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La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:37
par Malaurie Odessa
Cela faisait plusieurs semaines que Malaurie se faisait utiliser par Chengzu. Elle avait toujours refusé l'anal pour le moment et même quand il l'exhortait à coucher avec d'autres mecs, elle refusait... Soeur Malaurie n'était pas ce qu'on pouvait appeler une fille facile. Autant elle avait cédé aux charmes du bélier, autant elle savait que ce qu'elle faisait était mal. Ca la freinait dans bon nombre de ses pratiques. Finalement quand Chengzu lui avait demandé de faire venir Ruby ici, la vachette ne s'était pas du tout opposé, loin de là. Elle fit de nombreux courriers à Ruby pour lui demander de venir. Elle put même l'avoir en appel CB à un moment. Puis finalement son amoureux put venir. C'était un Ushi également, d'un bon mètre 70, aux cheveux bruns. Il n'avait pas une musculature de fou, plus enclin à donner des serments qu'à la correction. Il avait cette tenue de prêtre caractéristique de l'église de Malaurie. Comme elle était faite en tissu, il y eut tôt fait d'avoir des railleries de la part des Nachtois. Mais quand il put voir Malaurie, cette dernière s'empressa de l'enlacer.

"Ruby ! You came !"

Dit-elle en venant le serrer dans ses bras. Ce qui était sûr, c'est que la surprise fut bien plus importante pour Ruby... En effet, la prêtresse digne de ce nom avait disparue au profit de cette sexy et belle Ushi, aux formes misent en valeur par le latex, et à l'odeur inexpliquée bien insolite.

"Sister Malaurie, what happened to your clothes ?... This place already changed you..."

Malaurie prit du recule pour se regarder. C'est vrai que c'était loin du style vestimentaire des personnes de fois à l'église de Gao Mata... Quant à dire que cet endroit l'avait changé, dire le contraire aurait été mentir. La Ushi se gratta un peu les cheveux avant de reprendre.

"Yes, that's how they make clothes here. It's made from the very sap of the trees here. It's not a bad place, I promise... You must just accept their conditions."

Malaurie guida Ruby à travers le dédale de tunnels troglodytes de la capitale creusés à même la roche d'un inselberg. Il ne manqua pas à Ruby de se faire moquer par les locaux, mais lui ne comprenait pas la langue... Il savait juste qu'on riait de lui. Malaurie était un peu gênée, mais elle fit comme si. Elle lui présenta son église et sa petite communauté religieuse. Ce fut agréable pour Ruby de parler sa langue avec d'autres personnes. Prit un peu par la foule de croyant, Malaurie se mit un peu en retrait avant de remarquer que Chengzu l'observait depuis le fond de l'église. Gênée, elle se mordilla le pouce avant de finalement aller à sa rencontre, remarquant que Ruby était bien occupé.

"On avait été d'accord que je m'occupais du retour de Ruby... Déjà, le faire juste avant qu'il vienne, je ne voulais pas... Il a le nez délicat, s'il t'approche trop, il sentira ton odeur..."

Oui, revenons un peu en arrière... Juste avant que Ruby ne passe le portail de Bivotopia et fut signalé par l'immigration à Chengzu, Malaurie était en train de faire la bête à deux dos avec le bélier ! Elle replaça juste ses vêtements avant de rapidement le rejoindre, la chatte encore détrempée et les cheveux en bataille sous son voile... Il y avait été si fort qu'elle avait eut peur que sa bouche sente encore l'odeur de son sperme. Et sous sa robe de latex, accroché à son string, une capote bien remplie pendait. Comme pour repousser doucement Chengzu de son église et les laisser seul, elle posa ses mains sur son torse. mais dès qu'elle le fit, elle perdit la force de le pousser. Ses joues s'empourprèrent et son souffle devint court. C'est vrai qu'ils avaient dût stopper en plein milieu... Elle était frustrée...

*I wanna fuck, I wanna cum, I wanna cum so bad.*

"Peut... Peut être plus tard... Je... Hmm... Peut être que si... on fait ça vite..."


Elle devait jouir pour ravoir les idées claires... Du moins c'est ce qu'elle pensait sur le moment...

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:38
par Chengzu von Nacht
Chengzu et Ishtar en avaient conjointement décidé : il était temps « d’achever » l’éducation de Malaurie. Ishtar avait été très fière de ce que son mari avait fait avec elle, et, maintenant que les von Nacht disposaient de leur manoir, il était plus que temps de faire de Malaurie une femme qui leur appartiendrait pleinement. Ce grand manoir n’était pas là que pour le décorum, et Ishtar souhaitait se constituer un clan. Malaurie y avait une place tout indiquée, et il tardait à Chengzu de la revoir. Il savait que le dernier obstacle à cette union était son ancien petit-ami, Ruby. Alors, pour achever Malaurie, Chengzu lui avait proposé de le faire venir, et qu’elle constate combien elle avait changé. Ce plan était bien sûr risqué, car la présence de Ruby pourrait l’amener à changer sa position, à repartir avec lui. Chengzu acceptait néanmoins ce risque.

Revoir Malaurie avait été un vrai bonheur pour lui, et, alors qu’il voulait attendre au moins que Ruby soit là, il l’avait pris sur l’autel de son église, la prenant en levrette dans le chœur de l’église, sur l’autel où Malaurie faisait ses prières. Il n’y avait encore aucun fidèle. Le culte de Gao Mata avait commencé à gagner des fidèles ici, alors les gens allaient venir pour la messe que Malaurie allait faire. Chengzu avait donc commencé à la prendre, giflant ses fesses, et les premières protestations de Malaurie s’étaient transformées en soupirs et gémissements de plaisir. Avec ses instincts vampiriques, il savait quand elle approchait de l’orgasme, et, à chaque fois, Chengzu ralentissait le rythme, s’amusant à frustrer autant que possible Malaurie. Son plan était dressé, et il le fit donc jusqu’à ce qu’on leur annonce que Ruby était arrivé. Ils s’étaient arrêtés en plein acte, avec une Malaurie un peu perdue, et il avait fallu que Chengzu lui ordonne d’aller voir Ruby pour qu’elle sorte de sa torpeur.

Le temps qu’elle aille le chercher, il s’était soulagé auprès de Theorem, un quickie fulgurant. Si l’odeur de Chengzu pouvait se ressentir sur Malaurie, l’inverse était aussi vrai. Chengzu avait plaqué Theorem contre un mur de l’église, à l’extérieur, et l’avait besogné là, entre deux piliers. Il avait joui en lui, puis lui avait dit que Malaurie dormirait bientôt dans leur manoir. Il était toujours bon de rappeler à Theorem que, même s’il avait été affranchi, et qu’il était devenu une personne très populaire, une icone de propagande, il resterait toujours l’esclave de Chengzu et d’Ishtar.

«
Il est temps de se préparer… »

Les fidèles commençaient à affluer dans l’église. On était désormais bien loin de la petite chapelle initiale. Malaurie avait droit à une véritable église, dans le domaine von Nacht. Comme on pouvait s’y attendre, l’église disposait de passages secrets la reliant directement au manoir. Chengzu retourna donc à l’intérieur. Malaurie entra de l’autre côté, et leurs regards se croisèrent. Chengzu sourit doucement, sans toutefois rien dire. Malaurie se rapprocha alors de lui, et il constata qu’elle était en manque. Il avait eu le temps de jouir une fois en elle tout à l’heure, et avait accroché sous sa robe la capote pleine de sperme.

«
Et tu ne demandes pas à Ruby ? » plaisanta-t-il.

