The Multiversity

Akio ouvrit doucement les yeux, le regard encore embrumé. La pièce était encore dans la pénombre, faiblement éclairée, et il était difficile d’y voir à plus de quelques centimètres. Mais ses yeux s’acclimatèrent peu à peu, et la jeune fille finit par réaliser qu’elle se trouvait dans une cellule glaciale. Une salle dont le sol et les murs étaient en pierre sombre, avec une litière en paille dans un coin en guise de lit et une gamelle en fer pour les repas. Tout un coté n’était qu’une grille en partie rouillée, avec des barreaux épais et une vieille porte verrouillée.

Akio voulut bouger, mais impossible. Ses bras étaient entravés dans son dos, reliés au plafond par une chaîne, également attachée au cou par un collier de cuir. Ses chevilles étaient également entravées de la même façon. D’ailleurs, elle ne portaient rien d’autre que ce collier et ces bracelets, aux poignets et chevilles. Impossible de crier à l’aide non plus, étant pour l’heure bâillonnée. C’était vraiment une situation délicate pour l’adolescente… si on oubliait les cameramans dans un coin de la pièce, l’ingénieur son avec sa perche et Valéria qui observait derrière un écran.

Il y’a quelques jours, sa mère — et patronne de son agence d’Idol — avait signée un contrat avec un producteur pornographique, qui souhaitait produire un film scénarisé, avec la lycéenne dans le rôle principal. Difficile de savoir comment elle s’y était prise également, mais elle était parvenue à s’arranger pour faire le film qu’elle souhaitait, avec tout le matériel de production du studio. En somme, le studio ne ferait rien, mais tout serait à ses frais. Et pour le scénario en lui même, Akio n’avait pas tout compris... Mais l’idée générale était de simuler un kidnapping classique de lyceenne pour en faire une esclave sexuelle. Une simulation de ce qui arrivait vraiment à certaines filles du lycée.

Ce qui était sur, c’est qu’il y aurait probablement d’autres Idoles en rôles secondaires pour les activités en arrière plan, pour les scènes d’orgies. Et que les acteurs ne seraient pas complètement humains, pour des scènes de sexes et d’orgasmes plus intenses. Rien de bien rassurant pour la jeune fille qui, a genoux contre son mur, se demandais à quelle sauce elle allait se faire bouffer…

Valeria regarda Akio reprendre doucement connaissance. Elle avait prévenu sa néo-fille d’un éventuel tournage hard pourrait avoir lieu pour une session sur le darknet, mais elle ne lui avait jamais confirmé la concrétisation du projet, pas plus que le lieu ni la date. Les buts de Valeria étaient multiples.

Elle voulait tout d’abord créer un événement très lucratif, où les spectateurs paieraient pour voir ais aussi pour avoir le droit de demander qu’il se passe quelque chose. Bien entendu, tout était contrôlé et le succube refuserait toute pratique trop infâmante ou sanglante. Cela étant établi, la promotion avait eu lieu et déjà les abonnés se présentaient par milliers.

Elle avait également promis des événements hors du commun, comme des partenaires inhumains, ce qui avait créé une attente extrêmement importante.

Elle désirait aussi voir si ces « épreuves » pourraient amener Akio à prendre sa forme réelle de Lamia au cours du tournage.

Enfin, elle n’avait pas prévenu Akio car, si les équipes de tournage et elle-même étaient visibles dans la pénombre de la pièce, en retrait des lumières crues et blafardes, elles ne devaient pas l’être immédiatement pour sa fille émergeant de son état comateux, ce qui rendrait les quelques premières minutes plus vraies que nature.

Elle avait été droguée à son insu pendant une sortie scolaire. Elle avait été abordée dans une des salles du musée des arts par un individu sympathique et avenant qui lui avait offert une boisson au distributeur. Valeria lui avait bien dit de se méfier des étrangers, mais une canette d’un distributeur ! Ils avaient devisé quelque peu, puis elle s’était sentie mal. Il l’avait aidée à s’asseoir sur un banc puis un blackout avait clôturé l’après-midi.

