The Multiversity

Nagisa Takawashi était l'une des multiples élèves qui composaient le lycée Jinmu, et se perdait un peu...voire même beaucoup dans cette masse de laquelle elle n'avait rien pour se démarquer. Issue d'une famille assez pauvre, elle ne pouvait suivre des études en ville que grâce à quelques bourses lui permettant d'avoir un peu d'argent ainsi qu'un tout petit studio étudiant d'une pièce, à peine 9m carrés d'intimité, et tout ça ne lui permettait que de subvenir à ses besoins les plus élémentaires. Impossible pour elle de se permettre un peu de shopping, d'aller au cinéma ou d'aller dans un bar, même ponctuellement, et peu à peu ça avait commencé à la mettre de côté de tous les groupes d'amis qui avaient pu se former. Les gens pouvant être méchants par nature, il lui arrivait même de se faire moquer ou insulter à l'occasion, sa nature de "pauvre" n'ayant pas échappée à certains qui n'hésitaient pas à se moquer d'elle. Nagisa faisait de son mieux pour ne pas y faire trop attention, mais c'était dur, elle qui était d'un naturel assez timide et réservée, n'était pas vraiment aidée ainsi et restait donc seule avec elle même, se demandant même si après le lycée elle pourrait seulement faire encore des études tant ces dernières coûtaient cher...
Tout n'allait donc pas forcément bien pour la jeune lycéenne de 16 ans, mais qui faisait de son mieux en espérant qu'un jour la chance finisse par lui sourire un peu, mais elle n'en prenait pas vraiment le chemin, car sans le savoir ses sentiments la mettaient au contraire sur une voie bien...différente. Le coeur a ses raisons que la raison ignore, et c'était bel et bien le cas pour elle dans une période aussi troublée que la puberté, car elle était tombée amoureuse de nul autre que Brian Lawson. Non seulement il était de deux ans son aîné, mais il faisait aussi partie de cette caste très particulière au sein du lycée des gens populaires et riches, diablement riches même. Nagisa ne connaissait bien entendu pas tous les détails, mais elle savait que Brian était clairement un aristocrate, qu'il lui arrivait d'observer silencieusement en le trouvant beau, majestueux même...mais elle ne se faisait guère d'idées. Elle n'était personne, une pauvre, qui par manque d'expériences sociales n'avait pas beaucoup de conversation, et estimait donc que ses chances devaient approximativement se trouver aux mêmes niveaux que les abysses de la Terre. Cela la faisait souffrir en silence, d'autant qu'elle ne parvenait pas vraiment à se faire une raison et à oublier ces sentiments impossibles, alors elle faisait comme le reste, elle essayait d'encaisser.

Ces derniers temps toutefois quelque chose d'autre la tracassait, car elle était quasiment certaine que quelqu'un avait fouillée dans son casier personnel. Pourtant fermé à clef, elle l'avait retrouvée avec le contenu remis à des places étranges, et même si elle se disait que c'était son imagination, ça la travaillait. Un peu romantique sur les bords, Nagisa en effet tenait un journal intime écrit qu'elle gardait à l'abri dans son casier, où elle notait ses pensées, car les coucher sur le papier l'aidait un peu à réfléchir dessus, et à relativiser, et il y avait donc entre autres ses sentiments pour Brian. L'idée que quelqu'un aie pu lire ça la terrifiait, mais au bout de plusieurs jours personne n'était encore venu l'embêter avec ça alors, elle tâchait de se convaincre qu'elle était juste un peu trop paranoïaque sur ce coup là. Elle rangeait d'ailleurs silencieusement ses livres dans le casier après la fin de cette journée de cours, sans se douter que sa vie allait changer assez radicalement...

C'était sa copine qui avait vu ça. Leona Morimoto, la Présidente du Club social, était une femme très observatrice, et elle s'était intéressée à l'une des nouvelles du lycée, une petite timide répondant au doux nom de Nagisa Takawashi. Elle n'avait rien de particulier, mais elle ne faisait encore partie d'aucun des clans qui régnaient secrètement sur le lycée Jinmu. Nagisa était très timide, avec un air ingénu sur le vissage, et une allure de petite ange. Une véritable Cendrillon, originaire d'une famille pauvre. Leona avait fouillé sans vergogne son casier, disposant de toutes les clefs des casiers, et avait constaté que ses intuitions étaient les bonnes. Dans son journal intime, Nagisa couchait ses doutes, ses craintes, mais aussi son amour profond pour Bryan Lawson. Elle voyait en lui le Prince charmant qu'elle n'aurait jamais mérité, et, comme elle était sans doute vierge, on pouvait s'attendre à ce qu'elle soit très frustrée.

Bryan avait vu en elle l'occasion de s'amuser à nouveau. Arrogant et prétentieux, il se considérait naturellement comme étant supérieure à la masse, et allait faire d'elle son nouveau jouet, voir jusqu'à quel point elle l'aimait vraiment. Bryan alla donc la voir après la fin des cours. Le lycée commençait à se vider, et Nagisa, qui n'avait aucun ami, était seule, rangeant ses livres dans son casier, pour ensuite se changer. Absorbée dans sa tâche, elle ne vit pas Bryan approcher. Lui ne cherchait pas une petite-amie, mais une proie, une femme avec qui il pourrait s'amuser. Est-ce qu'elle le repousserait d'entrée de jeu ou non ? Bryan n'avait pas la patience d'attendre, et, ce soir, il avait envie d'avoir sa petite chienne.

Le jeune homme se rapprocha donc de Nagisa. Elle avait son dernier livre en main, quand il se colla contre elle, et posa brusquement une main sur ses fesses.

Il la coinça contre le casier, et, naturellement, la jeune femme hurla. Souriant lentement, Bryan la laissa se retourner, et croisa son regard.

« Bonsoir, Nagisa-chan... J'ai cru comprendre que je t'intéressais ? »

Elle semblait s'être figée, comme si on esprit s'était déconnecté. Bryan plantait son regard vénéneux dans le sien. Elle était si belle, une beauté d'innocence, un gemme de douceur et de candeur. D'aucuns auraient sans doute voulu préserver son innocence. Lui, ça lui donnait encore plus envie de la corrompre, de la pervertir, de la faire couiner !

« Tu me reconnais, non ? Bryan Lawson... Toi, Nagisa-chan, je viens te faire une offre que tu ne pourras pas refuser. »

Il se décolla un peu d'elle, et glissa ses mains dans ses poches.

