The Multiversity

Au Palais d’Été, l’un des quatre palais royaux des Faes, un mariage somptueux avait lieu. Les Faes, ou Elfes, représentaient l’ethnie principale du vaste royaume d’Amalur. Le royaume était actuellement gouverné par un Roi vieillissant, et disposait de quatre palais, baptisés en fonction des saisons annuelles. La Cour se déplaçait à chacun des quatre Palais, car la Faërie était un royaume immense, le plus grand royaume d’Amalur. Ce grand royaume était un royaume paisible, en harmonie avec la nature, mais en guerre avec des voisins hargneux, qui multipliaient sans arrêt les raids. Que ce soit les vagues de pirates venant des grandes îles à l’est ou les hordes d’Orcs émanant des montagnes de l’Ouest, la Faërie disposait d’une puissante armée. Cette puissante armée avait été mise à contribution après une invasion d’Orcs particulièrement dangereuse. Ils avaient saccagé les régions occidentales de la Faërie, pillant, dévorant, massacrant tout sur leur passage. Le Prince Eärendil avait décidé d’agir.

La succession de la Faërie était en cours depuis plusieurs années, et elle était complexe. Le Roi avait un pouvoir de préférence, mais ce n’était pas lui qui décidait qui devenait Roi, ou Reine. Il y avait une dizaine de candidats, et tous devaient s’illustrer dans des campagnes et dans des quêtes. Eärendil était l’un des favoris, et avait juré de ramener la tête du chef Orc, le redoutable Bosboss. Un Orc très puissant qui avait su fédérer cette puissante horde. Un Orc qui manipulait la magie noire, ce qui amenait les Elfes à croire qu’il était dirigé par un mage noir appartenant aux Taethes, les Elfes Noirs, des ennemis héréditaires des Faes. Eärendil avait réuni un puissant ost, et avait mené une bataille redoutable. La campagne avait duré plus d’une année. Il avait réussi à réorganiser les défenses, et à stopper l’invasion orc, puis avait contre-attaqué, s’enfonçant dans les montagnes et les régions glacées de l’Ouest sauvage. Eärendil s’était enfin illustré par un combat colossal contre Bosboss. Il avait réussi à le tuer au cours d’un combat très impressionnant, qui avait duré plusieurs heures, de la citadelle de Bosboss aux profondeurs de la montagne où l’Orc avait élu domicile, puis à son sommet. Finalement, les Faës avaient retrouvé le corps inanimé d’Eärendil. L’elfe avait failli mourir, et il avait fallu un bon mois pour le soigner. De fait, des informations contradictoires avaient émané vers la capitale, annonçant même la mort du Prince, avant qu’il ne revienne finalement d’entre les morts.

Quand elles avaient appris la nouvelle de sa mort, Aëlle & Änwen, ses deux sœurs, avaient bien cru mourir de chagrin. Elles avaient prié toutes les deux pour que ces nouvelles soient fausses. Vierges toutes les deux, Aëlle & Änwen étaient profondément amoureuses de leur frère aîné, un amour réciproque, et mal vu. Le Roi avait essayé de les séparer, de marier ses filles à d’autres elfes, mais elles avaient refusé, et, quand le Roi avait insisté, Eärendil s’était prodigieusement énervé. Il n’appartenait pas au Roi de choisir les époux de ses filles sans leur consentement ! Sa position lui avait valu de perdre à ce moment des points dans la succession. Änwen, elle, était la fille du père et de la mère d’Eärendil, tandis qu’Aëlle était issue d’une union entre le Roi et une Princesse taethe. Son union aurait dû permettre d’instaurer la paix entre les deux peuples, mais cela avait échoué. Initialement otage politique, Aëlle avait été élevée comme une Princesse. Elle et Änwen étaient inséparables, et avaient longtemps joué avec Eärendil, dormant avec lui. Tous les serviteurs et les gardes savaient que le trio s’aimait d’un amour sincère. L’inceste n’était pas quelque chose de bien vu au sein de la Faërie, mais, les elfes étant éternels, ne subissant point les affres du temps, les relations incestueuses étaient connues.

La résurrection d’Eärendil et la mort de Bosboss furent accueillies par les deux Princesses avec un immense soulagement.

« Il est vivant !
- Il ne pouvait en être autrement… »

La nuit précédant son départ, Eärendil avait demandé à ses sœurs de rester vierges. Elles étaient venues le voir, inquiètes, car on disait que les hommes en campagne avaient tendance à se rendre dans des maisons closes. Or, ils s’étaient juré de perdre leur virginité ensemble. Eärendil avait donc juré qu’il reviendrait, qu’elles seraient sa première fois, et les trois s’étaient jurées de rester vierges, passant ensemble un serment aux yeux des Dieux.

