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Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 16:51
par Power Girl
Starr Industries était une firme multinationale disposant de plusieurs locaux installés ici et là. Starr Island, qui était une île privative, représentait le cœur pulmonaire de la société, son véritable siège social. La firme disposait bien sûr sur l’une des îles principales du Japon d’une succursale, mais c’était ici, au siège, que tout se traitait. L’île était très bien équipée, et disposait d’un ravitaillement quotidien par bateau. Elle comprenait donc plusieurs parties : un port de plaisance et industriel, un village, le centre des affaires, et une zone de loisirs avec une forêt, une plage, et même un parc d’attractions. Comme Karen aimait à se le répéter en plagiant un personnage célèbre de Jurassic Park, elle avait dépensé sans compter ! Starr Island était un véritable microcosme, disposant également de quelques petits îlots annexes, et d’un complexe souterrain.

L’île abritait aussi la villa privée de Karen Starr, richissime patronne de la firme, qui disposait de son propre Staff. Une équipe de secrétaires chevronnés, qui avaient toutes fait l’amour avec leur patronne, et qui disposait d’un triptyque central, la « Trinité Starr » :
  • Ruriko Tsubaki. Femme dévouée et très compétente, âgée de 27 ans, elle était très proche de Miss Starr, et assurait la gestion de son équipe, ainsi que de son emploi du temps. Ancienne avocate en droit fiscal, elle était alors mal vue et freinée dans son avancement du fait de son refus clair de se marier. Elle avait trouvé avec Starr-sama un épanouissement inattendu, et était l’une des rares personnes à savoir que Starr-sama était aussi Power Girl. Elle était l’indispensable agente de liaison permettant à la richissime PDG d’être aussi une super-héroïne très populaire.
  • Enosada Miyako. Originaire du Japon, Miyako faisait partie du Staff rapproché de Karen, mais pas en tant que secrétaire. Elle était son bras droit, et pouvait prendre sa place aux réunions du conseil d’administration. Cette femme autoritaire avait été débauchée par Karen d’une prestigieuse compagnie japonaise, et l’avait aidé à fonder sa compagnie. Et, comme Ruriko, elle faisait partie du cercle encore plus restreint d’individus connaissant la double identité de Power Girl.
  • Mayumi Hibasu était une autre femme de pouvoir au sein des locaux. Elle était chargée de communication, et dirigeait le service marketing. Amante régulière de Karen Starr, elle était chargée, derrière le service marketing, de tout le service sexuel de Karen. Véritable Maîtresse de Starr Island, elle éduquait les esclaves, organisait les soirées détente, et gérait la production de films pornographiques de Karen Starr.
Parallèlement à cela, l’équipe de Ruriko comprenait des secrétaires talentueuses et dévouées, plutôt soumises. Le profil était clairement féminin, avec des choix atypiques, que ce soit des femmes fortes, ou d’anciennes victimes, des femmes ayant souffert de sexisme, de maris abusifs, et n’ayant pas pu s’épanouir convenablement. On peut ainsi citer Momori Hachami, talentueuse secrétaire avec un goût prononcé pour le cosplay, et qui portait généralement des dessous affriolants… Il y avait aussi Kaori Chidori, une autre secrétaire assez proche de Momori, qui l’avait formé, et se chargeait principalement d’assurer l’accueil du bureau de Starr-sama.

Le tableau, enfin, se complétait par une ancienne esclave de Terra, une adolescente qui se promenait en tenue de soubrette dans les locaux privés de Starr-sama, Kamoni.

Et, parallèlement à ça, il y avait aussi d’autres secrétaires.

Aujourd’hui était un jour un peu spécial, car l’équipe de Ruriko récupérait une nouvelle recrue. Ruriko était la seule de l’équipe à savoir que cette femme n’était pas n’importe qui, qu’elle était Huntress, et, à titre plus intime, la future femme de sa patronne. Elle disposait donc d’un statut assez particulier, et Ruriko était ravie de l’accueillir dans son service. Les agents de sécurité conduisaient tranquillement la femme à travers des locaux très modernes, très propres, avec des décorations dignes du wabi-sabi : bonsaï, empilement de pierres décoratives, etc… Le tout avec des tablettes, des téléviseurs, des sas vitrés, des open space. Une vaste compagnie se trouvait là, avec un fourmillement ininterrompu.

Helena fut donc conduite dans l’étage de Starr-sama, où Kaori l’accueillit en se courbant vers elle.

« Bienvenue à Starr Industries, Wayne-san. »

Sa voix était douce et fluette.

« Starr-sama n’est pas encore disponible pour signer votre contrat, mais Tsubaki-sama souhaite profiter de la matinée pour vous présenter les lieux. Si vous voulez bien me suivre… »

Elle la guida jusqu’à une salle d’attente, le temps que Ruriko soit prête à aller l’accueillir…

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 16:51
par Helena Wayne
Starr Island était un vrai petit paradis. D’abord, en tant qu’île privative, elle n’était jamais envahie de visiteurs inopportuns comme des journalistes, des moralisateurs, ou pire encore, des super-méchants. Ensuite, elle disposait de nombreux aménagements de loisirs qui permettaient aux habitants de ne jamais s’ennuyer. Et enfin, grâce au ravitaillement quotidien par bateau, il n’était même plus nécessaire de la quitter pour se fournir en nourriture, en boissons ou en vêtements. Mais pour Helena, tout cela n’avait pas d’importance, car tout ce qui lui fallait pour être heureuse sur cette île, c’était la responsable, Karen Starr, alias Power Girl. D’abord camarades, puis partenaires en tant que super-héroïnes, puis amantes, et maintenant lancées dans une relation quasi-officielle, les deux femmes avaient décidé de se marier. Elles n’avaient pas encore décidé quand, mais elles s’étaient promis de le faire. Depuis, la vie d’Helena était plus étincelante que jamais. Même si sa relation actuelle avec Karen la comblait déjà de bonheur, elle était encore plus heureuse à l’idée de devenir sa femme. Et en attendant, d’autres changements allaient arriver dans leur vie. Elles avaient des tas de projets en cours, dont l’un allait se concrétiser aujourd’hui.

Ruriko Tsubaki, responsable de la gestion de l’équipe de Karen et agent de liaison de Power Girl, allait accueillir Helena dans l’équipe en tant que nouvelle secrétaire. Helena et Karen, durant l’une de leurs nuits d’ébats, avaient imaginé comme il serait amusant que l’humaine devienne une employée coquine au service de la kryptonienne, et qu’elles se montrent leur affection en faisant des cochonneries au bureau. Bien sûr, Helena savait qu’elle ne serait pas seule, Karen avait des rapports sexuels avec plusieurs de ses secrétaires, mais elle savait qu’elle aurait un statut particulier. Afin de donner une bonne impression, elle avait enfilé une tenue digne d’un entretien d’embauche, même si elle savait déjà qu’elle allait avoir le poste. Et comme elle soupçonnait de devoir se déshabiller à un moment ou un autre de l’entretien, elle avait choisi une lingerie noire plus qu’indécente avec un porte-jarretelle et des bas. Une des secrétaires de l’équipe, Kaori Chidori, vint accueillir Helena en lui disant que Karen n’était pas encore disponible pour signer le contrat, mais que Ruriko souhaitait profiter de la matinée pour lui faire visiter les lieux.

« Bien, je vous suis. »

Helena passa d’une salle d’attente à une autre. Elle fut impressionnée de voir comme les bureaux de la société étaient aérés et éclairés, offrant aux employés une atmosphère de travail des plus agréables, et elle fut tout aussi impressionnée par les courbes généreuses de Kaori moulées dans sa tenue de travail. Un vrai régal pour les yeux.

Une fois arrivée dans la nouvelle salle d’attente, Helena dût attendre environ dix minutes avant que Ruriko ne vienne la saluer. Tout comme Kaori, cette femme avait été gâtée par la nature, et sa tenue de secrétaire mettait ses atouts en valeur. Difficile pour la jeune femme de ne pas regarder ailleurs que vers son impressionnant décolleté.

Je commence à comprendre comment Karen fait son recrutement.

« Je suis ravie de vous rencontrer. J’ai vraiment hâte de me mettre au travail. »

Mais en attendant, elle allait pouvoir visiter le bureau avec la responsable de l’équipe comme guide. Et elle espérait secrètement que cette visite contiendrait une partie impliquant qu'elle se mette en petite tenue.

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 16:51
par Power Girl
Ruriko était une femme importante au sein de Starr Industries. Elle était le véritable bras droit de Karen, et elle savait tout ce qu’il y avait à savoir sur Helena. Elle était la fiancée de sa patronne, mais était aussi Huntress, une justicière qui était actuellement au repos. Après ces dernières aventures en Italie, puis en Afrique, Helena s’était attirée les foudres d’individus dangereux, et, en attendant que les choses s’apaisent, elle prenait des vacances forcées en compagnie de Karen. Ruriko se chargea de terminer les préparatifs, avant d’aller la voir. La jeune femme portait un élégant blazer violet, mettant en valeur son opulente poitrine, et une minijupe joyeusement fendue sur le côté, révélant d’interminables jambes fuselées. Un véritable bonheur visuel, une femme très belle, qui entra dans la salle d’attente.

Les pièces ici étaient assez espacées, et très propres, mélangeant modernité et tradition. C’était ainsi un parquet brillant sur la salle d’attente, avec des plantes japonaises, et une fresque murale ancestrale, une grande estampe représentant Starr Island. Ruriko entra ensuite, avec un parfum très agréable. Elle salua la jeune femme, souriant doucement.

