The Multiversity

Elles avaient toutes été regroupées, à nouveau, pour l’ultime entretien… Toutes se trouvaient là, ou presque, dans des cocons étouffants dont seule une partie de leur tête ressortait, à savoir leurs yeux, leurs oreilles, et une partie de leurs joues. Autrement, tout le reste de leurs corps disparaissaient dans une excroissance violette qui couvrait également leur bouche et leur nez. Elles étaient collées en hauteur, à un mur, dans une pièce plus étroite que la précédente, avec, en son centre, une sorte de trou menant à une texture lumineuse. Petit à petit, les femmes de la Section Delta-S reprenaient leur esprit, pour constater qu’elles n’étaient plus les jouets impuissants d’un affreux monstre tentaculaire, qu’elles avaient encore leurs combinaisons, et que tout cela n’était visiblement pas un mauvais rêve.

Et, plus elles se réveillaient, et plus elles devraient entendre les gémissements et les halètements.  D’où venaient-ils ? Pour cela, il suffisait de pencher la tête, et de regarder en contrebas, afin de voir un singulier spectacle. Comme une sorte de doucereuse promesse pour la suite à venir…

…Schield était en train de pénétrer Ilinia. La femme était à quatre pattes, et une verge violette s’enfonçait dans ses fesses, tandis que les deux femmes portaient toujours leurs combinaisons. Ilinia se faisait baiser avec force, et sa bouche était prise par une autre queue, émanant d’une autre femme capturée par Sarah, Goya. Prise en sandwich, ses poignets et ses chevilles étaient retenus à même le sol par des tentacules, et les trois femmes s’envoyaient joyeusement en l’air. Quatre mains caressaient donc le corps de la femme, remuant sur sa combinaison, sur ses cheveux, tirant dessus, faisant crisser leurs tenues respectives.

Depuis combien de temps est-ce que toutes ces femmes avaient été capturées ? Il était difficile de l’évaluer… Difficile, car, ici, le temps s’écoulait différemment de dehors. Il n’y avait pas de soleil pour indiquer quand le jour finissait, et quand le soir s’entamait. Il n’y avait rien d’autre que du sexe, encore et encore. Il était donc impossible, pour les Uatéennes, de savoir depuis combien de temps, précisément, elles dormaient. Elles pouvaient être assoupies depuis seulement quelques heures, comme quelques jours.

Elles finirent par toutes se réveiller, puis on entendit alors du bruit venant du trou central. Quelques instants plus tard, un trône massif apparut, avec, assise dessus, Sarah Kerrigan… En train de se faire sucer la queue par une autre soldate tombée entre ses tranchantes mains : Mixim. La séduisante beauté aux cheveux blonds avalait goulûment le membre tendu de la Reine des Lames, qui lui caressait les cheveux, jusqu’à finir, au bout de quelques minutes d’une intense gorge profonde, par jouir en elle. Sarah soupira longuement, puis se redressa, laissant Mixim à côté d’elle, couchée et prostrée contre ses jambes.

L’Annexienne regarda ses proies, les Uatéennes qui lui résistaient encore, à des degrés différents, et s’éclaircit la gorge, tandis que Goya et Schield venaient de jouir simultanément dans le corps d’Ilinia, et se calmaient :

« Je vous souhaite un joyeux réveil, mes chéries ! Rassurez-vous, vous n’allez pas toutes repasser en entretien individuel avec moi… J’espère que vous avez bien dormi, car il est maintenant temps pour vous de vous intégrer à ma Horde ! »

Elle laissa planer quelques secondes, un sourire victorieux sur les lèvres, avant de reprendre, pendant que les Uatéennes soumises se massaient contre elle, certaines venant lui embrasser les pieds :

« Certaines d’entre vous vont aller faire plaisir à mes Cérébrates, et d’autres deviendront mes concubines personnelles… Et, enfin, les plus téméraires d’entre vous recevront un traitement… Particulier. »

C’était tout un programme qui s’annonçait, et Sarah se mit donc à conclure :

« Je vous souhaite à toutes un bon séjour au sein de votre nouveau foyer… »

Le temps étaient sans importance, l'espace n'avait plus de sens, marionnette de chaire, au fils tentaculaire, manipuler au bon vouloir du monstre, plonger dans un univers de tentacules. Il n'y avait que des tentacules à perte de vue, si bien que l'ont se croirait dans un monde fait de tentacule, aucune profondeur, aucun mur témoignant d'une salle, des tentacules venant de toute part, laissant à désirer la raison des direction droite, gauche, haut et bas, pas de nord ou de sud, pas de fond ou de surface, rien qu'un univers de tentacule.

Seule trace d'humanité, les soldates de la section Delta-S, lieu de convergence des tentacules, baignant aussi bien dedans que dans les quantités abyssale de foutre, ne se nourrissant que de ça, avalant ce nectar sans fin. En plus d'être les jouets sexuelles du monstre, elles étaient devenues les mères d'une centaines de larmes, chacune ayant mit au moins une ou deux porté au monde, une future armée xénos, une future armée qui les violerait. Des heures s'était écouler, des heures de sexes, de plaisir, de viols, de luxures, mettant à bas leur volontés, brisant les plus faibles, martyrisant les plus fortes. Suffisamment de piqûre d'aphrodisiaque et de nutriment pour les garder en forme leurs furent faites, l'équivalent d'un régiment entier à elles seule.

Mais peut être pour le meilleurs, mais assurément pour le pire, après tout ce temps, le monstre cessa son viol, les relâchant une à une, les déposant sur le sol de la salle, ou le fond de l'océan tentaculaire, recouverte d'une fine couche de fluide, alimenter par tout les éjaculations sans fin du monstre. Elles furent rassembler, plus des monticules de foutre que des humaines, leur ventres saturée de sperme, certaines régurgitant le trop plein, dans un bruit clapotis et de déglutition écœurant, s’écrasant par terre dans un bruit spongieux. Gémissant de concert, méconnaissable, débordant de foutre, leur humanité bafoué et réduite à néant.

Des années de thérapie serait nécessaire pour certaines pour guérir, pour quelqu'une on pouvait même se demander si ce n'était pas trop tard, si elles avaient atteint un point de non retour. Des tentacules les amenèrent dans des conduits, eux même les conduisant vers un lieu afin laver de tout ce sperme et les vider du trop plein de fluide, afin de les préparaient pour la suite. Du vide se succéda les images et les sons, incompréhensible, tout aller allait si vide pour leurs esprits plus mourants qu’affaiblit, qu'elles en eurent la nausée. Puis vint une sensations étrange, une sensation de manque, se sentant d'une certaine manière.... vide. Mais elles avaient encore une sensation dans leurs bouche, leur intimité et fesses, comme quand elles touchaient une plaque chaude et en gardé la chaleur sur leur mains quelque secondes.

Comme au réveil après une soirée lourde en boisson, une horrible gueule de bois, complètement déboussoler, perdue, désorienter, traumatiser à vie, atone, lente a la détente,.. les soldates se réveillèrent lentement ne pouvant déterminer depuis combien de temps le monstre les avaient relâcher, engluer à nouveau dans un mur, ne sentant que de l'air frais sur une partie de leur visage, le reste de leur corps, coincer dans une poche organique, chaude et visqueuse, possédant une légère liberté de mouvement, remuant un peu la viscosité de leur cocon, trop affaiblie et assommer pour tenter de ce libérer par la force, se sentant comme dans un lit, malgré la texture.

Ne pouvant parler et leur champs de vision restreint, elles n'arrivaient à percevoir leurs voisine que du coin de l’œil incertaine de ce qu'elle voyait, ne pouvant demander confirmation. De plus le spectacle se passant sous leur yeux, accaparer toute leur attention, ne pouvant que contempler l'horrible vision de leur camarades ayant céder. Aucune horreur, aucune indignation, juste une once de désespoir, de résignation et de découragement.

Pourtant parmi celles dans le mur, certaines pouvaient prétendre à être du mêmes niveaux que Schield, Goya ou Ilinia, certaine qui avait lâcher mentalement, des pulsions se réveillant, leurs esprits les poussant à faire de même, briser et corrompue par les heures passer avec le monstre. Elles étaient toute que l'ombres d'elles mêmes, même les fortes têtes n'avaient plus leur esprit combatif. Une part d'elles étaient briser, plus aucune volonté les animant, certaine déjà sous le joug de la Reine, le reste à reconstruire comme bon lui semblait. Même Engiel qui pourtant n'ayant passer qu'une heure ou deux avec le monstre après être sortie de la salle d'opération, était abattue, plus aucune volonté de se battre et de se rebeller, De même pour Shiranui, ressortant de l'antichambre de la souffrance complétement soigner et traumatiser et déposséder de volonté. Pourtant une seule rester encore debout, une seule n'avait pas céder, une seule voulait encore se battre : Tirch.

Son esprit était en proie à la rage et la tristesse, semblant même en conflit avec autre chose, l'annexiene avait épargné sa vie, elle était toujours vivante. Pourtant elle lui avait dit que les xénoss n'auraient pas d'autre choix que de la tuer, qu'ils ne pourraient se servir d'elle. Malgré ça, elle devait maintenant réfléchir à quel protocole elle devait appliquer, en voyant ses soldates passer à l'ennemie et les autres emprisonner, à moins qu'elle ne soit obliger d'appliquer le protocole 0.

Aux centre de la pièce, le troue que seule quelqu'une avait remarquer l’existence, des sons se firent entendre, comme ceux d'une créature remontant, succession de bruits chitineux avant de laissait place à la Reine des Lames, jaillissant des profondeurs de la ruche, impérieuse et dominante, assit sur un trône toisant ses esclaves. Mixim était présente avec elle, fessant une fellation à son auguste Reine, s'appliquant autant à la sucer qu'a se doigter, provoquant des bruits de succions que tous pouvait entendre. De leur côtés, Goya et Schield accélérèrent leur rythme, pénétrant plus durement Ilinia, produisant des gémissements de plaisir, activant sa langue sur la verge xénos de Goya, frustré de ne pas pouvoir participé plus activement !

Les seuls bruits brisant le silence, furent les gémissements et les cries de plaisir, les bruits de succions, les coups de bassin claquant contre les fesses ou les lèvres d'Ilinia. Mixim s'activa avec ardeur, pompant plus qu'aspirant le pilier de chaire de sa Reine, spectacle obscène où rien d'autre ne se passa, laissant les autres contemplaient une part de leur avenir, certaine avec désespoir, d'autre de tristesse, quelques unes avec envie, mais une seule avec l'envie de se battre. Plus de résistance, plus d'opposition, que du désespoir et de la résignation, des esprits et des volontés trop faible ou briser pour s'opposer à leur ennemie. Même Jeanne, celle qui fut la plus enclin à vouloir la tuer de la manière la plus sanglante n'avait plus le même esprit, une part d'elle étant morte auprès du monstre.

Mixim fit une intense gorge profonde, ses bruits de déglutition résonnant avec force durant quelque minute, avant de gober entièrement le pilier de chaire, plaquant ses lèvres contre le bassin et la paire de couille de l'annexienne, qui jouit au plus profond d'elle même, sa gorge gonfler par la verge, ses yeux se révulsant presque. Elle se retira dans un bruit de sucions sonore, la verge quittant la gorge serrer de Mixim, qui toussa, se plaquant contre les jambes de l'annexienne, le visage déformé par l'extase. De leur côté, Shield et Goya finir par se vider dans Ilinia, qui elle même se mit à jouir, avalant goulûment le sperme qui sortait à flot de la verge de Schield, avant de se retirer, les liens d'Ilinia se retirant, alors qu'elle continuer à laper la verge de Schield.

L'annexienne regarda celle coincer dans le mur, t-elle un assortiment de sucrerie dans une boite, tandis que Mixim se mettait à ses pieds, se lovant contre elle, tandis que les autres se dirigeait à quatre pattes vers leur reine.

« Je vous souhaite un joyeux réveil, mes chéries ! Rassurez-vous, vous n’allez pas toutes repasser en entretien individuel avec moi… J’espère que vous avez bien dormi, car il est maintenant temps pour vous de vous intégrer à ma Horde ! »

Et tandis que le trio se massait autour de leur Reine, Ilinia léchant ses pieds, celles dans lem urs exprimait des pensées tout aussi varier qu'opposer. Rinko, Miyo et Ania, les plus durement toucher au même titre que Shield et Ilinia, souhaiter la rejoindre prestement, acceptant leur destin. Mis à part Tirch qui voulait se battre, le reste ne rêver que d'une mort douce et rapide en ces lieux.

Et alors que l'annexienne annonçait la suite d’événement et les groupes qui seraient former, toutes étaient sur que Tirch aller goûter au traitement particulier, quelqu'une pensait aussi à Jeanne, Jade ou Mistrial, mais cette dernière n'avait plus la même volonté, le viol et la perte de son bras biomécanique l'ayant traumatiser et perturbé. Jade était au même stade que les autres, Jeanne, qui par un exploit, garder une étincelle de rébellion, mais n'avait plus la force et la volonté pour se battre encore et encore attacher à la promesse, que lui avait faite l'annexienne : la libération de Shiranui contre sa soumission.

La Reine des Lames leur annonça finalement la bienvenue dans son nid, accompagnant sa parole les soldates furent libérer de leur cocon, du moins certaine. Rinko, Miyo et Ania furent les premières, les plus dociles du reste et déjà à la botte de la Reine, glissant du mur et s'étalant par terre, avant de ramper à quatre pattes vers leur Reine, leur visage exprimant aussi bien leur désir que leur esprits leur soumission. Puis vient Shiranui et Engiel, celle qui furent le plus épargnée par le monstre, mais qui avait vécue un océan de douleur dans la salle de chirugie, les plus à même de riposter mais qui ne firent rien, Shiranui se pelotant contre le mur, la peur au ventre, Engiel défiant du regard la Reine des Lames, la peur visible au fond de son regard. Le reste suivit et ne fit rien de plus, Mistrial regardant avec horreur les ruines de son bras biomécanique.

