The Multiversity

Khepri et Kamiya se chargèrent d’amener la dernière épouse de Phasmaria à celle-ci. Ce soir, Qaye allait avoir droit à un rituel particulier, qui couvait depuis son récent mariage avec la Déesse Phasmaria. Phasmaria offrait à chacune de ses épouses un enfant. Qaye était une ancienne esclave, qui avait fondé un mouvement rebelle, l’OTL, et qui cherchait à combattre les esclavagistes. Une organisation que Phasmaria soutenait, puisque l’OLT servait ses propres besoins. Qaye utilisait l’Oasis comme une base importante pour regrouper les esclaves que les agents de Qaye libéraient. Phasmaria organisait d’ailleurs déjà à vrai dire des assauts de ce genre, ciblant des caravanes, des boutiques d’esclaves… Des actions illégales, mais que Phasmaria justifiait au nom d’intérêts supérieurs à ceux de la loi. Cette cause, Qaye la partageait, et c’était donc tout naturellement que les deux femmes avaient décidé de se marier. Ici, à l’Oasis, il n’existait pas d’esclaves. Même si les habitants vénéraient Phasmaria, et qu’il existait une certaine forme de hiérarchie, personne n’était l’esclave d’un autre.

Kamiya était l’une des prêtresses de Phasmaria, tandis que Khepri était l’une de ses filles. Le gouvernement de Phasmaria était un gouvernement familial. Chacun de ses ministres était, soit l’une de ses nombreuses épouses, soit ses enfants. Khepri était une Princesse qui avait grandi ici, et qui avait vu, au fur et à mesure des années, l’Oasis s’étendre, devenir plus grande, plus importante. Phasmaria disposait désormais de son propre palais fortifié, qui servait de refuge lorsque des bandits attaquaient la zone. Avec Qaye, Phasmaria continuait à sortir de sa politique isolationniste, et il était donc temps de vraiment consommer leur mariage, et que Qaye ait son enfant.

Kamiya et Khepri rejoignirent la chambre de Qaye, et Kamiya toqua à la porte. La porte s’ouvrit ensuite, et Kamiya rentra, belle et forte.

« Bonsoir, Qaye… L’heure est venue, la Déesse t’attend dans ses appartements. Es-tu prête à nous suivre ? »

C'est aujourd'hui. J'attendais ce jour depuis mon mariage avec Déesse. C'est tellement courant que ça en est un rituel, qui est un honneur qu'on ne peut pas refuser. Pour cette occasion, je ne porte pas ma tenue habituelle, mais plutôt une tenue de rituel. Déesse ne me l'impose pas, mais je suis certaine qu'elle me trouvera ravissante sous cette tenue. Déesse veut faire un enfant de moi, et elle était prête à attendre que je sois bel et bien en chaleur pour ce faire, ayant même placé une date de rituel en période de chaleur.

Je suis loin d'être vierge, même avant de rencontrer Déesse, mais cette dernière est la première à qui j'ai offert mon corps de manière volontaire. Je dois tout à Déesse, et étant donné que ma lignée est conjointe avec la sienne, c'est comme si l'OTL appartenait aussi à Déesse. Ce n'est un secret pour personne, c'est dans l'Oasis qu'elle a été fondée, et tout ceux qui y sont admirent Déesse, et moi la première. Ca fait même partie des règles de l'OTL d'aimer Déesse, car c'est grâce à elle que le lieu de l'OTL existait.

Pour ce rituel, je me suis préparée. Je ne sens aucun stress, car le rituel est privé, et tout ce que demande Déesse ne nécessite aucun discours. La porte de mes appartements se fait toquer et ouvrir, et je suis prête pour ça. Je reconnais aisément la personne qui ouvre ma porte. Kamiya, une des autres nombreuses femmes de Déesse, ainsi que sa fille Khepri. Je leur souris alors.

"Oui, ma sœur. Je suis prête."