Akio avait été emmenée sur les lieux de tournage où elle avait été mise dans la situation où elle se réveillait à présent.

La porte s’ouvrit en grinçant, laissant entrer deux hommes nus et cagoulés. Leurs sexes à demi-mous étaient d’un bon gabarit et ils s’avancèrent avec confiance vers Akio.

« Elle est enfin réveillée.
- Pas trop tôt ! J’en avais marre d’attendre !
- On va pouvoir s’amuser maintenant… »

Le premier lui agrippa les cheveux pour lui relever la tête et plongea son regard sombre dans celui de la prisonnière.

« Tu te demandes ce que tu fais ici hein ? »

Les mains de l’autre se mirent à lui palper les fesse, glissant très rapidement à sa chatte par-derrière.

« Elle va être délicieuse.
- Comme mon ami l’a dit, tu vas être délicieuse. On va te baiser jusqu’à ce que tu ne nous intéresses plus. Puis on te vendra. Et si tu essaies de nous faire du mal, on te fera cent fois pire avant de te vendre, en choisissant le pire acquéreur possible. Tu piges ? »

L’autre la releva en la prenant par les hanches. Sans la lâcher, il se mit à jouer de sa queue le long de la raie de ses fesses. Elle pouvait sentir la chaleur de son membre qui gonflait et gonflait encore.

Alors qu’elle se demandais comment elle avait atterri ici et essayait de se remémorer les événements de la journée — Est ce que son enlèvement avait également été filmé à son insu ? — Akio entendit vaguement des bruits et des voix à sa droite, trop comateuse pour vraiment les comprendre. Jusqu’à ce qu’elle ne se fasse redresser de force par des hommes. Impossible de voir leur visage, mais ils étaient loins d’être maigrichons.

– Tu te demandes ce que tu fais ici hein ?

– HmMmPhmm…

– Elle va être délicieuse.

– Comme mon ami l’a dit, tu vas être délicieuse. On va te baiser jusqu’à ce que tu ne nous intéresses plus. Puis on te vendra. Et si tu essaies de nous faire du mal, on te fera cent fois pire avant de te vendre, en choisissant le pire acquéreur possible. Tu piges ?

– Hmm ! Hmmmmm !

Bien entendu, elle secoua la tête et essaya de se débattre, malgré sa restriction. Faisant mine de commencer à pleurer lorsqu’elle sentit le membre frotter contre sa rondelle. Pour ça, la basanée était devenue une très bonne actrice. Évidemment, elle laissa échapper un long gémissements plaintif, le regard écarquillé, lorsque le membre, devenu rigide et énorme, perça son orifice et se planta jusqu’aux bourses. Elle le sentit remonter assez loin en elle. Ne pas céder au plaisir tout de suite pour le bon déroulement du scénario était vraiment difficile.

Malgré l’état comateux induit par la drogue, Akio sembla rapidement se rendre compte d’où elle était et de ce qui se passait. Elle joua la victime terrifiée, le menton tremblant comme si elle allait pleurer jusqu’à ce que la queue de l’homme ne perce ses défenses anales et s’enfonce en elle jusqu’à la garde. Elle écarquilla les yeux de surprise, autant par jeu d’actrice – les spectateurs adoraient quand les queues étaient très voire trop grosses pour leurs « victimes » – que parce que la queue était vraiment d’une bonne dimension.

Les yeux de celui qui lui faisait face s’étirèrent alors qu’il souriait de la voir ainsi pénétrée.

L’autre lui agrippa les coudes et se mit à l’attirer à lui avec brutalité pendant qu’il la prenait sans autre forme de procès. Le premier se contenta de la regarder dans les yeux, lui tenant toujours la tête relevée par ses cheveux. Les larmes se mirent à couler sur le visage d’Akio.

