The Multiversity

Le regard rivé sur l’horloge, Andréa Bertellio attendait le retour de son petit ange, sa fille unique, Cloé Bertellio. Andréa avait eu Cloé alors qu’elle était très jeune, qu’elle était même encore mineure. Elle était tombée amoureuse d’un homme plus âgé qu’elle qui l’avait mis en cloque. Depuis lors, cet homme influent, qui avait une carrière politique, avait acheté le silence d’Andréa et de ses parents en offrant à Andréa une généreuse pension à vie. Seulement, André avait tout de même le sentiment d’avoir gâché sa vie, et d’avoir eu Cloé trop tôt. Par conséquent, et pour éviter que sa fille ne commette les mêmes erreurs qu’elle, Andréa l’aimait donc, mais elle l’avait aussi formé avec autorité.

En fin de journée, elle portait sa belle robe de soirée, une robe noire largement fendue, sans aucun sous-vêtement dessous. Elle consulta encore son téléphone portable. Cloé portait en permanence sur elle un collier, avec une puce GPS à l’intérieur. Impossible de la retirer sans la clef permettant d’ouvrir le collier, et cette clef était naturellement avec Andréa. Cloé n’avait pas intérêt à arriver en retard.

Cloé étudiait dans un lycée privé très huppé, et elle portait un uniforme. Sous cet uniforme, néanmoins, André l’avait bien habillé ce matin. Elle lui avait mis un harnais sexuel, et une cage de chasteté, avec un gode anal. Elle le portait depuis ce matin, ce qui pouvait expliquer sa difficulté à marcher.

*Elle tarde, elle a envie que je la punisse…*

Cloé n’était plus vierge… Mais Andréa n’avait pas encore pris sa virginité. Chaque soir, elle la baisait avec force. Et ce soir ne ferait pas exception. Andréa formait Cloé depuis un certain temps, et, depuis que sa jeune fille avait atteint sa majorité sexuelle, elle était formée au sexe. Andréa n’était pas juste sa mère, elle était surtout sa Maîtresse…

…Et, ce soir, Maîtresse comptait à nouveau « punir » sexuellement sa fille. Avec son air de petite sainte-nitouche, Andréa s’amusait souvent à la titiller. Sous sa douce silhouette ingénue et son regard de biche, personne n’imaginait à quel point sa fille était une perverse… Et cette idée commençait déjà à faire mouiller André, qui se chauffait doucement à l’idée de ce qui allait suivre…

Cloé était sur le chemin du retour pour revenir chez elle, les cours étaient finies et elle devait se dépêcher à rentrer. Mais marcher avec ce qu’elle avait entre les fesses, n’était pas évident. Sa mère lui avait mise une ceinture de chasteté comme tout le temps quand elle sortait de la maison, mais cette fois elle lui avait aussi mis un gode vibrant dans l’anus. Car Cloé en avait bien conscience, sa mère bien qu’elle l’aimait, la traitais avant tout comme une esclave sexuelle. Elle lui avait toujours était soumise et arrivé à 15 ans, elle était devenue son jouet encore plus.

Cloé avait bien sur conscience que ce n’était pas normal, ne devrais pas la pucé comme un animal, ne devrais pas la soumettre et encore moins l’utilisé sexuellement. Mais Cloé n’avait jamais ut l’envie de lutter, même si la forme n’était conventionnelle, elle aimait avoir ainsi l’attention de sa mère, de sa maitresse. Surement que sa mère l’avait formaté depuis toujours pour ça, mais aujourd’hui Cloé était son esclave et elle l’acceptait.

Regardant l’heur sur son téléphone, elle avait pris du retard. Surement que sa Mère allait lui faire payer. Des amies l’avaient trouvé fébrile comme souvent, et avait voulu l’accompagné. Pour conserver le secret, elle avait dû les rassurés pour rentrer seule. Il n’était pas rare que des jeux de sa mère accentue l’apparente faiblesse qu’elle dégageait.

Finalement c’est avec une bonne dizaine de minutes de retard qu’elle passa la porte de la maison.

-Bonsoir Mère, je suis rentré. Désoler du retard, Charlotte voulait m’accompagnè.