« Bienvenue à Starr Island, Madame Wayne. Je suis heureuse de vous voir, Madame Starr dit tellement de bien sur vous… »

Helena avait hâte aussi, mais son regard se porta rapidement sur la poitrine de Ruriko. Celle-ci sourit brièvement, notant de son côté les longs collants de la jeune femme.

« Vous me suivez ? »

En se retournant, Ruriko s’avança dans le couloir, et quitta la salle d’attente, rejoignant une porte. Celle-ci s’ouvrit, et mena à une sorte de salle de détente, avec un bar, un réfrigérateur, et même plusieurs fauteuils et canapés, ainsi qu’une grande baie vitrée donnant sur l’un des jardins très modernes à l’extérieur de la villa.

« C’est là qu’on se détend, Helena. Il y a de l’alcool, un frigo, une cuisine intégrée à côté… On y mange ensemble le midi, et on peut se promener dans le jardin, et rejoindre la piscine privée de Madame Starr. Elle aime choyer ses employés. »

Ruriko se retourna encore vers Helena, lui souriant doucement. Que ce soit la vue de sa poitrine, ou de son fessier, celle-ci était magnifique à voir, se déhanchant sensuellement à chaque pas. Elle tenait dans la main une tablette tactile, et rejoignit ensuite une autre porte. Elle posait son doigt sur une sorte d’interrupteur à chaque fois, faisant coulisser un panneau. Cette porte se trouvait au fond d’un couloir, juste à côté d’une autre porte menant au bureau de Karen. Le bureau d’Helena se trouvait juste à côté, et c’était une grande pièce avec des plantes vertes.

Quand elles entrèrent, une voix agréable résonna dans la pièce.

« Bonjour, Tsubaki-san et Wayne-san. Je suis enchantée de vous voir, Wayne-san, et ravie à l’idée de travailler avec vous.
Je te présente l’IA gérant l’ensemble des installations informatiques de la structure… Sunday. »

Depuis le bureau d’Helena, un projecteur holographique s’illumina, et le buste de Sunday apparut alors. C’était un ravissant modèle bleuâtre aux beaux yeux bleus étincelants, qui leur sourit.

« Madame Starr l’a conçu avec l’aide d’une technologie extraterrestre qu’elle a récupéré dans les bases de données kryptoniennes.
J’ai pour fonction d’aider tous les employés. Madame Wayne, vous avez le plus haut accès d’accréditation pour bénéficier de mes performances et de mes services. »

Ruriko se déplaça lentement, et attrapa une photographie posée dans son cadre sur le bureau d’Helena. Le bureau était en angle, et elle le tendit vers la femme. Elle était avec Karen, en train de l’embrasser sensuellement.

« J’ai pensé que tu aimerais avoir cette image sur ton bureau, Helena. »

Elle lui expliqua ensuite qu’elle avait un manuel à disposition, avec ses identifiants, et des instructions sur les logiciels à utiliser. Autrement dit, elle allait avoir de la lecture ce matin. Elle récupéra le manuel, et le posa sur le bureau, tout en s’asseyant sur celui-ci, croisant élégamment les jambes.

« Alors, dis-moi, est-ce que tu as des questions ? »

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 16:51
par Helena Wayne
Après les présentations, Helena commença la visite en suivant Ruriko. Les deux femmes commencèrent par la salle de détente, qui contenait nombre de fauteuils et de canapés, un frigo, un bar, et une superbe vue sur l’un des jardins de la villa. D’après la secrétaire de Karen, cette salle de détente permettait également de rejoindre la piscine privée de la patronne pour faire un petit plongeon durant les pauses. L’humaine appréciait la vue, mais elle n’était pas aussi délicieuse que la vue du corps de sa guide. Elle se déhanchait sensuellement à chaque pas, et cela ne semblait pas forcé.

Quelle beauté.

Helena suivit Ruriko jusqu’à un couloir menant au bureau de Karen, et elles entrèrent dans le bureau juste à côté. Dès qu’elles entrèrent, une voix féminine robotique se fit entendre et un projecteur holographique s’alluma. C’était Sunday, l’intelligence artificielle gérant l’ensemble des installations informatiques de la structure.

« Je vois que ma chérie a pensé à tout. »

La kryptonienne avait déjà donné à sa chérie le niveau maximum d’accès pour utiliser les performances de Sunday. L’humaine était bien sûr curieuse de voir ce que cette IA pouvait faire, mais pour l’instant elle se concentrait surtout sur Ruriko. Cette dernière lui tendit une photo posée sur son bureau, où on la voyait embrasser sensuellement sa bien-aimée.

« Merci pour cette attention. Ça me fait très plaisir. »

Cette photo était une belle décoration pour son bureau. Elle avait également u manuel à lire ce matin, avec ses identifiants d’employée et des instructions pour bien utiliser les logiciels de travail. Ruriko alla s’asseoir sur son bureau, croisant élégamment les jambes, et demanda à Helena si elle avait des questions à lui poser.

« Eh bien oui, j’en ai plusieurs. »

La femme alla prendre une chaise et s’assit face à la secrétaire, croisant les jambes et bombant la poitrine avec autant d’élégance qu’elle.

« Je fréquente Karen depuis des années, mais je ne la connais pas vraiment en tant que patronne. Quels rôles ont ses secrétaires au sein de l’entreprise ? Et quels sont ses attentes par rapport à ses employées ? Surtout n’omettez rien. Je veux tout savoir… absolument tout. »

Pendant que Ruriko répondait à ses questions, Helena essayait de trouver la meilleure position possible pour la charmer. Elle se replaçait sur sa chaise, arrangeait son décolleté, laissait voir un bout de sa lingerie, remontait sa jupe de temps en temps. Elle savait que sa compagne s’amusait beaucoup en couchant avec ses secrétaires, et que ces dernières étaient loin d’être prudes, alors elle espérait que son interlocutrice serait sensible à ses charmes.

« Et à propos du code vestimentaire… il y a des exigences ? »

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 16:51
par Power Girl
Rien n’échappait à l’œil sage et avisé de Ruriko. Elle n’aurait pas été la secrétaire-en-chef de Miss Starr pour rien. À ce titre, elle bénéficiait d’un salaire qui aurait fait pâlir d’envie certains ministres, ainsi que bon nombre d’avantages en nature. Tout cela avait bien entendu un prix, et elle avait sacrifié sa vie au profit de l’entreprise. Elle était extrêmement dévouée, mais aussi très compétente, et sentit rapidement qu’Helena… Était plus intéressée par le côté social de ce métier que par le côté purement professionnel. Un délicieux sourire en orna les lèvres de Ruriko, qui s’empressa de répondre à ses interrogations :

« Madame Starr exige de nous un dévouement total, et une loyauté à tout rompre. Elle peut se montrer très souple avec nous, et elle veille scrupuleusement sur ses employées. Chacune de ses secrétaires personnelles est choisie à l’issue d’un processus de recrutement compliqué et ardu, qui est conduit par elle en personne. »

Ruriko se racla doucement la gorge, et pencha la tête sur le côté en voyant Helena se dandiner, cherchant manifestement à prendre la pose la plus sensuelle… Sans se douter qu’avec une tenue de travail, il n’y avait rien à faire. Le contact était quelque peu immédiat, car ce n’était pas vraiment une tenue seyante. Elle ne mettait rien en valeur, et Ruriko sourit encore.

« Enfin, je me charge aussi du recrutement. Tu es d’ailleurs la seule employée que je n’ai pas inspecté personnellement. Tu veux voir ce que je fais ? »

La jeune femme se releva, en souriant doucement à Helena, et l’invita à se relever. Elle se rapprocha alors d’un miroir situé dans un coin, un grand miroir mural, et positionna Helena devant, elle-même se glissant derrière elle. La jeune femme put ainsi sentir le renflement de ses seins dans le creux de son dos, tandis que les mains de Ruriko se posèrent sur ses hanches. Elle caressa doucement le corps d’Helena.

Clairement, Ruriko maîtrisait la chose, et, si proche d’Helena, son doux parfum enivrant devait lui remonter dans la tête. Un parfum obsédant, entraînant, et elle continua ses explications, sur un ton plus sensuel :

« Miss Starr cherche à créer un environnement de travail parfait et détendu, reposant sur l’harmonie la plus absolue. Voyez cela comme son feng shui personnel. Et, à ce titre, il n’y a aucune barrière entre son personnel proche. Il nous arrive parfois de devoir gérer de gros dossiers, des urgences, et de passer plusieurs jours d’affilée ici. Il est impossible de tenir sans avoir en chacune la confiance la plus absolue. C’est aussi pour ça que Miss Starr n’emploie que du personnel fixe féminin autour d’elle, pour éviter de créer une barrière des sexes. C’est à moi qu’il revient d’expliquer cela, Helena… En compagnie de Miss Starr, il n’y a aucun tabou. Elle est autant notre patronne que… Que notre Maîtresse. »

Employer un tel mot n’avait jamais rien d’anodin, surtout quand Ruriko le ponctua d’un léger baiser sur le creux du cou.