Seule Tirch fut laisser dans le mur, toujours avec l'envie de sa battre, mais la soudaine et brusque disparition de sa colère et rage du fait qu'elle soit encore en vie disparue en un clin d’œil, son esprit redevenant aussi froid et vide qu'avant, tentant de s'échapper par la force et son esprit semblant être entrain d’obéir à quelque chose, quelque chose lui imposant un de ses protocoles, le protocole 0. Cette chose inconnue semblait guider Tirch, car sans raison, elle qui voulait seulement tuer l'annexienne et celle l'ayant trahit, se décida comme sur un coup de tête, de massacrer toute la section Delta S et uniquement cette dernière, oubliant l'annexienne, comme si elle n'avait jamais exister.

Elles avaient été mises au pas. Cela, maintenant, ne faisait plus l’ombre d’un doute, et, peu à peu, les cocons les libérèrent… Toutes, sauf Tirch. Tirch était la seule à se rebeller, mais il y avait, en elle, quelque chose d’anormal, quelque chose qui allait nécessiter plus que des agressions sexuelles ou des attaques télépathiques. Il allait falloir pratiquer de la chirurgie, et ce en passant par le biais d’Abathur. L’opération était prévue et programmée, mais, avant cela, Sarah voulait s’occuper du reste de l’escouade. Toutes ces femmes constituaient une importante plus-value pour la Horde, car les soldates uatéennes étaient très bien entraînées, très résistantes, et pouvaient donc produire de nombreux bébés. Certes, elles avaient tué beaucoup de Xénoss, mais, en seulement quelques jours, elles avaient déjà produit suffisamment de larves pour compenser les pertes. La vie, au sein de la Fourmilière, surpassait totalement la mort, et, maintenant qu’elles étaient placées face au fait accompli, toutes ces femmes allaient devenir de magnifiques pondeuses et amantes. Sarah, autrement dit, venait de se constituer un harem, et elle sentait, contre ses jambes, les Uatéennes les plus soumises, s’accumulant autour de leur Maîtresse comme ce qu’elles étaient devenues : des chiennes en manque dans des combinaisons moulantes. Sarah avait encore sa queue à l’air libre, et, malgré sa jouissance dans la bouche de Mixim, sa queue était toujours érigée.

Observant les Uatéennes, elle se déplaça un peu, laissant ses mains filer le long des corps, recevant moult baisers et soupirs, comme autant de gestes supplémentaires pour marquer la soumission de ces femmes. Elle observa ensuite à nouveau les femmes, puis prit sa première décision :

« Ilinia, Rinko, et Ania… Comme vous le savez, j’aime le rose et le violet. Par conséquent, et dès maintenant, vous serez mes concubines personnelles. »

Elle leur fit signe d’approcher, et, très bientôt, Rinko et Ania se retrouvèrent lovées contre leur Reine, un bras autour de chaque femme, les mains de Sarah pelotant leurs belles fesses moulées, faisant délicieusement crisser leur combinaison. Ilinia, elle, était toujours aux pieds de l’Annexienne, embrassant et léchant son sexe.

« Ceci signifie que vous serez mes sacs à foutre privilégiés, même si, bien sûr, je n’oublie aucune de mes autres petites putes… Cependant, là où d’autres seront affectés à d’autres services, comme à mes Cérébrates, vous trois, vous resterez à mon service. »

C’était un choix purement partial, reposant sur leur simple couleur de combinaison. Jadis, Ilinia avait porté une combinaison grisâtre, mais, maintenant, il s’agissait d’une belle tenue violette, qui était comme une déclaration d’amour envers sa Maîtresse. Comment pouvait-on rester insensible à un tel message ?

« Toi, Ania, tu contribueras à entretenir tes beaux cheveux, et, tant que tu seras obéissante, tu éviteras les tentacules. Toi, Rinko, tu pourras sodomiser n’importe laquelle des membres de ton escouade par l’arrière. Et toi, Ilinia, j’ai récupéré ton chat, qui se trouve dans l’appartement que vous partagerez à trois. »

Une nouvelle qui allait sans doute faire plaisir à Ilinia. Sarah voulait leur montrer qu’elle récompensait la soumission et la fidélité.

« Vous devrez toutes vous faire l’amour au moins trois fois par jour. Ceci vaut, non seulement pour vous trois, mais aussi pour l’ensemble de mes esclaves. Vous étiez jadis une escouade militaire répandant la mort, maintenant, vous serez mon harem, répandant la vie par vos ventres fertiles. »

N’était-ce pas là un programme jouissif ?

« Maintenant, mes trois chéries, jurez-vous, entre vous, un amour éternel, et de vous faire l’amour ensemble, et sans relâche. »

Ses yeux n'avait rien d'humain, son esprit se cristallisant sur ce protocole 0, ses yeux fixant ses anciennes soldates comme si elles étaient xénos, aucune pensées, aucune émotions, une machine devant obéir à un programme. Tirch n'avait pas de réelle différence avec une machine en cet instant.

Les autres du moins celle n'étant pas obnubiler par l'annexienne, ignorant le danger pesant sur elles, ne fessait rien, contemplant leur camarades s’écraser devant la Reine des Lames, caressant ses jambes, léchant ses pieds ou son sexe. L'annexienne se dirigea vers elles, suivit des soumisses, voulant recevoir l'auguste membre de leur Reine en elles. Elles attendaient, elles avaient pourtant le nombre, les capacités et la possibilité d'affronté ensemble la reine, mais leurs esprits n'étaient plus le même. Elles étaient dans l'attente de connaître afin l'avenir qui leurs étaient réservé, n'ayant même plus assez de volonté pour désespérer complètement.

« Ilinia, Rinko, et Ania… Comme vous le savez, j’aime le rose et le violet. Par conséquent, et dès maintenant, vous serez mes concubines personnelles. »

Les trois femmes eurent le visage rayonnant, les autres furent dépité, même jalouse pour certaine, mais gardèrent l'esprit perdue dans le plaisir et la soumission, acceptant leur sort. Rinko et Ania se lovérent dans les ras de l'annexienne, allant léchant son cou et ses joues, fessant glisser leur lanque avec amour, dandinant du cul sous la mains de l'annexienne et Ilinia lapant son sexe, embrassant le gland.

« Ceci signifie que vous serez mes sacs à foutre privilégiés, même si, bien sûr, je n’oublie aucune de mes autres petites putes… Cependant, là où d’autres seront affectés à d’autres services, comme à mes Cérébrates, vous trois, vous resterez à mon service. »

Le plaisir et la satisfaction pouvaient se lire sur le visage des trois favorites, se collant un peu plus contre leur Reine. Le reste agglutinaient à ses pieds, fut rassurer de pouvoir toujours servir de vide-couille à leur Maîtresse et tout aussi ravie de pouvoir être les jouets des cérebrates, les filles de leur Reine. Le reste n'avait que peu de réaction, Tirch plus occuper à essayer d'arracher ses bras à force de tirer dessus.

La Reine leur annonça ses faveurs à ses favorites, accentuant leur sourire et leur plaisir, la remerciant de sa générosité. Ilinia fut ravie, mais les éclats que furent son esprit, se revirèrent raniment des souvenirs et des émotions, trop faible pour qu'elle le ressente pleinement, juste une sensation étrange, de la tristesse et un petite pointe de regret, son chat, cadeau de ses mères, les personnes les plus importantes à ses yeux et dans sa vie, avant que le reste de son esprit corrompue étouffe ces petits éclats.

« Vous devrez toutes vous faire l’amour au moins trois fois par jour. Ceci vaut, non seulement pour vous trois, mais aussi pour l’ensemble de mes esclaves. Vous étiez jadis une escouade militaire répandant la mort, maintenant, vous serez mon harem, répandant la vie par vos ventres fertiles. Maintenant, mes trois chéries, jurez-vous, entre vous, un amour éternel, et de vous faire l’amour ensemble, et sans relâche. »

Ilinia se releva, masturbant et se collant à sa Reine, écrasant sa poitrine sur celle de l'annexienne avant de l'embrasser, suivit de près par Rinko et Juliette, partageant sa salive, se tripotant entre-elles, avant de s'embrasser entre elles.

-Nous le jurons ma Reine ! Répondirent t-elles d'une même voix.

On pourrait presque croire à un mariage, les amants se jurant fidélité et amour pour le restant de leur jours. Mais une voix brisa ce moment, possédant le ton caractéristique d'une personne qui n'avait plus rien à perdre et empreint d'inquiétude.

-P...pourquoi Shiranui est là ? Croassa Jeanne, en se relevant, tremblante, semblant presque sur le point de tomber à terre au vue des ses jambes tremblante. Tu.. tu m'avais promis de la libérer si je t’obéissais ! Siffla Jeanne, l'indignation et une colère naissante dans la voix.

Dans les cendres que furent sa rage, sa haine, sa colère, une braise se mit à rougeoyer, alimenter par les vents brûlant de sa vision. Elle venait juste d'apercevoir Shiranui, ce qui lui avait fais un choc, l'horrifiant et l'indignant, combustible latent pour qu'elle puise réussir l'exploit de réanimer sa rage passée. À ses mots Shiranui réagit aussi, horrifier par le geste de sa sœur, elle savait son amour pour elle fort mais pas à ce point.

-Pourquoi !? Rajouta Jeanne, se rapprochant de quelque pas de l'annexienne, ses reflexes d'antant la fessant prendre une position d'attaque.

Toutes ces femmes n’avaient, mentalement, rien d’exceptionnel, en ce qu’elles n’étaient, ni des magiciennes, ni des télépathes. Dès lors, Sarah n’avait éprouvé aucune gêne à les briser mentalement sous une surdose de sexe et d’attaques mentales pour en faire des petites concubines dociles. Elles étaient toutes vaincues, et voir ces dernières se jalouser entre elles pour avoir les faveurs de leur Reine était particulièrement alléchant, et ce d’autant plus que ces jeunes femmes n’auraient jamais cru se soumettre un jour à ce point envers leur Reine. Et, pourtant, mis à part quelques irréductibles, il suffisait de voir comment le trio des femmes roses se pressait contre elle pour réaliser à quel point elles avaient été soumises. Ilinia l’embrassa goulûment, puis, jalouses, Rinko et Ania tentèrent aussi de lui voler un baiser, amenant la queue de Sarah à se durcir contre le ventre de la Uatéenne, et ses mains à se crisper contre les fesses des deux autres.

Sarah se faisait plaisir quand Jeanne sembla sortir de sa léthargie en voyant que Shiranui était toujours là... Ce qui l’amena à devenir nerveuse, se retournant vers Kerrigan. Agacée à l’idée de se séparer de ses trois nymphettes, Sarah regarda la femme. Elle avait aussi conscience que son contrôle sur les Uatéennes était encore jeune, et donc fragile. Il suffisait d’une étincelle pour le faire éclater, la preuve en était avec Jeanne, qui était prête à se battre.

« Oserais-tu remettre ma parole en doute, Jeanne ?! »

Sarah s’avança vers elle, et enchaîna rapidement :

« J’honore toujours ma parole... Mais je voulais la libérer en ta présence. Alors, calme-toi, et libérons Shiranui ensemble. »

Les tentacules libérèrent Shiranui, qui peinait à marcher. Elle semblait comateuse, et Sarah laissa Jeanne se précipiter vers elle.

« Elle est encore un peu sonnée, elle est assez grande, alors j’ai dû augmenter les doses de tranquillisants... Mais nous allons la ramener, toutes les deux, à l’entrée de la Fourmilière. Ensuite, je retournerai m’occuper de vous, mes chéries. »

Cette dernière phrase était tout naturellement adressée aux Uatéennes.

Un mur se forma alors à côté de Shiranui et de Jeanne, et Sarah s’y approcha.

« Ce couloir nous mènera à la sortie... Quand tu veux, Jeanne. »

Malgré les tortures mentales, Jeanne pensait encore à sa sœur et l'espoir de pouvoir la sauvée. Les autres, celle qui ne mouiller pas en pensant à leur Reine et qui ne voulait pas commettre un carnage, n'en avaient que faire, certaine voyant Jeanne au bord du gouffre, ce rattachant à une racine presque pourrie sortant de la parois pour ne pas tomber. On voyait son acte futile et idiot, quel intérêt d'espérer quand il n'y a plus d'espoir ? Et puis elles n'avaient pas de toute sur le fin mot de l'histoire : Shiranui finira dans les main de l'annexienne. L'annexienne délaissa le trio de soumises, à leur regret arrivant même à en vouloir à Jeanne pour ça et qu'elle se rebelle contre leur Reine.

« Oserais-tu remettre ma parole en doute, Jeanne ?! »
-Je... commença Jeanne.
« J’honore toujours ma parole... Mais je voulais la libérer en ta présence. Alors, calme-toi, et libérons Shiranui ensemble. »

Effet immédiat, Jeanne délaissa rapidement sa position d'attaque son visage radieux et heureux, au point de donner envie de l'achever tellement qu'elle fessait pitié, son visage marquer par les stigmates du désespoir. Elle se dirigea rapidement au près de Shiranui, pleurant presque de joie, ne fessant pas attention au visage de Shiranui qui montré explicitement qu'elle était choqué par cette nouvelle et qu'elle n'était pas à son goût.

« Elle est encore un peu sonnée, elle est assez grande, alors j’ai dû augmenter les doses de tranquillisants... Mais nous allons la ramener, toutes les deux, à l’entrée de la Fourmilière. Ensuite, je retournerai m’occuper de vous, mes chéries. »
-D'accord ! Répondit Jeanne, en soulevant sa sœur, servant de support pour qu'elle puises se lever.

La braise de sa rage s'était éteinte pour toujours, sa sœur allait être libérer, son sacrifice sauvera au moins une personne. Les premières ayant cédé ne souhaiter plus que Shiranui disparaisse rapidement pour que leur Reine revienne pour elles, tout en se demanda pour quoi Jeanne voulait que Shiranui parte. Les autres voulaient que cela se termine au plus vite, l'attente douloureuse, voulant être briser complètement au plus vite pour les libérer de leur souffrance. Le mur s'ouvrit devant Shiranui et Jeanne, cette dernière s'y engagea avant même que l'annexienne ne l'invite à passer.

CLACK

Jeanne vacilla sur place suite au coup, Shiranui lui ayant donner une claque. La rage, la tristesse et les larmes déformant son visage.

