Page 1 sur 2

Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:36
par Malaurie Odessa
Malaurie se remettait mentalement de ses premiers épisodes avec Chengzu. Depuis sa petite chapelle construite par le contribuable de la colonie, elle réfléchissait souvent aux propositions de Chengzu qui l'avait quelque peu corrompue. Bien entendu, il lui avait laissé un certain libre arbitre. Elle était même relativement tranquille surtout que son petit copain avait, pour sa part, passé un très bon séjour dans Nachtheim. Elle était parvenue à très bien lui cacher sa relation naissante avec le Maître. Bien entendu, Soeur Malaurie savait très bien qu'elle portait atteinte à son intégrité. Ainsi, au départ récent de Ruby pour visiter les pays voisins et voir si le culte se portait bien ailleurs, Malaurie se fit la promesse de ne plus céder. Sa part animale n'allait pas lui imposer de se rabaisser encore, à copuler avec ces êtres dégénérés accroc au latex... Non non, elle avait un avenir ailleurs qu'ici, et en prime sa part sauvage devait rester bien enfouie en elle. Ce n'était que sous les coups de reins du bélier qu'elle laissait sa vachette interne s'exprimer. En regardant la caravane de Ruby quitter l'horizon, elle se fit ce sermons, de ne plus accepter les proposition de Chengzu. Elle résisterait, pour le bien de Ruby et sa paix intérieure.

Elle le devait...


*Bzzzz Bzzzz*

Soeur Malaurie baissa les yeux sur son téléphone portable. Un message de Ruby certainement ? Elle regarda l'écran mais c'était un message de Chengzu. Elle se raidit un instant. Une sensation étrange remonta sa colonne vertébrale jusqu'à l'arrière de sa tête. Son ventre subissait quelque chose, entre angoisse et excitation. Des émotions contraires et une furieuse dissonance cognitive l'assaillait. Pourquoi se troublait-elle aussi aisément ? N'avait elle pas résolue son coeur à ne plus contacter cette personne ? Elle avait été infidèle, c'est vrai... Et elle avait vécu probablement les meilleurs baises de sa vie... Mais Ruby comptait trop pour elle. Elle n'avait qu'à reposer son téléphone, ignorer ce message, passer à autre chose...

Elle regarda l'écran.


- Passe me voir dans la salle aux tableaux -

Non non, elle n'était pas à son service ! Elle connaissait cette pièce et ce fameux tableau qui dissimulait une porte. Et puis, elle devait faire autre chose de plus constructif. Ruby venait à peine de partir, ce n'était pas pour retomber dans les bras de Chengzu aussi facilement ! ... Elle allait lui dire en face, dès qu'elle le verrait.

A peine une heure plus tard, Malaurie se présenta à l'entrée du Manoir von Nacht pour se présenter dans le hall principal. Après avoir été dans la pièce à droite, le couloir menant à la salle aux tableaux laissa voir la lumière de la salle secrète passer par l'embrasure du tableau porte. Elle savait qu'elle ne devait pas entrer. Chengzu l'attendait sûrement dedans. Elle soupira avant de pousser la porte avec une certaine appréhension mais aussi une avide frustration.

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:38
par Chengzu von Nacht
Image
Salle aux tableaux

Ces dernières semaines, le manoir Von Nacht s’était animé. Chengzu vivait une vie de rêve, très éloignée de ce qu’il avait jadis envisagé. Marié à Theorem et à Ishtar, il avait aussi jeté son dévolu sur une autre femme, ce qui n’avait pas échappé à Ishtar, ni même à Theorem. Chengzu savait aussi qu’Ishtar le prenait mieux que Theorem. Sans doute voyait-elle aussi, comme Chengzu, ce à quoi Malaurie correspondait. Il ne voyait pas en elle un substitut à ses époux, mais plutôt comme une sorte de dame de compagnie, ou d’animal de compagnie, une belle esclave qui accomplirait toutes ses volontés. Cela était d’autant plus excitant que Malaurie était une femme assez forte et indépendante. Elle avait réussi à fonder son sanctuaire à Nachtheim, et, quand des hommes essayaient de la peloter sans son consentement, elle n’hésitait pas à les frapper, et à les repousser violemment. Chengzu s’était parfois amusé à la tester, à manipuler des marins dans les tavernes des quartiers populaires pour qu’ils posent leurs mains aux fesses de Malaurie. Il s’amusdait toujours de ce contraste, de la manière dont lui la perturbait et dont elle brisait les mains des autres. Cela avait aussi convaincu son amant officiel, ce brave Ruby, de la sincérité de son amour.