« Votre tenue de travail repose sur le principe de la dissimulation, de la neutralité sexuelle. C’est ce contraste avec vos généreuses formes naturelles qui la rendent excitante. Il ne faut pas chercher à adopter une quelconque position, ou vous ne faites que vous ridiculiser, comme si vous étiez un poisson gigotant hors de l’eau. Adoptez une posture naturelle, et votre tenue vous ira à la perfection. »

Ruriko sourit encore, et laissa passer quelques secondes. L’une de ses mains caressait doucement le ventre d’Helena, et l’autre remontait lentement, glissant le long de sa veste, jouant avec les boutons de la chemise, comme si elle s’amusait à la titiller, à la provoquer.

« Par ailleurs, tous les Vendredis, nous travaillons en petite tenue sensuelle… Je me demande bien ce que tu portes là-dessous, Helena… Es-tu bien sage, ou es-tu fidèle à l’image que Maîtresse Starr m’a donné de toi ? »

La conversation était doucement en train de glisser, d’adopter un ton plus sensuel…

Mais est-ce qu’Helena irait s’en plaindre ?

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:18
par Helena Wayne
Helena sentait qu’elle avait enfin réussi à lancer la conversation sur la voie qu’elle espérait. Ruriko l’avait fait se placer devant un miroir et s’était ensuite glissée derrière elle, pressant sa généreuse poitrine contre son dos pendant qu’elle caressait son corps. Helena sentit le parfum de la secrétaire arriver à ses narines, un parfum doux et sensuel, presque enivrant. Ruriko lui expliqua que Karen cherchait à créer un environnement de travail qui visait la perfection et reposait sur l’harmonie, une ambiance de travail où les employés comptaient sur la confiance et où ils pouvaient dire que miss Starr était aussi bien leur patronne que leur maîtresse. Et ce seul mot fit trembler le corps de la future employée, de même que le baiser dans son cou.

« Oh, c’est… très intéressant. »

Ruriko lui parla ensuite de la tenue de travail. Toute l’excitation reposait sur le principe de la dissimulation et du contraste entre une tenue neutre et des courbes indécentes. Helena comprit donc vite qu’elle n’avait pas été très inspirée en voulant trouver une pose sensuelle sur sa chaise.

« Je le saurai pour la prochaine fois. »

Et à partir de là, les choses commencèrent à devenir intéressantes. Helena vit dans le miroir l’une des mains de Ruriko caresser son ventre pendant que l’autre remontait le long de sa veste, jouant avec les boutons de sa chemise comme si elle avait envie de les ouvrir. Elle lui parla du code vestimentaire spécial du vendredi et l’interrogea ensuite sur ce qu’elle portait sous ses vêtements. La jeune femme se mit à sourire.

« Eh bien… si par sage tu veux dire des sous-vêtements classiques pour une secrétaire un jour de travail… alors je ne suis pas du tout sage. Je suis vilaine… très vilaine. »

L’ambiance dans le bureau était en train de devenir plus sensuelle, exactement ce que Helena espérait. Elle posa ses mains sur celles de Ruriko pour accompagner ses gestes et se laissa porter par sa douceur et par l’odeur enivrante de son parfum.

« Mais tu n’as qu’à juger par toi-même. Aide moi à me déshabiller… et tu verras. »

La jeune femme laissa la secrétaire faire ce que bon lui semblait avec son corps avant de commencer à déboutonner sa chemise et à tirer la fermeture éclair de sa jupe. Cela n’avait rien à voir avec la fougue et la puissance à laquelle elle avait été habituée par Karen. Cette femme prenait son temps, elle savourait la découverte de chaque centimètre carré de peau, rendant cette effeuillage plus sensuel que sexuel.

« J’adore ton parfum. Qu’est-ce que c’est ? »

Après quelques instants de ce petit jeu coquin, Helena se retrouva en sous-vêtements devant Ruriko. Cet ensemble noir mettait parfaitement en valeur sa plastique délicieuse, et elle doutait que la secrétaire puisse la voir ainsi sans tenter quelque chose.

« Qu’en dis-tu ? Est-ce une lingerie digne d’un vendredi ? Est-ce que je mérite une punition pour mon indécence ? »

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:18
par Power Girl
Karen était une femme très directe, qui ne cachait rien à une femme comme Ruriko, en qui elle avait la plus entière confiance. Ruriko était incorruptible, non seulement parce qu’elle était payée à un prix défiant toute concurrence, mais aussi parce que, à sa manière, elle était amoureuse de Karen. Oh, ce n’était pas un amour comme celui liant Helena à Karen, mais clairement un amlour de soumise. Avant Karen, Ruriko était en train de sombrer, peinant à trouver un emploi, et avait rencontré des problèmes avec un ancien amant jaloux et agressif. Elle avait été sauvée de lui quand Power Girl l’avait attrapé, et l’avait jeté d’un gratte-ciel. Elle l’avait rattrapé ensuite, et lui avait ordonné, les yeux rouges se mettant à flamboyer, de ne plus jamais s’approcher d’elle, ou elle l’enverrait sur une île perdue au beau milieu de l’océan en lui brisant les deux genoux. L’homme avait compris la leçon, et Karen avait ensuite aidé Ruriko. Elle l’avait aidé, car, pour survivre aux conditions de travail intensives, à la misogynie ambiante, elle se droguait. Karen l’avait conduite à un hôpital, et elle avait suivi une cure de désintoxication. Elle avait ensuite continué à la suivre, et Ruriko avait fini par la rejoindre. Ruriko lui était donc entièrement redevable.

Aujourd’hui, Ruriko était une femme autonome, libre et assumée. Elle jouait ainsi avec Helena, et soupira doucement en sentant cette dernière lui répondre, ne tardant pas à glisser sur le rang de sa punition en soulignant qu’elle était « très vilaine ». Ruriko sourit et l’embrassa doucement dans le creux du cou, tendrement… Avant de la mordiller.

« Vraiment ? Le premier jour de ton embauche ? Tu sais, Helena, je crois que le fait que tu sois l’épouse de Starr-sama t’amène peut-être à croire que tu bénéficieras d’un traitement de faveur ici… Mais il n’en est rien. Il va falloir te dresser bien rapidement, si tu es si vilaine. »

Ruriko commença à déboutonner sa chemise, après avoir ouvert sa veste. Elle tirait délicatement, ses seins continuant à s’enfoncer dans le dos de sa partenaire. Ruriko glissa ensuite jusqu’à sa minjupe, ; et fourra ses mains dessous. Elle tira sur les pans de la chemise, et la fit ressortir, arrachant à Helena un soupir.

« Ce que je crois, c’est que Starr-sama t’aime trop pour te corriger comme il se doit. Du coup, et comme elle doit te couvrir de cadeaux, tu te sens supérieure à nous autres… Je vais devoir te rappeler à l’ordre, ma belle. »

Ruriko se mit à sourire encore, et sentait, sous ses doigts, le bout de la culotte. Elle jouait lentement avec elle, la titillait. La secrétaire s’occupait consciencieusement d’elle, et déboutonna finalement le dernier bouton de la chemise. Sa chemise pendait ainsi le long de ses épaules, et Ruriko continua son office, tirant sur sa veste, la retirant lentement. La chemise adhéra brièvement à la veste, et Ruriko la jeta ensuite au sol. Elle retourna ensuite encore se lover dans le dos de la femme, l’embrassant et la mordillant dans le creux du cou. Elle tira ensuite sur la minijupe, et la fit coulisser, celle-ci tombant aux pieds d’Helena. Il ne restait ensuite plus que la chemise, qu’elle retira encore, non sans glisser au passage ses mains sous la chemise.

Ses mains remontèrent ainsi le long de ses hanches, et ses doigts glissèrent sur les lanières de son soutien-gorge. Elle pinça ensuite ses bonnets, jouant avec les seins, et esquissa un nouveau sourire, sentant le soutien-gorge en dentelles. Helena se dandina encore sur place, et Ruriko, finalement, lui retira sa chemise. Elle l’observa encore à travers le miroir, admirant son corps parfait, sa silhouette musclée, ses formes somptueusement mises en forme par des sous-vêtements noirs en dentelles moulant, avec un porte-jarretelles.

La secrétaire se pinça les lèvres, et descendit finalement une main entre les jambes d’Helena, et caressa son sexe, sentant l’absence de poils pubiens.

« Hmmm… Je comprends mieux pourquoi notre Maîtresse t’apprécie tant. Et je pense qu’il est temps que je te montre directement notre pièce spéciale… La Chambre rose, car tu es une vraie catin… »

Ruriko s’écarta alors, et attrapa Helena par la main. Elles sortirent alors de son bureau, et remontèrent le couloir, jusqu’à une porte fermée. Ruriko dut l’ouvrir avec sa carte magnétique, et avança à l’intérieur.

C’était une pièce très spéciale, aux murs roses pâle. Des néons discrets s’allumèrent. L’endroit sentait le cuir et le latex, et le sol était recouvert d’un revêtement spécial également rose. La porte se referma derrière elles.

« Je n’en parle pas encore dès le premier jour, mais il y a un classement interne au sein de l’équipe. Celle qui est en bas du classement devient pour un week-end à la fin du mois, lors d’un évènement spécial, la Poupée Rose. »

Il y avait ici des équipements solides. Des chaînes, des sangles, des chevalets, et même des vierges de fer roses sexuelles, avec des tentacules à l’intérieur. Plusieurs placards coulissants donnaient sur de nombreux sex toys, ainsi que sur une grande penderie abritant quantité de costumes osées, généralement du latex et du cuir. Un véritable donjon se trouvait ici.

« Notre Maîtresse tient à te baiser dans ton bureau, et à l’inaugurer avec toi. Alors, c’est ici que je vais te punir. »

Ruriko fit doucement claquer ses talons, et l’un des panneaux coulissants s’ouvrit. Elle attrapa alors un fouet, et le fit tournoyer sur place.