Ruby était visiblement encore un peu surpris par tout ce qui se passait. Chengzu caressa le visage de Malaurie, et la coinça contre l’un des piliers de la nef, sa verge tendue remuant sous son pantalon. Il n’eut aucune difficulté à en libérer l’accès, mais, cette fois, il n’avait pas de préservatif.

«
Je n’ai pas eu le temps de mettre une capote… Mais j’aime jouir en toi. »

Les préservatifs étaient purement récréatifs avec un vampire, car il ne pouvait pas la mettre enceinte. Il se plaqua à elle, et sa verge s’enfonça dans la chatte de Malaurie, la prenant contre le pilier.

«
Hmmm… Comme ça, hein ? Je veux que tu couches avec Ruby ensuite… Que tu compares… »

Les fidèles commençaient à rentrer, mais, dans leur alcôve, le duo était invisible à voir, sauf à se rendre par là. Chengzu la prenait rapidement, et, bon prince, n’utilisa plus ses pouvoirs pour l’empêcher de jouir, impatient de la sentir s’abandonner contre lui…

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:38
par Malaurie Odessa
Malaurie ne s'était sûrement pas attendue à ce que Chengzu souhaite la prendre ici, dans l'église... Heureusement il y avait une nef isolée et elle se retrouva bien vite coincée derrière une des colonnes de l'édifice, plus ou moins à l'abri des regards. La Ushi ne résista pas, elle était beaucoup trop transit d'excitation pour tenter quoi que ce soit. Quand enfin la verge du bélier entra en elle, la vachette ne put que pousser une petite plainte sonore sous forme d'un gémissement ténu qu'elle étouffa en posant sa main sur sa bouche. Les coups de rein de Chengzu lui firent pousser bien plus de gémissements mais elle les retenait en elle. Bien vite elle s'abandonna au plaisir ressentit, et cette déferlante de intime qui la fit serrer ses mains autour des épaules du bélier et ses cuisses autour de lui. Un énième soupire lui échappa avant que son regard ne se voile un instant. Ca montait, ça montait !

"Sister Malaurie ? Sister Malaurie, where are you ?"

La voix de Ruby la rappela à la raison ! Elle cligna plusieurs fois des yeux et repoussa en douceur Chengzu, sortant sa verge de son con humide. Dire qu'elle le faisait à regret était un euphémisme : elle était frustrée comme pas possible ! Sa chatte détrempée et rougie par le sexe qu'elle venait de recevoir lui donna des jambes tremblantes, mais elle sortit de derrière la colonne en replaçant doucement sa tenue.

"I'm here ! Everyone is waiting for your oath. Let's get to it !"

Elle jeta un regard en arrière pour voir Chengzu et son sourire... son vagin eut une contraction délicieuse... Elle s'en détourna avant de faire l'office religieux avec Ruby. C'était long, comme beaucoup de sermon religieux. Entre les présentation des artefacts religieux, comme la Corne de Gao Mata, mais aussi boire son lait dans une coupe qu'on passait aux fidèles. Puis ce fut le passage de l'urne aux offrandes où les Ushi présents mettaient ce qu'ils pouvaient et enfin un énième chant religieux. Mais Malaurie n'était pas trop dedans aujourd'hui... A la fin de l'office, elle accompagna Ruby au presbytère qu'elle avait, à savoir un appartement modeste à l'étage de l'église. Et dire qu'elle avait baisé plusieurs fois dans ce lit avec Chengzu... Mais elle chassa cette idée de sa tête avant de discuter avec Ruby. Ils échangèrent sur leur enfance, leur jeunesse dans les ordres, leurs missions ensembles... Ruby se permit même de souligner comme les vêtements infernois mettaient en valeur les formes de Malaurie. Elle ne put que répondre avec un rire un peu gêné avant de verser une nouvelle coupe de vin de messe à son crush. Puis la soirée continua avec un verre de liqueur de lait, met particulièrement rare et apprécié chez les Ushi. Quand enfin Malaurie parvint à rendre Ruby suffisamment saoul, elle souffla les bougies pour doucement enlever sa tenue, dans la pénombre de la chambre. Ruby ne comprit pas tout de suite.

"What... I'm drunk... I can't see you very well, Sister Malaurie."

"Yes... It's been so long, Ruby... I can't wait any longer..."

*Truth is, Chengzu gave me this outfit this morning and I didn't wanted you to see me like this...*


En effet, Malaurie portait sur elle une sorte de bikini blanc tacheté de noir, fait de latex. Les longs gants et les bas assortis, ainsi que le corset, renforçaient le côté vache de la religieuse qui garda néanmoins son voile. Elle s'installa à califourchon sur Ruby et commença à l'embrasser. Doucement, elle défit ses vêtements avant de venir lécher son torse, à la grande surprise de Ruby qui poussa un long gémissement... Puis Malaurie défit doucement sa ceinture et stoppa quelques secondes devant.

*Huh ?... So small... What am I thinking ? Size doesn't matter !*

Elle commença à le lécher doucement, remarquant bien vite qu'il était tout dur. Malaurie faisait ce qu'elle offrait à Chengzu à chaque fois mais là, il se produisit quelque chose d'inhabituel : Ruby éjacula sur son visage quand elle léchait sa verge de bas en haut... Elle fut un moment surprise et entendit les excuse de Ruby.

"I'm sorry... I'm not used to..."

"It's ok, let's do it again !"

Elle le masturba un moment pour de nouveau le rendre bien dur avant de grimper sur lui. Pour s'assurer de ne pas avoir d'enfants tout de suite, elle enfila une capote sur le sexe tendu de son chéri. C'était celles que Chengzu utilisaient, ça semblait un peu large... Doucement, elle fit entrer son sexe en elle et Ruby couina son plaisir de suite.

"Haa damn ! I'm feeling so good ! So this is a girl's... Gnnn !"

Malaurie resta pantoise... Etait-il seulement dedans ? Elle le sentait à peine... Elle baissa les yeux vers son chéri complètement transit de plaisir qui la baisa... pendant 2 minutes, tout au plus... Il éjacula bien vite dans la capote qu'il avait sur lui et Malaurie resta bien silencieuse lors de son orgasme.

"That was good for you, Malaurie ?.."

"Y... Yes... Let's do it again..."

Mais dès qu'elle lui retira son préservatif pour le remplacer, à peine eut-elle ouvert l'emballage de la suivante qu'un ronflement la sortit de sa torpeur... Ruby s'était endormit ?! Elle le regarda un moment avant de le secouer doucement... Mais il ne fit que se mettre sur le côté dans le lit... Malaurie se prit la tête dans les mains avant de soupirer sa frustration. Oh sa réflexion dura quelques minutes, mais elle se rhabilla et alla jusqu'au Manoir Naviento où elle toqua doucement... Quelle ne fut pas sa surprise quand Chengzu lui ouvrit. Elle tremblait presque en le voyant.

"Heu je... hmm..."

Elle devait jouir et ravoir les idées claires, c'est tout...