« Je me demande pourquoi une fille mignonne comme toi reste seule, et n'a pas de petit-ami... Mais j'en ai eu la confirmation quand on m'a fait lire ton journal intime. J'ai bien aimé tes fantasmes à mon sujet, et où tu fantasmes sur la taille de ma verge venant t'enfanter. »

Bryan sourit doucement en voyant le visage de Nagisa s'empourprer encore. Elle aurait pu s'énerver contre ça, protester, mais il sentait bien que ce n'était pas dans son tempérament.

« Je t'offre la possibilité de quitter ta vie de misère sans intérêt pour me rejoindre, Nagisa-chan... Devenir l'une de mes concubines. Tu auras droit à une chambre chez moi qui doit faire le double de ton clapier, à plus d'argent que tes parents n'en auraient jamais rêvé... Et à sentir cette verge qui te fait tant fantasmer. »

C'était direct, mais Bryan n'avait pas l'habitude d'y aller par quatre chemins. Comment Nagisa allait réagir ? Allait-elle s'énerver ? Il était curieux de voir ça !

Nagisa s'apprêtait à rentrer chez elle, à faire ses devoirs, et peut-être regarder quelques vidéos si la connexion internet de sa chambre étudiante le permettait ce soir, mais ce n'était même pas garanti. Honnêtement la jeune femme aurait vraiment aimée pouvoir faire tous ces trucs d'adolescentes, sortir avec des amies et tout, mais l'absence complète d'argent avait été un malus qui ultimement avait fini par la mettre à l'écart. La seule chose qu'elle espérait à ce stade, c'était d'être quand même acceptée à l'université à l'issue de son parcours au lycée, et de pouvoir décrocher un job lui permettant de vivre confortablement au contraire de ses parents, c'était ça son grand rêve, ce qui en disait long sur les privations qu'elle avait eu à subir tout au long de sa vie. Bien sûr sortir avec Bryan faisait aussi partie de ces "rêves", mais là elle ne se faisait absolument aucune illusion, car le jeune homme pouvait avoir n'importe quelle fille à ses pieds en un claquement de doigts tant il devait être courtisée. Elle, une fille inintéressante et pauvre...elle n'avait même jamais pris la peine de rassembler le courage d'aller lui parler, car elle savait que ça serait futile, et qu'on se moquerait d'elle, et qu'elle en souffrirait alors à quoi bon ?
Nagisa était un peu perdue dans ses pensées tout en rangeant machinalement ses affaires, ce qui fit qu'elle ne nota pas la présence de Bryan, car de plus elle ne s'y attendait pas, personne ne s'approchait vraiment d'elle. Elle sentit soudainement un contact ferme et appuyé sur ses fesses, et écarquilla les yeux en sentant comme une décharge d'adrénaline parcourir son corps à toute vitesse.

HEY !

Il n'y avait personne dans le couloir, vu que peu de gens restaient effectivement après les heures de cours même si le lycée lui restait ouvert et accessible jusque assez tard dans la nuit. Personne donc ne l'aurait vraiment entendue crier, mais si elle supportait en silence les humiliations, les attouchements non désirés ça...elle n'était pas prête à se laisser faire à ce point !
Du moins...c'était ce qu'elle pensait sur le moment, jusqu'à ce qu'elle se retourne, et que la surprise bloque net toute la colère qu'elle avait pu ressentir sur le coup. C'était...c'était Bryan juste en face d'elle, l'homme qu'elle n'avait jamais osée regarder autrement que sous la couverture d'une large foule et à distance, se tenait juste en face d'elle, et elle fut estomaquée au point de ne pas arriver à parler sur le coup. Il lui fallait encaisser le fait qu'il lui avait mis la main aux fesses, et que visiblement il était...au courant de ses sentiments pour lui. Nagisa se sentit comme instantanément prise au piège et sembla comme figée sur place, avant de sentir une lourde, très lourde vague de chaleur et de gêne la traverser quand tour à tour, Bryan déclara qu'elle était mignonne, qu'il avait eu accès à son journal intime, et qu'il fit une interprétation pour le moins très perverse de ce qu'elle avait mis dedans.

J-je...

Mais que dire ? Certes elle avait mit noir sur blanc qu'elle aimait Bryan et pensait très souvent à lui, voire même qu'il lui arrivait de rêver qu'ils fassent l'amour, mais jamais elle n'aurait pu écrire des choses aussi crues ! Aurait-elle été moins intimidée et choquée qu'elle aurait pu protester, mais elle avait le coeur qui battait si vite, entre sa gêne d'avoir été découverte, et le fait que Bryan...s'intéressait à elle ? Il lui fit alors une proposition, d'être sa concubine et de venir vivre chez lui. C'était...sur-réaliste et encore une fois, la pauvre Nagisa eut bien du mal à assimiler toutes ces informations. Elle était tellement submergée qu'elle en oubliait que Bryan lui avait foutu une main au cul sans demander la permission, ou même suggérait qu'elle devienne une sorte de plan cul. Elle...elle était tout simplement submergée par le fait qu'il considère le fait de la laisser entrer dans sa vie, même si c'était d'une façon pas vraiment romantique...et elle avait du mal à y croire.

Ce...c'est une blague ? Je...non...c'est pour me faire marcher c'est ça je...je ne peux pas croire que Bryan Lawson s'intéresse à moi je...je ne suis personne...

Il était difficile de parler pour elle tant elle pouvait même un peu peiner à contrôler son souffle.

« Oh... Alors, tu en es là ? » demanda-t-il, sans vraiment attendre de réponses.

Il s'était attendu à ce qu'elle s'énerve, ou à ce qu'elle lui demande ce qu'il faisait, mais... pas à ce qu'elle aille jusqu'à dire qu'elle se trouvait tellement inutile qu'elle ne pouvait pas croire qu'il puisse s'intéresser à elle. Pourtant, le fait qu'il lui ait mis la main au cul comme le dernier des goujats était un exemple suffisamment démonstratif, non ? Cette fille manquait vraiment de confiance en elle... À un point qu'il n'avait pas imaginé jusqu'à présent !

Bryan se déplaça alors, et se rapprocha à nouveau d'elle. Il leva alors les bras.

« Tu vois une caméra cachée quelque part, Nagisa-chan ? Tu crois que moi, je m'abaisserai à lire ton journal intime, et à venir te voir à la fin des cours, si tu étais ''personne'' ? Tu n'es pas personne, tu es celle qui a l'immense honneur de pouvoir partager ma vie. »

Car c'était un honneur, à n'en pas douter ! Nagisa-chan était sous le choc, et avait dit la première chose qui lui venait instinctivement à l'esprit... Et c'était cette espèce d'adulation envers Bryan. Une adulation qui ne pouvait que flatter son égo. Nagisa-chan ne savait visiblement plus où se mettre, et Bryan estima que c'était une chose naturelle, finalement...