« On va commencer par quelques coups de fouets, c’est idéal sur les femmes indisciplinées, non ? Va te mettre sur le chevalet… Catin. »

Qui sait quels autres mystères abritaient encore cet étage ? Helena ne semblait pas être au bout de ses surprises !

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:18
par Helena Wayne
Helena savait qu’elle finirait en petite tenue durant cet entretien d’embauche, et elle avait choisi une lingerie aussi audacieuse pour laisser un souvenir marquant dans l’esprit de son interlocutrice. Ruriko se pinça les lèvres en la voyant, et ses mains glissèrent le long de ses magnifiques courbes, l’une d’elles allant jusqu’à passer sous sa culotte pour toucher son sexe.

« Aaahhh… Ruriko… hhhmmm… »

La secrétaire semblait décidée à faire regretter son audace à Helena. Ce n’était pas parce qu’elle était la fiancée de Karen qu’elle allait avoir droit à un traitement spécial. La jeune femme allait donc être rappelée à l’ordre, et Ruriko l’attrapa par la main pour la conduire jusqu’à une porte qu’elle ouvrit avec sa carte magnétique.

« Tu vas me punir Ruriko ? »

La pièce dans laquelle elles venaient de pénétrer, la Chambre Rose, était clairement une pièce dédiée aux activités charnelles. Les murs étaient peints en rose pâle, le sol était couvert d’un étrange revêtement, également rose, l’éclairage était fourni par des néons et une douce odeur de cuir et de latex flottait dans l’air. Mais surtout, elle était équipée de nombreux accessoires SM tels que des chevalets, des sangles, et même des vierges de fer spéciales pour le sexe. Helena frissonnait déjà en imaginant ce que Ruriko allait lui faire ici. Cette dernière lui expliqua le système du classement et de la Poupée Rose sans trop entrer dans les détails, mais la jeune femme était déjà très intéressée.

«  J’ai hâte d’être… au prochain événement. »

Puisque Karen tenait à baiser Helena dans son bureau pour l’inaugurer, alors elle recevrait sa punition ici. Ruriko alla chercher un fouet et lui ordonna de s’installer sur le chevalet.

« Tout de suite Ruriko. Ou est-ce que tu préfères… maîtresse ? »

La jeune femme s’étendit sur le chevalet et bomba son joli cul pour inciter la secrétaire à commencer ses coups de fouet par là. Mais avant ça, la femme lui attacha les poignets et les chevilles avec des menottes installées sur les pieds du chevalet.

« Oh… tu as peur que je m’enfuie ? »

Helena ricana mais elle ravala vite son rire quand le premier coup de fouet tomba sur ses belles fesses. Elle poussa un long gémissement de plaisir et sentit les premières gouttes de mouille tomber au fond de sa culotte.

« Aaahhh… ooouuuiii… fouette-moi Ruriko. »

A chaque coup de fouet qui tombait, la jeune femme soupirait et laissait échapper des paroles salaces pour encourager la secrétaire à continuer de lui faire mal.

« Hhhmmm… oui… comme ça. Aaahhh… je suis une grosse vilaine… il faut me punir. Aaaggghhh ! »

C’était le meilleur entretien d’embauche qu’elle ait jamais passé.

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:18
par Power Girl
« Tu es vraiment exceptionnelle, tu sais, hum… ! Tu es la première salariée que je fouette… Hmmm… Dès le premier jour ! »

Ruriko s’amusait du comportement d’Helena, qui frissonnait à chaque coup de fouet. La première secrétaire de Miss Starr avait une sacrée poigne, ce qu’Helena pouvait sentir. Elle avait déjà fouetté bien des culs ici, et elle avait l’expérience… Mais sa poigne ne pourrait jamais rivaliser avec celle de Karen. C’était simple ; quand Karen fouettait Helena, c’était la manière douce. Elle la fessait ensuite pour vraiment la punir. Ruriko n’était qu’une humaine, et elle savait qu’Helena jouait avec elle. Elle était après tout la fille de Catwoman et de Batman ; elle aurait pu se libérer sans peine de ses entraves. Mais son côté masochiste et soumis s’enflammait à chaque coup de fouet sur son postérieur. Ruriko la fouettait sans ménagement, se délectant de ses couinements, de ses gesticulations.

Souriant lentement, elle continuait à la battre, sentant sa résistance, son endurance surnaturelle.

« Seule Starr-sama mérite d’être appelée ‘‘Maîtresse’’ hors de cette chambre… Mais, là, je suis ta Maîtresse… Et tu m’as tutoyé, petite catin ! »

Autant dire que cela méritait une nouvelle punition, que Ruriko s’empressa d’infliger encore à sa partenaire. Le fouet frappa encore, mordillant sa peau, et Helena hurla de nouveau, remuant lentement. Le chevalet se déplaçait doucement de haut en bas, comme pour accompagner les mouvements sporadiques de la femme prisonnière dessus. Ruriko gloussa lentement, et s’arrêta après plusieurs minutes. Ses talons claquèrent sur le sol, et elle se rapprocha du chevalet. Le cul d’Helena était surélevé, et la main de Ruriko fila dessous, glissant sous sa culotte pour sentir ses lèvres intimes. Ses doigts caressèrent doucement cette zone, s’imprégnant du liquide intime qui y figurait, et elle les retira ensuite, se pinçant chaudement les lèvres.

En relevant sa main, Ruriko constata que ses doigts étaient légèrement humides, signe par excellence du plaisir qui inondait en ce moment le corps de sa partenaire.

« Hum… Tu mouilles rien qu’en te faisant fouetter… Starr-sama t’a vraiment bien éduqué ! Enfin, tu n’es pas son épouse pour rien, après tout… »

La secrétaire de direction fit encore claquer ses talons, et appuya sur un bouton. Devant Helena, un panneau coulissant se tourna, révélant un miroir. Helena put ainsi voir Ruriko déboutonner doucement sa veste, puis sa chemise. Sous ses vêtements, Ruriko portait également une belle lingerie fine en dentelle, avec un string qui moulait à la perfection son magnifique cul.

« Il y a des tenues en latex dans cette pièce, mais ce sera pour une prochaine fois, ma chérie. Pour l’heure, je vais juste me contenter de ton intronisation… »

Ruriko ouvrit une nouvelle baie coulissante, et récupéra une ceinture-gode, qu’elle enfila lentement. Elle attrapa un solide vibromasseur, avec plusieurs picots, qu’elle attacha au harnais, puis se retourna vers Helena, un sourire joueur sur les lèvres.

« Privilège de la nouvelle, je te laisse choisir quel trou je vais défoncer… »

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:19
par Helena Wayne
En désignant Ruriko avec le titre de maîtresse, Helena avait réussi à la stimuler, mais elle avait fait exprès de ne pas la vouvoyer pour qu’elle la punisse encore plus fort. Le fouet mordait sa peau à chaque claquement, lui procurant un plaisir délicieux, et elle hurlait à chaque coup pour bien faire comprendre qu’elle en voulait encore.

« Aaahhh ! Hhhmmm ! Ooouuuiii ! »

Quand elle prenait un coup de fouet sur le cul, la femme gigotait et entraînait avec elle le chevalet, qui bougeait d’avant en arrière en suivant son bassin. Après quelques coups de fouet, elle sentit la secrétaire approcher en faisant claquer ses talons et elle couina en sentant sa main glisser sous sa culotte pour caresser sa vulve trempée.

« Ooohhh… oui… hhhmmm ! »

Ruriko semblait contente de voir que Helena prenait son pied rien qu’en se faisant fouetter, preuve que Karen l’avait bien éduquée. La jeune femme vit ensuite un panneau coulisser devant elle pour révéler un miroir. Elle pouvait voir en détail son corps sexy et transpirant dans sa position de soumise, ce qui l’excita encore plus. Il ne manquait plus que la caméra, et tout serait parfait. Elle pouvait aussi voir sa maîtresse dans son dos, qui venait de retirer ses vêtements pour se montrer dans une lingerie noire aussi sensuelle que la sienne. La soumise en bavait presque.

« Ouah… maîtresse, vous êtes tellement… sexy. »

Elle ne voulait pas mettre de tenue en latex pour l’instant, elle se contenterait de souhaiter la bienvenue à la jeune femme dans son équipe. Quand elle alla chercher la ceinture-gode ainsi que le vibromasseur qu’elle enfila, Helena eut le temps de bien voir son magnifique cul moulé dans un string, et elle se lécha les babines. Elle aurait voulu croquer dedans ou poser sa tête dessus pour s’en servir d’oreiller. Puis la secrétaire revint vers elle et lui demanda par quel trou elle voulait se faire pénétrer pour son intronisation.

« Ma chatte. Ma chatte. Ooouuuhhh… elle est en feu… et trempée. Elle a besoin… hhhmmm… d’un bon gros gode… comme le vôtre. »

Helena sentit Ruriko lui baisser sa culotte d’un geste sec et rapide, la laissant tomber à ses chevilles, et elle la pénétra avec son gode. La jeune femme sentit les picots du vibromasseur contre ses parois intimes, lui procurant encore plus de plaisir qu’elle n’en avait déjà de se faire prendre sur un chevalet par une dominatrice aussi séduisante.