Ruby était donc parti en toute quiétude, et cela avait frustré Chengzu. Après une soirée de débauche au manoir avec Malaurie, Alice et Theorem, il avait proposé à Malaurie un dîner au manoir avec Ruby. Lui et Alice pouvaient tout à fait passer pour un couple, il avait pensé à ce stade que cela rassurerait Malaurie, car, si Ishtar avait été avec lui, il était alors sûr que Malaurie aurait refusé. Mais, même avec cette précaution, Malaurie avait décliné, et n’était plus revenu au manoir depuis. Chengzu s’en était agacé. Il avait donc patiemment attendu, et, avec le départ de Ruby, avait proposé à Malaurie de revenir le voir. Il ignorait si elle allait accepter.

Il avait proposé la salle aux tableaux, car celle-ci disposait d’une petite entrée discrète à proximité depuis le jardin. Il voulait offrir à Malaurie un semblant de discrétion, pour la rassurer. Pour le reste, la galerie comprenait surtout des tableaux personnels. Ishtar, Theorem, Chengzu, mais aussi quelques illustres parents d’Ishtar… Des tableaux supplémentaires étaient prévus pour leurs amantes particulières. Chengzu observait donc, mais, finalement, Malaurie vint par l’entrée principale. On toqua à la porte. Celle qui l’annonça n’était rien d’autre que la Reine de Sylvandell en personne ! Alice s’inclina, portant sa combinaison moulante avec la ceinture de chasteté intégrée, une dernière facétie d’Ishtar pour frustrer et humilier la jeune femme.

«
Maître, votre invitée est arrivée.
C’est gentil, Alice, tu peux nous laisser. »

La jeune femme s’inclina, et sortit ensuite. Chengzu sourit doucement à Malaurie.

«
Bonjour, Malaurie. J’ai entendu dire que Ruby était parti. Je voulais savoir comment tu allais suite à ce départ… »

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:38
par Malaurie Odessa
Quand Chengzu questionna Malaurie sur sa relation avec Ruby, on peut dire qu'elle n'était pas dans un bon jour. Elle resta bras croisés sur sa poitrine avant de toiser son interlocuteur de son regard vairon. La prêtresse ne voulait surtout pas montrer le moindre signe de faiblesse et envoyait clairement le message qu'elle n'allait pas se laisser manipuler plus longtemps. Tout en restant le plus proche de la porte tableau qui les séparait, elle sembla prête à tourner les talons au moindre faux pas de Chengzu. Mais au delà de son apparente colère, la Ushi était surtout particulièrement en chaleur. Avant qu'il ne parte, Ruby avait tenu à la combler une dernière fois avant son départ de ces terres maudites, mais les quinze minutes qu'il lui offrit ne parvint pas à l'amener où que ce soit. Au mieux elle simula pour que son amoureux ne se sente pas lésé mais là elle bouillonnait du coup et bien que décidée à mettre fin à ce petit jeu, elle n'en demeurait pas bouillante et face au seul homme qui l'avait fait grimper aussi fort.

"Ruby est partit, c'est vrai... Mais j'ai compris qu'il m'apportait énormément, je l'aime plus que tout, il a toujours été là pour moi quand toi et moi on ne se connaissait même pas."

Elle détourna un instant son regard de celui ambré de son partenaire avant de revenir sur lui avec détermination bien que ses joues restaient empourprées de sa frustration actuelle.

"Ne cherche plus à me contacter, c'est la dernière fois que nous nous voyons !"

Son regard parti vers une des toile sans réelle raison, juste pour ne plus regarder Chengzu en face et penser totalement à autre chose.

"En vérité, j'ai vraiment pensé que je t'aimais... Quand tu ne me contactais pas, j'était dans l'attente, je n'arrivais à penser à rien d'autre que comment tu allais me prendre la prochaine fois... Et lors de notre dernière fois, j'ai vraiment pensé que je t'aimais... Mais quand Ruby m'a prit dans ses bras avant de partir, j'ai compris..."