« Qu'on soit clairs, toi et moi, j'ai déjà une copine, alors je ne te demande pas d'être ma petite-amie... Mais l'une de mes amantes. On verra ce que tu pourras faire, mais ce n'est pas comme si j'avais besoin de servantes. »

Bryan se rapprocha encore d'elle, et sa main glissa alors sur la joue de Nagisa-chan, caressant ses cheveux, et il poussa doucement, venant la plaquer contre le casier. La jeune fille semblait sur le point de faire une crise cardiaque, rougissant comme une belle tomate.

« Tu veux que je te dise ce qui me plaît chez toi ? Cette innocence que je devine en toi, tes beaux yeux de biche qui semblent incapables d'imaginer quoi que ce soit de malfaisant chez les autres... Tu croyais peut-être que personne ne faisait attention à toi, Nagisa-chan, mais c'est faux. Plus je te voyais, et plus je me disais que tu ferais une parfaite soumise. C'est ce que tu veux, non ? Cette manière intuitive de te mésestimer... C'est typique des soumises. Et les femmes comme toi ne cherchent pas de petit-ami ou de petite-amie, elle cherche quelqu'un qui pourra les dominer, qui fera d'elles un objet de désir, et, ainsi, leur prouvera qu'elles sont importantes aux yeux de quelqu'un. C'est ce que je te propose, Nagisa-chan. Laisse-moi prendre le contrôle de ta vie, laisse-moi être le Prince que tu veux que je sois... »

Elle était romantique. Son journal intime dégoulinait de mièvreries et de doux poèmes, de rêves romantiques où elle s'imaginait vivre le parfait amour avec un homme riche à qui elle offrirait pléthore d'enfants. Cette description correspondait à Bryan... Jusqu'à un certain point.

Il l'embrassa alors, écrasant son corps contre le sien, et plaqua sa bouche sur la sienne. Il put sentir sa surprise, et fit durer le baiser pendant quelques secondes. Il la plaquait, l'empêchant de bouger, jusqu'à rompre le baiser, et lui sourit doucement.

« Je t'accorde le temps d'y réfléchir... Jusqu'à demain, disons ? »

Bryan lui tendit une enveloppe fermée qu'il glissa alors dans la chemise de la jeune femme. Il déboutonna un ou deux boutons de sa chemise sans aucune hésitation, et glissa l'enveloppe entre ses seins, puis lui sourit encore.

« C'est une invitation. Tu as jusqu'à demain 17h pour la mettre dans mon casier. Si elle n'y est pas, c'est que tu ne voudras pas de ma proposition, et tu continueras à suivre ta petite vive sans moi. Si tu la mets, c'est que tu acceptes que je devienne ton Maître. »

C'était un peu brutal, alors il lui accordait le temps de la réflexion. Bryan s'écarta alors d'elle.

« Il y a aussi mon numéro de portable. Si tu as des questions, n'hésite pas, mais sache que j'aime les femmes qui se décident et qui me font confiance. Le choix est simple... Si tu acceptes de me servir, je t'offrirai tout ce dont tu as besoin, tu seras une magnifique esclave. Tout ce que tu devras faire, c'est m'obéir. C'est ce dont tu rêves, non ? Un Prince charmant qui veille sur toi. C'est l'occasion de ta vie, petite fleur ! »

Insister trop pouvant l'amener à se braquer, il commença alors à s'éloigner...

Nagisa se serait effectivement énervée si n'importe qui d'autre lui avait ainsi mis la main aux fesses, mais face à Bryan la jeune femme se retrouvait pour ainsi dire sans défenses. Il...il était juste là, et il lui parlait à elle, ça semblait tellement invraisemblable ! Nagisa était si discrète et personne ne faisait attention à elle, elle ne pouvait donc pas croire que tout ça était quelque chose de sérieux, il devait s'agir d'une sale blague, mais c'est alors que Bryan s'approcha à nouveau d'elle. Le jeune homme faisait au moins une bonne tête de plus qu'elle, qui était petite et avec un gabarit très fin, elle était loin d'avoir des formes pulpeuses, autant dire que la différence entre elle et lui qui était assez grand et athlétique était palpable. Il posa ses mains au dessus de sa tête, contre son casier en ayant les bras tendus, comme un prédateur se penchant sur sa proie, il déclara alors que tout ça n'avait rien d'une blague, et qu'elle n'était pas "personne".

V-vraiment ?

Une toute petite voix, mais qui laissa aussi échapper autre chose, comme une sorte de lueur d'espoir. Effectivement, Nagisa était tellement amoureuse qu'elle en occultait la façon parfaitement goujate avec laquelle Bryan l'avait...abordée. Qu'il s'intéresse à elle lui semblait impossible...mais il la fit vite redescendre sur Terre quand il rappela qu'il avait déjà une petite amie. Évidemment, Nagisa était au courant, à force de l'observer régulièrement, et c'était aussi une des grosses raisons qui l'avaient fait abandonner toute idée de tenter sa chance. Comment aurait-elle seulement pu faire de la concurrence à Leona Morimoto ? Belle, riche et charismatique, elle aussi avait tout pour elle, et elle et Bryan faisaient clairement une sorte de couple parfait. Il lui proposait en revanche d'être une de ses amantes, ce qui n'était...honnêtement pas ce que Nagisa avait en tête dans ses rêves, mais Bryan l'empêcha seulement d'avoir l'opportunité de répondre en posant une de ses main sur sa joue, et en la poussant un peu contre son casier.
La jeune femme avait son coeur qui battait très fort avec ce contact physique, et elle ne répondit même pas au fait qu'il suggérait, de façon parfaitement inapropriée, qu'elle devait faire une très bonne soumise. C'est alors qu'il l'embrassa.

Hmm...

La jeune femme se trouva comme bloquée, non seulement car Bryan se plaqua contre elle, mais aussi car elle fut tellement surprise et choquée par ce qui se passait, mais d'avantage dans le sens ou jamais elle n'aurait cru ressentir ça ailleurs que dans un de ses rêves, mais dans la réalité. Elle était comme une poupée incapable de faire quoi que ce soit sur le moment, puis Bryan sorti alors de sa poche une enveloppe qu'il glissa dans sa chemise, non sans avoir au préalable déboutonné deux de ses boutons à l'avant pour la glisser contre sa petite poitrine, et quand il commenca à se reculer pour s'en aller...