-Comment... COMMENT T'AS PUS FAIRE ÇA ! Hurla Shiranui, choquant ses camarades. JE SUIS TA GRANDE SOEUR C'EST À MOI DE FAIRE ÇA !

Jeanne fut si choquer qu'elle resta clouer sur place, bégayant sur place, une succession de « jejejeje » sortant de sa bouche, avant qu'elle n'arrive reprendre ses esprits et à répliquer de manière hasardeuse.

-On... on a qu'un ans de différence et t'as toujours voulue une grande sœur ! Je fais que remplit mon rôle ! J'ai pas envie que tu vives dans cet enfer ! Tu dois rejoindre maman et vivre une vie normale !
-ET MOI ! T'as pensées à moi ? Comment tu crois que je vais pouvoir vivre sans toi et les autres ? Et tu crois que maman sera heureuse de savoir ça ? Répliqua Shiranui, pleurant à chaude larmes. Tu m'a promit que tu serais toujours à mes côtés. Tu crois que je pourrais supporter ça ?
-Je... émit Jeanne, réalisant qu'elle n'avait pas penser à ça.

Leur mère avait toujours été sensible et fragile, le choc serait bien plus lourd pour elle de savoir qu'une de ses filles est au mains des Xénos, que de savoir que ses deux filles sont mortes en héroïne. Mais pourtant elle ne pouvait pas supporter l'idée que Shiranui vivent dans cette enfer, elle l'avait déjà tirer d'un enfer, elle ne pouvait pas le laisser dans un autre. Mais Shiranui ne s'en sortirait pas indemne, savoir que ça sœur c'est sacrifier pour elle, elle ne pourrait le supporter. Elle fragile de ce côté, agissant comme une petite fille dépendante de sa grande sœur.

Cela lui rappela de vieux souvenir, en voyant le visage de Shiranui, le même visage sur une petite fille de 8 ans, déjà plus grande qu'une fille de 13 ans. C'était à l'époque où Jeanne était orpheline et avait 7 ans, déjà bagarreuse et d'un caractère violent, fuguant une énième fois de l’orphelinat. Elle avait croiser Shiranui sur la route d'une école, entourer de filles se moquant de sa taille, l'insultant alors qu'elle était en pleure et crier de la laisser tranquille. Sur un coup de tête, elle l'avait aider, en tapant les autres filles, causant des coquarts et pétant une dents, ramassant des griffures et se perçant une lèvre. Quand elle les avaient mit en déroute, Shiranui était ramasser sur elle pleurant à chaude larme, en la ragardant.

-Mer...

CLACK

Shiranui pleura encore plus, Jeanne lui avait donner une claqua.

-Pourquoi tu fais ça ? Bredouilla t-elle.
-Pourquoi tu défend pas ? T'aurais pus leur casser le nez ! Cria Jeanne en colère terrorisant encore plus Shiranui.
-Ma... ma...maman ma dit de ne jamais faire de mal...
-Idiote ! Si tu te défend pas on fera que t’embêter ! Gronda Jeanne. Si tu peux pas, je le ferais pour toi ! Considère moi comme ta grande sœur !

Shiranui avait les yeux rouge à force de pleurer et pleura d'avantage en s’écrasant sur Jeanne, la serrant dans ses bras. Jeanne n'avait jamais sue pourquoi elle avait dit, peut être parce qu'elle n'avait pas de famille, ni de mère et de sœur. Elle savait juste que ce fut les plus belle années de sa vie, la mère de Shiranui l'ayant accepter et la considérait comme sa fille depuis toujours, ravit d'en avoir une de plus, allant même jusqu'à créer des photos de Jeanne nourrisson ou de ses précédant anniversaire pour l’intégrer entièrement dans sa famille et sa vie. Shiranui avait été sa clés pour le paradis, ayant eu ce qu'elle avait toujours voulue avoir, une famille.

Famille que l'annexienne voulait détruire, famille qu'elle avait toujours protéger, famille qui était tout pour elle, famille qu'elle ne pouvait briser ou quitter. Même si elle se sacrifier, Shiranui n'aurait pas à subir à ça, l'annexienne ne briserait pas sa famille ! Elle serait sauver et même si leur mère serait attrister, elle reverrait au moins une de ses filles. Siranui devait comprendre et devait partir. Même si les conséquences pouvait être terrible, Jeanne ne pouvait pas laisser Shiranui ici, maman serait entièrement d'accord et aurait fait pareille pour ses filles, elle comprendra.

-Shiranui, j'ai jurer de te protéger ! Scanda Jeanne. Tu dois partir, fait le pour moi et maman !
-Je suis grande, j'ai le droit de choisir. Répliqua Jeanne. Et j'ai fais mon choix !

Sans crie égard, sans prévenir, elle se retourna violemment, tentant de donner un coup de pieds circulaire retourner à l'annexienne, visant la tête. Mes n'étant pas au sommets de sa forme et l'annexienne bien plus rapide, parer son attaque fut facile, mais Shiranui parvint quand même à la déstabiliser. Son visage et son regard, n'avait rien n'a voir avec ce que l'annexienne avait vue, un visage sombre, trop sérieux, emplit de haine, ses yeux la transperçant d'un regard à faire froid dans le dos. Rien à voir avec les Shiranui enfantine et naïve. Pas de rage mais pleine de haine et de carnage, un mot pouvait être lut dans ses yeux : génocide.

-J'ai choisit de me battre ! Grogna Shiranui. C'est à moi de le faire.

Shiranui n'est pas une lumière, mais elle savait très bien que l'annexienne ne la laisserais pas partir, que d'une manière ou d'une autre, elle finirait entre ses mains. En plus, elle voulait à son tour protéger sa sœur, l'annexienne ne la laisserais pas partir, elle voulait enfin lui être utile. Jeanne observa sa sœur, tétaniser, ne sachant comme réagir.

Sarah, malgré toute sa manipulation, n’avait qu’une parole… Mais il est vrai que délaisser Shiranui n’était pas ce qu’elle souhaitait. Dans l’idéal, elle voulait avoir toutes ces femmes, et, si elle avait fait à Jeanne un accord, elle avait bien l’intention, non pas de le trahir, mais de le rendre caduc. En effet, son accord incluait la proposition d’un sauf-conduit pour Shiranui, mais rien n’obligeait, dans cet accord, Shiranui à l’accepter. Jusqu’à quel point est-ce que les deux Uatéennes agissaient vraiment par elles-mêmes, et jusqu’à quel point étaient-elles manipulées par Kerrigan ? La réponse sembla s’imposer quand, au milieu de leur discussion, Shiranui écarta précipitamment Jeanne, et tenta de frapper Sarah, à l’aide d’un coup de pied retourné… Mais le corps de la femme était encore engourdi par les tranquillisants, et, si elle parvint effectivement à surprendre la Reine des Lames, elle ne porta pas le coup fatal, le bras de Sarah se relevant pour intercepter ce pied. Elle observa ainsi le bassin de cette géante, voyant, au-delà de la douceur, de la candeur et de l’innocence, un visage froid et dur.

Devant l’incompréhension et le désarroi de Jeanne, Shiranui se mit alors en position de combat, décidée à prendre son destin par elle-même. Surprise en ce moment, Sarah sourit alors. La Reine des Lames, comme d’habitude, s’habituait rapidement à l’imprévu, y compris quand il était composé par une géante décidée à refuser sa fuite. Le couloir menant vers la sortie se referma alors, et des tentacules en profitèrent pour s’enrouler autour de Jeanne, plaquant fermement cette dernière contre le mur, l’empêchant ainsi de participer au combat.

« Je dois admettre que ton courage m’impressionne, Shiranui. Je t’imaginais en pleureuse qui n’hésiterait pas à retourner chez elle avant de pleurer et de regretter d’avoir abandonné son escouade. »

Kerrigan avait joué là-dessus, et son tour avait marché nettement mieux que prévu. Elle avait en effet escompté profiter de ce sentiment de culpabilité et de cette fierté propre à un soldat. Une escouade, c’était une seconde famille, et Sarah, en tant qu’ancienne militaire, y songeait en connaissance de cause. Shiranui n’avait pas pu se résoudre à être la lâche, celle qu’on verrait, à Uatis, comme une paria, parce qu’elle avait honteusement fui, et peut-être même trahi pour pouvoir s’enfuir.

Sarah souriait donc, et reprit alors :

« Viens te battre, si tu veux… Si tu gagnes, tu auras droit à une faveur, mais, si tu perds… Je considérerai que ton sauf-conduit est caduc, et tu deviendras l’une de mes concubines. »

Elle n’aurait aucun remords à avoir vis-à-vis de Jeanne, car les règles étaient clairement posées. Comme preuve de bonne foi, Kerrigan ferma alors les yeux, et reprit alors une apparence humaine, puis, sortant du décor, des tentacules apportèrent sa combinaison de Ghost. Elle se l’enfila, tout en nouant ses cheveux, puis se tint face à Shiranui… La version humaine de Sarah, une forme qui rappelait des souvenirs, même si, compte tenu de ses modifications génétiques, elle avait perdu sa chevelure rousse.

« Je te combattrais sous mon apparence humaine, pour que le combat soit plus juste, et que Jeanne ne m’accuse pas d’avoir triché. Maintenant, viens, ma chérie… »

Il ne fallait pas oublier que Kerrigan avait subi de rudes entraînements militaires, afin de devenir une Ghost. Si ses capacités psioniques étaient indéniables, il en allait de même pour ses capacités physiques, qui étaient très élevées, et qui tendaient à faire d’elle une guerrière d’exception.

Autant dire que le combat entre les deux femmes promettait d’être intéressant !

Shiranui avait des yeux qui pourrait ôter l'âme d'une personne, un visage si sombre et si haineux, qu'elle ferait peur à la Mort elle même. Comme si quelqu'un avait prit possession de Shiranui, elle n'avait rien en commun avec celle qu'elle fut il y'a quelque minutes, que le corps. Une autre Shiranui semblait s'être réveiller, un autre esprit semblait s'être déclarer. En position d'attaque, les mains comme des serres, le regard verrouiller sur cette créature, se déplaçant comme une prédatrice. Jeanne, à nouveau dans le mur, était complètement désemparer, sur le point de craquer et de pleurer. Elle tenta d'implorer sa sœur, qui ne semblait même pas l'entendre. Les autres regardèrent avec un œil surprit et curieux leur camarade, première fois qu'elle réagissait comme ça avec ça sœur.

« Je dois admettre que ton courage m’impressionne, Shiranui. Je t’imaginais en pleureuse qui n’hésiterait pas à retourner chez elle avant de pleurer et de regretter d’avoir abandonné son escouade. »
-Me compare pas à cette idiote... souffla silencieusement Shiranui, avec une voix étrange, sombre, inquiétante et avec un timbre... différent, plus sérieux et dur.

Si Sarah s'amusait à sonder son esprit, elle verrait à peu près le même état d'esprit que Tirch, avec plus d'émotion... sanglante. Elle voulait faire payer à l'annexienne, tout ce qu'elle avait fait, à sa sœur, à ses amie et à sa mère. De plus elle voulait lui montré qu'elle n'était pas ce qu'elle croyait, qu'elle n'était pas qu'une gamine naïve, enfantine et peureuse. Celles qui n'était pas encore totalement sous le joug de la Reine, sourire de manière dépressive, la part d'ombre de Shiranui ne se réveillant que maintenant, se remémorant une boucherie dans une planque de trafiquant. Sans doute cela aurait changer son destin. Les soldates soumisse à la Reine, craignaient pour elle, certaine demandant à Shiranui de reprendre ses esprits et de laisser leur Reine s'occuper d'elle. Elles s'étaient regroupées en même temps, ne pouvant s’empêcher de se doigter, tandis que Tirch disparue à nouveau dans le mur, sans doute partie dans une autre salle.

« Viens te battre, si tu veux… Si tu gagnes, tu auras droit à une faveur, mais, si tu perds… Je considérerai que ton sauf-conduit est caduc, et tu deviendras l’une de mes concubines. »
-Tu crois à un combat ? N'oublie pas ce que je suis. Souffla Shiranui, avec un sourire, qui n'avait rien de rassurant, rien de gentil ou de plaisant. Un sourire sadique et sombre, à en faire froid dans le dos.

Shiranui aurait pus très bien l'attaquer de suite, mais elle n'était pas sa sœur, elle ne fonçait pas à l'aveugle. Shiranui ne fessait qu'évaluer la situation, les risques qu'elle encourait en cas d'attaque frontale ou si elle tentait une feinte. Bien que puissante soldate (elle à tué un xénophorme à main nue), elle restait avant tout un assassin et elle se devait d'agir de la sorte. Elle ne cilla même pas en la voyant changer de forme et se rhabiller, reprenant une apparence humaine, ce qui n’empêchait pas Shiranui de vouloir la tuer. Dommage qu'elle n'a pas sa lance, ça aurait très avantageux pour elle.

« Je te combattrais sous mon apparence humaine, pour que le combat soit plus juste, et que Jeanne ne m’accuse pas d’avoir triché. Maintenant, viens, ma chérie… »
-Impatiente d'aller dans les bras de la mort ? Susura Shiranui, d'une voix basse et glaciale, au ton meurtrier et... impatient.

Plus rien à voir avec la Shiranui d'avant, même le ballottement de ses seins au grès de ses mouvement ne ridiculisait pas la scène, dominant l'annexienne de sa taille, la toisant et lui jetant un regard dédaigneux. Shiranui recula lentement, se mettant en position, comme si elle allait sauter. Mais... elle ne fit rien, regardant l'annexienne, restant sur place, face à face, en position de combat, respirant lentement. Shiranui était une assassin, le premier coup se doit d'être décisif, elle avait eu l'avantage avec les xénophormes, son premier coup avait permit de mettre l'un d'eux hors jeux et de déstabiliser le groupe, lui permettant d'abattre le deuxième. Si elle avait rater, elle aurait été battue et maîtriser. L'annexienne était d'un autre niveau, le premier coup dans ce duel pouvait décider de l'échec ou de la réussite de l'un des combattant.

