Le bonheur commence avec 1001 nuits de plaisirs [PV Rhian]
Posté : 17 sept. 2024 18:02
La région de Papua abritait bien des royaumes et des villes sous la main du roi Thoris. Tous sauf un. Ils n'étaient pas vue comme des ennemis, ils étaient plutôt... neutre. Pourquoi ce privilège ? Car Radz-Aht-An était une petite contrée, certes, mais sa puissance pouvait faire trembler les plus grands. Son armée où chaque soldat en valait au moins cinq des leurs que l'on disait ! Ses êtres magiques au service de la famille Almasy, des secrets bien gardés, car dans l'histoire, la dernière bataille pour annexer la cité à Papua s'était soldé par un echec, déclarant ensuite la cité indépendante aux autres. Ils voulaient bien être vus sous la bannière de Mijak, mais pas sous celle de Papua alors que bon, ils étaient très clairement sur les terres Papuan, on ne pouvait pas dire qu'à la limite, ils sont plus proches de Mijak ou un autre pays que Papuan. Mais, non. On leur accordait ce privilège, car après tout, ils ne cherchent pas la guerre ou le contrôle du pays, ils veulent juste la paix qu'ils maintiennent dans leur pays et ses contrés. Radz-Aht-An était aussi grand que n'importe quelles petites contrées des terres désertique de Papua, avec peut-être une meilleure chance concernant leurs terres. Un climat moins aride qui facilitait l'agriculture, des talents dans leurs confections qui attirait les curieux, pas plus que la grande Papua, mais quiconque connaissait l'existence de ce petit pays voisin se disait qu'il était plutôt bon de faire un détour là-bas avant de rentrer. Et surtout, son pays abritait bien des beautés.
Le pays n'était pas un second Uatis où les hommes étaient des moins-que-rien, tout juste bon à être utilisé pour la reproduction, non, ils avaient leur place, sauf en politique. La princesse – et future reine une fois mariée – était Scheherazade Almasy, une princesse qui recevait bien des demandes de la pays de nombreux pays, voisin ou non. Elle était la preuve vivante, que maintenir un pays en paix, pouvait se faire avec un joli sourire à son voisin. Nombre de soldats, homme ou femmes, travaillaient pour la princesse, voulant que leur souveraine soit fier de leur travail pour maintenir la paix dans cette cité. Leur armée se constituait de deux branches, séparant hommes et femmes afin d'éviter de transformer les chambres en orgie. Hors des casernes, ils étaient libres de faire ce que bon leur semble, mais en soldat, ils étaient des soldats, ni des hommes, ni des femmes, la sexualité restait derrière. Lorgnant sur son futur en tant que reine de ce pays, Scheherazade avait une envie folle...
« L'on dit la princesse Thoris similaire à une tigresse, renvoyant chaque prétendant avec une trace de sa main imprimé sur sa joue et si cela ne suffit pas, ses tigres se chargent de vouloir en faire autant avec leurs pattes ? »
« Il est vrai, majesté. »
« Mais que désire-t-elle réellement ? »
« Ce... ce n'est jamais précisé, nous savons juste que le sultan propose de bons partis soit disant pour elle, qu'elle refuse toujours. »
« Le sultan propose... mais pas à moi ? »
Peur que sa fille fasse un faux pas avec la princesse Almasy ou il ne voulait pas que sa fille n'ait pas une place de grande importance dans ce pays où il ne faisait pas la loi ? Amusée, la princesse se préparait, demandant à sa cours de préparer aussi un voyage vers Papua. Il y a bien longtemps qu'elle n'y avait pas mis les pieds, peut-être était-ce dans son enfance ? Cela lui semblait si vague et lointain. Vu sa demande, elle allait faire en sorte que le sultan laisse la porte ouverte quand on remarquerait son arrivée. Un long voyage en grande pompe, arrivée avec ses soldats assurant quand même sa sécurité, ses danseurs et ses danseuses, ses musiciens, oui, la princesse ne faisait pas dans la dentelle, passant les portes de la ville en compagnie, elle aussi de tigres. Pourquoi ? Car elle comptait séduire la princesse Rhian, en se mettant aussi ses animaux dans sa poche. Qu'il soit mâle ou femelle, elle en avait un de chaque, pour combler les attentes de ce gros chat qui lui sert de garde du corps.
Le sultan devait être au courant de son arrivée, que ce soit par espions ou simplement la garde qui ait informer la venue de toute cette troupe quand ils étaient visibles hors de la ville. Elle perdit bon nombre de ces gens avant d'arriver au palais, ses derniers amusaient la foule, ne laissant que ses soldats à ses côtés ainsi que quelques serviteurs, portant des cadeaux de bienvenue ! Sans aucun danger ni aucun mal, elle arriva dans la salle du trône, en présence du sultan et de son épouse. Scheherazade approchait, le sourire charmeur en tenant ses animaux sans laisse. Elle n'avait pas la force de les retenir en cas d'attaque, sa voix était leur laisse. Ses serviteurs venaient déposer quelques coffres, contenant moult trésors et bijoux, un simple cadeau pour s’excuser de sa venue sans avoir prévenue de son arrivée.