Bien sûr elle savait qu’expliqué la situation ne changerais rien, mais elle devait le faire. La porte refermée, elle laissait tombé sa vie d’étudiante, pour retrouver celle d’esclave.

Dix minutes de retard… Dix. Minutes. Cette fois, Andréa avait fait fort ! Jamais sa fille adorée ne l’avait autant provoqué, et n’était arrivée autant en retard ! Andréa bouillonnait de patience en regardant la puce GPS sur le collier de Cloé. Elle se rapprochait de la maison, mais avait visiblement été très occupée. Andréa savait que, avec son corps malingre, Cloé pouvait parfois inquiéter. Andréa faisait très attention à bien l’éduquer, à ne pas aller trop loin. Si elle la blessait ou l’épuisait trop, les services sociaux finiraient par le savoir, et elle n’avait pas envie qu’on lui retire sa fille. Les autres ne comprendraient pas, personne ne comprendrait ! Tout ce qu’Andréa faisait, c’était pour le bonheur de sa fille, sa fille qu’elle aimait plus que tout, et à qui elle refusait qu’elle fasse les mêmes erreurs qu’elle. Quand Cloé arriva enfin, Andréa portait sa robe de soirée. Elle était comme toujours intégralement nue dessous. Cloé connaissait tout de l’anatomie humaine, elle avait pu voir le corps nu de sa mère à bien des occasions, presque tous les jours.

Cloé expliqua rapidement que Charlotte, l’une de ses amies, avait voulu l’accompagner. Andréa, qui était dans le salon, attendit que Cloé arrive. Et, quand celle-ci arriva, elle put voir qu’un chevalet avait été traîné hors du donjon pour être positionné face à une grande fenêtre donnant sur l’extérieur. Dehors, Charlotte était effectivement là, observant la maison d’Andréa.

« Tu espères pouvoir échapper à ta sanction en blâmant tes amies ? Il suffit d’une petite erreur, et c’est le début de la fin. Toute erreur, toute entorse aux règles, se doit d’être réprimée et punie. Je t’ai déjà dit que tu devais toujours revenir à l’heure. Or, tu as dix minutes de retard… Dix minutes ! »

Andréa parlait sur un ton fort, faisant bien comprendre à Cloé qu’elle allait se faire punir ! Elle se rapprocha d’elle, et la déshabilla rapidement. Cloé finit toute nue, à l’exception de son harnais, et de sa cage de chasteté. Andréa s’agenouilla alors, et glissa la clef dans la cage, qu’elle ouvrit ensuite. La cage libéra l’intimité parfaitement épilée de Cloé (Andréa l’épilait elle-même).

Elle sourit doucement en voyant le plug, et attrapa l’embout rose, puis tira dessus. Elle entendit sa fille soupirer naturellement, tandis que le plug se dévoilait petit à petit. Ce n’était pas un petit calibre, mais un gros plug noir qu’elle retira lentement, jusqu’à faire soupirer Cloé.

« En tout cas, tu es une vraie cochonne, tu as pu marcher avec ça dans le cul… »

Andréa soupira lentement, doucement excitée. En même temps, sa fille était habituée, il était très rare qu’elle ne porte plus ce genre de choses. Elle l’avait progressivement habitué à porter des plugs de plus en plus gros, et sur des durées de plus en plus longues.

Une fois ceci fait, Andréa l’attacha sur le chevalet. Dehors, depuis la fenêtre, elle pouvait voir Charlotte, qui était sur son téléphone portable. C’était un quartier résidentiel, et il était impossible de voir à travers la vitre.

« Tu m’as désobéi, Cloé. Pour ça, je vais devoir te punir. Tu te feras sûrement porter pâle demain matin. »

Chaque absence de Cloé coïncidait avec une grosse et longue séance de punition. Andréa attrapa un fouet, et commença par caresser avec sa main libre le cul de Cloé.

« Commençons par dix coups de fouet, un pour chaque minute de retard. »

Andrea se recula, et le fouet remua dans l’air… OPuis fusa sur els fesses de Cloé, la claquant avec force.

