The Multiversity

Le Pink Palace était une attraction récente de la foire de Yoake. Cette foire, qui datait de la reconstruction, était initialement le lieu où les marchands venaient vendre leurs produits. Un cirque avait ensuite été installé, puis les terrains avaient été réaménagés pour accueillir une foire moderne. Située le long de la plage, cette foire abritait des attractions en tout genre : simulateur, montagnes russes, stand de tir… Bref, tout ce qu’on pouvait imaginer dans une foire ! Il y avait aussi les snacks, la restauration rapide, les carrousels, ceux qui vendaient des croustillons, des gaufres, des chichis… Et les attractions d’intérieur. Outre le classique train fantôme ou les palais des miroirs, la foire abritait aussi des attractions d’intérieur plus diversifiées. Il y avait la galerie d’horreur, où des acteurs vous poursuivaient dans un décor horrifique rendant hommage à certaines figures de l’horreur moderne, y compris asiatique, avec une galerie tournant autour de Ring. Et, parmi ces palais, il y avait une attraction assez récente, qui tournait autour de la sexualité, le Pink Palace. Évidemment, le palais ne proposait rien de trop indécent, puisqu’il s’agissait après tout d’une attraction publique. On trouvait surtout des cosplays d’héroïnes de mangas, le tout se voulant finalement kawai et innocent. La tenue qui faisait fureur chez les enfants était la tenue de Chichi quand elle était mineure, dans les premiers numéros de Dragon Ball. Les employées étaient habillées en tenue de maid, à l’image des maid coffee, ces fameux cafés nippons où les servantes portaient des tenues sensuelles.

Mais, en réalité, le Pink Palace permettait aussi de sélectionner des clients spéciaux pour leur montrer d’autres aspects du palais. On pouvait pour cela compter sur le guichetier à l’accueil, le jeune et ravissant Peach. L’innocence même en apparence, car Peach était en réalité un F-Boy, le fils de la puissante Meryl, une F-Girl qui supervisait cette attraction, et à qui il envoyait un SMS quand il voyait des clientes intéressantes. Travesti en fille, avec un rouge à lèvres brillant, il portait des faux seins, qui étaient possibles grâce à l’un des mutagènes développés par la Fut-Corp. Le mutagène lui donnait pendant un certain temps une poitrine. Très accueillant, il avait un plug anal dans les fesses, et saluait les invités.

*En voilà deux qui ont l’air intéressantes…*

Depuis son guichet, il pouvait voir deux femmes qui se dirigeaient vers le Pink Palace…

« Non mais t’en fait pas, on regarde juste ce que c’est et après on y va à ta petite sauterie ! »

« Bon, d’accord. Mais j’espère que ça vaut le coup. »

Megumi avait convaincu Shizuka d’aller jeter un œil à une attraction en plein quartier de Yoake. Toujours à la recherche de bons plans, elle était tombée sur quelques messages en ligne parlant du « Pink Palace », une attraction soi-disant tout public sur le thème du sexe. Intriguée, elle profita d’une Shizuka prête à sortir faire la fête pour ne pas y aller seule. Le plan ? S’amuser si c’est bien, peut-être trouver des contacts pour ses tournages, sinon aller faire la fête avec Shizuka elle ne sait où.

« T’as qu’à te dire que c’est pour te mettre en appétit. »

Pas plus convaincue que ça, Shizuka pousse un petit soupir en remontant une allée de la foire. La tenue des sœurs est à la fois sobre et sexy, laissant facilement imaginer ce qu’elle cache sans pour autant trop en montrer. Mais, mieux encore, les deux avaient opté pour des vêtements particulièrement simples à faire glisser en cas de besoin…

« T’as vu, elle a l’air mignonne la fille à l’accueil ! Ou il ? »

En approchant, la chose se précise. Megumi laisse son regard vagabonder sur Peach, du moins autant que possible avec le guichet, tandis que Shizuka prend deux tickets pour entrer dans l’attraction.

« Merci, vous êtes adorable ! »

Qu’est-ce qu’elles vont trouver à l’intérieur exactement ? Mystère, mais Shizuka ne pense pas un seul instant que les choses vont ‘bien tourner’. Mais si ça fait plaisir à Megumi de venir voir de quoi il retourne, elle peut bien prendre un peu de son temps pour l’accompagner. Les deux sœurs entrent…

Quand Peach était là, c’est que sa puissante mère, la F-Girl Meryl, n’était jamais très loin. Meryl avait une certaine affinité avec la Terre, elle s’y rendait souvent pour administrer les différentes activités de la Fut-Corp sur ce monde. En l’occurrence, tandis que Peach accueillait les clients, Meryl, elle, se reposait dans une cave aménagée sous le Pink Palace. La cave comprenait un système de ventilation, un ordinateur, mais aussi et surtout des caméras, dont une grosse caméra montée sur un trépied devant le grand lit en forme de cœur où Meryl, sexe à l’air, attendait. Elle portait ses traditionnels longs gants noirs et collants, un débardeur qui s’arrêtait au milieu de ses seins, et un minishort en jean bien incapable de refermer l’opulente verge qui sommeillait.

Meryl aimait bien la Terre, car elle aimait se taper des lycéennes. Sans réelle surprise, elle était une véritable prédatrice sexuelle, et Peach, son insoupçonnable Peach, un excellent rabatteur. Il sortait avec des filles ou avec des mecs pour les offrir à sa mère. Tout ce palais n’était qu’un subterfuge pour trouver des proies potentielles. Meryl y songeait donc quand son téléphone vibra, signe qu’elle avait reçu un SMS. Elle l’attrapa, et vit un MMS de Peach :

Des cibles potentielles pour toi, Maman !

Regarde ♥ !

Son adorable fils avait joint à son message la photographie prise par la caméra de sécurité au-dessus du portique d’accueil. Meryl sentit sa verge frissonner en voyant les deux femmes que Peach venait à l’instant de photographier. Elle répondit rapidement :

Elles sont appétissantes à souhait. Mets-les sur le bon circuit, mon chéri, puis tu me rejoindras ensuite.

Maman t’aime fort.

De l’autre côté, Peach se pinça les lèvres, puis envoya un SMS à un collègue, afin qu’il le remplace d’ici cinq minutes. Il suivit ensuite sur les caméras la marche des deux femmes. Elles avançaient dans une galerie rose. Il n’y avait rien de vraiment sexuel pour l’heure, le tout se voulait kawai et mignon, inoffensif.

