The Multiversity

Saya avait, jusque-là, passé une journée plutôt normale au lycée.
A peine levée, le petit rituel matinal avait commencé : un petit tour devant la glace pour voir ‘qui’ elle était censée être aujourd’hui, sans doute la chose la plus importante à faire à chaque réveil, puis définir le programme de la journée. Pour elle pas trop de choix : la plupart du temps, elle finissait en cours ! Mais ce n’était pas bien grave car elle s’amusait comme une petite folle dans l’établissement.

Ça faisait déjà trois jours qu’elle n’était pas apparue sous cette apparence là-bas. Bien qu’un peu plus grande que sous son autre forme, c’est surtout sa poitrine plus généreuse qui fait le bonheur de certains. Non pas qu’elle souffre la comparaison entre ses deux corps, personne n’étant au courant qu’il s’agit de la même personne…

Le premier cours était le plus pénible mais aussi le plus agréable de la journée : le sport ! Pas forcément amusée à l’idée de courir partout juste pour le plaisir de le faire, Saya appréciait bien plus le passage au vestiaire. Certaines filles de sa classe étaient carrément mignonnes, et il arrivait souvent que l’une d’elle passe un peu de temps sous la douche avec la Seishi. Mais pas aujourd’hui non ! Elle était de corvée de rangement après le cours, ce qui signifiait que le professeur allait sans doute vouloir ‘passer du temps’ avec elle. Et ça ne manqua pas, celui-ci venant la rejoindre dans la pièce de rangement dès que les autres élèves étaient partis. Comme souvent, il s’était d’abord fait plaisir avec ses seins avant de lui enfoncer sa queue dans la bouche et, finalement, la sodomiser en la calant contre le tas de tapis de gym. C’est qu’à ce qu’il parait, il craignait de mettre ses élèves enceintes…

Après cet exercice très plaisant et une bonne douche, Saya avait enchainé les autres cours et grignotait un petit quelque chose avant de recevoir une proposition de deux garçons : un plan à trois dans leur chambre. Ça, ça semblait parfait ! Elle allait certainement se prendre des remarques pour avoir manqué le club, mais peu importe : elle adorait le sexe, et chaque jour elle pouvait savourer le plaisir de se faire déflorer. Au début ça la dérangeait un peu, mais avec le temps elle était devenue presque accroc à la sensation. Elle avait donc accepté, et la voilà désormais devant la porte dont ils lui avaient donné le numéro. Bien sûr, elle ne se doutait pas encore que les deux lycéens avaient paniqué quand elle avait accepté et lui avaient donné un numéro totalement au hasard.

« J’entre ! »

Bizarrement, la porte n’était pas verrouillée. Un bon point pour eux, même si… ils étaient où au juste ? En retard ? Qu’à cela ne tienne, elle allait s’assurer de bien les recevoir et de se préparer. Le lit a l’air très accueillant après tout ! Elle vient s’allonger dessus sans trop regarder la décoration de la chambre, et ses mains se retrouvent bientôt à des endroits stratégiques : l’une sur son sein, faisant remonter son haut, et l’autre entre ses jambes pour se caresser. Maintenant, il n’y a plus qu’à attendre… en s’amusant !

Aujourd'hui, je laisse les autres du Club gérer et je fais confiance à Kuma-sensei. Après tout, il est référent, donc il peut se montrer sympa quand je suis pas là, malgré le fait qu'il soit peu expressif, mais il peut aussi se montrer très sévère s'il le faut. En tout cas, malgré le fait que je sois pas dans ma séance de club, ça m'empêche pas de tenir à cette réputation qui pourrait faire peur à n'importe qui.

Par contre, s'il y a aucun problème en soi, j'ai un petit pressentiment et je regarde dans la direction de ma chambre en utilisant ma Traque. Mais il y a une meuf qui s'approche de ma chambre ! Il va falloir y aller rapidement pour découvrir plus en détail qui s'en approche, et pour ça, j'utilise discrètement mon pouvoir de la Calamité pour me téléporter, avant de me cacher avec ces mêmes pouvoirs, me mettant sous la table de nuit et sous le sol, seule une mèche de cheveux dépassant et se mettant à briller. Je sens déjà que c'est pas non plus un connard qui veut me faire du mal.