Je les suis donc, à leur rythme. Je vais avoir une magnifique fille avec Déesse. Kamiya et Khepri me guident vers les appartements de Déesse, et on finit par y arriver. J'y entre alors, après qu'on ait toqué à la porte. Je m'approche alors de Déesse, avec toute l'admiration qu'elle peut sentir en moi. Pendant que je m'approche de Déesse, je commence à dénouer doucement les ficelles de ma robe devant elle. Sa perversion n'est absolument pas un secret, alors je sais pertinemment qu'elle aime me voir en train de me déshabiller.

"Ô ma belle Déesse ! Je suis toute à vous ! Mon corps et mon âme sont prêts pour notre rituel !"

Je continue alors de m'approcher d'elle, jusqu'à ce que finalement ma robe finit par tomber, à force d'être détachée, et je me trouve entièrement nue. Je colle alors mon corps contre celui de Déesse, avant de l'embrasser fiévreusement, jouant doucement avec sa langue, alors que je place mes mains sous son tissu blanc, caressant sa généreuse poitrine, tout en décalant ce tissu. Après un délicieux baiser, je commence à descendre doucement, me mettant à genoux en embrassant toute parcelle de peau qui passe près de mes lèvres, y compris un de ses seins, pendant que je baisse son bas, puis que je mette une main entre mes cuisses pour me caresser intimement.

Phasmaria était convaincue qu’en leur for intérieur, beaucoup des habitants de l’Oasis savaient qu’elle n’était pas vraiment une Déesse. Cela n’avait toutefois qu’une importance relative à ses yeux. L’essentiel était d’y croire, d’avoir l’intime conviction qu’une force supérieure vous protégeait, même si cela était inexact. C’était cela qui comptait, et c’était ça que Phasmaria offrait à ses citoyens. Phasmaria allait ce soir célébrer une nouvelle union, une nouvelle naissance. Elle savait que Qaye attendait ce moment avec impatience, et Phasmaria aussi. Enfanter l’une de ses épouses, c’était à ses yeux encore plus important que le mariage en lui-même. Elle assurait ainsi sa dépendance, sa survie, l’extension de sa nation. Phasmaria était donc assez fébrile ce soir. Elle avait préparé des potions pour s’assurer qu’elle serait fertile. Pour enfanter Qaye, il n’y avait pas d’autre choix que l’hermaphrodisme, mais ce n’était pas une science exacte. Même entre un homme et une femme, la procréation ne marchait pas systématiquement, mais, entre une femme hermaphrodite et une femme, c’était vraiment plus compliqué !

La Déesse observait l’Oasis par son balcon quand on toqua à sa porte. Une antichambre menait à ses quartiers, et elle se retourna. Elle avait bu une potion, tout devrait donc bien aller. Kamiya entra pour lui annoncer la venue de son épouse.

« Dame Qaye est ici, Maîtresse.
-  Je te remercie, Kamiya. Fais-là entrer… »

Phasmaria avait mis de l’encens et des bougies sur les meubles pour donner à sa chambre une ambiance tamisée et plus sensuelle.  La chambre était assez grande, dominée par un voluptueux lit, et comprenait plusieurs coins de détente. Une porte menait à la salle de bains, une autre à son bureau. Un énorme tapis ornait le sol, séparant la chambre de l’antichambre. Qyae entra ensuite, et Phasmaria sourit en la voyant. Elle avait opté pour une robe orientale, que Phasmaria devinait avoir suite à la venue de marchands émanant du Tao-Bang, le shogunat mijakien. Une tenue magnifique, ouverte sur le nombril.

« Bonsoir, Qaye ma chérie… »

La Déesse-neko lui sourit doucement, observant avec appétit cette belle robe. Qaye se rapprocha, et défit lentement la robe, ce que Phasmaria trouva presque regrettable, elle qui n’aurait sûrement pas été contre profiter davantage de cette robe. Qaye la défit donc, terminant nue, et Phasmaria se rapprocha d’elle. Elles se retrouvèrent toutes deux au milieu du tapis, et, après quelques premières caresses, Phasmaria alla tendrement embrasser Qaye. Elle plaqua sa bouche contre la sienne, et s’unit dans un baiser sensuel et tendre.

