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Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 00:58
par Reine Alice Korvander
Les provinces intérieures du royaume d’Ëlnwood avaient toujours été particulièrement paisibles. Une chose qui n’avait rien de surprenant, car les frontières du royaume étaient lourdement défendues par d’épais bastions et forts, ainsi que par des séries de vallées et de gorges s’enfonçant dans des massifs montagneux. Ëlnwood était ainsi un royaume très paisible, une sorte d’oasis fait de verdure, de fermes agricoles, et de vastes bois magiques où il faisait bon vivre. Jadis territoire elfique, Ëlnwood était maintenant peuplé majoritairement par des humains, qui faisaient commerce des produits issus de la terre : le bois, la viande, mais encore les gisements miniers situés le long des montagnes, et qui garantissaient au royaume une richesse considérable. Autrement dit, les récentes manœuvres militaires mijakiennes n’impressionnaient guère Ëlnwood. Mijak était encore assez éloigné de ce royaume, qui était par ailleurs très proche de Lumen, entretenant avec le royaume des relations économiques privilégiées. Ce faisant, nul ne s’inquiétait, car, pour les habitants, les frontières extérieures d’Ëlnwood étaient sûres.

La réalité, cependant, était un peu plus nuancée, et cela, les locaux allaient en prendre conscience quand Steppenwolf viendrait les attaquer. Le puissant Lycan avait jadis été un être humain, un simple fermier, qui avait été capturé par sa suzeraine, la belle et terrible Rayla. Rayla avait mené sur lui des expériences, et avait transformé l’homme en une abominable bête. Pour son malheur, ce brave fermier était né avec des pouvoirs psioniques latents, que Rayla avait détecté, et avait utilisé à son compte. La femme était une Mijakienne, une femme qui avait envie de faire brûler Ëlnwood, et qui avait, pour cela, envisagé un stratagème.

Au-delà des Mijakiens, Ëlnwood ne connaissait qu’un gros problème : les loups. L’hiver, ils revenaient abondamment, et, si les différentes milices locales réussissaient à les éloigner des villages, les forêts et les bois étaient si denses qu’il était fréquent que les loups attaquent des habitants. Ces loups étaient très nombreux, ce que Rayla savait. Pendant des mois, Steppenwolf avait été fabriqué, à l’aide d’expérimentations génétiques, de mutagènes, de séances de torture, afin de le rendre docile envers Rayla, mais meurtrier et brutal envers les autres. Rayla l’avait formé, le relâchant dans des pièces en compagnie de prisonniers qu’il massacrait impitoyablement... Mais, pour réellement réussir à le soumettre à son autorité, elle avait dû jouer avec les hormones de la bête, afin que Rayla ait sur lui une emprise sexuelle. Ceci avait eu comme effet secondaire de développer chez Steppenwolf ses pulsions sexuelles, en faisant un terrible violeur, et qui, étrangement, et ce malgré toute sa bestialité, semblait soucieux de faire plaisir aux femmes, utilisant à cet effet ses pouvoirs télépathiques.

Néanmoins, et au demeurant, ses pouvoirs lui permettaient surtout de rallier les loups à son autorité. Pour les plus téméraires, il se contentait de broyer le mâle-Alpha, et, peu à peu, Steppenwolf avait constitué, avec lui, une véritable armée de loups, ce qui avait eu pour effet de réduire les attaques de loups sur Ëlnwood pendant l’hiver, ce qui n’avait pas manqué de surprendre les autochtones. Steppenwolf, en réalité, avait passé l’hiver à rallier les loups dans les montagnes. Car, aussi solide que soient les forts d’Ëlnwood, le royaume avait des faiblesses. Pendant la guerre entre les nains et les elfes, les nains avaient creusé des tunnels s’enfonçant sous les montagnes, afin de contourner les défenses. De tels tunnels étaient instables et dangereux, et empêchaient donc une armée de la traverser, mais un simple homme, en revanche... Ces tunnels et ces grottes étaient connus, et servaient habituellement de réseaux de contrebande. Steppenwolf n’avait eu qu’à les emprunter.

Aujourd’hui, le puissant Lycan était en compagnie d’autres loups, et partait chasser. Il pistait des biches, et avait délaissé son armure, s’exposant ainsi dans sa puissante nudité. Quelques cicatrices ornaient le corps de « Loup-Blanc », ainsi qu’on pouvait le surnommer. La puissante bête obéissait fidèlement aux ordres de Rayla, et cette dernière lui avait dit de se préparer à attaquer Ëlnwood se l’intérieur. Depuis des mois, il préparait son œuvre, renforçant son autorité sur les loups, et ce depuis une étroite forteresse abandonnée dans les montagnes.

Mais voilà... Steppenwolf avait en lui ces pulsions hormonales, et, depuis des mois, il n’avait pas eu l’occasion de coucher avec Rayla, ni même avec beaucoup de femmes. Alors, aujourd’hui, et de plus en plus téméraire, il s’éloignait des bois profonds pour se rapprocher des villages. Le Lycan avait, pour le dire simplement, une envie phénoménale de baiser. Il ignorait que Rayla, pour le soumettre, avait utilisé sur lui des élixirs s’inspirant des phénomènes xénos, qui, de la même manière, utilisaient les pulsions sexuelles pour soumettre les Xénos aux Annexiens. Comprendre les motivations profondes de Rayla n’intéressait guère Steppenwolf, qui était autant capable de se révolter contre elle qu’un Xénos contre son Annexien.

*Mais j’ai envie de baiser... De BAISER !!*

Steppenwolf n’avait pas les restrictions qu’un être humain pouvait s’appliquer quant aux pulsions sexuelles. Elles le dominaient totalement, mais la prudence lui imposait encore de ne pas s’attaquer à des groupements importants.

C’est bien pour ça que, tout en suivant les sentiers, il finit par renifler, outre l’odeur de biches, une délicieuse odeur qui provoqua en lui une érection.

Il s’arrêta au milieu de ce sentier boisé, et renifla cette odeur, qui dégageait des fragrances de parfum, et renifla les traces de pied sur le sentier.

*Une femme, une femme !!*

Les loups l’entourant reniflaient également, avant de grogner et d’aboyer entre eux.

« Rrrr !! » grogna soudain Loup-Blanc, leur imposant rapidement le silence.

Steppenwolf renifla encore l’odeur, puis suivit la trace.

Elle était toute fraîche, et la conduisit droit vers une cabane...

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 00:59
par Chloé Faure
Les anciennes croyances et les superstitions allaient bon train dans les zones où la nature avait encore beaucoup de droits, dans ces vastes montagnes et forêts, les villages qui vivaient dans leur ombre continuaient malgré la présence de l'Ordre de pratiquer d'anciens rites, ou de se tourner vers des représentants encore existants d'anciennes idoles ou divinités. C'était le cas du petit village de Grandel, connu dans le coin pour ses multiples scieries et sa mine de fer, il faisait partie de ces avant-postes dans les terres les plus sauvages Ëlnwood conçus pour devenir à long terme des pilliers de civilisation, mais qui continuait toutefois à honorer les esprits de la forêt. Un chaman vivait à quelques lieues de ce village, reclus dans une cabane en pleine forêt, il était régulier que le village lui apporte de la nourriture afin qu'il continue à appaiser les esprits pour protéger le village. En cet après-midi, il appartenait à Clara d'apporter sa nourriture au Chaman. Elle portait une tenue très courte, rouge vif, dont les hommes du village avaient été très friands à regarder lorsqu'elle s'en était allée. Nul n'aurait sû dire d'où venait cette tradition de porter une telle tenue, mais les jeunes femmes du village le faisaient depuis des générations...et Clara n'était pas du genre à remettre en cause contre tout le village une tradition locale.

*Mais quand même, je suis presque nue...*

Clara était une jeune femme pleine de vie, qui venait récemment de célébrer son dix-septième printemps, et qui serait bientôt promise à se marier, probablement à l'un des jeunes bûcherons du village, afin qu'ils fondent une famille ensemble. Clara avait toujours eu beaucoup de prétendants, car elle était indéniablement l'une, si ce n'est la plus belle femme de Grandel et de ses environs. La tenue de Chaperon qu'elle portait n'avait fait que renforcer ses atouts naturels déjà bien présents, et nul doute qu'en la voyant ainsi, nombre des jeunes hommes célibataires du village se battraient pour obtenir sa main. Elle, en l'état actuel des choses, n'était guère à l'aise avec les talons de ses bottes en cuir rouge, car elle n'y était pas habituée. Elle était une jeune paysanne, d'avantage habituée à porter de longues tuniques en tissu et des chausses solides, c'était donc désagréable, même si intérieurement, elle avait trouvé l'émoi qu'elle avait provoqué très flatteur.
Clara suivait donc le sentier, bien entretenu, qui était censé la mener jusqu'à la cabane du chaman, à qui elle remettrait le contenu de cette corbeille en osier qu'elle portait à bout de bras. Quelques tartes ainsi que de la viande séchée et du lait, c'était traditionnellement ce que le village pouvait se permettre de donner des quelques surplus de nourriture qu'il produisait. Elle n'était nullement au courant des meutes de loups qui traînaient dans les environs, ou même du fait qu'elle était désormais en train d'être pistée. Le sentier avait toujours été sécurisé, et des battues étaient régulièrement organisées pour contrôler la population de loups et ainsi éviter qu'ils ne s'attaquent aux humains. En somme elle chantonnait, et prenait son temps pour marcher, la température à l'ombre des massifs arbres étendant leurs feuillages était absolument parfaite, et elle ne pouvait de toutes manières pas marcher très vite à cause de ces talons. En somme...une proie parfaite.

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:00
par Reine Alice Korvander
Pour autant qu’il s’en souvienne, Jean d’Armentier avait toujours été un escroc. Depuis qu’il était petit, mentir avait toujours été sa grande passion, un mode de vie. Ayant grandi à Lumen, il appartenait à une famille de tisserands, la petite bourgeoisie, et s’était amusé à provoquer le licenciement de plusieurs domestiques en les accusant d’avoir volé ses jouets. Jean d’Armentier avait toujours été un menteur, un escroc, quelqu’un qui, comme une sorte de fin gentleman, courtisait les belles dames lors des bals pour voler leur argent. Menteur doublé de kleptomanie, il avait fini par se faire arrêter, poursuivi par plus d’une quinzaine de créanciers. La condamnation judiciaire avait été lourde, et Jean d’Armentier avait quitté Lumen. L’homme, malgré le monde magique dans lequel il vivait, n’avait de magique que ses mots, que sa capacité à se faire passer pour ce qu’il n’était pas. Un arnaqueur qui avait mis sur la paille quantité de gens, et qui avait fui Lumen pour éviter la prison.