Je regarde en direction de la porte et je vois… Seishi Saya. Je me demande ce que la kohai fait là. J'ai l'impression qu'elle est une sacrée salope, surtout pour une meuf de cette âge, car elle n'aurait pas encore le temps de se laisser emporter par l'ambiance du lycée… mais d'ailleurs maintenant que j'y pense, elle n'est pas aussi Kihara Ayana, une autre meuf qui lui ressemble pas ? Je me dis ça en tant que surnaturelle, car j'ai senti que ces deux corps ont exactement la même constitution d'organes, donc le même cerveau. C'est impossible qu'elles soient deux personnes différentes.

En tout cas, je la vois entrer et commencer doucement, cherchant probablement qui elle voudrait rejoindre, mais je ne vois personne y entrer, alors pendant qu'elle se réchauffe intimement, je "glisse" près de la porte, sortant mon bras pour pousser cette porte jusqu'à le fermer, avant de me "glisser" sur cette porte jusqu'au poignet, le bras dépassant pour verrouiller ma chambre. Seishi-san doit entendre tout ça, puisqu'elle attend quelqu'un. Je sors donc de la porte, et elle a maintenant affaire à l'Ange Gardienne, la Présidente du Club des Justiciers et celle qui réprime tout signe de harcèlement. Je m'approche donc d'elle.

"Seishi Saya… ou devrais-je dire aussi, Kihara Ayana. Eh ouais ! Tu n'es pas la seule polymorphe, ici."

Je lui fais un sourire en coin. Je ne suis pas là pour la foutre dans la merde. De toute façon, je suis mal placée pour la refroidir d'avoir envie de baiser. Une fois à son niveau, je la force à s'allonger sur mon lit, mes mains sur ses épaules, toujours avec mon sourire en coin.

"Laisse-moi deviner. Quelqu'un t'a proposé de baiser avec toi, mais il t'a indiqué le mauvais numéro de chambre, sans savoir que c'est celle de l'Ange Gardienne."

Un de mes genoux se pose sur le lit, entre ses cuisses, s'approchant d'ailleurs de sa chatte. Je veux voir si elle est bel et bien attirée par les meufs.

Eh ouais ! Moi aussi ! Je sais pas comment ça marche pour elle, mais ce qui est sûr c'est qu'on peut changer de forme, toutes les deux. En tout cas, je change de forme en dormant, mais j'ai un sommeil très court. Ca n'empêche pas qu'avec le Virus Mercer, je peux prendre n'importe quel forme, tant que c'est avec des gens que j'ai assimilé. En plus, ça semble assez classique, cette situation, même si jamais je n'ai jamais fait face à ce genre de choses. Elle s'est doigtée dans ma chambre, comme si elle était déjà chauffée, donc ça ne peut être que ça. Par contre, je ne sais pas pour les détails.

Du coup, nope, ils ne viendront pas. S'ils venaient, j'aurais déjà senti leur présence. Je garde ce sourire en coin, et je vois qu'elle n'est pas repoussée par une lesbienne comme moi. Enfin, je peux baiser des mecs, sans problème, juste à condition qu'il y ait une meuf aussi. Du coup elle allait faire un plan à plusieurs, ou au moins elle pensait le faire. Mon genou finit par toucher sa chatte, la caressant au passage.

"Oh oui ! Je sais pas s'ils vont être déçus, mais vu que la porte est verrouillée, ils ratent quelque chose. Après, s'ils arrivaient, j'aurais fait comme si je savais pas pour ton polymorphisme. Ca reste un secret entre nous."

Je lui fais un clin d'œil et je lui baisse la culotte pour qu'elle soit cul nu. Elle a toujours son uniforme, levé jusqu'en haut de son soutif, et je mets deux doigts sur sa chatte pour que celle-ci s'humidifie bien, alors qu'elle me fait un sourire entendu. J'ai jamais dit que je peux me changer que partiellement. Je ris doucement.

"J'ai jamais parlé de me transformer partiellement. Avant, je me changeais que quand je dors. Mais maintenant que j'ai un virus mutagène dans mon corps que je peux maîtriser… autant que je rende jalouse tes gars… enfin tant que tu la fermes là-dessus."

Je me relève un peu et baisse ma culotte, et lève ma jupe. Mon pubis rougit et une queue de chair se forme rapidement. Ah bah elle a tout l'air d'une succube... et je crois que mon côté sombre-angélique ressent cette magie. Je lui prends les hanches et insère direct la bite dans la chatte, gémissant. Elle n'a pas l'air d'être dégoûtée d'une bite, alors autant que j'en profite.

"D'ailleurs, je vais te faire découvrir un autre secret."

Sans même enlever ma bite de sa chatte, je déboutonne ma chemise pour l'enlever avant de déployer mes ailes en plumes noires, et mes yeux marrons deviennent violets.