« Aaahhh… ooouuuiii ! C’est trop… booonnn ! »

Et en plus de se faire sauter avec énergie, la soumise avait aussi droit à de nombreuses fessées et griffures sur son cul musclé et charpenté. Sa maîtresse ne prenait pas de gants avec elle, elle la dressait comme il fallait.

Et elle adorait ça.

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:19
par Power Girl
Ruriko n’offrait qu’un prélude à cette femme. Mais, tandis qu’elle s’enfonçait en elle, dans son for intérieur, elle ne pouvait que reconnaître qu’elle était bien la femme de sa Maîtresse. Une femme très perverse, qui aimait le sexe et les femmes fortes, ainsi que les fessées et les humiliations. Ruriko savait que Karen l’avait lentement formé ainsi, par du sexe intensif. Face à elle, il était difficile de lutter, car sa nature de Kryptonienne la rendait presque infatigable au lit. Helena était donc très endurante, et ça, Ruriko sembla en prendre conscience après quelques coups de reins. Elle avait pourtant pris un gode assez gros, qui se mit à vibrer en elle, faisant frotter les picots contre les parois intimes d’Helena, mais sans émouvoir plus que cela la jeune femme. Huntresse remuait furieusement sur place, secouant le chevalet de haut en bas.

« Hmmm… Oh, Helena… »

Un frisson traversa tout le corps de Ruriko. En enfilant ce gode, elle avait pris soin de se déplacer lentement, de se déhancher sur place, afin qu’Helena puisse admirer son cul, ce délicieux cul que Karen aimait tant sodomiser. Qui sait ce qu’elles feraient avec Helena ? Ruriko mouillait déjà en s’imaginant coucher avec les deux femmes. Starr-sama était tout à fait capable de le faire, car la femme était très endurante. Elle n’avait eu de cesse de le démontrer, et Ruriko ressentait un sentiment très profond pour elle, une sorte d’amour intense et langoureux, qui ne demandait qu’à s’exprimer.

Mais, pour l’heure, elle se concentrait sur Helena, la besognant, accélérant progressivement le rythme, se délectant de ses soupirs, de ses gémissements. Sa main empoigna les cheveux d’Helena, et elle tira dessus, la faisant gémir. Elle releva ainsi son visage, tout en se penchant, et gifla encore avec sa main libre le cul d’Helena, qui commençait doucement à rougir.

« Oui, tu aimes ça, hein ? Hmmm… Tu… Hmmm… Tu es une incroyable traînée, Helena ! J’y étais préparée, pourtant, mais… J’étais loin de me l’imaginer ! »

Ruriko comptait encore la baiser, mais cette séance ne serait qu’une introduction… Difficile de dire si elle allait la pousser jusqu’à l’orgasme, car Ruriko ne s’accordait qu’une demi-heure avant que la patronne n’arrive… Et il était évident qu’elle comptait remettre Helena en forme pour qu’elle soit impeccable devant leur Maîtresse commune !

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:19
par Helena Wayne
Helena se faisait délicieusement pénétrer par Ruriko. La secrétaire avait choisi un gode de taille impressionnante et couvert de picots pour rendre l’expérience plus intense, mais la jeune femme en avait vu d’autres. Durant son passage à Infernis, Ishtar lui avait remplie tous ses trous avec toutes sortes de jouets sexuels et l’avait jeté en pâture à des bêtes terriblement bien montées. Elle repensa au lieutenant minotaure sur le navire de la dragonne noire et à sa bite encore plus grosse que le plus gros sexe d’étalon qu’on puisse trouver sur Terre. Elle avait passé un moment entre ses mains et elle avait bien cru y laisser sa peau tant cette bite lui avait déchiré les entrailles. Mais quel pied elle avait pris… Et même sans compter ses expériences à Infernis, Karen l’avait bien formée. Longues baises à coups de butoir, utilisation de jouets sexuels, de technologie avancée, d’employées perverses, de techniques SM originales… Sa chérie ne manquait pas d’imagination pour la faire grimper au septième ciel. Et ses employées lui faisaient honneur.

« Aaahhh… hhhmmm… maîtresse… »

Helena se fit empoigner par les cheveux et sentit l’autre main de Ruriko s’abattre sur ses fesses. La secrétaire était penchée sur son corps et elle lui envoya quelques insultes histoire de la stimuler un peu plus.

« Vous n’avez… pas idée… ooohhh… à quel point… je peux être… aaahhh… une traînée. »

Pour Helena, ce travail était d’abord une occasion de passer plus de temps avec Karen et de faire l’amour avec elle. Elle voulait faire toutes ces choses qu’on voyait dans les films pornos avec des secrétaires, en particulier passer sous le bureau pour se servir de sa bouche sur l’entrejambe de sa patronne, peu importe que ce soit sa vulve ou sa queue. Et ensuite, elle comptait bien tourner dans des films pornos sous la supervision de sa future femme. Quand il s’agissait de Karen, Helena voulait être la plus grosse salope possible.

« Aaahhh… et si vous… me dressez bien… ooouuuiii… je serai… une parfaite salope… hhhmmm… pour vous. »

La jeune femme sentait que Ruriko mettait de l’énergie pour la besogner, et elle en était ravie. La secrétaire avait vite compris comment lui faire plaisir et comment s’imposer en maîtresse avec elle, et elle avait du bon matériel. Leur baise dura pendant un bon moment, la soumise reçut avec plaisir le sextoy, les fessées et les insultes de sa maîtresse, et il lui fallut un bon quart d’heure avant que ce coït délicieux ne la fasse jouir.

« Ooohhh… maîtresse… OOOUUUIII !!! »

Helena eut un retentissant orgasme, le chevalet trembla dans tous les sens, tout comme son corps, et elle éjacula une belle quantité de mouille. Si Ruriko ne savait pas qu’elle avait affaire à une femme fontaine, maintenant elle le savait. Une fois la jouissance passée, elle laissa son corps retomber mollement sur le chevalet. Ce n’était pas le plus confortable, mais cet orgasme l’avait bien secouée.

« Aaahhh… vous êtes… douée… maîtresse. »

Grâce à l’entraînement procurée par sa chérie, la jeune femme était déjà prête à remettre ça. Elle parcourut la pièce des yeux pour voir quels autres outils de SM étaient à disposition, et son regard se fixa sur un drôle de cheval de bois avec une protubérance phallique sur le sommet. C’était la première fois qu’elle voyait quelque chose de ce genre, et sa curiosité la poussait à vouloir en savoir plus.

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:19
par Power Girl
Ruriko avait une prise solide, et défonçait le vagin d’Helena méthodiquement. Elle savait très bien qu’Helena était très endurante, mais ignorait à quel point. L’épouse de Karen se dandina sur place, couinant longuement, poussant de magnifiques hurlements, gémissant fort. Cette pièce était fort heureusement totalement insonorisée, un véritable autel au désir. Ruriko lui offrait un joli prélude, et la prenait longuement, giflant encore son cul, se délectant de l’entendre couiner, gémir, et se tortiller sur place. C’était… C’était particulièrement exquis, et elle soupira encore, gémissant une nouvelle fois.

« Oh oui… ! »

Helena se laissa alors aller, goûtant à son premier orgasme. Tout son corps se mit à vibrer chaudement, et Helena s’effondra devant elle, faisant doucement grincer le chevalet. Sa mouille s’échappait de ses cuisses, et Ruriko se pinça alors les lèvres. Elle vit alors le regard de la femme coulisser vers un curieux objet, un cheval de bois ressemblant à ces jouets pour enfants, mais avec une verge située dessus. Ruriko capta son regard, et sourit à son tour.

« Je vois… Tu n’en as pas encore assez, n’est-ce pas ? Tu es vraiment à la hauteur de ta réputation, Helena… Mais nous risquons d’être en retard, tu sais… Voilà qui ne plaira pas à notre Maîtresse. Enfin, d’un autre côté, tout ce dont tu écoperas, c’est juste une nouvelle punition. »

Autant dire qu’il y avait là de quoi ravir la jeune femme. Ruriko se retira de sa chatte, et délaissa le gode, le déposant proprement sur une table, puis défit ensuite les liens d’Helena, non sans l’attraper par sa laisse, et l’amena à se rapprocher du cheval en bois. On aurait presque dit l’un de ces jouets pour enfants que les jeunes enfants chevauchaient. C’était un cheval à bascule, pouvant filer d’avant en arrière.

La main de Ruriko caressa doucement l’objet, tandis qu’elle offrait à Helena une belle vue sur son magnifique fessier, ce joli cul musclé et bien arrondi. Ruriko était indéniablement très belle, et, avec elle, Karen avait fait une sacrée prise.

« Tu vois, notre Maîtresse aime partager avec nous les multiples objets qu’elle rapporte de ses voyages. Ceci n’est qu’un aperçu de ce qu’elle entretient dans son propre palais de la luxure. Ce cheval à bascule vient, d’après ce qu’elle m’a dit, d’une rencontre qu’elle a pu faire avec une succube. C’est un engin simple, et alimenté par une gemme de magie rose. Plus l’utilisatrice mouille, et plus le cheval s’enhardit. »

Elle pouvait voir les yeux d’Helena briller doucement, et Ruriko sourit encore. Elle se concentra alors, et, quand elle se retourna face à Helena, la jeune femme pourrait voir que Ruriko avait aussi sa petite surprise… À savoir une belle verge qui se dressait là, légèrement humide, car décorée par sa mouille. Un sourire moqueur éclaira les lèvres de Ruriko, qui fit ensuite signe à Helena de se déplacer.