*SHTAAAC !!*

Cloé ne fut pas surprise par la réaction de sa mère, elle aurait pu avoir la plus belle excuse du monde que ça n’aurais pas fini autrement. Elle resta donc sagement debout alors que sa mère la déshabillait pour la mettre nue, lui laissant que son harnais et son collier. Avec la clé, elle lui retirait même sa cage ce qui était quand même plus agréable pour elle. Cloé poussa un gémissement, alors que sa mère tirais sur le plug qu’elle lui avait mis pour venir lui retiré.

-J’ai fait au mieux Mère.

Elle n’avait pas trop le choix, il fallait bien marcher et tenir toute la journée sans attiré l’attention malgré l’objet en elle. Ce n’était pas évident, mais elle faisait tout son possible pour ça. Elle savait les risques si leur situation était découverte. Une fois libéré de cet objet, elle se sentait plus légère, mais ce qui l’attendait par contre n’était pas aussi agréable. Sa mère avait monté un chevalet face à la vitre du salon, une vitre qui permettait de voir que dans un sens. Préférable quand on vie avec une esclave qui plus est sa propre fille. Cloé se fit donc attacher dessus, ce n’était pas une première et surement pas la dernière non plus.

-Bien mère, je comprends.

Encore une fois elle louperas une matinée de cours, sa renforcé l’image de fille fragile qu’elle avait à l’école et qui inquiétait ses amies. Elle voyait Charlotte à la vitre et se demandait ce qu’elle penserait si elle découvrait la vérité. Puis viens le premier coup de fout de sa mère qui la fit crié, heureusement la maison était bien insonorisée. Sentant la douleur parcourir ses fesses, elle se faisait fouetté, regardant son amie par la fenêtre qui était loin de se douté de ce qui lui arrivait.

C’était une éducation très particulière qu’Andréa offrait à sa fille. Une éducation destinée à faire d’elle une magnifique esclave sexuelle, et, dans ce domaine, Andréa s’en sortait plutôt bien ! Elle avait habitué sa fille à ressentir la douleur, à se faire sexuellement punir. Andréa devait bien admettre qu’elle en tirait un plaisir exquis. Elle soupira en entendant les délicieux hurlements de sa fille, des cris jouissifs, tandis que le fouet zébrait ses fesses. Elle la fouetta donc dix fois, mais avec un fouet émoussé, ce qui fit surtout rougir ses fesses. C’était un peu comme la gifler, mais en un peu plus intense. Rien à voir avec le fouet médiéval, qui lacérait et arrachait la chair. Quand Andréa eut terminé, elle se rapprocha de sa chère Cloé, et caressa ses fesses, les malaxant.

« Faire de ton mieux est donc visiblement insuffisant… Tu comprends que je doive t’imposer la discipline, n’est-ce pas ? À ton âge, on est si dissipée… Je ne te laisserai pas succomber à tes mauvaises pulsions. Il faut sévir dès le plus petit signe de désobéissance. Mais tu sais très bien que je fais tout cela par amour pour toi, ma chérie, tu es tellement fragile, il faut bien que je veille sur toi… »

L’aspect famélique de Cloé n’était pas une volonté de sa mère, c’était davantage un problème inhérent à Cloé. Cloé était née prématurée, en bonne santé, mais très maigre. Et, si elle avait pu grandir ensuite, il avait initialement fallu veiller beaucoup sur elle. Elle mangeait de manière déraisonnable, mais sans prendre trop de poids. Tout en malaxant ses fesses, Andréa constata qu’il y avait, sur la rue en contrebas, l’une des camarades de classé de Cloé.

Charlotte attendait visiblement une voiture. Son amie était plutôt bien équipée, et Andréa l’observa donc par la fenêtre, tout en enfilant un strap-on. Une belle verge dressée devant, deux plugs vibrants à l’intérieur. Elle enfila en soupirant cette agréable ceinture, puis l’approcha de la délicieuse chatte de Cloé.