Maintenant, Jean d’Armentier avait trouvé une retraite dorée dans le trou-du-cul du monde. Ëlnwood. Une forêt géante ! Un endroit si reculé que l’Ordre Immaculé n’y était pas, et que les locaux vénéraient de vieilles divinités à tête de bouc. Une bande de péteux qui avaient été impressionnés par lui, quand il s’était rasé la tête, et était venu les voir en toge, pour leur dire que leurs récoltes seraient hantées par une quelconque Déesse païenne si, régulièrement, ils ne venaient pas lui faire des offrandes. Dans n’importe quel autre village, on aurait châtié ce devin, ce freluquet, mais, et c’était bien là la preuve que la chance souriait aux crapules, l’ancien druide du village était récemment mort de maladie, ce que les autochtones avaient interprété comme un signe néfaste.

Jean d’Armentier était donc devenu le Chaman du village. À ce titre, il vivait dans une cabane reculée, et ne faisait rien de ses jours. Il bénissait les nouveau-nés, honorait les mariages, et s’envoyait en l’air avec les paysannes, tout en récupérant de la bouffe et des vêtements de la part des locaux, leur offrant parfois quelques prédictions, prédictions qui dépendaient essentiellement des décolletés qu’on lui présentait. Disons-le donc simplement, d’Armentier était un escroc jusqu’au bout des ongles, doublé d’un sacré pervers... Mais il était intelligent, et il s’était renseigné sur les cultures locales, et avait ainsi appris qu’il existait un ancien rite, dans lequel une jeune femme du village, vierge, allait déposer une offrande dans un sanctuaire sacré, au cœur de la forêt, afin de bénéficier de la protection des Dieux. L’offrande consistait officiellement en un panier de fruits, mais consistait en réalité à offrir son hymen aux Dieux, pendant la nuit.

Ce faisant, il fallait que les villageois, pour ne pas courroucer les Dieux, envoient de la belle marchandise. D’Armentier, qui se faisait appeler Shakaar, avait donc relancé cette tradition suite à quelques disettes et tempêtes. L’excuse parfaite ! Régulièrement, il venait coucher avec une vierge, et, en retour, si les choses allaient mal, il suffisait de dire qu’elle n’avait pas été assez consentante. C’est pour ça que les villageois dotaient leur offrande d’un magnifique apparat, sans forcément lui dire ce qui l’attendait.

*Elle va bientôt arriver... Merde, merde !*

Shakaar portait sa toge, et avait étalé sur sa table plusieurs trucs qui faisaient vieux mage : des grimoires, des bouquins, un bâton de mage (en réalité, une vieille canne qu’il avait volé il y a des années à un clochard), et venait de se masturber. Il venait de jouir dans ses toilettes, un petit cabanon dans son jardin, et en sortit. Le jardin de sa cabane était défraîchi, sauvage. Il ne l’entretenait jamais, et entra rapidement dans sa maison en bois, passant à côté d’un garde-manger bien rempli.

Le Chaman entendit alors des bruits de pas, et regarda à travers sa vitre, puis vit...

*Oh putain, PUTAIN !!*

Dieu, qu’elle était belle ! Il sentit immédiatement sa queue se durcir à nouveau, et se félicita de son idée de génie. Mon Dieu, quelle perle ! Il n’arrivait pas à y croire ! Avec sa tenue rouge, et ses bottes en cuir, il tremblait sur place, et s’humecta les lèvres. Il se massa à nouveau la barbe, se félicitant d’avoir une toge large pour dissimuler son érection, car il bandait comme un taureau. La magnifique beauté se rapprochait, et Shakaar se déplaça rapidement, récupérant son bâton, en reprenant son calme.

*La vache, ce village est rempli de moches et de grosses paysannes, et on m’envoie ENFIN une beauté ! Merde de merde !!*

Respirant lentement, il tentait de se calmer, lorsque la femme grimpa le perron de la cabane, et tapa à sa porte.

Elle dut attendre un peu... Car Shakaar s’était enfermé dans un placard, et se masturbait frénétiquement, jusqu’à se vider, balançant contre le mur du foutre, en soupirant faiblement.

« Hooooo... !! »

D’aucuns auraient pu dire qu’il était un pervers, mais le fait est qu’il était en manque. À Lumen, il était un dandy couchant régulièrement avec des femmes, et, depuis sa retraite chez les bouseux, il couchait rarement.

Ne voulant pas que sa fée s’impatiente, Shakaar remit sa toge, soupirant à nouveau, puis se rapprocha rapidement. De la porte, et l’ouvrit alors.

Sur la porte, il avait mis plusieurs grigris, comme un attrape-rêves, ainsi que des poupées vaudou, des plumes de poule qu’il avait fait passer pour des plumes de griffon, et se retrouva donc face à la beauté, dont le parfum l’enivra alors furieusement.

« Oooohh... Bonjour, jeune fille. Je vous remercie d’être venu voir le vieil homme que je suis. »

Shakaar était un homme qui parlait d’une voix grisonnante, l’un des talents d’escrocs de d’Armentier, qui s’écarta, et, tandis que la femme rentrait, posa une main sur son dos pour la guider, reniflant discrètement son odeur.

Tout, tout, chez elle, était parfait ! Officiellement, la jeune femme n’était pas venue pour honorer la cérémonie, mais... Dieu, Shakaar sentait qu’il allait faire un extra’ sous peu.

« Comment t’appelles-tu, mon enfant ? J’espère que la route n’a pas été trop longue... Mais bon, la jeunesse permet de marcher vite. Que m’as-tu apporté, ma chérie ? »

Pendant ce temps, dehors, une épaisse silhouette observait la cabane en grognant, sentant, outre l’odeur délicieuse de la femme, celle, insupportable, d’un homme qui avait l’air de boire fréquemment...

« Rrrrr... »

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:02
par Chloé Faure
Fort heureusement, l'été était clément pour les habitants du village, ne serais-ce que pour les récoltes, mais aussi de façon plus immédiate pour Clara qui ne portait presque rien sur elle. La température chaude de cet après-midi lui permettait de supporter la grande quantité de sa peau mise à nue, tandis qu'elle marchait, elle essayait régulièrement de plier le tissu de sa jupe afin d'essayer de la faire descendre d'avantage, même si ce n'était que d'un simple petit millimètre. Elle était si courte qu'il lui suffisait de marcher, sans même chercher à se déhancher, pour que l'on apercoive facilement sa petite culotte blanche en tissu. Elle n'était personne pour critiquer les traditions, ni les offrandes régulières au Chaman du village pour ses bénédictions, mais elle ne pouvait vraiment s'empêcher de se dire que cette tenue était tout bonnement inutile. Elle n'avait pas vraiment d'idée sur ce qui était censé l'attendre à l'intérieur de la cabane dont elle distinguait maintenant les contours au loin du sentier, mais elle espérait surtout pouvoir faire vite, afin de rentrer, et de remettre quelque chose de décent. Si la jeune femme flirtait volontiers avec certains des hommes qui voulaient la courtiser, elle était encore vierge, et elle trouvait tout bonnement cet accoutrement trop révélateur, et absolument pas pratique, du moins pour une paysanne comme elle qui n'avait jamais mis de bottes à talons.
La jeune femme arriva finalement à hauteur de la cabane, et toqua donc à la porte. Cet endroit était éloigné de tout, et la porte était décorée de grigris ainsi que de divers objets qu'on pouvait, naturellement, s'attendre à trouver dans la retraite d'un Chaman vivant reclus. Les apparences étaient trompeuses, et c'était ce qui avait trompé tous les habitants du village, Clara y compris. Si elle n'était pas idiote, elle ainsi que ses comparses paysans étaient des hommes et des femmes cultivant la terre et travaillant les forêts, l'éducation en dehors des bases était tout ce qu'il pouvait y avoir de secondaire, contrairement aux nobles à qui ils payaient leurs taxes en échange de leur protection. Distinguer un véritable Chaman d'un charlatant très convainquant n'était pas dans leurs attributions pour la plupart d'entre eux. Clara toqua donc à la porte, puis attendit un moment avant que la porte ne s'ouvre, laissant voir un homme barbu, vieux "visiblement", qui la salua.

Bonjour Chaman, c'est un honneur que d'avoir été choisie pour vous apporter nos offrandes, mon nom est Clara.

Elle rentra. Le contact de la main de l'homme dans son dos lui paru désagréable, mais elle ne s'en formalisa pas d'avantage, car elle souhaitait comme tout le monde que les récoltes soient bonnes, la météo clémente, et les attaques de loups évitées. Elle rentra donc dans la cabane, qui était décorée de choses qu'elle prenait pour de l'authentique matériel d'alchimie et d'autres trucs magiques...oui elle n'y connaissait rien à la magie.

Et bien comme le veut la tradition je vous ai apporté cette corbeille en osier. Elle contient une tarte aux pommes, qu'il vous faudra déguster vite pour en conserver la bonne tenue, mais aussi de la viande salée, du pain ainsi que du lait, afin d'égayer vos repas.


Clara avait toutefois comme une sorte de mauvais pressentiment, l'impression qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas, ou qui n'était pas naturel. C'était très diffus toutefois, d'autant qu'elle était d'avantage concentrée sur le fait de faire accepter au Chaman son offrande, afin que ce dernier bénisse à nouveau le village.

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:02
par Reine Alice Korvander
Clara... Une voix de velours, un corps de rêve. Tandis qu’elle posait la corbeille, et en énumérait le contenu, d’un œil expert, Shakaar l’examinait silencieusement. Des jambes fuselées, interminables, des hanches de rêve, et cette tenue... Haaa ! La tenue rouge était traditionnelle, en hommage à cette cérémonie qui aurait lieu sous peu. Le Rituel de la Lune. Et Clara avait visiblement été choisie pour ce rituel, ainsi que la tenue, les villageois l’ayant visiblement choisi pour savoir si le Chaman approuverait cela... Et sa queue l’approuvait, puisque, même après s’être masturbé, il sentit son érection revenir. Cette femme était un véritable cadeau des Dieux, si tant est que l’homme puisse croire en une quelconque divinité.

« Oui, égayer mes repas, marmonna-t-il lentement. Je te remercie, mon enfant, et, si tu me le permets, j’aurais une requête à te demander. »

Le Chaman tritura sa barbe, l’air penaud, avant de lui désigner une commode en hauteur, puis de poser une main sur une chaise.

« Pourrais-tu aller me chercher du sirop d’érable ? Le pot est haut, et, avec  mes rhumatismes, j’ai du mal à me hisser ainsi. Toi, tu es jeune, et pleine de vitalité et d’énergie... Je t’en serais infiniment reconnaissant, ma douce et belle Clara. »

Avenante, la fermière obéit, et d’Armantier en profita évidemment pour se rincer l’œil. La femme dut en effet se hisser sur la pointe des pieds, soulevant sa minijupe, et il eut une vision angélique sur son petit cul, délicieusement ferme, ainsi que sur sa culotte blanche, un fini tissu qui découpait ses fesses en deux. Le Chaman se sentit se dessécher sur place. Le Rituel de la Lune avait lieu dans une semaine, et il avait décidemment hâte que cela arrive !