A-attends !

La jeune femme se rapprocha alors d'elle même de lui après les quelques pas qu'il avait fait, avant qu'il ne s'arrête. Elle avait alors pris la lettre dans ses mains, semblant encore un peu hésiter avant de...de la lui tendre.

Ce...ce n'est pas la peine d'attendre jusque là. Je...j'accepte cette offre.

Nagisa semblait sur le point de s'effondrer sur elle même face à la pression de la décision qu'elle était en train de prendre, mais tout s'était enchaîné vite, et Bryan l'avait pour ainsi dire un peu poussée en déclarant qu'il aimait les femmes qui se décidaient et lui faisaient confiance. Honnêtement le fait d'être une sorte d'amante et non pas de petite amie lui brisait le coeur, mais Nagisa de base n'avait même pas envisagée que ses sentiments puissent déboucher sur quoi que ce soit, alors d'un certain côté, est-ce que ce n'était pas mieux que rien ? Et puis même si ça n'entrait pas en première ligne de compte, une chambre vivable et de l'argent ça pesait aussi dans la balance. Alors c'était ça ou rien du tout comme avant et...et Nagisa n'avait pas envie de revenir à l'avant, pas après avoir goûtée un peu à cet avant goût.

Mais je...je ne sais...rien faire de ce que tu attends de moi...

Elle était complètement vierge après tout, elle ne s'était même jamais caressée intimement, c'en était à ce point alors...une amante...elle avait bien évidemment peur de décevoir, ou de ne pas y arriver.

Il s'attendait sincèrement à ce qu'elle s'accorde le temps de la réflexion, même s'il était à ses yeux définitivement acquis qu'elle accepterait. Puisqu'elle fantasmait autant sur lui, c'était un choix logique... Mais il ne s'attendait clairement pas à ce qu'elle vienne accepter sa proposition immédiatement. Alors qu'il se retournait pour s'en aller, elle le suivit alors, et accepta son offre. Tremblant nerveusement, elle semblait sur le point de tomber au sol, et tenait avec ses mains nerveuses l'enveloppe de Bryan. Surpris, celui-ci se retourna vers elle, et sourit ensuite quand Nagisa-chan avoua être totalement incapable de faire ce qu'il attendait d'elle. Bryan sourit alors, et sentit une érection naissante croître en lui, déformant son pantalon.

Bryan se pencha vers elle, et commença par lever un doigt :

« Soit... Mais commence par me vouvoyer, Nagisa-chan. C'est le jeu, non ? Si je suis ton Maître, tu dois me vouvoyer. Pour le reste, je m'occupe des détails. »

Nagisa-chan semblait confuse, et Bryan savait très bien ce qu'elle pensait. Il attrapa alors l'enveloppe, et lui demanda de relever la tête. Figée, Nagisa-chan obtempéra, ayant visiblement du mal à le regarder. Il ouvrit donc l'enveloppe, et sortit, outre un petit carnet d'invitation, un collier en cuir. Il déplia le collier, qui comprenait un petit cœur en or massif, et le nom de Nagisa gravé à l'intérieur du collier. C'était un collier léger et plutôt élégant, et le regard de Nagisa-chan se fixa dessus. Curieuse, elle devait se demander si ce collier était bien là pour elle.

Comme quoi, Bryan était attaché à un minimum de cérémonial.

« Je vais te l'enfiler, alors... »

Il invita Nagisa-chan à se retourner, et passa ses mains par-dessus ses épaules, puis attacha lentement le collier à son cou, tout en se serrant dans son dos... Ce qui lui permit de sentir son érection.

« La règle de base est simple, Nagisa-chan... Tu ne dois jamais retirer ce collier, en aucune circonstance. Il est le signe que tu m'appartiens, mais aussi que tu es l'une de mes concubines. Tous mes hommes t'obéiront, et mes serviteurs pourvoiront au moindre de tes désirs. Ce collier est le signe de ta soumission à ton Maître, mais aussi du fait que je t'ai choisi parmi toutes les autres. »

C'était sans doute la phrase la plus romantique que Nagisa entendrait jamais de la bouche de Bryan ! Il referma le collier dans sa nuque, et la retourna alors. L'homme caressa encore sa joue, et glissa son pouce sur ses lèvres, forçant le passage en elle tout en lui souriant doucement. Son autre main continua à descendre, et se posa nonchalamment sur le postérieur de Nagisa-chan. Elle était sienne, alors il pouvait la palper là où il voulait.

« Je t'ai vu tiquer quand j'ai mentionné ma copine... Je te rassure, elle et moi, on ne s'aime pas, c'est juste une magnifique partenaire au lit... Et elle est très riche aussi. Nos rapprochements sont purement matériaux, comme un seigneur qui forme une alliance politique. Ceci signifie que je passe plus de temps avec mes amantes qu'avec ma copine. Dans une société moins puritaine, je me marierai avec mes amantes une fois la majorité requise, mais ce n'est pas comme ça que les choses marchent. »

Au Japon, le mariage était souvent vu comme l'accomplissement ultime pour une femme. Et, en lui disant qu'il n'était pas amoureux de Leona, Bryan savait qu'il ouvrait une porte dans le petit cœur de Nagisa, la croyance qu'elle arriverait peut-être à ce qu'il l'aime, et à ce qu'ils se marient ensemble... Il voulait justement la faire espérer, afin qu'elle se surpasse quand il le lui demanderait.

Il retira son pouce de ses lèvres, et retourna alors l'embrasser, serrant sa main sur son cul. Sa main avait filé sous la minijupe, et il serra la zone ici. Nagisa-chan portait une culotte classique, mais eut droit à un baiser encore plus appuyé que le précédent, où Bryan fourra sa langue dans sa bouche. Il l'embrassa longuement, remontant son autre main pour attraper ses cheveux, maintenant ainsi la tête de Nagisa-chan contre la sienne, et lui laissa l'occasion de sentir sa verge contre son corps.

Bryan termina le baiser après presque une bonne minute, et la regarda lentement :

« Maintenant, agenouille-toi, et embrasse l'un de mes pieds en jurant de me servir, d'obéir à ton Maître jusqu'à ta mort... »

Nagisa agissait sans doute là de façon très impulsive, peut-être même ne comprenait-elle pas encore dans quoi elle s'engageait, mais à ce moment il ne faisait aucun doute dans son esprit que c'était ce qu'elle voulait. Bryan se retourna vers elle aussitôt, et Nagisa était encore bien trop sous le "choc" pour se rendre compte qu'il commençait à bander, mais nota bel et bien la petite mise à l'ordre qu'il lui donna alors, sur la façon dont elle allait devoir s'adresser à lui. La jeune femme sentit une bouffée de gêne la parcourir, et baissa lors les yeux vers le sol.