Le soulagement se répandit à travers toute la nation. Eärendil revint en héros, accompagné par une foule immense. Bosboss avait commis bon nombre de massacres, et fait quantité de prisonniers. Le Prince les avait libérés, et le Conseil des Faës ne pouvait que faire de lui le Roi. Les récits héroïques de son combat contre Bosboss en faisaient déjà un personnage presque mythologique. Toutefois, en le voyant revenir, les Princesses ne purent le voir, car il se rendit directement à une session extraordinaire du Conseil des Faës, qui lui annonça leur volonté de le couronner. Le Prince devait en profiter pour imposer sa seule condition : épouser ses sœurs.

De leur côté, les deux jeunes femmes attendaient dans leurs fines robes blanches dans le Jardin d’Ysa, un jardin royal privé réservé aux membres royaux. Elles attendaient avec nervosité de voir si le Conseil allait accepter la requête de leur aimé, et s’ils allaient pouvoir se marier…

Eärendil, au cours de cette longue campagne contre l'une des plus grandes menaces qu'Amalur aie jamais connu, avait dores et déjà inscrit son nom dans l'histoire de ce royaume millénaire, avant même qu'il ne soit officiellement nommé roi. Son absence, en campagne militaire, avait été longue et la cour royale avait eu le temps de changer à plusieurs reprises de palais jusqu'à son retour. Un retour qui avait été marqué d'incertitude, il avait gagné son expédition militaire et son duel final contre le Bosboss des orcs, mais ce monstre avait été un adversaire redoutable qui avait bien failli emporter avec lui le prince elfe. Ses hommes qualifiaient sa guérison de miraculeuse, tout comme ses succès contre cette horde qui aurait bien pu ravager tout le royaume, si il n'y avait pas eu le génie tactique et stratège d'Eärendil pour la contrer. Le prince était resté dans un coma profond pendant plusieurs jours, avant d'émerger, porté vers la lumière par les voix qu'il entendait de ses deux soeurs et aimées, Aëlle et Änwen.
Cela pouvait sembler fou, mais elles étaient la principales raison qui l'avait fait monter cette campagne militaire, et pousser bien au delà d'une simple guerre défensive pour mettre les orcs à genoux, les terrasser tellement fort qu'il leur faudrait des siècles avant de pouvoir commencer à redevenir une menace. Elles étaient ses soeurs de sang, des princesses de haut rang destinées à des mariages politiques, mais il les aimait et s'était juré d'en faire ses épouses envers et contre tout...ce qu'il mentionna au Conseil comme étant sa condition pour accepter la couronne. En d'autres circonstances, le Conseil l'aurait fustigé pour une requête aussi folle, quand bien même l'inceste était une pratique qui existait chez les Faes, l'officialiser sur un mariage aussi important, et de plus avec deux femme et non pas une, aurait créé un véritable scandale. Mais après avoir littéralement sauvé Amalur de la destruction, avoir sauvé des milliers de prisonniers, et s'être assuré que les orcs ne seraient plus une menace durant toute la durée de son règne potentiel...Eärendil était dans une position de force que peu de candidats au trône avant lui pouvaient prétendre posséder. Le Conseil le voulait lui comme roi et personne d'autre, car nul autre ne pouvait prétendre avoir une telle légitimité au trône de par ses actions, et il était urgent qu'il prenne sa place. Amalur se devait d'avoir un roi, et ce roi devait être lui, il ne pouvait en être autrement. Alors, face à le menace du prince de ne pas accepter la couronne si on l'empêchait d'épouser ses deux soeurs, le Conseil ne put...que se plier. Il en avait été ainsi également du fait de la forte popularité d'Eärendil auprès de l'armée d'Amalur, qui après cette campagne l'avait dores et déjà auto proclamé roi. L'histoire du royaume possédait quelques rares exemples de rois qui l'étaient devenus en dépit du refus du Conseil, mais par leur soutien des armées...et un coup militaire pouvait tout à fait être au goût du jour.

C'est donc victorieux qu'Eärendil était sorti de la chambre du Conseil. Il y aurait une cérémonie d'intronisation, des discours face au peuple et à l'armée, mais tout cela demandait de l'organisation et pouvait attendre face à l'impatience du prince de rejoindre ses aimées. Blessé par de la magie noire, Eärendil portait encore un gros bandage autour de la zone de son ventre, mais il marchait malgré la douleur à une grande vitesse. Pas moins de quatre saisons étaient passées depuis la dernière fois qu'il avait vu ses soeurs, et il avait bien craint de ne jamais les revoir...mais c'était fait. Tout ce pourquoi il s'était battu et avait fait preuve de patience, portait ses fruits en ce jour. Deux soldats le saluèrent puis lui ouvrirent les portes du jardin, avant de les refermer derrière lui, lui accordant à lui et à ses soeurs l'intimité dont ils allaient avoir besoin.
Il apparu donc devant ses soeurs...et pour la première fois depuis longtemps, un sourire orna le visage du prince.

Aëlle...Änwen...