La femme dut écarter les pots, prolongeant le plaisir, et, quand elle se retourna, il ne manqua pas de la remercier.

« Tu es vraiment très gentille, Clara. Tes parents doivent être très fiers de toi. Par ailleurs, j’espère que tout se passe bien au village. »

Il disait ça juste par politesse. Savoir qui traitait le cul des vaches ne l’intéressait guère, et il attrapa surtout le pot, et se déplaça un peu, essayant de s’arracher à la vision angélique de ce corps parfait, afin de calmer son érection. Dieu, Dieu ! Il avait pourtant une belle expérience sexuelle, mais, après tant d’années d’abstinence, il se sentait comme un jeune blanc-bec venant de voir sa dulcinée en sous-vêtements.

Clara était vraiment magnifique, comment ses parents pouvaient ne pas s’en rendre compte ? Comment une telle beauté avait-elle pu débarquer dans un village rempli de bouseux et de culs-terreux ? Ah, les joies de la génétique !

« Je t’en prie, Clara, installe-toi, tu ne vas pas repartir si vite, tout de même... Tu as beau être jeune, se reposer ne fait parfois pas de mal, crois-en mon expérience. Je vais aller chercher de quoi te désaltérer un peu dans ma cave. »

Il lui sourit, un sourire se voulant avenant, puis la laissa s’asseoir, peinant à détacher son regard. C’était comme si une succube venait d’entrer, car, peu importe où se posait son regard sur le corps de cette femme, il n’y voyait que grâce, beauté, volupté... L’homme se retourna rapidement, et sortit de la salle principale, puis prit à gauche, rejoignant l’escalier menant à la cave. C’est là qu’il y entretenait son vin, ainsi que quelques heureux souvenirs de Nexus... Notamment des élixirs et des philtres d’amour qu’il avait acheté auprès de mages nexusiens. Il utilisait toujours l’un de ces philtres à l’occasion du Rituel de la Lune. Ils étaient inspirés de drogues chimiques tekhanes, des substances psychotropes qui permettaient de faire oublier aux victimes ce qu’elles avaient fait la nuit.

Ainsi, d’Armentier évitait l’ire de la foule, ou que son secret ne soit révélé... Mais là, il comptait utiliser cette drogue, et se déplaçait donc, en utilisant une lampe à huile pour se diriger le long de ces tonneaux.

Il pensait au corps nu de Clara en train de gémir son nom pendant qu’il besognait son petit cul de salope dans sa chambre quand un bruit le fit s’arrêter soudainement.

« Hm ? »

D’Armentier regarda nerveusement autour de lui, en fronçant les sourcils. Il avait cru entendre... Comme un grognement. Il laissa passer quelques secondes, tout en se reculant un peu... Et son dos heurta alors une fourrure, puis il vit deux yeux sanguinolents, aussi rouges que l’Enfer...

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »
*
*  *
Le hurlement du faux Chaman se fit entendre dans la salle à manger, bien entendu. Un cri horrible, suivi d’autres hurlements, ainsi que de chocs sourds, terrifiants.

« HAAAAA... N-Non, pi... Pitié, haaaa... !! HAAAAAAAAAAAA... !!
RRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRROOOOAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRR !!

Il y eut ce hurlement terrible, puis...

Un craquement sourd.

Et plus rien.

Un silence pesant, terrifiant, macabre.

Avant d’entendre des pas lourds dans la cave.

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:02
par Chloé Faure
Clara était gênée d'être ici, elle ne savait pas trop pourquoi, mais cet homme lui inspirait comme une sorte de mal être, et en soit elle avait surtout envie de laisser au Chaman sa corbeille de nourriture et de repartir d'ici. Cependant elle savait que ce n'était pas aussi simple, lui tenir compagnie un moment était le minimum à faire, si elle ne voulait pas le froisser. Il lui demanda alors d'aller chercher au sommet d'une très haute armoire un pot de sirop d'érable, que lui même était trop faible pour pouvoir aller chercher. Elle ne pu s'empêcher de se demander qu'est-ce que ce pot faisait dans un endroit inatteignable pour l'unique occupant de cette cabane mais...oh bien, il ne s'agissait après tout que de chercher un pot pour un vieil homme.

Bien sûr, attendez un instant, je vais vous le descendre.

Carla monta donc sur une chaise, précautionneusement, encore une fois à cause de ces talons auxquels elle n'arrivait pas à se faire. Conserver son équilibre, ne pas tomber, tout en cherchant à attraper ce pot en hauteur, étaient les principales moteurs de son esprit à ce moment là, si bien qu'elle ne remarqua pas tellement que dans cette position, elle fourrait ses fesses presque au nez de cet homme. Derrière elle, l'imposteur avait de quoi se rincer l'oeil, comme il était en contrebas et que la jupe de Clara était minuscule, il avait une vue imprenable sur le cul que nombres d'hommes du village, en la voyant partir, considéraient comme parfait à l'image du reste de son corps. Elle resta dans cette position une bonne minute, avant d'arriver enfin à se saisir de ce maudit pot, et à redescendre sans perdre l'équilibre. Mission accomplie donc, elle poussa un léger soupir de soulagement, la tâche dans cette tenue n'avait pas été aisée, et l'homme la remercia.

Je vous en prie c'est normal, à présent je...

Elle allait déclarer qu'il était temps pour elle de rentrer, mais le chaman l'interrompit en lui demandant de rester encore un peu. Elle n'était pas à l'aise ici, mais encore une fois, elle ne pouvait se permettre de froisser cet homme qui garantissait des bénédictions protectrices aux habitants du village, il n'y avait pas que sa gêne en jeu. Elle acquiessa donc silencieusement, en déglutissant puis prit place sur une chaise, en prenant bien entendu soin de serrer ses jambes l'une contre l'autre, afin de ne pas laisser entrevoir les plis de sa culotte. L'homme s'absenta un moment, laissant ainsi la jeune femme seule, dans cet endroit isolé, dans une tenue plus qu'aiguicheuse. Clara ne pouvait vraiment pas s'empêcher de se sentir mal à l'aise, et son instinct lui dictait de sortir d'ici tant que cet homme était absent, dans l'impossibilité de l'en empêcher. Il se passa quelques temps, avant qu'elle n'entende subitement d'horribles bruits venir d'en bas, juste en dessous d'elle. Des hurlements, des grognements, ces bruits fûrent soudains et puissants au point d'en faire sursauter la jeune femme, dont les yeux s'équarquillèrent d'horreur. Elle ne pouvait savoir exactement ce qui s'était tramé en bas, mais les bruits qu'elle avait entendus avaient été suffisants pour qu'elle se lève en vitesse, se dirige vers la porte, et sorte de la cabane en courant. Enfin, courir était un bien grand terme, vu que ses talons n'étaient absolument pas prévus pour, et qu'à chaque enjambée qu'elle faisait elle menaçait de tomber par terre. Mais l'instinct de survie, l'adrénaline coulant à flots, avaient pour vertu de permettre à quiconque de dépasser ses limites. Elle ignorait ce qui s'était passé, mais l'homme était mort, tué par...elle ignorait quoi, et ne voulait pas le savoir, elle voulait courir jusqu'au village et prévenir la garnison locale. Le grognement qu'elle avait entendu était celui d'un loup, du moins le pensait-elle, et suffisament dangereux pour s'être introduit dans une maison et tuer un humain, ce qui était une menace.
Elle n'avait pas encore idée à quel point cette menace était grande.

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:03
par Reine Alice Korvander
Elle avait fui, bien évidemment. Le misérable n’avait rien pu faire, piètre humain. Steppenwolf resta un peu dans la pièce principale. Il n’y avait que de sales odeurs ici... Mais, au-delà de toutes ces odeurs, il pouvait clairement sentir celle de sa dulcinée, cette douce odeur parfumée, ce parfum de femme, délicieux, exquis. Le puissant Lycan s’avança près de la fenêtre. Il était si grand que sa tête heurtait le plafond, et il renversa plusieurs instruments et divers objets situés sur la table, avant de se pencher par la fenêtre, pour voir une silhouette rouge qui filait au loin.

La femme grimpa une petite colline, afin de pouvoir, de l’autre côté, filer, probablement vers la plus proche rivière. Cependant, alors que Clara courait, elle pouvait entendre les loups hurler et aboyer, menaces indicibles, car invisibles, mais bien réelles. Ils grognaient, hurlaient, proches ou éloignés, et personne ne viendrait à son secourir. Le Chaman avait choisi, pour ne pas être dérangé, de s’installer loin de la scierie, ou des plus proches fermes. Personne ne s’aventurait ici, sauf la jeune femme, qui tentait de fuir... Mais, hélas, fuir dans la forêt avec des talons n’était pas aisé, et elle heurta une racine, ce qui la fit basculer, et tomber le long de l’herbe, jusqu’à ce que son corps ne vienne heurter un tronc d’arbre, en contrebas.

Et, le temps qu’elle revienne à elle, les loups étaient là, l’encerclant, hurlant et grognant, claquant leurs dents dans le vide, contraignant la jeune femme à se recroqueviller contre l’arbre. Dans sa panique, peut-être ne réaliserait-elle pas que les loups ne cherchaient pas à la dévorer, mais juste à la retenir. Ils hurlaient et rugissaient, quand un plus fort hurlement retentit, et les fit alors tous se taire. Une scène surréaliste, tandis que, au sommet de la colline, une épaisse silhouette apparaissait. Une sorte d’ogre massif, qui se mit lentement à descendre, avant de se mettre à quatre pattes, et ainsi de pouvoir, en quelques foulées, les rejoindre.

Steppenwolf venait d’apparaître, et était nettement plus gros que les autres loups. La bête se dressa alors, se mettant en position debout. Faisant plus de deux mètres de haut, et plus de cent kilos de muscle et de poils, il dominait entièrement la jeune femme, recroquevillée contre le tronc d’arbre. Steppenwolf, avec ses cornes de bouc sur la tête, et sa cicatrice le long de l’oeil, était une bête impressionnante, qui se pencha vers la femme... Et vint apposer son museau contre sa joue, le reniflant, inspirant et expirant, son souffle rebondissant sur le doux visage de la femme.

« Moi... Steppenwolf... »

Le Lycan parlait d’une voix profonde et caverneuse, et posa sa main sur sa poitrine en se désignant ainsi. Sa main s’avança ensuite, et il caressa doucement les cheveux de la femme. Doux et soyeux.

« Moi... Roi des Loups. Toi... Ma Reine ! »

Steppenwolf s’approcha alors, et, dans un geste affectueux, sortit sa longue langue, et lécha les lèvres de la femme, remontant jusqu’à son nez.

