The Multiversity

Avant d’être Bowsette, la jeune femme était une Princesse… La Princesse du Royaume Champignon, un monde très spécial, très particulier, ressemblant à un conte de fées. Mais le Royaume Champignon avait d’autres royaumes comme voisin, notamment le royaume des Koopas, menés par le vil Bowser, ressemblant à un solide dragon vert et jaune. Depuis des années, Bowser avait tenté de capturer Peach, et, à chaque fois, le preux chevalier de Peach, Mario, venait la sauver. Les motivations de Bowser étaient dissimulées derrière la politique. Il voulait épouser Peach pour conquérir le Royaume Champignon, mais, en réalité, Bowser était amoureux de Peach… Suffisamment amoureux d’elle pour avoir, lors de sa dernière capturé, utilisé sur Peach un philtre d’amour très spécial, un mutagène conçu avec l’aide du Professeur Tastroff, un scientifique assez déjanté qui menait initialement des recherches sur les Boos.

Et, tandis que Bowsette se prélassait dans son château, au milieu de ses amantes, elle se rappela. Elle laissa son esprit divaguer, et se rappela… Sa première nouvelle nuit en tant que femme de Bowser.
Peach avait porté une belle robe blanche pour le mariage. À ce stade, le mutagène ne l’avait pas encore transformé, et elle était bel et bien Peach… Si ce n’est que le mutagène de Tastroff lui avait permis d’aimer enfin Bowser. Elle avait embrassé le dragon en lui offrant sa main, ainsi que le Royaume. Il n’y avait plus d’espoir de retour arrière, maintenant, et Bowser, qui portait un élégant smoking, avait dû attendre encore un peu. Peach avait prévu une robe très spéciale pour ce soir, et était enfin prête à perdre sa virginité. Bien que Bowser l’ait capturé à de nombreuses reprises, il n’avait jamais abusé sexuellement d’elle, mais, ce soir, Peach était prête !

Elle disposait d’une très grande chambre avec un lit énorme, comme si, inconsciemment, elle avait toujours voulu préparer un lit susceptible d’accueillir Bowser. Elle avait laissé ses servantes l’habiller. Peach était amoureuse, elle avait enfin admis ses sentiments pour Bowser, et savait que le dragon l’attendait dans leur chambre conjugale.

*J’espère qu’il me trouvera belle, j’ai peur que ça me boudine un peu…*

Son mariage avait surpris le peuple du Royaume Champignon, mais, dans l’absolu, la promesse de pouvoir enfin conclure la paix avec les Koopas avait été un argument décisif. Peach était nerveuse, et, les joues rouges, serrait nerveusement les doigts, tout en grimpant les marches menant au grand couloir conduisant à sa chambre. Les portes s’ouvrirent ensuite, et elle fit timidement irruption…

…Dans une robe violette aussi coquine que mignonne, mettant en évidence son intimité finement épilée, et dévoilant ses seins.

« Je… Ça me va bien, Bowser ? Je… J’ai peur d’avoir un peu grossi… »

Oui, la Bowsette assurée et autoritaire était encore très éloignée. Là, face à Bowser, c’était bien la petite Peach timide et douce, qui faisait face à une frustration latente qui ne demandait qu’à éclater au grand jour !

À l’époque, Peach était encore trop émotive pour prendre possession du caractère très possessif de Bowser, de sa jalousie croissante. C’était ça qui les forcerait ensuite à se séparer. Mais, pour l’heure, ce soir, Peach ressentait surtout pour Bowser un immense amour. Tastroff lui avait aidé à ouvrir les yeux. Elle avait toujours cru que Bowser voulait piller le Royaume Champignon, ou le ravager. Au lieu de ça, il était profondément amoureux d’elle, un amour immense, qui l’amenait à prendre quantité de dangers pour la récupérer. C’était juste que Bowser ne savait pas vraiment comment s’y prendre. Le puissant Koopa s’était forcé, et, face à elle, Peach sourit doucement, les joues rouges, en voyant qu’il portait encore son costume de mariage. Un grand pantalon blanc avec un smoking, et une longue cape royale dans son dos. Seuls les gants n’avaient pas pu être cousus à temps, car Bowser les déchirait sans arrêt. Il gronda en se rapprochant, des hurlements qui l’avaient souvent terrorisé quand elle était dans sa cage, et que Bowser enflammait ses Koopas, ou défiait Mario en crachant ses puissantes flammes. Son Mario… Bowser avait dit à Peach qu’il s’en était occupé lui-même, et qu’il ne reviendrait plus jamais les embêter. Peach n’avait pas cherché à en savoir plus, car, désormais, elle n’aimait plus que Bowser…. Son Bowser !

