Prisonnière ou invitée ? [PV Rhian]
Posté : 18 sept. 2024 00:27
Dans l’immense désert de Papua se trouve bien des mystères, des zones non exploité, car dangereuse, les tempêtes avaient tendance à caché ou déterrer des vestiges que personne ne soupçonnait. Les tempêtes pouvaient être une très bonne alliée pour les ennemis de Papua, mais elle pouvait aussi planter un couteau dans le dos. Les troupes royales savaient s'aider des tempêtes, mais dans le désert vivait un peuple que Papua ne connaissait pas, les Gerudo. Véritable fantôme du désert, les personnes ayant croisé leur route ne pourront pas vous parler d'elles, même pour tout l'or du monde. Véritable experte dans la cultivation de certaines plantes désertique, elles pouvaient piéger des voyageurs sans même faire couler la moindre goutte de sang, grâce à une plante pillé, réduite à l'état de poudre, elle provoquait un sommeil presque immédiat à celui qui l'inhalait même un peu. Neuf fois sur dix, cela suffisait à endormir leurs cibles, elles n'avaient ensuite qu'à mener les corps endormis jusqu'à leur repaire. Et au moment de les quitter, le groupe inhalait une autre poudre venait d'une autre plante. Elle était dangereuse, mais bien dosé, ils perdaient juste leurs souvenirs sur quelques jours, généralement le temps de leur présence forcé dans leur petit campement.
Cachée derrière des dunes, des ruines, des rochers, les Gerudo savaient se montrer aussi patient et dangereux que ses scorpions ou serpent tapis dans le sable, guettant le passage d'une proie pour leur sauter dessus ! L'attente fut longue, mais un petit convoie bien gardé se rapprochait ensuite du point où attendait une troupe de Gerudo. Plusieurs soldats, gardant un véhicule renforcé et apparemment coûteux, peu de chance que ce soit un simple bandit ou citoyen dedans, ça devait être du beau linge ! Un invité pour le palais, un otage, autre ? Personne ne pouvait deviner, mais au moment où ils se rapprochaient d'elles, les Gerudo bondissaient de leur cachette, apparaissant comme des fantômes hors du sable, ils furent bombardés de leur bombe fumigène, plongeant tout ce beau monde dans le pays des rêves. Par chance, cela semblait inefficace sur les cheveux, elles pouvaient donc rentrer sans soucis. Dans un coin du désert, impossible à marqué sur une carte, car autour de ses ruine, seul le sable se perdait à l'horizon, le village des Gerudo accueillait de nouveaux invitées. Beaucoup d'hommes, que des hommes pour ainsi dire, qui vivront là un grand moment, car bon nombre des Gerudo allaient profiter d'eux pour obtenir un bébé. Une douce prison dorée pour eux, bien qu'ils n'en garderont aucun souvenir.
Mais le mieux fut la personne qui se trouvait dans le véhicule, une jeune femme, belle, la peau douce, elle était presque parfaite. Presque, car faut-il qu'elle accepte de rester ici et surtout de lui donner des bébés. Même si certaines Gerudo n'étaient pas contre de passer un moment avec cette sublime créature, Urbosa, la cheffe du village, allait prendre grand soin d'elle. Amenée chez elle, elle fut déposée sur son lit, rien d'un lit royale, mais il restait grand et confortable. Soigneusement allongée sur le lit, Urbosa fit préparer quelques fruits, de l'eau fraîche avant que la grande demi-elfe ne s'allonge près pas d'elle, caressant son visage magnifique, son corps doux et sexy. Ce qui lui plaisait, ce fut surtout ses hanches, car pour elle, elle était parfaite pour porter la vie. Avec une grande douceur, Urbosa la caressait délicatement, attendant son réveil. Elle n'était pas attachée ou enchaîné, elle pouvait quitter ce lit, cette maison, mais elle ne pourrait pas quitter le village sans être stoppée. Bientôt, après son réveil, elle ne tardera pas à entendre les cris de plaisir de ses soldats qui allaient comprendre que leur statut de prisonnier serait un bien grand mot. Sa chambre était de taille normale, on voyait que les murs avaient vécu, le mobilier n'était pas de toute première fraîcheur, mais ce village était abandonné depuis des siècles alors forcément, rénover tout cela n'était pas leur priorité...
