The Multiversity

[Rhian Thoris]

« C’est l’heure, Princesse » dit-elle avant de l’embrasser, et de la rejoindre dans le lit.

C’est de cette façon que Kleeah réveillait la Princesse de Papua depuis bien des années. La redoutable femme à la peau noire était beaucoup de choses à la fois, mais elle était avant tout une sorcière. Et la sorcière était la perceptrice magique de Rhian Thoris, apprenant à la Princesse héritière à résister aux sortilèges magiques. Femme pleine de passion, Kleeah avait emménagé au Palais il y a de cela quelques années. On la disait très proche de la mère de Rhian, la Reine Khaora. Les rumeurs disaient que Kleeah l’avait jadis sauvé d’une malédiction. La sorcière avait un statut très particulier, et ses appartements personnels étaient très spéciaux. Ils étaient dans une aile un peu isolée du Palais, et, comme preuve de son statut particulier, Kleeah avait un accès illimité au harem, où elle officiait généralement comme guérisseuse, aidant les courtisanes à accoucher. Elle disposait dans ses quartiers d’un petit autel dédié à la Déesse Sha, et, comme toute sorcière digne de ce nom, manipulait aussi bien la magie blanche que la magie noire.

Kleeah n’était toutefois pas venue seule, mais, pendant longtemps, sa fille n’avait pas osé trop se rapprocher des autres. Elle était le fruit d’une union intense entre Kleeah et une démone, Lazrah, qui semblait aussi être une aïeule de Kleeah… Voire sa mère directe, une femme démonisée. Lazrah aimait beaucoup coucher avec sa propre fille, et elle avait, dans la plus pure tradition de cette famille, mis Kleeah enceinte. La fille de Kleeah avait toutefois hérité de la particularité génétique de Lazrah, et avait du mal à l’admettre… Car Kazima était une hermaphrodite née, et avait toujours eu honte de cela.

Aujourd’hui était donc un jour particulier, car Kazima fêtait sa majorité, et Kleeah était bien décidée à régler ce problème. Sa fille était depuis toujours secrètement amoureuse de la Princesse. Elles se voyaient quand elles étaient plus petites, mais, depuis quelques mois, Kazima s’éloignait d’elle, car elle avait presque toujours des érections en la voyant. Le fait est que la queue de Kazima était spéciale, car elle était un héritage direct de Lazrah. Ses érections étaient de plus en plus fortes, mais sa fille avait une volonté en acier.

« Tu es sûre qu’elle va accepter ma présence ? »

Rhian et Kleeah venaient encore de faire l’amour. L’amour avec Kleeah était toujours à la fois doux, sensuel, passionné et sauvage. Elle griffait Rhian, la mordillait, et la faisait toujours jouir. Le corps humain ne semblait avoir aucun secret pour elle. Plus qu’une sorcière, elle était une véritable chamane pour Rhian, et lui sourit doucement.

« Je connais ma fille, jeune Princesse. Mais n’oublie pas qu’il est impératif qu’elle jouisse en moi la première fois. »

Le premier orgasme de Kazima serait chargé de magie rose. C’était aussi cela qui avait amené Kazima à rester très pudique, car elle savait que la personne qui recevrait son premier orgasme serait éternellement lié à elle, et elle ne pouvait pas infliger cela à Rhian. Mais Kleeah ne lui avait pas tout dit. Car, si Kazima restait vierge après être devenue majeure, elle deviendrait une démone. Ainsi allait le sang de Lazrah, le sang de sa famille, sautant chaque fois une génération, de manière à ce que la mère guide la fille.

« Je ne veux pas qu’elle rejoigne si rapidement le monde des démons… Quand je lui dirai cela, elle acceptera. »

Rhian acquiesça. Kleeah l’embrassa encore, puis se redressa. Enfilant un simple voile violet, elle invita Rhian à la rejoindre chez elle d’ici un quart d’heure, puis se retira. Elle rejoignit ensuite ses quartiers. Ils étaient accessibles notamment depuis un petit jardin intérieur, donnant l’impression de rentrer dans une petite maison accolée aux remparts du château. C’est dans ce petit jardin que sa fille jouait beaucoup avec Rhian, jadis.

Kleeah entra donc.

*Je ne sais pas si ma fille a vu cette partie du sang de ma famille…*

Kleeah n’avait jamais rien caché à sa fille, et lui avait donné un accès intégral à sa bibliothèque, comprenant les mémoires de leurs ancêtres. C’est dans ces chroniques que Kleeah avait appris que le gène hermaphrodite magique sautait toujours une génération, et qu’il était d’origine démoniaque, visiblement liée à une ancienne promesse que son aïeule avait faite, et qui se transmettait à travers le sang. Depuis lors, chaque mère scellait la malédiction en développant avec sa fille une relation incestueuse.

« Kazima, ma chérie ? Où es-tu ?! »

[Chloé Faure]

Hmmm...A-Aaaaaaah...

Kazima soupirait délicatement en prenant garde à ne pas faire trop de bruit. Elle se trouvait dans la petite aile des appartements de sa mère, dans lesquels elle logeait avec elle, qui était dédié à ses études. D'anciens grimoires, des traités de magie, d'alchimie, de sciences se trouvaient à foison dans cette bibliothèque personnelle dotée aussi d'un grand bureau et d'un laboratoire, soit tout le nécessaire pour qu'une mage de la cour de Papua puisse exercer son art. Kazima s'y trouvait depuis déjà quelques heures, et avait commencée à étudier, à parcourir le contenu de certains des livres de sa mère, notamement ceux dédiés à la magie "rouge", qui avait attrait à tout ce qui concernait l'érotisme, la manipulation et le contrôle des pulsions sexuelles, entre autres. Car c'était bien cet aspect précisément que la jeune Kazima cherchait à approfondir, ne serais-ce que dans l'espoir de pouvoir parvenir à une vie sociale plus...normale.

Hnnnn...Oh Rhian...Aaaaaah...

La jeune femme se trouvait nue dans l'étude de sa mère, ayant fait tomber les vêtements qu'elle portait. Elle était assise dans l'agréable fauteuil rembourré dans lequel elle lisait sans relâche en prenant des notes, et, les cuisses grandement écartées pour se mettre à l'aise, Kazima faisait aller et venir les délicats doigts d'une de ses mains le long de sa grosse queue dure et dressée. Car Kazima avait tout d'une femme...à ceci près qu'elle n'était pas née avec un vagin, mais avec tout l'attirail d'un homme bien monté, et cela avait été pour elle une honte depuis qu'elle était toute petite. Aucune des paroles rassurantes de sa mère n'avait pu vraiment y faire quoi que ce soit, et dans une société encore fortement patriarcale comme Papua, seule son status de fille de la magicienne de cour lui permettait de ne pas être une paria rejetée par tout le monde. Kazima était pourtant bien intégrée à la cour de Papua, et ambitionnait même de succéder un jour à sa mère, ou de l'assister dans ses tâches, ce qu'elle faisait déjà depuis quelques années maintenant...mais ce "truc" entre ses jambes était une malédiction pour elle.
Les choses avaient eu tendance à s'aggraver avec l'arrivée pour elle de la puberté. En étant plus jeune, et avec les enseignements que Kleeah lui avait prodiguée pour se contrôler, Kazima était parvenue à quelques fois près à faire en sorte que ce sexe ne lui pose pas trop de problèmes, hormis le fait qu'elle ne pouvait...pas vraiment s'habiller à la façon traditionnelle des Papuanes. Mais depuis que son corps avait changé, en devenant celui généreux d'une belle et magnifique femme, à l'image de Kleeah, son sexe et ses pulsions devenaient plus difficiles à contrôler. C'était surtoutle cas en présence de la princesse, Rhian Thoris, avec qui elle était amie depuis des années, et qu'elle évitait de croiser désormais. A chaque fois que Kazima se trouvait en sa présence, l'hermaphrodite ne pouvait s'empêcher d'avoir de furieuses érections en la voyant, et qu'elle ne pouvait cacher pour la simple et bonne raison qu'elle était généreusement montée, au point de pouvoir faire pâlir d'envie certains des gardes du palais. Cela n'était pas aidé par le fait que Kazima était amoureuse de la belle Rhian, et pas seulement de son corps qui la rendait aussi belle qu'une déesse à ses yeux, mais aussi sa forte personnalité rebelle.
Pour autant, Kazima était vierge, et comptait le rester depuis qu'elle avait appris de par sa mère que, du fait de son héritage (qui lui était encore grandement mystérieux), son premier orgasme dans le corps d'une autre personne serait tellement chargé en énergie magique qu'elle serait liée à elle. Kazima ne voulait infliger ça ni à Rhian, ni à qui que ce soit...mais cela devenait de plus en plus dur pour elle

Hmmmm...M-Mamaaaaan...