Leur étreinte illustra parfaitement à quel point leur séparation avait été longue et douloureuse. Eärendil les acceuillit toutes les deux contre lui en les serrant dans ses bras, contre son torse, et en fourrant son visage contre leurs cheveux soyeux qui sentaient si bons. Le contact de leurs corps chauds et aimant contre le sien était une bénédiction après cette guerre.

Je l'ai fait, mes aimées. Le Conseil m'a nommé roi...et a accepté mes conditions. Il ne reste en réalité plus qu'une dernière étape à franchir.

Disant cela sur un ton quelque peu énigmatique, Eärendil s'arracha à l'étreinte de ses soeurs pour se mettre à genoux devant elles, de la façon la plus solennelle qui soit, et tendit ses deux mains dans leur direction en ayant dans ses paumes deux petits écrins qui contenaient chacun une bague...de fiancailles.

Änwen, Aëlle...ferez vous de moi l'homme le plus heureux d'Amalur en acceptant de m'épouser, et de devenir mes Reines ?

« Tu crois qu’ils vont accepter ?
- Bien sûr, Aëlle… Tu vois la liesse populaire dehors ? Le Conseil serait fou de ne pas accepter ! »

Elles étaient anxieuses, bien sûr. Aëlle et Änwen étaient toutes les deux inséparables, non seulement par conviction, mais aussi parce qu’elles avaient été formées ainsi. Les deux femmes étaient des magiciennes, et elles avaient appris à utiliser la magie ensemble. Si elles n’étaient pas des guerrières, elles ne pouvaient pas non plus se permettre d’être totalement inutiles. Les deux Princesses avaient donc appris ensemble la magie, et c’était là un argument de poids. Quand elles se séparaient, elles perdaient en efficacité. Mais il y avait aussi autre chose… Si l’inceste était une pratique existante en Faërie, c’était parce que l’union sanguine permettait parfois d’avoir des enfants extrêmement puissants… Mais aussi potentiellement instables. Il existait une théorie affirmant que les Elfes Noirs étaient le fruit de relations consanguines durables ayant mal tourné. Les enfants elfiques issus de relations consanguines étaient plus facilement enclins à la corruption, plus agressifs, et pouvaient céder à la magie noire. Il n’y avait toutefois que des théories là-dessus, mais les Princesses avaient aussi constaté que les sorts ou les potions qu’elles réalisaient gagnaient en efficacité quand Eärendil était là.

Nerveuses, elles pensaient à tout ce qu’elles avaient fait pendant un an. Persuadées que leur amour allait revenir, elles avaient appris des magies qu’on n’enseignait pas aux Princesses… Elles étaient des spécialistes en magie blanche. Les deux Princesses, ensemble, étaient sans doute les Faës les plus talentueuses qui existent en magie blanche, mais elles s’étaient aussi entraînées à la magie rose. Elles avaient appris qu’il existait une ethnie spéciale à l’est, les Elfes solaires, qui mélangeaient magie rose et magie blanche. Elles avaient conservé chez elle une réserve très particulière, constituée du sperme de leur amour. Le sperme d’Eärendil était un réactif très puissant, et elles avaient utilisé leurs réserves pour concevoir des aphrodisiaques redoutables… Aphrodisiaques qui ne fonctionneraient que pour eux trois. Elles y pensaient donc quand la porte s’ouvrit.

En le revoyant enfin, le cœur d’Aëlle manqua de s’arrêter de battre, tout comme celui d’Änwen. Elles se précipitèrent contre lui, et l’enlacèrent avec amour.

« Mon Prince !
- Tu es en vie ! »

Elles sentirent toutefois le bandage autour de son torse, mais, avant qu’elles ne puissent dire quoi que ce soit, Eärendil leur annonça qu’il avait réussi à convaincre le Conseil, et s’agenouilla alors, proposant de les épouser. Il leur proposa donc deux écrins abritant chacun une bague de fiançailles. Les deux Princesses rougirent furieusement. Änwen se mordilla les lèvres, et se pencha en même temps qu’Aëlle. Elles sourirent alors.

« Évidemment que j’accepte… Il ne s’est pas passé une journée sans que nous ne pensions à toi…
- Quand nous avons appris ton état… Nous avons prié jour et nuit ici ! »

Il n’était d’ailleurs pas impossible qu’elles aient pu le soigner… Malgré la distance, elles avaient senti en priant sa présence, et avaient tout fait pour l’aider, rentrant dans une sorte de transe mystique qui avait duré des jours. Elles tendirent leurs doigts, et laissèrent Eärendil mettre ses bagues.

« Je t’aime, Eärendil…
- Je t’aime, Eärendil ! »

Chacune l’embrassa à tour de rôle. Elles étaient toutes les deux très excitées.

« Nous t’avons attendu pendant tout ce temps… Tu nous as tellement manqués. Tes lèvres, toi, tout… ! »

Änwen l’embrassa à nouveau.

