Présentation de l’institut :
La boite à Poupées est un immense château se trouvant isolé au pied des montagnes sur les terres d’Ancarla. C’est une école à pensionnat destinée aux filles de toutes classes sociales, de la plus noble à la plus vulgaire des esclaves. La spécialité de l’école est une éducation sexuelle très poussée pour un avenir dans le milieu. Connue dans le monde pour ses formations, bien que les méthodes en elles-mêmes soient secrètes, une élève sortant de L’IFF est en général sûre d’un avenir dans sa spécialité. L’école offre à ses élèves des formations ou des dressages en fonction du but de l’inscription et répartis dans différents dortoirs et associés à un blason.
Historique :
L’IFF a été fondée dans la Vallée d’Ancarla suite à un rapprochement entre deux institutions : d’une part, l’État d’Ancarla, et, d’autre part, le clan Warren. Plus précisément, c’est suite au rapprochement entre Evangeline et Mélinda Warren que l’idée de fonder une école a germé. Le concept était simple, et permettait à l’origine de s’occuper de bon nombre d’enfants orphelins, en leur offrant l’occasion, à la fin de leur formation, de pouvoir rejoindre de grandes familles mijakiennes, ou de servir Ancarla, ou le clan Warren.
Les fonds nécessaires à la construction de l’IFF émanèrent principalement du clan Warren, consistant dans la réhabilitation d’un ancien château laissé à l’abandon, ce qui donne à la Boîte à Poupées un côté ancestral et très classique.
Les différents dortoirs :
-Les soumises : Regroupent les élèves destinés à un avenir dans la soumission ou avec des aptitudes pour ce domaine. Les élèves de ce dortoir se voient imposer des règles supplémentaires dû à leur statut qui est reconnu durant leur scolarité.
-Les dominantes : Regroupent les élèves destinés à un avenir demandant de dominer d’autres personnes ou encore avec des aptitudes naturelles à dominer. Les dominantes avec les années se voient confier des soumises à gérer.
-Les alternantes : Regroupent les élèves qui s’intéressent aux deux côtés de la soumission. Leur formation est moins poussée que les deux spécialités et ne sont pas en permanence concernées par les règles en-dehors des cours ou en alternance de périodes suivant les cas.
-Les classiques : Regroupent les élèves qui étudient sans être concernés par des statuts de domination. C’est donc le sexe en lui-même qui est étudié et plus poussé.
-Les artistes : Regroupent les élèves destinés à un avenir dans différent métier artistique comprenant une part de sexe. Les domaines artistiques sont variés, mais souvent très exigeants dans les études à suivre.
-Les nymphomanes : Regroupent une part plus particulière d’élèves. Ici se retrouvent des élèves avec une libido surdéveloppée ou amplifiée par maladie, malédiction, magie ou autres. Ce sont des cas qui doivent apprendre à gérer leurs problèmes sans pour autant négliger des études que ce soit en profitant de leur particularité ou de s’en sortir.
-Les magiciennes : Regroupent les élèves qui étudient la magie rose ou d’autres formes de magie liées au sexe. Ça peut toucher différents domaines magiques, comme l’alchimie ou encore l’invocation.
Les élèves se voient attribuer au moins un blason en fonction de la raison de son inscription. Il est possible de cumuler plusieurs blasons et les dortoirs sont alors choisis en fonction de ce qui ressort le plus chez l’élève. Il est possible que l’élève inscrit n’ait pas d’avenir défini, ce qui est rare car on vient ici en général pour un but précis. Dans ce cas-là, des tests peuvent être passés pour déterminer les blasons les plus adaptés. Aussi il est possible qu’en suivant une formation, qu’un professeur décèle des capacités pour une autre formation qui peut alors être proposé ou imposé suivant le statut de l’élève.
Les formations et préparations à l’avenir :
Les formations sont nombreuses, diverses et variées. Chaque élève suit son propre parcours et peut cumuler plusieurs formations, même sans être attribué au blason auquel il est habituellement affilié. Chaque élève se voir suivre un parcours unique et les années d’étude dépendent du nombre de formations qu’elle va suivre.
