La Servante [Mineko Azumi]
Posté : 12 sept. 2024 17:59
Aujourd’hui était un jour très spécial, une longue festivité pour Alice. Mélinda avait célébré un anniversaire très particulier : celui de son arrivée sur Terre. Ce beau jour où Mélinda lui avait présenté le Portail permettant de rejoindre la Terre, et où la relation entre les deux femmes avait pris un tournant beaucoup plus adulte. Alice était depuis lors régulièrement invitée de Mélinda, qu’elle considérait comme sa meilleure amie, et sa plus intime confidente. Mélinda avait donc célébré ça par une belle fête, et les deux femmes s’étaient ensuite absentées pendant plusieurs heures, l’occasion pour Mélinda de témoigner à Alice son amour inconditionnel dans leur chambre.
« J’ai encore un dernier cadeau à t’offrir », lui dit-elle ensuite.
Elles étaient nues dans le lit, la couverture légèrement défaite, le corps d’Alice portant encore les quelques traces de griffure de la vampire, qui la retourna sur le dos. Mélinda l’embrassa chaudement, pressant son corps contre le sien.
« Encore quelque chose ? Après le gâteau, les livres, et… Cette fantastique séance avec toi ?
- Il y a encore quelques mois, tu te serais effondrée dans le lit, ma beauté… Mais plus maintenant. Tu réalises combien tu as progressé et mûri auprès de moi ?
- Si mûrir signifie être devenue sexuellement plus endurante…
- Ça en fait partie, oui… »
Comme toujours, Mélinda jouait avec elle, ne glissant pas toutes ses informations. Alice s’humecta donc les lèvres, réfléchissant silencieusement. Que voulait-elle dire par là ? Qu’envisageait-elle pour elle ? Elle se redressa sur ses avant-bras.
« Et en quoi consiste ce dernier cadeau ? Même si je pense que je vais regretter cette question…
- Si tu veux le savoir… Il faut commencer par t’habiller. »
Alice aurait pu récupérer sa tenue normale, mais Mélinda secoua la tête, et ouvrit un placard. Elle rougit en voyant l’autre tenue qui s’y trouvait, et que Mélinda jeta sur le lit.
« Tu… À quoi joues-tu, Mélinda ?
- Enfile-là, je vais enfiler la mienne, de mon côté. »
Ceci signifia tau moins qu’Alice n’allait pas jouer la Maîtresse avec elle. La tenue qu’elle venait de lui présenter était un ensemble spécial en latex, une tenue très moulante que Mélinda avait fait sur mesure pour Alice, et qu’elle enfilait quand elle jouait la dominatrice. Mélinda, de son côté, opta pour un ensemble noir moulant comprenant un corset avec des collants en résilles. Elle fit claquer ses gants, et observa ensuite Alice affiler son ensemble. La jeune Princesse opta pour une tenue en latex comprenant un corset, des collants plus marqués, une longue paire de gants, et une culotte noire.
Mélinda se rapprocha d’elle, et caressa le corps d’Alice, souriant lentement.
« Tu sens le frisson en toi, hein ? »
Elles s’embrassèrent lentement. Quand Alice enfilait cette tenue, elle jouait le rôle de la Maîtresse, un rôle qui lui tenait suffisamment à cœur pour l’incarner avec une grande efficacité. Mélinda attrapa ensuite sa main, et les deux femmes sortirent, puis descendirent des escaliers. Elles retournèrent au rez-de-chaussée, et, sans rejoindre le salon principal, s’avancèrent vers un salon. Mélinda avait bien travaillé sur la mise en scène, car, dans le couloir menant au salon, des rangées d’esclaves s’agenouillèrent devant elles.
Alice entra ensuite dans un salon aux couleurs chaudes et tamisées, où une jeune femme était agenouillée sur le sol, un masque noir sur le visage, ses mains liées dans le dos par une chaîne. Un collier en cuir enroulait son cou, et deux servantes en tenue de maid se tenaient à droite et à gauche d’elle, l’une tenant la laisse de l’esclave, et l’autre un plateau en argent qu’elle présenta à Alice, avec une clef dorée dessus.
