ses cuisses, venant se loger en elle, venant tôt ou tard remplir sa petite chatte. Si ça aurait été possible, comme bien des esclaves ici, Tsuki aurait laisser sa maîtresse planter sa petite graine, mais cela était impossible. Par chance, maintenant, sa maîtresse connaissait ce plaisir naturel que d'avoir un vrai bébé. Si jamais Mélinda voulait que sa petite Elizabeth profite de son lait, elle serait heureuse de nourrir sa petite maîtresse ! Mais pour le moment, c'était la vraie vampire qui en profitait, ses mains pressaient sa lourde poitrine, pinçant ses pis, le lait jaillissant un peu de ses derniers, elle couinait de plaisir en laissant son corps chaud écraser le sien. Mélinda était peut-être plus âgée qu'elle, mais elle conservait sa jeunesse éternelle, elle était belle et parfaite ! Même si Tsuki prenait de l'âge, comme tout être humain, comme le vin, le temps lui était favorable. Quelques rides ici et là, une peau moins lisse que celles de ses filles, mais elle n'en restait pas moins une femme parfaite et très désirable.

« Haaaaaaan, Maîtresse ! Je suis heureuse haaaan, de vous plaire, toujours ! »

Oh oui, depuis plus de vingt ans, combien de fois Mélinda lui avait fait l'amour ? On ne le comptait pas, c'était impossible. Comme de savoir combien de fois on respire, rien qu'en une journée, c'était compliqué alors là ! Qu'elle soit jeune, mûre, enceinte ou non, sa maîtresse l'avait prise, dans bien des positions, bien des tenues, elle était toujours aussi heureuse de la servir. Ses jambes venaient doucement la ceinturer pour la garder contre elle, bien qu'elle ne risquait pas de fuir, mais c'était plus une habitude. Ses bras venaient aussi l'attirer contre elle, l'embrassant avec passion pour la laisser faire malgré tout. Se faire remplir par elle, c'était toujours le même plaisir que Tsuki savourait ! Hana y avait aussi droit maintenant et bientôt, Yanagi en jouira tout autant ! La famille Uzaki... Mélinda avait bien de la chance que cette famille lui soit si dévouée ! L'avenir ne pouvait que leur sourire, tant à leur famille qu'à Mélinda, leur union était parfaite !

« Mmmmh, et après... Vous me prendrez le cul, hein ? »

On ne pouvait pas avoir été éduqué sexuellement par Mélinda et ne pas finir par aimer ce genre de choses ? Mélinda ne pourra pas passer à côté, un cul si ferme et si mûre, comment le refuser ? Ce serait criminel de sa part !

Mélinda formait ses amants et ses amantes pour en faire des partenaires très endurants. Cela avait aussi pour conséquence qu’elle passait de plus en plus de temps avec eux, et cela valait particulièrement pour Tsuki-chan. Mélinda la pénétrait avec amour, la prenant longuement en missionnaire. Sa verge remuait dans la chatte de Tsuki-chan. Si celle-ci avait grandi, Tsuki restait encore une mère assez petite, ce qui faisait qu’on avait souvent tendance à la confondre avec une lycéenne. Cela ne semblait toutefois guère déranger Tsuki-chan, qui aimait toujours autant coucher avec sa Maîtresse.

« Hmmm… Ta chatte est toujours aussi serrée… Pourtant, Dieu sait que je l’ai rempli, cette petite chatte… Comment fais-tu pour que… Hmmm… Pour que ce soit toujours aussi étroit ? Petite catin… »

Elle l’embrassa encore, et sentit les mains de Tsuki-chan caresser son corps, ses fesses, ses cheveux. Elle savait combien Mélinda tenait à sa soyeuse et longue chevelure, et pouvoir la presser ainsi était un grand honneur. Mélinda l’embrassa donc encore, jouant avec sa langue, et déplaça sa bouche ensuite, venant titiller l’un de ses seins, absorbant un peu de lait. Tsuki-chan gémit doucement, et Mélinda retourna l’embrasser partageant avec elle ce lait savoureux et onctueux. Elle n’oubliait pas les filles de Tsuki-chan, alors, quand celle-ci annonça qu’elle se ferait ensuite sodomiser, la vampire sourit doucement, puis l’embrassa encore sur les lèvres. Un doux baiser, avant qu’elle ne continue à remuer, hochant la tête. Sodomiser Tsuki-chan… Bien sûr ! Mais, pour l’heure, il fallait déjà se décharger en elle.