"Ange Gardienne n'est pas qu'un surnom."

Ils avaient qu'à accepter. Qui sait, peut-être qu'elles auraient deux filles pour deux bites. Ils peuvent se rassurer sur le fait que je peux ne jamais être en cloque. Mais là, tant pis pour eux, on est parties pour un tête à tête. Pas question de se restreindre, surtout pas quand on est deux surnaturelles seule à seule.

Je comprends sa question par rapport au Virus. Normalement, on associe les virus aux maladies, et c'est normal. Mais là je suis pas si malade que ça. Elle m'enlève d'ailleurs le pull au passage, et je la laisse faire, me trouvant en chemise que je vais bientôt enlever de toute façon. Evidemment qu'elle va la fermer sur ses pouvoirs, de toute façon entre surnaturelles, on sait qu'on doit cacher nos pouvoirs, sinon on aura des problèmes.

"Je comprends tout à fait ce que tu veux dire, mais t'inquiètes je suis pas malade dans ce sens-là."

Je lui montre que je peux devenir futa quand je veux, et je la pénètre rapidement, sans même qu'elle ait le temps de s'émoustiller. Elle est déjà excitée et absolument pas refroidie. D'ailleurs, je sens que ma queue lui perce son hymen, à croire qu'à chaque fois qu'elle revient sous cette forme, cette hymen se reconstitue. Pourquoi pas, je suppose ?

Mais après, j'enlève ma chemise pour déployer mes ailes et montrer que je suis une ange noire. Après, on peut confondre ça avec les anges déchus, et j'ai déjà appris à ne pas m'énerver suite à ça. C'est d'ailleurs une sacrée différence que les humains ne connaissent absolument pas. Eh ouais ! Elle ne peut pas mieux tomber, malgré cette mésaventure.

"Si tu savais à quel point tu n'es pas seule surnaturelle parmi les élèves. En plus, si j'étais une ange blanche, j'aurais plus voulu te tuer que te baiser !"

Je commence à boucher mes hanches en tenant les siens, et pas la peine d'y aller doucement, malgré son hymen percé. Là je veux satisfaire un minimum cette succube. Alors je la prends rapidement et puissamment, avec une force qui pourrait briser les jambes à tout humain normal, et encore je mets pas toute ma force. Je la regarde avec le sourire.

"Alors, petite succube, ça commence à te plaire ?!"

Là c'est mon côté angélique qui me fait sentir qu'elle est une succube. Vu qu'on est seule à seule, pas la peine de me le cacher.

Je sais pas pour Jinmu, j'en ai pas encore vu, mais il y a des types différents d'anges. En tout cas, j'ai pas vu d'anges déchus, sinon je les verrais carrément dépressifs. Par contre, des êtres surnaturels, il y en a plus d'un, je peux l'en assurer… mais encore une fois, ça reste entre nous.

"Pas forcément, on voit plus de démons que d'anges, ici !"

Dont des succubes. La réputation du lycée ne vient pas de nulle part, après tout. Mais en tout cas, je me gène pas pour la prendre brutalement. Elle n'est pas un petit bout de femme fragile, avec qui on devrait la pénétrer doucement pour ne pas lui faire peur. Non, elle a du sang de succube dans les veines, et donc pas la peine de se retenir, surtout quand on est une surnaturelle soi-même. Cette succube qui semble vraiment adorer que je la prenne comme si elle était une poupée solide et réaliste, et elle l'exprime bien, en toute honnêteté car de toute façon, il y a rien pour qu'on puisse nous griller, tout est fermé et tout est isolé.

D'ailleurs, elle me fait une demande qui a l'air bizarre, mais puisqu'elle sait que j'ai un virus mutagène, autant qu'elle en profite. Je souris en continuant de gémir fort et doucement, à chaque coup de rein, je grossis ma queue. Je peux le faire d'un coup, mais j'ai préféré être un peu progressive, le temps que sa chatte s'y fait. Une chatte qui s'élargit de plus en plus pour mieux accueillir la queue de plus en plus grosse. Je me sens d'ailleurs de plus en plus serrée et le gland va pour atteindre le col.

"Comme ça ?! Tu veux que je te perfore le col ?!"

Parce que là, je suis sur le point de traverser ce col de l'utérus, alors que cette queue s'épaissit au point de mettre à rue d'épreuve son élasticité. Je vais rien déchirer, pousser son corps à ses limites.

"Tu l'auras voulu, salope !"