« Je sens ça, Qaye… Tu es toute chaude, toute vibrante… »

Elle lui sourit, et Qaye se mit à genoux, embrassant au passage la peau de Phasmaria, déclenchant chez la jeune femme quelques frissons, de délicieux ronronnements qui trahissaient son plaisir imminent. Phasmaria la laissa naturellement faire, et se recula. Usant de sa magie, elle draina un énorme pouf, et s’assit dessus, tout en écartant les jambes. Sa main se posa sur les cheveux de Qaye, et elle la laissa agir au mieux.

« Hum… Quelle impatience, ma chérie… Haaa… Je vais te baiser toute la nuit, tu sais… C’est… C’est ce que tu mérites, c’est notre nuit de noces ! »

Or, une nuit de noces, il fallait la célébrer comme il se doit !

Je n'ai pas menti sur ma période de chaleur, ni sur le fait que ce jour-là, aujourd'hui, je suis en chaleur, pour Déesse. Bien sûr, mes origines de Tao-Bong n'ont pas été masqués, et cette robe ravissante le montre. Une tenue que j'ai pris de marchands de Tao-Bong, qui ne semblent pas esclavagistes.

J'aime Déesse, et c'est loin d'être un secret. Elle m'a offert une belle vie, je lui dois ma vie, parce que je ne peux pas imaginer ce qui se passerait si personne ne me recueillait après ma fuite de mon ancien Maître. Alors quand elle me demande de faire un enfant d'elle, je ne peux pas me permettre de refuser, et je fais tout pour que ça soit le cas. L'Oasis est une nation avec un gouvernement familial, et c'est avec un immense honneur que notre fille en fera partie.

Je veux lui faire plaisir, et c'est tout ce qui m'importe en ce moment. Ses ronronnements sont signes de son plaisir imminent. Je la laisse s'installer à son aise, et me montrer son membre, qui vient certainement de sa magie. Je suis une simple femme, c'est donc à moi de porter notre enfant, et d'y prendre soin. Je regarde alors Déesse, avec un joli sourire.

"Je veux profiter de chaque instant de notre nuit de noces, Déesse. J'en profiterai jusqu'à ce que l'étoile commencera à se lever."

Or, l'étoile est en train de se coucher, et ça se voit. Je frotte alors mon visage contre le vit, en fermant les yeux et en ronronnant. Je tiens alors la base de deux de mes doigts en le caressant doucement, avant de commencer à laper ce membre. Je veux que le plaisir de ma Déesse soit progressif, que ce membre se tende pour moi, pour mieux accueillir ma bouche, avant de finalement la mettre une fois que je sens qu'il est assez tendu. Je regarde alors ma Déesse dans les yeux, tout en bougeant doucement ma tête d'avant en arrière, pour que le membre puisse coulisser dans ma bouche.

Phasmaria esquissa un léger sourire en voyant Qaye s’agenouiller devant elle, et attraper sa verge dans le creux de sa main. La Déesse-neko frissonnait déjà, ce qui, chez elle, se traduisait par de délicieux ronronnements le long de sa colonne vertébrale, et de tout son corps. Qaye était agenouillée devant elle, magnifique dans sa belle robe tao-bongienne. Qaye ouvrit la bouche, et commença à avaler son membre, l’absorbant entre ses lèvres assoiffées. Phasmaria frémit, et serra sa main sur les cheveux de Qaye, avant de la caresser, entre ses oreilles. Elle allait de droite à gauche, caressant et grattant ses oreilles, la regardant la sucer. La nuit commençait à peine, et elle serait longue ! C’était leur nuit de noces, la nuit où Qaye allait devenir l’épouse de Phasmaria, et où elle portait son enfant. Pour elle, c’était un tout nouveau chapitre de sa vie à l’Oasis qui commençait. Les épouses de Phasmaria formaient son gouvernement, les femmes qui dirigeaient cette région. Qaye allait donc avoir des responsabilités, elle contribuerait à l’essor de l’Oasis, elle participerait à son développement.

Mais, avant ça, il y avait cette nuit à passer, et Phasmaria allait tout faire pour qu’elle soit inoubliable ! Elle caressait donc sa petite neko, tandis que sa verge enflait en elle, grossissant, durcissant au fur et à mesure que Qaye jouait avec elle.