P-pardon, ça ne se reproduira plus...

Nagisa se trouvait là littéralement comme une nouvelle employée désirant à tout prix un job face à un patron exigeant, à ce ci près que le "job" en question allait être de nature très particulière. La jeune femme n'était honnêtement même pas sûre de parvenir à le faire, mais il fallait bien qu'elle essaye et donne tout ce qu'elle pouvait. Elle était amoureuse de Bryan, à en crever même, et l'idée même que ses rêves d'être avec lui se concrétisent, même si c'était d'une façon assez inattendue, était tout simplement trop belle pour que Nagisa laisse passer cette opportunité. Bryan fort heureusement ne lui fit pas d'avantage de reproches, et s'approcha d'elle en prenant alors la lettre de ses mains, qu'elle n'avait même pas encore ouverte. Dedans un petit carton, mais aussi et surtout ce qui semblait bien être une sorte de...collier ? Nagisa sentit le rouge lui monter aux joues quand elle nota qu'il y avait son nom gravé à l'intérieur du collier, et un petit coeur en métal doré sur l'avant qui ressemblait beaucoup à de l'or...et qui devait même en être.

Oh c'est...c'est si beau...

Bryan la fit alors se retourner pour qu'il se retrouve dans son dos, et tout en lui enfilant lentement le collier, ce dernier insista alors sur la nécessité pour elle de ne jamais s'en séparer, quelle qu'en puisse être la raison, elle devait le garder. Le jeune femme se sentit alors toute étrange lorsqu'il affirma aussi que ses serviteurs lui obéiraient en voyant ce collier, car outre un signe de soumission à lui, c'était le signe qu'elle était "choisie" pour être sa concubine.

O-oui bien sûr...je le garderais précieusement au cou...

Il la retourna à nouveau dès lors que le collier était attaché, puis il se rapprocha à nouveau d'elle, glissant une main sur une de ses joues, et en usant de son pouce pour forcer l'accès entre ses lèvres, et glisser alors ce doigt dans la bouche de la jeune femme. Nagisa était perplèxe quand à ça, sentir ce pouce dans sa bouche mais...elle ne chercha nullement à résister, et poussa alors un petit gémissement étouffé lorsqu'elle sentit l'autre main de Bryan se glisser vers ses fesses. Presque instinctivement, Nagisa se mit alors à sucotter le pouce de son maître, tandis que ce dernier lui affirma qu'il n'aimait pas vraiment Leona Morimoto, mais qu'il s'agissait plutôt d'un couple arrangé, et qu'il passait donc plus de temps avec ses amantes choisies que sa copine "imposée". Pareille information ne manqua bien évidemment pas d'avoir l'effet escompté par Bryan, à savoir redonner une petite étincelle d'espoir dans le regard de Nagisa.

*Alors...si je fais en sorte de lui plaire vraiment...peut-être que...*

Ainsi, lorsque Bryan retira son pouce de sa bouche pour aller l'embrasser, il pu sentir que Nagisa ne chercha pas à être juste passive, mais tenta tant bien que mal de répondre à ce baiser en le laissant cette fois enfoncer sa langue dans sa bouche. Elle faisait de son mieux pour suivre, mais ne pu vraiment pas faire plus que essayer de mimiquer les mouvements de langue avec la sienne, et se blottir contre le corps de Bryan alors que ce dernier maintenait maintenant une main plus ferme encore sur son cul, en l'ayant glissée sous sa mini-jupe.

Hmmm...

Nagisa s'offrait donc à lui, autant que lui permettait son inexpérience des choses de l'amour et du sexe, et elle sentit la bosse naissante dans le pantalon de Bryan contre elle. Nagisa n'avait encore jamais vue de sexe masculin de ses propres yeux, mais se doutait bien que Bryan devait être en train de bander, et que ça signifiais qu'il était excité. Puis il se retira, et lui demanda alors de s'agenouiller, et de baiser l'un de ses pieds en lui faisant un serment. La jeune femme resta juste une seconde comme dans un rêve, avant de comprendre ce qu'il lui demandait, là, en plein milieu d'un des couloirs du lycée.

O-oui bien sûr...maître...

Nagisa se mit alors délicatement à genoux, ses genoux se trouvant alors sur le sol froid et dur du couloir, mais elle du faire bien plus pour atteindre les pieds de Bryan. Elle se prosterna donc littéralement face à lui, son visage atteignant alors l'une de ses chaussures, sur laquelle elle déposa alors une série de petits baisers.

Je...je jure solennellement de vous servir Maître, et d'obéir au moindre de vos ordres, jusqu'à ma mort...

Dans cette position, la petite jupe de son uniforme était complètement remontée, ce qui faisait que Bryan avait une vue plongeante sur son petit cul, et la culotte blanche qu'elle portait.

Elle allait sûrement espérer. C'était normal, logique, et même souhaitable. Ce que Nagisa ne pouvait pas encore concevoir, ou, alors, feindre de le voir, c'était l'arrogance de Bryan, et même son narcissisme. Elle hésitait donc, tremblant nerveusement, sentant l'excitation la traverser au fur et à mesure que le jeune milliardaire la palpait. Il la traitait comme un objet, un magnifique objet qu'il voulait dans sa collection... Et c'était visiblement tout ce que Nagisa-chan souhaitait. Elle semblait même ravie, sans doute persuadée qu'elle arriverait à le faire changer. Tant mieux ! Elle serait plus motivée comme ça ! Il aimait ça, et il sourit doucement en la voyant s'agenouiller respectueusement, l'appelant « Maître » sans rechigner. Quelle dévotion ! Bryan sourit encore, et frémit quand elle embrassa sa chaussure à plusieurs reprises.

Ravi par ce serment, Bryan s'agenouilla alors, et accrocha au collier de la jeune femme une laisse, puis se releva ensuite.

« C'est très bien, Nagisa-chan... »

Il admira sans vergogne la manière dont sa minijupe d'écolière se relevait, révélant sa magnifique culotte blanche. Elle était vraiment très belle, et il se glissa dans son dos, lui ordonnant de se mettre à quatre pattes.