L’école, par la nature de ses formations, par les différents statuts de ses élèves, encourage les inégalités. Un exemple simple : une soumise se retrouve sur ses dernières année esclave d’une dominante jusqu’à la fin de leurs études. Aussi, c’est autant la formation que le statut d’origine de l’élève qui peu influencer : une fille noble qui étudie la soumission peut être rabaissée, alors qu’une esclave qui étudie la domination peut au contraire rabaisser les autres. Il est ainsi de devoir d’afficher ses statuts, les nobles portent fièrement leur titre et les esclaves leur collier ou leur marque. La variété est la richesse de l’éducation de l’IFF.
La boite à Poupées est un immense château se trouvant isolé au pied des montagnes sur les terres d’Ancarla. C’est une école à pensionnat destinée aux filles de toutes classes sociales, de la plus noble à la plus vulgaire des esclaves. La spécialité de l’école est une éducation sexuelle très poussée pour un avenir dans le milieu. Connue dans le monde pour ses formations, bien que les méthodes en elles-mêmes soient secrètes, une élève sortant de L’IFF est en général sûre d’un avenir dans sa spécialité. L’école offre à ses élèves des formations ou des dressages en fonction du but de l’inscription et répartis dans différents dortoirs et associés à un blason.
Historique :
L’IFF a été fondée dans la Vallée d’Ancarla suite à un rapprochement entre deux institutions : d’une part, l’État d’Ancarla, et, d’autre part, le clan Warren. Plus précisément, c’est suite au rapprochement entre Evangeline et Mélinda Warren que l’idée de fonder une école a germé. Le concept était simple, et permettait à l’origine de s’occuper de bon nombre d’enfants orphelins, en leur offrant l’occasion, à la fin de leur formation, de pouvoir rejoindre de grandes familles mijakiennes, ou de servir Ancarla, ou le clan Warren.
Les fonds nécessaires à la construction de l’IFF émanèrent principalement du clan Warren, consistant dans la réhabilitation d’un ancien château laissé à l’abandon, ce qui donne à la Boîte à Poupées un côté ancestral et très classique.
Les différents dortoirs :
-Les soumises : Regroupent les élèves destinés à un avenir dans la soumission ou avec des aptitudes pour ce domaine. Les élèves de ce dortoir se voient imposer des règles supplémentaires dû à leur statut qui est reconnu durant leur scolarité.
-Les dominantes : Regroupent les élèves destinés à un avenir demandant de dominer d’autres personnes ou encore avec des aptitudes naturelles à dominer. Les dominantes avec les années se voient confier des soumises à gérer.
-Les alternantes : Regroupent les élèves qui s’intéressent aux deux côtés de la soumission. Leur formation est moins poussée que les deux spécialités et ne sont pas en permanence concernées par les règles en-dehors des cours ou en alternance de périodes suivant les cas.
-Les classiques : Regroupent les élèves qui étudient sans être concernés par des statuts de domination. C’est donc le sexe en lui-même qui est étudié et plus poussé.
-Les artistes : Regroupent les élèves destinés à un avenir dans différent métier artistique comprenant une part de sexe. Les domaines artistiques sont variés, mais souvent très exigeants dans les études à suivre.
-Les nymphomanes : Regroupent une part plus particulière d’élèves. Ici se retrouvent des élèves avec une libido surdéveloppée ou amplifiée par maladie, malédiction, magie ou autres. Ce sont des cas qui doivent apprendre à gérer leurs problèmes sans pour autant négliger des études que ce soit en profitant de leur particularité ou de s’en sortir.
-Les magiciennes : Regroupent les élèves qui étudient la magie rose ou d’autres formes de magie liées au sexe. Ça peut toucher différents domaines magiques, comme l’alchimie ou encore l’invocation.
Les élèves se voient attribuer au moins un blason en fonction de la raison de son inscription. Il est possible de cumuler plusieurs blasons et les dortoirs sont alors choisis en fonction de ce qui ressort le plus chez l’élève. Il est possible que l’élève inscrit n’ait pas d’avenir défini, ce qui est rare car on vient ici en général pour un but précis. Dans ce cas-là, des tests peuvent être passés pour déterminer les blasons les plus adaptés. Aussi il est possible qu’en suivant une formation, qu’un professeur décèle des capacités pour une autre formation qui peut alors être proposé ou imposé suivant le statut de l’élève.
Les formations et préparations à l’avenir :
- Les soumises : Suivants le statut de l’élève, social, espèce ou choix d’avenir plusieurs formations son ouvertes.
- Simple formation à un statut de soumise sexuelle.