« Ooohhh… C’est si bon, Qaye… »

Phasmaria gémit doucement, et sentait la bouche de Qaye filer d’avant en arrière… Et, quand elle s’enfonçait bien, Phasmaria posa ses mains sur la tête de Qaye. Ses deux mains serrèrent ses oreilles, et elle appuya dessus, lui faisant faire une longue gorge profonde, se délectant des soupirs de Qaye, de ses couinements, de sa salive qui glissait sur sa queue. C’était si bon ! Phasmaria se tortillait sur son pouf, et finit néanmoins par se relever. Debout, elle avait plus de liberté avec ses mains, mais aussi avec sa queue caudale. Elle la déplaça pour filer entre ses jambes, et l’enroula autour du cou de Qaye. Et là, lentement, Phasmaria se mit à serrer, tout en se mettant à accompagner les mouvements buccaux de Qaye par des coups de reins.

Sa verge filait d’avant en arrière, sans jamais sortir totalement de la bouche de Qaye. Elle lui emplissait la bouche, filant jusqu’à taper contre sa gorge.

« Tu aimes me sentir en toi, hein ? Ma chérie… Tu m’appartiens, et cela… Ce n’est qu’un avant-goût, hmmm… »

Je sens les caresses et les gratouilles entre mes oreilles de chat, ce qui ne peut que me faire ronronner, pendant que j'ai toujours son vit dans ma bouche, en train de le lubrifier de ma salive. Ce membre qui me rendra enceinte grossit dans ma bouche. Je suis heureuse que Déesse apprécie mes gestes. Je ne peux que l'être. Elle m'a sauvée d'une misère, je lui dois toute ma vie.

Elle me tient donc les oreilles et je commence à mettre doucement mes doigts entre mes cuisses. Je continue de la regarder apprécier mes attentions, pendant qu'elle m'a fait insérer son vit dans ma gorge, un peu de force mais je ne montre aucune résistance. Je gémis et couine de plaisir alors que je regarde toujours Déesse.

Elle se lève donc et je suis son bassin. Je commence à sentir sa queue enrouler ma gorge et commencer à le serrer, commençant doucement à m'étouffer dans sa verge, alors qu'elle va d'avant en arrière pour que ce vit puisse coulisser. Je ne peux rien dire, même pas un simple son.

Oui, j'aime vous sentir en moi, Déesse ! Je secoue ma tête de haut en bas avec ferveur. J'agite ma tête à son rythme, voulant lui donner le plus de plaisir possible, commençant même à accélérer mes mouvements de moi-même. Je ne veux pas qu'elle se retienne juste pour moi ! Je veux qu'elle me prenne fort, et je le lui fais ressentir.

S'il vous plait, Déesse… faites-moi mal ! Profitez de cette noce pour me faire souffrir, mais cette fois j'aimerai la douleur que vous allez m'infliger ! Vous connaissez mon secret, car je vous ai dévoilé tous mes secrets. Profitez-en ! Le seul moyen d'exprimer mon désir, est de prendre votre queue caudale pour le serrer un peu plus autour de mon cou, et c'est ce que je fais, sans m'arrêter de me doigter. Des larmes commencent doucement à sortir de mes yeux, mais cette douleur, je veux le ressentir.

Phasmaria connaissait bien Qaye, et elle savait que, même si sa partenaire avait fondé un mouvement visant à libérer les Furrys de l’esclavage, elle n’en restait pas moins, au fond, une femme masochiste. Ce paradoxe, Phasmaria l’acceptait, et elle le comprenait volontiers. Elle sourit donc doucement quand elle sentit Qaye tripoter sa queue caudale, cherchant visiblement à ce que Phasmaria serre davantage. La Déesse-neko se mordilla les lèvres, crispant ses mains sur les oreilles poilues de son amante, et obtempéra donc.

Sa queue se serra davantage autour du cou de Qaye, et elle continua à appuyer, amenant Qaye à pousser de délicieux gémissements.

