Welcome to Inferis [PV]
Posté : 08 sept. 2024 02:50
C'est dans le grand nord glacial qu'on retrouvait ce désert froid et glacé qu'on nommait la Mort Blanche. Tout ceux affrontant ce froid en dehors d'une caravane ou n'utilisant pas un portail de téléportation prenait le risque de finir en glaçon avant même d'avoir fait la moitié du chemin. Les caravanes passaient régulièrement et ramenaient par flots des marchands et autres aventuriers dans le grand volcan d'Inferis : la Bouche de l'Immortalité. Un volcan colossale, à un seul versant occupé par une route fréquentée et soumise à le météo froide. Neige dense, vent bien en dessous de zéro et glace tranchante était le lot de ce volcan avant qu'on arrive au sommet et que la glace et la neige laisse place à un roc dur et noir. Une roche volcanique qui laissait, à son point culminant, place à une grande cabine d'ascenseur à ciel ouvert. On pouvait descendre par paquet de 25, descendant au niveaux les plus élevés de Navgrad, la capitale d'Inferis. Du haut de cet ascenseur, on dominait toute la ville. Séries de plateformes, de bâtiments partiellement creusés dans le volcan, de câbles, de tuyaux, partant dans tout les sens. Un vrai souc, une usine à gaz démentielle échelonnée sur plusieurs niveaux, avec toujours en son centre un vaste cratère lâchant des fumerolles, à la lumière chaude et ne laissant du ciel qu'un cercle de ciel restreint où le soleil ne passait pas à ces latitudes. Mais là, dans le premier niveau, on pouvait avoir quelques rayons sur un versant en été, à midi. Ce n'était malheureusement pas le cas aujourd'hui. Une grande auberge aux murs en taule et à l'éclairage en néon au milieu de ces rues animées et de ce fourbi de gens semblait ouverte.
Ce n'est qu'une fois à l'intérieur qu'on pouvait sentir l'atmosphère de l'endroit. Et je ne parle pas juste de la chaleur, mais aussi d'une sérieuse odeur de viande alors que le tenancier derrière son comptoir donnait de grands coups de hachoir à viande sur une carcasse alors qu'il posait les morceaux directement sur la grille d'un brasero. Un kobold prenait les commandes et un couple déjà présent semblait avoir toutes les attentions. Une dragonne en uniforme qui croquait dans ce qui semblait être un grand hamburger de luxe cuisiné ici. Son compagnon n'avait rien cependant et ne fit que boire un verre , replaçant sa tignasse rouge dans son dos tout en faisant face à sa magnifique dragonne. Le tenancier découpa une nouvelle pièce, se tournant vers la nouvelle venue. Ce dernier était un homme avec une certaine élégance, des traits draconiques et une longue chevelure bleue retombant dans son dos. Un kobold plus petit derrière le comptoir prit le relais de la cuisine, ne portant qu'un tablier rose et un collier massif autour du cou. Il se prit une tape sur le cul en le faisant, de la part du tenancier qui lui portait un pantalon de cuir et un haut en résille, laissant bien voir ses tablettes de chocolat et son torse imberbe.
"Qu'est-ce qui vous ferait plaisir, ma jolie ?"
Ce n'est qu'une fois à l'intérieur qu'on pouvait sentir l'atmosphère de l'endroit. Et je ne parle pas juste de la chaleur, mais aussi d'une sérieuse odeur de viande alors que le tenancier derrière son comptoir donnait de grands coups de hachoir à viande sur une carcasse alors qu'il posait les morceaux directement sur la grille d'un brasero. Un kobold prenait les commandes et un couple déjà présent semblait avoir toutes les attentions. Une dragonne en uniforme qui croquait dans ce qui semblait être un grand hamburger de luxe cuisiné ici. Son compagnon n'avait rien cependant et ne fit que boire un verre , replaçant sa tignasse rouge dans son dos tout en faisant face à sa magnifique dragonne. Le tenancier découpa une nouvelle pièce, se tournant vers la nouvelle venue. Ce dernier était un homme avec une certaine élégance, des traits draconiques et une longue chevelure bleue retombant dans son dos. Un kobold plus petit derrière le comptoir prit le relais de la cuisine, ne portant qu'un tablier rose et un collier massif autour du cou. Il se prit une tape sur le cul en le faisant, de la part du tenancier qui lui portait un pantalon de cuir et un haut en résille, laissant bien voir ses tablettes de chocolat et son torse imberbe.
"Qu'est-ce qui vous ferait plaisir, ma jolie ?"