La jeune hermaphrodite se tortillait sur ce fauteuil, se masturbant d'une main, tout en caressant ses seins de l'autre. Ces heures d'études dans des livres dédiés à la magie érotique avaient fini par nécessiter une "pause", même si elle peinait de plus en plus à jouir par elle même. C'était une conséquence de son héritage, son corps réclamant de se relâcher dans un corps chaud et aimant, et non pas à l'aide d'une de ses propres mains...mais que pouvait-elle faire d'autre ? Dans un tel état d'excitation, l'esprit embrumé de Kazima se laissait aller à des images d'une perversion très grande. Elle s'imaginait dans le même lit que Rhian, mais également avec sa mère, tantôt qu'elle embrassait sensuellement, tantôt qu'elle s'imaginait sodomiser avec ardeur. Kazima était donc bien trop "occupée" pour entendre sa mère l'appeler, ou pour se rendre compte que cette dernière était sur le point de la surprendre ainsi.

[Rhian Thoris]

Kleeah était, à l’image de Sha, une adepte de l’exhibitionnisme. Elle s’habillait très peu, ce qui passait plutôt bien à Papua, et c’était comme ça qu’elle avait éduqué sa fille. Dans ses appartements, elle était souvent nue, ce qui avait commencé à gêner Kazima, surtout quand elle avait commencé à grandir, et que sa verge avait aussi commencé à se développer. Kleeah avait toutefois hâte de s’offrir à elle, d’accueillir sa semence chaude dans son corps. Cette idée l’émoustillait de plus en plus, et si elle était venue cette nuit coucher avec Rhian, c’était d’ailleurs à cause de ça. Elle s’était réveillée en pensant à sa fille, à sa belle verge, et elle était venue la voir dormir. Elle avait constaté que Kazima avait une belle érection, et s’était ensuite rendue dans la chambre de Rhian, soulageant sa frustration sur elle. Elle n’avait même pas prononcé un seul mot avant de coucher avec Rhian, reprenant ensuite ses esprits.

Sa fille ne vint pas la voir, mais Kleeah ressentait sa présence. Elle quitta donc le salon, et monta l’escalier menant à sa bibliothèque. La sorcellerie était une tradition orale, mais, pour autant, Kleeah avait beaucoup de grimoires et de livres. Et sa fille pouvait passer des heures à les lire. Kleeah avait l’intime conviction que Kazima serait une très grande sorcière, mais elle devait, pour l’heure, s’occuper de son bien-être.

En se rapprochant, Kleeah ne tarda pas à sentir des émanations de désir. Elle sourit en comprenant pourquoi sa fille ne lui répondait pas. Kleeah rejoignit l’entrée de la bibliothèque, et vit sa fille, de dos. Elle était assise sur un fauteuil, et se masturbait frénétiquement, caressant sa belle queue tendue. Elle gémissait, plongée dans son monde, un grimoire entrouvert posé à proximité. Kleeah se rapprocha doucement, et, entre plusieurs soupirs, entendit distinctement sa fille prononcer le nom de l’élue de son cœur : « Rhian ». Difficile de se tromper sur le sens de ce mot, et Kleeah continua à se rapprocher… Souriant ensuite en entendant un long « Maman » jaillir de ses belles lèvres fluettes.

Elle se retrouva finalement dos au fauteuil, voyant la belle verge de sa fille remuer sous ses doigts, et s’imaginant déjà l’avoir en elle.

*Oh, ma belle, si tu savais comme ta mère t’aime…*

Le Don de Lazrah lui appartenait, et elle posa alors brusquement ses mains sur ses épaules, surprenant évidemment sa fille, qui se redressa sur place. Kleeah lui sourit doucement, et caressa sa joue.

« Je suis désolée de te surprendre en pleine intimité, Kazima… »

Elle regarda le grimoire posé sur la table. Kazima avait arrêté sa lecture sur une double-page concernant un philtre spécial, conçu à partir du sperme d’une hermaphrodite, et permettant de réguler l’appétit sexuel. Elle sourit alors, et déposa un léger baiser sur les lèvres de sa fille.

« …Et je ne peux pas te laisser comme ça non plus. »

Elle retourna doucement Kazima, et, face à son dos, descendit sa main pour se saisir de son vit. Kleeah commença ainsi à masturber son vit, sa main glissant énergiquement dessus, la masturbant avec appétit, tandis que son autre main s’appuyait sur les hanches de Kazima. Sa jeune fille se tortilla devant elle, la main ferme de sa mère continuant à glisser sur sa belle queue. Elle déposa parallèlement plusieurs baisers biens appuyés dans le creux du cou de la jeune femme, sentant Kazima gémir doucement.

Kleeah avait depuis longtemps pris l’habitude de masturber sa fille, de la caresser jusqu’à la faire jouir. C’était pour ainsi dire leur petit rituel.

« Tu as encore pensé à Rhian, hein ? Ma petite chérie… Je suis sûre que tu la prenais bien fort… Mais je crois aussi avoir entendu mon nom. Laquelle des deux tu prenais la plus fort, ma puce, hein ? »

Sa voix était douce, mélodieuse, tandis qu’elle continuait à la caresser, le livre ouvert juste devant elles.

« C’est aujourd’hui, ma belle… C’est aujourd’hui que tu vas devenir une femme accomplie, Kazima… Je veux que tu penses très fort à tout ce que tu as imaginé faire avec moi et Rhian, car, ce soir, tu vas enfin pouvoir accomplir tout ça en vrai ! »

Et, tout en disant cela, Kleeah continua son office, bien décidée à la faire jouir !

[Chloé Faure]

L'esprit de Kazima se laissait à divaguer sous l'effet d'un plaisir très intense, mais aussi d'une lourde frustration, celle d'être toujours vierge, le tout en ayant une part non négligeable de sang démoniaque coulant dans ses veines. En réalité, si elle l'avait vraiment voulu, Kazima aurait pu depuis bien longtemps perdre sa virginité, nombreuses étaient les courtisanes du harem qui ne voyaient pas l'hermaphrodisme de la jeune femme comme une difformité, bien au contraire, mais la "dangerosité" de son premier orgasme de la sorte l'avait toujours poussée à s'éloigner de plus en plus des tentations. Autant dire qu'à Papua, c'était encore plus compliqué qu'en temps normal.

Aaaaaaah !

Kazima se tortillait sur le fauteuil, de douleur, car elle peinait de plus en plus à atteindre un orgasme par ses propres moyens, comme si son maudit corps refusait en prime de jouir si c'était elle même qui se masturbait. Une étrangeté qui avait commencé à se manifester depuis déjà quelques mois, et qui allait en empirant, en même temps que l'augmentation de sa libido, qui la menait à chercher des moyens magiques de se contrôler. C'était ces mêmes raisons qui avaient poussée sa mère, Kleeah, à passer à l'acte et à entrer dans une relation incestueuse avec elle, et Kazima ne comptait maintenant plus le nombre de fois où sa mère avait caressée son chibre jusqu'à l'amener à la délivrance de l'orgasme. C'était pour ça que maintenant, quand elle devait le faire elle même, Kazima imaginait sa mère dans ses rêveries qui allaient bien au delà du sensuel et de l'érotique. A ce moment précis, Kazima s'imaginait sodomiser intensivement sa mère, qui était à quatre pattes, le cul bien relevé qui acceuillait sa trique phénoménale dans ses parois anales qu'elle imaginait serrées. Kazima la prenait avec amour, passion, et aussi une espèce de férocité bestiale à l'idée un peu taboue de juter une quantité impressionnante de foutre dans le cul de sa propre mère.
C'était ce qu'elle était en train de vivre, dans son esprit, quand soudainement elle sentit des mains se poser sur ses épaules.

AH !

Kazima, sous l'effet de la surprise, ne reconnu pas instantanément les doigts de Kleeah, et agit par instinct en se relevant et en se tournant en direction de l'intruse...qui n'en était pas une.

M-Maman ? Oh tu...tu 'ma fait tellement peur !

La jeune hermaphrodite en avait le coeur qui battait la chamade, au delà de juste son état d'excitation. Mais c'était une peur qui s'effaça bien vite en réalité. L'avantage d'avoir comme mère une sorcière pratiquant le culte de Sha, c'était entre autres le fait qu'elles étaient très proches dans tous les domaines, car il n'y avait aucun tabou entre elles. Aucun, pas même sur le sexe, et si Kazima aurait été gênée d'avoir été surprise par quiconque d'autre, elle n'avait aucune gêne à avoir en présence de Kleeah...qui était d'ailleurs aussi nue qu'elle même.
Elle vint caresser sa joue, et déposer un bref baiser sur ses lèvres, à la manière de la mère très aimante qu'elle était.

Surprise, c'est le terme...mais je me demande combien de temps tu m'a observée avant de te manifester.

Si elle avait eu au début du mal avec l'évolution incestueuse de sa relation avec Kleeah, cela avait rapidement évolué. Kleeah avait après tout toujours été là pour elle dans les moments difficiles, lorsqu'elle avait du mal à se contrôler, que ce soit ses pulsions sexuelles comme ses pouvoirs, et leurs sessions masturbatoires l'avaient aidée à garder le contrôle jusque là. Elle embrassait donc complètement sa relation avec sa mère, et cette dernière ne pu d'ailleurs que noter à quel point elle bandait dur, et déclara qu'elle ne pouvait pas la laisser ainsi.
C'est dans un long soupir que Kazima laissa sa mère la retourner pour qu'elle lui présente son dos, contre lequel la sorcière se lova, pressant ses opulents seins contre elle...et ne tarda pas à poser l'une de ses mains à  hauteur du sexe de sa fille pour le comprimer entre ses doigts.