« Pe-Petite perverse, haaaa… »

Phasmaria était l’une des rares personnes au monde connaissant les fantasmes secrets de Qaye, ses désirs inavouables. Elle les acceptait pleinement, et elle jouait volontiers avec. Sa queue filait donc d’avant en arrière, s’enfonçant profondément, jusqu’à ce que même ses testicules viennent heurter son menton. La Déesse-neko y allait de plus en plus fort, soupirant et gémissant.

« Hmmm, ce que tu es bonne, ma chérie, haaaa… !! »

La Déesse-neko soupira encore, et poursuivit son office, tapant dans la cavité buccale de la jeune femme. Elle gémit à nouveau, et fit durer le plaisir, les minutes s’écoulant. Son objectif n’était pas de tuer Qaye, alors sa queue se desserrait régulièrement, voire se retirait totalement du cou de Qaye, et la pointe de sa queue venait ensuite fouetter la pointe des seins de sa partenaire, frappant avec délice ses tétons.

La queue caudale continuait à remuer, et Phasmaria finit par jouir, en amplifiant progressivement le mouvement. Plus le temps passait, et moins la belle Déesse était douce, elle était au contraire de plus en plus brutale, multipliant les coups de reins, lui baisant tout simplement la figure ! Phasmaria y allait franchement, soupirant et grognant, jusqu’à ce que le foutre explose dans la bouche de Qaye.

« Nyyyyyaaaaaa… !! »

Phasmaria se relâcha avec joie, puis sourit ensuite, caressant doucement les oreilles de la petite Qaye.

« Avale mon bon lait, ma chérie… Ensuite, je te punirai comme tu le mérites, ma petite masochiste… ♥ ! »

Je commence à ressentir de la douleur sur mes oreilles de neko, la queue caudale commence à serrer d'elle-même, ce qui fait que je commence à relâcher son emprise, car cette queue peut m'étrangler d'elle-même. Je suis une petite perverse pour vous, Déesse, tout comme vous êtes une perverse. Ce n'est pas un secret, je veux que vous vous amusiez avec moi, avec mon côté masochiste.

Je n'ai pas besoin de faire bouger ma tête, maintenant, sa queue s'en occupe alors que je continue de me doigter, et elle me tire jusqu'à ce que mon visage se fasse frapper par mon pubis, et que ses testicules frappent mon menton, et plus ça avance, plus elle y va fort, me faisant mal, et c'est ce que je cherche. Sa douceur laisse place à la brutalité, à un côté plus bestial. Elle n'est plus un chat, elle est une lionne. Je m'étouffe, mais elle desserre un peu de temps en temps pour me laisser un peu respirer, quand mon teint est sur le point de prendre une légère teinte. Je ne veux pas mourir, je veux juste souffrir, avec Déesse. Je couine lorsque de temps en temps elle me fouette les seins, avant qu'elle ne remette la queue autour du cou.

Finalement, elle finit par jouir, et je ferme les yeux pour apprécier sa jouissance, et j'ai fini par aussi jouir. J'avale tout ce qu'elle m'offre. Après qu'elle ait joui, j'enlève finalement le vit de ma gorge et de ma bouche, et je reprends un gros souffle, en toussant, comme si je voulais reprendre mon souffle, mais je n'ai rien craché. Je regarde ensuite Déesse avec les yeux doux.

"Oui, ma Déesse ! Punissez-moi et couvrez toute ma peau de bleus !"

Je m'allonge donc, sur le dos, en écartant les cuisses, lui montrant mes lèvres intimes humides. Je veux lui donner envie de me pénétrer, et de toute façon, ça passera ici. Elle jouira autant qu'elle le veut dedans, et j'aurai un enfant avec elle. Je veux qu'elle me pénètre, et qu'elle me frappe en même temps. Elle est en train de se montrer bestiale avec moi, parce que je lui ai montré que c'est ce que je veux.