Après une minutes, Shiranui fit un mouvement brusque de la jambe, décochant une attaque. En réalité c'était un leurre, après ce temps passer à être immobile, Shiranui était sur que l'annexienne réagirait et se focaliserait par réflexe sur sa jambe, en position de défense ou d'esquive.  Elle se servit de cette soudaine attaque et de la surprise de l'annexienne pour avancer rapidement. Si l'annexienne se mettait en position pour parer l'attaque de la jambe, Shiranui comptait sur son avance et son allonge pour la frapper au coup avec sa main, espérant briser la trajet. Si l'annexienne réagissait assez rapidement pour éviter ou parer, Shiranui utiliserait sa jambe pour porter une vrai attaque, tout en utilisant ses mains pour bloquer ceux de l'annexienne.

Si cela échouait, Schiranui se dégagerait prestement. Elle tenterait une approche latéral, dans le but de la frapper avec sa jambe droite, bien qu'elle comptait frapper de son bras droit en même temps et si elle ratait encore, elle tenterait un coup de pied retourné, avec plus d’élan et de force.

Sarah n’aurait jamais cru qu’un tel potentiel de rage pouvait exister en cette grande femme timide et nerveuse. Quelque chose avait dû se réveiller en elle, et Sarah ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même. Comme elle avait négocié la libération de cette géante, elle ne s’était pas intéressée à Shiranui outre mesure, et découvrait en elle une nouvelle facette... Mais pourquoi pas, après tout ? La Uatéenne observa la femme. Sarah avait confiance en ses capacités martiales, en l’entraînement draconien de guerrière qu’elle avait reçu. Les Spectres formaient un corps d’élite de l’armée uatéenne, des soldats d’élite triés sur le volet, formés pour être compétents dans tous les domaines. Elle se mit donc en position de combat, et Shiranui chargea alors, bondissant vers elle à une vitesse particulièrement impressionnante, malgré sa taille.

La main de Shiranui fila vers son cou, et Sarah la para, puis vit alors l’autre jambe de Shiranui partir vers le côté, et la frappa sur le flanc. Le coup déstabilisa Sarah, qui tomba vers le sol, mais se rétablit rapidement, en posant une main sur le sol, et s’en servit pour frapper la femme avec les jambes, la fauchant. Shiranui tomba également et Sarah tenta de se relever rapidement, et alla se mettre à califourchon sur elle, cherchant à l’étouffer... Las, Shiranui s’avéra résistante, car quand Sarah se posa sur elle, le corps de la Uatéenne partit en avant, sa masse musculaire jouant en sa faveur, inversant ainsi les rôles.

Sarah heurta le sol avec son dos, et, sans se laisser démonter, choisit de retourner la taille de Shiranui contre elle, en utilisant sa haute stature pour enfoncer son genou dans son ventre, avant de donner une traction. Ainsi, plutôt que de se retrouver sous le corps de cette géante, Sarah la déplaça, et la femme passa par-dessus d’elle.

Kerrigan se releva alors, et attaqua, se mettant à courir, mais, plutôt que d’aller au contact, à un ou deux mètres de la femme, elle bondit brusquement, et opta pour une redoutable prise d’arts martiaux. En l’air, elle envoya ses pieds en avant, les joignant ensemble dans un coup qui frappa la femme à la poitrine. Malheureusement, Shiranui était une femme puissante, et, si ce coup aurait pu envoyer au tapis n’importe quelle autre femme, chez Shiranui, ça la fit juste reculer un peu. Sarah atterrit ainsi sur le sol, et, avant de pouvoir faire quoi que ce soit, l’une des grosses mains de Shiranui la saisit à la cheville, et la tira en arrière, avant de décrire un mouvement circulaire, pour la balancer contre le mur.

Sarah gémit en atterrissant contre ce dernier, mais vit Shiranui la foncer, comme une sorte de bœuf, avant de tendre le genou en avant.

*Oh non !*

Prudente, la Reine des Lames bondit sur le côté, et évita de justesse le coup de genou, puis en profita pour frapper la femme au bas du dos avec sa jambe, avant de se recevoir un revers de la main de la géante, qui l’envoya reculer de quelques mètres, du sang s’échappant de ses lèvres.

« Tu es douée, ma chérie... Quelle énergie ! J’aurais été bien sotte de te faire sortir, tu m’offriras tant de si beaux bébés, Shiranui... »

Sarah fanfaronnait, provocante comme à son habitude, mais, dans les faits, elle ne s’en sortait pas très bien pour le moment...

Tue, brise, tue, fracasse, massacre.... t-elle était les mots animant Shiranui, résonnant dans son esprit comme une litanie impie, issus d'une secte sanglante. Elle n'était pas Shiranui, mais son autre elle, une part sombre se dévoilant quand elle enrage, quand elle veut à tout prit protéger quelqu'un... ou faire du mal à quelqu'un. D'aucun dirait que cette troupes de soldates étaient des plus étranges, un mélange instable de plusieurs personnes, aux mentalités multiples, certaines peu adapté ensemble, pour une section de soldate à l'existence nébuleuse. De simple femme ayant une mentalité enfantine et naïve. Shiranui passe à une femme à la mentalité presque psychopathe et meurtrière.

Le début du combat commença mal, bien que Shiranui put porter le premiers coup, elle aurait souhaiter pouvoir frapper le cou que la hanche, l'annexienne semblant avoir anticiper sa ruse, parant son bras. Elle put au moins la mettre à terre, mais qui fut une bien piètre réussit, d'autant plus que l'annexienne put se rétablir et faucher Shiranui, qui s’écrasa de tout son long, sans pouvoir se rétablir. Elle repoussa l'annexienne qui tentait de la maîtriser au sol, la fessant à nouveau tomber vers le sol.

Détruit, tue, brise... ses pensées abreuver de verset de la violence Shiranui, qui ne voulait que la mort de cette créature. Bien que l'annexienne lui mit son genou dans le ventre et la bascula en arrière, Shiranui ne fut pas perturbé et fit une roulade, se relevant à la fin de celle-ci et se retournant à temps pour subir le nouvelle assaut de l'annexienne. Elle accusa le choc, ignorant la douleur et son souffle coupé, gardant l'équilibre, reculant d'un pas. Elle agit prestement et chopa l'annexienne à la cheville et fit une démonstration de force plutôt surprenant de sa part, soulevant l'annexienne du sol et l'envoyant comme un sac contre le mur et de lui foncer dessus sans attendre qu'elle ne soit relever. Ce coup pouvant lui assurer la victoire.

Mais l'annexienne l'évita et Shiranui heurta le mur avec son genou, un crie de douleur s’échappant de ses lèvres tandis que la douleur irradia dans tout sa jambe, la sentant presque plus, suivit d'un autre quand elle fut frapper au dos. Elle balança son bras droit, parvenant à toucher l'annexienne. Elle se releva en grognant et boita alors qu'elle

« Tu es douée, ma chérie... Quelle énergie ! J’aurais été bien sotte de te faire sortir, tu m’offriras tant de si beaux bébés, Shiranui... »
-Que je prendrais plaisir à leur arracher le cœur ! Siffla Shiranui, les yeux exorbitées, une lueur de folie au fond de son regard meurtrier, d'une voix inquiétante et sifflante. Les arrachaient et les écraser dans ma main, dégoulinant de sang, sous leurs cries d'agonies.

Elle chargea à nouveau, ignorant la douleur de son genou, bras tendue sur les côtés et les mains plates. À porter de coup, Shiranui frappa de son bras droit du tranchant de la mains, un coup latéral droit, avant d'user de son autre bras pour porter un coup d'estoc. Elle ne put que pousser l'annexienne à reculer, lui donnant l'espace nécessaire pour lui donner un autre coup de pied circulaire, mais l'annexienne para l'attaque, avant de remonter le long de sa jambe, prenant Shiranui de vitesse et la frappa dans le ventre. Le choc remua ses intestins et lui fit perdre l'équilibre, le fessant tomber vers l'arrière.

Sous un grognement sourd, elle se laissa tomber en remonta sa jambe pour chasser l'annexienne, tentant un high kick. Cela marcha à moitié, parvenant à repousser l'annexienne, mais sans la frapper à un endroit sensible. Elle plaqua ses mains sur le sol, s'en servant comme bascule, soulevant son corps jusqu'à faire le poirier, pour faire retomber sa masse de l'autre côté, atterrissant sur son genou intact dans un bruit sourd. Elle grogna et releva, recevant un coup un plein dans le thorax, mais elle parvint à saisir la cheville de l'annexienne et de la lancer sur le côté, lui fessant perdre l'équilibre, lui laissant le temps de se relever complètement.

Le combat semblait à égalité, les deux combattants n'arrivant pas à prendre l'ascendant, mais Shiranui le savait perdue. Ses tout premier coups devaient être le seul moyen d'en finir rapidement, sans sa lance, elle ne pourrait pas remporter ce combat si il s'éternisait. Même si elle était une bonne combattante, l'annexienne avait plus d'expérience et surtout elle était sous sa forme humaine. D'un moment à un autre elle pourrait très bien user de ses pouvoirs mettre fin à ce combat ou user de son antre. En s'use de cela, Shiranui n'avait plus vraiment de plan d'action, se contentant de frapper le plus vite possible et fort possible quand elle percevait des ouvertures ou qu'elle parvenait à en créer un force de courir et de faire des acrobaties autour de l'annexienne, fessant mouche parfois ou elle même recevant des coups, le combat se transformant en un duel d'usure. Alors qu'un furieux combat se mener, ailleurs, dans l'antre d'Abathur, Tirch était installer sur une table d'opération, nue et à moitié enfoncer dans la table, ses mains et ses pieds engloutit par le creep, ainsi qu'une partie de sa tête. Elle ne pouvait plus bouger et ne tenter même pas de se libérer, des drogues lui ayant été injecter pour la calmer afin de pouvoir retirer son armure et de l'installer sur la table. Dé son arriver elle avait tenter d'arracher les tentacules et de s'en prendre à Abathur, se qu'elle avait presque réussit, jusqu'à ce qu'elle soit drogué avec une dose de cheval, la mettant K.O.

Maîtriser et installer, l’immonde créature était libre d'ausculté la soldate comme il l'entend. Mais il pouvait d'ors et déjà contempler la pâleur affligeante de Tirch, une poitrine presque plate et un corps recouvert de cicatrice en tout genre, issus d'arme blanche, de balle, plus ou moins importante, témoin d'un passé plutôt lourd, est d'un corps parfaites muscler et calibré. Il pouvait aussi constater que ses cheveux était trop blanc pour son âge, mais que ses racines était noire. Passé l'aspect physique, si il lui prenait l'envie d'écouter les battements de son cœurs : cela lui semblerait intriquant, bien trop fort pour quelqu'un à moitié dans les vapes, malgré le rythme tout à fait normale.

Mais cela n'était que la partie immerger de l’iceberg. Une étude plus poussée, par ses tentacules ou autre, lui permettrait de découvrir un cœur beaucoup plus gros que celui d'un humain, en plus d'avoir l'impression d'être la fusion de deux cœur, ses battements plus fort et des artères plus grosse. Son foie était plus petit, mais plus efficace qu'un foie classique. Ses muscles étaient d'origine... inconnue. Elle avait une densité musculaire plus importantes, chaque muscles possédant des fibres musculaires plus gros que la normale et en plus grand nombres. Comparer à une humaine de la même stature, sa densité musculaire est moins importante que celle de Tirch. Mais cela ne valait pas ses os, composer de fibre de carbone, soit quelque chose d'introuvable et improbable chez un autre humain. Seules ces modifications techniquement impossible, expliquait la force et l'endurance de Tirch.

Mais rien de tout ça n'égalait ce que le Xénos découvrirait : la tête de Tirch. Rien que le code barre, un implant coller à son crane et les deux étranges tubes métalliques sortant de sa tête. Rien qu'en surface, la peau semblait avoir fusionner avec ses choses, rien n'indiquant la fin de la peau ou le début du métal. Si il avait un moyen de visualiser l'intérieur du crane : il verrait quelque chose défiant toute logique ! Les tubes métalliques étaient plantés dans le cerveau, deux aiguilles de quelque centimètres planté dans le cerveau, de même que le code barre, des câble traversant le crane, relier à ce qui semblait être un réseau de câble, traversant le cerveaux dans tout les sens : le cortex, le lobe frontale, le systèmes nerveux.... des dizains de cables dans toute les zones spécifique du cerveaux qui gerer les humeur, le sytèmes digestifs, la respiration, le peur, la raison, les souvenirs etc... etc... . N'importe qui serait mort suite à un t-elle traitement. Mais Tirch était vivante.

Mais les tubes, souder entre eux, n'avaient pas fusionner avec le crane comme avec la peau, des attaches de fers le retenant, donnant l'impression de pouvoir être enlever, de même que les tubes semblaient pouvoir être retirer du cerveau, car les tubes semblaient être attacher à une basse détachable.

Face à Shiranui, le combat était très intense. Cette femme était un véritable grizzly quand elle se battait, et Sraah, pour le coup, admettait qu’elle ne l’avait pas vue venir. La timide géante se transformait en monstre de guerre, et contraignit Sarah à devoir jouer sur la défensive, bondissant en retrait, esquivant, feintant, les rares coups qu’elle donnait semblant rebondir sur le corps épais de Shiranui… Qui, en revanche, parvint à lui décocher un violent uppercut. Le coup sonna Sarah, et du sang s’échappa de ses lèvres, tandis qu’elle tombait au sol. Une main empoigna alors ses cheveux, la soulevant férocement, et Shiranui envoya ensuite son genou frapper l’estomac de Sarah, pour la balancer ensuite sur le sol.

La femme s’abattit ensuite sur elle, écrasant son corps contre le sien, joignant ses deux mains à hauteur de la gorge de Sarah, et se mit à serrer, et à serrer fort, le visage déformé par une rage primaire, animale. Sarah se mit à hoqueter, en sentant l’air lui manquer. Cette puissante femme l’étouffait sur place, et Sarah réagit plutôt rapidement. Elle leva ses mains, et les abattit, en usant le tranchant de sa main, sur les côtes de Shiranui, frappant à un endroit bien précis. Le choc fut immédiat, heurtant le système pulmonaire de la Uatéenne, ce qui permit à Sarah de la repousser en posant ses mains sur ses épaules. Elle retourna ainsi le colosse, et se mit à califourchon sur elle, puis la frappa au visage.