Hmmmm...Maman...

Kazima se crispa sur place, sentant encore une fois une nette différence de sensibilité au niveau de son sexe, entre ses propres doigts...et ceux de sa mère. Kleeah se mit à remuer ses doigts tout le long de son imposante verge, tout en déposant de multiples baisers dans son cou. Kazima quand à elle se laissait porter par le doigté de sa mère, qui semblait connaître, au sens littéral comme figuré, sa queue sur le bout de ses doigts. Et puis, il y avait sa voix suave, sensuelle, qui résonnait dans le creux de ses oreilles.

Mmmmh...c'était...toi maman...ah je...je te voyais à...quatre pattes devant moi et...hmmmm...et je te prenais le cul...aaaaaah...

Encore une fois, aucun tabou n'existait entre Kleeah et sa fille, qui l'entendait donc sans aucune honte fantasmer sur le fait de lui butiner son cul avec sa grosse verge, le tout en la saisissant par les hanches pour la baiser bien fort et la faire hurler de plaisir. Mais pour le moment, Kazima sentait et voyait surtout la main de sa mère astiquer son sexe, et la jeune hermaphrodite sentait la vague venir...et elle promettait d'être copieuse, comme à chaque fois, et ce fut bel et bien le cas.
Kazima posa ses mains sur les hanches de sa mère, derrière elle, et crispa ses doigts sur sa peau tatouée lorsqu'elle vint. Kleeah ayant fait exprès pendant tout ce temps de bien maintenir le sexe de sa fille pointé vers le haut, ce qui fit que les premiers jets de sperme éclatèrent au visage de la jeune femme.

AAAAAAAH !!!!!

Kazima ouvrit grand la bouche et ferma les yeux, alors que sa queue se mit à tressauter contre la main de sa mère qui la masturba encore plus énergiquement. Son sperme fut projeté avec une grande force, atteignant jusqu'à ses mèches de cheveux, dans des filaments épais et juteux qui semblaient ne pas devoir s'arrêter. Kazima joui pendant de longues secondes, quelques dizaines en réalité, avant d'enfin se clamer. Les derniers tressautements de sa queue lui firent juter quelques derniers filaments de sperme, qui faute de force pour les propulser plus haut, finirent par mâculer les doigts de sa mère. Mais Kazima se trouva bien couverte de son propre sperme, elle en avait sur le visage, un peu dans ses cheveux, mais surtout sur sa poitrine et son ventre, et la couleur claire de son sperme ressortait d'autant plus sur sa peau très matte.

Hmmm...oh maman...tu m'en a encore mis partout...

Ce n'était nullement un reproche, mais une invitation...

[Rhian Thoris]

Plus le temps passait, et plus Kazima devenait endurante. Le Don de Lazrah pouvait aussi se transformer en malédiction, et Kazima en voyait les premiers effets. Elle ne pouvait plus jouir par elle-même, comme si sa propre queue refusait cela. Elle ne pourrait que s’offrir aux autres, et ne pourrait jouir qu’en eux. Bientôt, même leurs séances masturbatoires seraient insuffisantes, car la queue de Kazima, générée par la magie de Lazrah, appellerait à davantage de sexe, davantage de plaisir. Kleeah sourit donc quand Kazima lui expliqua qu’elle s’était imaginée la sodomiser. Si proche d’elle, en phase avec sa fille, Kleeah fermait les yeux, et s’immergea dans les pensées de sa fille. Elle trembla en voyant le fantasme de sa fille, et l’intensifia encore, l’embrassant dans le creux du cou, mordillant sa tendre peau.

« Ma pauvre petite, j’oublie de plus en plus que tu as maintenant de gros besoins affectifs… »

La main ferme de Kleeah n’épargnait rien. C’était une habitude qu’elles avaient prise, que Kleeah la masturbe ainsi, et l’amène à jouir copieusement. Et, à chaque fois, sa fille jouissait de plus en plus fort, signe que le don de Lazrah s’affirmait en elle. Kleeah en était de plus en plus ravie, même si elle savait que cela inquiétait Kazima de plus en plus. Elle la masturbait donc assez fortement, branlant sa queue avec appétit, tout en la redressant. Sa jeune fille était déjà proche de l’orgasme, et, quand ses douces mains se crispèrent sur ses hanches, Kleeah sut que le moment était arrivé.

Elle se pinça les lèvres, sentant une saine chaleur monter en elle, quand la belle queue de Kazima se relâcha sous ses doigts. Elle sentit ce membre pulser entre ses doigts, et, dans de grands soupirs, Kazima s’abandonna au plaisir suprême. Sa queue se mit à jouir copieusement, éclaboussant son visage, puis ses cheveux, et se relâchant ensuite copieusement sur sa poitrine, sur son ventre. Kazima se crispa sur place, ses ongles s’enfonçant dans la chair de sa mère, faisant doucement soupirer celle-ci. Kleeah se pinça les lèvres en la laissant s’abandonner devant elle, la laissant jouir de toute son énergie. C’était un véritable régal, et elle continua à la masturber, secouant sa queue pour la faire jouir encore.

*Quelle énergie, elle est définitivement prête !*

Avec les générations, les gènes s’affinaient. Tout laissait à penser que Kazima serait une magnifique porteuse du Don de Lazrah ! Kleeah avait tellement hâte de la voir copuler avec Rhian… Et avec elle-même, bien entendu ! Elle la laissa donc jouir de toute son énergie, ce qui prit bien une bonne minute, la queue de Kazima se relâchant encore à chaque fois dans de nouveaux soubresauts. Le sperme fusa finalement sur les doigts de Kleeah, qui relâcha finalement la verge de sa fille, et la laissa se retourner. Un sourire sur les lèvres, Kleeah contemplait sa belle, qui ne tarda pas à signaler que sa mère lui en avait « mis partout ».

Le résultat final était effectivement assez impressionnant, confirmant l’énergie de sa fille. Kleeah rigola brièvement, et caressa la joue de Kazima, puis se rapprocha encore d’elle, et l’embrassa sur ses lèvres, des lèvres blanchâtres.

« Si je comprends bien, c’est de ma faute si ma fille est une perverse et en fout partout, hum ? »

Simple question rhétorique, car elle poussa brusquement sa fille, qui s’étala sur la table, repoussant les livres au passage. D’un claquement de doigts, Kleeah généra des tentacules, qui jaillirent de l’obscurité, et s’enroulèrent autour des poignets de sa fille, la plaquant sur le bureau. Ses jambes basculaient dehors, et d’autres tentacules vinrent s’enrouler autour de ses chevilles, les plaquant contre les pieds de la table. Ainsi attachée, Kazima s’offrait littéralement à sa mère. Bras croisés, celle-ci semblait réfléchir, la tête penchée sur le côté.

« C’est aujourd’hui que Rhian vient, Kazima. C’est aujourd’hui que le Don en toi va pleinement s’exprimer. Je ne peux décemment pas laisser la Princesse te voir ainsi. Il va falloir que je me dévoue… »

Kleeah savait que sa fille serait aussi excitée que nerveuse à l’idée de voir la Princesse. Elle avait des pensées très paradoxales au sujet de sa verge, mais Kleeah l’avait formé depuis plusieurs mois, voire des années, pour que l’idée d’une relation incestueuse ne la choque pas. Et puis, Rhian couchait aussi régulièrement avec sa mère, la Reine Khaora. Les mœurs sexuelles papuannes étaient très libres, et tout cela formait un contexte qui faisait que Kazima était sans aucun doute plus à même d’accepter ce qui, jadis, l’avait choqué, à savoir s’offrir à sa mère, jouir dans sa délicieuse chatte, et lui offrir sa virginité.

La sorcière se rapprocha donc, et caressa la cuisse de sa fille, remontant jusqu’à sa verge. Elle lécha ensuite ses propres doigts, avalant le sperme de sa fille, et commença par le haut. Un premier baiser sur le front de Kazima, puis sa langue partit à l’assaut. Elle fila sur le nez de sa fille, tandis que les tentacules continuaient à immobiliser les mains de sa fille. Elle lécha ses joues, ses yeux, ses lèvres, l’embrassant encore, longuement et sensuellement, sentant pendant ce temps la verge de sa fille se redresser, et venir taper contre son propre corps. Un membre chaud, turgescent, un vit qui avait encore envie de se perdre dans un corps.

« Hmmm, quel appétit… Ta queue se redresse encore, mais j’ai à peine commencé à te nettoyer, mon amour… »

Kleeah lécha son cou, puis s’attaqua ensuite à ses seins. Baisers et coups de langues ornaient le corps de Kazima, et Kleeah suçota avec appétit chacun de ses seins. Elle titillait le téton, tirant dessus, le coinçant entre ses dents, et s’attaqua à l’autre, poussant de grands bruits de succion. Elle lécha ensuite l’espace entre les seins, relevant à chaque fois son regard vénéneux vers sa fille, tout en caressant la queue de sa fille avec son corps. Kleeah redescendait ainsi progressivement, se rapprochant petit à petit de cette verge.

« Je crois bien que tu ne pourras pas attendre jusqu’à l’arrivée de la Princesse, ma chérie… Et le goût de ton sperme me donne furieusement envie d’aller le prendre à la source ! »

Elle comptait bel et bien lui offrir une belle fellation !