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:38
par Chengzu von Nacht
Interrompu dans son élan, Chengzu en fut frustré. L’homme timide qu’il était jadis avait longuement eu le temps de devenir un dominateur. Il vit Ruby ramener Malaurie, et dut retenir son envie immédiate d’attraper Malaurie, et de la baiser sur l’autel, en vue de tous les fidèles, de gifler son cul de traînée, de la punir pour son insolence… Mais Chengzu sut se retenir. Il sortit précipitamment de l’église, et rejoignit Theorem. Son amoureux était dans un studio d’enregistrement de Nachtheim, participant à un clip promotionnel vantant les mérites de Nachtheim. Il le prit dans la cabine surplombant la scène, sans se douter que le haut-parleur était activé. Frustré, Chengzu se révéla assez violent, frappant, pinçant, mordant, faisant hurler Theorem, ses cris et ses insultes se répercutant dans toute la scène auprès de la troupe. Difficile d’y rester insensibles ! À Nachtheim, tout le monde connaissait l’appétit sexuel débonnaire du couple « royal », et on disait que tous ceux qui rejoignaient le manoir comme domestiques finissaient tôt ou tard dans le lit commun. Qui n’aurait pas envie de coucher avec Chengzu, après tout ? Les regards envieux sur Theorem en disaient long sur ce qu’ils éprouvaient quand il put ressortir. Chengzu le prit sans dire grand-chose, en levrette, lui maltraitant le cul, avant de jouir copieusement en lui, et le laissa là, gisant contre l’ordinateur, son sperme remuant chaudement dans son cul.

Chengzu retourna ensuite au manoir. Ishtar avait pensé à lui, et on avait déplacé son atelier de latex dans le domaine du manoir, à côté d’une serre abritant les fameux arbres permettant de sécréter le latex, comme les hévéas. On trouvait aussi des champignons Lactarius volemus, qui produisaient une substance laiteuse, du latex. Son atelier était une petite usine qui jouxtait la grande serre, reliée au manoir par un couloir externe qui partait du haut de l’aile Est, près de la salle de galerie. Il avait désormais plusieurs employés.3 Maître-Latexand, Chengzu bénéficiait d’une forte réputation, et commercialisait ses produits à travers tout l’Arc-En-Ciel. Soulagé après s’être déchargé sur Theorem, Chengzu retourna donc travailler. Il ne tarda pas à retrouver sa seconde et sa plus proche assistante, Thaora, une espiègle Furry hybride qui l’accueillit comme toujours avec ses gros seins généreux.

Quand le soir vint, Chengzu était en compagnie d’une autre femme, qui était venue pour discuter de son fils, Kaori… Et pour se remémorer le bon vieux temps. Venant dans sa tenue moulante en latex, Alice Korvander passa une partie de la journée à faire l’amour avec Chengzu, dans sa chambre. Elle était une invitée de marque, et Chengzu l’honorait comme il se devait, tout en voyant en elle la possibilité finale d’achever Malaurie…

…Le soir venu, Malaurie toqua à la porte. Chengzu lui ouvrit, et sourit doucement à celle-ci, sentant très vite son état de manque.

«
Oh… Bonsoir, Malaurie. Tu… Ruby n’est pas avec toi ? Je t’en prie, entre… »

Il s’écarta donc. Chengzu se déplaça. Il était en robe de chambre, nu dessous, un verre à la main. L’homme-bélier ne s’était pas attendu à ce que Malaurie revienne si vite, mais, finalement, cela n’était pas pour lui déplaire. Vu l’heure, il n’y avait plus beaucoup de domestiques encore réveillés.

«
J’étais en train de me relaxer au bar, en compagnie d’une bonne amie. »

Il n’oubliait pas que Malaurie l’avait rejeté, ignoré… Lui, son Maître ! Alors, ce soir, il allait faire subir à Malaurie une nouvelle épreuve. Non seulement il savait qu’elle était horriblement frustrée, mais il allait aussi lui faire découvrir les joies de la jalousie… Lui faire perdre tout sens commun, jusqu’à ce qu’elle s’offre entièrement à lui. Cette idée stimula encore sa verge.

«
J’espère que Ruby va bien, dit-il en traversant le grand hall d’accueil, filant vers une porte au fond à gauche, permettant de contourner la salle à manger pour rejoindre un couloir menant au bar. L’air de Nachtheim est parfois un peu rugueux… Tu devrais l’amener, la prochaine fois. »

Chengzu faisait preuve d’une fausse obséquience. Il la guida jusqu’au bar, une pièce abritant un piano, des fauteuils, et même une barre de pool dance. Il y avait un billard, des plantes… Et, quand ils entrèrent, Alice se releva, en souriant.

«
Ma chère Alice, je te présente Malaurie…
Oh… La fameuse Malaurie ! Chengzu m’a beaucoup parlé de toi. Enchantée ! »

Délicieusement exquise dans sa combinaison en latex, Alice l’embrassa sur la joue.

«
À vrai dire, ta venue tombe plutôt bien. Tu veux boire quelque chose ? Theorem fait le service ce soir… »

Theorem était à hauteur du bar, et, comme souvent, la présence d’Alice signifiait pour lui une bonne dose de frustration.

«
J’ai fini une nouvelle tenue que je souhaitais t’offrir. Theorem, sers Malaurie, puis va la chercher. »

C’était une robe violette en latex avec des ouvertures très sensuelles… Une tenue de prostituée. Chengzu s’assit sur un fauteuil, sa robe de chambre s’ouvrant sur son corps nu, à l’exception de ses bottes en latex et d’un harnais sur son torse. Des traces de sueur sur son corps, les joues rouges d’Alice, tout cela témoignait d’une activité sexuelle assez intense avant que Malaurie n’entre.

«
Malaurie est l’une de mes plus proches amies… C’est une prêtresse que j’ai pris sous mon aile. Elle sert la divinité Gao Mata.
Oh… Pourriez-vous m’en dire un peu plus, Malaurie ? Je n’ai jamais entendu parler de ce culte… »

Chengzu sourit encore. Il sentait le sang de Malaurie s’enflammer dans son corps, ce qui ne manquait pas de l’amuser…

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:39
par Malaurie Odessa
Malaurie allait de charybde en scylla... Non seulement Chengzu l'accueillit dans son seul peignoir en cuir, mais en plus il la conduisit dans une salle sentant bon le bois et l'alcool... Un bar ? Bon sang, ils vivaient dans un faste presque surréaliste. La bonne soeur s'installa machinalement à un des tabourets non loin de la princesse de Sylvandell tout de latex vêtue ? Et en prime, Theorem, l'Idol de toute cette petite nation lui servait un verre. Tout se bousculait dans sa tête, elle qui était habitués aux petits établissements, à vivre chichement et à devoir compter le moindre cent dépensé... A ceci prêt que depuis qu'elle fréquentait les von Nacht, elle avait quand même goûté au luxe et au confort... Et on s'y faisait vite ! Du coup, alors qu'elle buvait son verre tranquillement, la vachette commença à répondre à la princesse.

"Je... Heum... Gao Mata est la déesse de la vie, celle qui régénère les âmes et les corps. C'est la vache nourricière sacrée de notre clan. Grâce à elle, nous avons une endurance presque sans limite et une espérance de vie énorme... Mais il se peut que quand l'esprit de Gao mata est courroucé, sa colère ne connaisse aucune réelle limite..."

Elle en avait fait les frais elle-même. A mesure qu'elle vidait son verre, Theorem vint déposer doucement devant elle une boîte de vêtements de la marque von Nacht... Les vêtements en latex de Chengzu. Doucement elle ouvrit cette dernière et y découvrit un bodycon de latex indigo, comportant pas mal d'ouvertures sur les côtés et moulant son corps à la perfection. Vu les sourires et les rires que cela provoqua, les sous-entendus et les entendus ne tardèrent pas à se présenter.

"Tu... Tu veux que j'enfile ça ?..."

Malaurie en avait porté des tenues sexy pour lui. Mais celle-ci était vraiment très perverse et ouverte... En plus à le voir le peignoir ouvert et le sexe à moitié en érection... Cette odeur de sueur, de lubrifiant pour latex et de sexe... Malaurie en avait tellement envie ! Si elle devait enfiler cette tenue pour enfin se faire prendre par le bélier... A cette réflexion, elle caressa le latex de la tenue. Puis son regard se tourna vers Theorem et sur la princesse... Malaurie referma la boîte.