Les chaînes étaient longues, elles permettaient une belle mobilité tout en bloquant la fille dans la pièce. L’homme la redressa plus fort, ses fesses se resserrant tandis que la position devenait plus étroite, arrachant des grognements de plaisir au sodomiseur. Sans lâcher les cheveux, l’autre se mit à lécher les larmes puis la gorge de leur victime, puis descendit jusqu’à ses petits seins qui tressautaient à chaque coup de boutoir.

« Putain ! Elle est… super étroite ! C’est bon ! »

Lâchant enfin ses cheveux, l’homme continua à descendre, laissant sur sa peau les traces humides de sa salive tandis qu’il suivait la ligne de ses côtes, agaçait son nombril, jusqu’à atteindre sa chatte imberbe sur laquelle il décida de s’attarder, la doigtant progressivement d’un puis deux, puis trois doigts.

« Cette garce a l’air affamée. Sa chatte avale mes doigts sans effort. Je crois que son appétit est plus important qu’il n’en a l’air. Voyons voir ce qu’elle peut encaisser… »

Valeria regardait les réponses aux questions et les votes. Les spectateurs voulaient-ils la voir se faire fister ? Juste la chatte ou le cul aussi ? Les votes grimpaient, la cagnotte aussi …

Akio était en larmes. Pour y arriver sur commande, il lui suffisait de penser à des choses vraiment tristes. Ça lui permettait d’éclater en sanglots, même si elle prenait un pied monstre durant cette sodomie, aussi brutale qu’intense. La jeune fille pouvait en effet sentir le membre monstrueux prendre toute la place dans son colon, qui soit dit en passant n’était somme toute qu’un second vagin plus étroit, qui filait en ligne droite jusqu’à son estomac. Et la basanée ressentait pleinement le gland gonflé qui frappait contre celui-ci, ce qui la faisait forcément mouiller.

– Putain ! Elle est… super étroite ! C’est bon !

En face d’elle, l’autre homme en profitait pour lécher et palper ses maigres formes féminines, comme son bidou déformer par les vas et viens de son comparse et ses petits seins qui tressautaient rapidement. Il en vint finalement à son intimité qui ruisselait de jus d’amour malgré ses pleurs. Il y enfonça plusieurs doigts après avoir vigoureusement stimulé son clitoris gonflé de plaisir.

– Cette garce a l’air affamée. Sa chatte avale mes doigts sans effort. Je crois que son appétit est plus important qu’il n’en a l’air. Voyons voir ce qu’elle peut encaisser…

En attendant de savoir les résultats des votes, il commença à la doigter tel un marteau piqueur, remuant ses doigts dans son intimité de façon démentielle. Il ne fallut qu’une poignée de secondes avant qu’elle ne commence à l’arroser copieusement de son doux nectar brûlant, prise de spasmes sporadiques, les cuisses flageolantes.

– HMMMMMMMMMMMMM !!!

Les gars la prenaient bien. Le cul malmené d’Akio en prenait pour son grade et sa chatte venait de recevoir un bien beau préliminaire. A trois doigts, l’homme commença à la stimuler aussi rapidement que brutalement. En quelques secondes à peine il obtint le résultat escompté.

« HMMMMMMMMMMMMM !!! »

Le regard d’Akio vrilla, ses jambes cédèrent à moitié tandis qu’un violent orgasme la terrassait et que sa cyprine giclait follement sur la cagoule de son tortionnaire.

Plusieurs bips se firent vaguement entendre, annonçant que les compteurs s’affolaient et que plusieurs limites avaient été atteintes, notamment celle du fist. Dans l’oreillette de l’homme surgit la voix du réalisateur, lui donnant le feu vert.

Le sodomite maintenait Akio debout à la seule force de ses bras tout en continuant de la matraquer avec ardeur. L’autre glissa un quatrième doigt sans effort, puis commença à introduire le pouce.