Elles rejoignirent finalement une dark room, une pièce plongée dans la pénombre où il fallait avancer en s’appuyant sur les rampes. Quand elles y arrivèrent, Peach appuya sur un bouton, et l’une des rampes se retira pour une autre. Une porte verrouillée se déverrouilla également. Grâce à des caméras infrarouges, il sourit en les voyant emprunter la bonne porte.

Les deux femmes rejoignirent une autre galerie. La couleur rose kawai était remplacée par une couleur plus violette, et la porte se referma derrière elles. L’ambiance était cette fois différente, bien plus adulte. Des statues phalliques se dressaient à droite et à gauche, avec des tableaux clairement pornographiques, où on voyait des femmes en train d’orgasmer. Les multiples amantes de Meryl.

Le couloir menait à un salon au-dessus de la cave aménagée. Meryl les attendait, assise sur un canapé rose, et leur sourit en écartant ses jambes, libérant l’accès à son phallus monstrueux. Si jamais elles cherchaient à s’enfuir, le couloir se remplirait d’un gaz anesthésiant. Le plan était simple et efficace, mais on ne pouvait pas exclure que ces deux nénettes très sexy étaient venues avec un groupe.

« Bonsoir, mes jolies. Ne paniquez pas, je ne vous veux aucun mal. Je m’appelle Meryl, je suis la gérante de ce modeste établissement. Mon cher fils, Peach, que vous avez croisé à l’entrée, m’a dit que vous étiez des clientes intéressantes. Toutes les photos que vous avez vu dans cette galerie sont des clientes comme vous qui se sont retrouvées comme vous devant moi, et qui ont eu la chance de devenir mes amantes. On peut dire que vous avez gagné le gros lot, mes trésors, mon fils a senti en vous des personnes qui pourraient être intéressées par notre concours sexuel spécial. »

Si Meryl se fiait à ses précédentes expériences, elles allaient, soit hurler, soit se figer, soit fuir… Car il fallait bien admettre que sa verge s’était joyeusement dressée maintenant qu’elle voyait ces beautés de près.

« Bon, c’est par où ? »

Les deux sœurs avançaient tranquillement dans une galerie aux couleurs vives et roses. Pour le moment, rien de bien folichon : le binôme, habitué à de grandes folies sexuelles, trouvait tout ça… peu excitant. Elles s’en étaient douté en voyant que l’attraction était tout public, mais même parmi les autres personnes présentent tout le monde semblait bien sage.

« J’aurais dû me douter que ça serait comme ça… »

Shizuka soupire tandis qu’elles entrent dans la Dark Room. C’est original au moins ! Peut-être que quelqu’un va en profiter pour les peloter ? Tandis que Shizuka tient la rampe pour la suivre, Megumi tient sa sœur par les hanches.

« Je sais pas combien de temps on va être dans le noir, mais je pourrais peut-être me tenir ailleurs ? »

Mais contrairement à ce qu’elle pensait, la dark room ne dure pas bien longtemps. Zut, une occasion de s’amuser ratée ! A la place, les voilà dans une pièce mauve dont la porte s’est fermée derrière elles. Bizarre ça non ?

« La décoration est bien plus plaisante ici ! »

Shizuka pointe du doigt les tableaux à sa sœur, qui sourit en voyant les différentes œuvres. Elles remontent le couloir en regardant tout ça avec un intérêt évident, se demandant où ça va les mener et pourquoi elles sont seules ici. La réponse ne va pas tarder à apparaître devant elles !

« Hey, y’a une nana ici ! Salut ! »

Megumi fait un signe de main à Meryl en entrant dans la pièce, et est rapidement imitée par Shizuka. Les deux ont leur regard qui s’arrête sur l’énorme pénis de la dame, qui ne fait absolument rien pour le cacher. Elle leur explique également qu’elles ont été repérées ou quelque chose comme ça… mais Megumi murmure à sa sœur :

« Sa bite est énoooorme ! Prems ! »

« Ah ! »

Shizuka semble surprise par l’initiative de sa sœur, non pas qu’elle aurait réagit autrement à sa place. En réalité, elle était déjà en train d’imaginer l’énorme membre se frayer un chemin en elle… et elle avait écouté un minimum ce que leur a dit leur hôtesse.

« Un concours vous dites… ? De quoi s’agit-il ? »

Pas farouches, les deux sœurs se sont déjà rapprochées de la femme. Megumi a déjà l’air toute excitée, tandis que Shizuka essaie de donner le change alors qu’elle est dans le même état. Mais comment résister en voyant ce membre fièrement dressé grâce à leur présence, et peut-être un peu leurs pouvoirs latents ?

« Vous avez l’air très contente de nous voir hein ? C’est réciproque, je commence déjà à mouiller ici. »

Ces deux jeunes filles n’étaient pas farouches. Elles ne hurlèrent pas, ne protestèrent pas, ni ne cherchèrent à fuir. Impressionnant ! De fait, c’était la première fois que Meryl voyait des beautés assez lucides pour ne pas hurler comme des folles. Habituellement, elle les assommait, puis elles se réveillaient dans le studio aménagé, où Meryl commençait son office. Toutes refusaient au début, mais finissaient par plonger dans l’extase. Meryl avait après tout de sacrés arguments, et, si ça ne suffisait pas, Peach était toujours là pour l’assister. Elles observèrent sa verge, et l’envie se lisait dans leurs yeux.

Meryl sourit doucement en se relevant, et déplaça ses puissantes mains, caressant les joues des deux femmes, ses pouces glissant sur leurs lèvres. Elle percevait leur mouille.

« Je suis une F-Girl, mes beautés. Cela ne vous dit sans doute rien, mais j’ai été sexuellement améliorée pour être une amante parfaite. Mais cela a aussi des conséquences… Notamment une soif de sexe démesurée, une tendance au priapisme, et une nymphomanie parfaitement assumée. »

Elle les observait lentement.

« Je perçois votre excitation, mes chéries… Je dois admettre que vous n’avez pas froid aux yeux, pour des Terriennes. »

Un choix de mot qui pourrait les surprendre, car qui laissait entendre qu’elle n’était pas Terrienne. Meryl n’avait toutefois aucune hésitation à dire qu’elle venait d’une autre planète.

« Mon concours, mes chéries, consiste à tenir une nuit avec moi. Si vous ne tombez pas dans le coma, vous aurez droit à un ticket gratuit dans le siège de la compagnie où j’emploie, un séjour touristique sexuel pour grandes perverses, si vous voulez… Car, des femmes comme moi, il y en a des dizaines. »

Meryl sourit encore, sensuellement, enfonçant désormais ses pouces entre les lèvres des deux femmes, pour qu’elles les suçotent.