"Si tu veux me voir la porter, ce sera dans l'intimité d'une chambre... Pas avec autant de public..."

Pas maintenant tout du moins... Il lui restait quelques barrières qui n'avaient pas été franchies encore...

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:39
par Chengzu von Nacht
Malaurie contempla la tenue avec surprise, mais refusa de la mettre en compagnie de tant de personnes. Chengzu sourit doucement. Visiblement, Malaurie n’était pas encore assez en manque… L’ancien Chengzu aurait sans doute pu craquer, mais Chengzu était désormais un vampire depuis de nombreuses années, et suffisamment joueur pour savoir comment faire. Theorem s’était de nouveau écarté. Dans un coin, un jukebox diffusait une douce musique d’ambiance de bar classique, du jazz. Chengzu pencha la tête sur le côté, son sourire s’accentuant doucement, et avala un peu de sa bière.

«
Tu es en compagnie de mon mari, Theorem, et de celle qui, en d’autres circonstances, aurait pu être à ta place comme ma première favorite…
Ne m’enterrez pas trop vite, Maître… »

Alice se pencha alors vers Chengzu, et l’embrassa chaudement sur les lèvres, tout en caressant son torse, ses doigts glissant sur son harnais en latex, pour empoigner ensuite son sexe, qu’elle souleva et masturba.

«
Tu dois bien comprendre, Malaurie, que je suis un vampire… Soit un être empreint de passion, et qui, comme tu as pu le constater, dispose d’une endurance surnaturelle. Moi et ma femme, nous envisageons d’étendre notre clan, mais les vampires comme nous se doivent d’être rares. Je ne peux pas offrir le Don de la vie éternelle à n’importe qui. Sous bien des aspects, ton culte offre les mêmes avantages que le vampirisme. Alice Korvander, vois-tu, est la Princesse d’un lointain royaume peuplé de dragons. Elle dispose d’un avantage indéniable, sans compter sa grande beauté, et sa grande perversion. Elle est la candidate idéale pour ce poste…
Oh, Maître… »

Chengzu marqua une courte pause en avalant encore un peu de sa bière, puis fit signe à Theorem, qui amena un gin tonic. Alice s’était de son côté agenouillée devant son Maître, et commençait à lécher sa queue.

«
Mais toi, Malaurie, tu me plais… Tu es une prêtresse dévouée, une femme forte et endurante… Tu as très vite appris la confection du latex, et, quand nous avons été enfermés dans cette bulle, j’ai pris conscience que deux femmes me manquaient énormément… Toi, et Alice. Vois-tu, je suis un homme presque comblé avec mon mari et mon épouse. Seulement, il me manque encore une chose que j’aime presque autant que de sodomiser mon Theorem… C’est de défoncer des chattes. »

En parlant aussi crûment, il sentit des groupes sanguins s’emballer autour de lui. Sa verge enflait et grossissait dans la bouche de la Princesse, qui le suçait avec envie.

«
Alors, j’ai décidé d’organiser un casting… Une manière de savoir laquelle des deux je suis prête à choisir. Tu peux bien évidemment refuser, et retourner voir ton petit-copain… Il est de toute manière assez probable qu’il vienne ici, tout comme le mari de ma chère soumise blonde. Alice aussi était nerveuse comme toi au début… Et maintenant, regarde-là, regarde comme cette salope me suce, et comme elle aime quand on l’insulte…
Hmmm…
Je ne serai pas juste ton vide-couilles quand tu es frustrée, Malaurie. Tu viens me voir parce que Ruby a été incapable de te faire jouir, comme je m’y attendais. Ce n’est qu’à moitié de sa faute. Quand on goûte à la verge d’un vampire, tout semble fade en comparaison. Vois-tu, je trouve extrêmement offensant que tu viennes me voir juste pour te soulager. Je pensais que nous avions créé une relation plus intime, Malaurie. J’ai conçu cette robe pour toi, comme un gage d’amour, et que tu refuses aussi ostensiblement de la porter, cela me peine, vois-tu.
Mmmhmm… »

Alice était plongée dans son office, enchaînant les gorges profondes.

Ce que Chengzu se retenait bien de dire, c’est que tout cela n’était qu’une énorme partie de bluff. Oh, il ne nierait pas que, si la possibilité d’épouser Alice se saisissait, il l’aurait pris, mais il savait que cela lui serait impossible. Tant d’un point de vue personnel que politique, comp^^romettre le mariage royal de la Princesse (en réalité, Reine) aurait nui aux intérêts de Nachtheim, et compliquerait le partenariat conclu entre Nachtheim et Sylvandell. De plus, Chengzu savait que, entre lui et Ishtar, Alice lui préférait sa femme, plus massive, plus brutale, plus bestiale… Et plus draconique. Elle n’avait accepté ce jeu qu’à la condition de pouvoir ensuite subir la passion énergique d’Ishtar. Tout n’était ici qu’un jeu, un artifice destiné à pousser Malaurie dans ses derniers retranchements, et à ce qu’elle admette l’évidence…

…Qu’elle était désormais prête à être cueillie et à devenir sienne pour l’éternité !

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:39
par Malaurie Odessa
Malaurie savait qu'elle était dans ce qu'il se faisait de plus dégénéré. En plus de ça elle était dans un faste rare qui la faisait presque rêver. Doucement on lui exposa qu'elle allait devoir faire un choix et en prime ce choix était à faire en publique. Bien sûr qu'elle avait envie de baiser, qu'elle désirait se faire démonter là maintenant comme Chengzu en avait le secret... Mais elle avait grandit avec Ruby, elle le connaissait intimement et ils avaient échangés beaucoup plus encore... Certes ils ne s'étaient pas beaucoup vu depuis qu'elle était dans les ordres et il était également vrai qu'elle était frustrée de ne plus pouvoir vivre comme un électron libre. Mais elle avait changé. Les ordres lui avaient redonné de l'équilibre... Equilibre que Chengzu venait menacer... Mais il était certain que si elle restait avec Ruby, la bête en elle allait revenir et ravager son existence. Elle se mit le visage dans ses mains pour éviter de regarder à nouveau cette fellation bestiale devant elle... Car elle avait autant envie de pousser Alice et de prendre sa place que de prendre ses jambes à son cou et de partir. Theorem, plus empathique, l'avait perçu et décida de quitter un instant sa place. Lui aussi aimait bien Malaurie et il la voyait très en souffrance actuellement. Quittant le bar, il vint doucement la serrer dans ses bras.

"Maître Chengzu... Je pense que ça fait beaucoup pour elle... Je vais juste l'amener dans la petite salle secrète pour qu'elle se change..."

Car oui, ce bar cachait une parois secrète, révélée quand on appuyait sur une plusieurs touches du piano. Une fois dans cet espace à part, Theorem voyait bien que Malaurie était au bord de la crise de nerf.

"What a jerk..."

"Shhh shh... Calme toi, Malaurie... Ce que Chengzu veut te faire comprendre c'est que... Tu appartiens à notre monde désormais. Tu as appris à l'aimer... Et je n'ai nulle envie de te voir partir. Je ne pense pas que tu sois faite pour le monde du dehors désormais..."

Dans la tête de Malaurie, ce fut un tourbillon avant que la bête ne réponde à ses doutes... Si elle cédait à tout ça, ça voulait aussi dire vivre comme eux, vivre bien, choisir et profiter... Et cette offre voulait aussi dire... s'amuser ainsi tout le temps... Tout en câlinant, elle commença à défaire sa tenue, et Theorem l'aida à se débarrasser du latex. Alors que Malaurie regardait par la vitre de cette salle secrète donnant sur une serre, elle revint sur Theorem pour l'observer plus en détail. Elle le détailla du regard avant de sourire doucement... En découvrant sa cage de chasteté, elle avait vraiment réalisé qu'il s'agissait d'un garçon... Et non pas d'une fille comme elle avait cru. Elle s'empara doucement de la tenue que tenait Theorem.