« Toi... Quel est ton... Ton nom, mon aimée ?! »

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:04
par Chloé Faure
Courir à travers une forêt dense comme celle-ci n'était pas une chose aisée en temps normal, mais encore moins avec cette tenue qui était tout sauf adaptée à une promenade dans les bois. Et pourtant Clara courait, elle courait comme si sa vie en dépendait, car elle était intimement convaincue que c'était le cas. Elle avait toutes les raisons de le penser, la bête qui avait tué le Chaman avait du également la sentir, et n'avait en réalité aucune raison de se restreindre à une seule proie. Techniquement, les chances pour Clara de réussir à retourner au village étaient nulles, mais elle ne pouvait pas juste abandonner sans essayer de fuir, c'était à l'encontre de son plus élémentaire instinct de survie. Alors elle courait, mal, ses pieds la faisaient souffrir, mais elle parvint à courir un moment, et avec une volonté renforcée par le fait d'entendre derrière elle des grognements et des hurlements multiples, une meute de loups qui la poursuivaient dans la forêt.
Elle commis à un moment l'erreur de tourner la tête pour regarder derrière elle, et ne vit alors pas une épaisse racine sur laquelle elle trébucha, et perdit l'équilibre...le temps qu'elle redresse la tête vers l'avant, elle eut juste le temps de voir un troc d'arbre se rapprocher à grande vitesse alors qu'elle tombait. Une douleur, vive, au niveau du front alors qu'elle le heurta, puis elle se trouva sonné pendant un moment. La tête tournait, ses oreilles sifflaient, elle eu tout juste la force de ramper pour s'adosser au tronc le temps que sa vue redevienne un peu claire, et ses idées aussi.

Seulement, quand elle reprit effectivement connaissance, ce fût pour voir tout autour d'elle des loups, beaucoup de loups. Elle se recroquevilla sur elle même en poussant un cri, bref, désespéré. La jeune femme était absolument terrifiée, ces loups grognaient, montraient leurs dents et avaient le poil hérissé. Clara s'attendait à tout moment à ce qu'ils lui bondissent dessus, et ne la déchiquèttent pour se servir d'elle comme d'un repas. Elle sursauta,alors, quand un hurlement plus puissant, et grave, retentit et fit alors reculer quelque peu la meute, et arrêter leurs grognements menaçants. Elle leva bien entendu la tête dans la direction, ses yeux embués de larmes ne lui permettaient pas de distinguer grand chose, si ce n'est une forme très massive, qui se dressa sur deux pattes. D'un revers de la main, elle essuya ses yeux, et vit alors devant elle une silhouette qui lui était étrangement familière. Un grand être, ressemblant à s'y méprendre aux idoles des esprits de la forêt que le village, et elle par extension, avait l'habitude de vénérer. Cette tête, mais surtout ces Cornes, et le fait qu'il semble commander aux animaux, correspondait aux croyances de l'existence d'esprits ancestraux de la forêt, qu'il fallait apaiser pour pouvoir vivre à proximité de l'endroit.
Elle n'en demeurait toutefois pas moins effrayée alors que la bête s'avançait vers elle, et colla son museau, elle sentit la respiration lourde de la créature, aspirer son odeur. Elle n'était pas certaine qu'il s'agisse effectivement d'une incarnation d'un esprit protecteur, et non pas tout simplement d'un monstre...mais que pouvait-elle faire d'autre dans sa situation ?

Puis, il parla, laissant effectivement la jeune femme surprise. Il lui donna un nom, par lequel il semblait s'identifier, il ne lui disait rien, mais encore une fois, Clara était loin d'avoir la science infuse concernant les esprits ancestraux, et tout le monde portait un nom après tout. Clara demeurait tétanisée, mais plus par incompréhension que par autre chose. Les loups restaient en retrait, et ne grognaient plus, et la créature approcha alors sa main griffue de son visage...pour aller caresser ses beaux cheveux blonds, qui sortaient de sa capuche rouge. Roi des loups...sa Reine ? Son Aimée ? Clara était abasourdie.
A ce stade là, au vu du fait que la créature faisait preuve de douceur à son encontre, et qu'il parlait, il ne pouvait être un monstre, mais bel et bien un esprit de la forêt qui commandait aux loups. Elle était donc impressionnée, et surprise également...qu'il veuille la faire sienne ?

C...Clara...mon nom est Clara...

La jeune femme était perdue, et un peu perplèxe. Elle se trouvait après tout en la présence, autenthique, d'un des esprits qu'elle avait appris à vénérer depuis qu'elle était petite, du moins en était-elle persuadée. Un monstre ne lui aurait pas parlé, ne lui aurait pas touché les cheveux de façon aussi délicate, malgré la force dont il semblait pouvoir faire preuve. Elle était bien entendu effrayée mais...plus du fait d'être face littéralement à ce qu'elle assimilait à une sorte de divinité, que par peur pour sa propre vie, qui ne semblait pas en danger. Mais avait-elle bien compris ? Il voulait faire d'elle sa reine ? Ce n'était pas si surprenant que ça, car dans les mythologies locales, il existait de nombreux exemples de créatures extraordinaires prenant pour compagne des humains ou des humaines, mais cela demeurait des mythes, des légendes...qui se déroulaient actuellement pour elle.

Vous..vous n'allez pas me faire de mal ? Vous êtes un esprit de la forêt ? M...mon village vous vénère depuis des siècles, mais je ne pensais pas...vous voir en vrai...

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:04
par Reine Alice Korvander
Ëlnwood avait toujours vécu, depuis des siècles, sous la menace des loups. À l’époque des elfes, où Ëlnwood était encore un vaste sanctuaire elfique, ces bêtes étaient déjà dangereuses, constituant une véritable plaie. Difficile de les repousser, car, tout autour d’Ëlnwood, il n’y avait que des montagnes et des régions arides. Ici, dans ces vastes bois, de nombreux animaux se concentraient, attirant, en conséquence, les loups. Dès lors, il n’était pas surprenant que, dans le folklore local, il existe une divinité, un esprit des bois, qui représentait les loups, et qu’on appelait, dans certains contes, « Roi des Loups ». Et ça, Steppenwolf le savait. Car, malgré son apparence, et le fait que, à cause de ses cordes vocales, il ait du mal à parler, il n’en était pas moins intelligent et télépathe. Ainsi, il connaissait les cultes locaux, et savait que ces derniers craignaient énormément les loups. Le Rituel de la Lune, de fait, avait précisément pour but d’apaiser le Roi des Loups, et, dans l’esprit de Clara, Steppenwolf était ce Roi-là. Et, en un sens, c’était vrai, car il commandait effectivement aux loups de la région.

Ainsi, la panique de la femme fut nuancée par sa surprise, par sa stupeur, et par ce coup de langue, qui signifiait que le Lycan ne souhaitait pas la tuer. Réfléchissant rapidement, Steppenwolf savait qu’il voulait coucher avec elle. Il voulait terriblement la baiser, mais il savait que, plus la femme serait consentante, et plus ce serait simple. Il réfléchit donc rapidement, et sut rapidement comment aborder les choses. Sa main caressa ainsi le doux visage de cette femme, et il y allait très lentement, car ses griffes étaient particulièrement épaisses. Il voulait sentir la douceur de cette peau, et finit par tripoter tendrement les lèvres de la femme.

« Chaman... Menteur... Lui s’est moqué des Esprits ! Alors... Moi suis venu... Le punir ! Et vous punir... Vous ! Car vous... Avez déshonoré les Esprits ! »

Dans l’esprit très candide et très spirituel de cette femme, cette sentence était terrible. Les loups grognèrent alors, comme pour confirmer l’humeur de Steppenwolf.

« Je... Mécontent de vous...  Vous avez donné votre foi en un menteur !! »

Il grogna alors, en se rapprochant de la femme, révélant ses interminables rangées de dents, ainsi qu’une odeur assez fétide, sa salive s’écoulant de son museau... Puis il lécha alors longuement la joue de la femme, répandant un peu de sa salive sur elle, maculant quelques mèches de cheveux. Steppenwolf frotta ensuite ses narines contre elle, et Clara put alors sentir, contre son bas-ventre, le sexe du Lycan, une queue énorme, qui frottait sa courte jupe rouge, avant de remonter pour frotter son ventre.

« Si toi... Tu deviens ma Reine... Et que tu me contentes, j’épargnerai ton village. »

Il lécha à nouveau ses lèvres.

« Moi... Ferais jamais de mal à toi, car tu es ma femme... Accepte-le... Embrasse ton R-R-R-R-Rooii !! »

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:04
par Chloé Faure
Clara ne savait pas vraiment sur quel pied danser, elle était juste un face de l'un des esprits de cette forêt très ancienne, du moins en était-elle persuadée. Elle n'avait jamais vu de lycans de sa vie, elle ignorait même jusqu'à l'existence de ces monstres, et le fait que cette créature parle, et surtout ne l'attaque pas comme une bête, donnait du crédit à sa croyance. Elle fût toutefois terrifiée, quand le Roi des Loups déclara qu'il était en colère par leur faute, car le Chaman n'en était pas un, et qu'ainsi le village avait déshonoré les esprits. La meute de loups, agressive, mais surtout soumise de façon évidente à cette créature, allait dans ce sens ainsi que le fait qu'ilaie tué le Chaman. Tout faisait sens, Clara s'en était doutée mais sans jamais vouloir aller à l'encontre de la conviction de son village tout entier, et voilà qui expliquait pourquoi elle s'était sentie mal à l'aise dans la cabane de cet homme.
Seulement si il était mort, ce qui n'était que justice, le fait que le Roi des Loups soit également en colère contre tout son village lui fit prendre peur. Il se mit à grogner tout en se rapprochant d'elle, l'accablant de culpabilité, et elle vit ses longues dents aiguisées alors qu'il grognait tout près d'elle.

P...pitié...nous ne savions pas...