« Mais tu ne reviens pas indemne… Sache toutefois que nous ne sommes pas restées inactives, nous non plus… »

Eärendil allait bientôt comprendre l’étendue des nouveaux pouvoirs de ses Princesses…

Les deux princesses acceptèrent immédiatement la proposition de mariage d'Eärendil, qui se releva alors pour mettre la bague au doigt de chacune de ses dulcinées. Cela semblait tellement évident que c'en était presque à se demander pourquoi Eärendil s'était même arrêté sur le chemin de retour à une bijouterie pour acheter des bagues de fiancailles, et demander à ses soeurs alors que leur réponse était évidente...mais il ne fallait pas sous-estimer le poids de certaines traditions, et une demande en mariage en bonne et due forme était de celles que le jeune Prince entendait bien respecter. Avec une délicatesse qui tranchait avec ces mois où il avait été implacable face aux orcs, le bel elfe passa la bague au doigt d'Aëlle puis d'Änwen, avant de les embrasser l'une après l'autre pour sceller leur acte d'union.

Et moi donc mes belles, une année entière à guerroyer contre les orcs...j'en avais presque oublié à quel point il était doux d'être dans vos bras.

Mais au delà de l'aspect romantique de cette scène, il devenait aussi impossible pour Eärendil d'ignorer ses désirs charnels qui remontaient maintenant en lui à une vitesse folle. Le fait d'avoir pu enfin goûter aux lèvres de ses deux princesses, les sentir se blottir contre lui après un an d'abstinence totale...et bien il était en train de bander tout simplement. Eärendil avait pris très au sérieux son serment de n'avoir aucune relation sexuelle avec qui que ce soit d'autre qu'elles, et s'était même imposé de ne pas se masturber durant toute cette période, incapable de toute façons qu'il était de ressentir du vrai plaisir sans les délicates mains de ses soeurs. Si tous les trois étaient vierges, il avait été impossible pour ce "couple" atypique de rester complètement abstinent. Eärendil ne comptait plus le nombre de fois où Änwen et Aëlle l'avaient sucé ou masturbé, ils s'aimaient depuis tellement longtemps d'un amour dont les flammes ne s'éteignaient pas, que c'était un miracle qu'ils n'aient pas sauté le pas de perdre leur virginité ensemble...mais cela ne saurait désormais plus tarder. Aëlle mentionna alors le fait que tandis que lui était parti guerroyer, elle ainsi que sa soeur n'étaient pas restées inactives.

J'ai eu quelques échos comme quoi vous avez continué de travailler votre potentiel magique, et que vous êtes devenues des magiciennes de talent. Vous savez...pendant que j'étais inconscient, au bord de la mort, je crois bien avoir senti votre présence, vos prières. C'est votre lumière à toutes les deux qui m'a permis de m'extraire des ténèbres. Mais tout ça, et toute cette attente en valait la chandelle. je serais Roi, et vous allez régner à mes côtés. J'ai déjà donné des consignes pour préparer le mariage, et nous allons le faire le plus vite possible. Pour être parfaitement honnête mes douces...

Il laissa un petit moment de silence s'installer, juste le temps pour lui de glisser ses mains le long de leurs dos respectifs, et d'aller délicatement mais non moins avec envie, presser leurs beaux petits culs, avec un petit sourire en coin.

Vous m'avez aussi terriblement manqué. Je ne me suis accordé aucun plaisir charnel, pas même solitaire durant toute cette campagne car rien n'aurait pu égaler votre toucher...et maintenant que nous sommes enfin réuni...et bien...le Roi d'Amalur oserait-il demander à ses Reines de s'occuper de cette lancinante érection que me fait presque autant souffrir que mes blessures ?

Äelle et Änwen étaient toutes les deux très excitées, et le désir ne tarda pas à exploser entre eux. Eärendill leur remit les bagues à leurs doigts, et elles se pressèrent chaudement contre lui. Elles rougirent doucement quand leur Prince et futur Roi leur glissa qu’il ne s’était pas masturbé une seule fois en campagne, et qu’il avait perçu leur présence. Leur rituel avait donc marché. Elles rougirent encore, constatant, sans aucun doute possible, que leur amour était sincère, et avait permis de traverser des milliers de kilomètres pour le toucher. Elles frémirent ensuite quand les mains d’Eärendill palpèrent leurs fesses avec appétit, et une certaine envie. Son érection lancinante ne leur échappait pas, et elles sourirent alors, chacune l’embrassant sur la joue.