« Si ce programme vous va, mes trésors, je vous conduirai en bas, dans un studio aménagé… Mais vous pouvez avoir un avant-goût dans cette loge, si vous voulez. Maintenant, puis-je avoir les prénoms des deux ravissantes beautés qui vont avoir l’immense honneur d’être mes sacs à foutre dans les prochaines heures ? »

Avec une F-Girl, c’était tout en subtilité et en finesse !

Une F-Girl ? En effet, cela ne dit rien aux deux sœurs. Néanmoins, elles écoutent presque religieusement la tirade de Meryl… non sans donner un coup de langue sur son pouce, voir le sucer un peu en attendant le plat de résistance. Shizuka regarde un instant le membre érigé en entendant certains de ses mots. Ceci explique cela.

« J’espère que notre présence vous aidera dans ce cas… »

« … vous êtes pas d’ici vous alors ? On sait qu’il y a d’autres… endroits, enfin on a déjà entendu des trucs comme ça en ville. Mais oué on n’est pas du genre à avoir froid aux yeux, alors on va s’occuper de vous satisfaire ! C’est pas tous les jours qu’on a la chance de croiser quelqu’un comme vous… »

Mais à l’annonce du concours, les sœurs se posent quelques questions. Ne pas tomber dans le coma ? A défaut de coma, c’est sûr que se faire passer dessus durant une nuit entière risque de les fatiguer. Mais elles sont deux après tout…

« Je dis que ça se tente ! Je ne connais pas votre compagnie, mais vous m’avez eu au séjour touristique pour perverses et vos dizaines de copines. Maintenant je m’imagine entourée de bites géantes, c’est malin… ! »

Shizuka rit en entendant les propos de sa sœur. Elle mentirait si elle disait ne pas avoir eu cette pensée elle aussi, mais elle le garde pour elle… pour le moment. Après tout, leur hôtesse leur a demandé leurs prénoms !

« Je suis Shizuka, et voici ma sœur Megumi. »

« Mais vous pouvez nous donner tous les petits noms que vous voulez. J’ai hâte de vous aider à vous vider les couilles ! »

Pas plus subtile que Meryl, Megumi lui fait un clin d’œil en venant poser une main sur ses testicules. Shizuka ferait bien de même, mais préfère mettre une main au cul de sa sœur pour attirer son attention.

« Rejoignons le studio… j’imagine que vous l’avez aménagé non ? Et autant ne pas salir deux pièces différentes, surtout que nous risquons d’avoir du mal à nous arrêter une fois commencées. Nous vous suivons ! »

Meryl sourit lentement devant l’audace de ces deux poupettes. Oui, elles n’avaient pas froid aux yeux, de vraies Uatéennes… Meryl avait déjà pu croiser des lycéennes du lycée Jinmu qui se laissaient vite faire, mais elle se devait bien de reconnaître que ces deux beautés avaient réagi très bien… Tellement bien que cela aurait pu en devenir suspect ! Meryl percevait une aura particulière chez elle, elle sentait qu’elles étaient effectivement à la hauteur de ce qu’elles disaient. Elle vit Shizuka palper les fesses de sa sœur, tandis que celle-ci flattait l’un de ses testicules. La verge durcie de Meryl se dressait alors généreusement, témoignant de sa vigueur exceptionnelle. Tout chez la F-Girl dégageait une sorte d’attraction magnétique, de mélange entre envie et crainte, entre désir et peur. Les deux jeunes femmes avaient néanmoins envie d’en voir plus, ce qui ne pouvait que plaire à Meryl. Elle hocha donc la tête, et se retourna alors, invitant Shizuka et Megumi à sa droite et à sa gauche. La femme posa ensuite chaque main sur leurs fesses respectives, puis leur fit signe de la suivre.

« Alors, allons-y mes trésors ! » s’exclama-t-elle, avant de les fesser toutes les deux.

Elle s’avança ensuite, et ouvrit une porte au fond. Elle donnait sur un couloir sombre. Meryl appuya sur l’interrupteur, et un escalier s’illumina, descendant en contrebas. On pouvait sentir le ronronnement de la ventilation mécanique, permettant l’aération des lieux. Meryl descendit donc, et rejoignit un agréable salon. Il y avait des posters pornographiques sur des murs, le grand lit rouge en forme de cœur, et un bureau avec un ordinateur et un écran montrant les caméras de sécurité.

Le trépied avec la caméra se trouvait là. Sur les murs, d’autres caméras avaient été installées.

« Les films sont pour notre usage personnel, les filles. Vous pourrez avoir une copie du film, si vous le souhaitez. »

Peach n’était pas encore arrivé. Meryl se déplaça donc, et s’assit sur un fauteuil dans le coin salon, avec une table verre comprenant des apéritifs dessus.

« Pour te répondre, ma chérie, je ne suis pas une habitante de la Terre, en effet. Je viens de Tekworld, de Uatis, un pays technologiquement plus avancé que le vôtre. En attendant que mon fils arrive pour mettre en place l’équipement, je peux répondre à vos questions… Et vous pouvez commencer à prendre un apéritif en venant me sucer, si vous le souhaitez… Je ne voudrais pas être trop impolie en vous faisant patienter. »

Meryl avait de son côté récupéré une bouteille de bière, et remplit un verre de son contenu. D’autres verres étaient à disposition des sœurs Seishi, si elles préféraient ce genre d’apéritif…

Megumi est presque triste de devoir temporairement lâcher la bourse pleine de Meryl, mais c’est pour le mieux : c’est un peu comme reculer pour mieux se faire sauter ! Elle et Shizuka viennent se glisser aux côtés de la F-Girl, qui ne se gène pas pour palper leurs fesses avant de les guider jusqu’au studio.

« C’est vraiment impressionnant, on ne se douterait pas qu’il y ait tout ça sous l’attraction. »

Les deux sœurs étudient le lieu du regard. Des caméras, un grand lit, de la décoration pour se mettre dans l’ambiance… et leur hôtesse leur précise qu’elles seront filmées et qu’elles pourraient bien avoir une copie des vidéos, ‘pour usage personnel’.

« Oh carrément ! Déjà que l’idée que vous en gardiez une copie pour vous… ça me chauffe pas mal, surtout en pensant à ce que vous ferez en le regardant. »

Megumi fait un petit clin d’œil entendu à Meryl avant de regarder son membre. Ça ne doit pas être simple de branler un mat pareil… ! Elle vient s’assoir à ses côtés tandis que Shizuka se place face à elle en regardant les verres.