Après plusieurs minutes supplémentaires, la vampire atteint finalement son point de plaisir ultime. Elle se mordilla les lèvres en rougissant, et se relâcha dans le corps de Tsuki-chan. Elle se mit à jouir avec énergie, et s’abandonna tout contre elle, relâchant sa semence.

« Hmmm… Oh, tu es toujours aussi bonne, ma Tsuki-chan ! »

Mélinda lui sourit ensuite, remuant doucement. Elle s’accorda quelques instants de répit, embrassant tendrement Tsuki-chan sur le visage, avant de poursuivre :

« Tes seins m’ont l’air bien chargés… Tu vas te mettre à quatre pattes, mais il va falloir que des petites bouches innocentes s’occupent de tes seins pendant que je m’occupe de ton insolent fessier… »

En disant ça, Mélinda avait bien évidemment une idée derrière la tête, et rajouta rapidement :

« Pourquoi pas tes charmantes filles, hein ? Je suis sûre qu’elles ont très envie de soulager leur pauvre mère de toute cette tension mammaire… »

Tsuki a toujours respecté sa maîtresse, qu'elle soit directement sous ses ordres ou dans sa maison, après tout, elle et son mari lui appartenaient, et même en étant indépendant, Mélinda avait le dernier mot. La famille était si heureuse de la servir, même ses filles, bien avant de connaître leur premier plaisir avec la vampire, leurs parents leur avait appris à respecter autant Mélinda que ses parents. Alors forcément, la vampire avait cette figure d'autorité, mais bien plus, elle apparaissait aussi comme une femme plus gentille, jouant avec elles parfois, à la fois amie et maîtresse. Hana savait ce qu'était que de coucher avec sa maîtresse, Yanagi n'avait eu que le minimum de ce côté-là, quand elle avait pu rejoindre la fête d'anniversaire de sa sœur, elle a eu droit aux lèvres de sa maîtresse – loin d'être sa première fois – mais sentir ses doigts ou sa langue sur bien des parties de son corps, et inversement. Que Tsuki se fasse prendre par Mélinda, c'était rien de plus normal, la petite Milf était toujours aussi heureuse de sentir l'amour de sa maîtresse.

Mélinda la prenait avec autant d'amour qu'au premier jour, même si le temps passe et que sa chair ou son corps n'était plus aussi superbe qu'au premier jour, elle dégageait un charme plus adulte, ce qui lui allait aussi très bien. Mélinda le verra bien quand elle profitera des trois filles en même temps, cet éventail d'Uazki n'en sera que meilleur ! Du côté de sa famille, les femmes Uzaki n'ont jamais été très grandes, il en était de même pour les trois sous les ordres de Mélinda, mais là où elles n'étaient pas des mannequins en taille, elles avaient largement de quoi compenser en tour de poitrine. La vampire le savait bien vu combien de fois elle avait pu goûter à cette poitrine si généreuse, à ce lait si savoureux, elle était une des rares qui avaient le droit de se servir sans demander la permission, sa maîtresse avait tous les droits.

« Mmmmmh, oh maîtresse. »

Prise dans son élan, la vampire ne tardait pas à jouir en elle, provoquant en elle aussi, cet orgasme qui les liait ensemble. Un bref petit moment de repos où Tsuki pouvait profiter plus intimement de sa maîtresse, sans forcément que ce soit sexuel. Une simple étreinte de sa part suffisait à la rendre heureuse, n'importe qui au service de Mélinda serait d'accord avec ce propos. Mélinda avait de la suite dans les idées en proposant à ses filles de la rejoindre, pas forcément pour de suites offrir le cadeau de Yanagi – à moins que ? – mais au moins les voir accrochées aux seins de leur mère. Une chose qui ne laisse jamais Mélinda indifférente, en tout âge, elles n'ont jamais été gênées de téter les seins de leur mère en présence de Mélinda, c'était une scène toujours très attendrissante, devenant de plus en plus sexy au fil du temps quand les petites filles devenaient de jeunes femmes.

« Si c'est ce que vous voulez, Maîtresse, mes chéries se feront une joie de venir m'aider. »

Tsuki sortait son téléphone portable, envoyant un message à Yanagi, qu'elle transmette le même à sa grande sœur pour venir les rejoindre dans cette pièce. La petite Milf avait toujours son chemisier ouvert, ses lourds seins ne demandant qu'à devenir plus léger alors qu'elle observait la vampire avec toujours même regard plein d'obéissance et de plaisir.