« Nous allons prendre soin de vous, mon Prince…
- Mon Roi… rectifia Äelle.
- Et nous allons nous occuper de vos vilaines blessures. »

Cela pourrait le surprendre, car Eärendill était passé entre les mains des meilleurs guérisseurs de la Faërie. Mais il allait vite comprendre ce qu’elles voulaient dire par là… Dans le dos d’Eärendill, une grosse plante se mit à pousser, s’étirant, le pétale de fleur prenant une taille humaine et solide, se recouvrant d’un fin duvet. Elles le déshabillèrent alors. Elles avaient appris à le faire, et retrouvèrent très rapidement leurs habitudes, décrochant les liens, tirant dessus, décrochant les sangles. Il finit ainsi tout nu, avec un bandage autour de son ventre. Elles s’observèrent doucement, et le couchèrent ensuite sur le pétale. Sa belle verge se redressait, et Äelle se rapprocha, filant entre ses jambes, et lécha sa belle queue.

« Hmmm… Oh, mon Roi, vous avez… Une si belle queue ! »

Äelle alla le prendre en bouche sans attendre, et Änwen défit alors le bandage autour du nombril de leur époux. Il aurait beau protester, elle le retira, et vit plusieurs estafilades autour de son nombril.

« Je ne peux pas accepter que mon Roi ne me revienne pas avec son corps parfait… »

La belle Princesse se concentra, et un halo magique l’entoura. Cependant, ses yeux prirent une curieuse teinte violette, et, quand ses mains se posèrent sur le nombril d’Eärendill, celui-ci devrait ressentir une brusque bouffée de chaleur. Son désir crut encore, et il ne put que jouir dans la bouche d’Äelle, sans pour autant que sa verge ne décroisse. Änwen se concentra alors, et la magie se mit à vibrer autour du trio. Et, petit à petit, alors que le Prince se détendait, il put sentir les cicatrices disparaître, sa peau se rétablissant. Änwen était très concentrée, et poursuivit son psaume. Quand elle eut terminé, elle rouvrit doucement les yeux en souriant,

« Voilà… Nos âmes sont liées, mon Roi… Liées par l’amour… Mais aussi par le désir. »

Tout cela devait sembler encore bien nébuleux pour Eärendill, mais, en regardant le ventre d’Änwen, il pourrait voir sur sa peau un symbole magique qui avait apparu, brillant chaudement… Et qu’on retrouvait également sur le bas-ventre d’Eärendill, tout comme sur Äelle…

Un inmon.

Beaucoup d'autres races avaient bien des préjugés sur les Faes, et l'un des plus répandus était leur frigidité permanente qui devait aussi se transférer dans la vie intime...ce qui ne pouvait pas être plus éloigné de la réalité. Il suffisait de voir à quel point Äelle et Änwen répondirent avec enthousiasme à la requête d'Eärendil de s'occuper de son sexe qui bandait dur sous ses longs vêtements, il fut toutefois aussi un peu surpris lorsque Änwen ajouta également qu'elles allaient s'occuper de ses blessures. Sur le moment, cela lui sembla quelque peu présomptueux, car les meilleurs guérisseurs du royaume s'étaient penché dessus, et ne voyaient pas comment faire partir ces cicatrices qui promettaient d'être profondes, car la lame qui l'avait touché là était emplie de magie noire. Néanmoins il ne fit pas part de ce "doute" car il avait entendu dire que ses deux soeurs s'étaient longuement dédiée à leurs études magiques pendant son absence, et qu'elles avaient fait de grands progrès dans ce domaine...après tout, c'était leurs prières qui lui avaient permis de sortir de son profond coma. Il tourna légèrement la tête vers l'arrière, sentant une gigantesque plante émerger de la terre et s'ouvrir derrière lui, animée par la magie de ses aimées.

Je m'en remet entièrement à vous, mes magnifiques Reines.

Quand bien même Eärendil serait le roi, il n'y avait jamais de véritable et clair rapport de domination entre lui et ses soeurs, qui après tout étaient des magiciennes de talent, et qu'il aimait par dessus tout. Il était impensable pour lui de les voir comme Reines seulement en titre honorifiques, il les laisserait véritablement régner à ses côtés, et lorsqu'ils étaient en intimité les trois et bien...lorsque Äelle et Änwen voulaient faire quelque chose avec leurs pouvoirs magiques, il n'avait ni l'envie ni les moyens en réalité de s'y opposer. L'elfe soupira en sentant les doigts délicats de ses deux soeurs parcourir ses vêtements, et commencer délicatement, mais sûrement à le déshabiller. Il fallu en vérité assez peu de temps pour que Eärendil ne se retrouve tout nu face à elles, à l'exception près de son bandage qui lui couvrait toute la zone du ventre. Il était donc là face à elles, nu, révélant son beau corps d'éphèbe, athlétique et imberbe, mais aussi avec une belle trique qui pointait en leur direction. Les deux princesses le firent s'installer doucement dans la fleur qui servait d'agréable fauteuil, suite à quoi...Äelle ne perdit pas une seule seconde, et se mit à genoux devant lui pour commencer à le sucer.

Oh Äelle...Aaaaah....