Ruriko attacha la laisse à un collier situé autour du cou du cheval à bascule, et noua ensuite les bras d’Helena dans son dos, les attachant à l’aide d’un bandeau noir qu’elle récupéra dans un placard. Tandis qu’elle faisait ça, Ruriko s’amusait à doucement frotter son verge contre le joli cul d’Helena. Juste devant elle, il y avait la verge artificielle du cheval, qui se dressait, et commençait doucement à vibrer contre le bassin d’Helena, près de ses lèvres intimes. Prenant son temps, Ruriko noua les bras de la femme, puis l’amena à se relever, et à positionner ses pieds sur les éperons de cette selle sexuelle. Une fois ceci fait, Helena n’eut plus qu’à s’abaisser, et sentit la verge s’enfoncer dans sa chatte, lui arrachant un soupir.

À côté d’elle, Ruriko l’embrassa alors, tout en déclenchant une musique adaptée, évoquant les cow boys, sur un ton très sensuel : « I Wanna Be A Cow-Boy », de Boys Don’t Cry. La musique déferla lentement dans la pièce, tandis que Ruriko se posta dans le dos de la jeune femme, et frotta encore sa verge contre son cul.

« Dis-moi… Veux-tu que je sois ton cow boy, ma chérie… ? Et que tu sois ma cow girl en te faisant défoncer le cul ? »

Sa voix était sensuelle, mais Ruriko pouvait tout à fait se montrer vulgaire, comme elle était en train de le montrer en ce moment…

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:19
par Helena Wayne
Helena n’avait fait que caresser du regard ce drôle de cheval de bois, mais Ruriko l’avait tout de suite remarqué. Elle comprit que la jeune femme n’en avait pas encore eu assez mais elle hésitait à lui en donner plus si Karen devait bientôt arriver.

« Aaahhh… la priorité… c’est maîtresse Karen. »

Helena ne voulait sûrement pas faire attendre sa chérie, mais Ruriko lui répondit que son retard serait juste prétexte à une autre punition. Tout à coup, cela sembla bien moins grave pour la jeune femme. Sa maîtresse retira son gode de son corps et détacha ses liens pour qu’elle puisse se mettre à quatre pattes sur le sol. La soumise la suivit gentiment jusqu’au cheval à bascule en reluquant son incroyable cul musclé et bien arrondi. Une merveille. Mais quand elle se tourna vers elle, la femme lui montra qu’elle avait un nouveau jouet à lui proposer : une belle verge bien dressée et légèrement humide. De quoi faire briller de plaisir les yeux de la chienne.

« Ooohhh… »

Helena regarda Ruriko attacher sa laisse au collier du cheval, elle se fit nouer les bras dans le dos, et ensuite elle monta sur le cheval. Elle sentit tout de suite la verge du jouet se dresser légèrement et se mettre à vibrer contre ses lèvres intimes. Instinctivement, elle se mit à frotter sa vulve contre cette jolie friandise, mais ensuite sa maîtresse la fit s’installer complètement sur la selle. Une fois fait, elle n’eut plus qu’à se baisser et la verge lui rentra dans la chatte.

« Aaahhh ! »

Ruriko lança une musique adaptée à la situation et vint se coller dans son dos, frottant sa belle bite contre son derrière, en lui demandant si elle voulait être sa cow-girl.

« Hhhmmm… oui… bien sûr que je veux… maîtresse. »

Helena tourna la tête le plus possible pour regarder sa partenaire.

« Chevauchez-moi… avec votre grosse bite… ooohhh… dans mon petit cul. »

La voix de sa maîtresse était si sensuelle et le gode du cheval dans sa chatte si bon que la femme était déjà enivrée de plaisir. Elle dansait déjà sur le cheval quand elle sentit une belle verge s’enfoncer dans son anus. Elle écarta à peine les parois sur son passage, l’entrée arrière de la soumise était déjà bien ouverte.

« Aaahhh ! »

Pour Helena, se faire prendre de la sorte était une première : attachée à un cheval à bascule, un gode logé dans la chatte, pendant qu’elle était montée par une futa qui lui remplissait le cul avec sa verge. Et c’était une première qu’elle était contente de partager avec Ruriko. Karen avait vraiment fait une belle trouvaille avec elle, cette femme était à la fois autoritaire et sensuelle, le combo parfait pour combler une salope maso comme Helena. Elle se laissait prendre avec plaisir au rythme de la musique qui se jouait dans la pièce et remuait son bassin avec les allées et venues de sa monture.

« Hhhmmm… c’est… trop… bon ! »

Quand elle n’était pas occupée à gémir et à couiner, Helena n’hésitait pas à ponctuer le sexe de délicieuses remarques grivoises.

« Maîtresse… vous… ooohhh… me chevauchez… si bien. Aaahhh… je suis ravie… d’être votre cow-girl. »

Et plus le temps passait, plus elle sentait que le faux pénis du cheval gagnait en vigueur. Si, comme Ruriko l’avait dit, c’était la mouille qui le rendait plus dur, alors Helena s’attendait à finir avec un sexe colossal dans son antre.

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:19
par Power Girl
Karen n’avait pas parlé à Helena de toutes ses rencontres. Ce cheval à bascule n’était pas naturel. Comment avait-elle pu récupérer cela ? Il faudrait sans doute lui poser la question directement. Mais, pour l’heure, Ruriko comptait bien profiter de la belle Helena. Le cheval à bascule ne tarda pas à réagir à l’excitation de la jeune femme, et une verge se mit à pousser, gonflant sur place. Peu à peu, Helena se mettait à gémir, et, tout en gémissant, motiva Ruriko. Dans le dos de la jeune femme, la secrétaire sourit lentement, et posa ses mains sur les généreux seins d’Helena, les pinçant, frottant sa verge contre ses fesses. Hermaphrodite, Ruriko comptait bien profiter longuement du corps de sa partenaire. Elle déplaça ensuite sa main, la posant sur la base de sa verge, et la guida vers le délicieux cul d’Helena. Le cheval commençant à basculer, elle se dépêcha, et son membre alla taper contre la porte arrière de la jeune femme. Helena se crispa sur place, puis Ruriko soupira, et poussa en avant. Elle pouvait se montrer brusque et autoritaire, mais jamais Ruriko n’aurait la poigne de Karen. Helena devrait donc le sentir, car Ruriko avait du mal à s’enfoncer en elle, et dut s’y reprendre à plusieurs reprises, gémissant lentement.

« Merde, je… Je comprends pourquoi notre Maîtresse apprécie tant te baiser… ! »

Ruriko soupira lentement, et mordilla le creux du cou d’Helena, désireuse de l’entendre encore couiner. Ses deux mains palpèrent à nouveau ses seins, et elle commença à remuer, essayant de remuer en harmonie avec Helena et le cheval à bascule. Plus Helena mouillait, et plus la verge du cheval se mettait à grossir. Ruriko gémit une nouvelle fois, et continua à remuer une nouvelle fois, accélérant lentement, progressivement.

« Oh, bordel, t’es si bonne… Ma cow-girl, oui… !! »

La belle secrétaire gémissait encore, ses lourds seins s’enfonçant dans le dos d’Helena. Elle jouait encore avec elle, et accéléra, le cheval à bascule remuant plus fortement. Et, lorsqu’il partit vers l’avant, Ruriko emmena Helena, la poussant vers l’avant. Elle s’allongea ainsi dans son dos, continuant à malmener son cul. Plus le temps passait, et plus elle gagnait de l’amplitude, accélérant encore et encore, arrachant à Helena de nouveaux soupirs. Ruriko n’avait aucune raison d’y aller lentement, ou doucement, car elle savait à qui elle avait affaire.

Ruriko continuait donc à la prendre, pendant de longues minutes, et pinçait les tétons d’Helena. Contrairement à Karen, elle n’était pas aussi endurante, n’ayant pas une force surnaturelle, et elle continuait à la prendre, sa queue s’enfonçant progressivement.

« T’es si bonne, ma salope ! »

La secrétaire continuait donc à la prendre. Elle avait toutefois une bonne résistance sexuelle, mais difficile de dire si elle allait jouir avant Helena… Car elle était après tout destinée à devenir la femme de Karen Starr ! Ruriko soupirait donc longuement, accélérant encore, fermant parfois les yeux, et retournait mordiller le creux du cou d’Helena, reprenant ensuite de l’énergie en insultant sa partenaire.

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:19
par Helena Wayne
En arrivant ici ce matin, jamais Helena n’aurait cru que son entretien d’embauche finirait ainsi. Bien sûr, elle s’attendant à finir nue, ou au moins en sous-vêtements, et à se faire baiser dans un bureau, mais elle ne pensait pas qu’on l’emmènerait directement dans le donjon SM de l’entreprise, qu’elle pourrait essayer des jouets venant probablement d’une autre dimension, et qu’elle se ferait démonter la rondelle par une secrétaire chaude comme la braise. Ruriko profitait pleinement de son sexe de futa pour sodomiser la femme, qui prenait son pied et n’hésitait pas à en redemander.

« Aaahhh... ooouuuiii... encore... plus fort ! »

Helena sentait bien que Ruriko n’avait ni la poigne ni l’endurance de Karen, mais elle saluait tous les efforts qu’elle faisait pour se conduire en bonne maîtresse. Elle savait comment lui parler pour l’exciter, elle utilisait les bons outils, et sa façon de lui prendre le cul était délicieuse. Cependant, elle savait que tout cela n’était qu’un apéritif avant ce que Karen lui réservait. Elle en profitait à fond, en particulier de ce drôle de cheval à bascule dont le mandrin ne cessait de gonfler dans sa chatte.