« Elle te tourne autour, cette Charlotte… On dirait une petite fouineuse. Mais elle est sexy. Tu aimerais l’inviter à nos jeux, dis-moi ? »

Elle demanda cela en se penchant vers la tête de sa fille, et en le murmurant suavement contre son oreille, tout en commençant avec passion ses coups de reins…

Cloé poussait des cris de douleur, alors qu’elle sentait le fouet de sa mère contre ses fesses. Malgré le nombre de fois qu’elle y avait gouté, elle en ressentait toujours de la douleur, malgré qu’elle la supportait mieux. Les cris étaient surtout pour sa mère qui s’en délectait. Après les dix coups de sa punitions, elle resta attacher sur son chevalet face à la vitre, alors que sa mère s’équipait de la suite.

*Bien sûr c’est par ce que vous m’aimer et que je suis fragile que vous avez fait de moi une esclave mère…*

Et malgré ça, elle n’était pas certaine d’arrivé à vivre normalement si ça venait à changer. Elle était totalement dépendante de sa mère, de ses ordres et de ses punitions. Alors qu’elle sentie le jouet de cette dernière s’enfoncé en elle, lui arrachant un gémissement, elle l’entendit murmuré à l’oreille.
Charlotte était toujours là et forcément ça attirait l’attention de sa mère qui la pénétrait sans gêne.

-Non mère, elle est trop gentille, elle ne comprendrait pas…

Oui elle imaginait facilement son amie révolté par sa situation  et chercher à la sauvé, ce qui finirait forcément mal quelque part. A moins qu’elle aussi joue un jeu ? Qu’elle aussi cache ce qu’elle est vraiment ? Après tout Cloé était bien placé pour savoir que ce qu’ont donné comme image en publique et la vérité pouvait être bien différente.

Andréa sourit doucement. Elle aimait profondément et sincèrement sa fille. Tout ce qu’elle faisait était pour son bien, il fallait l’éduquer. Cloé avait beau être maigre, elle n’en restait pas moins très belle. Il fallait donc la former pour éviter qu’elle ne commette les mêmes erreurs qu’elle. Mais cela ne signifiait pas de l’enfermer ici, ou de l’empêcher d’avoir des amies. Andréa savait très bien ce que les gens pensaient d’elle. Une mère de famille jeune qui élevait seule sa fille… Dans un pays aussi conservateur que le Japon, autant dire qu’elle était une traînée !

Cloé lui confia que son amie ne serait sans doute pas trop favorable à devenir la soumise de sa mère. Le strap-on s’enfonça dans la chatte de Cloé, tandis qu’Andréa lui remit un plug anal assez volumineux. Il se terminait par une petite pierre précieuse saphir rose, et se mit à vibrer dans ses fesses. Ainsi prise, Cloé se mit à gémir, sentant sa mère s’enfoncer dans son corps, la prenant sur le chevalet.

« Hmmm… Cela signifie-t-il que tu serais une mauvaise fille, ma chérie ? Et, donc, que je serais une mauvaise mère ? »

Depuis le temps, Cloé était habituée. Sa mère retournait toujours ce qu’elle disait contre elle, comme pour mieux la punir. Cependant, douter de l’amour d’Andréa pour sa fille était impossible, elles dormaient ensemble, et sa mère, même si elle était très dominatrice, soutenait et consolait toujours sa fille. Tout ce qu’Andréa exigeait, c’était une loyauté absolue, une fidélité sans limite. Aucun secret, Andréa aimait tout de sa fille.

Elle la pénétrait avec force, sa verge artificielle s’enfonçant jusqu’à la garde. Elle tirait sur les cheveux de Cloé, la faisant se tortiller sur place. En face, Charlotte continuait à regarder la maison, et s’écarta ensuite.

« Tu n’as qu’à l’inviter ce week-end, hmmm… »

Comme elle était en train de s’éloigner, Andréa libéra l’une des mains de Cloé, et lui tendit son téléphone portable.

« Appelle-là, hmmm… »

Il était rare qu’Andréa prenne le risque d’inviter des amis chez elles. C’était même la première fois depuis des années, ce qui avait de quoi surprendre… Mais Andréa savait aussi que sa fille grandissait, et qu’elle devait veiller à son équilibre, et à lui donner un entourage…

Tout ça, elle le faisait par amour !