« Je vous prie de m'excuser, sultan, j'ai eu la soudaine envie de passer vous rendre une petite visite, plus particulièrement, votre princesse. Me serait-il possible de la rencontrer ? »
Une voix si douce, comme son sourire. Elle ne venait pas l'acheter, malgré ses cadeaux, elle venait la rencontrer, mais surtout, la charmer. Elle ne comptait pas faire d'elle une de ses nombreuses amantes au harem, ça non, elle en avait déjà trop. Même si elle n'en a jamais assez. Elle lui offrait une place bien plus signe de sa personne. La princesse penchait doucement la tête sur le côté, son corps peu vêtue était une ode à la beauté. Elle ne demandait pas forcément à tirer la princesse de sa chambre ou des activités en cours, elle pouvait bien aller la rencontrer elle-même, mais elle n'était pas ici chez elle, elle n'allait pas être impolie et agir sur un coup de tête.
Le pays n'était pas un second Uatis où les hommes étaient des moins-que-rien, tout juste bon à être utilisé pour la reproduction, non, ils avaient leur place, sauf en politique. La princesse – et future reine une fois mariée – était Scheherazade Almasy, une princesse qui recevait bien des demandes de la pays de nombreux pays, voisin ou non. Elle était la preuve vivante, que maintenir un pays en paix, pouvait se faire avec un joli sourire à son voisin. Nombre de soldats, homme ou femmes, travaillaient pour la princesse, voulant que leur souveraine soit fier de leur travail pour maintenir la paix dans cette cité. Leur armée se constituait de deux branches, séparant hommes et femmes afin d'éviter de transformer les chambres en orgie. Hors des casernes, ils étaient libres de faire ce que bon leur semble, mais en soldat, ils étaient des soldats, ni des hommes, ni des femmes, la sexualité restait derrière. Lorgnant sur son futur en tant que reine de ce pays, Scheherazade avait une envie folle...
« L'on dit la princesse Thoris similaire à une tigresse, renvoyant chaque prétendant avec une trace de sa main imprimé sur sa joue et si cela ne suffit pas, ses tigres se chargent de vouloir en faire autant avec leurs pattes ? »
« Il est vrai, majesté. »
« Mais que désire-t-elle réellement ? »
« Ce... ce n'est jamais précisé, nous savons juste que le sultan propose de bons partis soit disant pour elle, qu'elle refuse toujours. »
« Le sultan propose... mais pas à moi ? »
Peur que sa fille fasse un faux pas avec la princesse Almasy ou il ne voulait pas que sa fille n'ait pas une place de grande importance dans ce pays où il ne faisait pas la loi ? Amusée, la princesse se préparait, demandant à sa cours de préparer aussi un voyage vers Papua. Il y a bien longtemps qu'elle n'y avait pas mis les pieds, peut-être était-ce dans son enfance ? Cela lui semblait si vague et lointain. Vu sa demande, elle allait faire en sorte que le sultan laisse la porte ouverte quand on remarquerait son arrivée. Un long voyage en grande pompe, arrivée avec ses soldats assurant quand même sa sécurité, ses danseurs et ses danseuses, ses musiciens, oui, la princesse ne faisait pas dans la dentelle, passant les portes de la ville en compagnie, elle aussi de tigres. Pourquoi ? Car elle comptait séduire la princesse Rhian, en se mettant aussi ses animaux dans sa poche. Qu'il soit mâle ou femelle, elle en avait un de chaque, pour combler les attentes de ce gros chat qui lui sert de garde du corps.
Le sultan devait être au courant de son arrivée, que ce soit par espions ou simplement la garde qui ait informer la venue de toute cette troupe quand ils étaient visibles hors de la ville. Elle perdit bon nombre de ces gens avant d'arriver au palais, ses derniers amusaient la foule, ne laissant que ses soldats à ses côtés ainsi que quelques serviteurs, portant des cadeaux de bienvenue ! Sans aucun danger ni aucun mal, elle arriva dans la salle du trône, en présence du sultan et de son épouse. Scheherazade approchait, le sourire charmeur en tenant ses animaux sans laisse. Elle n'avait pas la force de les retenir en cas d'attaque, sa voix était leur laisse. Ses serviteurs venaient déposer quelques coffres, contenant moult trésors et bijoux, un simple cadeau pour s’excuser de sa venue sans avoir prévenue de son arrivée.
« Je vous prie de m'excuser, sultan, j'ai eu la soudaine envie de passer vous rendre une petite visite, plus particulièrement, votre princesse. Me serait-il possible de la rencontrer ? »
Une voix si douce, comme son sourire. Elle ne venait pas l'acheter, malgré ses cadeaux, elle venait la rencontrer, mais surtout, la charmer. Elle ne comptait pas faire d'elle une de ses nombreuses amantes au harem, ça non, elle en avait déjà trop. Même si elle n'en a jamais assez. Elle lui offrait une place bien plus signe de sa personne. La princesse penchait doucement la tête sur le côté, son corps peu vêtue était une ode à la beauté. Elle ne demandait pas forcément à tirer la princesse de sa chambre ou des activités en cours, elle pouvait bien aller la rencontrer elle-même, mais elle n'était pas ici chez elle, elle n'allait pas être impolie et agir sur un coup de tête.