« À quatre pattes, ma belle... »

Bryan se glissa dans son dos, et, quand elle se mit en position, il releva alors sa minijupe, et la coinça contre sa ceinture. Ainsi, il put admirer ses fesses, et s'agenouilla alors devant, observant cette zone en y approchant son visage. Lentement, Bryan déposa un baiser sur la croupe de Nagisa-chan, embrassant sa culotte, et malaxa ensuite son cul. Il prenait tout son temps, et se mit à appuyer avec chacune de ses mains, serrant ses fesses, les malaxant avec appétit. Il appuya encore, et continua son office, jusqu'à entendre Nagisa soupirer, et se mordiller les lèvres pour étouffer ses soupirs.

Sa main glissa alors entre ses cuisses, et il la posa sur son sexe, qu'il titilla à travers sa culotte. Bryan sourit encore en constatant que la jeune femme commençait à mouiller.

« Tu aimes ça, hein, quand un vilain et beau garçon comme moi te touche sans te demander ta permission ? Je n'aurai jamais imaginé que tu puisses être une telle perverse, Nagisa-chan... »

Il s'amusait doucement de son émoi, et se déplaça alors, attrapant la laisse.

« Suis-moi à quatre pattes, Nagisa-chan, comme la belle petite chienne que tu es. »

C'était une toute nouvelle vie qui commençait pour elle, et Bryan jubilait. Il s'avança donc naturellement, la tenant par la laisse, s'adaptant toutefois au rythme de Nagisa. Elle ne devait pas être habituée à marcher ainsi, et, vu qu'il l'avait bien excité, son esprit devait encore très embrumé par tout ce qu'il avait fait. Bryan s'en amusait, bien évidemment, et jouait avec elle. Ils rejoignirent ainsi tranquillement le parking du lycée, vide à cette heure. Plus précisément, l'homme la mena au parking administratif, réservé au personnel enseignant... Et à ceux qui disposaient d'accès à ce parking.

Le parking était situé à l'arrière du bâtiment principal, dans une cour. Bryan attendit quelques instants avant qu'une limousine ne s'approche. C'était une véritable limousine noire aux vitres fumées qui s'arrêta devant eux, et il se retourna vers Nagisa-chan.

« Tu as un joli cul, au fait... Tes seins sont petits, mais ça ne me déplaît pas non plus. Je suis sûr que je pourrai les tenir dans chacune de mes mains entièrement... Mais je ne te cache pas que je risque surtout de palper ton cul, petite chienne. »

Il s'amusait avec elle, la provoquant ainsi, sans aucune réelle subtilité. La limousine s'arrêta devant eux, et la porte latérale s'ouvrit toute seule, coulissant sur le côté. Bryan grimpa dedans, et Nagisa le suivit, puis il s'assit sur un fauteuil en cuir.

« Nous avons un petit quart d'heure à tuer avant de revenir à la maison, Nagisa-chan. Comme je suis gentil, je te laisse le choix. Soit tu t'installes sur moi pendant ce quart d'heure pour t'exercer à bien embrasser ton Maître, soit je le passe à malaxer et à embrasser ton insolent petit cul. Je te laisse décider ! »

C'était une proposition tout à fait honnête, non ? Et Bryan devait bien admettre qu'il commençait à avoir une belle érection en jouant ainsi avec sa nouvelle acquisition...

Jamais Nagisa n'aurait cru se trouver dans une position aussi humiliante, et surtout, être volontaire pour le faire. La pauvre était tellement amoureuse qu'elle ne voyait pas que Bryan jouait ainsi avec elle, mais elle était surtout tellement heureuse qu'il l'aie remarquée, et qu'il "daigne" s'intéresser à elle. Ce n'était évidemment pas tout à fait l'idée d'une romance avec lui qu'elle avait fantasmée au début...mais Nagisa n'avait jamais envisagée ça autrement que comme ça, un fantasme qui resterait à jamais inaccessible. Pour que ce rêve devienne réalité, elle était alors prête à tout, tout pour qu'il ne s'arrête pas. Après avoir embrassée la chaussure de Bryan, avec une dévotion qui flirtait avec une passion religieuse, la jeune femme frissonna quand le jeune homme se déplaça pour accrocher une laisse au collier qu'il lui avait mis tantôt. C'était clairement pour l'avilir au rang de chienne, et la jeune femme continuait d'être gênée par le fait de faire ça dans un lieu public, le couloir du lycée mais...il était hors de question pour elle de dire non. Ainsi, quand il lui ordonna de se mettre à quatre pattes, la jeune femme dégluttit avant de s'exécuter.

O-oui mon Maître...

Elle était bien entendu gênée, car dans pareille position sa jupe de lycéenne se relevait quand même sacrément, mais ce ne fut rien en comparaison de quand Bryan la releva encore plus lui même, et en coinça les plus sous sa ceinture pour assurer qu'elle ne retombe pas. Nagisa sentit le rouge lui monter aux joues, alors qu'elle exhibait ainsi clairement ses fesses, et que Bryan vint alors s'agenouiller derrière elle...et se pencha pour déposer un baiser sur ses fesses.

Aaaaah...

Nagisa se crispa légèrement sur le moment, et du se retenir de ne pas gémir trop fort alors que l'homme enchaînait en posant ses deux mains sur son petit cul, et se mit à le malaxer. Jamais elle n'avait été touchée aussi intimement, et encore moins en s'offrant ainsi comme ça. De plus, Bryan y allait d'une façon qui semblait confirmer son expertise en la matière, car il ne pressait pas ses fesses au point de lui faire mal...c'était même tout le contraire, Nagisa commençait à ressentir comme une délicate chaleur grimper au niveau de son bas-ventre, ce qui s'accentua encore quand au bout d'un long moment, Bryan déplaça une de ses mains pour la caresser entre ses cuisses, contre sa culotte à l'emplacement de son sexe, tout en la "provoquant" un peu.

Hmmm m-maître je...oui je...j'aime ça...

Nagisa était troublée car elle n'avait jamais ressentie pareilles émotions et sensations, mais effectivement, la tâche de cyprine sur sa culotte ne pouvait laisser aucun véritable doute. Bryan cessa alors de la caresser, puis se saisit de la laisse, et lui ordonna alors de la suivre à quatre pattes comme une bonne petite chienne. Cela prit du temps bien sûr, car Nagisa n'était pas habituée à pareille marche, mais elle s'exécuta en tâchant de suivre au mieux son maître qui menait la danse, et qui la mena jusqu'à l'entrée d'un parking à l'extérieur, où une limousine les attendait, et où elle monta avec son maître. Celui-ci, après l'avoir complimentée sur son cul, lui laissa le choix de ce qu'ils allaient faire pendant la durée du trajet jusqu'à la maison, ce qui troubla un peu Nagisa.