Mais alors qu'elle s'attendait à ce qu'il la morde, et qu'elle soit la première victime de sa colère légitime, la créature au contraire lécha longuement sa joue, alors qu'elle détournait la tête, n'osant pas faire face à cette mâchoire impressionante. La sensation était...étrange. Elle était  habituée àce que des chiens qu'elle connaissait très bien vienne la lécher, mais ce coup de lange fût long, délicat...sensuel ? Il lui revint alors à l'esprit les paroles que la créature avait prononcé tantôt, qu'il voulait en faire sa Reine, et elle comprit alors...tout en rougissant comme une tomate. Si l'esprit fonctionnait comme un loup, alors il voulait faire de Clara sa femelle, cela devint évident quand elle sentit, avec beaucoup de gêne, le gros mât de chair uy lycan se frotter contre son ventre nu. Clara n'était pas fondamentalement surprise, car encore une fois dans leur folklore local, il arrivait que des esprits ou autres créatures s'éprennent de mortelles, mais l'entendre au cours d'une soirée et en être le centre était très différent.
Cette perspective l'effrayait bien sûr, déjà parce que le Roi des Loups était une bête massive, et elle une frêle humaine bien que d'une beauté rare. Cependant, et elle commençait à le comprendre, cette meute gigantesque réduirait son village à néant si elle devait attaquer...à moins qu'elle ne s'offre donc à lui. La créature, qui portait le nom de Steppenwolf, frotta alors son museau humide contre sa joue, avant de donner un coup de langue contre ses lèvres délicates. La créature couvrait son visage de la salive, et la marquait en un sens pour se l'approprier. Il ne souhaitait pas lui faire du mal, et étrangement, Clara le croyait sincère. Ainsi, la jeune femme leva timidement ses mains, afin de les poser de part et d'autre de la longue gueule de la créature. Elle respira lentement, tâchant de se calmer, puis en fermant les yeux elle alla coller ses lèvres contre le bout de la gueule de l'esprit. Si elle avait déjà embrassé des garçons sans jamais aller plus loin, c'était ici très différent de par l'allongement de cette bouche due au museau. Elle fît toutefois de son mieux, faisant fi de l'odeur qui s'échappait de la gueule du lycan, elle alla l'embrasser en cherchant sa longue langue, et embrassait et léchait aussi les pourtours de sa gueule, avant de finalement se retirer en donnant un ultime baiser sur le bout de sa truffe. Clara était toute rouge, ce qu'elle faisait était indéniablement une forme de zoophilie, car elle allait s'accoupler avec une créature ayant les traits d'un terrible bête.

Je...j'accepte, Ô Roi des Loups. Je vous en prie, épargnez mon village, laissez les en paix...je...je serais votre Reine si tel est votre volonté...

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:05
par Reine Alice Korvander
Comment ne pas être sous le charme ? Cette Clara était d’une beauté incroyable. Lécher son doux visage n’avait fait qu’accroître l’excitation du Lycan, qui avait du mal à se retenir de ne pas le prendre de suite. En un sens, il partageait les problèmes du faux Chamane. Peu importe où son regard se posait, il ne voyait que luxure et beauté. Et, chez Steppenwolf, lécher était effectivement une marque de domination, mais aussi d’affection, comme frotter son museau contre la tête de la personne aimée. Amoureux, Steppenwolf l’était clairement, car la bête se fiait surtout à la beauté physique de la femme, et se reposait exclusivement sur ça pour déterminer qu’il était amoureux d’elle. Et amoureux, il l’était, car, enfin, qui aurait pu ne pas l’être ? La beauté de cette femme était incroyable, surclassant même celle de Maîtresse Rayla. Et là, face à elle, l’énorme Lycan prenait conscience de toute la force de son stratagème, qui avait visiblement convaincu Clara de le suivre et de lui obéir. Nerveuse et timide, elle s’avouait vaincue et lui fantasmait sur n’importe quelle partie de son corps. Sa silhouette, ses hanches, son estomac, son dos, ses longues jambes, ses bras, ses cheveux, ses joues, ses bottes, ses gants, son nez, son odeur… Tout, tout, tout en elle n’était que délice et volupté !

Alors, la femme continua à l’exciter, à attiser ce feu qui brûlait dans sa poitrine en finissant par se rapprocher de lui. Elle s’accommoda de la sensation de ce tison ardent qui caressait son ventre, de cette queue disproportionnée et gargantuesques qui s’enfonçait contre sa douce peau, et posa délicatement ses mains le long du museau de la bête, ses ongles frôlant ses gencives. Les narines de Steppenwolf soufflaient sur le visage de la femme, tandis que Steppenwolf sentait son rythme cardiaque croître rapidement en voyant les lèvres sensuelles de la femme se rapprocher de lui.

« Rrrr... » grogna-t-il lentement.

Clara ferma les yeux, et l’embrassa alors. Le baiser le fit frissonner, et Steppenwolf en eut même du mal à respirer, et entrouvrit les lèvres, sa longue langue venant caresser celle de la femme. Il y eut un délicieux frottement, et le Lycan soupira lentement sous ce contact, le contact de la petite langue douce et humide de la femme. Contre lui, le Chaperon Rouge se pressait, et embrassait la langue de Steppenwolf, avant de lécher le bout de son museau, glissant dessus, déposant ensuite une série de baisers et de lèchements. Il grogna de plaisir, en sentant ses lèvres filer contre ses poils, ainsi que contre ses épaisses dents. Sa salive coulait le long de sa gueule, et il cligna des yeux, avant d’avoir droit à un ultime baiser sur son museau.

Rompant alors ce moment délicieux, presque magique, Clara accepta finalement de s’offrir à lui, ce qui eut comme un coup de fouet sur la queue dure de Steppenwolf, qui se raidit encore un peu, lui faisant maintenant terriblement mal. Il promena ainsi ses mains sur le corps de la femme, tout en la plaquant contre le tronc d’arbre, et, ce faisant, il redressa un peu sa minijupe, ce qui amena son sexe à descendre un peu, se heurtant alors à la fine culotte de la femme.

« Mmhm ? »

Avec la minijupe de redressée, Steppenwolf pouvait sentir une délicieuse odeur filant de là, et il se pencha alors, finissant à quatre pattes devant la femme, venant renifler sa culotte. Oh, quelle odeur ! Et l’odeur, ça, le Lycan y était très sensible... Il lécha alors sa culotte, enfonçant sa belle langue  contre elle, entre ses cuisses, et la lécha donc, reniflant son odeur, puis finit ensuite par tirer sur cette culotte, l’écartant entre ses doigts, la tirant précautionneusement, comme une sorte de relique.

Il la fit glisser le long des cuisses de la femme, jusqu’à la faire tomber le long de ses bottes, puis renifla ensuite sa moule, avant de soupirer encore.

« Clara... Bonne odeur ! »

Il recommença alors à lécher, en fonçant sa langue contre sa fleur intime, et, au fur et à mesure de ses lèchements, sentit alors un délicieux nectar s’échapper des cuisses de la femme. Quelque chose de sucré et d’intime...

Quelque chose que Steppenwolf n’avait jamais ressenti auparavant !

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:05
par Chloé Faure
Clara avait comme la sensation d'être une poupée de chiffon, tant cette créature possédait une taille et une force bien supérieures à ce qu'elle pouvait disposer, avec son certes joli mais frêle corps d'humaine. Toutefois, même si elle était légitimement effrayée, elle se disait que c'était un prix à payer pour que son village soit épargné. Refuser aurait de toutes manières, elle en était certaine, mené à sa mort comme à celle des habitants de son village, elle ne pouvait dire que sur le coup elle était enchantée, elle avait même très peur...mais c'était le meilleur choix qu'elle pouvait faire, au vu de ses possibilités. Elle tâchait toutefois de faire de son mieux, notamment quand elle avait embrassé la gueule de cette créature, elle était tremblante, mais y était allé avec une délicatesse en bravant ses instincts de rejet, qui avait plu au lycan.
Peu après, Steppenwolf l'avait saisie par la taille, la plaquant un peu plus contre le tronc d'arbre auquel elle était adossée et assise, elle sentait et voyait son gigantesque sexe, du moins selon son point de vue d'humaine. Quand elle sentit le bout de ce mât de chair taper contre sa culotte, elle s'était sincèrement attendue à ce que le Roi des loups ne la déchire et se mette directement à la baiser, mais il n'en fut rien. Immobile, elle le vit se mettre à quatre pattes en se reculant un peu, et glissa alors son museau entre ses cuisses écartées. Clara se tendit, en le voyant renifler sa culotte, en sentant sa truffe tout contre le fin tissu qui protégeait son intimité, il reniflait son odeur intime, et peu après, elle sentit sa grosse langue lécher à cet endroit.

A...Ah...

La culotte de Clara ne tarda pas à être couverte de la salive du lycan, ce qui fit qu'elle moula fortement le contour de ses lèvres intimes, et il la lécha longuement. Clara elle conservait ses cuisses écartées, et se laissait faire. c'était tout bonnement surréaliste, que de voir cette créature fourrer sa grosse tête de loup entre ses cuisses, et lui lécher sa culotte. Elle sentait sa truffe heurter son clitoris, ainsi qu'une partie de la fourure ornant son museau frotter contre sa délicate peau. A défaut de savoir où mettre ses mains, Clara avait agrippé l'arbre derrière elle, et soupirait bruyament, luttant contre son envie de fuir. Elle n'avait pas spécifiquement envie de fuir cette créature, qui en soit, l'épargnait, mais son instinct lui hurlait que s'accoupler avec une telle créature était au mieux une forme de bestialité, et elle ignorait concrètement ce qu'il était capable de lui faire.
Néanmoins, jamais habituée à sentir autre chose que ses propres doigts sur son intimité, le contact de la langue du lycan était nouveau, et si elle avait peur, elle ne pouvait nier que ces mouvements répétés, de cette longue langue baveuse contre sa culotte, était en train de lui envoyer de léger signaux de plaisir. Puis, Steppenwolf lui retira sa culotte, sans la déchirer, mais en la faisant bien glisser le long de ses belles et magnifiques jambes. C'était une belle intimité qui s'offrait à lui, parfaitement épilée pour l'occasion, et la créature revint vite entre les cuisses écartées de la jeune femme, qui se trembla doucement quand elle sentit la truffe du lycan se poser directement sur sa moule, tandis qu'il la reniflait. C'était, à bien des égards, surréaliste, mais sans qu'elle ne s'explique trop pourquoi, sentir cette truffe chaude et humide, ainsi que le profond souffle des inspiration répétées de Steppenwolf, tout contre son intimité, lui faisait de l'effet.
Puis, après avoir déclaré qu'elle avait une bonne odeur, ce qui acheva de la faire rougir, le lycan retourna la lécher, mais cette fois directement, sans avoir d'obstacle de tissu entre l'intimité de Clara et sa langue.

Hmmmm...Oh s...seigneur c'est...aaaaaah....

Clara crispait ses ongles dans l'arbre derrière elle, alors qu'elle sentait et voyait cette fois Steppenwolf lui faire un cunni' proprement bestial. Il bavait beaucoup, et sa grande langue n'avait aucun mal à tout bonnement lécher l'intimité de la jeune femme dans sa totalité à chaque passage, et il reniflait aussi, beaucoup et audiblement, l'odeur qui s'échappait de son intimité. Alors que le plaisir montait de plus en plus, Clara se mit à mouiller, et même un peu hésitante néanmoins, à glisser une de ses mains sur le sommet de la tête de loup, entre ses deux cornes, pour caresser son pelage.
Clara avait alors les jambes grandes écartées, le fait de s'offrir à cette créature l'excitait autant que ça l'effrayait, mais c'était cette étrange alchimie qui donnait justement tout son intérêt à ce cunni', et qu'elle commençait à y prendre goût.