« Merci. Je n’ai jamais entendu le nom de ce pays… enfin je crois… je pensais dire que ce lieu doit être fabuleux si les gens y sont aussi sexuellement libres, mais vu que vous êtes ici ce n’est peut-être pas le cas ? »

Shizuka regarde à nouveau les verres, puis l’imposante bite, puis à nouveau les verres… elle semble hésiter sur quoi prendre, mais pour Megumi le choix est vite fait. Elle vient se glisser près de Meryl, regarde son érection avec un sourire entendu et soulève son pull long. Non contente de révéler une culotte noire en dentelle légère et sa poitrine, elle tire sur son vêtement sur l’avant et vient y glisser la queue en le redescendant. Résultat : le membre de Meryl est maintenant confortablement installé entre le long pull et le corps de Megumi, qui s’y frotte lentement en venant lécher le haut du gland.

« Hmm… c’est génial de sentir une si grosse bite contre son corps… »

Ses mains viennent appuyer sur le pénis pour le serrer contre son corps, sa poitrine l’accueillant avec plaisir. Voyant le spectacle, Shizuka se pose une question technique en imaginant déjà la suite pour sa sœur.

« Est-ce que parmi vos incroyables dons sexuels, est-ce qu’il y a quelque chose concernant votre sperme ? Car je suis sûre qu’elle adorerait que vous balanciez la sauce sur elle. Sauf si vous préférez attendre votre fils… d’ailleurs, il est aussi bien membré que vous ? »

Shizuka continue la discussion l’air de rien, tout en se servant un verre, tandis que Megumi lèche avec avidité le gland en jubilant.

La cérébrale, et la perverse… Meryl sut rapidement comment classifier les deux sœurs. Shizuka était visiblement plus réfléchie que Megumi, qui s’empressa de bondir devant le corps de Meryl. Elle souleva son pull, et le referma sur le vit épais de Meryl, puis se pressa contre sa grosse queue, afin de la sentir frotter sur sa peau. Meryl frémit, et caressa d’une main les cheveux de Megumi, tout en laissant celle-ci se tortiller pour que son sexe soit bien logé entre ses seins. Meryl remuait un peu son corps, ce qui fit que sa verge ressortit par l’ouverture du pull, heurtant le bas du visage de Megumi, qui pouvait le suçoter, ou en lécher la pointe. Et, tout en faisant cela, Meryl répondit aux questions de Shizuka, qui s’assit face aux deux femmes.

« Uatis est un endroit très agréable. Il a des bons et des mauvais côtés, comme votre monde. Ne croyez pas que nous sommes venus nous réfugier ici, nous devons bien étendre notre compagnie. Et, parmi les autres Mondes-Cœurs, la Terre reste le plus proche de Tekworld, même si nous sommes sur des Rayons différents. »

Des termes qui ne devaient pas trop parler aux sœurs Seishi. La Fut-Corp était fort heureusement bien renseignée sur le Multivers. Tandis qu’elle parlait, Meryl but encore un peu de sa bière, puis répondit ensuite aux autres questions de Shizuka :

« J’étais une femme ordinaire, comme toi et ta sœur nymphomane. La Fut-Corp m’a inoculé un mutagène, le F-Gen, qui a fait de moi une F-Girl. J’ai inoculé ce mutagène à mes propres enfants. Ce mutagène a pour effet de modifier notre genre sexuel. Il a fait de moi une Futanari, et il a fait de mon fils un F-Boy… Soit un garçon très efféminé , comme vous avez pu le voir. Donc, non, sa verge n’est pas aussi épaisse que la mienne, et il préfère plutôt se faire sodomiser qu’autre chose… Mais son endurance sexuelle, en revanche, est à la hauteur de la mienne. Et, enfin, mon sperme n’a rien de particulier, si ce n’est qu’il peut vous féconder, comme n’importe quel fluide sexuel. Mais, rassurez-vous, je ne cherche pas à étendre ma famille, j’utilise une solution chimique qui rend mes spermatozoïdes inféconds. »

Meryl parlait très tranquillement, tandis que Megumi continuait à prendre son pied en masturbant sa verge.

« Enfin, pour être honnête, je peux balancer de solides chapelets de foutre, et mon endurance surnaturelle fait que ma verge retrouve vite sa solidité. Cependant, n’espérez pas me faire jouir très vite, ma queue est bien entraînée. Pour ça, il faudra voir avec Peach, il jouit vite… Et il ne devrait plus tarder à venir, je lui ai dit que nous n’avions personne à transporter, cette fois, puisque vous avez volontairement accepté d’être mes petites salopes pour cette nuit. »

Ayant fini sa bouteille, Meryl manifesta tout son manque de subtilité en rotant légèrement, puis attrapa une autre bouteille, qu’elle décapsula rapidement.

« Maintenant, à votre tour… Vous devez être spéciales, pour accepter de suivre une femme à poil dans une foire. Et je le sens en vous… Vous êtes spéciales. Dites-moi un peu qui je vais avoir l’honneur de baiser cette nuit… »

Shizuka a bien du mal à suivre la conversation. En cause ? Le spectacle de Megumi qui frotte son corps sur le pénis surdimensionné tout en le léchant avec avidité, et le sujet qu’elle ne maîtrise pas très bien. Tekworld ? Des Rayons ? Certaines subtilités semblent lui échapper… mais ce qu’elle retient, c’est que Meryl est ici pour le plaisir et non par nécessité. Son monde est donc visiblement pas si fermé que ça au sexe…

« Faisons en sorte que votre séjour sur Terre soit mémorable alors ! »

En tout cas, Megumi fait clairement de son mieux pour que ça soit le cas. Elle ne croit pas l’avoir vue aussi excitée depuis un petit moment ! Et le sujet de la discussion s’y prête également. Elle est donc passée de femme normale à ça avec un mutagène ? Shizuka serait bien incapable de dire comment ça fonctionne, mais le résultat est impressionnant. Et visiblement elles ont déjà vu son fils… peut-être la personne à l’accueil ? Cela expliquerait son look.

« C’est la configuration idéale… enfin je veux dire que nous allons vraiment prendre notre pied ensemble j’en suis sûre… »

Voyant sa sœur s’acharner sur la verge, Shizuka sent le désir monter petit à petit. Déjà qu’elle a du mal à ne pas s’imaginer se faire empaler par l’énorme queue, la voir la lécher et la branler ainsi lui donne elle aussi envie de venir la lécher comme une petite chienne affamée.

« Nous ? Et bien… pour être honnête, nous n’en sommes pas sûres. Nous nous intéressons aux autres mondes parce que nous ne pensons pas être humaines, mais de là à dire ce que nous sommes exactement… »

La seule chose dont elle est sûre, c’est que cette nuit elle va être le ‘sac à foutre’ de Meryl, pour reprendre ses mots. Et d’ailleurs elle commence à en avoir marre de voir Megumi s’amuser toute seule ! Elle se lève donc et enlève son haut avec facilité, révélant à son tour sa poitrine massive, et la voyant faire Megumi a un sourire entendu et finit par enlever son pull.