Je...et bien...je veux bien m'entraîner à vous embrasser, Maître...

Toute timide, elle prit toutefois sur elle de grimper sur Bryan, se mettant à califourchon sur lui. La jeune femme trembla d'ailleurs un peu d'excitation car dans cette position, son entrejambe entrait en contact avec la bosse du pantalon de son maître, et lui même avait un bon accès à toutes les parties de son corps si il le souhaitait, pendant qu'elle pencha timidement son visage vers le sien, le regard empli d'amour, et commença à essayer de l'embrasser.

Elle ne devait effectivement pas s’attendre à être traitée comme une Reine. Jamais Bryan n’ira jusque-là avec ses esclaves. Pour lui, il avait tout dit en la mettant à quatre pattes avec un collier. Elle était sa chienne, un bel animal de compagnie qu’il viendrait régulièrement fourrer. L’amour que Nagisa-chan ressentait pour lui allait avoir l’occasion d’être mis à rude épreuve… Car le fait d’aimer était un acte univoque, qui n’attendait pas de retour sur le principe. Finalement, l’amour désintéressé n’était-il pas le plus bel amour qui soit ? Un amour sans concession, sans restrictions, pour la personne qu’on aime ? C’était le seul amour que Bryan pouvait accepter, un amour à sens unique. Nagisa avait l’occasion de choisir… Pour le moment ! Mais, pour l’heure, la jeune femme se redressa lentement.

La limousine s’ébranla, et démarra péniblement. Elle grimpa sur les genoux de Bryan, et se mit ensuite à califourchon. L’homme sourit doucement en la voyant agir, et elle posa ses mains sur son torse, serrant sa chemise en tremblant nerveusement. Lui déplaça sa main, et la posa sans hésitation sur les fesses de Nagisa, palpant son cul, l’autre main allant caresser la joue de la jeune femme.

« Tu n’as encore jamais embrassé de garçon, hein ? Je vais prendre grand soin de toi, Nagisa-chan… Tu aurais pu tomber amoureuse de n’importe quel homme ennuyeux et chiant, mais tu as eu le bonheur de m’aimer moi… Je ne serai pas ton petit-ami, mais ce que tu vas découvrir avec moi surpassera toutes les relations amoureuses insipides que tu aurais jamais pu avoir. »

Il la sentait trembler nerveusement. La jeune femme hésitait, tandis que lui commençait doucement à avoir une belle érection. Sa verge caressa sa culotte, et elle rougissait lentement. Bryan se pencha vers elle, et elle ferma les yeux, avant que les deux amants ne s’embrassent. De la part de Nagisa, ce fut un premier baiser très timide, où elle se mit à couiner, se tortillant sur place, sentant les mains de son amant se serrer sur son savoureux corps. Le contact n’en restait pas moins particulièrement savoureux, et Bryan tremblait doucement d’excitation.

Quand Nagisa rompit le premier baiser, Bryan l’embrassa alors à nouveau, cette fois en pinçant son cul. La surprise amena Nagisa à ouvrir la bouche, et il fourra sa langue en elle. Il la vit trembler sur place, visiblement surprise par l’intensité de ce baiser, et continua son office, enfonçant sa langue en elle, caressant ses dents, mais aussi et surtout la langue de Nagisa. Il jouait avec, s’en amusant longuement, et se tortilla sur place, sentant son érection croître avec plaisir.

« Hmmm… »

Le baiser dura bien plusieurs minutes. Quand Bryan se retira, sa salive se lia à celle de Nagisa, qu’il coupa d’un coup de langue, et lui sourit alors, doucement.

« Je crois que tu mouilles, Nagisa-chan… »

Il s’amusait de ses rougeurs.

« Comme tu me plais beaucoup, tu peux déboutonner ma chemise, et caresser mon corps… Voire l’embrasser, aussi. Tu m’aimes, non ? Alors, tu dois aimer chaque partie de mon corps… »

Mine de rien, c’était un grand honneur qu’il lui faisait là !

Nagisa avait terriblement chaud, mais ce n'était pas ce genre de chaleur ordinaire qu'elle ressentait lorsque la température extérieure était élevée, elle découvrait cette incroyable sensation de "chaud" propre à l'excitation. La jeune femme ne s'en rendait pas encore vraiment compte, mais Brian titillait avec son attitude tout un tas de désirs refoulés chez la jeune femme, tournant autour du masochisme et de l'envie de se soumettre pleinement à un mâle dominateur, qui la ferait se sentir désirée, mais aussi possédée. Et puis, Bryan était beau après tout, assise à califourchon sur lui et en train de se faire embrasser par lui, Nagisa fondait devant l'ardeur de son nouveau maître, qui encore une fois n'hésita pas une seconde à poser ses mains sur ses fesses, sous sa mini-jupe relevée. Si Nagisa avait doucement, et timidement commencée par un tendre bisou, car elle n'avait jamais embrassée de garçon de sa vie et ne savait pas comment s'y prendre, Bryan prit rapidement les rennes pour lui montrer comment un vrai baiser était.

Hmmm...

Nagisa fut surprise de le sentir forcer l'entrée de sa bouche avec sa langue, puis venir jouer avec la sienne mais...passé la surprise, c'était loin d'être désagréable. Nagisa se faisait embrasser par Bryan Lawson à l'arrière de sa limousine, tandis qu'il lui palpait les fesses sans relâche, et que du fait de sa position...elle le sentait bander contre sa culotte. Nagisa s'inquiéta même momentanément de savoir si sa verge, qu'elle devinait comme...massive, pourrait seulement rentrer en elle. Mais dans le même temps, la jeune femme sentait qu'elle était progressivement en train d'humidifier sa culotte, une tâche humide se formant sur le tissu à l'emplacement de son vagin, et qui tendait à s'auréoler de plus en plus largement. Un fait que Bryan ne manqua pas de noter après avoir embrassé pendant bien plusieurs minutes Nagisa, et qui en retour ne manqua pas de la faire rougir.

P-pardon maître je...je ne peux pas m'en empêcher...

Bryan ne semblait toutefois pas lui en vouloir, et il lui suggéra même de...commencer à le déshabiller et de l'embrasser partout, argumentant que puisqu'elle l'aimait, alors elle devait aimer toutes les parties de son corps. Nagisa ne se rendait pas encore vraiment compte d'à quel point Bryan était en train de la manipuler et d'asseoir son emprise sur elle, mais quand bien même, elle s'en serait fichue. Elle était allée jusqu'à accepter de porter une collier et qu'il déclare qu'elle était sa chienne, à partir de là...