« Hhhmmm... ooohhh... tant de grosses bites... si juteuses... si bonnes... aaahhh ! »

Helena avait déjà vu des photos de sexes d’étalons, et même si elle doutait qu’elle puisse anatomiquement supporter un membre aussi colossal, elle espérait que ce faux cheval avait une trique aussi puissante en réserve. Elle savourait la queue de Ruriko dans son cul, ses seins se pressant contre son dos et ses paroles salaces dans son oreille.

« Aaaggghhh... maîtresse... hhhmmm... vous êtes... trop bonne... vous aussi. »

Mais même avec tout le talent de sa maîtresse, Helena n’était pas facile à faire jouir. Elle en avait vu d’autres avec Karen et Ishtar. Ces hystériques avaient déjà utilisé sur elle des jouets sexuels dont la seule existence ferait jouir des actrices pornos chevronnées, et elle s’était faite jeter en pâture à des monstres mieux montés que les plus puissants étalons de la Terre. Malgré tout, elle aimait se faire enculer par la secrétaire. Elle avait une prise ferme sur son corps, sa queue était bien dure, les fessées étaient bien dosées. Avec un peu d’entraînement sur son endurance, elle pourrait faire une excellente maîtresse pour cette cow-girl vicieuse.

Helena se laissa baiser avec plaisir jusqu’à ce qu’elle sente Ruriko prendre fermement appui sur son bassin pour enfoncer son mandrin profondément dans son cul avant de jouir. Elle sentit la bonne crème chaude de la futa remplir son anus, une sensation délicieuse qui la fit frissonner des pieds à la tête.

« Ooohhh... »

Après cette bonne sodomie, Helena était encore assez en forme pour attaquer le round suivant, mais elle ne voulait pas non plus faire attendre Karen. Elle était également de plus en plus intriguée par le cheval qu’elle montait. Même si elle ne pouvait pas voir la taille de son faux mandrin, elle en devinait les proportions à la façon dont sa chatte était remplie. C’était vraiment un sexe très imposant, peut-être encore plus que celui de Karen ou d’Ishtar. Elle bougea un peu son bassin sur le cheval pour le faire se balancer et elle sentit la fausse bite de sa monture vibrer en elle. C’était comme si ce faux cheval aimait être chevauché et qu’il récompensait sa cavalière avec une grosse bite vibrante. La jeune femme était définitivement curieuse.

« Maîtresse... aaahhh... ce cheval... il est... ooohhh... il agit comme s’il... était vivant. »

Il y avait sûrement une bonne explication, mais peut-être qu’elle devrait attendre. Peut-être que Ruriko voulait encore profiter un peu d’elle avant de la remettre à leur maîtresse commune.

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:20
par Power Girl
Ruriko savait que, avec Helena, elle pouvait y aller franchement, sans crainte de la pousser à bout de rythme. Ruriko se targuait d’être au bureau l’amante la plus talentueuse de la patronne, mais, face à Helena, elle comprit vite qu’elle allait sans doute devoir laisser sa place. Même si Helena était très soumise, elle était aussi incroyablement endurante. Ça, Ruriko le savait, et elle le constata sur place. Ses mains jouaient sur les seins d’Helena, et elle pinça les tétons de la femme, remuant ses mains dessus, la soulevant régulièrement. Sa queue s’enfonçait longuement dans son cul, et la manière dont celui-ci se dilatait rapidement était… Tout simplement exceptionnelle, juste incroyable !

« Oh putain, t’es… T’es si bonne, bordel, c’est… Hmmm… Haaann, c’est dingue ! »

Elle se répétait, mais, dans le sexe, il y avait forcément beaucoup de répétition. Ruriko gémit encore, et continua à s’enfoncer en elle, faisant couiner le cheval à bascule. Celui-ci remuait encore, tandis qu’Helena s’interrogeait vaguement sur ce dernier. Après tout, elle était la fille de Batman, alors, même dans cet état, son esprit vif continuait à réagir. Ruriko, de son côté, n’arrivait plus à se retenir, et, dans un long soupir, se relâcha. Sa queue tressauta sur place, et, après plusieurs minutes de cette joyeuse sodomie, son corps se crispa contre le sien, et elle s’abandonna longuement en elle.

Dans un grand soupir, Ruriko s’abandonna copieusement dans son cul, jouissant généreusement. Elle frémit ensuite, et se pinça les lèvres, reprenant ensuite lentement ses esprits. Ruriko s’abattit contre le cou d’Helena, déposant plusieurs baisers sur sa peau, lui souriant ensuite lentement.

« Oui, c’est un objet enchanté, Helena… Mais Karen-sama te l’expliquera bien mieux que moi. »

Le cheval à bascule continuait à se dandiner, et Helena couina encore. Ruriko fit tourner son visage, et l’embrassa sur les lèvres, jouant doucement avec elle, et la laissa encore agir, tandis que sa verge disparaissait. Bien sûr, elle aurait encore pu continuer à jouer avec elle, mais il ne fallait pas faire patienter la patronne. Elle continua donc à malaxer le corps de la jeune femme, remuant contre son dos, jusqu’à ce que le cheval à bascule ne jouisse en même temps qu’elle. Car le cheval ne jouissait que quand sa proie jouissait, et, plus le temps durait, et plus la queue du cheval grossissait, enflait sur place. Le nœud se dégonfla, et Helena sembla enfin reprendre ses esprits.

Ruriko lui sourit encore, et la laissa reposer ses pieds sur le sol, caressant son visage.

« Si on joue encore, tu vas vraiment être en retard pour ta première journée, et je ne veux pas me faire gronder… »

Les deux femmes se rhabillèrent donc, puis Ruriko déposa un nouveau baiser sur ses lèvres. Elle lui fit ensuite signe d’y aller, prenant ensuite un air plus sérieux, et recoiffa doucement Helena. La jeune femme était encore un peu perturbée, et elles sortirent de la chambre, puis se rendirent dans le bureau de Karen… Qui se trouvait là.

« Et ben, tu tiens visiblement de ta mère, Helena, mon père disait toujours qu’elle arrivait… À point nommé. Pas avant, pas après. »

Karen avait enfilé une robe blanche de travail à manches longues, dissimulant visiblement des sous-vêtements très particuliers dessous. Bras croisés, elle fit claquer ses talons, portant également de magnifiques jarretières. Elle se rapprocha donc, et fronça les sourcils, prenant une attitude autoritaire :

« Mais la ponctualité est essentielle dans le bon fonctionnement d’une société, Madame Wayne. Que dois-je dire d’une salariée qui arrive en retard dès le premier jour ? J’ai bien l’impression que… Tout ça manque un peu de discipline ! »

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:20
par Helena Wayne
Helena venait d’avoir droit à une belle sodomie de la part de Ruriko, et sa crème chaude s’était répandue dans son anus. La secrétaire s’amusait à présent à la faire danser sur le cheval à bascule qu’elle montait. Ce dernier semblait animer d’une volonté propre et récompensait la femme chaque fois qu’elle s’amusait à le faire se balancer en faisant vibrer son chibre dans sa chatte. L’amante de la cavalière lui expliqua qu’il s’agissait d’un objet enchanté, et que Karen pourrait sûrement lui donner plus de détails à ce sujet.

« Aaahhh... il est tellement bon... »

Entre la chevauchée sauvage et les baisers avec Ruriko, Helena ne mit que quelques minutes à jouir et sa monture avec elle. Elle sentit un flot de crème se répandre dans son vagin tandis que sa mouille giclait sur la selle de l’animal, et sa queue se mit aussitôt à désenfler pour qu’elle puisse descendre. Ce rodéo très particulier l’avait bien secouée, elle commença doucement à reprendre ses esprits alors que la secrétaire l’aidait à se rhabiller pour aller voir Karen. Il ne fallait pas qu’elle arrive en retard dès son premier jour.

« Tu as raison. Je parie que Karen est une patronne... très sévère. »

Helena profita du trajet entre la chambre rose et le bureau pour se recoiffer et se remettre les idées en place. Ce moment de plaisir avait été extrêmement amusant, mais il était temps pour elle de se remettre dans un esprit de salariée. Quand Ruriko et elle arrivèrent dans le bureau de Karen, cette dernière les attendait. Elle salua l’arrivée « à point nommée » de sa chérie, fidèle à sa mère, et lui demanda ce qu’elle devait faire d’une employée qui arrivait en retard dès le premier jour. La façon dont elle parla de son manque de discipline fit trembler la jeune femme, qui peina à retenir un gémissement.

« Je suis vraiment navrée maî... madame Starr. J’ai été retenue par... une urgence personnelle. »

Elle ne voulait pas lui dire de but en blanc qu’elle s’était faite tringler par la secrétaire qui l’accompagnait, ça n’aurait pas collé avec son image de bonne employée. Et de toute façon, sa chérie était sûrement déjà au courant.

« Je vous promets... que ça n’arrivera plus. »

Helena observa Karen. Elle portait une robe blanche qui laissait voir les contours de sous-vêtements très particuliers, ainsi que de belles jarretières et des talons qui claquaient sur le sol quand elle marchait. Elle semblait convaincue que son employée avait besoin d’être recadrée, et cette dernière se doutait de la méthode qu’elle comptait employer pour ça.