"T'inquiète pas, mon mignon... Tu as toujours été gentil avec moi... Regarde-moi."

Elle le laissa s'écarter et doucement elle vint enfiler la tenue... Elle commença par son string couleur vache, puis ses longs bas et enfin la robe bodycon étroite et indigo. Elle ajusta le voile fournis avec, puis les gants bridaux, venant de finir d'enfiler ses chaussures à talons. Tout la moulait à la perfection. Malaurie était une femme un peu plus musclée que la moyenne. Les talons lui redonnait de la hauteur... Elle était aussi imposante que sexy. Loin de comment elle était au départ, à savoir une aventurière prenant fort peu soin d'elle, elle se dirigea vers la sortie. Mais avant d'activer le mécanisme, elle se tourna vers Theorem et l'embrassa doucement, venant saisir sa cage de chasteté.

"Reste comme tu es... Tu es parfait... Et je sens qu'on peut devenir de grandes amies..."

Theorem rougie doucement à l'échange de ce baiser avant de voir la porte secrète s'ouvrir. Elle retrouva Chengzu en train de se faire sucer et Malaurie était confiante. Elle avait laissé la bête sortir un peu de soir... D'ailleurs sa mèche couvrait un peu plus son oeil vert alors qu'elle s'approchait du bélier. Doucement elle tapota sur l'épaule d'Alice avant de la redresser... et de l'embrasser sans aucune gêne ! Enfin, si un peu, mais elle bluffait aussi... Son premier baiser lesbien. Disons qu'après avoir embrassé Theorem, elle se sentait d'avantage prête à embrasser des filles. Devant l'éventuelle surprise d'Alice, Malaurie resta tacite et la fit s'asseoir sur le tabouret le plus proche.

"Tu t'es bien amusée ?... It's my turn, princess..."

Une toute petite tape sur son nex avec son index et Malaurie se tourna vers un Chengzu en érection. La vachette lui empoigna sa verge doucement le faisant se relever avant que Malaurie ne l'embrasse enfin. Elle lui roula un patin don elle avait le secret et dont Theorem et Alice étaient encore pantois avant que la prêtresse ne parle.

"Tu me veux comme chérie ? Tu penses me mériter ?... Ruby est mon ami d'enfance, je ne veux pas qu'il ait cette vie... Alors si je reste ici, lui aura le droit de partir sans aucun dommage... Je veux continuer une relation avec lui... même si sexuellement c'est toi qui me conviendra le mieux... J'ai bien le droit d'être poly-amoureuse aussi, non ? Et je veux croquer à cette vie fastueuse que vous avez... Si notre prochaine baise est celle qui scellera notre union, ce sera dans le confort d'un lit et pas dans ce bar..."

Et oui, elle avait son caractère aussi... et ses choix étaient d'acier. cela promettait une bien dangereuse compagne pour Chengzu... Une qui ne se laisserait pas dicter...

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:39
par Chengzu von Nacht
Chengzu savait que Malaurie n’était pas dans son état normal. Elle était… Frustrée. Suffisamment frustrée pour ne pas voir les anomalies dans le discours de Chengzu. La jalousie l’avait obsédé sur le reste. C’était un sentiment que Chengzu connaissait, et qui lui avait déjà fait faire des choses regrettables. Il laissa donc Theorem éloigner Malaurie, et regarda Alice. Elle le suçait encore, mais, quand ils s’éloignèrent, elle releva son visage, libérant sa verge, et frotta doucement son visage dessus.

«
Tu sais ce que tu fais, au moins ?
Je commence à bien la connaître. Je savais que revoir Ruby la plongerait en plein doute.
Je n’aime pas l’idée que tu brises leur union.
Je ne brise rien du tout, Princesse. Elle est venue de son plein gré, et sans Ruby. Si tu avais été à sa place, serais-tu venue sans Melendil ?
Quand même…
C’est elle qui choisira… Tout comme tu as choisi de revenir pour qu’Ishtar te maltraite. »

Cette phrase fit rougir la Princesse. Elle avait rencontré Ishtar dans des circonstances redoutables. L’Empire de Mijak avait attaqué Inferis, souhaitant installer une colonie dans cet autre monde. La dragonne avait même été capturée, ce qui, selon les Mijakiens, devait leur assurer à terme la mainmise sur Inferis. Le projet était alors de faire d’Inferis une colonie mijakienne. Mais Ishtar avait finalement réussi à s’échapper. La paix avait finalement été signée, et Alice avait eu la surprise de découvrir que l’un des mignons d’Ishtar était son ancien esclave, Theorem, celui-là même qu’elle avait offert à Mélinda. C’était avec Theorem qu’elle avait pris goût à l’idée de soumettre quelqu’un, de dominer sexuellement une personne… Ou de se faire dominer. Ishtar avait été sur ce point une amante redoutable, au point que, même des années après, Alice revenait encore spontanément à elle, savourant ses fessées, ses séances d’humiliation…

Alice se releva alors, et s’assit à califourchon sur Chengzu, venant l’embrasser. Il la laissa faire, caressant ses cheveux d’une main et ses fesses de l’autre.

«
Votre manoir est superbe, mais un peu labyrinthique…
C’est Ishtar qui s’est chargée de la conception et des plans… Et encore, les plans que j’ai ne sont pas exacts, ils ne mentionnent pas les pièces secrètes, ni ce qu’il y a dans le sous-sol.
Hum… Il me semblait justement avoir entendu des bruits bizarres… »

Chengzu haussa les épaules, et retourna l’embrasser. Il n’avait jamais caché son attirance pour Alice, et Chengzu était sûr que, quelque part dans le Multivers, lui et elle devaient être mariés. Après tout, s’il avait rencontré Alice avant qu’elle ne rencontre Melendil, les choses auraient pu être très différentes. Il s’interrompit en sentant les groupes sanguins de Theorem et de Malaurie, et dit à Alice de se remettre à sa place. La jeune femme obéit.

«
Force un peu le trait, suce fort… »

Alice pouffa brièvement, mais s’appliqua. Quand Theorem et Malaurie revinrent, Chengzu sourit en voyant qu’elle avait finalement enfilé la robe violette. Une robe bodycon qui moulait parfaitement ses formes.

«
Et bien voilà ! Je constate avec joie qu’elle te va parfaitement ! »

La démarche un peu raide, Malaurie se rapprocha d’Alice, et… Lui roula un patin. S’attendant plutôt à se faire gifler, Alice en fut agréablement surprise, et répondit même à ce baiser. Chengzu en vint à se demander si Malaurie ne souhaitait pas le provoquer ainsi, mais elle finit par repousser Alice, et attrapa Chengzu par la verge, l’extirpant de son fauteuil, et imposa ses conditions. L’homme-bélier l’écouta silencieusement, et sourit doucement ensuite. Sa main caressa la joue de Malaurie.

«
Soit… Mais le polyamour, cela nécessite le consentement de l’autre, non ? Et je crois que tu n’as pas vraiment prévenu Ruby de ce que tu faisais avec moi… Donc… j’accepte à tout ce que tu souhaites, Malaurie, mais à la condition que tu en parles à Ruby. Je ne voudrais pas qu’il se venge en apprenant ce que nous faisons. »

Chengzu ne lui permit pas vraiment de répondre, car il l’embrassa dans la foulée, et poussa Malaurie. Son corps heurta le comptoir du bar, à côté d’Alice, et il la pénétra dans la foulée.