Il se rapprocha d’elle, la dominant de toute sa hauteur, et indiqua, avec sa voix rauque et gutturale, qu’elle était la femme la plus belle du monde. Le cœur de Peach rebondit dans sa poitrine, et elle rougit furieusement, posant ses mains sur ses joues en baissant la tête et en secouant les yeux.

« Oh, Bowser, voyons… !! » gémit-elle.

Comme c’était excitant ! Elle baissa les yeux, avant que la grosse main de Bowser ne relève son menton. Elle avait louché sur son pantalon, se pavoisant en voyant sa solide verge, une bosse qui était en train de déformer son pantalon. Et quelle bosse ! Peach avait beau être vierge, elle connaissait un peu le sexe. Elle avait déjà embrassé Mario quand il venait la secourir, et elle avait déjà senti cette bosse… Mais elle était bien moins grosse que celle de Bowser ! Le pantalon semblait sur le point de se déchirer, et il se pencha vers elle, avant de la soulever.

« Haaaa… »

Ce n’était pas un cri, mais clairement un soupir, un délicat gémissement qui s’échappa de ses lèvres. Il la souleva sans difficulté, car elle était un véritable poids plume face à lui. Peach posa ses mains sur les épaules de Bowser, et serra ses jambes autour de sa taille. Difficile de les refermer totalement, tant le tour de taille de Bowser était long. La tête du dragon se rapprocha d’elle, et son cœur remua encore doucement dans sa poitrine.

Il s’approcha encore d’elle.

« Bo-Bowser… »

Sa bouche se colla sur la sienne, et Bowser se livra avec Peach à un baiser humide, très baveux, sa longue langue s’enfonçant dans sa bouche. À ce contact massif, les yeux de Peach s’écarquillèrent sur place, et elle couina encore. Il posa ses mains sur sa tête et sur ses fesses, la relevant au passage pour la maintenir entre ses puissants bras. Tout excité, Bowser l’écrasait contre son corps, et les douces petites mains de poupée de Peach se crispèrent sur son torse, serrant son costume. Sa main se déplaça même pour s’agripper à sa cravate, et elle gémit encore, se frottant contre lui, sentant sa bosse taper contre son intimité.

Peach était naturellement imberbe au sexe, comme une sorte de cadeau de naissance. Plus rien ne la protégeait de la vigueur de Bowser, et, tandis qu’il l’embrassait, Bowser frissonnait. D’aucuns auraient pu trouver ce monstre hideux, mais, paradoxalement, sa laideur et sa monstruosité l’excitaient furieusement. Tout cela contribuait à l’exciter fortement. Après tout, elle était auparavant amoureuse de Mario, qui était loin d’être le plus beau prétendant qu’elle connaisse. Manifestement, Peach avait toujours eu une certaine attirance pour les créatures laides. Peut-être parce que Peach n’avait toujours vu que la beauté ? Bowser lui était totalement étranger, et cette curiosité la fascinait, formant le ciment qui l’avait attiré ici.

« Oh, Bowser… Personne n’a jamais bandé aussi dur que toi en ce moment pour moi. Je m’étonnais souvent, quand tu m’emmenais chez toi, de te voir te dissimuler régulièrement. Je croyais que tu voulais juste aller aux toilettes, mais… Oh, mon amour, je comprends tout, maintenant… Tu aurais pu me violer tellement de foi, et tu ne l’as jamais fait. Tu tuais au contraire ceux qui voulaient me forcer, comme si tu attendais juste que je m’offre à toi, Bowser… Et bien, c’est le cas, maintenant. »

Sa main tira encore sur sa cravate, et elle le sentit frissonner contre elle, tout en frottant son sexe sur sa queue.

« Je suis vierge, Bowser… J’aurai pu m’offrir à Mario depuis des années, mais, si je ne l’ai pas fait, c’est sans doute parce que j’ai toujours su que… Que c’était toi qui le méritais. Je veux que tu me fasses l’amour ce soir, Bowser, que… Que tu prennes toutes mes virginités, et que… Que tu me baises ! »

Elle avait lâché ce dernier mot sur un petit cri, et en rougit encore furieusement. Mais c’était sincère.

Ce soir, elle avait furieusement envie que Bowser la défonce dans tous les sens !