On croyait à tort que les chats, parce qu’ils étaient mignons, étaient doux et inoffensifs. L’humain était parfois si simpliste. Les chats étaient aussi de redoutables prédateurs, et pouvaient à ce titre se montrer sadiques, cruels, et violents. Et violente, Phasmaria pouvait l’être, a fortiori avec une masochiste comme Qaye qui réclamait de se faire battre. Phasmaria savait qu’elle était une guerrière efficace, qu’elle participait à un mouvement de lutte mondiale contre l’exploitation des Furrys. Elle la soutenait et elle la respectait pour ça, du haut de ses faibles moyens, et elle donnait aussi de son âme, de son corps. La Déesse-neko sourit doucement quand Qaye se coucha sur le dos, et écarta les cuisses, se tortillant sur le lit en réclamant à nouveau le jus de sa Maîtresse. Phasmaria sourit donc en se rapprochant du lit. Elle reprenait sa respiration, son souffle, et se masturbait aussi lentement, juste pour le plaisir de sentir sa verge se durcir à nouveau.

Sa main glissa sur l’une des cuisses de Qaye, qu’elle caressa. Elle enroula ses doigts autour de son mollet, puis grimpa sur le lit. Phasmaria se dressa de toute sa superbe, et observa la silhouette étalée sur le lit de sa partenaire. En manque, Qaye réclamait sa présence, et, en souriant doucement, Phasmaria se rapprocha. Son membre assoiffé effleura ses lèvres intimes, et elle se frotta sur sa chatte, d’avant en arrière. Un sexe parfaitement épilé, avec une intimité luisante, trempée d’impatience. Phasmaria en profitait donc, et déplaça sa main dans la foulée. Elle malaxa le sein gauche de Qaye, et le pinça ensuite.

« Ma belle petite Qaye… Tellement masochiste ! » gloussa Phasmaria.

La Déesse-neko s’amusait, puis se pencha ensuite. Elle se dressa devant Qaye, s’allongeant petit à petit sur elle, et descendit son autre main, caressant le bas du dos de Qaye, puis ses fesses. Elle releva ainsi l’une de ses jambes pour qu’elle s’enroule autour de son bassin, et donna une claque sur son postérieur, tout en se délectant des soupirs et des couinements de Qaye.

« Hmmm… Je me sens si bien en toi, ma belle… Et j’adore la manière dont ta peau claque quand je la fesse… Comme ça ! »

Phasmaria releva sa main, et la fessa à nouveau !

La ferveur d’une belle zélote, voilà qui ne pouvait qu’enthousiasmer Phasmaria. Cette passion s’exprimait de la plus parlante et de la plus physique des manières, à travers le coït, le stupre. C’était une position classique, celle du missionnaire, mais c’était après tout dans les vieux pots qu’on faisait les meilleures confitures. Autrement dit, Phasmaria se régalait en besognant comme ça sa petite Qaye. Un plaisir assurément partagé, car qui n’aurait pas été ravi de coucher avec Phasmaria ? La redoutable femme à la peau cuivrée, aux formes anguleuses, dansait sur Qaye, s’enfonçant dans sa petite chatte trempée. Sa verge déformait l’intérieur de son corps, ondulant en elle, remuant d’avant en arrière, dans un mouvement bien connu, que Phasmaria répétait avec passion, tout en soupirant et en gémissant longuement. Elle s’enfonçait avec un appétit insatiable dans le corps de Qaye, la pénétrant avec vigueur, se régalant de ses soupirs, de ses gémissements. Qaye se tortillait tendrement sous elle, soupirant contre ses lèvres. Phasmaria sourit devant les déclarations d’amour de Qaye, et l’embrassa sur les lèvres, sentant l’une des mains de Qaye palper son sein, le pressant tendrement.

« Hmmm… »

Phasmaria s’en mordilla les lèvres, sentant la vague affluer en elle. Le désir pulsait dans son corps, tandis que Qaye soupirait contre elle. La main de la Déesse-neko frappa encore, fessant les cuisses de Qaye, heurtant ses fesses légèrement relevées. C’était très agréable, et Phasmaria ne pouvait qu’être motivée par les soupirs de plaisir de Qaye, et par les encouragements de sa fidèle zélote. Alors, elle continuait à la prendre, à la baiser avec force, s’enfonçant lourdement en elle, d’avant en arrière. Sa queue tapait contre sa chatte, et Phasmaria ne s’arrêtait pas, ne ralentissait pas le rythme, l’amplifiant au contraire, l’intensifiant avec passion. Elle soupirait contre le corps de sa partenaire.