«
Tu aimes ça, h-hein ? Tous ceux qui sont ici savent… La nature exacte de notre relation. Hum… »

Il l’aida à se redresser, posant ses mains sur ses fesses, et continua à la prendre, contre le bar.

«
Toute cette vie est tienne, Malaurie… Ici, tu seras une dame, les serviteurs t’obéiront, même mon mari… Je vais te baiser dans ce bar, puis dans ta chambre… »

Les coups de reins commencèrent. Alice, qui les observait, se retourna alors vers Theorem. Elle se redressa, et fit le tour du bar, puis rejoignit son ancien esclave.

«
Tu as été affranchi, Theorem… Mais, pour moi, tu resteras toujours mon premier esclave… »

Dans la main, elle tenait un strap-on avec un gros gode érigé vers l’extérieur, et deux godes internes.

«
Mets-le-moi, Theorem… Pour que je le mette en toi ensuite… »

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:39
par Malaurie Odessa
Malaurie était acculée maintenant, les fesses sur le bar, la verge de Chengzu déjà en elle. Malaurie aurait préféré que ça se passe dans l'intimité d'une chambre, que leur union soit plus ou moins officielle avant de s'exposer à tous les habitants de ce manoir ! Alors, tant que Chengzu ne bougeait pas trop en elle, elle le bloqua en posant son genou contre son ventre, l'empêchant de s'enfoncer d'avantage en elle. La Ushi avait son caractère et s'il voulait d'elle, elle allait lui faire comprendre que la prêtresse avait son caractère et pouvait être butée.

"Je t'ai dit que je ne voulais pas le faire sur ce bar ! Alors soit on va dans une chambre, soit je continu à te bloquer !"

Theorem ne put que rire un peu au son de cette phrase alors qu'il léchait déjà les godes internes du strapon d'Alice. Malaurie avait son caractère, elle n'allait pas se laisser faire. Ce n'était pas une soumise conventionnelle, elle savait dire non. Quand Malaurie vit qu'elle avait l'intérêt de Chengzu, elle l'embrassa avant de doucement le repousser. Elle voulait du confort, un peu de romantisme pour cette baise... Pas question de le faire comme une pute de bas étage.

"Venez, ya la chambre double à côté du labo. C'est pas la plus luxueuse, mais elle a deux lits."

Theorem prit doucement la main d'Alice avant de sortir dans le couloir. Ils repassèrent par la grande salle à manger, le hall, ils prirent le grand escalier pour rejoindre l'autre aile du manoir. La porte à droite des escaliers les amenèrent dans un grand couloir en angle, puis à l'avant dernière porte sur la droite pour atteindre un autre couloir avec mezzanine. La première porte à droite donna sur une antichambre avec une tête d'animal empaillée avant que la pièce à droite ne donne sur la chambre double.... Theorem guida doucement Alice sur un des lits avant de reprendre sa tâche de bien lécher les godes internes de son gode ceinture avant d'inviter Alice à se coucher sur le dos pour qu'il fasse entrer ces godes en elle. Malaurie de son côté se plaça sur le dos sur le lit libre et écarta doucement les cuisses. Sa robe bodycon, fort courte, remonta jusqu'à ses hanches et révéla son string couleur vache qu'elle poussa doucement sur le côté pour révéler sa fente.

"Voila mon beau... Vient prendre cette chatte infidèle que tu pourras baiser dans le dos de Ruby..."

Voila qui était fait dans de meilleures dispositions pour elle... En plus Malaurie assumait bien plus d'être infidèle et même... en prenait pas mal de plaisir ! Cette douce culpabilité qui se changeait en érotisme... Cette sensation grisante de faire avec d'autres ce qu'elle ne ferait pas avec Ruby... Et ce qu'on ne savait pas ne faisait pas de mal, non ?... En tout cas là elle allait savourer sa douce trahison... Comme si Chengzu la prenait pour la première fois...

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:39
par Chengzu von Nacht
Malaurie le repoussa, refusant de s’envoyer en l’air sur ce bar, voulant que cela se passe dans un lit. Chengzu frémit lentement, doucement agacé devant les conditions multiples posées par Malaurie. Peut-être avait-il été trop gentil avec elle ? L’amusement de Theorem ne lui échappa pas, et contribua aussi à l’agacer. Certes, ils étaient mariés, mais Chengzu restait son Maître. Contester son autorité, c’était mal vu. Il réfléchit un peu. Devait-il forcer la chose, quitte à définitivement froisser Malaurie, ou accepter ses conditions, pour mieux la baiser ? L’un dans l’autre, il comptait bien se venger, et lui rappeler qui est le dominant. Si elle pensait uniquement voir en lui un moyen de se soulager de ses frustrations sexuelles vis-à-vis de Ruby, elle allait vite comprendre que Chengzu ne mangeait pas de ce pain-là. Lui, il voulait d’une relation intégrale, pleine, entière, il voulait totalement la dominer, la soumettre, l’asservir. Il soupira doucement, et hocha la tête, un sourire légèrement crispé sur les lèvres.

«
Soit… Mais tu vas te faire baiser encore plus fort… »

Une perspective qui ne semblait pas déranger Malaurie, tandis que Theorem s’efforça de les conduire à travers les méandres de ce grand manoir. Un manoir d’un style assez classique, qui pouvait parfois se montrer effrayant. La nuit, on avait parfois le sentiment que de curieuses formes vous observaient au détour d’un couloir. Ils rejoignirent une chambre avec deux lits installés l’un à côté de l’autre, induisant un espace qui n’avait sans doute pas vocation à rester. Chengzu aurait sans doute préféré un lit à quatre, pour pouvoir mieux s’amuser avec l’autre couple. Mais il allait se contenter de ça ! Pour l’heure, sa verge turgescente l’élançait furieusement. Malaurie se coucha sur le dos, prête à se faire prendre. Chengzu sourit doucement en se rapprochant d’elle. Elle était prête à se faire prendre, et lui grommela. Il n’aimait pas l’idée de perdre le contrôle, de suivre ce qu’on lui imposait. C’était un vampire, un dominant ! Il souffla lentement quand elle évoqua Ruby, comme pour lui rappeler qui était le Maître ici !

«
Dans le dos de Ruby ? Tu n’as pas l’air de comprendre, Malaurie… Je te baise quand je veux ! »

Chengzu s’allongea contre elle, et la prit en missionnaire. Sa verge s’enfonça entre ses lèvres intimes, et il grogna, la sentant toute humide. Il se glissa jusqu’à son con.

«
Je ne suis pas… Ton gigolo de service… Hmmm… Profite-en bien, ma belle… »

Pour l’heure, il se montrait conciliant, mais cela ne risquait pas de durer éternellement par la suite ! Chengzu la prenait donc, et Theorem se retrouva de son côté à quatre pattes. Alice releva sa main, et gifla son postérieur. La timide et ingénue Princesse que Theorem avait jadis rencontré à Sylvandell était bien éloignée. Alice avait grandi, elle avait découvert qu’elle était la fille de la Déesse Lust, et elle avait été formée par des spécialistes en la matière, comme Mélinda… Ou Ishtar ! Sa main gantée fusa donc, et gifla le cul de Theorem.