« Ca devient intéressant ! »

La main entra visiblement à la caméra. Elle se retrouva dans un concon de chaleur détrempée. La cyprine la macula rapidement et commença à couler le long du bras tandis qu’il entamait des mouvements de va-et-vient. En quelques instants, la main déformait le ventre et un demi avant-bras était entré.

« Je te sens mon salaud !
- Rha ! Moi aussi !
- Je me demande si j’arriverais à te branler à travers ses entrailles.
- Arrête… tes conneries… Tu vas m’faire jouir ! »

Plusieurs bips tintèrent et le feu vert arriva avant même que l’homme ne tourne la tête. Il enfonça son avant-bras tout entier dans la chatte d’Akio et se mit en devoir d’essayer de réaliser l’acte demandé, déformant à présent de façon presqu’anormale le corps de la petite prisonnière.

Akio était complètement dans les vapes alors qu'elle venait tout juste d'avoir son premier orgasme, à même pas dix minute de son réveil. L'homme ne lui laissa pas le temps de souffler, continuant d’enserrer des doigts jusqu'à écarter ses chairs pour y entre son avant bras en elle, qu'elle sentit s'enfoncer jusqu'au col de son utérus, avant qu'il ne commence des mouvements vifs de vas et viens en elle. Incapable de tenir ses ses jambes, ce fut l'autre derrière elle qui la portait, continuant de remuer dans son fondement, et finissant par lui relever une cuisse. Une caméra zooma sur ses orifices parfaitement visibles à présent.

- Je te sens mon salaud !

- Rha ! Moi aussi !

- Je me demande si j’arriverais à te branler à travers ses entrailles.

- Arrête… tes conneries… Tu vas m’faire jouir !

- HMMMMM !! HMMMMM !!

La brunette secoua la tête pour protester, mais personne ne fit attention à son avis sur la question. Lorsque les doigts se refermèrent sur le membre à travers ses entrailles, heureusement un peu caoutchouteux, Akio fut de nouveau prises de spasmes. Le plaisir était... incroyable. C'était la première fois qu'elle subissait se genre de chose et c'était tout bonnement incroyablement bon. Il y avait un peu de douleur, mais c'était vraiment minime, tout juste une légère gêne. Alors quand il commença à le masturber franchement à travers ses chairs alors que l'autre continuait de lui matraquer le fion, elle eu un nouvel orgasme incontrôlable, si peu de temps après le premier et tout aussi puissant.

Impossible pour elle de rester debout sur une seule jambe, la seule encore en appuis céda et le membre s'enfonça d'un coup en elle, déversant sa semence bouillonnante directement dans son estomac, qui se prit un bon litre de crème épaisse d'un coup.

- HMMMMMMMMMMMMMM !!!

En même pas un quart d'heure, Akio avait déjà eu deux orgasmes, d'une rare intensité. Elle ne prêtait même pas attention aux faibles bip des votes provenant des moniteurs de l'autre coté de la cellule. Des votes qui annonçaient la suite des évènements, car cette production de film avait aussi cette particularité d'être interactive avec le public... La lycéenne n'était pas au bout de ses peines, alors que les viewers souhaitaient visiblement la voir se faire sauter par les deux en même temps...

La fille sembla protester mais dans l’état dans lequel elle se trouvait, que pouvait-elle faire ?

Tandis que la sodomie continuait à un rythme effréné, lui relevant une jambe pour mieux montrer tout ce qui se passait à la caméra, la main de l’autre homme chercha dans ses entrailles la queue de son compère… et la trouva. La masturbation qui s’ensuivit fut aussi vive que brutale, le ventre se distendit étonnamment fort sous les pressions. Akio ne tint pas longtemps, tout au plus une minute, avant de s’écrouler, sa jambe ne la retenant plus.