O..oui...Oh oui...Huuuuum...

Plus elle mouillait, et plus Steppenwolf semblait accélérer la cadence des mouvements de sa langue, car il ne laissait pas la moindre goutte de la cyprine de la jeune femme se perdre. Elle se mettait à délicatement onduler son bassin, et c'était désormais avec ses deux mains qu'elle carressait la tête de cette impressionnante créature.
Oh seigneur, que c'était bon !

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:05
par Reine Alice Korvander
Steppenwolf léchait ce sexe avec appétit, et, surtout, se régalait de la mouille de la femme. Il la buvait avec appétit, car c’était un liquide que le puissant Lycan avait toujours aimé. La cyprine, il adorait en boire, ce jus intime et sucré. Et, fort heureusement, la douce Clara, sa prisonnière, sa louve, ne tarda pas à mouiller abondamment. Autour d’eux, la meute de Steppenwolf grognait et soupirait, se déplaçant lentement, se contentant d’observer et de surveiller. Les loups étaient dociles, ils ne se révolteraient pas contre leur maître. Le puissant Lycan se régalait de ce liquide, qu’il continuait, encore et encore, à avaler, ses oreilles se délectant aussi des soupirs et des gémissements de la femme. Il aimait tout chez cette femme, sa petite voix douce, ses petits cris mielleux... Oui, tout, chez elle, n’était qu’incitation, beauté, volupté, et désir. Ses longues jambes fines et fuselées, se corps ferme et bien proportionné... Elle était à l’image du beau sexe, et ce que Steppenwolf adorait chez les humaines. Steppenwolf était jadis un humain, et, de son humanité, il n’avait conservé qu’une seule chose : le sexe, l’attirance pour les femmes. Autant dire que, tout en léchant cette femme, il bandait fortement.

De fait, Steppenwolf la léchait, non seulement pour avaler sa mouille, mais aussi pour la lubrifier, et pour la préparer. Le Lycan était un monstre cruel et anthropophage, mais, face aux femmes, il savait faire preuve de gentillesse, et même, d’un certain point de vue, de galanterie. Le Lycan voulait soumettre cette femme, la dominer, mais pas la torturer inutilement. Elle était son butin de guerre, un trophée, et un trophée se devait d’être honoré, lustré, nettoyé, et bien entretenu. Alors, il léchait, fourrant sa longue et baveuse langue en elle, sa truffe frottant également le corps de sa femme, cette peau chaude et tendre, moelleuse à souhait.

Le Lycan finit par s’arrêter, au bout de multiples minutes, et releva lentement son museau.

« Hmmm... Tu es délicieuse... Et, maintenant, tu es prête à t’unir avec moi... À devenir ma louve. »

Son sexe était suffisamment humidifié comme ça, et le Lycan se releva sa queue frottant contre le corps de la jeune femme. Elle pouvait ainsi sentir sa verge, poilue, mais surtout longue, grosse, et manifestement impatiente de rentrer en elle. Le Lycan soupira lentement, son corps heurtant celui de la femme, la coinçant entre son torse et le tronc d’arbre. La dominant de toute sa hauteur, Steppenwolf finit par la prendre dans ses bras, l’invitant à se serrer contre lui, les jambes de la femme s’enroulant autour de sa taille.

La créature goûtait à ce corps voluptueux, tendre, chaud, doux... Oui, elle n’avait que des qualités, et son sexe, un phallus énorme, tapait contre son estomac.

« Hurle, ma douce louve... Hurle pour ton mâle. »

Le Lycan posa l’une de ses mains sur son sexe, et le guida ensuite vers l’intimité de la femme. Sa queue caressa ses lèvres intimes, glissant dessus... Puis il s’enfonça en elle, et poussa un long sifflement, en perçant ce corps.

« Mmmmooooouuuuuuwwww... !!! »

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:05
par Chloé Faure
La jeune Clara se sacrifiait pour la survie de son village, pour racheter leurs péchés auprès des esprits de la forêt, dupés qu'ils avaient été par un faux chaman, ce qui avait irrité, et à raison, les esprits incarnés par le grand loup-garou avec qui elle allait s'accoupler. Clara était loin de se douter qu'elle se faisait présentement duper aussi mais...et bien cette créature commandait aux loups, et était la représentation très nette qu'on lui avait toujours raconté, étant petite d'un des esprits de la forêt. Si elle était naturellement effrayée, elle était aussi en train de céder sous les assauts de la longue langue de la créature contre son intimité.

Haaa...Haaaaan !!!!

La jeune femme se tortillait, adossée à un grand arbre, les jambes et les cuisses bien écartées alors que le loup-garou léchait avec avidité sa chatte d'où s'écoulait sa cyprine. Clara sentait une forte chaleur grimper dans son corps, elle ressentait même un peu de honte quand au fait de...et bien de s'offrir à une créature plus proche de l'animal que de l'homme, sans compter la meute de loups qui l'entourait, et la regardait en train de se faire lécher la moule.
Pourtant...et bien la jeune femme ressentait clairement un plaisir sexuel, et la créature s'arrêta au bout de longues minutes, laissant la jeune femme haletante. Elle n'avait pas joui, mais s'en sentait assez proche...le fait de sentir sa chatte couverte de la salive du loup-garou semblait étrangement l'émoustiller. Steppenwolf déclara alors qu'il était temps qu'elle devienne sa louve, ce qui impliquait de s'accoupler avec lui. Silencieuse, la jeune femme hocha la tête, et se laissa faire, la créature la soulevant par les hanches pour l'approcher de lui.

*Oh seigneur...*

Clara se rendait compte maintenant vraiment d'à quel point le sexe de la créature était gros, et dur, même lubrifiée, sa petite chatte vierge aurait bien du mal à s'accomoder d'une verge qui n'était pas à taille humaine...mais elle ne pouvait guère faire machine arrière désormais. Clara enroula donc ses jambes autour du corps du loup-garou, tandis que ce dernier frottait son sexe contre l'entrée de sa chatte, avant de finalement s'enfoncer d'un coup en elle.

HAAAAAAAAAAAA !!!!

La jeune femme se cambra en sentant de gros pieu de chair tendue lui perforer l'intimité, déchirant d'un coup son hymen, son sang virginal ne tarda d'ailleurs pas à couler en petite gouttes le long du sexe imposant de la créature. Toutefois, et fort heureusement pour elle, l'intimité de Clara avait été aussi bien lubrifiée, et les frottements qui vinrent ensuite, du fait que Steppenwolf commença à remuer en elle, ne furent pas aussi douloureux.

HAAAAAAAN !!!! OOOOOOH !!!!

Les mains de Clara se crispèrent sur les épaules de son amant, attrapant sa fourrure, tandis qu'elle se cambrait à chaque fois que Steppenwolf ondulait pour s'enfoncer en elle. Sa grosse verge lui écartait les parois intimes, qui se serraient contre, rendant la pénétration à la fois difficile, mais aussi terriblement délicieuse.

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:05
par Reine Alice Korvander
Avoir du mal à parler ne rendait pas Steppenwolf idiot. Au contraire, le Lycan pouvait se montrer particulièrement intelligent, et c’était ce qu’il venait de faire. Il avait dupé cette femme, dans le seul but de pouvoir la baiser. C’était, somme toute, aussi simple que ça. En tant que mâle-Alpha, Steppenwolf était prêt à sacrifier toute sa meute dans le seul but de satisfaire ses pulsions personnelles, et, même s’il pouvait faire l’amour avec des louves (ce qu’il avait d’ailleurs déjà fait), il subsistait encore en lui des relents d’humanité, qui faisaient qu’il ressentait davantage de désir pour les femmes. Et elle, avec sa silhouette parfaite, ses hanches généreuses, ses longues jambes fuselées, sa belle chevelure blonde, et sa cape rouge en cuir, elle était tout simplement irrésistible. Steppenwolf ne l’avait même pas déshabillé, tant il la trouvait belle ainsi. Son Petit Chaperon Rouge, sa délicieuse Reine... Et il avait fourré sa grosse queue en elle.

Grosse, car il avait eu une sacrée trique en devant patienter, en devant patiemment la lécher, et en buvant sa délicieuse mouille. La cyprine, voilà bien quelque chose qui l’excitait sans commune mesure. Il adorait la boire, la lécher. Clara allait devoir s’habituer à ce que son Roi la lèche fréquemment. Comme elle allait vite le comprendre, ses désirs étaient à la hauteur de sa trique : colossaux.

« Hmmmmm... Hnnnnn... !! »

Elle hurlait, elle gémissait, elle se tortillait contre lui, et Steppenwolf adorait ça. Il adorait, non seulement le fait de la pénétrer, mais aussi ses doigts se crispant contre sa fourrure, s’agrippant à ses poils, son corps chaud et délicieux qui se frottait contre lui, et ses hurlements, ses couinements... Et cette peau douce, tendre, chaude, qu’il sentait contre lui... Ha, que de sensations exquises ! Ce n’était décidément pas comparable à ce qu’il ressentait en couchant avec une autre louve. Là, c’était bien plus intense, bien plus fort, juste... Mieux.

Steppenwolf s’enfonçait donc rudement en elle, et, peu à peu, la décala de l’arbre, la maintenant entre ses bras puissants, une main sur ses fesses, l’autre sur sa nuque. Le corps de la femme ondulait contre le sien, comme aimanté, électrisé par lui. Sa trique s’enfonçait durement en elle, et elle recouvrait sa verge turgescente de sa mouille, ce délicieux nectar qui le faisait frémir.

« Rrrrrrrrrrrrrrrrrrrr... !! »

Le Roi des Loups grognait de plaisir, et lécha avec sa grosse langue la joue de la femme, laissant sa salive sur elle. Sous l’effet de l’excitation, il bavait beaucoup, tout en devant forcer le passage, tant la petite chatte de son Chaperon Rouge était étroite. Sa pénétration gagnait néanmoins en intensité, en profondeur.

« J-Jouis, femelle... Jouis pour... Pour ton Roi ! »

C’est de ça dont il avait envie... Sentir sa queue se recouvrir de la mouille de la femme.

Une telle situation ne pourrait que le pousser à l’orgasme, lui aussi.