Un bon vieux coup de poing à l’ancienne, qui provoqua un craquement à hauteur des narines de la Uatéenne. Usant néanmoins de sa force surhumaine, Shiranui se redressa vers l’avant, agrippant les hanches de Kerrigan, et la souleva, la repoussant sur plusieurs mètres. La Reine des Lames roula sur le sol, et se redressa rapidement, juste à temps pour voir Shiranui se ruer vers elle, et tenter de la frapper au visage avec son pied. Accroupie sur le sol, Sarah bondit sur le côté, et, prenant appui sur une jambe, pivota sur place, et frappa Shiranui dans le dos avec son autre jambe. Ce fut comme heurter un mur, mais l’impact repoussa Shiranui sur quelques centimètres.

« Une baston entre deux séances de baise sur tes copines, c’est exactement ce qu’il me fallait, Shiranui ! »

Elle respirait lourdement, et Shiranui chargea encore, tentant de la frapper. Sarah fléchit les genoux, évitant son attaque circulaire du bras, et vit un genou fuser vers elle. Ses deux mains se posèrent alors, et elle utilisa ça comme un appui, et s’en servit pour bondir en l’air. Une position très acrobatique, qui envoya le talon de son pied heurter la tête de Shiranui. Ses pieds se déplacèrent alors, et s’agrippèrent à la nuque de la femme, puis elle s’en servit pour se redresser, et se retrouva ainsi assise sur ses épaules, encerclant la tête de Shiranui par ses cuisses. Une position qui, en d’autres circonstances, aurait pu être très sexuelle, car son intimité se retrouvait contre le visage de la femme.

Sarah serra alors, bandant ses muscles, comme si elle cherchait à écraser la tête de cette femme entre ses jambes. Shiranui sembla un peu déstabilisée, avant que ses  grosses mains ne se saisissent des cuisses de Sarah, et elle tournoya alors rapidement sur place. Sarah commença à se sentir déstabilisée, et, au bout de quelques instants, ses jambes se desserrèrent… La Uatéenne en profita alors pour la balancer sur le sol. Sarah heurta donc à nouveau ce dernier, et rampa légèrement, un peu sonnée.

Elle avait beau ne pas employer ses capacités xénos, sa régénération cellulaire fonctionnait quand même. Sarah se releva donc, juste à temps pour voir Shiranui la charger comme un taureau. Inépuisable, la Uatéenne donnait tout ce qu’elle avait, mais Sarah, réactive, réussit à éviter de se faire ceinturer en bondissant par-dessus Shiranui, posant une main sur sa tête pour s’y appuyer… Et poussa un peu dessus. Le geste déséquilibra son adversaire, qui se vautra sur le sol.

La Uatéenne atterrit contre le mur, et, jaillissant de ce dernier, des tentacules surgirent alors, et encerclèrent ses bras et ses jambes, la maintenant sur place.

« Tu ne comprends pas, Shiranui ? Tu es un jouet pour moi… Comme toutes tes petites copines. »

Sarah lui sourit alors, et les tentacules relâchèrent Shiranui.

« Allez, ma chérie, viens encore te battre, j’aime ton agressivité, ton… Ton énergie. »

Et son sourire devint narquois, moqueur et amusé.

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Loin du combat entre les deux femmes, Abathur se livrait à un autre combat,  beaucoup plus subtil, beaucoup plus instable : l’étude du corps de cette femme. L’ingéniosité des humains l’avait toujours fasciné, et c’était visiblement le cas ici. Abathur avait totalement immobilisé cette femme, et elle était même plongée dans le coma artificiel, grâce à de puissantes drogues. Il déplaça ainsi ses multiples et fins tentacules, et s’en servit pour ouvrir son crâne. Le concept de surprise, d’étonnement, chez Abathur, était très relatif. Il ne raisonnait pas comme les autres, ayant un strict point de vue scientifique, froid, amoral, détaché.

« Fascinant… Mélange de tissus organiques et synthétiques… Créature d’exception… »

Abathur inspectait ce corps, cherchant à comprendre son organisme. Ses pattes caressaient les tubes, puis heurtèrent les multiples câbles qui entraient et ressortaient de son cerveau, formant un spectacle unique. Le Technogénéticien explorait davantage, tout en essayant de comprendre. Les câbles devaient permettre d’envoyer des impulsions électriques, de manière à pouvoir annihiler, ponctuellement, certaines zones du cerveau. Une expérience, un prototype… Voilà ce que cette créature était.

« Retrait des câbles périlleux pour survie du sujet… Retrait possible des tubes, mais conséquences à envisager… »

Que se passerait-il s’il ôtait les tubes ? Est-ce que ces derniers ne contribuaient pas à l’équilibre de ce corps ? Abathur devait en savoir plus, et, à cet effet, s’attaqua au reste du corps de la femme. Un scalpel fila de la gorge de la femme, entaillant sa chair jusqu’à son nombril, puis il écarta lentement la peau, avant de la retenir, ouvrant délicatement la femme.

Histoire de voir ce qu’elle lui cachait encore…

Malgré la douleur de son genoux et l’handicape que cela lui causait, Shiranui ne s’arrêtait pas. Néanmoins la douleur avait eu le mérite de lui refaire reprendre ses esprits, assez pour avoir les pensées plus clairs, sortant de l'esprit sanglant et détraquer, mais restant toujours cette autre elle même. Elle combattait en occultant la douleur des coups, se montrant stoïque, encaissant sans broncher et répliquant de toute ses forces. Ainsi elle put porter un uppercut à son adversaire, enchaînant avec un coup de genoux dans son estomac, mais restant sur sa jambe endolorie par le coup dans le mur, elle manqua de se dérobé, agissant rapidement afin de ne pas être en position de faiblesse. Elle accompagna l'annexienne, l’écrasant sous son son poids, avant de se mette à califourchon sur sa proie, en essayant de lui écraser la trajet avec ses doigts.

Mais cela ne suffit pas à stopper la Reine des lames, qui parvint à la mettre hors d'état de nuire quelque instant en la frappant à un point sensible, la fessant hoqueter violemment, respirant par à coups. Ainsi déstabiliser, l'annexienne réussit à inverser les rôles, répliquant sauvagement, lui fracassant le nez, le brisant sous le coup. Shiranui fut sonnée, mais parvint à rester lucide, malgré la douleur, qui eu le mérité de lui remettre un temps soit peu les idées en place, restant toujours aussi dangereuse, mais perdant le côté psychopathe. Elle réussit donc à répliquer, l’adrénaline et son état lui permettant de soulever et de jeter l'annexienne sur 3-4 mètres. Ainsie fait, elle put se relever et charger l'annexienne, soufflant comme un bœuf, malgré les élans de douleur que lui causait ses hématomes.

Mais son état influencer son efficacité, anticipant trop tard l'attaque de l'annexienne, qu'elle aurait au moins pus s'en protéger ou atténuer le choc. Elle se prit donc complètement la jambe dans le dos, qui lui fit courber le dos et perturba sa course, déviant de sa trajectoire et s’arrêtant en dérapant presque, manquant de trébuchet.

« Une baston entre deux séances de baise sur tes copines, c’est exactement ce qu’il me fallait, Shiranui ! »

Un grognement sourd s'échappa des lèvres de Shiranui, alors qu'elle se mit à charger, tendant ses bras comme pour faire un plaquage, du sang s'écoulant de ses narines meurtries badigeonnant sa bouche de sang. Ses bras se refermèrent sur le vide, mais elle eu le reflexe de lever le genoux, s'en servant comme levier. Mais les prouesses physique de l'annexienne était les meilleurs, évitant les deux attaques et décochant un coup de pied, cognant le front de Shiranui. Elle stoppa net sa course et partie en arrière, mais par chance elle était assez pencher pour que le tout s'équilibre. Sonnée, elle recula d'un pas secouant la tête, l'adrénaline filant toujours en elle, des étoiles dans les yeux. L'annexienne l'attrapa par la nuque et parvint à se hisser à l'aide de ses pieds, l'état d'esprit et l'adrénaline de Shiruina l'aidant, évitant de la tirer à terre.

Shiranui réagit qu'une fois ses yeux obscurcie par l'annexienne et qu'elle sentie une pression menaçant de lui écraser la tête. Elle leva ses bras, chopant les cuisses de son adversaire et commençant à se secouer comme un chien, la déstabilisant, desserrant la prise sur sa tête, lui permettant de soulever et de balancer l'annexienne. Shiranui tituba un peu en arrière, secoua sa tête et regarda l'annexienne, déboussoler, mais réussit à ce ressaisir et chargea à nouveau. Mais n'importe qui verrait qu'elle se forçait et semblait plus lente.

Et inévitablement, l'annexienne contra facilement, sautant pardessus elle, attrapant sa tête, avant de l'envoyer vers le sol d'un impulsion. Shiranui réagit trop tard pour se protéger le visage, elle se cogna la tête contre le sol, rebondissant un peu, avant de glisser vers le murs. Elle n’eut même pas le temps de faire quoi que ce soit, que des tentacules jaillirent du sols, la maintenant à terre.

L'annexienne se mit à lui parler, mais Shiranui n'était plus vraiment en mesure de l'écouter, regagnant peu à peu ses esprits, les chocs multiples et répéter à la tête semblant l'avoir assommer. Les tentacules la relâchèrent, et mit un long moment avant de se relever, forçant sur ses bras et ses jambes, écoutant d'une oreille sourde l'annexienne

Elle se releva, tituba et se cogna contre le mur, avant de s'appuyer dessus pour se relever. On voyait bien qu'elle allait mal, embrouiller et déboussoler, les multiples coups à la tête semblaient l'avoir rendue à la normale, plus de regard sanguinaire et remplit de carnage, le visage sérieux et inquiétant laissant place à une expression hagard, la vrai Shiranui semblait être revenue. Elle s'éloigna du mur, chancelant un peu, la mains sur son nez casser, étouffant des plaintes, comme si elle ressentait que maintenant la douleur.

Mais elle repartie quand même à l'attaque, en courant, toujours aussi déterminer, mais cela ne pouvait la sauver. L'adrénaline avait disparue et sa seconde personnalité s'était rendormit, elle avait tenue grâce à ça, le doute n'était pas permit. Bien qu'encore sonnée, un peu vaseuse et ses pas quelque peu hésitant, Shiranui était encore en bonne condition, elle avait apprit à dissocier la douleur de son corps, bien qu'en l'état c'était quelque peu difficile.

A quelque pas de l'annexienne, Shiranui sauta, droit devant l'annexienne emporter par l'élant, tentant un coup de pied aérien, l'obligeant à esquiver. Shiranui passa devant l'annexienne, sa vitesse l'emportant un peu loin en avant, 2-3 mètre après l'annexienne. Elle réussit à se retourner en l'air, se réceptionnant tant bien que mal, atterrissant plutôt mal sur sa cheville qui émit un craquement. mais qu'elle réussit à ignorée le craquement et la douleur, lui arrachant presque un crie et repartie à l'assaut, se propulsant en avant, cherchant à attraper sa jambe. Au vue de sa taille, de son poids et de sa force, il y avait de chance pour que Shiranui parviennent à lui briser le genoux à l'aide de son poing
Les conclusions d'Abathur, n'était qu'a moitié juste. Tirch n'était pas le prototype d'une nouvelle technologie, mais le résulta final d'une longue expérience à l'histoire lourde et sombre. Pour sa créatrice, Tirch était le résulta final de plusieurs années d'expérimentation et la porte vers d'autre projets. Le fonctionnement des câbles allez bien plus loin que de simplement supprimer quelque fonction du cerveau de temps en temps, de même que les tubes qui étaient le centre même du fonctionnement de cette étrange création.

L'auscultation du corps lui ferait assurément poser une question : comment ? Il n'y avait aucun imperfection, les os semblaient ne pas être les orignaux au vue de leur composition et l'absence cicatrice ou indice montrant une intervention chirurgicale lourde portait à croire que c'était naturelle. Est même si elle avait subit une opération de ce genre, elle ne s'en serait pas sortie indemne. Aucune trace d'implant bio-mécanique et une analyse de son ADN montrerait qu'elle est humain, malgré les marque évidente de modification chimique, cela était fait de manière si parfaite, que ça passer pour naturelle. Son système digestif était plus petit mais plus efficace, créant moins de matière fécale, sûrement pour réduire ses besoins naturelles, et limiter le risque que ses organes ne soit s'en doute gravement atteint. Le bloque de métal dans son intimité, ne fusionnaient pas entièrement avec la chaire. Le métal ne fessait que frotter la chaire sur des cercles de quelque millimètre placer de manière régulière sur son long, comme pour facilité une extraction sans trop faire de dégâts.

Mais les modifications s’arrêter là, les poumons, le diaphragme et les autres organes étaient normale. Son corps semblait avoir été améliorer dans le but de faire la guerre, mais en améliorant seulement ce qui semblait être utile, pour perfectionner ses capacités et son efficacité. Rien ne pouvait expliquer la vrai raison du réseau de câble. Il pouvait tout aussi bien réguler les fonctionnement du cerveau, que les émotions, hors ce n'était qu'une partie de ce qu'il fessait. La seule chose qui aurait des conséquences serait de retirer les tubes.

Aussi grande que puissante, Shiranui était un véritable ours aux gros seins. Défier cette femme était un véritable challenge, même pour Sarah, qui se plaisait néanmoins à ce combat. Elle jouait avec Shiranui, bien entendu, car l’Annexienne disposait de capacités surnaturelles par rapport aux humains, et ce sans même compter le fait qu’elle soit dans sa Ruche, et qu’elle puisse modifier à loisir le décor. Autrement dit, elle ne craignait rien de Shiranui, mais cette dernière, tenace et obstinée, s’élança à nouveau vers elle. La timide et faible femme que Sarah avait connu s’avérait être plus nuancée qu’une simple victime. Furibonde, et redoutable, elle opta pour un redoutable coup de pied aérien, que Sarah esquiva en bondissant sur le côté.

Shiranui, emportée par son élan, réussit néanmoins à surprendre Sarah, en bondissant sur place, filant droit vers elle.