Peach était toute excitée, plus excitée que jamais. Ce soir, elle venait de se marier, elle venait donc de devenir une Reine, et son Roi se tenait là. Et elle était amoureuse de lui. Jamais personne ne l’avait aimé comme Bowser, d’un amour vif et passionnel. Il avait tout fait pour elle, il avait décrété la guerre au Royaume Champignon, et, pendant des années, il avait juste cherché un moyen de la séduire. Peach ne ressentait pour lui qu’une profonde affection, et, quand les puissantes mains de Bowser se posèrent sur ses petites fesses, et se mirent à la malaxer, à pétrir son délicieux petit cul, Peach se mit à gémir, et à mouiller intimement. Sa cyprine glissa sur le pantalon de Bowser, qui gronda sur place, après lui avoir offert un baiser très baveux, ce qui était sa grande spécialité. Sa langue monstrueuse s’était enfoncée en elle, l’amenant à écarquiller les yeux, avant de rougir furieusement.

Et, là, face à elle, Bowser annonça, de sa voix rugueuse, qu’il allait lui faire l’amour, tout en lui rappelant qu’il avait une « grosse queue de Koopa ». Peach en sourit joyeusement, tout en rougissant encore, très impatiente à cette idée. Sentir cette « grosse queue » était clairement une chose dont elle avait envie, et elle remua encore sur sa verge massive, dissimulée sous son pantalon.

« Oh, Bowser, mon aimé… Tu es mon Roi, et mon corps t’appartient, maintenant… » glissa-t-elle sur un soupir.

Bowser la retourna ensuite, et elle poussa un petit cri de surprise. La position était assez acrobatique, et sa robe partit vers le bas, révélant ses magnifiques cuisses, et ses doux collants roses. Bowser se mit alors à lécher compulsivement, arrachant à Peach de nouveaux couinements. Elle posa ses mains sur la ceinture de son pantalon, crispant ses délicats doigts gantés dessus. Tout en elle suintait la beauté et la bonté, avec une élégance typiquement féminine. Le rose, ce doux parfum envoûtant, ses cris fluets et guillerets… Excitée, Peach sentait la queue de Bowser taper contre son visage, encore dissimulée par le pantalon, tandis qu’elle gémit en sentant sa grosse langue filer contre son sexe.

« Haaannn, mon… Mon Roi, haaaa… !! »

Peach n’allait pas pouvoir tenir éternellement dans cette position, car le sang remontait vers son cerveau, mais elle appréciait le geste, et les douces attentions de Bowser. N’était-ce pas là l’ultime preuve qu’il était bel et bien amoureux d’elle ? Elle ne pouvait tout simplement pas lutter ! Et, tandis qu’il léchait son intimité, elle pouvait parfois le sentir s’approcher de sa rondelle, déclenchant en elle de nouveaux frissons.

Elle tenta de déboutonner la ceinture de Bowser, et réussit à la déboucler, puis tira dessus, mais en peinant à se concentrer. Sa langue fila donc sur le tissu du pantalon, léchant la grosse bosse dessous. Elle rougit encore en constatant que Bowser ne portait pas de sous-vêtement, et que sa queue continuait à tendre le tissu du pantalon. Peach déglutit doucement, et continua à le lécher encore, sentant cette queue enfler encore, et remua à nouveau.

« Haaaa… Mon… Mon Roi, repose-moi, s’il-te-plaît… »

Devenue très curieuse, Peach finit sur ses genoux, et invita Bowser à s’asseoir sur le rebord du lit. Son corps massif s’appuya, et elle attrapa le pantalon. Elle retira finalement la ceinture, et la jeta au sol, puis tira sur le pantalon, et écarquilla les yeux en voyant l’immense verge de Bowser, qui tapa sur son nez, la faisant sursauter.

Ses yeux s’écarquillèrent, tandis que l’odeur rance et pénétrante de cette verge s’infiltra sur son nez. Elle rougit furieusement devant ce membre particulièrement tendu, un membre rougeâtre avec des picots le long de la verge, et le renifla encore, approchant son visage.

« C’est… C’est ce que j’appelle une verge royale, mon Roi. Rien qu’à l’idée que vous puissiez me pénétrer avec ce membre… »

Elle se mordilla les lèvres, et frotta alors doucement son visage contre cette queue tendue, légèrement gluante, et déposa un premier baiser dessus.

« Elle est si chaude, mon Roi… Votre belle queue. Comment ai-je pu être aussi égoïste, et aussi aveugle ? Mon pauvre Roi, vous avez tellement dû souffrir… Votre petite Peach va devoir se faire pardonner pour toutes ces années de frustration… »

Sa voix fluette se couplait à un soupçon de perversion, ce qui en faisait un mélange absolument exquis.

Comment y résister ?