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:05
par Chloé Faure
Clara n'avait d'autre choix que de se blottir contre le corps musclé, chaud et poilu du loup-garou, elle s'offrait pleinement à lui, tout en continuant toutefois à éprouver de la peur. Après tout, dans son esprit de paysanne, elle était en train de s'accoupler avec un esprit, qui par la suite allait l'emmener loin des siens. La jeune femme ne reverrait jamais ses proches ou ses amis, et elle ne savait pas vraiment "où" elle allait être emmenée...mais encore une fois, c'était soit ça, soit le massacre assuré de tous les habitants de son village. Ils avaient tous fauté en croyant les dires d'un charlatan, et pour Clara, qui n'était qu'une paysanne n'ayant jamais eu accès au moindre livre, à la moindre "connaissance", il n'y avait aucun doute quand au fait que la créature était bien ce qu'elle prétendait être.
La jeune femme, toujours vêtue de la plus grande partie de sa tenue, venait donc d'offrir sa virginité à cette bête terrifiante, mais qui avait néanmoins juré de ne pas lui faire du mal. Il voulait en faire sa femelle, et en la prenant comme il le faisait, c'était bel et bien le cas.

HMGNNNNN !!!! HAAAAAAN !!!!

Clara s'agrippait fermement aux poils de la créature, surtout quand il la décolla de l'arbre où elle était adossée. La maintenant, une main contre sa nuque, l'autre sur ses fesses, le Roi des Loups enfonçait de plus en plus langoureusement sa gigantesque verge dans la chatte récemment déflorée de Clara. Cette dernière avait du enrouler ses jambes autour du bassin de la créature, et ils s'unissaient dans une étreinte très bestiale. Elle gémissait, grimaçait et serrait les dents, alors que le sexe du loup-garou se fourrait profondément en elle. Guère adapté à la morphologie humaine, le sexe de la créature faisait naturellement mal à la jeune femme, qui avait perdu non seulement sa virginité, mais surtout venait de la perdre avec..."ça".
Pourtant...pourtant malgré ça, Clara avait commencé à sentir une chaleur se répandre dans son bas-ventre, qui n'était pas imputable à de la douleur...mais plus semblable aux rares fois où elle s'était masturbée, dans des endroits isolés. Le loup-garou n'était pas étranger à ce plaisir, car il aurait tout à fait pu la violer sauvagement, au point de déchirer la jeune femme de l'intérieur. Mais au contraire, il se montrait plutôt doux. Clara s'en rendait compte en étant collée contre lui, en sentant sa puissante musculature, la puissance des mains griffues qui la maintenaient contre lui...si il s'était montré violent, Clara serait déjà probablement fortement blessée. Et puis...et puis il l'avait léchée pour la préparer, Clara avait encore en tête la délicatesse avec laquelle il avait retiré son sous-vêtement avant de venir lécher sa chatte vierge, et même si c'était bestial, volontiers assimilable à de la zoophilie...Clara était clairement en train de céder à la créature.

M-Mon Roi...Hmmmmm...HAAAAAA !!!!!

Pourquoi tenter de résister après tout ? Elle était sienne, qu'elle le veuille ou non, alors Clara préférait encore tâcher d'y trouver du plaisir...qu'elle ne manqua d'ailleurs pas de trouver. Elle n'y aurait pas cru initialement, mais le musc bestial qui s'échappait de la fourrure du loup-garou, la façon dont il ne manquait pas de lécher son visage, en répandant sa bave sur sa peau si douce....tout ce qui avait attrait à la partie purement bestiale de la créature était ce qui l'attirait. Ainsi, malgré la douleur de sentir cette queue gargantuesque se fourrer dans sa chatte étroite, Clara se mit à mouiller de plus en plus, provoquant des bruits spongieux alors que la créature allait et venait en elle.
Puis, elle finit par jouir. Ses mains se serrèrent d'avantage sur les pans de fourrure qu'elle pouvait agripper, tandis que ses jambes se crispèrent d'avantage elles aussi.

HMMMMM !!! HAAAAAA !!!!

Impossible de le nier, elle était en train de jouir, et la créature...son Roi, la suivit à peu près en même temps. Pendant qu'elle avait son orgasme, Clara sentit donc également le loup-garou jouir intensément en elle, bien plus que ce que n'importe quel humain aurait pu éjaculer. La quantité de sperme que la créature relâcha dans son vagin était telle qu'il n'y avait tout simplement pas assez de place, et le surplus tomba au sol en même temps que sa mouille, formant une belle flaque qui s'agrandissait aux pattes du loup-garou. Pendant qu'elle commençait à se calmer, la jeune femme se trouva haletante, toujours blottie contre le loup-garou. Sa prise se désserra un peu, mais elle restait blottie contre lui, et leva timidement son visage, aux joues rougies, pour regarder son Roi, son Dieu.
Un mélange de peur et de vénération pouvait se voir dans les yeux de la jeune femme.

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:05
par Reine Alice Korvander
Steppenwolf était excité comme jamais auparavant. Il avait déjà forniqué avec des louves, bien sûr, mais il y avait, chez cette humaine, quelque chose en plus, un plaisir jouissif, inexplicable, mais qui était bien différent de ce qu’il ressentait habituellement avec des louves. Il n’aurait pas su l’expliquer en quoi, mais, là, tandis qu’il la serrait contre son corps puissant, enfouissant sa grosse queue en elle, qu’il sentait les doigts de la jeune femme se crisper contre ses poils, ses hurlements, son odeur, son corps doux et tendre se frotter au sien, le puissant Lycan sentait un plaisir incroyable, fulgurant, quelque chose qu’il n’avait jamais ressenti auprès de simples louves. Un plaisir immense et terrible qui s’insinuait totalement en lui et le submergeait, l’amenant à remuer de plus en plus fort. Grognant et soupirant longuement, il pressait le corps de la femme sur le sien, Clara filant d’avant en arrière, son corps poussé par ses puissantes mains, qui la serraient comme dans un solide étau, l’empêchant de trop bouger, de fuir, accompagnant ses mouvements.

« Rrrrrrrrrrrr... Hnnnnnnnnnnnnnn... !! »

Des grognements s’échappaient de ses lèvres, pendant qu’il se délectait des soupirs de la femme, du frottement de ses seins contre son torse, de son corps se collant au sien. Il avait pénétré une chatte très étroite, et il avait dû s’y reprendre à plusieurs reprises pour forcer le passage, déformant petit à petit les parois internes de la femme, jusqu’à pouvoir la prendre entre ses muscles. C’était une première fois, mais il avait fait d’elle sa Louve, et de lui son Roi.

Il sentait la mouille de la femme sur son sexe, recouvrant petit à petit son chibre, l’incitant à redoubler d’effort... Ça, ainsi que els longs hurlements que la femme poussait, des cris qui semblaient lui briser ses cordes vocales, et le faisait, lui, frémir, comme jamais. Une louve n’hurlait pas autant, elle grognait, soupirait, mais elle n’hurlait vraiment pas comme ça. Ça, c’était... C’était indescriptible, comme tout le reste ! Oui, oui, Steppenwolf adorait vraiment ça. Tout son corps ondulait contre celui de Clara, du Petit Chaperon Rouge, la baisant de plus en plus fort, sa main se déplaçant pour caresser ses cuisses, l’autre appuyée sur sa nuque, s’en servant pour la retenir, et pour continuer à la baiser.

Face à lui, elle ne pouvait que subir, encore et encore, les minutes défilant à toute allure. Steppenwolf était un amant redoutable, capable, en temps normal, de tenir la distance... Mais là, là, cette femme l’excitait bien trop pour qu’il puisse se retenir. Douloureuse, sa queue l’élançait fortement, et il se relâcha finalement en elle, sentant le plaisir croître, en même temps que la douleur, jusqu’à atteindre un point culminant où il ne put que se vider en elle.

« Hnnnn... Rrrrrr... RRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH... !! »

Steppenwolf accompagna son plaisir d’un cri tonitruant, véritable rugissement, et sa queue tapa dans les profondeurs du sexe de la femme, heurtant son utérus, avant qu’il ne jouisse en elle, sa queue inondée dans la mouille de la femme, son foutre venant se répandre généreusement en elle. Un bel orgasme, car, quand le Lycan crut qu’il était arrivé à bout, il redonna encore quelques coups de reins, et sentit une nouvelle vague de foutre le traverser, et fuser encore en elle, tout son corps venant alors s’aplatir contre celui de Clara.

Au moment de l’orgasme, ses mains se posèrent contre l’écorce du tronc de l’arbre, le griffant, et il écrasa la femme contre son torse, manquant l’étouffer, tout en jouissant généreusement en elle, balançant joyeusement son foutre dans son corps. Il se calma ensuite progressivement, la respiration lourde, et se décolla de l’arbre, tout en conservant Clara contre lui. Leurs regards se croisèrent, et il vit les yeux béats d’admiration de la femme, et approcha son museau du sien. Affectueusement, sa langue lécha les lèvres de la femme, et Steppenwolf se déplaça encore un peu, serrant toujours le corps de la femme contre le sien.

« Je t’ai marqué de ma semence, femme. Maintenant, tu es ma femelle, ma Reine. Personne ne te touchera ou ne te fera du mal sans que je ne l’y autorise. Tu es mienne, maintenant, et à jamais ! »

Il n’y avait plus aucune autre alternative pour elle, tout simplement.

Elle lui appartenait désormais, corps et âme.

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:06
par Chloé Faure
Clara ne se serait jamais imaginée que sa première fois serait aussi...bestiale, et ce dans tous les sens du terme. Elle était indéniable une belle femme, magnifique même, mais qui était née dans un milieu très modeste au sein d'un village vivant exclusivement de l'élevage et de l'agriculture, où elle aurait du en toute logique passer toute sa vie, s'y marier et avoir des enfants. Seuls les préceptes religieux très ancrés dans sa communauté faisaient qu'elle était encore vierge, se préserver jusqu'au mariage étant primordial pour une jeune femme comme elle...mais ce n'était pas pour autant qu'elle n'avait pas de prétendants, et tous les jeunes hommes de son village rêvaient de l'épouser, d'en faire leur femme, et de la baiser. Ce faux prêtre aurait prit sa virginité si il avait eu l'occasion de le faire, mais la venue du roi des loups, et de son ultimatum, avaient tout changé. Clara savait qu'elle n'avait pas vraiment d'autre choix, et qu'elle n'allait jamais revoir son village et sa famille, mais il valait mieux ça plutôt que de tous les voir mourir en subissant le courroux de celui qu'elle pensait sincèrement être un esprit que le folklore de son village vénérait, et craignait.
Et puis...et puis il y avait aussi ce plaisir gigantesque, impossible à prédire, qu'elle avait ressenti en se faisant ainsi troncher contre un arbre...contre cette créature couverte de fourrure, terriblement puissante, dégageant un musc fort. A la peur se mêlait donc la vénération, mais aussi un plaisir que Clara n'aurait pas cru possible en s'accouplant avec pareille créature, entre autres de par la taille de sa queue qui lui avait pris sa virginité. Elle avait eu mal bien sûr, ce sexe avait forcé pour rentrer en elle, écarter sa parois internes qui n'avaient encore jamais acceuillies de sexe, et encore moins un aussi massif...mais lorsque Steppenwolf l'avait longuement lêchée, elle avait été à deux doigts de jouir, et la jeune femme s'était longuement relâchée au bout de quelques minutes, ayant un orgasme qui la laissait à bout de souffle.