[Chloé Faure]

Même si elle venait tout juste de jouir, et dans des quantités que la plupart des hommes ne pouvaient même pas espérer atteindre, même en se retenant pendant des mois, Kazima était tout sauf rassasiée. La preuve en était que son sexe était toujours aussi tendu que lorsque Kleeah était venue pour commencer à la masturber, elle avait toujours autant mal, et avait toujours autant...envie de plus, besoin de plus. C'était pour cette raison que Kazima cherchait à étudier des moyens supplémentaires de se contrôler, car elle sentait bien que plus le temps passait, plus le don de Lazrah se manifestait chez elle, et moins sa seule volonté serait suffisante. A ce stade, Kazima avait envie de baiser presque en permanence, et la nécessité de ne pas le faire rendait le tout encore plus frustrant, et elle ne pouvait désormais plus vraiment se branler pour espérer obtenir un répit. Et visiblement, même lorsque Kleeah s'en chargeait, cela n'était plus suffisant non plus.
Kazima estimait qu'elle avait donc de réelles raisons de s'inquiéter quand à elle même, car elle avait de plus en plus la sensation de devenir dépendante et tributaire de ses pulsions sexuelles, et seule la confidence de sa mère en la matière lui permettait de garder confiance, mais pour combien de temps encore ? Kazima était toutefois trop excitée pour se poser ce genre de questions en ce moment même, et surtout en pouvant se retourner, et regarder le corps nu et couvert de tatouages de Kleeah face à elle. Ce simple regard suffisait à maintenir son érection bien dure, et Kazima se surprenait à avoir encore bien d'autres pensées perverses dirigées à l'encontre de sa mère. Comme fourrer sa queue entre ses seins, ou qu'elle la branle à l'aide de ses pieds, ou bien d'autres encore qui étaient des images fugaces, et pourtant très distinctes, de ce que Kazima avait "envie" de faire.

Quoi qu'il en soit, Kleeah manifesta vite sa décision de conserver le contrôle, en poussant Kazima contre le bureau. Ses fesses heurtèrent légèrement le rebord, avant que des tentacules d'ombre ne lui entourent les chevilles et les poignets, la maintenant ainsi en place, assise sur le rebord de ce lourd bureau. La jeune femme poussa un soupir en sachant que Kleeah allait venir nettoyer toutes les traces de sperme sur son corps, et elles étaient nombreuses, mais elle frissonna encore d'avantage en apprenant que sa mère avait...l'intention de l'aider aujourd'hui à faire en sorte que le don de Lazrah se manifeste pleinement chez elle, et que Rhian allait se joindre à elles.

M-maman je...aaaaah...

La jeune femme était toutefois trop excitée, trop troublée pour formuler des phrases cohérences, alors que sa mère s'approcha d'elle, et déposa l'une de ses mains sur une de ses cuisses. Kazima avait l'impression d'avoir les nerfs à fleur de peau, et que son sens du toucher était particulièrement sensible, alors que Kleeah entammait une série de caresses sensuelles sur son corps maintenu en position par les tentacules. Puis les baisers commencèrent, et Kazima ne pouvait guère faire grand chose d'autre que...subir et profiter, car Kleeah fit passer sa langue sur chaque endroit de son corps qui était mâculé de sperme, et les deux femmes s'embrassaient de temps à autre. Mais le moment le plus difficile pour Kazima fut le moment où sa mère décida de s'occuper de ses seins, qui était clairement la zone où le plus de sperme avait atterri, et qui était aussi une zone hautement sensible chez la jeune femme.

Hmmm...Oh...

Kazima se tortillait sur place, bombant sa poitrine pour la "forcer" contre le visage de sa mère, elle remuait aussi instinctivement son bassin, dans des efforts pour tenter de faire frotter sa verge contre la peau de Kleeah. C'était...une vraie torture, Kazima avait tellement mal à son sexe, qui lui semblait aussi lourd qu'une enclume, aussi dur que de l'acier, tellement elle avait mal, une douleur et une frustration qui s'irradiaient dans la totalité de son bas ventre, et qui ne faisait qu'augmenter à mesure que le visage de sa mère s'en rapprochait.

Oh s'il te plait j'ai...aaaaah...j'ai tellement mal...

[Rhian Thoris]

La queue de Kazima avait expulsé d’épaisses quantités de foutre il y a quelques minutes. Un mâle normal serait apaisé, mais, chez Kazima, le Don de Lazrah s’enflammait dans ses sens. Chaque baiser de Kleeah était comme un coup d’épée, chaque glissement de sa langue un coup de hache sur sa peau frêle et douce. Oh, qu’elle était belle ! Kleeah appréciait beaucoup le corps de Kazima, et glissa encore, entendant la jeune femme gémir longuement. Elle se tortillait sur place, et supplia sa mère, tant elle avait « mal » à son sexe. Kleeah était alors autour de son nombril, léchant longuement ce dernier, rappant chaque centimètre, chaque millimètre carré, de sa peau. Elle déposa ensuite un baiser, et son menton se frotta contre la verge de Kazima.

« Ma pauvre chérie, tu bandes si fort… Je peux deviner ton impatience rien qu’à voir la manière dont ta queue est si dure, si grosse… Ma pauvre petite… »

Kleeah déposa un premier baiser dessus, et frotta son visage, soulevant cette verge, la redressant avec son nez. C’était un solide bracquemart, un vit assoiffé qui la faisait saliver. Elle déposa plusieurs baisers supplémentaires sur la base de sa verge, et lécha ses testicules, déposant ensuite deux gros baisers dessus, sur chaque testicule. Kazima était en train de souffrir lentement, victime d’un véritable priapisme magique. Le Don de Lazrah pulsait délicieusement en elle, et Kleeah lécha ensuite sa verge.

Elle la faisait délicieusement souffrir, pour entendre sa fille supplier, gémir longuement, y trouvant là un plaisir vicieux et exquis. Ce n’était pas très sain, de la part d’une mère, de faire souffrir son enfant, mais c’était tout simplement délicieux !

« Supplie-moi, ma chérie… Supplie ta mère de pomper ta grosse queue comme la chienne en rut que tu es ! »

La sorcière caressa encore la belle queue de sa fille, ce dard veineux qui se redressait fièrement. Elle l’attrapa finalement dans le creux de sa main, et l’orienta vers sa bouche. Elle jeta un bref regard vers sa fille, qui était en train de prendre pied, et le prit finalement en bouche. Les lèvres de Kleeah s’enroulèrent autour de ce gros mandrin, et elle soupira doucement. Elle avait le sentiment de goûter de nouveau à la queue de l’autre mère de Kazima, la puissante Lazrah. C’était le même mandrin solide, intense, qui lui remplissait la bouche. Quand Kazima serait plus expérimentée, elle pourrait, comme Lazrah, lui baiser furieusement la bouche avant de jouir copieusement en elle. Cette idée ne manquait pas d’émoustiller la jeune femme, et la sorcière alla donc pomper sa queue.

Elle opta très rapidement pour une longue et puissante gorge profonde, le membre de Kazima allant taper contre sa gorge. Elle continua ainsi, tout en commençant à s’exprimer à sa fille par message télépathique.

*[MT] Je sais que tu as envie de jouir, ma chérie, mais tu dois aussi apprendre à te retenir… Même quand tu auras accepté le Don, cette soif de sexe reviendra toujours en toi. Et tu veux offrir une belle prestation à Rhian, n’est-ce pas ? La Princesse serait déçue si tu te mettais à jouir avant elle… [/MT]*

Même si cela ne changerait pas grand-chose, car, vu son endurance, Kazima banderait de nouveau bien vite… Mais c’était après tout le rôle d’une mère que de former son enfant aux choses de la vie !

[Chloé Faure]

Kazima n'avait jamais été aussi "désespérée" sexuellement qu'à ce moment précis, où sa mère léchait avidement sa peau en léchant son sperme qui la maculait un peu partout. Kleeah était une redoutable sorcière, et une amante tout aussi douée, ce que la jeune hermaphrodite avait pu constater à plusieurs reprises en espionnant les ébats de sa mère. Mais là il y avait autre chose, le don de Lazrah en elle était en train de pulser plus fort que jamais, alors que le visage de Kleeah était si proche de sa grosse queue. Bon dieu, même si elle venait de jouir, c'était comme si rien ne s'était passé, il lui semblait même que sa frustration avait grimpée d'un cran, maintenant que Kleeah était en train de lécher son nombril, faisant glisser sa langue sur sa peau, s'approchant de plus en plus de sa verge.

M-Maman...Hmmm...