La surprise de son sodomite lui permit de s’empaler totalement sur lui avant qu’il ne la retienne, mais cette action surprise l’acheva et il jouit à gros bouillons en s’efforçant de la maintenir debout, son compère écartant alors la main en elle tout en la ramenant vers les lèvres pour permettre à la cyrpine de s’écouler le long de son bras de manière parfaitement visible à la caméra.

« Whoa ! Quelle pute ! Elle vient encore de jouir. Et c’est un tout petit mot, regarde-la ! Et ce qu’elle décharge !
- Grmpf ! Moi aussi j’ai bien déchargé, putain. Quelle sensation ! »

Il la lâcha, elle s’écroula au sol, le corps secoué de spasmes de plaisir, la main de l’autre glissant hors d’elle tout naturellement.

« On va la matraquer à deux maintenant. Mais pas comme de simples humains… »

L’autre rit.

Sous le regard de la caméra, les corps des deux hommes grandirent pour atteindre deux mètres, deux mètres vingt, leur peau fonça vers une teinte plus rose-bordeaux et quelques excroissances osseuses se formèrent sur leurs crânes, leurs omoplates et leurs épaules. Leurs queues prirent des dimensions dignes de certains chevaux, voire peut-être plus épaisses. Les testicules suivirent le même chemin, elles semblaient à présent prêtes à déverser plusieurs litres chacune.

« Détache-la, on va pas pouvoir faire ce qu’on veut sinon.
- Ouais. »

Aussitôt dit, aussitôt fait. Seul restait attaché le collier. Le bâillon suivit le même chemin et se retrouva au sol.

Le premier homme agrippa les cheveux d’Akio et la força à se relever, la tira sans ménagement pour la remettre debout.

« Je prends sa chatte cette fois. »

Il la fit pivoter face à son comparse qui venait de se vider dans son cul. Celui-ci la regardait avec désir tout en se paluchant. L’homme la souleva et l’empala par le cul sans autre forme de procès. Une fois le gland entré, il la maintint pour servir de guide, mais laissa la gravité agir et Akio s’empaler sur lui jusqu’à la garde, le ventre déjà distendu par son seul membre qui ne cogna pas seulement contre son estomac mais le pénétra sans autre forme de procès. Il savait qu’il allait devoir agir assez vite à présent, Valeria avait prévenu des conséquences d’une présence prolongée dans celui-ci quand la digestion s’enclenchait. Mais ils avaient encore quelques longues minutes, les sucs ne venaient pas immédiatement.

L’autre s’approcha alors et présenta son gland à la fente détrempée, le regard plongé dans celui d’Akio où se lisaient plusieurs émotions diverses.

« Quand on aura fini, tu ne seras plus qu’une loque prête à te damner pour en recevoir encore plus… »

Ce que sa mère lui faisait subir au travers de ce tournage, aucune humaine normalement constituée y survivrait, tant c’était tout simplement inhumain. Le ventre gargouillant à cause du litre de foutre épais remuant en elle, celui-ci se vida immédiatement lorsqu’il l’a laissèrent tomber sur le ventre, la semence encore chaude se faisant expulser un torrent pâteux aussi bien par le cul que par le nez, sa bouche étant pour l’heure obstruée. Dans son état pitoyable, Akio ne prêta pas attention aux dires des deux hommes.

Lorsqu’il la redressèrent de force, le fluide crémeux dégoulinant sur ses cuisses et sa gorge, après l’avoir détaché et délivré son orifice buccal, la jeune fille vit enfin la nouvelle apparence de ses violeurs… Des démons massifs. Les excroissances avaient déchirées les cagoules, permettant de voir des dents pointues et des yeux flamboyants. Baissant le regard, la brunette vit alors leur énorme gourdin, bien plus impressionnants qu’un simple gode équin taille max. Akio sembla trembler de peur à leur vue…

– P… Pitié… L-l-laissez m-moi…

Le visage imprégné de fluides mêlant larmes, salive et semence de la lycéenne laissa de marbre les deux tortionnaire, qui ne lâchèrent que des rires gras, alors que son fondement se fit de nouveau pourfendre, cette fois en entrant dans son estomac et frappant au fond, déformant son ventre et faisant gicler un peu plus de sperme de sa bouche dans un “blorp” visqueux.