*Quoi ?!*

Impossible d’esquiver ! Alors, plutôt que de fuir, Sarah choisit de parer. La chitine autour de son genou sembla alors durcir, et une seconde couche d’armure vint protéger cette partie de son corps, prouvant, encore une fois, combien le corps de Sarah était malléable. Elle se recouvrit donc d’une seconde carapace chitineuse, ce qu’elle ne faisait que rarement, car, quand elle se recouvrait de cette armure, elle était beaucoup plus lente. Le poing de Shiranui heurta ainsi son genou, se heurtant dessus, et faisant probablement plus mal à Shiranui qu’à Kerrigan.

Cet ultime coup d’éclat agaça néanmoins Sarah, et le sol sous Shiranui se bomba alors, puis se redressa brusquement, comme s’il était devenu tout flasque, et souleva Shiranui, plaçant son corps à hauteur de celui de Kerrigan, qui la frappa alors de volée, à hauteur du ventre, en usant d’une force surnaturelle.

« Haaaa... !! » hurla-t-elle.

L’attaque heurta violemment Shiranui, qui s’envola comme une fusée, malgré son corps massif, et s’écrasa violemment contre le mur au fond. Il y eut un choc douloureux, mais la femme ne tomba pas, le mur venant en effet s’enrouler autour de ses membres, l’immobilisant sur place.

« Keuf... Foutue salope ! »

La Reine des Lames serrait nerveusement les dents, et se rapprocha. Shiranui était cependant toujours en vie, ce qui, en soi, était un exploit. En effet, un tel coup aurait pulvérisé le dos d’une autre personne, à la constitution plus fragile. Ici, Shiranui resta juste sonnée, mais toujours consciente. Sarah s’avança lentement sur elle, en reprenant son calme.

« Oui, tu es vraiment très forte, Shiranui... Je dois admettre que tu m’as impressionné. Une telle force, une telle résistance... J’aurais vraiment fait une erreur en te laissant partir d’ici. »

Sa voix se faisait maintenant plus douce, tandis qu’elle s’approchait de la femme.

« J’admire ta combativité, même si ce combat était sans issue... Toutes tes amies sont maintenant miennes, tu te réveilles après le combat, Shiranui... Et tu seras une magnifique pondeuse. »

Sarah s’était rapprochée d’elle, caressant ses hanches, esquissant un léger sourire sur ses lèvres.

« Je crois d’ailleurs qu’il est temps de t’engrosser, ma chérie... »

---

Abathur n’avait jamais vu une telle chose de la part des Uatéennes, et, s’il avait été capable d’être surpris, il aurait indéniablement écarquillé les yeux. Au lieu de ça, il observait le spécimen comme un fascinant sujet d’étude, et envoya sur son corps plusieurs sangsues. Les Xénos avaient leurs techniques de prélèvement d’ADN, et il s’agissait, pour Abathur, d’utiliser des sangsues qui absorbaient un peu de sang, le stockant dans des poches intestinales aseptisées, et permettant ensuite de les étudier. Abathur étudiait donc ce corps, des tentacules filant en elle, remuant le long des organes, observant ce mélange impressionnant entre texture organique et texture synthétique.

« Hypothèse d’une créature cybernétique présentant un habillage organique rejeté suite à un examen avancé de son organisme... Créature hybride, mais indéniablement humaine, d’après résultats génétiques... »

Ce n’était pas une machine, mais une humaine ayant subi d’étranges opérations. Abathur essaya de comprendre comment une telle opération avait pu avoir lieu en explorant la peau, mais ne repéra aucune cicatrice sur le corps de la femme.

« Difficile de déterminer comment les éléments artificiels ont été greffés sur ce corps... »

Le technogénéticien ne désespérait pas, car il ne connaissait pas ce sentiment. Il inspecta ensuite le vagin de la femme, et constata que la plaque métallique se trouvait à hauteur du vagin, et se terminait dans l’endomètre, et pouvait facilement se retirer. Un tentacule s’enfonça dans le vagin de la femme, se heurtant rapidement à la paroi.

« Extraction possible sans détérioration des tissus organiques... »

Abathur stimula ensuite ce corps, à l’aide d’impulsions électriques, et vit le corps réagir, les pompes et les câbles se mettant en marche, provoquant des réactions musculaires beaucoup plus fortes que chez des spécimens humanoïdes ordinaires.

« Raison d’être des tissus synthétiques révélée, servant à améliorer les performances de combat du spécimen... »

Peut-être un prototype de combat ? Restait encore la question de comment ces constructions avaient été faites, puisque, d’après les informations génétiques qu’il avait obtenu, le spécimen était une femme à la base, comme n’importe quelle personne. Ses pinces s’approchèrent ensuite des tubes à hauteur du cerveau, et il en attrapa un, décidé à prendre un risque... Et le retira.

Son attaque ultime, celle qui pourrait sûrement lui donner un avantage certain et une des blessures les plus grave après le combat entre Tirch et l'annexienne. Elle se heurta malheureusement une carapace aussi du que la l'acier, si bien qu'elle se brisa quelque phalange, son poids et sa force, écrasant ses doigts contre le genou. Ce qui stoppa aussi son élan, l'obligeant à user de son autre bras pour, finissant entre les jambes de l'annexienne, s'en suivit du sol qui l'envoya en l'air. Elle reçu dans la seconde suivante, un puissant coup de poing, la fessant vomir, lui coupant sa respiration, brisant une paire de côtes et l’envoya valser dans les airs. Elle lâcha un crie proche de l'agonie en heurtant le mur, sentant le choc se répercuter dans tout ses os, l'engourdissant, tandis que des points blanc apparue dans sa vision. Des tentacules l'attrapèrent et la fixèrent contre le mur.

Elle se forçait presque à respirer, la douleur irradiant sa cheville, ses doigts, son nez et ses côtes brisaient, lui fessant presque perdre contact avec la réallité. Elle criait faiblement, par à coup, comme un programme ayant un bug. Elle était dans un état pitoyable, sous le regard horrifier des autres, quelque soit leur état et leur camps. C'était le prix de son choix, elle ne le regrettait pas, elle avait voulue choisir et s'affirmer une dernière fois.

L'annexienne se rapprocha d'elle, alors que Shiranui reprenait difficilement son souffle, à demi-consciente de ce qu'il l'entourait. Elle ne comprenait même un tiers de ce que lui disait l'annexienne, mais sa partie encore consciente sut qu'elle parlait de leur combat. Elle regardait d'un œil vaseux l'annexienne, ayant du mal à estimer clairement sa position, jusqu'à ce qu'elle recouvre pratiquement sa conscience, réalisant son immobilité et comprit pleinement les dernières phrases de l'annexienne :

« -Et tu seras une magnifique pondeuse. Je crois d’ailleurs qu’il est temps de t’engrosser, ma chérie... »

La vrai Shiranui réapparue clairement, commençant à pleurer et voyant l'annexienne comme un monstre, à l'inverse qu'elle n'avait plus vraiment peur et était... résigner, abattue, vaincue.

-Pourquoi... pourquoi on peut pas gagner ? Souffla pitoyablement Shirannui.

C'était une question naïve, la posant plus pour elle même et ses camarades, dignes d'une enfant qui ne comprenait pas très clairement ce qui lui arrivait. Un déclic retentit, Mistrial retirant ce qui restait de sa prothèse, jusqu'à dévoiler une épaule presque coupé à ras, une base métallique avec divers prise et câble.

-Parce que. Répondit Mistrial, d'un ton sans réplique. Le retrait d'un des mystérieux tube, prit assez de temps, car rattacher au crane par des attaches de fer. Mais rapidement, la peau fut transpercer par des pointes de métal, les attaches libérant les tubes, et l’extraction fut plus faciles, arrachant un peu de peau, le sang commençant à couler, recouvrant une étrange structure, cachant le cerveau, semblables à une prise relier au cerveau. Les tubes, qui semblaient ne faire qu'un, avaient chacun une fine pointe de métal permettant le contact avec l'étrange prise, qui devait servir que d'attache, le cœur du système étant ces tubes, qui semblait plus lourd que laisser présager son gabarit. Mais brusquement, une voix entre féminin et masculin désincarnée et clairement synthétique retentit.

-Retraite forcé du système CCE. Retraite non programmer.

L'engin créa plusieurs laser, partant du haut des tubes, parcourant rapidement la salle et Abathur, comme une analyse.

-Danger. Sujet 0 Tirch en danger. Projet SP compromit. À tout les membres de la SRS présent, suppression immédiate du Sujet 0 Tirch. Danger. Projet SP en danger. Danger. Suppression des sujets principaux de la Delta S. Danger. Danger. Dang....

La voix se tut, s'en suivit de crépitement et d'étincelle, la machine se mettant hors service, grillant ses systèmes. Elle avait envoyer ce message sur toutes les fréquences militaires, ainsi qu'un signal de géolocalisation, mais elle avait parler dans le vent, bien loin de tout centre ou appareille de communication. Un système plutôt simplet et peu évoluer, n'ayant même pas saisit la véritable nature de l'endroit ni la nature de la créature, juste que rien ne correspondait à sa base de donnée, ni capter que son message de détresse ne pouvait être reçu de personne, le signal se perdant très rapidement en route. Voilà que le Xénos se retrouva avec des mystères en plus, des initiales inconnue et des ordres étranges. Qu'elle était le vrai lien entre Tirch et les membres de la section Delta S ?

Et suite à cela, il pouvait voir que le fameux Sujet 0, eu des mouvements brusques, du moins ce que laissaient penser les tremblements de son corps à chaque coup et son rythme cardiaque s'accéléra rapidement. Elle semblait paniquer, se mettant à trembler, murmurant même des paroles incompréhensible. Malgré les drogues l'ayant plonger dans le comas, elle semblait émerger, se réveillant lentement, mais sûrement. Le fait d'avoir retirer le fameux CCE, semblait avoir bouleverser tout le fonctionnement de Tirch, enchaînant des réactions étranges, serrant le plus fort possible ses poings, respirant comme si elle avait faillit se noyer, tremblant de manière épileptique, criant parfois, de douleur, de rage ou sans raison. Elle riait et pleurer, clignant des yeux de manière incontrôlée, ses yeux allant d'un point à un autre.

Elle semblait faire n'importe quoi, comme si son cerveau était détraquer, cherchant à remettre tout le système en fonctionnement, mais qu'il ne savait pas comment faire, testant des combinaisons aléatoires pour réveiller le système. En faite, c'était presque le cas, toute les fonctions du cerveau se réactivaient brusquement et ce dernier chercha à reprendre les commandes d'un système devenue fou, avec un esprit briser. Après quelque minutes, Tirch se calma, redevenant normale, reprenant un rythme cardiaque normale et une respiration plus calme. Elle semblait repartie dans son coma, les drogues agissant encore et suffisamment puissante pour empêcher un réveille impromptue. Les réponses à toute ses questions se trouvait sûrement dans les souvenirs de Tirch, désormais libérer de leur entrave.

Était-ce enfin fini ? Cette furieuse résistance, cette lutte acharnée ? Sarah pouvait les comprendre. Jadis, elle s’était battue pendant des mois, elle aussi, quand elle n’était encore qu’une humaine, avant de subir sa transformation. Elle vit dans le regard de Shiranui sa combativité disparaître, au profit d’une insondable tristesse, alors qu’elle réalisait ce que son destin allait maintenant être. Une froide résiliation se lut dans ses yeux, et Sarah, caressant son ventre, sourit, avant de tourner sa tête vers Mistrial, qui, après ce combat, mais à l’issue prévisible, donna une morne réponse.

« Allons, allons, ne soyez pas si déprimées, mes chéries... Ce que vous allez vivre, en réalité, est à bien des égards considérée par beaucoup de Uatéennes comme un véritable paradis. Si vous saviez le nombre de personnes qui, chaque jour, se rendent d’elles-mêmes aux Xénos. Nous sommes l’accomplissement suprême de toute votre philosophie, un rêve d’unité et d’harmonie. Ici, vous ne souffrirez plus. Vous ne connaîtrez qu’un bonheur infini et éternel, où les mâles ne serviront qu’à vous obéir. »

Sarah pensait sincèrement ce qu’elle disait. Elle ne se voyait nullement comme une figure maléfique, mais, au contraire, comme une libératrice. C’était ainsi que l’Overmind avait fait d’elle sa redoutable agente, en brisant son esprit, et en lui faisant comprendre que les Xénos n’étaient pas mauvais. Comme toute espèce, ils se contentaient de se développer. Quelle différence y avait-il entre un Xénos et un humain ? Les humains eux-mêmes n’avaient-ils pas conquis tout ce qu’il était possible de conquérir, massacrant les espèces leur étant hostiles, asservissant les autres, polluant et détruisant la nature ? Les Xénos exploitaient les ressources naturelles pour les magnifier, et faisaient éclore la vie là où il n’y en avait pas.

La Reine des Lames se déplaçait donc, observant ses magnifiques proies.

« C’est à cause du libre-arbitre que vous pensez être spéciales. Mais, en réalité, mes chéries, vous n’êtes rien. Croyez-vous donc que votre état-major enverra des renforts pour sauver vos jolis culs ? Vous n’êtes que des quantités négligeables, à l’égard de votre pays, ou même à l’égard de l’Histoire. Un grain de poussière qui redeviendra poussière, à l’image de Terra, un petit bout de roche perdu dans l’immensité du Cosmos. Depuis votre tendre enfance, on vous apprend que vos pensées sont importantes, qu’il faut se développer, s’affirmer, avoir des émotions... Mais tout ça, ce ne sont que des illusions ! Le libre-arbitre est un mensonge que vous dressez pour masquer la vacuité de vos existences. La liberté ? Ah ! Une belle fable ! La seule différence entre mon peuple et le vôtre, c’est que nous ne sommes pas hypocrites. Nous formons une société utopique, et vous le réaliserez. »

De fait, elles seraient continuellement assaillies, télépathiquement, par la propagande de Sarah, et ce surtout en dormant, où Sarah bombarderait leurs psychés de messages subliminaux. Il ne faisait aucun doute que ce mécanisme marcherait. La seule incertitude, c’était la durée, car elle dépendait de bon nombre de critères.