Kazima en avait du mal à parler, son sexe lui faisait tellement mal que la douleur la lançait jusqu'au plus haut de son bas-ventre. Ses couilles et sa verge lui donnaient l'impression d'être lestées, et elle poussa un long gémissement, à la fois de plaisir et de douleur, quand sa mère s'agenouilla pour déposer des baiser sur son sexe, et lui lécher les couilles. Prenant un grand soin de son corps, Kazima était parfaitement épilée, ainsi Kleeah ne rencontrerait avec sa langue qu'une peau douce, mais tendue, et sa verge tressautait à chaque baiser qu'elle donnait dessus, comme si elle était sur le point d'exploser à n'importe quel moment.
C'était...délicieux, et en même temps terriblement douloureux. Kleeah embrassait et léchait certes sa bite, mais ne faisait guère plus que ça, et Kazima étant retenue par des tentacules d'ombre, ne pouvait pas vraiment faire quoi que ce soit pour y remédier. Ce ne serait à ce stade pas suffisant pour la faire jouir, car Kazima ressentait le besoin urgent, impérieux, de fourrer son sexe dans la bouche de sa mère, qu'elle la pompe longuement. Kazima en avait les larmes aux yeux, elle avait tellement mal.

P-pité...M...Mamaaaan je...j'ai l'impression de...de mourir...Haaaaa...

Kazima n'en était bien entendu pas à ce stade là, mais jamais encore elle n'avait connu une telle frustration, au point où le désir se faisait même éclipser par la douleur qu'elle ressentait. Heureusement, Kleeah ne resta pas insensible aux supplications de sa fille, et enfin, après l'avoir pris en main, alla fourrer son sexe entre ses lèvres. La jeune hermaphrodite en leva le visage vers les plafond subitement, tant cela lui fit l'effet d'une décharge électrique, et poussa un long et plaintif gémissement...mais tout en sentant une petite partie du poids pesant sur elle s'alléger. C'était comme si une magie puissante à l'oeuvre, en elle, semblait "comblée" que Kazima aille enfin au delà des simples masturbations, et elle se crispa comme jamais sur la table quand Kleeah prit rapidement tout son sexe en elle.

Haaaaaan !!!

Kazima entendit alors résonner dans son esprit la voix de sa mère, qui usait de télépathie pour lui parler, et l'encourager à se retenir...mais c'était bien trop difficile pour la jeune femme, et même impossible là, maintenant. Kleeah avait beaucoup trop jouée avec elle, alors que c'était sa première réelle fois, pour qu'elle puisse avoir la moindre chance de pouvoir se retenir. Quelques dizaines de secondes tout au plus après que Kleeah aie commencée à la sucer, Kazima se tendit comme une corde de violon, et même si elle était retenue par les poignets et les cheville, pu tout de même avancer son bassin pour fourrer sa queue bien profondément dans la gorge de sa mère...et éjaculer.

HMMMMMMM !!!!

Kazima fut parcourue d'un orgasme incomparable à tous ceux qu'elle avait pu avoir jusque là, jouir dans la bouche de sa mère lui fit un bien fou, en plus de visiblement soulager une partie de sa frustration. Ce n'étaient pas que des gémissements de plaisir qu'elle poussa en crachant d'épais filaments de foutre dans la bouche de Kleeah, mais aussi de soulagement, alors qu'elle sentait clairement sa frustration s'évacuer à des niveaux raisonnables. Elle juta généreusement dans la bouche de sa mère, pendant une bonne minute au moins, avant d'enfin se calmer. La jeune futa' était en sueur, et respirait comme si elle venait de courir un marathon, mais quand elle reprit ses esprits, elle sembla bien plus apaisée...même si sa queue, elle, ne débanda pas.

Oh...Oh Maman c'était...d-désolée...je n'ai pas pu me retenir, j'avais tellement mal...mais ça va...mieux, je crois...

[Rhian Thoris]

Kleeah essayait d’entraîner sa fille, mais constatait surtout que l’heure était enfin venue. Kazima était prête, et le don de Lazrah pulsait en elle. Vu l’impatience et la puissance de sa fille, Kleeah doutait de pouvoir tenir jusqu’à demain encore. Ce serait donc bel et bien ce soir… Kazima devait perdre sa virginité, elle devait enfoncer sa belle verge dans le corps d’une femme, ou ce priapisme magique la consumerait, et ferait d’elle une démone. Car le don de Lazrah avait un prix. On l’appelait « don », mais, dans l’absolu, il ressemblait davantage à une malédiction. Une force qui était en train de la consumer, car, si elle ne satisfaisait pas aux conditions, la lignée de Lazrah se terminerait. Kleeah la sentit donc jouir abondamment en elle… Et adora tout simplement cette sensation. Elle la laissa jouir goulûment, se relâchant copieusement et puissamment en elle, gémissant de plaisir. Une déferlante de stupre.

En réalité, Kazima n’avait que trois solutions : soit ne rien faire, et ainsi devenir une démone ; soit faire l’amour avec la personne qu’elle aimait et qui n’était pas de son sang, pour faire définitivement disparaître l’énergie de Lazrah ; soit faire l’amour avec sa propre mère, et ainsi perpétuer le don de Lazrah. Ce soir, le choix appartiendrait à Kazima. Soit conserver sa belle verge et sa terrible vigueur sexuelle en perpétuant la lignée de Lazrah, soit y renoncer, tout en sachant qu’elle ne pourrait jamais marier l’élue de son cœur, Rhian.

Kleeah avala avec appétit son foutre épais et chaud. Kazima se calma progressivement, et les tentacules la retenant se dissipèrent. Kazima reprenait doucement ses esprits, même si sa queue restait encore bien tendue, et Kleeah, elle, prit soigneusement le temps d’avaler tout son sperme. Il y en avait beaucoup, et un léger filet de sperme s’échappa de ses lèvres… Que sa fille alla lécher, la nettoyant proprement, tout en se lovant ensuite contre elle. Les bras de Kleeah l’enlacèrent tendrement, et elle se blottit contre elle, soupirant doucement.

« Oh, Kazima, tu es si belle, ma chérie, si forte… »

Kleeah l’embrassa ensuite sur les lèvres, assez longuement, rompit le baiser, et le reprit encore.

« Il est l’heure, Kazima… Ce soir, tu feras enfin ton choix… »

Elles en avaient longuement parlé, et, si le souhait de Kleeah était évidemment de perpétuer la lignée de Lazrah, elle laissait le choix définitif à Kazima. Rhian connaissait également les enjeux, et le choix de Kazima serait le sien. Kleeah se redressa avec Kazima, sourit doucement à sa fille, et la retourna alors. Elle se lova tendrement dans son dos, et caressa l’un des seins de Kazima d’une main, l’autre allant doucement la masturber. Ses lèvres, quant à elles, se posèrent sur son cou, embrassant et mordillant délicatement sa peau.

Un sourire sur les lèvres, Kleeah se frottait contre sa fille.

« Tu es si belle, Kazima, si forte… Si tu savais comme je t’aime… Et je t’aimerai toujours, quel que soit ton choix ce soir… Sache-le bien. Tu es libre de ta décision, mais, dans tous les cas, je serai toujours près de toi, et je veillerai toujours sur toi… »

C’était le rôle d’une mère, d’une mère aimante, ce que Kleeah était à tous les égards. Pour sa fille, elle était prête à tout, et ne vivait que pour elle. Elle l’embrassa encore.

« Dans tous les cas, tu nous pénétreras toutes les deux ce soir, Kazima… Rhian sera là, et a très envie de te faire l’amour, elle aussi… »

Et, pendant qu’elle parlait, elle continuait à doucement la masturber. Même si Kleeah ne souhaitait pas l’influencer, sa mère espérait clairement que sa fille choisirait de perpétuer la lignée de Lazrah ce soir…

[Chloé Faure]

Kazima se sentait enfin un peu plus en contrôle de ses propres pulsions, maintenant qu'elle venait de goûter à sa toute première fellation, sous les lèvres expertes de Kleeah, sa propre mère. Cette relation incestueuse était loin de la choquer comme ça pouvait être le cas dans d'autres contrées, et mère et fille avaient toujours été aussi proches que ça, même si il semblait évident que leur relation allait prendre un tournant encore plus intime maintenant. La jeune hermaphrodite profitait en tout cas enfin d'un répit, comme si le don de Lazrah avait été en partie satisfait...mais en partie seulement. Kazima bandait toujours aussi dur, même si elle venait de jouir deux fois très copieusement, dont une dans la bouche de Kleeah, qu'elle avait inondée de son foutre chaud.
Même  si elle se sentait donc un peu plus apaisée, la jeune sorcière savait que ce n'était que temporaire, tant qu'elle n'aurait pas perdue effectivement sa virginité, le don de Lazrah, ses gênes démoniaques, resteraient hors de contrôle. Kazima soupira d'aise lorsque les tentacules qui la retenaient se dissipèrent, la laissant enfin libre de ses mouvements, tandis que sa mère se retira de sa queue pour se redresser face à elle. Kazima se releva donc de son bureau et, aussi nue que sa mère, alla se blottir contre elle sensuellement.

Mère...