Le prince Eärendil, et bientôt roi, se sentit frissonner de toutes parts au contact de la belle bouche de sa soeur sur sa queue tendue. Confortablement installé dans les gigantesques pétales de cette fleur animée par magie, qui lui servait de siège, il se laissa complètement aller au confort de sa situation tout en glissant délicatement l'une de ses mains dans les cheveux argentés d'Äelle. Cette dernière le complimenta sur son érection, et après quelques habiles coups de langue dessus pour faire monter la pression chez son prince, entreprit d'ouvrir sa bouche pour acceuillir cette belle queue entre ses lèvres, et commença à le sucer. Eärendil soupira longuement, après une année passée à guerroyer et en revenant blessé, le toucher de ses soeurs dans un cadre intime, et la certitude qu'il allait pouvoir en faire ses femmes, ses reines à ses côtés du trône, était la plus belle récompense qu'il pouvait imaginer. Et la réalité était qu'il n'était absolument pas en état de protester le fait qu'Änwen de son côté lui retirait son bandage, ni n'en avait envie, elle était une brillante magicienne...et peut-être avait-elle une solution que les guérisseurs n'avaient pas.
La blessure à son ventre, bien que cicatrisée, laissait une peau noire au tissu encore bien dur, la lame qui l'avait blessé là étant maudite...mais cette magie noire n'allait au final pas faire le poids face à la puissance magique et à l'amour qu'Änwen éprouvait à son encontre. Son attention fut naturellement détournée de la délicieuse fellation qu'Äelle lui prodiguait vers le halo lumineux et violacé qui émanait des mains de son autre soeur, posées sur son ventre et directement sur sa plaie. Eärendil était un combattant hors pair, un brillant tacticien et un leader respecté de tous, mais les mystères de la magie étaient pour lui de véritables énigmes dont il laissait la connaissance à ses deux soeurs.
Il sentit comme une sorte de...vague le traverser, un poids au niveau de sa blessure se retirer petit à petit, en même temps qu'une pointe d'excitation subite qui le surpris. Eärendil aurait été bien incapable de se retenir longtemps face aux assauts de la bouche d'Äelle sur sa queue après un an d'abstinence complète, mais l'effet de cette magie le fit jouir presque instantanément sans qu'il ne puisse l'anticiper.

Aaaaaaah...

Les yeux d'abord grands ouverts puis fermés, Eärendil se mit à jouir copieusement dans la bouche d'Aëlle, la tapissant d'une épaisse crème chaude alors que son sexe tressautait entre ses lèvres. Dans le même temps, il sentait la douleur de sa blessure disparaître progressivement, ainsi que ce sentiment de mal être qui ne l'avait pas quitté depuis. Lorsque enfin il "revint" à lui, Eärendil cligna des yeux en regardant ses soeurs, ainsi que le symbole magique qui luisait sur leurs ventres, tout comme sur le sien.

La douleur...elle est partie je...comment ?

La magie noire imbibée dans la lame qui l'avait blessé n'avait pas seulement failli le tuer, mais avait également laissé une marque magique en lui, néfaste, mais face à laquelle les guérisseurs avaient été incapable de proposer un traitement, laissant une ombre sur le tableau de cette victoire car sa santé sur le long terme pouvait être compromise. Mais cette même ombre, Eärendil venait de la sentir se dissiper de son corps et de son esprit, et sur son ventre plus aucun signe de sa cicatrice, juste le symbole qu'il partageait visiblement avec ses soeurs. Il était aussi à noter que le prince continuait à bander très fort malgré le fait qu'il venait tout juste de jouir, mais il était dans une sorte d'état de choc face à ce qui venait de se produire, qu'il ne comprenait pas, mais aussi parce qu'il se sentait enfin bien...

Äelle fut donc la grande chanceuse, celle qui avait pouvoir goûter la première à la verge de leur amant et Roi ! Änwen aurait presque pu s’en sentir jalouse, mais elle savait que son tour viendrait, et elle était occupée. Leur époux avait reçu une vilaine blessure, qui aurait tué n’importe qui. Le pire était que cette blessure était toujours là, et devait toujours le faire souffrir. Cette marque noire ne mentait pas sur la puissance du coup qu’il avait reçu et de la malédiction qu’on lui avait infligé. Tandis que sa sœur pompait son dard, Änwen se rapprocha. Elle posa ses mains sur le ventre de leur époux, et diffusa sa magie. Eärendill put sentir comme une aura de douceur et de béatitude l’envahir. Un bonheur sans fin l’envahissait, un sentiment d’allégresse. La magie blanche ne pouvait pas soigner cette malédiction, mais l’inmon d’Eärendill se mit à briller fortement, luisant sur cette marque. Äelle, quant à elle, se régalait. La belle elfe à la peau sombre sentait ce vit s’enfoncer dans sa bouche, et elle le suça donc.

« Hmmm… !! »

Tandis qu’elle le pompait, Änwen observa son Roi, se mordillant les lèvres.