« Sur ce, mes beautés, vous avez toutes à faire... »

Sarah dispersa alors les membres, qui furent englouties dans les murs, et emmenées dans des sections différentes. Shiranui, par exemple, fut déposée dans un cocon pour être soignée. La Reine des Lames, de son côté, se rendit ensuite vers sa salle de trône, et, une fois là, alla dans une petite pièce latérale, où trois femmes l’attendaient. Trois femmes qui s’étaient soumises à elle avant le combat avec Shiranui, et que Sarah avait écarté avant le début des hostilités.

Elle retourna ainsi voir celles qui auraient l’immense honneur d’être ses concubines privilégiées, en grande partie parce qu’elles portaient des combinaisons aux couleurs rosâtres : Ilinia, Ania, et Rinko.

« Bien ! Comment allez-vous, mes chéries ?! »

---

Le technogénéticien de la Horde ne comprit pas grand-chose à ce qui se passait. Il était un spécialiste en biologie, pas en technologie informatique ou électronique. Les Xénos n’avaient pas une culture synthétique, mais constituaient une véritable civilisation organique, puisque, chez eux, tout était vivant, y compris les outils. Ce qui se passa donc était incompréhensible pour Abathur, qui augmenta, en vain, ses injections, de manière à calmer le corps de la patiente. Au lieu de ça, le spécimen continuait à s’agiter frénétiquement.

Puis, au bout d’un moment, la femme sembla se calmer, et s’écroula sur place, inconsciente, mais toujours en vie. Abathur l’observa longuement, sans rien dire, plongé dans ses réflexions.

« Incapacité d’examiner plus attentivement le fonctionnement du spécimen... »

Il allait devoir confier cette dernière à Irina, qui était une ancienne scientifique uatéenne, et qui en savait donc plus que lui sur elle. Abathur se contenta donc de la recoudre, en préparant son rapport à la Reine quand elle reviendrait le voir.

« Allons, allons, ne soyez pas si déprimées, mes chéries... Ce que vous allez vivre, en réalité, est à bien des égards considérée par beaucoup de Uatéennes comme un véritable paradis. Si vous saviez le nombre de personnes qui, chaque jour, se rendent d’elles-mêmes aux Xénos.

D’étrange frissons parcoururent certains membres. Elles savaient très bien que des Uatéennes voyaient en ce lieu une sorte de paradis... pour en avoir tuer. La section Delta S avait régulièrement des missions de ce genre, mais seules quelque unes était habilité, comme Engiel, Jade ou Mistrial, qui avaient vécue l'horreur des combats, contempler impuissante des camarades mourir sous les griffes xénosnes, et donc les plus à même de tuer des soldates dissidentes ou des « terroriste » voulant plonger Uatis dans le chaos. Surtout Engiel, ancienne soldate de l'escouade Rhino, qui avait faillit se coller une balle en pleine bataille après le massacre de plusieurs camarades. Ceux qui n'avait pas affronter les xénoss, qui était aveugler par la propagande, ignorait réellement ce qu'était les xénoss.

Nous sommes l’accomplissement suprême de toute votre philosophie, un rêve d’unité et d’harmonie. Ici, vous ne souffrirez plus. Vous ne connaîtrez qu’un bonheur infini et éternel, où les mâles ne serviront qu’à vous obéir. »
-Ah... c'est... sympa et gentil. Ironisa Jade, après tout le calvaire qu'elles avaient endurer.
-C'était pas le cas à Uatis ? Souffla Mistrial.

Engiel eu un très léger rire et forcer et Mistrial un sourire triste. Même au fond du gouffre, on peut toujours faire un peu d'humour. Ça pouvait être déconcertant, mais à leur cœur défendant, elles se permettaient un peu de liberté d'expression, elles n'auront sûrement plus l'occasion de se moquer un peu de l'annexienne pour les années à venir.

« C’est à cause du libre-arbitre que vous pensez être spéciales. Mais, en réalité, mes chéries, vous n’êtes rien. Croyez-vous donc que votre état-major enverra des renforts pour sauver vos jolis culs ? Vous n’êtes que des quantités négligeables, à l’égard de votre pays, ou même à l’égard de l’Histoire. Un grain de poussière qui redeviendra poussière, à l’image de Terra, un petit bout de roche perdu dans l’immensité du Cosmos. Depuis votre tendre enfance, on vous apprend que vos pensées sont importantes, qu’il faut se développer, s’affirmer, avoir des émotions... Mais tout ça, ce ne sont que des illusions ! Le libre-arbitre est un mensonge que vous dressez pour masquer la vacuité de vos existences. La liberté ? Ah ! Une belle fable ! La seule différence entre mon peuple et le vôtre, c’est que nous ne sommes pas hypocrites. Nous formons une société utopique, et vous le réaliserez. »

C'était un bon discours, mais adresser au mauvais public. La moitié était lassée de vivre, leur volonté briser, noyer de désespoir et dont le seule fais d'avoir une pensée pour leur vie passer leur donner envie de se pendre pour mettre fin à leur tourment. L'autre était complètement détraquer, briser, soumit à la volonté de la Reine, ne voulant que vivre pour le sexe et son plaisir. Elles ne pouvaient réagir à ce genre d'argumentation, plus aucune volonté propre, plus aucune haine ou bribe de combativité, ce discours renforçant le fait qu'elles n'avaient plus d'avenir propre, ni de choix. Elles étaient mortes pour Uatis, personne pour les plaindre ou les sauver, isoler de tout ce qui fessaient partie de leur vie. Elles avaient abandonner le combat, renoncer à résister. Même leur parole ironique n'était qu'une façade pour se donner l'illusion de résister, juste pour garder un brin de d'humanité et de liberté.

« Sur ce, mes beautés, vous avez toutes à faire... »

Et sans cérémonie, le mur et le sol engloutirent la défunte section Delta S, chacune se demandant où elles finirent, entres les mains des cérébrates ? Du montre à tentacule ou d'une autre surprise ? Aucune ne se débattit, aucune ne cria d'injure, aucune n’eus de réaction, quasiment. Sauf Shiranui qui paniqua, la douleur toujours aussi forte, Mixim, Schield, Miyo, Julieete et Goya, absolument ravie de leur destin. Cela dit, à part être plonger dans le noir, Shiranui n’eus pas à se plaindre, progressant sans se faire encore plus mal, pour atterrir dans la même cuve où elle s'était réveiller. L'idée de s'évader à nouveau traversa son esprit, avant de disparaître dans les limbes de l'oublie.

Durant le combat trois membre furent écarté, guider par des tentacules, dans une pièce adjacente, alors qu'elles voulaient soutenir leur Reine. Ilinia, Ania et Rinko, le trio heureux, les élues parmi les membres de la section, celle devenue les favoris de leur Reine. Le trio était au pieds du trône, entrain de se faire plaisir, Ania coucher entre Ilinia et Rinko. Ilinia lécha l'intimité d'Ania, qui doigtait allégrement Rinko tout en l'embrassant, cet dernière qui frotter son inimité contre ses doigts, tandis qu'elle enfonçait énergétiquement ses doigts dans l'intimité d'Ilinia.

« Bien ! Comment allez-vous, mes chéries ?! »

L'arrivait de la Reine stoppa leur ébat, Ania et Rinko brisant leur baiser, un filet de bave les reliant. Ilinia releva la tête, la lèvre maculer le bave et de mouille. Elle se dégagea de la main d'Ania qui malaxer ses fesses, marchant à quatre vers sa Reine, se mettant à ses pieds, les yeux emprunt de soumission et de désir. Elle s'agenouilla, remontant la jambe de sa reine en la léchant et frottant sa poitrine dessus, se mettant à auteur de son intimité.

-Merveilleusement bien ma Reine... souffla avec passion Ilinia.

Rinko et Ania rejoignirent rapidement Ilinia, Ania fessant comme Ilinia, tandis que Rinko se colla contre sa Reine, l'embrassant fougueusement, bien plus intrépide que ses camarades, une mains ses fesses, l'autre sur son intimité se masturbant allégrement, près du visage d'Ilinia.

-Que voulez vous de nous maîtresse ? Demanda Rinko, en détachant ses lèvres de celle de l'annexienne.

Ania frotta sa tête contre la hanche de maîtresse, comme un chat réclamant de l'attention, tandis que Ilinia, se toucher discrètement fessant pareille. Soumisse, libéré de tout tabous, dévouer et prête à tout, la réussite de la Reine des Lames.

Sarah avait surpris les trois femmes en pleine activité, à se donner mutuellement du plaisir. Rinko, Ania, et Ilinia, étaient heureuses, car elles avaient conscience d’avoir un statut extrêmement privilégié au sein de la Horde. Sarah, néanmoins, ne se faisait aucune illusion. Contrairement aux autres Annexiens, elle ne voulait pas briser ses pondeuses pour le simple plaisir de les briser. Elle voulait les remodeler, leur faire réaliser qu’elles étaient heureuses ici. Elles étaient ainsi bien plus productives, mais, pour comprendre ça, il fallait avoir quelques notions d’humanité. Or, parmi tous les Annexiens de la Horde, seule Sarah en était capable. Les autres raisonnaient comme des monstres, sans grande finesse, et, si la Horde de Sarah était devenue l’une des hordes principales de la Fourmilière, c’était bien parce qu’elle était capable de réfléchir. C’était cela, cette capacité de corruption et d’influence, qui faisait d’elle l’ennemie numéro un de tout Uatis.

Le discours que Kerrigan avait fait à ces femmes reviendrait les hanter dans leur sommeil, et, peu à peu, s’imposerait en elles comme la vérité pure. En réalité, pour l’heure, il n’y avait qu’avec une seule personne que Sarah butait, et ce depuis des mois, une autre Ghost comme elle, la puissante et séduisante Nova. Sarah n’utilisait pas ses pouvoirs psychiques sur elle, car elle ne voulait pas endommager son esprit par ce biais, mais la transformer en Cérébrate était difficile. Ici, fort heureusement, avec les membres de la section Delta-S, elle pouvait user ses talents, et avait, de surcroît, des ambitions moindres.

Les trois femmes se rapprochèrent d’elles, Ilinia et Ania à quatre pattes, se frottant contre ses cuisses, Rinko venant l’embrasser goulûment. Sarah ne put s’empêcher de sourire, posant l’une de ses mains sur les fesses de Rinko, les pinçant, utilisant son autre main pour caresser les visages des deux autres Uatéennes.

« Ah, mes petites chéries, c’est un vrai régal de vous avoir, ici, dans ma chambre... »

Plus aucun signe de rébellion dans leurs yeux, mais un amour fou, teinté d’une soumission féroce, ce qui ne pouvait que faire plaisir à voir. Kerrigan embrassa encore Rinko, puis invita Ania à se relever à son tour, Ilinia étant entre les deux. Sa seconde main rejoignit ainsi la position de la première, en se posant sur les fesses d’Ania, pressant ainsi les deux femmes contre son corps.

« Vous avez un statut particulièrement spécial ici, vous savez. Vous êtes mes concubines, ce qui signifie que personne ne vous touchera sans votre consentement. Vous pouvez vous déplacer partout dans ma ruche, mais ne pensez pas pour autant que vous allez pouvoir vous reposer. J’ai injecté en vous des gènes xénos, qui vous rendent... Sexuellement très gourmandes, et aussi très fertiles. »

L’un n’allait pas sans l’autre, en réalité, et Sarah, tout en parlant, embrassait régulièrement Ania et Rinko, tout en ayant écarté ses plaques chitineuses, permettant ainsi à Ilinia de lécher son intimité.

« Je vais commencer par vous faire l’amour à toutes les trois, puis vous pourrez ensuite vous déplacer librement, et coucher avec qui vous voulez. Vous êtes maintenant des hermaphrodites, alors, voilà votre quotidien... Coucher avec moi, et engrosser toutes mes autres pondeuses. Nul ne se refusera à vous, c’est aussi simple que ça. »

Ce que Sarah leur offrait était merveilleux, mais aussi très exigeant. Elles ne pourraient guère tenir plus d’une heure sans avoir envie de faire l’amour. Kerrigan se retourna vers Rinko, et lui sourit, l’embrassant encore.

« Pas de jalouses, cette fois... »

Elle ferma les yeux, et se concentra un peu, puis les murs se mirent à bouger, à remuer, et, peu à peu, deux autres Kerrigan en sortirent. Des clones du modèle original, mais bien membrées. Elles se rapprochèrent ainsi d’Ania et d’Ilinia, bien décidées à leur faire l’amour, tandis que Kerrigan, avec son corps originel, se concentra sur Rinko, massant ses fesses avec ses mains, et faisant sortir son chibre de son intimité trempée.

« Je vais adorer vous baiser, toutes les trois... »

Méconnaissable, des filles autrefois plutôt prude, n'ayant pas que le cul en tête, des rêves et des envies. Elles ne vivait que pour deux choses, le sexe et servir leur Reine. Elle était leur bienfaitrice, naturellement supérieur, elles ne voulaient plus que la servir pour le restant de leur vie. Coller à elle, mouillant presque rien qu'a l'idée qu'elle leur fasse l'amour.

« Ah, mes petites chéries, c’est un vrai régal de vous avoir, ici, dans ma chambre... »
-Et nous d'y être ma Reine. Minauda Rinko, en haletant doucement, excité par la proximité de sa Reine.

Ania se laissa guider par la main de sa Reine, se mettant à sa hauteur, tremblant d'envie, se mastrubant sans aucune gêne. Rinko poussa doucement du pied Ilinia, l'incitant à se placer entre les deux. Joueuse, elle enfonça ses doigts dans leurs intimités, les masturbant avec vigueur, leur provoquant des gémissements et des haletements, alors que leur Reine les pressa contre elle. Rinko et Ania se pressèrent d'avantage, pressant leur poitrine contre leur Reine, rougissant et haletant, le plaisir tordant leur visage lui offrant un beau tableau. Elles dandinaient légèrement du cul, sous la mains de leur Reine.

En les embrassant chacune à leur tour, la Reine créa une petite jalousie de la part d'Ilinia qui s'activa encore plus comme pour se venger de ses camarades. Elles gémirent plus, soufflant avec ardeur, embrassant avec gourmandise leur Reine. Elle se mit à énumérer leur avantage, leur fessant dont de gêne xénoss accentuant leur libido et leur fertilité et une liberté de mouvement incongrue, ne s'y attendant pas. En même temps, Ilinia eu la possibilité de lui faire un baiser plus intime, embrassant puis léchant l'intimité de sa Reine, suçotant son clitoris.