Les deux partagèrent un long baiser, où Kazima ne manqua pas de récupérer quelques filaments restants de son propre sperme, mais elle était habituée à son goût depuis longtemps, et lors de ses masturbations solitaires, elle avalait toujours son propre sperme. Sans aucune hésitation, alors qu'elle blotissait sa poitrine contre celle de sa mère, Kazima descendit ses deux mains le long de son dos pour ensuite aller empoigner son délicieux cul, le tout en soupirant de plaisir. Kazima sentait de nouveau très rapidement sa queue l'élancer, entre autres parce qu'elle frottait contre le ventre de Kleeah. Cette dernière rompit finalement leur baiser, et déclara que l'heure était venue pour elle de faire son choix, ce soir. Son anniversaire était en effet pour cette nuit, l'heure fatidique des 18 ans, qui était également un pallier important pour celles touchées par l'héritage de Lazrah. Un choix face auquel elle avait toujours été hésitante, et face auquel elle allait devoir se positionner, maintenant. Il était évident que la jeune femme voyait ça comme une sorte de fardeau, même si Kleeah était peu à peu parvenue à lui faire accepter sa nature.
Sa mère la retourna alors, de façon à pouvoir se blottir dans son dos, et tout en allant empoigner l'un de ses généreux seins d'une main, la sorcière alla la masturber de l'autre.

Hmmmm...m-maman...

Il en fallait bien peu pour raviver la flamme du désir chez Kazima, qui semblait dores et déjà prête de nouveau à un coït. Sa queue était dure, tendue, mais encore couverte de la salive de Kleeah, qui pouvait donc faire glisser ses doigts dessus avec aisance. La jeune hermaphrodite ondulait tendrement son corps contre celui de sa mère, qui l'embrassait dans le cou, tout en lui parlant. Du fait qu'elle respecterait son choix quel qu'il puisse être, et que Rhian les rejoindrait ce soir...ce qui était autant une source de joie que d'inquiétudes pour Kazima. Elle cligna des yeux, et se concentra alors pour reprendre un peu ses esprits.

J-je t'aime tellement maman...mais Rhian je...enfin...t-tu es sûre qu'elle voudra de moi...comme ça ?

Elle faisait clairement référence à sa grosse queue, mais aussi aux rumeurs insistantes concernant l'orientation sexuelle de la princesse, qui était une cliente régulière du harem du palais...et qui n'était pour ainsi dire jamais vue en compagnie d'un homme. Beaucoup pensaient la princesse lesbienne, ou au moins comme ayant une nette préférence pour les femmes, et c'était sans aucun doute la principale raison des hésitations de Kazima quand au fait d'accepter ou de refuser le don de Lazrah. Elle connaissait les préférences de sa mère, même si elle ne souhaitait pas l'influencer...mais Kazima était aussi très amoureuse de Rhian, dont l'avis sur la matière pourrait très bien faire pencher la balance.

[Rhian Thoris]

Dans le dos de Kazima, Kleeah frissonnait en la masturbant. C’était sa fille, sa délicieuse fille, et Kleeah avait, aussi longtemps qu’elle s’en rappelle, toujours pris soin d’elle, de ses talents, et de son don. Embrassant sa fille dans le creux du cou, elle se frottait contre elle, ses seins s’enfonçant doucement contre son dos. Se lovant contre elle, Kazima soupira doucement, sa verge grossissant sous les doigts de Kleeah. Imperturbable, celle-ci continuait à la masturber, filant de bas en haut, puis de haut en bas, glissant sur cette surface dure et humide, lubrifiée par sa bouche. Kazima, tout en se tortillant sur place, demanda à sa mère si Rhian l’accepterait ainsi. Un léger sourire orna les lèvres de Kleeah.

« Oh, je ne me fais aucun souci, ma chérie… Cette verge t’a toujours perturbé. Tu refusais de prendre tes bains avec la Princesse par peur qu’elle se moque de toi… »

Kazima avait hérité du Don de Lazrah, mais avait toujours eu des émotions contradictoires au sujet de ce membre, l’appréciant et l’aimant autant qu’elle le redoutait. Kleeah, de son côté, était là pour la rassurer, et, avec sa main libre, tourna lentement la tête de Kazima, puis déposa un tendre baiser sur ses lèvres. Leurs lèvres se frottèrent doucement les unes aux autres. Kleeah sourit encore, et déposa ensuite un baiser sur le nez de Kazima.

La Chamane aimait profondément sa fille, et lui offrait toujours ce genre de délicates attentions, ces moments de tendresse entre la mère et la fille.

« Mais elle adore ça, tu sais… Les femmes hermaphrodites comme toi. Tout ce que notre chère Princesse rêve, c’est que tu la pénètres vigoureusement avec ton chibre. Elle a bien grandi, tu sais… Sa mère et moi avons veillé à égayer ses goûts sexuels, ses performances en la matière… »

Un travail de longue haleine, qui avait surtout eu lieu dans le harem. Un harem où Kazima avait toujours refusé d’entrer, alors que, en tant que guérisseuse, Kleeah y avait un accès privilégié. Mais Kleeah savait combien Kazima appréciait la Princesse. Rhian avait été une amie d’enfance, elles jouaient ensemble à la poupée, ou dans le jardin. Kazima avait vu les trois tigres de Rhian quand ils étaient touts petits, et Kleeah se souvenait encore de ses rires joyeux quand les petits bébés tigres lui léchaient le visage. Kazima faisait d’ailleurs partie des rares personnes qui, à l’exception de Rhian, pouvaient approcher les tigres sans crainte.

Kleeah continuait à la masturber, repensant fugacement à tous ces heureux souvenirs.

« Rhian est au courant pour toi et ton pouvoir, tu sais… D’un côté, je suis partagée entre l’envie de soulager tes pulsions maintenant, mais, de l’autre, je crains que tu ne sois plus en forme ce soir. Rhian est très énergique, tu sais, et il serait regrettable que tu ne la fasses pas jouir toute la nuit, non, ma chérie ? »

Certes, Kleeah lui laissait le choix, mais elle avait très envie que Kazima perpétue la lignée, et conserve le Don… Et elle savait que la personne déterminante allait être Rhian. Difficile de dire si sa fille en était amoureuse, Kleeah voyait plutôt une sorte de profond respect pour la Princesse.

« Rhian sera folle de toi, Kazima… Autant que je le suis de toi, ma belle… »

Et elle se frotta encore contre lui, son nez glissant sur sa joue…

[Chloé Faure]

Kazima  se trémoussait contre le corps nu de Kleeah, alors qu'elle continuait à la masturber, achevant de rendre à sa queue sa dureté initiale. Sa  mère était particulièrement douée, à force, pour entretenir le feu du désir chez sa fille. Au delà de la simple endurance due au Don de Lazrah, Kleeah connaissait le  corps de sa fille sur le bout des doigts, et des lèvres,  et savait exactement comment, et où, la caresser. Mais cette verge...oui, Kazima en avait une opinion très contradictoire. Kleeah avait été la raison principale pour laquelle la jeune hermaphrodite avait fini par, en  grande partie, accepter sa nature, mais il y avait malgré tout bien des choses qu'elle n'osait pas encore faire...dont prendre des bains en public. C'était pourtant une chose très courante à Papua, mais jamais Kazima n'était parvenue à passer outre sa phobie qu'on...la rejette. Car si Kleeah l'aimait follement pour ce qu'elle était, serais-ce la même chose pour d'autres ?

Hmmm...

Là, toutefois, Kazima se laissait surtout porter par le glissement des doigts de sa mère le long de sa verge, qui comprimaient délicatement son sexe, comme pour chercher  à la traire et à en extraire son sperme, qu'elle produisait en quantité faramineuse, mais aussi à une vitesse inhumaine...le tout venant de son héritage démoniaque. De sa main libre, qui jusque là lui pinçait les tétons, Kleeah alla prendre le menton de sa fille entre ses doigts pour l'amener à tourner la tête dans sa direction. Un tendre baiser s'ensuivit, un délicat frottement de leurs lèvres, suivit d'un frottement du bout de leurs nez, le genre de petits gestes affectueux qu'elles s'échangeaient régulièrement. Kazima en soupirait d'aise, et de plaisir, alors que Kleeah continua à la rassurer.

V-vraiment ?

Kazima avait toujours un peu craint la réaction de Rhian vis  à vis de son chibre, surtout lorsque leurs corps respectifs avaient grandi, et lorsque le Don de Lazrah avait véritablement commencé à se manifester chez Kazima. Oui, elle éprouvait de forts sentiments vis à vis de Rhian, elle la connaissait depuis toute petite, et elles avaient grandi ensemble,  mais malgré leur proximité, elles ne s'étaient encore jamais offertes l'une à l'autre. Le Don de Lazrah en était la cause, mais Kazima avait toujours aussi cru que c'était du fait d'un rejet de la part de Rhian, dont les conquêtes masculines étaient, pour autant qu'elle le sache, quasi inexistantes en comparaison de son nombre d'amantes dans le harem. Les paroles de sa mère eurent donc l'effet de lever un gros poids sur le coeur de Kazima, et, si c'était encore possible, de durcir sa queue à l'idée de Rhian l'adorerait ainsi.
Kazima se retourna alors pour faire face à sa mère, et posa ses deux mains sur ses joues pour ensuite aller l'embrasser langoureusement, le tout en se blotissant contre elle, frottant sa verge contre le bas-ventre de Kleeah.

Tu n'a pas d'inquiétude à avoir mère, je peux sentir le Don pulser en moi avec une vigueur jamais égalée. Je serais à la hauteur de la princesse ce soir, et j'ai fait mon choix...je...je vais perpétuer la lignée de Lazrah mère.