« Laissez-vous porter, mon époux… Faites confiance à vos épouses, nous veillons sur vous… »

La bouche d’Äelle filait d’avant en arrière, ondulant sur ce membre de chair, répandant une vague de plaisir. Äelle sentit l’excitation de son époux, et celui-ci se mit à jouir en moins d’une bonne minute, crispant sa main sur les cheveux argentés d’Äelle. Il se relâcha copieusement en elle, et elle gémit, sentant son sperme. Le sperme de leur époux ! Elle l’avala avec appétit, sans en perdre une seule goutte, et, par la suite, Eärendill put constater l’exploit… Sa blessure avait totalement disparu ! Éberlué, il les observa, et Änwen lui répondit en l’embrassant avec appétit. Sa bouche se plaqua à la sienne, et elle l’embrassa pendant plusieurs secondes, tout en caressant sa verge, qui avait retrouvé très rapidement sa dureté, glissant sur ce membre trempé.

« Évidemment… »

Äelle les rejoignit à son tour, s’asseyant sur l’autre genou d’Eärendill, son autre genou servant de siège pour Änwen. Äelle l’embrassa ensuite, et posa également sa main sur sa hampe de chair, le masturbant à son tour.

« Nous ne voulons plus jamais être séparées de toi… Nous serons tes guérisseuses attitrées quand tu partiras en campagne…
- Nous avons passé tout ce temps à t’attendre à perfectionner nos talents. La magie blanche, couplée à la magie rose, gagne fortement en puissance, tu sais… Le sexe, le désir sexuel, c’est un désir de vie, alors… Ça t’aide à te soigner. C’est ce que nous avons fait. »

Elles étaient si belles, toutes les deux. Elles l’embrassèrent chacune sur la joue.

« Mon Roi…
- Nous sentons en vous ce flux incroyable, cette vitalité, toute cette énergie qui ne demande qu’à se décharger…
- Nous sommes là pour ça… Ce serait terrible que cette énergie vous restreigne, notre Roi… »

Elles lui parlaient avec des voix douces, des intonations chatoyantes, mélodieuses… Irrésistibles !

Lorsque les soigneurs lui avaient annoncé qu'il porterait très probablement cette cicatrice à vie, et qu'il aurait sans doute des relents de souffrance qui viendraient régulièrement le hanter, Eärendil s'était résolu à l'endurer et à poursuivre malgré tout pour ses soeurs. Les mages les plus compétents du royaume semblaient ne rien pouvoir y faire, mais Äelle et Änwen en travaillant de concert venaient tout juste de le guérir. Il le sentait en lui, cette douleur et cette trace de maléfice qui était restée en lui...évaporée sous la puissante magie qu'elles venaient d'utiliser. Le prince était sous le choc de se sentir bien, et même mieux que ça, jamais il ne s'était sentit aussi libéré. La seule chose qui lui avait permis de tenir était le fait de savoir qu'il pourrait imposer au conseil de marier Äelle et Änwen, car leur amour était longtemps resté dans une position d'incertitude quand à sa viabilité...maintenant il était certain d'être roi, certain de pouvoir en faire ses reines toutes les deux, et elles venaient de le guérir. Änwen prit une position assise sur l'un de ses genoux pour venir délicatement l'embrasser sur la bouche, un baiser auquel le prince répondit bien évidemment avec un grand plaisir, il s'était langui du toucher si doux de ses deux soeurs.
Pendant ce temps, Äelle, qui venait de finir de le sucer et d'avaler tout le sperme qu'il avait craché dans sa bouche, vint elle aussi se placer sur l'un de ses genoux, et il l'embrassa à son tour dès lors que son baiser avec Änwen se termina. Le futur roi se retrouva avec ses futures reines chacune installées sur ses genoux, et les deux étaient d'ailleurs en train de caresser son sexe en même temps. Une situation qui aurait volontiers pu le faire croire au paradis, tandis qu'elles lui expliquèrent les raisons de leur réussite là où d'autres avaient échoué. La magie rose couplée à la magie blanche, il voyait à peu près ce qu'elles voulaient dire par là car il avait fait de son mieux pour comprendre leurs études, mais ça s'arrêtait à quelques connaissances basiques.

Ma foi...je crois que vous allez être les précurseuses d'un nouveau type d'enseignement chez nos mages et nos guérisseurs.

Il ne plaisantait là qu'à moitié, pareille blessure était impossible à soigner avec leurs connaissances actuelles, certes cela risquait de choquer certains éléments plus traditionnalistes...mais les effets étaient bien trop intéressants pour ne pas les mettre en pratique et continuer d'expérimenter. Eärendil continuait d'ailleurs d'avoir une sacrée trique de par le biais de ces magies, et ses soeurs continuaient de le stimuler en le masturbant, tout en annonçant qu'elles ne comptaient plus être séparées de lui et qu'elles voulaient devenir ses guérisseuses attitrées. Le prince émit un sourire à cette demande.