Son roi avait lui aussi joui, énormément même, et se calmait maintenant après l'avoir bourrée et plaquée contre ce solide arbre, où la créature avait planté ses griffes pour plaquer la jeune femme contre, pendant qu'il la baisait furieusement. Maintenant toutefois, le roi des loups se calmait, mais tout en laissant son sexe encore bien dur niché dans le vagin de la jeune femme, qui sentait tout le surplus de sperme s'écouler de son antre intime pour tomber au sol. Il la décolla alors de l'arbre, mais tout en utilisant ses solides mains griffues pour la conserver contre lui, et approcha sa gueule de la bouche de la jeune femme pour la lécher. Clara n'en était honnêtement pas dégoûtée, en tant que fille ayant grandi dans un environnement fermier, elle était habituée à ce que des chiens lui fassent la fête et la lèchent au niveau du visage...même si là, c'était très différent, et la jeune femme rougissait d'ailleurs en sentant que le lycan ne s'était pas enfoncé pleinement en elle. A l'entrée de son intimité elle sentait, gonflé, le noeud de ce sexe canin, qui ne pouvait en l'état pas rentrer en elle...mais plus tard ? Elle était à la fois terrifiée et...excitée à cette perspective. Son roi parla alors, avec sa voix lourde et grave, réaffirmant qu'elle était sienne, et uniquement à lui, pour toujours, l'appelant "sa femelle"...

O-oui mon roi...je...

CLARA !! CLARAAAAA !!!

La jeune femme sursauta de surprise en entendant, un peu plus au loin, une voix crier son nom, et qu'elle reconnu parfaitement comme étant celle de son père. Cela faisait longtemps qu'elle était partie et...et sans doute avait-il trouvé le corps déchiqueté du faux prêtre dans sa cabane. Elle entendit toutefois, et surtout, le roi des loups grogner de façon menaçante dans la direction d'où provenait les appels de son père. La jeune femme posa alors ses mains sur le torse de la créature, contre ses poils.

Non pitié mon roi ! C'est mon père ! Ne lui faites pas de mal, vous avez promis !

Il semblait en effet bon de rappeler à cette créature que Clara avait acceptée de s'offrir à lui, volontairement, sous condition qu'il épargne son village et ses occupants. Bien sûr, Clara ne pouvait pas l'empêcher de faire quoi que ce soit mais...aurait-il encore la bonne volonté de la jeune femme ? Rien n'était moins certain.

Pitié, emmenez moi...je...je suis votre louve...mais pitié...ne lui faites pas de mal...emmenez moi loin...

La jeune femme commençait même à avoir des larmes aux yeux, à l'idée que son père, inconscient du danger, ne se retrouve face à un destin funeste.

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:06
par Reine Alice Korvander
Steppenwolf prit vaguement conscience qu’il n’avait pas réussi à s’enfoncer en elle autant qu’il voulait. La base de sa verge, formant un nœud, n’avait pas eu la force de la prendre. Sa Chaperonne était encore trop inexpérimentée pour cela, mais le Roi comptait bien remédier à cela. Il la léchait amoureusement, faisant preuve d’une étonnante affection envers elle. Sa main maintenait les cheveux de la femme, et il n’avait toujours pas retiré son phallus de son corps, laissant ainsi sa queue baigner dans sa chatte trempée. Il était donc là, frottant son museau contre son visage, et en aurait presque ronronné... Quand une voix forte résonna, appelant sa femme. Steppenwolf gronda alors, ce qui fit paniquer Clara, suppliant à Steppenwolf de ne pas blesser son père.

Marchant dans le sentier, ce dernier avait dans les mains une fourche. Steppenwolf se déplaça lentement, tandis que des grondements résonnèrent dans la forêt. Des loups jaillirent alors autour du fermier, grognant dangereusement sur place. Désemparé, le solide fermier tentait de se défendre, mais un loup s’attaqua à sa cheville, mordant son pantalon, ce qui surprit ce dernier... Si bien qu’un loup lui sauta dessus, et planta ses crocs au milieu de la fourche, la brisant en deux. Le loup renversa l’homme en lui hurlant au visage... Quand un aboiement ténu retentit, un cri fort qui interrompit les loups.

Couché sur le sol, le fermier, en se redressant, put voir la silhouette massive de Steppenwolf devant lui. Il serrait contre lui le corps de Clara, l’une de ses puissantes mains posées sur ses fesses.

« Je... Promis épargner village de ma femelle... »

Que Steppenwolf arrive à parler relevait déjà du miracle. Il se concentrait, car Clara était si proche de lui, avec son délicieux parfum, et sa courte tunique rouge, qu’il avait de nouveau une belle érection. Il ne s’était d’ailleurs pas rhabillé, de sorte que sa queue était visible sur place. Sans pudeur, le Lycan se dressait face au fermier désemparé.

« Mais ma meute a faim... Et toi fermier généreux et plein de bonne viande chaude... Si toi poursuivre nous dans forêt, loups manger toi ! Rrrrrrrrrrr... !! »

Les loups hurlèrent en retour, poussant de longs cris sauvages, tournant autour du fermier, hurlant contre ses oreilles en faisant claquer leurs langues adipeuses. Tremblant sur place, le fermier n’arrivait même plus à parler.

« Moi compte rester ici, humain... Moi vais besogner ta femelle sans relâche, faire d’elle ma Louve ! »

À cette idée, sa queue s’était encore redressée, et elle caressait les cuisses de Clara. Steppenwolf continuait du reste à serrer dans sa grosse main le délicieux petit cul de sa femelle, continuant à la malaxer, se délectant de ses soupirs. Il avait vu qu’il pleurait, et il pencha son visage vers elle, et lécha son visage, glissant sur ses joues, pour sécher ses larmes.

« Toi pas pleurer... Mais loups à moi besoin manger ! Toi prévenir autres villageois ! Eux devront apporter nourriture si eux pas vouloir que meute chasse leurs animaux ! Et apporter nourriture pour femelle aussi ! Sinon moi envahir village à vous ! »

Steppenwolf se retint de dire que, à terme, il comptait de toute façon les envahir. Il allait surtout faire vérifier le village pour s’assurer que personne ne chercherait à prévenir les autorités, et commencerait par organiser un raid sur la volière locale, afin de tuer tous les oiseaux messagers. En attendant, il se frotta encore contre Clara, et donna ses ordres, en la forçant à s’agenouiller.

« Toi montrer à ton père que moi ton mâle. Et ton Roi. Toi t’occuper de mon sexe comme humaines savent le faire ! »

Paradoxalement, le côté humain de Steppenwolf s’exprimait dans le sexe, à travers une certaine dose de perversion sexuelle, qui était typique du genre humain... Et l’idée de voir Clara le sucer devant son propre père ne manquait d’ailleurs pas de furieusement l’exciter.

Re: Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Posté : 15 oct. 2024 01:06
par Chloé Faure
Clara s'était très vite rendue compte que le Roi des Loups était à l'instar des animaux qu'il commandait, très possessif et territorial, mais qu'il pouvait se montrer doux envers elle pour peu qu'elle soit obéissante. Avait-elle un autre choix ? Elle s'était offerte à lui en sacrifice pour sauver son village d'une attaque et de son courroux, et parce qu'il était un dieu pour elle, un ancien esprit de la forêt à qui elle devait obéir. Néanmoins, elle avait eu naturellement peur lorsqu'elle avait entendue la voix de son père, qui sans doute en constatant le massacre dans la maison du faux prêtre, était parti à sa recherche. Elle l'avait donc supplié de l'épargner, lui rappellant qu'elle s'offrait à lui, et qu'elle lui serait obéissante. Et d'une certaine façon...et bien cela marcha.
Le Roi des Loups la porta à a rencontre de son père, qui était entouré par une horde de loups qui grognaient et claquaient leurs machoires dans sa direction, mais il n'était pas blessé juste...terrifié.

Père...

Steppenwolf la déposa alors à ses côtés, la gardant tout contre lui en posant l'une de ses grosses mains poilues contre ses fesses. Vu la différence de gabarit entre les deux, le Roi des loups pouvait tout à fait empoigner la totalité du cul de son petit Chaperon Rouge avec une seule de ses mains, et le malaxait sans aucune gêne face au père de Clara. Cette dernière était bien entendu gênée, mais ne chercha à aucun moment à se retirer, restant bien à ses côtés, ne voulant surtout pas attirer son courroux. Steppenwolf commença alors à parler, s'adressant au père de Clara, assurant qu'il lui avait bien promis d'épargner son village, mais qu'il exigeait des donations de la part des villageois pour le nourrir, lui et sa meute. Il ne cessait de la désigner comme étant "sa femelle", marquant encore une fois le fait qu'il la considérait maintenant comme sa louve.
Clara resta silencieuse tout du long, restant accrochée aux moindres paroles de son roi et à ses gestes, lui qui continuait inlassablement à lui palper le cul, il la fit alors se mettre à genoux face à lui...et lui ordonna de montrer à son père qu'il était bien son mâle, son roi...et en somme...de le sucer pendant que son père regarderait.

O-oui mon Roi...

Refuser ? Ce n'était pas une option, son père mourrait si elle refusait de lui obéir, elle en était intimement convaincue. Le Roi des Loups n'acceptait d'épargner son père, et son village, qu'à la condition qu'elle lui obéisse...et c'était bien ce que la jeune femme comptait faire. C'était...absolument dégradant, et terriblement honteux que de le faire alors que son père regarderait, mais la jeune femme se mit effectivement à genoux face à la gigantesque trique de Steppenwolf, et commença à le prendre entre ses délicats doigts.
Tandis qu'elle commençait à le branler, Clara regardait son amant monstrueux dans les yeux, préférant encore se focaliser sur lui, et sur le fait de le satisfaire, plutôt que de penser au fait que son père était derrière, en train de regarder. Elle approcha son visage, et commença à déposer une multitude de baisers avec ses lèvres sur ce gros sexe, dur et enflé.

Hmmm...mon Roi...

Sa langue partit à l'assaut de ce sexe, qui n'avait rien d'humain, non seulement en terme de proportions, mais aussi de forme,ressemblant bien plus à un sexe de loup, avec un gros noeud gonflé à sa base. Elle le lécha à plusieurs endroits, de tout son long, tandis qu'une main le masturbait à sa base, et qu'elle envoya l'autre flatter ses testicules grosses, lourdes, et couvertes d'une belle fourrure. Des couilles qu'elle alla également lécher, flâter à l'aide de sa langue et de ses lèvres, malgré la présence de fourrure...avant de remonter le long de son sexe, pour aller commencer à le prendre en bouche.

Hmmmf...