– Quand on aura fini, tu ne seras plus qu’une loque prête à te damner pour en recevoir encore plus…

– N… Noon… A… Arrêteeeez…

Mais il pénétra à son tour son intimité jusqu’à la garde, et frappa le fond de son utérus. Les deux glands se frottèrent ainsi l’un contre l’autre au travers de ses entrailles et déformaient complètement son ventre, qui semblait comme gonflé.

– Bleark ! Haaaa… Gnh… Haaaaaaaa….

Le regard d’Akio se révulsa complètement alors que sa mouille dégoulinait le long des matraques en elle, qui ne tardèrent pas à remuer sauvagement en elle et malmener son corps, fort heureusement suffisamment souple pour y résister sans dommages internes.

Les hommes rirent grassement à ses faibles demandes de pitié, écartées par leurs voix comme une brise inexistante tandis qu’ils l’empalaient à qui mieux mieux, s’enfonçant en elle jusqu’à la garde à contrecoup, l’un se retirant tandis que l’autre entrait, histoire de la matraquer sans relâche à une cadence qu’un seul d’entre eux n’aurait pu tenir.

Ce n’étaient plus des queues qui la prenaient mais des marteaux-piqueurs. Ils étaient tellement vigoureux qu’ils n’avaient pas besoin de la soutenir, leurs membres faisaient tout le travail. Aussi les mains, les bouches et les langues profitaient-elles éhontément de son corps gracile, y laissant leurs marques de plus en plus visiblement à force de pincements et de suçons, voire de légères morsures.

La semence dans l’estomac de la fille continuait par moments à s’épancher par sa bouche, les coulées précédentes ayant depuis longtemps été léchées par les hommes, tout comme ses larmes.

Les bruits trempés du matraquage de ses orifices crevaient le silence où les seuls autres bruits étaient la respiration sifflante des hommes et les râles et les suppliques d’Akio dont la tête ballottait sur l’épaule de son sodomiseur, ses yeux roulant dans leurs orbites.

Bientôt, les hommes se mirent à la prendre au même rythme, comme si d’un commun accord ils avaient décidé de passer à la suite. Ou alors avaient-ils reçu une consigne ? Les bips ne cessaient de rythmer les ébats.

En deux minutes maximum ils parvinrent au bout de leur périple et se fichèrent en elle d’un ultime coup brutal tout en appuyant de leurs quatre mains sur ses épaules pour l’empaler le plus possible. Leur semence gicla follement en elle. Si le premier avait déjà balancé un litre alors qu’il était sous forme humaine, que dire de ce qu’elle reçut cette fois !

Son ventre enfla fortement et de sa bouche se mit à couler le sperme tandis que les démons râlaient de plaisir et continuaient à se vider.

La jeune fille n’était plus qu’à peine consciente dans son état. La souplesse de son corps réduisait drastiquement la douleur de cet empalement, ne laissant la place qu’au plaisir, qui ravageait son corps et son esprit. Ses supplications s’éteignirent progressivement, pour ne laisser que ses halètements. Akio ne valait guère mieux qu’une poupée en silicone entre leurs mains, un simple jouet destiné à se remplir et se vider de leur semence.

D’ailleurs, à force de ramonages intensifs, les deux démons finirent par jouir, relativement vite, et la brunette se prit plusieurs litres de fluides dans les entrailles. Son utérus gonfla aisément, donnant l’impression qu’elle était enceinte de jumeaux de plusieurs mois, son estomac remplis accentuant cette impression. Le surplus s’échappa de ses orifices, plus particulièrement le jet épais qui éructa de sa bouche à gros bouillons.