Oh mais vous serez bien plus que mes guérisseuses, vous serez mes reines. Ne croyez pas qu'avec votre intellect à toutes les deux je vais vous laisser à des positions d'apparât. Je suis...certes un bon guerrier et commandant, mais gérer un royaume est un tout autre défi. Alors...ne vous en faites pas, après qu'on nous aie séparé contre notre gré depuis tout ce temps...je n'ai aucune intention de m'éloigner.

Suite à ça à Äelle et Änwen se blottirent encore un peu plus contre lui, venant chacune l'embrasser sur la joue, en lui parlant avec des voies sensuelles qui trahissaient leur propre désir sexuel. Le fait de se sentir ainsi désiré, à nouveau en forme, et le fait qu'elles continuèrent de le masturber fit qu'il ne parvint pas à se contenir d'avantage.

Oh mes Reines je...Aaaaah...

Posant subitement ses mains sur leurs fesses respectives, Eärendil se tendit sur place, et ses deux soeurs purent sentir sous leurs doigts délicats le sexe tendu se mettre à tressauter dans un nouvel orgasme. Eärendil sentit d'épais filaments de foutre maculer son torse et son ventre, et ce en belle quantité.

Une nouvelle discipline magique, elles ? Pourquoi pas… Techniquement, Eärendill n’avait pas tort. Cette combinaison entre magie blanche et magie rose n’était pas en soi une nouveauté, mais, non seulement elle avait été rarement pratiquée, mais en plus les deux sœurs avaient réussi une fusion complète. De plus, elles s’étaient mutuellement synchronisées, leur potentiel magique se démultipliant par ce biais. Elles avaient ainsi réussi l’impossible, elles avaient réussi à maintenir leur futur époux en vie, et à le guérir totalement. Toutefois, cette magie avait aussi des effets secondaires, des effets qu’Eärendill n’allait pas tarder à ressentir très intimement…

Elles sourirent doucement en sentant son excitation, son regard fiévreux, tandis qu’il confirmait que ses Reines resteraient avec lui. Elles ne purent qu’acquiescer.

« Et puis, vu comment tu nous reviens, tu peux être sûre qu’on ne te laissera plus jamais partir sans nous ! »

Aëlle et Änwen étaient des femmes aimantes et dévouées, et rien ne pourrait les amener à changer. Leur elfe, elles l’aimeraient jusqu’à la mort ! Et là, celui-ci avait droit à une vision de rêve. Elles étaient toutes les deux assises sur ses genoux, se frottant à lui avec tendresse et envie. Leur peau douce, leurs vêtements soyeux, leurs délicates culottes en dentelles… Elles étaient magnifiques, et on se damnerait sûrement pour avoir la chance de les avoir comme ça, chacune posée sur vos cuisses.

Face à un tel spectacle, Eärendill avait bien du mal à conserver son calme, et sa verge avait solidement durci entre leurs délicates mains. Il leur parlait tandis qu’elles jouaient avec son sexe, sans jamais se bloquer mutuellement.

« Oh, mon Roi, vous savez comment parler à vos Reines !
- On ne se quittera plus jamais… Nous porterons vos enfants, mon Roi, nous ne vivons que pour vous ! »

Elles lui sourirent encore, malicieuses et sensuelles, sentant la verge durcir, approchant du point de rupture. Elles-mêmes étaient doucement en train d’humidifier leurs culottes, et elles soupirèrent quand il se mit à palper chacune de leurs fesses, appuyant dessus avec envie.

« Oh…
- Mon Roi… ! »

Et il se mit à jouir ! Sa verge tendue se relâcha alors, et le sperme fusa, éclatant sur le torse de l’homme, remontant jusqu’à sa poitrine. Elles le masturbèrent encore, vigoureusement, et la verge de l’elfe crachota à nouveau, envoyant de nouveaux chapelets de foutre sur son torse.

Les deux jeunes femmes observèrent ce torse avec des regards empreints de malice et de désir. Elles se pincèrent les lèvres, et se rapprochèrent lentement, évitant de poser leurs mains sur les traces de sperme.

« Notre Roi s’est sali…
- Par notre faute !
- On ne peut pas le laisser ainsi…
- C’est notre devoir d’épouse… »

Les deux sœurs se complétaient si bien qu’elles finissaient chacune les phrases de l’autre. Elles se rapprochèrent donc, et commencèrent à lécher le torse d’Eärendill. Leurs têtes se frottaient mutuellement, et elles continuaient leur office, sans jamais s’arrêter, léchant et embrassant avec appétit sa peau parfaitement glabre.

La bouche pleine de sperme, elles se relevèrent alors, posant leurs mains en appui sur le torse de leur homme… Et s’embrassèrent alors toutes les deux avec appétit, se pressant sensuellement et fougueusement l’une contre l’autre, sous les yeux sans aucun doute comblés de leur amant…

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