« Je savais pas combien de temps t’allais tenir… ! »

Shizuka vient se placer face à sa sœur, et vient écraser sa poitrine contre la sienne. Objectif : entourer le pénis de Meryl de leurs seins et la branler avec tout en léchant tout ce qui leur passe devant la bouche !

« M’dame Meryl… je dois vous remercier, j’ai toujours rêvé de partager une bite de cette manière avec une de mes sœurs… ! »

Beaucoup trop d’informations pour simplement s’envoyer en l’air ! Shizuka avait du mal à se concentrer, car le bruit de la verge de Meryl glissant sur la poitrine de sa sœur était irrésistible. Finalement, elle retira son haut, exhibant fièrement ses jolis seins. Meryl sourit encore, et a laissa se rapprocher. Shizuka retira alors le haut de Megumi, et s’agenouilla à son tour devant la F-Girl. Celle-ci finit son verre en se redressant un peu, et observa les deux jeunes filles, assises autour de sa queue. Ses jambes s’étaient écartées pour faciliter leur position. Meryl reposa la bouteille à côté, puis caressa avec ses mains les têtes des deux femmes, ses doigts glissant sur leurs longs cheveux. Elles étaient adorables, toutes les deux ! Un sourire sur les lèvres, Meryl répondit rapidement à Megumi :

« Inutile de me remercier, ma belle, ce n’est qu’un prélude… Et puis, sentir vos seins et vos petites lèvres de salope astiquer ma queue, cela vaut tout l’or du monde ! »

Elle souriait encore, excitée par ce savoureux spectacle. À proximité, des bruits de talons se firent entendre. Elle sourit en voyant Peach descendre. Il avait pris le temps de s’habiller, optant pour son collier de soumis, de longs gants et des bottes noires à talon, de fausses oreilles de chat sur la tête, et une queue caudale nichée dans ses fesses qui remuait… Et rien d’autre. Il sourit en voyant le spectacle.

« Re-Bonsoir, les filles ! J’ai tout de suite vu que vous plairiez à ma Maman, j’ai l’œil pour ça !
- Tu as trouvé deux sacrées perverses, mon chéri… D’habitude, quand tu descends, nos invitées sont attachées, mais elles, elles ont spontanément mouillé leurs petites culottes en voyant ma grosse queue. »

Un rire innocent s’échappa des lèvres de Peach. Il semblait tellement innocent à l’entendre, avec sa silhouette androgyne, son corps menu, ou sa voix fluette. Pourtant, il était assurément pervers, et s’empressa de mettre en marche la caméra montée sur trépied. Meryl, de son côté, avait empoigné les deux têtes des sœurs, et les amena contre la pointe de son sexe.

« Là, là, sucez bien, motivez-moi… Puis choisissez laquelle je vais baiser en premier… » soupira-t-elle.

Trêve de bavardage, place à l’action ! Shizuka aura fait de son mieux, mais elle finit par céder… le spectacle de sa sœur jouant avec une bite aussi massive l’aura particulièrement chauffée, et elle finit à son tour par céder à ses pulsions et sa nature profonde mais inconnue. Alors qu’elle commence à se mettre à lécher la queue à son tour, Megumi a la délicate attention de remercier Meryl pour ce premier petit plaisir…

« Profitez alors, parce qu’on va pas en perdre une goutte nous ! »

Elle lui fait un petit clin d’œil, s’assurant qu’elle comprenne que le mot goutte est tout sauf innocent et qu’elle a bien l’intention de savourer tout ce qui sortira des testicules de la femme. D’ailleurs, maintenant que Shizuka est installée, chacune d’elles vient caresser les deux joyaux de la dame tout en continuant de presser son impressionnant membre entre leurs seins. Puis leurs regards se tournent vers le nouvel arrivant, et elles reconnaissent la personne gérant le guichet.

« Oh, toi ! »

« Jolie tenue ! »

Elles lui sourient, mais se retrouvent rapidement rappelées à l’ordre par Meryl : maintenant que la caméra est allumée, elles ont intérêt à faire le show ! Leurs têtes pressées sur leur sucette géante du jour, les deux ouvrent grand la bouche et déposent des baisers sur la verge entre deux coups de langues. Un flot continue de salive coule de leurs bouches, rendant le pénis de plus en plus luisant au fil des secondes. Mais il va aussi falloir faire le premier choix de la soirée… enfin le second, mais le premier avait été évident.

« J’ai prem’s en vous voyant, alors je veux bien me faire démonter en première ! »

Toujours aussi directe, Megumi n’hésite pas un seul instant à se relever juste assez longtemps pour faire glisser sa culotte pleine de mouille à ses pieds, puis venir la poser sur la tête du pénis pour le frotter contre.

« Vous avez vu comment c’est trempé… ? Imaginez à l’intérieur maintenant… »

Shizuka ne peut pas s’empêcher de glousser, mais elle se demande aussi ce qu’elle va faire pendant que sa sœur s’amuse avec Meryl… alors son regard se porte sur Peach… elle ne sait pas encore ce qu’elle pourrait faire avec lui, mais elle est sûre qu’elle va trouver !

Il y avait un problème arithmétique notable : deux femmes pour une verge. Forcément, il y en aurait une qui serait contente, et pas l’autre. Il y avait des solutions liées à la magie rose pour cela. Toutes les F-Girls recevaient avec le F-Gen une sensibilité accrue à la magie rose. Elle pouvait faire enfler et grossir sa verge au point de la dédoubler, mais elle préférait laisser cette surprise pour plus tard. Les préliminaires se terminaient, et elle sentait bien que les deux femmes étaient très excitées. La vue de Peach dans sa petite tenue, avec sa verge dressée, n’avait fait que les exalter davantage. Megumi lui en fit la démonstration, et Meryl constata que Shizuka était de toute évidence prête à laisser sa sœur passer la première. Meryl sourit doucement en voyant que la culotte de Megumi était humidifiée, et confirma qu’elle l’avait senti :

« Je vous le confirme à nouveau, mes chéries, je n’ai jamais eu de clientes aussi excitées que vous. Si toutes les Terriennes pouvaient être comme vous, les choses seraient tellement plus simples… »

Peach, de son côté, croisa le regard de Shizuka, et la salua de la main. Le contraste entre la mère et le fils était assez saisissant, tant Peach semblait beaucoup plus doux et innocent que sa mère… Alors même que, à bien y réfléchir, c’était lui qui choisissait les amantes de sa mère ! Comme Meryl l’avait dit, le F-Gen féminisait les hommes, non seulement physiquement, mais aussi mentalement. Meryl se releva alors, sa solide verge s’élançant encore.