- Formation de servante, pouvant dépasser le cadre sexuel.
- Dressage d’esclave, avec ou sans le statut officiel.
- Dressage animalisé, destiné à faire vivre un esclave comme un animal.
- Formation à la soumission totale à une personne, pour servir un maître ou maîtresse en particulier
- D’autres formations sont aussi possibles, mais plus rares…
- Les dominantes : Plus souvent destinées des personnes nobles, mais des esclaves ou des personnes avec des statuts sociaux plus modestes peuvent aussi les suivre.
- Simple formation au statut de dominante sexuelle.
- Dresseuses d’esclaves, apprendre à dresser des esclaves.
- Maitresse, apprendre à gérer des esclaves et surtout les erreur à ne pas faire.
- Gérante de harem, apprendre à gérer plusieurs esclaves.
- D’autres formations sont aussi possibles suivant les cas.
- Les alternantes : Les cas y sont très différents de l’un à l’autre, c’est sûrement le plus varié des blasons.
- Formation S/M, étudie tout simplement le domaine de tout point de vue.
- Formation de servante en chef, pour les servantes ou les esclaves qui se trouvent à obéir, mais à faire obéir.
- Formation à l’éducation sexuelle, pour ceux qui souhaitent ensuite enseigner et ont besoin de voir tous les points de vue.
- Formation à la prostitution, apprendre à gérer les demandes à l’adaptation.
- D’autres formations sont aussi possibles suivant les blason cumulés.
- Les classiques : Les élèves ici sont moins, voire pas du tout concerné par ce qui touche à des rapport dominant, dominé. Les formations sont nombreuses et variées.
- Éducation sexuelle de base, l’apprentissage des bases et découverte des différentes pratiques les plus répandues...
- Formation poussée dans le domaine du sexe
- Formation à l’utilisation de son corps, savoir l’exploiter, le mettre en valeur ou comment lui donner du plaisir.
- Bien d’autres formations sont disponibles au cas-par-cas.
- Les artistes : des formations au domaine de l’art ou du spectacle, là encore suivant les projets et les statues, beaucoup de variétés sont possibles.
- Actrice sexuelle, formation à l’art de la scène et du sexe à la fois.
- Formation sur l’art, les différents arts de représentions du sexe dans des œuvres, écriture, dessins, sculptures et biens d’autres.
- Objection, formation très poussée à faire de son corps objet sexuel ou d’exposition.
- Formation à l’art des cordes et du bondage.
- D’autres formations sont possibles suivant les besoins et demandes.
- Les Nymphomanes : Étant des cas particuliers et souvent des cas « dit médicaux », il y a peu de formation répandues et plus de cas-par-cas.
- Maîtrise de soi, apprendre à gérer ses besoins ou pulsions.
- Maîtrise de ses particularités, apprendre à gérer ses pouvoirs pour limiter leur impact, souvent destinés à des succubes en découverte de leur pouvoir.
- Formation et soin au cas-par-cas, souvent destinés à des problèmes bien spécifiques.
- Les magiciennes : les élèves au potentiel magique, étudiant dans des formation liées au sexe et à la magie.
- Formation à la magie rose, magie de base liée à la luxure.
- Alchimie, études des potions et ingrédients influant sur le sexe.
- L’invocation, étudier l’invocation d’êtres, créatures, tentacules ou autres dans le but de pratiquer le sexe par la suite.
- Etude d’autres domaines mélangeant sexe et magie.
Les formations sont nombreuses, diverses et variées. Chaque élève suit son propre parcours et peut cumuler plusieurs formations, même sans être attribué au blason auquel il est habituellement affilié. Chaque élève se voir suivre un parcours unique et les années d’étude dépendent du nombre de formations qu’elle va suivre.
L’école, par la nature de ses formations, par les différents statuts de ses élèves, encourage les inégalités. Un exemple simple : une soumise se retrouve sur ses dernières année esclave d’une dominante jusqu’à la fin de leurs études. Aussi, c’est autant la formation que le statut d’origine de l’élève qui peu influencer : une fille noble qui étudie la soumission peut être rabaissée, alors qu’une esclave qui étudie la domination peut au contraire rabaisser les autres. Il est ainsi de devoir d’afficher ses statuts, les nobles portent fièrement leur titre et les esclaves leur collier ou leur marque. La variété est la richesse de l’éducation de l’IFF.