B-bien sûr maître...

Nagisa avait encore du mal à formuler des phrases, qu'elles soient complètes ou longues, tant elle avait la gorge serrée et peinait à croire la situation dans laquelle elle se trouvait, mais Bryan parvenait à l'amener à faire des choses qu'elle n'aurait jamais cru devoir faire un jour, et ce n'était d'ailleurs que le début. Elle approcha ses doigts tremblants de la chemise de Bryan, et commença à la déboutonner progressivement. Bien sûr, comme elle était nerveuse, elle ne le déboutonnait pas aussi rapidement, mais elle y parvint, et se mit d'ailleurs à frissonner d'avantage à mesure qu'elle voyait plus du torse musclé de Bryan, et que ses mains en déboutonnant la chemise vers le bas s'approchaient du pantalon de Bryan. La chemise du jeune homme tomba alors au sol de la limousine, et Nagisa se retrouva donc devant le spectacle de son torse musclé et galbre.

Vous êtes si beau maître...

Elle commença alors à le caresser, à frémir en sentant la peau de Bryan sous ses doigts, puis se pencha alors pour déposer une multitude de baisers sur son torse. C'était toujours très timide, mais laissait de plus en plus place à juste l'inexpérience qu'à la vraie timidité, vu son excitation grandissante. Nagisa prit au mot les instructions de son maître de l'embrasser partout, et au bout d'un moment, du même se décoller de Bryan pour finir à genoux devant lui afin de pouvoir embrasser son ventre, avant qu'elle ne redresse sa tête vers lui.

D-dois-je continuer plus maître ?

Mâle dominateur et arrogant, Bryan l’était assurément. Il ne s’en cachait nullement, et on l’aimait et on le jalousait pour ça. Il avait besoin de filles soumises comme Nagisa-chan pour exercer son autorité sur elles. Elle n’en prenait pas encore conscience, mais Nagisa allait vite comprendre qu’elle avait franchi le point de non-retour. On aurait aussi pu voir en Bryan un pervers narcissique, quelqu’un qui, pour exister, avait besoin d’écraser ses proches, d’envahir totalement leur vie, de tout savoir sur eux, de les contrôler totalement. Bryan voulait tout contrôler, et il saurait bientôt tout de Nagisa. Ses parents, ses résultats scolaires, ses amis, ses proches… Il saurait tout d’elle, et il la façonnerait comme bon lui semblerait. Il ferait d’elle une femme parfaite, une femme que les autres envieraient. Rien ne l’excitait plus que d’avoir des femmes belles et fortes à ses pieds. Des femmes qui refusaient catégoriquement qu’un autre homme que leur Maître leur touche, des objets de désir qu’ils soumettaient. C’était aussi pour ça que Bryan ciblait des filles qui étaient amoureuses d’autres garçons, afin de les remettre sur le droit chemin. Il adorait ça. Il appelait l’ancien petit-ami de sa nouvelle amante pour la baiser sous ses yeux. Avec Nagisa, ce ne sera pas vraiment le cas, mais il pouvait toujours évoluer ensuite… L’amener à séduire un garçon qui avait le béguin pour elle, à l’amener sur le point de lui faire l’amour, puis lui montrer qui était le vrai Maître de Nagisa.

Cette idée déclencha chez lui une furieuse érection, tandis que Nagisa-chan déshabilla sa chemise. Sous celle-ci, il avait un torse impeccable, sans le moindre poil. Un torse agréable et musclé, saillant, mais qui n’était pas non plus excessif. Il frémit lentement quand elle embrassa ses pectoraux, descendant ensuite sur son ventre. Elle reniflait son odeur, son parfum, et remonta, venant l’embrasser sur les flancs, approchant son visage de ses aisselles.

« Hmmm… »

Bryan la regarda encore un peu, celle-ci demandant si elle pouvait continuer à descendre. Entre-temps, la limousine venait de rejoindre un parc public, le longeant lentement. Vu l’heure, le parc était fermé au public, si ce n’est en enjambant les grilles. Bryan disposait toutefois des clefs du parc, car il appartenait aux Morimoto, et Leona était sa petite-amie. La limousine s’arrêta donc, et Bryan ouvrit alors la porte.

« Nous allons faire une halte avant d’aller au manoir, Nagisa-chan. Tu es ma chienne, non ? Alors, on va faire un petit tour… Mais on va t’habiller proprement pour ta promenade. »

Le chauffeur de Bryan avait récupéré des vêtements sous protection plastique. Bryan les récupéra, puis mit un bandeau autour des yeux de Nagisa, avant de la changer. Il lui ôta son sailor fuku, et la déshabilla intégralement, constatant qu’elle avait des poils pubiens. Sa main caressa son sexe sans aucune hésitation, et il glissa brièvement deux doigts en elle, recueillant sa mouille, la sentant gémir.

« Je me débarrasserai de tes poils ce soir, il faudra que tu t’épiles ici. »

Bryan enfila ensuite ses longues bottes, puis son corset et une culotte, le tout en latex et de couleur rouge. C’était une magnifique doggy suit, et, quand Bryan retira à Nagisa-chan son bandeau, celle-ci put constater qu’il s’était également déshabillé totalement. Intégralement nu, sa belle verge se dressait joyeusement, et Nagisa, qui était désormais devant la banquette, pouvait, en se redressant, avoir son visage près du sexe de Bryan.

« Voilà ta tenue de chienne, Nagisa-chan… Je m’occuperai désormais de ta garde-robes. Tu pourras toujours porter ton sailor fuku en cours, mais tu porteras des dessous sexy, et, hors des cours, des tenues adéquates à ta condition. Je veux mettre en valeur ta beauté, car tu es ma chienne, et je dois bien t’éduquer. Je veux que les garçons fantasment en te voyant, je veux qu’ils puissent voir ton cul et rêver de malaxer tes fesses… Je veux qu’ils bavent et bandent en pensant à toi, et qu’ils comprennent ensuite que tu es mienne. »

La voix de Bryan devenait plus lourde quand il parlait ainsi, tant tout ça l’excitait furieusement. Sa queue était d’ailleurs bien raide, et il se releva, sortant nu de la limousine, tenant la laisse.

« Tu vas découvrir les joies de faire l’amour en plein air, Nagisa-chan… Viens, ma petite chienne, ne sois pas timide ! »

Il tira sur la laisse, bien décidé à se promener avec elle. Son chauffeur avait ouvert la grille du parc, et Nagisa-chan pouvait s’attendre à une sacrée promenade là-dedans…

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Un amour à la folie (PV)

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