Pour les succubes, c'est limite un compliment qui ressemble à une insulte, alors autant que j'en profite.

De plus en plus gros, qu'elle veut. Limite ça va arriver au point où ça en devient absurde, impossible pour un mec normal, mais possible pour un type comme moi qui a un virus mutagène. Tant que je déchire rien, et elle a l'air bien élastique, alors que je sens que mon gland commence à atteindre le col de l'utérus. C'est en soi pas si évident pour un type normal de le sentir, alors autant en profiter jusqu'au bout.

Je serre bien mes mains sur ses hanches pour bien la retenir, alors que je sais pas si sa chatte pourrait essayer de repousser cette queue devenue trop grosse pour entrer complètement dans cette chatte sans percer le col de l'utérus, pendant que ma bite grossit, grossit, grossit, jusqu'à ce que finalement le gland finit par passer par le col, qui est obligé de s'élargir.

"Oh oui, je sens que ton utérus est obligé de me laisser passer ! Tu adores ça, hein, petite pute !?"

J'ai commencé à comprendre qu'elle aime quand on l'insulte, alors j'en profite, laissant en partie mon côté ange noire s'exprimer, bien que je sois capable d'être plus violente. Mais bon, j'ai pas envie qu'elle soit blessée juste parce qu'on était en train de baiser, alors la seule blessure qu'il y aura sera au niveau du col de l'utérus. C'est pas visible, quoi. Mais bref, ma queue continue quand même de grossir, passant dans l'utérus.

"Plus loin ?! Jusqu'à ce que je touche le fond de ton utérus ?!"

Surtout que ma queue est très rigide, à ce stade. Je m'approche doucement de la jouissance, et je sens déjà qu'elle voudrait que je mette énormément de foutre dans son utérus. Je vais même concentrer une partie de ma biomasse rien que pour ça.

"Et tu veux que je jouisse jusqu'à ce que ce foutre repousse ma bite ?!"

Si elle veut d'une grosse décharge de foutre, elle va être bien servie.

Elle veut que mon gland touche le fond de son utérus, parfait ! Une belle grosse queue qui vient jouir sur le fond, alors que je serre encore plus les mains sur les hanches, pour la tenir et limite la faire saigner, mais ça va pas non plus lui briser les os, j'ai pas non plus envie qu'elle soit blessée à cause de ça. Tout ce que je veux c'est qu'on soit satisfaites toutes les deux.

"Ah ouais tu veux ça, pétasse ?!"

Je continue de la baiser très fort en faisant pousser cette bite, jusqu'à ce que je finisse, sans prévenir, par crier et par jouir, serrant très fort ses hanches sur moi, remplissant bien l'utérus, des trompes qui sont pas hermétiques, mais assez pour que ça finisse par mettre à l'épreuve l'élasticité de son ventre, alors qu'il commence à lutter pour faire dégager cette queue, mais je retiens bien tant que ça va pas exploser. Mais finalement, puisque je continue de bien jouir alors que l'utérus est pleine et a du mal à se vider dans le reste du corps, il repousse de plus en plus fort jusqu'à ce que je cède pour éviter de la mettre en danger, mais je continue de jouir sur elle, pendant un moment.

Bien sûr, c'est juste beaucoup de biomasse dépensé, mais c'est pas tout. Maintenant, elle voit encore mieux cette énorme queue que même les Africains seraient jaloux.

"Evidemment, ça ne peut pas être assez pour une succube."

Surtout quand on sait que je baise régulièrement avec une démone supérieure, mais ça il n'y a que quelques rares élues qui le savent. Je relâche ses hanches pour me glisser derrière elle, à genoux et la forçant à se mettre à genoux aussi, relevant son soutif pour qu'elle soit seins nus, que je masse bien comme rarement on peut savoir faire, pendant que je mets ma queue entre ses jambes pour s'y frotter, et je me mets à lui parler à l'oreille.

"Tu as des sœurs, que je puisse profiter d'elles un jour ?"

J'en profite d'ailleurs pour l'embrasser, mettant ma langue dans sa bouche pour jouer avec sa langue, et j'étends la mienne pour commencer à titiller sa gorge. Je parle de sœurs car je suis très attirée par les femmes, mais si elle a des frères, ils peuvent rejoindre. Et puis, j'imagine mal les succubes refuser quand on leur propose de la baise.