« Passons au plat de résistance, alors ! Mets-toi à quatre pattes sur le lit, offre à Shizuka un beau spectacle. Je pense toutefois que vous serez plus longues à épuiser que mes partenaires usuelles. D’habitude, on en attache une pour l’exciter pendant que je prends l’autre, et Peach se charge d’exciter la spectatrice… Mais, ce soir, on va sans doute varier les choses, il serait cruel de frustrer trop longtemps ta sœur, Megumi.
- Je confirme, Mère ! Pour une fois que je n’ai pas à en attacher une… »

Le jeune homme se rapprocha de Shizuka, et lui sourit doucement, puis l’embrassa. Elle put ainsi constater que, malgré son gabarit, son baiser était très réussi.

« Je n’ai pas la musculature de ma mère, Shizuka, mais j’ai moi aussi reçu le F-Gen. Je suis un excellent amant, de quoi t’échauffer pendant que ta sœur va hurler comme jamais… Ou peut-être que tu souhaites me dominer ? Mère a dû te le dire, non ? Les F-Boys comme moi adorent qu’on les domine… On peut même te doter d’un véritable phallus, tu sais… »

De la main, il désigna un grand placard. À l’intérieur, il y avait plein de joyeusetés, que Peach dévoila à la femme en l’ouvrant ; entre cravaches, fouets, et substances sexuelles originaires de la Fut-Factory, il y avait de quoi faire pour répondre aux différents fantasmes de Shizuka…

« Quelle charmeuse vous faites Meryl ! »

Shizuka sourit à la femme en entendant ses mots. Si toutes les terriennes étaient comme elles… bon, il y aurait peut-être des orgies en pleine rue par moment. Ça serait sans doute très amusant, mais peut être lassant aussi. Là au moins elles s’amusent bien et ne s’attendent pas toujours à tomber sur de si grosses surprises !

« On en connait qui seraient très contentes de s’offrir à vous et vos copines ! Faudra qu’on garde contact si ça vous dit de remettre ça à l’occasion. »

Mais avant de parler de plans futurs, il faut déjà s’occuper de celui du jour. Et il est particulièrement simple : Megumi, le lit et le penis de Meryl. Une combinaison simple que la Seishi attend avec impatience, rejoignant le lit et se plaçant à quatre pattes en dandinant des fesses. A la surprise d’absolument personne dans la pièce, la semi-démone a les cuisses déjà bien humidifiées.

« La vue vous plait m’dame Meryl ? Vous êtes prête à me baiser comme une chienne devant ma sœur ? »

Megumi joue la carte de la provocation, s’amusant clairement de la situation alors que Shizuka se demande ce que la F-Girl a prévu. Peach la distrait un instant avec un baiser très passionner, ce qui lui donne la bonne idée de venir saisir son pénis… bon, il est bien entendu moins imposant que celui de sa mère, mais elle est sûre que ça serait plus qu’agréable d’être ‘préparée’ par le jeune homme… à moins que…

« Un véritable phallus ? »

Elle vient regarder le contenu du placard pendant que Meryl et Megumi se préparent à faire plus ample connaissance. Une idée fleurit dans la tête de Shizuka, qui demande à voix basse pour ne pas être entendue par Megumi :

« Comment ça fonctionne tout ça… ? J’ai bien envie de me faire prendre moi aussi… mais… »

Sur le ton de la confidence, elle vient glisser à l’oreille de Peach :

« Ça pourrait être sympa de se mettre à trois sur Megumi après, t’en penses quoi ? »

Face à la surprise de Shizuka, Peach pouffa brièvement, et, en guise de première réponse, glissa sa main contre le sexe de Shizuka. Il titilla alors son clitoris.

« Tu le sais sans doute comme moi, mais un clitoris est un organe pénien. Sous l’effet du désir, ton bouton de plaisir se contracte et se durcit comme un phallus d’homme. La technologie de la Terre ne le permet pas encore, mais, à Uatis, nous sommes technologiquement plus avancés que vous. Nous disposons de technologies qui permettent, en modifiant les chromosomes d’une personne, de faire muter ton clitoris pour le transformer en une verge complète. »

Ce n’était pas en soi qu’une question technologique, il y avait aussi le fait que ces technologies utilisaient des mutagènes magiques. Mais il n’était pas vraiment utile de rentrer dans les détails.

« Ces gélules te transforment temporairement en Futanari. Bien sûr, tu peux choisir de changer, même si je t’avoue qu’il est difficile de rétracter ta verge en cas d’érection. C’est absolument sans danger. Tu sais, il y a beaucoup de Futas à Yoake, ces produits sont répandus chez vous. »

Peach se retourna ensuite vers le spectacle intense offert par sa mère et Megumi.

Celle-ci était à quatre pattes sur le lit, devant le duo. Peach avait mis en place les caméras, et il attrapa la main de Shizuka quand sa mère s’enfonça dans la chatte trempée de Megumi. Debout sur le lit, Meryl semblait si puissante, si forte, comme un grizzly prêt à fondre sur une belle biche. La queue de Meryl heurta avec force les parois intimes de Megumi, et Meryl sourit doucement, avant de donner une grosse claque sur le cul de Megumi.

« Pour toi, ce sera ‘‘ Maîtresse’’ ! Ce soir, avec moi, tu es ma petite salope, Megumi, la chienne que je vais fourrer et remplir comme on remplit un gâteau de sucre ! J’ignore ce que tu es hors de ces murs, une pauvrette, une richarde, une femme de pouvoir… Tout ça n’a aucune importance, car, dès que tu es sur ce lit avec moi, tu es ramenée à ta place naturelle : celle d’être ma salope d’esclave ! »

Meryl ponctua ce discours introductif d’une seconde grosse claque sur les fesses de Megumi. Le son de la claque résonna dans toute la pièce. Souriant doucement, Peach regardait comment Shizuka réagissait à ce spectacle, aux cris de sa sœur, et aux solides coups de reins de Meryl, qui posait ses deux mains sur les hanches de Megumi, et s’enfonçait dans sa chatte avec force.

« Est-ce que tu as compris, ma jolie ? Dis que tu es ma petite salope, la petite chienne nymphomane de ta Maîtresse ! » s’exclama Meryl, prédatrice, dominatrice, magnifique !