« Maîtresse, puisqu'on évoque le sujet, je peux me permettre une demande... plutôt égoïste ? J'aimerais avec votre accord, un jour, pouvoir donner mon lait à... votre petite Elizabeth... J'aimerais que mon lait puisse être approuvé autant par ma maîtresse, son épouse et ma petite-maîtresse... »

Juste lui donner le sein au moins une fois, ne serait-ce que pour le plaisir de retrouver une petite bouche innocente sur son sein, qui viendra boire de son lait... Elle comprendrait que Mélinda refuse, soit de par sa nature vampire ou car elle était bien le trésor le plus précieux que pouvait avoir Mélinda donc, elle serait d'autant plus prudente ! Non pas, car qu'elle n'aurait pas confiance en elle, mais un lait, qui n'était pas celui de l'une de ses mères, elle pourrait se poser des questions sur son métabolisme.

Tsuki-chan utilisa son téléphone portable pour appeler ses filles. Mélinda sourit doucement, sa verge bien dressée en voyant le joli cul de Tsuki-chan. Celle-ci, tout en finissant son SMS, avait une question à poser. Mélinda l’écouta… Puis sourit doucement. Elle malaxa les fesses de Tsuki-chan.

« Il est vrai que tu ne fréquentes plus souvent le harem, ma chérie… Si je te dis ça, c’est parce que beaucoup de mamans ont déjà allaité ma Elizabeth. Moi, je dois utiliser des élixirs pour allaiter. Ce n’est pas moi qui ai donné naissance à Elizabeth, et je suis une vampire… »

Elle allaitait difficilement, pour le dire simplement. Mélinda devait donc utiliser les autres mamans pour nourrir Elizabeth. Tsuki-chan pouvait donc se faire ce petit plaisir.

« Tu pourrais le faire dès ce soir, d’ailleurs… Elizabeth dort, mais elle a toujours faim quand elle se réveille. Je pense qu’elle ne pourrait qu’adorer ton lait, et tu en produis tellement… Tu es ma vache adorée ! »

Dans son esprit, c’était un compliment ! Mélinda releva sa main, et fessa le postérieur de sa partenaire. Elle souriait encore, se mordillant doucement les lèvres. Sa verge se frottait contre la croupe de Tsuki-chan, et la porte finit par s’ouvrir. Les deux filles de Tsuki-chan venaient d’arriver, et Mélinda leur sourit doucement.

« Mes petites-chéries… Venez embrasser votre Maîtresse, puis vous m’aiderez à venir faire plaisir à votre Maman adorée, qu’en pensez-vous ♥ ? »

La poitrine des Uzaki était un secret de famille pas si secret, peut-être était-ce juste une question de génétique ou alors oui, le fait de continuer de donner le sein à ses filles, même après qu'elles aient passé l'âge suffisait à leur faire avoir une belle poitrine bien ronde et similaire à la sienne ? Après tout, dans la famille de Tsuki, les filles avaient toujours une grosse poitrine, elle ne pourrait pas dire depuis combien de temps, ni si ça a toujours été le cas, mais sa mère avait ça avec elle, elle en avait fait autant avec ses filles et voilà le résultat. Quand Hana et Yanagi auront des enfants, elles devront en faire de même. Pour les garçons, elle ignorait si ça avait une incidence, mais leur poitrine restera ferme, d'autant plus que les filles de sa famille avaient cette chance de conserver un aspect plutôt jeune. Qui croirait que cette charmante a déjà deux filles en âge de fréquenter le lycée ? Et pourtant, elle avait bien la quarantaine la jolie Tsuki. Mélinda répondit ensuite à sa demande, acceptant naturellement qu'elle donne le sein à sa fille, quand elle sera réveillée. Une chose qui comblait de joie la jeune femme, c'était un honneur de pouvoir faire une telle chose !

« Oh, Maîtresse, si vous saviez combien j'en suis heureuse ! »