«
Tu aimes ça, hein ? Voir ton époux, ton Maître, se taper de belles nanas ? Tu te souviens comment j’étais quand tu m’as connu ? Je n’avais encore jamais porté de latex… La seule vision d’une verge me faisait rougir jusqu’aux oreilles…  Et, maintenant, je m’apprête à t’enculer… Tu as ta part de responsabilité là-dedans, Theorem… Tu fus mon premier esclave, donc je me dois de m’appliquer… »

La voix d’Alice était toujours aussi douce, mielleuse aux oreilles… Elle se concentra, ouvrant sa culotte, et soupira doucement en déployant sa verge. Ses iris prirent provisoirement une teinte rose, et un inmon se forma naturellement sur son pubis. Elle gifla encore le cul de Theorem, et dirigea son membre vers son postérieur, pour le prendre avec force !

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:40
par Malaurie Odessa
Malaurie eut gain de cause et leurs baises allaient se faire sur le confort d'un lit, côte à côte. Il y eut encore une pointe de regret quand Chengzu dit le nom de Ruby, mais le plaisir de la pénétration remplaça bien vite cette sensation parasite. Elle était trop en chaleur, trop excitée... Elle voulait orgasmer pour revenir à la normal... Ecartant bien grand les cuisses, elle accueillit le corps de Chengzu contre le sien. Elle était déjà en sueur et son physique généreux se fit tamponner très fort par cette verge gonflée. Au premier coup, son corps se crispa. Dès que le gland du bélier passa la barrière de son sexe, elle eut déjà du plaisir, puis quand il fut au fond de son con humide, elle croisa ses chevilles derrière le dos de son amant. C'était trop bon ! Il tapait avec une intensité rare contre son utérus, son calibre repoussait ses chairs avec talent et son rythme ! Son rythme lui donnait vague de plaisir après vague de plaisir ! Cela ne mit que quelques vas et vient avant que tout le corps de la Ushi ne se crispe et qu'un gémissement presque bestial n'emplisse la pièce qui stoppa même un instant les fessées que Theorem recevait... Malaurie venait de jouir ! Et quand elle le faisait en étant aussi désinhibée, elle faisait ça...

"Moooooo ! Moooo ! MOoOoOoooooOOOooo !!!"

Pas de doute, c'était bien une vachette ! Son expression faciale était exquise, ridicule et totalement excitante pour ceux qui savaient reconnaitre et apprécier un ahegao impulsif et spontané. Ses regard un peu flou mais pointé vers le haut, ses joues empourprées au possible, sa bouche serrée avec une traînée de salive s'échappant. Elle était en plein extase. Quand son orgasme se calma, elle se faisait toujours baisée, ce qui ne manqua pas de la faire jouir peu de temps après ! Ce fut un nouveau festival de gémissements alors qu'elle se faisait durement baiser. Cette fois elle était totalement désinhibée.

"C'est trop bon Chengzu ! Moooo ! Moooo ! Tronche-moi bien fort !! Ho Ohhh OOOhhh... Mooooo ! MoOoOoOoOOOOO !!!!!"

Theorem et Alice regardèrent Malaurie perdre pied totalement. Le cul bien rouge et ouvert du Haiena se contracta sur le gode plongé en lui alors que ses mains enserraient la couette sous lui. Il avait le rôle de la femme aujourd'hui... Et il jalousait un peu les orgasmes de Malaurie qui visiblement étaient très (trop ?) intenses ! Il pouvait vivre ça lui ? Mais avec son inmon, il n'avait ce genre d'orgasmes très forts qu'après 30 utilisations... Malaurie n'avait besoin que de quelques va-et-vient de Chengzu... et sûrement une infinité de mouvements de la part de son actuel amoureux qui ne lui en offrait pas autant...

"Han Alice, ramone-moi comme si j'était ta chérie... Je veux savoir ce que ça fait que d'être totalement vu comme une fille aujourd'hui..."

Peut être que ça l'aiderait à ressentir ce que Malaurie ressentait actuellement !

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:40
par Chengzu von Nacht
Le quatuor s’envoyait en l’air sur deux lits parallèles. Un lit unique aurait sans doute été préférable pour les interactions entre les deux duos, mais Chengzu comptait bien profiter des autres aussi. Négliger son amant et une Princesse quand ils étaient dans la même pièce que vous, c’était ce qu’on pouvait appeler un crime de lèse-majesté ! Mais, pour l’heure, il se devait de soulager Malaurie… Et, pour la soulager, il la soulagea ! En poussant un grognement, Chengzu enfonça son épaisse verge dans la chatte trempée de Malaurie, et sentit qu’elle faillit jouir à ce seul contact. Ne pouvant pas lutter contre ses pulsions, Malaurie releva ses jambes, et les enroula autour de son bassin. Elle se crispa sensuellement contre le corps de Chengzu, et eut un orgasme au bout de quelques minutes. Chengzu la pénétrait avec vigueur, s’enfonçant dans sa chatte luisante. Il sentait le corps de Malaurie trembler nerveusement devant elle, puis elle se mit à meugler.

Un meuglement très fort qui résonna dans toute la pièce et amena Alice à relever la tête. Elle s’apprêtait à sodomiser Theorem quand le meuglement de Malaurie la surprit. Elle releva la tête, et put voir un air plein d’extase sur le visage de Malaurie. Oh ! Ce visage-là, Alice le connaissait, et elle rougit doucement. Le pied pris par Malaurie était évident. Chengzu n’avait même pas à parler, Malaurie lui était totalement offerte. Il butinait sa fleur avec force, sans rien relâcher, et soupira lentement. Entre deux meuglements, Malaurie implora que Chengzu la prenne bien fort, la « tronche » avec énergie. Alice se mordilla encore les lèvres, et revint à Theorem quand il demanda à se faire ramoner comme s’il était sa chérie. Alice, qui n’avait pas de petite-amie, sourit néanmoins doucement, et retira alors son strap-on, qui tomba sur le lit.

«
C’est vrai qu’ils sont excitants, tous les deux… »

En la regardant, Theorem aurait pu voir les iris d’Alice prendre une teinte rose, tandis qu’un inmon venait de se former sur son corps… Elle soupira alors, et une belle verge jaillit de son corps, venant heurter les fesses de Theorem. Alice trembla nerveusement à ce contact, et frotta sa verge contre la croupe de Theorem, avant d’empoigner d’une main ses cheveux. Elle tira dessus, relevant sa tête, et, avec sa main libre, elle attrapa sa verge. Un membre palpitant, chaud et assoiffé. Theorem reçut ensuite son téléphone portable, qu’Alice lui jeta.

«
Filme-les pendant que je vais te baiser, mon joli, je suis curieux de savoir ce cette chère Malaurie dira quand elle s’entendra meugler comme ça… »

C’était une vraie vachette en rut ! Elle se faisait prendre avec force, jouissant furieusement, confirmant son statut de femme-fontaine, sans aucun doute un héritage de sa nature d’Ushi. Son sang tambourinait dans son corps moelleux. Alice sodomisa alors Theorem, s’enfonçant dans son cul.

«
On va commencer par te sodomiser, mon mignon… Puis je t’enfoncerai ma main dans le cul, hmmm… ! »

La candeur innocente d’Alice appartenait à un lointain passé. Avec cet inmon sur elle, toute douceur et toute innocence disparaissaient. La Luxure l’envahissait, faisant pleinement d’elle une fille de la Déesse Lust. Sa verge heurta le fondement de Theorem,e t elle s’y enfonça sans difficulté, soupirant lentement, tirant sur les cheveux de Theorem. Il devait filmer, alors même qu’elle le prenait avec force, tirant sur ses cheveux.

«
Te prendre comme une fille… Comme la petite salope que tu es… Tu aimes ça, hein ? »

La main gantée d’Alice lui gifla le cul sèchement, provoquant un claquement sonore. Chengzu, de son côté, croisa le regard de Malaurie, qui soupirait encore, et, quand il fit mine de s’écarter, elle se crispa sur place. Il grogna encore, et insista, jusqu’à se retirer d’elle, après une bonne dizaine de minutes à la prendre.