« Ouiii, tu vas porter mon enfant, Qaye, hmmm… Notre beau bébé… Que tu aimeras et que tu vénéreras autant que tu m’aimes et me vénères, hmmm… »

Gémissant à nouveau, Phasmaria sentait la vague atteindre son point de rupture, et, dans un grand soupir, elle se mit à jouir avec appétit dans la chatte de Qaye. Phasmaria en griffa même le lit, et laissa la vague l’envahir, jouissant généreusement dans le corps de son amante…

Avoir des enfants, beaucoup d’enfants, c’était un concept qui plaisait à Phasmaria. Elle offrait à chacune de ses amantes privilégiées le don sacré de sa semence, un enfant à porter. Cette vague orgasmique avait assurément de quoi accomplir son objectif. Phasmaria visualisait déjà ses milliers de spermatozoïdes fusant dans le corps de sa partenaire, à la recherche d’un ovule à féconder pour que germe une vie en elle. Qaye faisait partie des concubines de Phasmaria destinées à porter ses enfants, à devenir ses épouses. Phasmaria souriait doucement devant Qaye, et répondit à son baiser. Son amante était aussi impatiente qu’elle à l’idée de porter son enfant. Phasmaria utilisait naturellement la magie rose pour accroître les chances de fécondation, mais elle ne savait pas encore si la graine avait été plantée. Les deux femmes s’embrassèrent en tout cas, Phasmaria répondant avec passion aux lèvres suaves et tendres de Qaye.

« Hmmm… »

Tout en l’embrassant, sa main palpait l’un des seins de Qaye, et sa queue caudale s’enroulait autour de la jambe de sa partenaire, la caressant et se pressant dessus. À la fin de ce baiser, la Déesse-neko souriait doucement, heureuse. Sa verge avait perdu de son diamètre, mais elle restait encore vive, et l’appétit de Phasmaria était encore suffisamment fort pour que, avec l’aide de la magie rose, elle recommence à lui faire l’amour. Et cela, ce désir, Phasmaria le vit aussi dans les yeux de Qaye. Comme si cette première session avait brisé quelques inhibitions chez son amante, qui se retourna. Phasmaria s’écarta un peu, s’assit sur ses genoux, et frémit en la voyant se mettre à quatre pattes.

S’offrant sensuellement à sa Maîtresse-Déesse, Qaye demanda à ce que Phasmaria satisfasse son masochisme. Elle sourit lentement. Phasmaria savait que Qaye avait été l’esclave d’un homme cruel. Elle savait aussi qu’il était fréquent que les anciens esclaves aient des pulsions masochistes. Avoir le goût de la liberté n e signifiait pas pour autant qu’on pouvait renoncer à quelques déviances nées d’une éducation calquée sur l’obéissance. Cela, Phasmaria l’admettait. Au fond, on n’oubliait pas d’où l’on venait, et Phasmaria allait mettre cela à application.

« Très bien, Qaye… »

Ce n’était qu’en compagnie de sa Déesse que Qaye pouvait laisser s’exprimer ses pulsions les plus osées. Phasmaria se concentra alors, et puisa à nouveau dans sa magie pour invoquer des objets. Elle tendit sa main, et généra un collier doré dans sa main, qu’elle mit autour du cou de Qaye avec une laisse, dont elle tint le bout dans le creux de sa main. Ainsi équipée, Phasmaria retourna dans le dos de Qaye, et tira sur la laisse, tout en enfonçant sa trique dans le cul de Qaye. Elle soupira à ce contact, et gifla fortement avec son autre main la fesse de Qaye. Ses griffes déployées laissèrent des traînées rouges sur cette fesse, et Phasmaria grogna encore.

« Tu aimes ça, h-hein ? Quand ta Maîtresse te traite comme si tu étais la dernière des putes, hmm… Q-Quand elle te baise… F-Fort, haaaa… !! »