Tout en parlant, Kazima avançait à pas légers, tout en  faisant ainsi reculer sa mère, qui se retrouva contre le bureau de la pièce, à son tour. Une de ses mains glissa alors le long du ventre de Kleeah pour descendre entre ses cuisses, et se frayer un chemin jusqu'à son intimité. Elle caressa ses lèvres intimes un bref moment, juste le temps d'imbiber ses doigts de sa cyprine, avant d'en glisser délicatement deux dans son vagin.

Je veux t'offrir ma virginité, maman...et je sens que c'est également ce dont tu as envie alors...pourquoi attendre ?

La jeune hermaphrodite déposa un dernier baiser sur les lèvres de sa mère, avant de descendre son visage au niveau de ses seins, qu'elle commença à sucer l'un après l'autre, tandis qu'elle usait de sa main libre pour malaxer chaque sein dont elle ne pouvait pas s'occuper avec sa bouche. C'était un rituel qu'elles n'avaient jamais arrêtées de faire, même lorsque Kleeah avait arrêtée d'allaiter Kazima, elles avaient toujours continué ce moment intime de la tétée  qui était devenu...bien autre chose à mesure que les années étaient passées...

Hmmmm...

[Rhian Thoris]

Kleeah était prête à tout pour sa fille. Elle était prête à mourir sans la moindre hésitation, car rien n’était plus précieux, à ses yeux, que sa fille. Elle avait éduqué celle-ci, et elle avait dû donner à cette éducation un rôle incestueux, en raison du Don de Lazrah. Si elle ne l’avait pas fait, Kazima aurait été dépassée par ses pulsions. Kleeah avait donc longuement veillé sur elle. Kazima se retourna finalement, et les deux femmes s’embrassèrent longuement. Kazima était de nouveau bien excitée, place face à un choix cornélien… Mais Kleeah savait déjà ce qu’elle allait choisir. Elle soupira tendrement, les lèvres de Kazima se collant au sien. La main de Kleeah caressa ses cheveux, s’appuyant sur la longue chevelure soyeuse de Kazima. Leurs langues se mélangèrent l’une à l’autre, et Kazima avança encore, déplaçant Kleeah, jusqu’à ce que ses fesses heurtent le mur.

« Oh, Kazima… » soupira Kleeah.

Sa belle Kazima s’attaqua à son sein, tout en lui annonçant être prête, être bel et bien prête à recevoir le Don de Lazrah. De tels mots étaient du pur délice aux oreilles de Kleeah. Rien ne pouvait lui faire plus plaisir que d’entendre ça ! Se dandinant sur place, Kleeah se mit à gémir longuement, sa main se crispant sur les cheveux de sa fille. Elle écarta les jambes, facilitant les doigts de sa fille. Oui, celle-ci était sûre, et Kleeah, même si elle était très heureuse de ce choix, n’en était pas forcément surprise. Après tout, elle avait tout fait pour que Kazima accepte ce magnifique don ! Elle avait toutefois toujours cru que Rhian serait la dernière étape.

C’est avec délice qu’elle laissa Kazima s’attaquer à ses seins. Tout comme Kleeah lui avait appris à se masturber, Kazima avait toujours aimé téter les seins de Kleeah, un rituel qui ne s’était jamais vraiment perdu, et qui n’avait cessé de se perpétuer au cours des années.

« Oh, Kazima, je suis si fière de toi, ma belle, si heureuse de ce que tu es… Tu es magnifique, ma belle, et, crois-moi, Rhian va t’adorer ce soir… »

Elle lui sourit donc, tout en sentant aussi, contre ses cuisses, le renflement de la verge de Kazima. Kleeah lui avait aussi appris à bien savoir lécher un sexe, et elle s’était exercée sur le sien, fourrant sa langue dans l’intimité de sa mère à la recherche de son point de plaisir. Kleeah lui avait tout simplement tout appris, et elle n’avait jamais ressenti cela comme un fardeau. C’était sa fille, son héritage, la chair de sa chair.

Pourquoi attendre, en effet… Il n’y avait aucune raison à cela, et Kleeah gémit à nouveau, bandant les muscles, et raffermit sa prise sur Kazima.

« Fais ce que tu veux de mon corps, Kazima… Prends-moi avec ta belle queue ici, ou dans le lit, mais, je te préviens, hmmm… Si tu passes par là, si tu déclenches le Don, quand Rhian arrivera ce soir… Nous serons sûrement encore en train de forniquer, ma chérie… »

Ce qui n’avait en soi rien de dérangeant pour Kleeah, mais elle tenait à le préciser à sa fille…

[Chloé Faure]

Oui, Kazima était prête. Les derniers doutes qu'elle avait pu avoir concernaient Rhian, et ces derniers avaient obtenu réponse de sa mère. Kleeah n'avait jamais cachée sa préférence quand au fait que sa fille accepte son Don, plutôt que de le renier, mais Kazima lui faisait intégralement confiance pour ne pas agir d'une quelconque façon qui puisse altérer son jugement, c'était son choix et le sien seul.

Hmmm...

La jeune hermaphrodite soupirait langoureusement tout en tétant les seins de sa mère, qui était plaquée contre le mur par sa fille qui sentait un désir ardent la traverser. Ardent, mais dores et déjà bien plus contrôlable. Depuis que Kleeah l'avait sucée pour la faire jouir dans sa bouche, c'était comme si le Don de Lazrah accordait une sorte de répit à Kazima pour avoir enfin décidée de l'accepter. Des pulsions, certes fortes, mais qui ne lui feraient plus perdre le contrôle comme avant, ça la jeune sorcière pouvait le gérer...surtout si Rhian les rejoignait par après. Pour le moment, Kazima s'offrait pleinement, complètement, à sa mère, mais elle anticipait déjà plus tard, ce soir, quand Rhian les rejoindrait.
Kazima en bandait dur, très dur même, rien qu'à la perspective dores et déjà de s'enfoncer dans la chatte de sa propre mère, et c'était une perspective que le Don semblait encourager en lui donnant une vigueur sans précédent. Kazima ne débandait pas, même après avoir joui, et la jeune hermaphrodite frottait donc délicatement son sexe dur contre l'une des cuisses de sa mère, tandis qu'elle explorait avec les délicats doigts d'une de ses mains, l'antre intime, humide et chaude, de Kleeah.
Cette dernière crispa d'avantage ses doigts sur le corps de sa fille, et déclara que si Kazima la prenait maintenant, si elle déclenchait le don, elles en seraient encore à coucher ensemble ce soir lorsque Rhian viendrait. Kazima redressa alors son visage pour aller embrasser sa mère, de façon assez appuyée, forte...sauvage même. La jeune hermaphrodite glissa sa main libre dans la nuque de sa mère pour empoigner ses cheveux, tout en se lovant contre elle, la plaquant contre le mur, fourrant sa queue tendue et dressée contre son ventre, en laissant quelques trainées de liquide séminal sur sa peau. Elle continuait de doigter sa mère de son autre main pendant ce temps, fourrant deux doigts dans sa chatte d'où s'échappaient maintenant d'audibles sons de succion.

Je ne pense pas que Rhian nous en voudra d'avoir pris de l'avance si je peux m'occuper d'elle par après mère...et puis...je ne peux pas attendre jusqu'à ce soir.

La verge dressée de Kazima témoignait bien de cette envie furieuse qu'elle avait de baiser, même si elle semblait dores et déjà mieux se contrôler, et être capable de formuler des phrases entières. Elle se retira toutefois de sa mère. Sa main sur sa nuque alla s'emparer d'une de ses mains, tandis qu'elle porta à ses lèvres l'autre, celle qu'elle avait utilisée pour doigter Kleeah, et suça ses doigts face à elle.

En revanche...je pense qu'on peut opter pour un endroit plus confortable.

Un léger sourire, qui montrait qu'elle semblait enfin soulagée d'un poids. Elle mena donc sa mère jusqu'à leur chambre commune, qui disposait d'un très grand lit, et s'empressa d'ailleurs de s'allonger avec elle dessus, en se blotissant contre elle. Rapidement, Kazima retourna sa mère pour l'allonger dos sur le lit, en se positionnant au dessus d'elle, entre ses jambes écartées.

Maman...

Kazima aurait aimée peut-être faire durer les choses un peu plus longtemps en terme de préliminaires, mais avec sa verge si proche de la chatte de Kleeah...cette dernière pu lire dans le regard de sa fille une soif intense, irrésistible, contre laquelle elle ne pouvait pas lutter. Alors Kazima remua son bassin, le but de sa verge tapant contre les cuisses et l'aine de Kleeah alors qu'elle cherchait son chemins, jusqu'à trouver cette ouverture si désespérément désirée...pour finalement se glisser en elle d'un seul coup.
Kazima sentit alors une sorte de choc électrique partir depuis sa verge et traverser tout son corps, la jeune hermaphrodite sentit tout ses muscles se crisper sous l'effet d'un plaisir intense, suivi très vite par une frustration qui l'amena à remuer, à faire aller et venir son sexe dans le con de sa mère.

Hmmm !!!M-mère...Haaaaaa...OOOOOOh !!!!