Shizuka rougit légèrement en sentant les doigts de Peach venir jouer avec son clitoris. Elle écoute les explications non sans profiter de la stimulation, se demandant toujours quoi choisir…

« Hmm… je vois, c’est intéressant… je comprends que ça plaise tant, rien que l’idée est terriblement excitante… »

Bien sûr, il leur arrivait de parfois se réveiller avec un pénis. C’était rare, mais quand ça arrivait la journée était à la débauche… mais là, Peach lui parle clairement d’un moyen de le faire à volonté ! C’est plus que tentant…

« Je crois que j’ai très envie d’essayer… tout comme j’ai très envie de me faire prendre. Mais si les deux ne sont pas incompatibles… »

Elle suit le regard de Peach vers sa sœur et Meryl. Visiblement, le spectacle va commencer… et l’entrée en matière est on ne peut moins subtile, Megumi se faisant pénétrer par Meryl sans plus de cérémonie. Shizuka sent la main de Peach venir saisir la sienne tandis que sa sœur hurle son plaisir et sa surprise.

« Aaah ! Oh putain de merde ! O-oui Maîtresse… ! »

Bien sûr, ce n’était pas rare de voir Megumi se laisser aller… mais à ce point- là ? Shizuka l’a très rarement vue aussi enjouée et surexcitée. De son côté, le spectacle la rend toute chose et elle mouille en abondance en imaginant être à quatre pattes et encaisser Meryl…

« Oui Mai-maitresse, je suis ta salope ! Baise-moi et rempli moi de foutre ! »

Shizuka se mordille la lèvre en voyant sa sœur se faire traiter comme une chienne, ses fesses rougir, ses gros seins valser dans tous les sens et sa bouche ouverte… sa décision est prise ! Elle vient murmurer à Peach :

« Je vais prendre une gélule… je veux fourrer Megumi aussi, avec toi et ta mère… mais en attendant que ça fasse effet, je veux ta bite en moi… »

Il fallait bien admettre que c’était un magnifique spectacle ! Peach ne se lassait jamais de voir sa mère besogner les amantes ou les amants qu’il trouvait pour elle. À chaque fois, le résultat était le même, une franche réussite ! Il pouvait sentir la main de Shizuka se crisper sur la sienne, ainsi que tous les signes physiques annonçant une excitation palpable. Les rougeurs sur ses joues, la sueur qui coulait plus vite, ses pupilles qui s’écarquillaient, son souffle rauque… Au fur et à mesure des puissants coups de reins de Meryl, des hurlements enjoués de Megumi, Shizuka commençait à laisser parler ses fantasmes. Peach se mordilla les lèvres quand Shizuka annonça son intention de prendre la gélule, et de baiser à son tour sa sœur. La queue de Peach se durcit même à cette idée délicieusement incestueuse…

Meryl giflait les fesses de Megumi, souriant malicieusement, tandis que sa queue continuait à coulisser en elle. Megumi se laissait aller, ses gros seins filant d’avant en arrière sous l’influence des pénétrations solides et puissantes de Meryl. Celle-ci ne lui épargnait rien, grognant et soupirant également.

« Dieu, ce que tu es serrée, hmmm… Pour une p-pute pareille, je m’attendais à te baiser bien plus facilement ! »

La main de Meryl se leva encore, et frappa la fesse droite de Megumi. Elle leva ensuite son autre main, et frappa la fesse gauche, faisant remuer le joli cul de sa partenaire. Le lit craquait tandis que Meryl continuait son office, bourrant le corps de sa partenaire. Sa verge filait d’avant en arrière, de plus en plus vite et de plus en plus profondément, glissant sur les parois humidifiées de sa partenaire, facilitant nettement les coups de reins.

Meryl se penchait également en avant, et attrapait les cheveux de Megumi. Celle-ci n’avait pas des cheveux aussi longs que sa sœur, mais elle parvenait quand même à tirer dessus en saisissant son crâne, la relevant alors pendant quelques instants. Elle relâchait ensuite Megumi, qui s’affalait sur le lit, et sentait les puissants coups de reins de sa Maîtresse.

« Putain, ce que c’est bon… B-Baiser des chiennes comme toi, je ne m’en lasserai jamais ! »

Peach se retourna alors vers Shizuka, qui avait demandé à ce qu’il la pénètre. Pour lui qui était plus habitué à se faire sodomiser, l’idée durcit également son sexe, qui frotta contre la cuisse de Shizuka.

« Ma verge n’est pas aussi épaisse que celle de ma mère, mais je te garantis de te faire jouir, Shizuka-chan… »

Il lui sourit, et l’embrassa encore. Si le lit était pris, il y avait un solide tapis rembourré sur le devant. Peach invita Shizuka à s’y coucher.

« Je te laisse décider si tu veux que je te prenne en levrette, pour que tu voies ta sœur, ou si tu préfères une position en missionnaire… Je dois t’avouer que j’ai une préférence personnelle pour le missionnaire, je trouve ça bien plus romantique… Mais la cliente est reine, après tout ! »

Megumi doit bien admettre que la situation a très rapidement dérapée, et cela même pour elle. Non pas que la Seishi ne soit pas une habituée des plans culs rapides et improvisés, ou des sorties qui dérapent. Non, ce qui la met dans tous ses états c’est l’intensité de l’acte, cette verge profondément enfouit en elle qui repousse ses parois vaginales avec autorité.

Ce spectacle, Shizuka l’admire au côté de Peach. Si elle avait déjà pris la gélule, elle aurait surement elle aussi une érection… mais à défaut, de multiples signes traduisent déjà son excitation – le plus évident étant ses paroles crues.

« Ma chatte va… s’adapter à votre grosse queue maîtresse… ça va devenir plus facile… ! »

Au-delà des propos de Megumi, sa nature démoniaque la rend capable de s’adapter à de sacrés calibres : même si la queue de Meryl continuera d’être serrée en elle, elle aura sans doute bien plus de facilité à la pénétrer au fil des minutes et des coups de rein. Et en attendant, la chatte de Megumi se compressait à chaque fessée reçue. Durant un instant la Seishi pense même se laisser aller et se laisser tomber en avant, mais elle est prise de court par son amante qui la maintient par les cheveux avant de finalement la relâcher. Elle a rarement l’occasion de se faire traiter ainsi, mais elle doit bien avouer qu’elle prend son pied comme jamais !

« Vous êtes trop b-bonne maîtresse ! »

Si elle l’entendait dire ça, Shizuka sourirait certainement. Néanmoins, elle doit elle aussi s’occuper de quelqu’un et son attention s'est reportée dessus…

« Je n’en doute pas Peach… »

Elle se laisse embrasser par le charmant jeune homme, puis conseiller. Voir Shizuka, ou profiter d’une position plus romantique ? Le choix pourrait être difficile si Peach n’avait pas indiqué sa préférence, dans laquelle se retrouve en partie Shizuka : elle finit régulièrement à quatre pattes, et il y a généralement peu de place pour des postures romantiques dans ses ébats. Non pas qu’elle se montre particulièrement romantique en s’allongeant sur le dos et écartant ses jambes en se touchant.