«
Retourne-toi. Theorem nous filme, et il aime te voir jouir. Montre-lui ta tête de salope nymphomane quand je te défonce la chatte ! »

Il la retourna de force, l’amenant ensuite à se mettre à quatre pattes, et retourna la besogner, en levrette, s’enfonçant dans sa chatte trempée, déclenchant de nouveaux meuglements, s’accompagnant de gifles, tandis qu’elle faisait face à Theorem.

«
Dis à la caméra combien tu aimes te faire baiser, Malaurie ! Dis-le ! »

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:40
par Malaurie Odessa
Malaurie ne pouvait plus se retenir. Elle avait totalement cédé à ses pulsions et c'était totalement bon ! La Ushi ne pouvait plus revenir en arrière et elle le savait. Pendant que son amoureux dormait dans son lit à elle pour cuver son vin, là elle s'offrait à un autre homme. cette douce culpabilité était devenu une source d'inspiration et à ça elle répondit par des meuglements sexuels très érotiques. Même quand Chengzu la retourna pour qu'elle fasse face à un Theorem en train de la filmer pendant qu'il se prenait une verge dans le cul, Malaurie ne put que se contenter de dire ça.

"Moooo C'est trop bon !!! La bite de Chengzu me défonce la chatte comme jamais ! Mooo ! Je la sens taper mon vagin au plus profond !!! MoOoOoOoOooooo ! Ruby n'est jamais été aussi profond et c'est trop booooonnnnn !!!!"

Elle était dans un état second, beaucoup trop excitée. Mais elle s'offrait totalement au bélier. Sa chatte détrempée relâcha un jet de cyprine sur le matelas pendant son discours, la faisant jouir à nouveau. Elle avait perdu le compte, c'était beaucoup trop bon ! Dans cette position, les seins de la Ushi s'agitaient de haut en bas par les coups de rein de son partenaire ! Les orgasmes se succédaient avec la sensation d'appartenir à un homme. Visiblement, elle n'allait plus pouvoir revenir à la normale.

"C'est si érotique..."

Résuma Theorem en filmant du mieux qu'il pouvait au vu des vas et vient de sa partenaire. Son cul acceptait la verge chaude d'Alice en lui. Elle tapait merveilleusement bien sa prostate et lui offrait des sursauts de plaisir. C'était plus délicat et plus érotique que de se faire enculer par des amants enflammés, mais c'était aussi plus passionnel. Theorem se régalait de cette soirée, même s'il assistait en direct au vol de son amoureux. Il savait que Chengzu serait désormais à jamais volage. Ishtar le lui avait fait prendre goût. Mais là il savourait aussi du sexe décomplexé, en se faisant prendre même par Alice. Le jeune éphèbe chercha à se retourner pour venir embrasser la princesse et subir une délicieuse Mating Press.

"Prend-moi comme si j'était ta chérie, Alice ! Han... Montre-moi ta passion !"

Re: La Ushi de Nachtheim

Posté : 06 nov. 2024 15:40
par Chengzu von Nacht
Comme déchaîné, Chengzu laissait parler ses pulsions, son énergie. Il grognait, il éructait, serrant les dents, griffant le lit, comprimant ses muscles, bandant sa chair en usant de son sang pour gonfler sa verge. L’homme-bélier haletait, soupirait longuement, tout en continuant à la prendre. Malaurie et lui étaient complètement déchaînés, et, si cela pouvait tout à fait s’expliquer par leur désir mutuel, Chengzu soupçonnait aussi Alice d’être liée à cela, à cette aliénation sexuelle qui s’emparait de Malaurie. Elle ne le réalisait pas, mais elle était en train de franchir un point de non-retour définitif. Elle l’évoqua d’ailleurs brusquement, quand elle parla de Ruby. Chengzu sourit alors, et lui mordilla le cou, continuant à la besogner, et la déplaça ensuite. Il la coucha sur le flanc, et la prit encore, sa main soulevant l’une de ses jambes. Elle avait ainsi une vue sur leur public, et il donnait des coups de reins toujours intenses, s’enfonçant profondément dans sa chatte, son autre main pinçant l’un de ses seins. Il appuyait sur le téton, jouant longuement.

«
J’adore tes gros seins, Malaurie…Tu es à moi, Malaurie, tu m’appartiens. Maintenant et pour toujours… »

Nouveau changement de position. Il la reprit en missionnaire, et posa une main sur son menton, croisant son regard, continuant à la prendre. Elle le griffait, elle caressait ses hanches, frottant son corps contre le sien. Lui soulevait et abaissait puissamment ses hanches, faisant claquer sa chair, les cuisses heurtant les cuisses dans des bruits spongieux. De véritables coups de butoir, intenses et puissants, qui déchiraient Malaurie, la faisant haleter et gémir, au point d’en perdre sa raison.

«
Est-ce que Ruby peut te faire hurler autant, hein ? Ruby ignore ce que tu es, ma chérie… Il ignore que tu aimes tant le sexe ! Tu ne seras jamais vraiment heureuse avec lui, Malaurie… Tu ne le seras qu’avec moi, moi, ton Maître et amant ! »

Observant cette scène, Alice tremblait doucement, et Theorem put le sentir. Il se retourna vers elle. Les iris d’Alice avaient provisoirement pris une teinte rose. La magie rose amplifiait l’air, et elle sourit ensuite à Theorem quand il lui demanda de la prendre avec force, comme s’il était sa « chérie ». Elle sourit donc, et donna une tape sur ses fesses, puis l’embrassa alors. Elle se redressa ensuite, et écarta la caméra, qui allait à ce stade devenir encombrante. Elle posa une main sur la gorge de Theorem, l’aidant à se redresser, et une autre sur ses hanches, pour le soulever. Assise sur ses genoux, Alice glissait dessus, d’avant en arrière, sodomisant Theorem. Elle fourra sa langue dans sa bouche, et lui sourit ensuite, rompant brièvement le baiser, un mince filet de salive reliant leurs lèvres.

«
Ma passion… Je dois admettre qu’avec toi, Theorem, elle vient vite… C’est toi qui m’as initié à la domination, tu sais… Sans toi, hmmm… Peut-être que je n’aurai jamais eu cette appétence pour la domination en moi… »

Elle le mordilla dans le creux du cou, sa verge s’enfonçant dans son cul, remontant jusqu’à la garde.

«
Je suis la fille de Lust, Theorem…  Alors, si tu veux être ma chérie, il va falloir que tu l’endures ! »

Alice se redressa alors, et, quand elle écarta sa main gantée du cou de Theorem, un collier en latex venait de se former, avec une laisse qu’Alice tint d’une main. Elle relâcha Theorem, qui bascula vers le lit, mais Alice serra la laisse, le retenant ainsi, l’étranglant dans la foulée, et donna une grosse claque sur son cul.

«
Rends-toi compte, Theorem, si je ne t’avais pas vendu à Mélinda, si j’avais rencontré ma mère avant, aujourd’hui, tu serais mon familier ! Je me demande comment tu aurais tourné… Mais je dois admettre que ce qu’Ishtar a fait de toi m’excite furieusement ! »

Un gloussement pervers s’échappa des lèvres d’Alice, qui continuait à le prendre, sodomisant Theorem avec force, grognant dans son dos, relâchant la bride de la laisse avant de l’attraper encore, faisant ainsi basculer Theorem d’avant en arrière, l’étranglant à chaque fois qu’elle tirait sur la laisse. Elle maintenait la pression pendant de longues secondes, privant Theorem d’air, avant de relâcher, et de continuer, ainsi de suite…