Elle n'a pas goûté à mon foutre, vu qu'elle s'attendait plus à ce qu'elle se fasse pénétrer. Il va falloir que je règle mieux ça quand j'en aurai envie. De toute façon, elle a mis quelques doigts sur du foutre sur son corps et l'a mis dans sa bouche. Elle fallait bien qu'elle le fasse, je ne lui aurais jamais interdit. Mais en tout cas, elle a l'air d'être dans un nuage. Il faut dire, elles sont rares, celles qui peuvent satisfaire une succube en leur créant la surprise.

Alors elle a des sœurs. Alors on va pouvoir bien baiser, une fois qu'on se rencontrera. En tout cas, je l'embrasse, et j'étends ma langue pour toucher sa gorge. Elle en profite pour sucer la langue, pendant que je gémis avec la queue qui se frotte entre ses cuisses. Elle met d'ailleurs la main sur cette belle queue, le temps qu'elle se tende pour que je puisse bien l'enculer, alors que je continue de la peloter.

Une fois que je bande, je retire ma queue d'entre les cuisses pour commencer à insérer ma bite dans le cul, alors que je commence à vraiment malaxer les seins. Je détache mes lèvres de celles de Saya, lui faisant toujours profiter de ma langue qu'elle pourrait continuer de bien sucer.

"Je baiserai bien ta bouche après, ma petite pute. Tu vas mieux goûter mon foutre."

J'accélère les coups de reines en gémissant et en profite pour pincer les deux tétons, alors que ma langue se met à coulisser dans la bouche pour faire comme si je baisais sa gueule avec cette langue, sauf qu'elle ne jouit pas, elle se contente de baver. Puisqu'elle a la tête qui tourne, autant qu'elle tourne encore plus vite et encore plus fort, avec ce mélange de sensations.

On dirait que la belle succube commence à avoir la tête dans le brouillard. On dirait presque je peux me servir d'elle comme d'une poupée gonflable. Je suppose que c'est parce que je suis en train de la satisfaire comme jamais personne ne l'a satisfait, et pourtant elle en veut encore, ça se sent. Je prévois de lui prendre la gueule, et limite j'imagine allongée sur le ventre, me laissant faire avec les bras le long du corps alors que je me sers d'elle comme d'un sextoy. Après, en tant que succube, c'est que le début, et elle le sait. Elle sait qu'elle peut tenir, beaucoup, beaucoup plus longtemps. C'est les autres qui se fatiguent avant, pas elle. Elle se nourrit de l'énergie sexuelle, alors plus on la baise, mieux elle va.

Alors je lui offre ce qu'elle veut, et ça passe par bien l'enculer en la maintenant bien, alors que je lui baise la bouche avec la langue, jusqu'à ce qu'elle rompe le baiser, et qu'elle lève la tête pour reprendre son souffle. J'en profite d'ailleurs pour la doigter un bon coup alors que je continue de l'enculer comme un sauvage, mes doigts s'enduisant de ce mélange de sa mouille et de mon foutre, jusqu'à ce que ce soit jusqu'au fond de mes doigts, que j'enlève pour commencer à les insérer dans sa bouche, les frottant bien sur la langue pour qu'elle puisse aimer le goût de ce beau mélange.

"Tiens, petite pute ! Ca a bon goût, hein ?!"

Je suis sûre que oui, pour elle. C'est pas du tout la première fois qu'elle a goûté à sa propre mouille, rien que pour faire une fellation avec une bite qui lui a déjà pris la chatte. Au bout d'un moment, je commence à sentir que je suis sur le point de jouir, ce qui me pousse à accélérer mes coups de bite jusqu'à ce que je jouisse fort en criant, remplissant son cul jusqu'à l'intestin grêle.

Après avoir joui, je m'enlève de son cul pour la laisser tomber sur le dos, la laissant respirer un bon coup… et j'ai bien envie de continuer de jouer avec ses nichons, alors je m'allonge sur elle pour commencer à mettre un des seins dans ma bouche, le suçant bien, la faisant gémir, mais là c'est plus comme un acte lesbien classique, juste pour qu'elle puisse reprendre son souffle et son énergie, afin qu'elle serre mieux sa gueule sur ma bite.

"Avant de te prendre la gueule, je vais te laisser respirer un bon coup. Juste te donner de l'énergie sexuelle qui va mieux te régénérer."

Je prends alors le temps de jouer avec ses deux nichons, avec ma bouche, comme si je n'avais pas de bite. C'est juste une interlude, le temps que sa tête sorte du brouillard et qu'elle se remette de ces actes, avant de passer à une suite sauvage. Il faut bien que je m'adapte, même en sachant qu'en aucun cas ce ne sera du viol.