« Mais…
- C’est ton cadeau, Alice… Agenouillée devant toi. »
Alice se pinça les lèvres, et attrapa doucement la clef, puis se pencha vers la femme. Impossible de la reconnaître sans son masque. Elle se pencha doucement, faisant crisser sa combinaison, commençant à comprendre ce que Mélinda sous-entendait, et lui ôta son masque. Ses sourcils s’écarquillèrent en reconnaissant le visage de…
« …Mineko ? »
Un gag ball recouvrait ses lèvres, et elle releva son visage en posant ses doigts sur son menton.
Que faisait-elle là ?
« J’ai encore un dernier cadeau à t’offrir », lui dit-elle ensuite.
Elles étaient nues dans le lit, la couverture légèrement défaite, le corps d’Alice portant encore les quelques traces de griffure de la vampire, qui la retourna sur le dos. Mélinda l’embrassa chaudement, pressant son corps contre le sien.
« Encore quelque chose ? Après le gâteau, les livres, et… Cette fantastique séance avec toi ?
- Il y a encore quelques mois, tu te serais effondrée dans le lit, ma beauté… Mais plus maintenant. Tu réalises combien tu as progressé et mûri auprès de moi ?
- Si mûrir signifie être devenue sexuellement plus endurante…
- Ça en fait partie, oui… »
Comme toujours, Mélinda jouait avec elle, ne glissant pas toutes ses informations. Alice s’humecta donc les lèvres, réfléchissant silencieusement. Que voulait-elle dire par là ? Qu’envisageait-elle pour elle ? Elle se redressa sur ses avant-bras.
« Et en quoi consiste ce dernier cadeau ? Même si je pense que je vais regretter cette question…
- Si tu veux le savoir… Il faut commencer par t’habiller. »
Alice aurait pu récupérer sa tenue normale, mais Mélinda secoua la tête, et ouvrit un placard. Elle rougit en voyant l’autre tenue qui s’y trouvait, et que Mélinda jeta sur le lit.
« Tu… À quoi joues-tu, Mélinda ?
- Enfile-là, je vais enfiler la mienne, de mon côté. »
Ceci signifia tau moins qu’Alice n’allait pas jouer la Maîtresse avec elle. La tenue qu’elle venait de lui présenter était un ensemble spécial en latex, une tenue très moulante que Mélinda avait fait sur mesure pour Alice, et qu’elle enfilait quand elle jouait la dominatrice. Mélinda, de son côté, opta pour un ensemble noir moulant comprenant un corset avec des collants en résilles. Elle fit claquer ses gants, et observa ensuite Alice affiler son ensemble. La jeune Princesse opta pour une tenue en latex comprenant un corset, des collants plus marqués, une longue paire de gants, et une culotte noire.
Mélinda se rapprocha d’elle, et caressa le corps d’Alice, souriant lentement.
« Tu sens le frisson en toi, hein ? »
Elles s’embrassèrent lentement. Quand Alice enfilait cette tenue, elle jouait le rôle de la Maîtresse, un rôle qui lui tenait suffisamment à cœur pour l’incarner avec une grande efficacité. Mélinda attrapa ensuite sa main, et les deux femmes sortirent, puis descendirent des escaliers. Elles retournèrent au rez-de-chaussée, et, sans rejoindre le salon principal, s’avancèrent vers un salon. Mélinda avait bien travaillé sur la mise en scène, car, dans le couloir menant au salon, des rangées d’esclaves s’agenouillèrent devant elles.
Alice entra ensuite dans un salon aux couleurs chaudes et tamisées, où une jeune femme était agenouillée sur le sol, un masque noir sur le visage, ses mains liées dans le dos par une chaîne. Un collier en cuir enroulait son cou, et deux servantes en tenue de maid se tenaient à droite et à gauche d’elle, l’une tenant la laisse de l’esclave, et l’autre un plateau en argent qu’elle présenta à Alice, avec une clef dorée dessus.
« Mais…
- C’est ton cadeau, Alice… Agenouillée devant toi. »
Alice se pinça les lèvres, et attrapa doucement la clef, puis se pencha vers la femme. Impossible de la reconnaître sans son masque. Elle se pencha doucement, faisant crisser sa combinaison, commençant à comprendre ce que Mélinda sous-entendait, et lui ôta son masque. Ses sourcils s’écarquillèrent en reconnaissant le visage de…
« …Mineko ? »
Un gag ball recouvrait ses lèvres, et elle releva son visage en posant ses doigts sur son menton.
Que faisait-elle là ?