Une fois vidés, ils la laissèrent retomber sur le ventre, pour que les fluides en elle y fusent de nouveaux à flots, ce qui lui declancha un nouvel orgasme, sa mouille projetées à gros geysers.

– Bleuuuuuurg….

Pas le temps de souffler ou reprendre ses esprits toutefois. Akio sentit les deux membres collés l’un à l’autre se presser contre sa grotte des plaisirs élargie, et les glands gonflés pénétrèrent tout deux en elle, dans son vagin. Tandis qu’un objet non identifié s’enfonça également dans son cul.

– Haaaaaa…. Haaaaaaaaaaaaaaaa….

Valeria regardait sa fille adoptive se faire baiser avec une excitation et une fierté grandissantes. Elle encaissait ce qu’aucune humaine ne pourrait encaisser. Sous couvert d’effets spéciaux, elle offrait à Akio une baise comme elle en connaissait peu et se graissait la patte en même temps, les enchères sur le net grimpant en flèche, les spectatuers devenant de plus en plus excités et exigeants.

La prochaine demande était un trio avec une double pénétration vaginale. Elle fit un signe à un des acteurs en réserve. Celui-ci, déjà dévêtu, se laissa muter comme ses collègues, prêt à prendre son rôle.

Le temps passait relativement vite et les deux démons jouirent dans le corps désarticulé d’une Akio qui à ce stade avait oublié son rôle pour juste prendre son pied. la semence emplit le petit corps avec une abondance inhumaine, l’utérus enfla démesurément, amenant le ventre à une simulation grotesque de grossesse très avancée tandis que le cul recevait tant de foutre qu’il déborda sans peine l’estomac pour exploser par la bouche et les narines de la jeune femme, s’écrasant alors sur son corps svelte et enflé et sur l’autre démon. Une belle coulée de foutre s’échappa de son cul malgré la distension dont il faisait l’objet.

Les hommes se retirèrent sans égards et Akio tomba au sol, le visage contre le carrelage, le foutre s’échappant d’elle à gros bouillons. Un nouvel orgasme la traversa alors, les spasmes secouant son corps de manière affreusement obscène et suggestive.

« Bleuuuuuurg… »

Le troisième entra alors en piste.

« Je veux mon tour dans son cul. Sa chatte est à vous.
- T’en as mis du temps à venir !
- J’voulais voir ce qu’elle valait. Son cul me plaît vraiment bien. »

Il s’allongea sur une table non loin d’elle, les deux autres l’attrapèrent et la placèrent au-dessus de son mandrin, encore plus épais que les leurs ! La semence qui l’emplissait empêcha toute difficulté même si’il dut écarteler encore un peu plus son orifice pour s’introduire. Une fois le corps tremblant d’Akio empalé sur la totalité de la queue, les deux autres la laissèrent s’écrouler sur le torse velu de leur compère pour venir prendre place entre ses jambes qu’ils écartèrent en quasi grand écart.

Malgré son élasticité, elle ne pourrait pas encaisser deux mandrins comme les leurs simultanément, alors ils firent en sorte de prendre des dimensions à la limite de l’acceptable pour la pénétrer.

« Haaaaaa…. Haaaaaaaaaaaaaaaa…
- Putain, on dirait qu’elle va encore jouir !
- Quelle salope ! On se demande pourquoi on l’a enlevée. Je parie qu’elle nous aurait suivis…
- Je parierais bien là-dessus moi aussi ! »

Le corps d’Akio n’avait pas encore pu évacuer la moitié de ce qu’il contenait qu’il était déjà de nouveau soumis à un coït des plus intenses. Les enchères demandaient plus de vigueur et de vitesse, les spectateurs voulaient également la voir se déformer plus, cracher plus de sperme, en être plus couverte. Le show n’avait commencé que depuis une petite demi-heure et était déjà un véritable succès !