-Merci ma Reine ! Soufla Ania, qui trembler sur place, serrant les jambes, mouillant fortement, au plaisir d'Ilinia.
« Je vais commencer par vous faire l’amour à toutes les trois, puis vous pourrez ensuite vous déplacer librement, et coucher avec qui vous voulez. Vous êtes maintenant des hermaphrodites, alors, voilà votre quotidien... Coucher avec moi, et engrosser toutes mes autres pondeuses. Nul ne se refusera à vous, c’est aussi simple que ça. »

Ce fut peut être ce grand honneur et ce plaisir que de l'aider dans la longue tache d'engrosser ses pondeuses, la surprise d'être hermaphrodites, ce qui expliquer cette étrange sensation en elles, que Rinko et Ania jouirent généreusement, poussant un léger crie emprunt d'extase, sous les attaques traites et efficace d'Ilinia, qui se lécha vite fait les doigts, avant de retourner faire plaisir à sa Reine. Rinko se promit de faire subir la même chose à Ilinia plus tard, alors que sa Reine l'embrassait une énième fois. Dans leur dos, deux autres Sarah sortirent du murs, mais trop obnubiler par leur Reine, elles ne les virent pas. Du moins, jusqu'à ce qu'Ania soit légèrement tirer en arrière, l'obligeant à se retourner, pour se faire embrassait par le clone de sa Reine, qui glissa son mandrin sous son intimité, fessant de petit allée et venue, lubrifiant sa queue par la mouille et la cyprine s'écoulant de ses lèvres intimes.

Ilnia fut tirer à terre, plaquer contre le sol tirer en arrière, son visage se mettant sous celui de l'autre clone qui l'embrassa, partageant la mouille et la cyprine qu'elle avait sur les lèvres et en bouche. Rinko fut le centre d'attention de sa reine, sa queue frappant son ventre, comme un appel à la débauche, tremblant d'excitation.

Ania fut tirer dans un coin, avant que le clone n'agrippe ses cuisses et la soulève, avant de la faire glisser sur son gourdin, qui glissa aussi facilement que dans du beurre, tellement Ania était tremper. Étant plus petite, ainsi empaler, Ania devait se mettre sur la pointe des pieds pour rester à la bonne hauteur, sa maîtresse arrivant à la soulever sans aide. Néamoins, elle attrapa Ania par les, qui enroula le cou de sa maîtresse de ses mains l'aidant à la soutenir, tout en enroulant ses jambes autour de son bassin. Il s'écoula très peu de temps pour qu'Ania se fasse culbuter dans les règles de l'art, claquant son bassin contre le sien, encourager par les gémissements et cries de plaisir de sa soumisse, dont les yeux partaient vers les yeux, se révulsant presque, la bave coulant de ses lèvres.

Ilinia gouta au mandrin de sa reine, qui s'était mit au-dessus d'Ilinia, lui fessant avaler sa queue, qui ne se gêner pour suçoter, lécher et mordiller doucement sa queue, la recouvrant de salive. Agenouiller ainsi, abaissant et relevant lentement son bassin, baissant la gueule d'amour d'Ilinia, qui avaler goulûment sa queue, qui déformait la gorge d'Ilinia sous sa taille. Le sol se modifiant, afin qu'Ilinia puisse baisser la tête ne arrière, avalant plus facilement cette sucette de chaire, en même temps que ses mains massaient les fesses de sa Reine.

Sarah savait qu’elle ne pouvait pas s’occuper d’une concubine sans gérer les deux autres. Elle avait donc choisi de créer des clones d’elle-même, afin de bien leur montrer que, à ses yeux, elles se valaient toutes... Même si, en ce moment, elle avait malgré tout une légère préférence pour Rinko. Sans doute ce petit air de lubricité perverse qui brillait dans ses yeux, ou la manière dont sa combinaison brillait et épousait ses formes. Quiconque connaissait la Reine des Lames savait que, malgré sa nature, elle n’avait jamais vraiment abandonné totalement son humanité, qui subsistait encore à travers des éléments inattendus de sa personnalité ou de ses fantasmes. Il y avait cette étrange forme de compassion dont elle faisait preuve envers ses pondeuses, en cherchant à leur faire aimer ce qu’elle leur faisait (et c’était bien de la miséricorde, par rapport à ce qui se passait dans les autres nids), et, surtout, sa passion pour les combinaisons moulantes, qui ne pouvait être qu’un héritage uatéen. Elle aimait les femmes aux tenues moulantes, et c’était bien pour ça que, dans son nid, elle fabriquait régulièrement des combinaisons moulantes pour les pondeuses qui avaient le droit de circuler librement. Ses concubines auraient ainsi accès à toute une garde-robe, car il y avait fort à parier que leurs belles combinaisons ne resteraient pas intactes longtemps.

Chacune des femmes avait adopté des positions différentes, et, même si Sarah avait généré des clones, ces derniers étaient reliés à elle. Ainsi, elle ressentait le plaisir de ses clones, prodiguant des sensations extrêmement jouissives, et difficiles à décrire. Un orgasme était déjà, en soi, impossible à décrire, tant l’intensité dépassait ce qu’on pouvait concevoir, alors, ressentir plusieurs orgasmes d’affilée... Quand on ressentait cette sensation, on ne pouvait que mieux comprendre pourquoi les Xénos aimaient tant le sexe. Et c’était bien une chose que Sarah comptait faire en ce moment.

Ilinia suçait son clone, Ania se faisait prendre en levrette par un autre, et Sarah, elle, pénétrait Rinko en la plaquant contre un mur, les jambes de la femme filant à droite et à gauche de son corps. Rapidement, Kerrigan caressa ses cuisses avec ses mains, les griffant, faisant délicieusement crisser le latex de la combinaison, ce qui ne manqua pas de l’émoustiller tout particulièrement.

« Hmmmm... Oh ouiii... !! »

Un long soupir s’échappa de ses lèvres, et elle laissa Rinko l’embrassa, fourrant sa langue dans sa bouche, jouant sans aucune hésitation avec la sienne. Il n’y avait aucune pudeur, aucune retenue chez elle. Rinko était tout simplement follement heureuse d’être ici, et s’évertuait à le montrer en chaque instant. Sarah adorait cet entrain, ce corps parfait, et, pendant qu’elles s’embrassaient, sa queue alla ainsi se perdre en elle, remontant jusqu’à la garde. Elle sentit Rinko soupirer tout contre elle, et Sarah remua sa langue avec la sienne l’unissant, tout en filant d’avant en arrière, les jambes de la Uatéenne allant se crisper autour de sa taille. C’était tout ce que l’Annexienne aimait, et elle remonta rapidement ses mains, en posant chacune sur l’un de ses seins, et les pinça à travers la combinaison, s’attaquant aux tétons, tout en coulissant encore en elle, multipliant les coups de reins.

Autour des deux femmes, le spectacle était un peu similaire. Les mains de l’autre Sarah serraient la tête d’Ilinia, et elle remuait son corps d’avant en arrière, soupirant longuement en lui baisant, non seulement la bouche, mais aussi sa gorge. Et Ania, elle, subissait également de féroces assauts, ses cris et ses gémissements venant remplir toute la pièce, une pièce qui suintait le stupre et la luxure la plus sauvage...

De leur ancienne vie, nul ne pourrait les reconnaître. Rinko se donnait joyeusement à sa Reine, acceptant sa divine trique en elle, se fessant pénétrer à grand coup de burin, l'ardeur et la passion comme moteur, le plaisir comme récompense. Plaquer contre un mur, frotter contre la matière organique, s’agrippant à sa Reine, ses jambes formant un étau sur son bassin, la ceinturant et forçant sur sa prise, comme si elle ne voulait pas qu'on puisse arriver à la retirer. Une de ses mains était coller contre le mur, l'autre sur la poitrine de sa Reine, titillant, pinçant et tirant sur un de ses tétons, gémissant comme la dernière des putains, lâchant parfois un crie de plaisir, alors que la bave couler de ses lèvres et que ses yeux se révulsait presque. Complètement perdue dans un flot de plaisir, accentuer par les modifications de la Reine et le plaisir qu'elle avait de se faire limer l'intimité par cette dernière.

Elle l'embrassa, fougueusement, inondant sa bouche de sa bave, entraînant leur langues dans une salsa endiablé, se tordant, se léchant, s'enroulant ou se frappant. Une dépravé nymphomane, jouissant tellement qu'elle était noyer de plaisir et d'être avec sa Reine. Elle n'avait d’œil que pour sa Reine, sa maîtresse, celle qui fut responsable de sa perdition, de sa volonté et esprit briser. Elle était heureuse, nageant dans le plaisir, la corruption et la soumission. De même que pour ses camarades qui étaient dans le même. Sa Reine lui offrit une délicieuse torture, emprisonnant ses tétons entre ses doigts, les pinçant, tirant dessus ou les roulant entre ses doigts. Rinko joua du bassin, accompagnant sa Reine dans son dur labeur, alors qu'elle enfonçait son mandrin dans un flot de mouille et de cyprine, heurtant avec ardeur et force, son col de l'utérus.

De leur côté, les deux autres n'étaient pas en reste, Ania fessant pareil que Rinko, à l'inverse qu'elle s'amusait à titiller la rondelle du clone de sa Reine, enfonçant parfois brièvement son doigt. Son autre mains était occuper à frotter frénétiquement entre ses doigts son clitoris, s'offrant de fulgurant et puissant orgasme, noyant son intimité de fluide, comme si elle voulait faire nager le braquemart de sa maîtresse dans son antre. Son visage se tordait de plaisir, on pourrait même croire à de la douleur, car quelque larme couler, à moins que ce ne soit des larmes de joies ou de tristesse due à part peut être mourante de son esprit briser, difficile à dire, tellement que ce même esprit était plein de confusion, perdue par le flot de plaisir, agissant instinctivement.

Pour Ilinia, celle-ci avait la joie de goûter à la texture de la verge de sa maîtresse, léchant avec avidité ce mat de chair qui rapper sa gorge, la déformant par ses passages, délimitant parfaitement cette sucette de chair, jusqu'à la base du cou, l'étroitesse des lieux moulant au mieux le vit de l'annexienne. Les coups étaient forts, les couilles cognant contre son nez, un claquement régulier, respirant par à coup, parfois fessant une pause avant de reprendre. En même temps, Ilinia se masturba avec vigueur, son autre main caressant les fesses de sa Reine, sans pour autant atteindre le divin orgasme, la frustrant, mais ce qui ne l’empêcha pas de pomper joyeusement le pilier de chair dans sa bouge, pressant ses lèvres et ses dents dessus.

Détraquer, soumisse, corrompue, briser... la Reine de Lames ne pouvait qu'être ravie, d'avoir d'aussi belles femmes qui lui vouaient une admiration et un amour sans borne grâce à ses traitements. Loin d'ici, au fond d'un cocon pour être soigner, Shiranui ne pouvait que contempler la pénombre de son cocon, flottant d'un liquide épais, respirant par un quelconque artifice dont les Xénos avaient le secret, laissant son esprit vagabondé dans ses souvenirs, lui causant autant de douleur que ses blessures, dont elle avait presque déjà entièrement guérie. Elle se fessait du mal, mais elle ne voulait pas oublier, ni mettre de côté ses souvenirs, quand bien même ils la fessaient souffrir. Elle se raccrochait au passée, fuyant la réalité plutôt que de la regardé en face.

Mais elle fut tirer de ses pensées, quand elle sentit le liquide disparaître peu à peu, l'obligeant à se mettre debout, jusqu'à flottant comme un corps à la dérive. Le liquide fut aspirer rapidement, laissant Shiranui debout qui tâta son nez, voyant qu'il était intact. Elle avait finit d'être soigner. Qu'aller donc être son destin ? Au même moment qu'elle allaient tomber à genoux, le sol s’ouvrit en iris, la fessant tomber dans toboggan, avant qu'elle ne se retrouve coincer, puis aspirer. Elle sentit des contraction et des sortes de mains qu'il la fessait avancer. Elle se laissa guider, tantôt palper, tantôt masser, le tout intimement, mais qui la laissèrent indifférent.

Après un long moment, qui lui parut être une éternité, mais qui furent qu'une poignet de minute, elle fut larguer dans une salle, plutôt sombre, qui semblait vaste et des sortes de structure, comme si cela imité une grotte ou quelque chose de naturelle. Elle resta contre le pur, la peur s'emparant de ses tripes, remontant jusqu'à son cerveau. Elle s'était habituer à la pénombre depuis un moment, une étrange lumière semblait venir des parois organiques, donnant des tons plutôt ocre, offrant une vision limité, mais suffisante pour s’orienter. Ce qui inquiétant Shiranui, car elle ne voyait rien, où elle ne voyait aucune créature, mais ce sentait épier, observer et en danger. Des ombres fugaces passèrent dans le coin de son champs de vision, puis d'autre, s'en suivit des formes sombres qui disparaissaient dé qu'elle les regardait.

La panique s'empara d'elle, la tétanisant, impuissante et déposséder de ses moyens, Shiranui ne pouvait rien faire. Subtilement, quel que chose s'agrippa à sa cheville et tira. Shiranui glissa à terre, poussant un crie d'horreur, se retournant sur le ventre et cherchant à s'agripper par réflexe. Elle fut trainer sur quelque mètre avant que quelqu'un ou quel que chose ne s'agrippe à ses bras, les ramenant sur le côté et qu'un grognement sourd ne retentisse à ses oreilles et qu'enfin, une chose ne commence à se coucher sur elle avant de plaquer, ce qui de tout évidence était sa verge, contre son intimité.

Shiranui déglutit, les larmes lui montant au yeux, sachant qui elle avait sur le dos et qui s’apprêter à la violé, ainsi que d'autre créature qui se rapprocher d'elle, elle avait été donner en pâture au xénophormes. La pénétration fut si brutale, malgré le fait que la verge semblait lubrifier, raclant ses parois à force, cognant contre l'entré de l'utérus. Shiranui se crispa, ses larmes gagnant en intensité, louchant sous le coup, serrant les dents, ses joues se gonflant, avant de lâcher un crie de douleur.