« Réveil-toi, ma douce demoiselle... nous avons tant à parler toutes les deux... »
Ses lèvres bleues frôlaient sa peau, elle ne voulait pas profiter d'une femme inconsciente, mais elle avait très envie de la voir enfin se réveiller. Son corps la démangeait et si aucune bosse ne se formait encore entre ses jambes, la demoiselle pourra vite constater qu'en plus de sa taille, il n'y avait pas que son corps qui était plutôt grand, sa virilité était proportionnelle à sa taille.
Cachée derrière des dunes, des ruines, des rochers, les Gerudo savaient se montrer aussi patient et dangereux que ses scorpions ou serpent tapis dans le sable, guettant le passage d'une proie pour leur sauter dessus ! L'attente fut longue, mais un petit convoie bien gardé se rapprochait ensuite du point où attendait une troupe de Gerudo. Plusieurs soldats, gardant un véhicule renforcé et apparemment coûteux, peu de chance que ce soit un simple bandit ou citoyen dedans, ça devait être du beau linge ! Un invité pour le palais, un otage, autre ? Personne ne pouvait deviner, mais au moment où ils se rapprochaient d'elles, les Gerudo bondissaient de leur cachette, apparaissant comme des fantômes hors du sable, ils furent bombardés de leur bombe fumigène, plongeant tout ce beau monde dans le pays des rêves. Par chance, cela semblait inefficace sur les cheveux, elles pouvaient donc rentrer sans soucis. Dans un coin du désert, impossible à marqué sur une carte, car autour de ses ruine, seul le sable se perdait à l'horizon, le village des Gerudo accueillait de nouveaux invitées. Beaucoup d'hommes, que des hommes pour ainsi dire, qui vivront là un grand moment, car bon nombre des Gerudo allaient profiter d'eux pour obtenir un bébé. Une douce prison dorée pour eux, bien qu'ils n'en garderont aucun souvenir.
Mais le mieux fut la personne qui se trouvait dans le véhicule, une jeune femme, belle, la peau douce, elle était presque parfaite. Presque, car faut-il qu'elle accepte de rester ici et surtout de lui donner des bébés. Même si certaines Gerudo n'étaient pas contre de passer un moment avec cette sublime créature, Urbosa, la cheffe du village, allait prendre grand soin d'elle. Amenée chez elle, elle fut déposée sur son lit, rien d'un lit royale, mais il restait grand et confortable. Soigneusement allongée sur le lit, Urbosa fit préparer quelques fruits, de l'eau fraîche avant que la grande demi-elfe ne s'allonge près pas d'elle, caressant son visage magnifique, son corps doux et sexy. Ce qui lui plaisait, ce fut surtout ses hanches, car pour elle, elle était parfaite pour porter la vie. Avec une grande douceur, Urbosa la caressait délicatement, attendant son réveil. Elle n'était pas attachée ou enchaîné, elle pouvait quitter ce lit, cette maison, mais elle ne pourrait pas quitter le village sans être stoppée. Bientôt, après son réveil, elle ne tardera pas à entendre les cris de plaisir de ses soldats qui allaient comprendre que leur statut de prisonnier serait un bien grand mot. Sa chambre était de taille normale, on voyait que les murs avaient vécu, le mobilier n'était pas de toute première fraîcheur, mais ce village était abandonné depuis des siècles alors forcément, rénover tout cela n'était pas leur priorité...
« Réveil-toi, ma douce demoiselle... nous avons tant à parler toutes les deux... »
Ses lèvres bleues frôlaient sa peau, elle ne voulait pas profiter d'une femme inconsciente, mais elle avait très envie de la voir enfin se réveiller. Son corps la démangeait et si aucune bosse ne se formait encore entre ses jambes, la demoiselle pourra vite constater qu'en plus de sa taille, il n'y avait pas que son corps qui était plutôt grand, sa virilité était proportionnelle à sa taille.