[Rhian Thoris]

Kleeah et Kazima se retrouvèrent donc dans la chambre à coucher. Kleeah était ravie, et sentait une vive excitation la saisir. Elle pouvait presque sentir la présence heureuse de Lazrah. Kleeah se chargerait sans aucun doute de l’invoquer ce soir, pour qu’elle puisse, elle aussi, célébrer la survivance de son don. Kazima était prête, et Kleeah attendait depuis des années ce moment. Dès qu’elle avait senti l’éveil du Don chez Kazima, dès qu’elle avait senti son priapisme naissant, Kleeah avait patiemment attendu que Kazima grandisse, et qu’elle soit finalement prête de la prendre ici, dans leur chambre nuptiale. Bien que Kazima dispose de sa propre chambre, il était fréquent que les deux femmes dorment ensemble, et ce même quand Kazima avait grandi. Kleeah se prélassait à sentir, à chaque matin, les érections naissantes de sa fille contre ses cuisses, et l’aidait à se réveiller en la masturbant. Kazima se tortillait alors dans le lit, jusqu’à ce que le sperme ne jaillisse de sa magnifique verge.

Il semblait donc naturel que Kazima perde sa virginité ici. Plus les deux femmes montaient les marches et rejoignaient la chambre, et plus l’érection de Kazima grandissait, enflant au fur et à mesure. Kleeah se coucha donc sur le lit, et Kazima la coucha sur le dos. Elle sentit sa verge titiller ses cuisses. Kazima était impatiente, et Kleeah sourit, caressant sa joue d’une main, son autre main s’appuyant sur son épaule.

« Tu es si vigoureuse, Kazima, ma chérie… C’est la fougue de la jeunesse ! »

Kleeah se pinça les lèvres, et écarta les jambes, facilitant l’accès de Kazima. La main de celle-ci se posa sur sa verge, et elle la releva, puis la pénétra alors. Un frisson les traversa mutuellement. Pas d’hésitations, pas de baisers ou de caresses, Kazima avait… Tout simplement trop faim ! Une soif dévorante qui la déchirait de l’intérieur, et qui l’amena à s’enfoncer brutalement en elle. Kleeah soupira, et se mordilla les lèvres, avant qu’un long soupir lascif ne s’échappe de ses lèvres.

« Hmmm… »

Contre elle, Kazima commença à s’allonger progressivement, et la main de Kleeah se saisit de ses cheveux, l’autre main descendant le long du dos de sa fille pour palper ses belles fesses. Elle crispa sa main sur son cul, et partagea avec elle un délicieux baiser. Ses jambes remontèrent ensuite, et s’enroulèrent autour du corps de sa belle, l’immobilisant ainsi, l’emprisonnant tout contre son corps. Aucun geste-barrière, aucun mouvement de refus de la part de Kleeah, si ce n’est une acceptation sans réserves et sans équivoque du corps de sa belle aimée.

Le moment attendu était tant arrivé ! Kleeah en ferma les yeux, sentant ceux-ci s’embuer. Quand elle les rouvrit, si Kazima réussissait à avoir la force de la regarder, elle pourrait ainsi voir les yeux embués de Kleeah, légèrement rougis, avec deux sillons de larmes se creusant sur ses joues.

« Oh, Kazima, tu es si belle, mon amour… »

C’était tout ce qu’elle pouvait dire, tout ce qu’elle avait à dire. Que dire de plus, en même temps ? Elle savourait la puissante queue de Kazima, son énergie, son endurance… Sa fille était pleinement concentrée, et les doigts de Kleeah se crispèrent sur son cul. Elle soupira encore, sentant le désir croître en elle. De fait, Kleeah eut très rapidement un premier orgasme, tant elle avait attendu ce moment avec impatience, tant elle l’avait rêvé… Et tout se déroulait effectivement comme dans ses rêves.

Soupirant lentement, Kleeah ferma les yeux pendant quelques instants, avant de les rouvrir. Elle ne voulait rien perdre de ce moment, rien, car elle savait que cette scène serait à jamais gravée dans sa mémoire…

[Chloé Faure]

Kazima n'avait tout simplement pas pu résister à l'envie, et au besoin même de s'enfoncer dans la délicieuse chatte de Kleeah, sa mère. La jeune femme aurait aimée faire preuve d'un peu plus de retenue, pour explorer d'avantage le corps somptueux qui s'offrait sans retenue à elle, mais dès lors que Kazima s'était retrouvée allongée sur Kleeah qui écartait ses cuisses pour l'accueillir en elle, la jeune hermaphrodite avait senti la même poussée de désirs incontrôlables qu'auparavant. Kazima s'enfonca donc vivement dans le vagin de Kleeah, et se mit par la suite à remuer en elle.

Aaaah m-mère...ooooh...

Le plaisir de Kazima ressentait à plonger sa queue dure comme l'acier dans la chatte de sa mère, était proportionnel à toutes les souffrances que le don de Lazrah avait pu lui infliger au cours de ces dernières années. Lovée tout contre elle, Kazima l'embrassait tout en se mettant à remuer de plus en plus vite, au point de faire grincer le lit frénétiquement au rythme de ses coups de bassin. La queue de la jeune hermaphrodite n'avait aucun mal à coulisser dans cette chatte bien chaude, bien humide, au point que d'intenses bruits spongieux s'en échappaient à chaque va et viens.

Hmmmm !!!!!

Kazima etouffait ses propres gémissements en allant embrasser sa mère, soit en allant mordiller la peau de son cou, soit en descendant encore plus bas jusqu'à ses seins. La jeune hermaphrodite se retient d'ailleurs tant bien que mal de jouir précocement lorsque sa mère elle contracta un premier orgasme, les parois de son vagin se crispant alors encore d'avantage contre sa verge, mais elle parvint à tenir bon.

Oh Maman c'est...huuum...c'est si bon en toi...

[Rhian Thoris]

Kleeah savait combien sa fille était excitée, combien celle-ci avait du mal à se retenir. Le Don de Lazrah était puissant, si puissant, et il prenait progressivement possession du corps jeune et très énergique de sa fille. Elle n’arrivait plus à se retenir, et Kleeah en arriva à la réflexion qu’il était temps. Ce soir, Kazima coucherait avec la Princesse, et satisferait ainsi le Don. Initialement, Kleeah avait plutôt envisagé de faire ça en compagnie de Rhian, car elle savait que sa fille était amoureuse de Rhian. Un amour qui ne pourrait jamais aboutir à un mariage, car Rhian était destinée à se marier avec un puissant Papuan, mais qui pouvait néanmoins faire de Kazima l’amante, la concubine, et la magicienne de Rhian. Quand Kleeah serait trop vieille pour assister la famille royale, Kazima se chargerait de cette mission. Pour l’heure, il appartenait toutefois à Kleeah de recueillir le bébé de Kazima, une fille qui aurait un beau petit vagin, et que Kazima pourrait enfanter ensuite pour perpétuer la lignée.

On aurait pu craindre une dégénérescence liée à la consanguinité de cette famille, mais cela n’arrivait pas, car Kleeah multipliait des rituels pour purifier les fœtus, et s’assurer que les bébés naissent sains et porteurs. Toutefois, des accidents pouvaient toujours arriver, car la vie n’était pas une chose facile à maîtriser. Dans ce cas, d’autres enfants étaient conçus ! Kleeah était impatiente à l’idée de recevoir l’enfant de Kazima, et sa jeune fille la pénétra vigoureusement, s’allongeant sur elle, incapable de se retenir.

« Hmmmm… !! »

Les deux beautés s’embrassèrent, la peau nue claquant contre la peau nue. La main de Kleeah se saisit des cheveux de Kazima, et elle gifla le cul de sa fille, la sentant s’enfoncer lourdement en elle. Un baiser vorace les lia ensemble, et Kleeah se pressa contre le corps de sa fille, très excitée. Comment ne pas l’être ? Elle couchait avec sa fille ! C’était le but de sa vie, et sentir l’énergie furieuse de sa fille sur elle était une sensation incroyable.

Elle soupira doucement, tandis que le baiser dura plusieurs minutes. C’était un moment intense, onctueux. Elles s’unissaient l’une contre l’autre, et Kazima remuait joyeusement, la beauté de son corps nu se crispant au sien. Kleeah maintenait sa main sur son cul, pétrissant ses fesses, rapprochant ses ongles de sa croupe, qu’elle titilla lentement, avec un appétit croissant et féroce.

« Ka-Kazima… ! »

Mouillant frénétiquement, Kleeah se mit à jouir copieusement. Si sa fille bandait ses muscles pour retenir son orgasme, la Chamane n’avait, elle, aucune raison de se retenir. Elle laissa le plaisir l’envahir, et goûta avec une joie profonde et sincère à un orgasme bien mérité. Elle sourit quand Kazima complimenta sur le fait d’être en elle, et répondit à la jeune femme en fourrant un doigt dans le fondement de sa fille. Celle-ci hoqueta sur place, et Kleeah l’embrassa brièvement, si heureuse d’être là… Si heureuse d’être enfin unie avec sa fille !

Souriant doucement, elle s’empressa de lui répondre, tout en enfonçant plus profondément son doigt en elle :

« Et encore, hmmm… Ce… Ce n’est que le début, ma chérie. Remplis mes cuisses, je veux sentir ton foutre en moi, je veux sentir ton magnifique sperme me remplir pleinement, ma Kazima… »