« Je veux aussi vous dire que mademoiselle Ruriko m’a déjà corrigée pour mon mauvais comportement. Grâce à elle, je suis... de nouveau disciplinée. »

L’humaine essayait de calmer sa kryptonienne bien-aimée, mais au fond d’elle, elle espérait qu’elle allait lui donner une bonne leçon en la dressant comme elle seule savait le faire

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:20
par Power Girl
Ruriko était aussi amoureuse de Karen. Mais ce n’était pas un amour similaire à celui d’Helena. C’était plus une sorte de reconnaissance, d’admiration envers cette femme. Belle, forte, très intelligente, Karen semblait avoir toutes les qualités requises. Contrairement à son père adoptif, elle ne partageait pas son sens absolu de l’humilité, mais était au contraire une femme ambitieuse. Paradoxalement, plus Karen Starr devenait riche et puissante, et plus il semblait impossible d’imaginer que cette business woman perverse puisse être Power Girl. C’était le complexe des lunettes de Clark Kent. L’alter ego était si éloigné du personnage super-héroïque que personne n’arrivait à faire le rapprochement. On y voyait juste un lien physique, comme tous ces clones naturels d’artistes.

Karen se tenait donc devant Helena, l’air sérieuse et vigilante. Nerveuse, Helena expliqua avoir été retenue par une « urgence personnelle », et Karen se rapprocha encore. Ruriko sourit doucement.

« Hm-hmmm… Oubliez-vous que vous ne pouvez rien me cacher, Miss Wayne ? Je sens vos battements cardiaques accélérés, et je sens cette odeur entre vos cuisses… En réalité, je doute fort que la correction de Miss Tsubaki ait été suffisante. Qu’en pensez-vous, Miss Tsubaki ?
Oh, je pense qu’Helena a plein de potentiel, Madame, et qu’elle est particulièrement enjoué à l’idée de travailler ici. Mais, en ce qui concerne la discipline… Vu sa mère, je suppose que… C’était prévisible. »

Karen hocha doucement la tête, et sembla alors s’adoucir, comme si elle cessait de jouer.

« Très bien, très bien. Tu peux nous laisser, Ruriko. »

Dès que la secrétaire sortit, Karen se retourna devant Helena… Et l’embrassa subitement, venant presque la plaquer contre le mur, à côté de la porte. Sa main se serra sur ses cheveux, et l’autre caressa ses hanches, glissant sous sa veste pour serrer sa chemise. Les lèvres de Karen étaient toujours aussi fortes, son baiser marqué et appuyé. Elle se blottissait contre elle, et maintint le baiser pendant plusieurs secondes, et même une bonne minute. Karen savait toujours aussi bien embrasser, et, surtout, elle adorait toujours autant le contact des lèvres de la jeune femme.

Après ce contact, Karen se mit à lui sourire tendrement.

« Bon… Même si j’ai furieusement envie de te baiser dans ta tenue, ma belle, je ne t’ai pas embauché juste pour te sauter toute la journée. Je suppose que Ruriko ne t’a pas encore montré ce que tu es supposée faire ici, hein ? »

Karen avait, comme à son habitude, pensé à tout. Elle s’écarta d’Helena, et retourna dans son bureau. Helena avait encore les pulsions légèrement en feu. Ruriko n’avait pas lésiné sur les moyens en constatant qu’Helena avait été effectivement très bien formée par Karen. Celle-ci en avait fait une nymphomane en puissance, mais Helena savait aussi se montrer sérieuse quand il le fallait, même si elle devait étudier le corps de Karen sous tous les aspects, cherchant à savoir ce qu’elle dissimulait sous elle.

Le bureau d’Helena abritait une bibliothèque avec des dossiers très particuliers.

« Tout cet espace a été aménagé pour toi, Helena… Pour Huntress. Comme tu le sais, j’utilise les fonds de ma société pour financer une fondation internationale venant en aide aux personnes que tu protèges. »

La cause d’Huntress était celle des femmes, les femmes battues, exploitées. Une tâche l’amenant à voyager dans le monde entier, que ce soit pour défendre les réfugiés méditerranéens, ou pour se rendre dans les bidonvilles d’Asie ou d’Amérique du Sud pour protéger des familles défavorisées, exploitées par des individus influents gangrenant un système législatif et étatique qui se désintéressait d’eux. À travers la Fondation Starr, Karen disposait de plusieurs orphelinats et centres sociaux à travers le monde destinés à aider ces personnes, et à recueillir ceux qu’Helena arrivait à sauver.

Tous les dossiers entreposés ici concernaient ces personnes, mais il y avait aussi autre chose.

« J’enquête sur les réseaux criminels que tu poursuis par le biais d’agences de détectives privés et de spécialistes informatiques. Ce bureau, c’est un peu ta Bat-cave, si tu me permets cette comparaison. Ruriko ne te l’a pas montré, mais il y a aussi une grande salle de sport très aménagée. Quant à ce que j’attends de toi ici… Ce n’est pas que tu tries tes papiers, mais que tu puisses mener tes enquêtes, et participer au fonctionnement de la Fondation Starr. Même si Ruriko est très perverse, elle passe également une bonne partie de ses activités à administrer la fondation, elle te sera d’une précieuse aide. »

Les enquêtes de Karen ne visaient qu’à soutenir les efforts d’Helena, surtout suite à leur aventure en Afrique, où elles avaient appris qu’elles n’étaient pas les seules personnes rescapées de Earth-2.

« Tout comme Sunday, que tu as pu apercevoir tantôt. Enfin, il y a encore plein de choses que tu dois découvrir, Helena, mais… Voilà. »

Elle lui sourit doucement, et retourna l’enlacer.

« Et, bien sûr, je n’oublierai pas de venir te témoigner tout mon amour, ma belle… En veillant à ne pas te perturber pendant que tu poursuis ta mission. »

Re: Daily Work [Helena Wayne]

Posté : 20 oct. 2024 17:20
par Helena Wayne
Helena s’attendait à ce que Karen lui fasse sa fête en découvrant qu’elle avait passé ses premiers instants en tant que secrétaire à forniquer avec le personnel comme une grosse cochonne. Même Ruriko allait dans le sens de sa patronne en disant qu’elle avait encore besoin d’être disciplinée. En voyant Ruriko partir et la kryptonienne se jeter sur elle pour l’embrasser, la jeune femme crut qu’elle allait finir sous le bureau à devoir la sucer pour quelques heures. Mais finalement, sa maîtresse avait des projets plus sages pour elle. Les deux femmes se mirent en route pour retourner dans le bureau d’Helena. Sur le chemin, cette dernière essaya de voir ce qui pouvait se cacher sous la tenue de sa chérie, mais sa lingerie était bien dissimulée.

Une fois dans le bureau, Karen expliqua à Helena que son travail concernait la Fondation Starr. En tant qu’Huntress, la jeune femme se battait pour la cause des femmes à travers le monde et venait en aide aux victimes de violence et de trafic d’êtres humains. Une cause qui la faisait voyager à travers le monde entier et qui nécessitait d’importantes ressources. Sa chérie lui expliqua qu’elle enquêtait à travers le monde via des agences de détective et des experts informatiques, et que les résultats de ces enquêtes finissaient dans les dossiers regroupés ici. Son rôle au sien de ce service allait être de participer au fonctionnement de la Fondation Starr et d’intervenir sur le terrain si nécessaire.

« Ouah... je savais que la fondation avait beaucoup de ressources, mais là... »

Il y avait tellement de dossiers, tellement de crimes à combattre... la tâche semblait impossible. Heureusement, Helena avait le meilleur des soutiens avec elle. Karen l’enlaça en lui assurant qu’elle viendrait lui témoigner tout son amour dès qu’elle en aurait l’occasion, en veillant à ne pas trop la perturber dans son travail.

« Ma chérie, tu ne me perturbes jamais. C’est grâce à toi que je trouve la force de continuer malgré les difficultés. Et c’est toi qui me rappelles que parfois, même les super-héros ont besoin de se reposer. »

Si la jeune femme tenait de sa mère pour son côté sulfureux et joueur, elle tenait de son père pour son côté acharné. Elle passait parfois des jours sans manger ni dormir, négligeant sa santé pour se concentrer sur sa mission. Parfois, Karen devait l’obliger à se reposer, à manger et à s’occuper d’elle pour qu’elle ne s’évanouisse pas. Au moins maintenant, elle pourrait garder un œil sur elle en permanence.

« D’ailleurs, en parlant de repos... »

Toujours enlacée dans les bras de la kryptonienne, la jeune femme fit glisser une de ses mains le long de son dos. Elle devinait les contours de sa lingerie grâce à ses doigts, et elle descendit jusqu’à ses fesses, empoignant l’une d’elles avec plaisir.

« Je sais que je devrais me concentrer sur le travail maintenant que je suis là, mais... Ruriko m’a trop chauffée. »

Elle lécha l’une de ses oreilles avant de venir y murmurer.

« J’ai besoin que ma maîtresse s’occupe de mon éducation. »

Son autre main vint se poser directement entre ses cuisses. Elle ne sentit aucune bosse, la kryptonienne devait donc toujours avoir son sexe féminin.

« S’il te plaît Karen. Je veux juste te sucer une fois. Après ça je serai calme, promis. »

Helena lui fit son regard le plus sensuel et l’embrassa rapidement avant de lui lécher les lèvres.

« Qu’en dis-tu ma chérie ? Tu sors ton dard, je te le pompe un bon coup, tu te vides les bourses en moi, et on peut toutes les deux retourner travailler l’esprit léger. Ça ne te tente pas ? »