« Viens… prends moi Peach, fais-moi oublier tout ce qui nous entoure… ! »

Voir son fils pénétrer Shizuka amoureusement fit frémir Meryl. Megumi put sans doute le sentir, la poigne de Meryl sur ses cheveux se relâcha brièvement avant de se crisper, et elle donna un brusque coup de reins encore plus fort que les précédents, comme pour sortir de la transe dans laquelle ce spectacle magnifique était en train de la plonger. Meryl frémit donc, et se reporta sur Megumi, qui poussait de longs soupirs, d’irrésistibles couinements, tout en lui disant qu’elle était « trop bonne ».

Meryl sourit, et répondit par une grosse claque bien sonore sur le cul de Megumi, qui résonna dans la pièce.

« Petite pute, tu sais comment bien parler à ta Maîtresse, hein ? Mais je dois bien admettre que ma queue s’est rarement plongée dans une aussi bonne chatte que la tienne… Et la manière dont tu miaules, c’est si excitant ! »

Elle gloussa brièvement, et posa ses mains sur les hanches de Megumi, soulevant légèrement le corps de son amante, utilisant aussi ses mains pour la retenir, et commença alors à opter pour une franche série de bourrades. Sa lourde pénétration s’accompagnait d’une série de bruits spongieux, de frottements et de claquements. Elle soupirait en maintenant le contact, s’enfonçant lourdement en elle, ses bourses venant claquer sur les hanches de la femme quand sa verge s’enfonçait jusqu’à la garde.

*BLAM ! BLAM ! BLAM !* commentait le lit en supportant les assauts frénétiques et fougueux de Meryl. Elle bandait férocement, et le lit en était le premier témoin. Meryl serrait nerveusement les dents, recrachant parfois un peu de sa salive, soupirant profondément, ce qui se traduisait par des râles lourds. Son corps musclé filait d’avant en arrière, amenant presque à chaque fois Megumi sur le point de s’étaler sur le lit. Le rythme était soutenu, Meryl continuant à la prendre avec force.

« Gnnn… Sa-Salope bien serrée, hmmm… »

Devant elle, Megumi pouvait voir Shizuka se coucher lentement sur le tapis rembourré, moelleux. Un oreiller et un polochon s’y trouvaient aussi, pour soutenir la tête de Shizuka. Il y avait même une petite peluche, représentant une Meryl chibi. Sur l’oreiller, une inscription éloquente confirmant que le matelas appartenait à Peach : « I ♥ MOMMY ! »

Souriant contre elle, Peach s’allongea à son tour, et l’embrassa, tandis que sa verge tendue glissait contre les cuisses de Shizuka. Son baiser était bien plus langoureux que celui de sa mère, plus sauvage et intense. Peach glissa sa main pendant ce temps contre le sexe de Shizuka, et titilla sans aucune difficulté son clitoris.

« Mère m’a appris à respecter le corps des femmes… Des Terriens comme toi pourraient me qualifier d’homme déconstruit, hihi… Mon orgasme m’est secondaire tant que tu jouis, Shizuka-chan ♥ ! »

Peach l’embrassa ensuite dans le creux du cou. Il lécha sa peau, et replia ses lèvres sur son creux du cou, jusqu’à pouvoir la mordiller un peu. Il voulait l’approcher de l’orgasme avec ses doigts, et s’arrêta finalement au dernier moment, pour orienter sa queue en elle… Et la pénétra ensuite d’un coup sec.

Son objectif ? La faire jouir instantanément, pour qu’elle oublie que cette verge n’avait pas le calibre de celle de sa mère, mais qu’elle était utilisée par un amant qui verrait comme un échec et un affront le fait de ne pas faire jouir une telle beauté !

Du coin de l’œil, Megumi peut voir sa sœur s’installer confortablement à son tour. Ça y est, on dirait qu’elle va commencer à s’amuser aussi ! Shizuka est surprise du confort du tapis, mais en même temps tout dans cette pièce doit être prévu pour s’envoyer en l’air… alors est-ce vraiment si surprenant ? A bien y réfléchir peut-être pas, mais aucune des deux sœurs n’est vraiment en état de bien réfléchir : même l’ainée n’attend plus qu’une chose, et elle n’hésite pas à se faire clairement comprendre.

Alors que Peach commence à l’embrasser et la caresser, Shizuka frémit. Le baiser est particulièrement torride, leurs langues s’entremêlant avec une certaine bestialité et la salive commençant rapidement à couler le long de ses lèvres. Elle sourit en écoutant Peach lui expliquer qu’il souhaite avant tout son plaisir, et son expression en dit très certainement bien plus long sur sa réussite dans ce domaine que n’importe quel mot. Elle n’était clairement pas habituée à être traitée ainsi, ayant presque l’impression d’être le centre du monde de son partenaire, l’amenant déjà presque aux portes de l’orgasme… avant de stopper durant un bref instant et la pénétrer sans crier gare. Durant quelques secondes, Shizuka se tend – elle sent la queue de Peach envahir son intimité, remodeler sa chatte, la combler… elle se mord la lèvre, se détend et à la seconde où son bassin se replace…

« … P-Peaaach… ! »

L’orgasme qu’elle pensait ne pas avoir tout de suite la subjugue comme une vague déferlante en elle. Elle se retend, jouissant et serrant le pénis qu’elle a en elle sous les yeux de sa sœur qui se fait de plus en plus malmener par Meryl. Les fesses de Megumi sont rouges, l’afflux sanguin que les fessées provoquent ne faisant que décupler son plaisir. Elle a l’impression d’être un jouet dans les mains d’une maîtresse qui ne veut que se vider les couilles, soit l’opposé de la situation de sa sœur, et ça lui va très bien !

« M-maitresse Meryl moi aussi je vaiiis… ! »

Elle va quoi ? Cela menace déjà depuis un petit temps, mais voir sa sœur dans cet état et sentir Meryl la démonter aussi brutalement la plonge à son tour en plein orgasme. Les draps sont les premiers à le subir, puis l’envahissant pénis de sa partenaire qui se fait presser par la chatte gourmande de la Seishi. Et pour cause, Megumi n’a qu’une envie : ressentir une déferlante de foutre chaud en elle, et bien qu’elle tombe en avant elle s’assure de laisser ses fesses bien en l’air pour que Meryl ne s’arrête pas…