La belle vampire palpait sa croupe avec sa main et sa queue sûrement impatiente de la prendre mais ses filles arrivaient et elle ne perdait pas une seconde à envoyer les jeunes Uzaki à l'assaut de leur mère, après avoir profité un minimum d'elles. Hana se jeta au cou de Mélinda, embrassant sa maîtresse sur sa bouche, sa belle poitrine n'était pas aussi grosse que celle de sa mère, un poil plus ferme seulement, s'écrasant contre Mélinda. Puis ce fut Yanagi, qui ne lui sautait pas au visage, mais l'embrassait quand même avec plus de passion, la cadette était plus timide et réservé, mais elle connaissait bien l'ambiance chez sa maîtresse, c'était juste sa façon d'être. Tsuki se tenait à genoux, sur le canapé tandis que ses filles s'approchaient sans aucune hésitation, pour prendre l'un des seins de Tsuki pour en boire le lait. Oui, c'était bien une famille de vaches, l'effet aphrodisiaque en moins. Des vaches humaines, de Terre et non de Terra ! Mélinda avait droit à un bien joli petit show, il ne restait plus à se faire plaisir et s'enfoncer dans ce fessier bien mûr et en profiter comme il se doit. Tsuki lança par ailleurs un regard par-dessus son épaule, pour savoir ce que Mélinda faisait pour prendre ainsi son temps ? Sa verge devait la faire souffrir à se retenir aussi longtemps, non ?

Les Uzaki étaient bel et bien une famille de vaches humaines, dans le sens où leurs seins produisaient des quantités de lait surnaturelles pour de simples humaines. Mélinda était donc ravie d’avoir cette famille sous son commandement. En soi, elles étaient libres, car elles avaient leur propre maison, un emploi, mais toutes venaient très souvent au manoir, et se considéraient avant tout comme les esclaves de Mélinda. Et Mélinda leur témoignait après tout tellement d’amour qu’on pouvait comprendre leur choix. Face à elles, Mélinda était toujours heureuse, et, avec le lait de Tsuki-chan dans le corps, elle était excitée. Elle répondit aux baisers de ses charmantes filles, qui se rapprochèrent ensuite toutes les deux de Tsuki-chan pour venir, chacune, téter leur mère. Hana-chan, l’aînée, que Mélinda avait dépucelé en compagnie de sa mère, et Yanagi-chan, qui allait connaître ce soir le même et heureux sort. Mélinda était plus ou moins sûre que Hana-chan avait déjà dû longuement en parler à sa sœur, en lui expliquant quel pied elle avait pris, pour éviter qu’elle n’ait trop peur. Le sexe effrayait toujours, au début. Il fallait une femme comme Mélinda pour aiguillonner ses amants.

La verge de Mélinda était déjà bien raide avant que les filles de Tsuki-chan n’entrent. Tsuki-chan elle-même était assez excitée. Non seulement elle allait pouvoir s’occuper de sa deuxième fille ce soir, mais elle pourrait en plus donner le sein à Elizabeth, la fille de Mélinda, le petit joyau choyé du harem. Mélinda les observa toutes les trois. Il était encore un peu trop tôt pour Yanagi-chan, et Mélinda tenait à ce que sa première fois se passe plus tard, et lui soit entièrement consacrée. Elle se reporta donc vers Hana-chan, qui était considérée comme un vrai garçon manqué. Elle n’hésitait pas à donner de la voix au lycée, s’opposant aux garçons, luttant contre le harcèlement scolaire. Mélinda se rapprocha d’elle, et commença par mettre autour de chacune des filles une laisse rouge avec une cloche dorée et une laisse. Elle tira ensuite sur la laisse de Hana-chan, la redressant. Sa bouche encore pleine de lait, Mélinda attrapa son menton, et fit tourner sa tête, venant l’embrasser.

« Viens partager le lait de Maman… »

Mélinda offrit à Hana-chan un baiser suave et appuyé. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, et elle déplaça sa main, pinçant l’un des seins de Hana-chan pendant la durée de ce baiser. Elle serra l’un des tétons entre ses doigts, le meurtrissant avec amour, sentant le corps de sa partenaire trembler doucement d’excitation. Hana-chan pouvait volontiers sentir la verge de sa Maîtresse contre sa croupe. Mélinda maintint le contact pendant quelques instants, puis le rompit ensuite, et coucha Hana-chan sur le dos.

« Ma belle Hana-chan… Il paraît que tu es une forte tête au lycée… Que tu aurais puni un garçon qui aurait harcelé un de ses camarades… »

La vampire se pinça les lèvres, et se pencha vers elle, l’embrassant à nouveau, bien décidée à la prendre en missionnaire.

« Raconte-moi ça… J’aime l’idée que ma petite et soumise Hana-chan soit considérée par certains comme une terreur insoumise… »

Et elle commença à la pénétrer, tout en donnant ses instructions à Yanagi-chan, laissant à Tsuki-chan plus de liberté :

« Yanagi-chan, viens me palper les fesses, n’hésite pas à me pénétrer avec tes doigts ou ta langue… » glissa-t-elle en relevant la tête, avant de retourner embrasser Hana-chan.