Malaurie revint yeux dans les yeux avec Chengzu avant de fermer ses paupières en serrant ses mains moites sur sa poitrine, n'osant plus le regarder. Elle semblait beaucoup souffrir alors qu'elle prononça sa dernière phrase.

"Tu... as juste éduqué mon corps à ressentir des choses... Il n'y a aucune raison pour lesquelles je t'aime... Pour la première fois de ma vie, j'ai été faible et stupide, j'aurais pu faire du mal à Ruby s'il avait vu... C'est pourquoi... Ne me contacte plus, on ne se reverra plus !"

Dit-elle les yeux toujours fermés, prête à partir... Mais elle resta sur place devant Chengzu. Sa confession était pourtant terminée, mais impossible pour elle de partir sans entendre Chengzu encore... Son coeur lui demandait de partir, mais son corps lui implorait de rester. La bête sexuelle qui s'était éveillée en elle lors de leurs derniers ébats la cimentait sur place... Mais pour le moment, elle n'osait plus regarder Chengzu, entre la honte qu'elle ressentait et l'excitation qu'elle allait avoir si elle revoyait son visage... La dissonance cognitive qu'elle ressentait actuellement était une vraie plaie... Elle savait qu'elle aurait dû partir. De toutes façons quoi qu'il allait dire, la rupture avait été dite... Non ?

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:38
par Chengzu von Nacht
Chengzu souriait intérieurement. Malaurie était comme toujours magnifique, même si elle ne portait pas la robe qu’il lui avait offert, qu’il avait même spécialement confectionné pour elle. Elle avait enfilé sa tenue de prêtresse, voulant signifier un message clair : c’était terminé. Elle avait réfléchi, et elle ne voulait pas de Chengzu. Il aurait pu s’en énerver, mais il n’était pas dupe. Il la laissa donc parler, vider son sac. Elle ferma les yeux, et resta sur place, se refusant visiblement à partir. Chengzu estima que le moment était venu. Il se rapprocha. L’homme portait une tenue noire moulante uniforme, finissant à mi-cuisses par des ouvertures similaires à une petite jupe : une tenue élégante et sensuelle !

Le jeune vampire se rapprocha de Malaurie.

«
Très bien… Très bien, très bien… Tu n’es pas ma prisonnière, Malaurie, et nous n’avons signé aucun contrat de soumission. Tu as toujours été libre de partir, ou de ne plus revenir me voir. À vrai dire, tu aurais même pu te contenter de m’envoyer une lettre, et de partir avec ce cher Ruby. Cependant… Tu n’as pas fait ça. Tu as pris le risque de revenir vers moi, de me dire clairement que tu ne voulais plus de moi, et tu as laissé Ruby repartir. Tout cela me semble… Incohérent. »

Il s’était rapproché d’elle. Si jamais elle croisait son regard, elle pourrait y sentir toute l’intensité de ce dernier. Chengzu était un vampire, et il était plutôt efficace. Mélinda lui avait dit que sa race était moins hostile à la mutation vampirique que celle d’Ishtar. Il pouvait développer plus facilement certains pouvoirs liés aux vampires. Il avait appris à le faire, et il expérimentait beaucoup sur les esclaves du manoir, s’amusant à jouer avec leur désir. Chengzu rejoignit Malaurie, et se mit dans son dos, posant chacune de ses amins sur ses épaules, les rapprochant de son cou. Sa bouche se rapprocha de son oreille, son souffle dessus, tandis qu’elle pouvait sentir son torse, et sa verge, qui s’élançait, pour heurter le doux renflement de ses fesses.

Pensait-elle vraiment avoir une chance ? Ce sentiment de rivalité excitait Chengzu, stimulant ses bas instincts.

«
Je sens son odeur sur toi, tu sais… Tu viens vers moi après m’avoir trompé avec lui. Mais je sens aussi ta frustration, je la devine à tes palpitations nerveuses, aux tremblements nerveux qui parcourent tes doigts, à la sueur qui coule de ton dos… »

Il l’embrassa dans le creux du cou.

«
Je ne peux pas créer le désir, ma chérie. Ce que je t’ai fait ressentir était en toi, et l’a toujours été… Je n’ai fait que révéler ce qui était endormi chez toi. Tu as toujours été pleine de passion, Malaurie. Tu te rappelles comment on s’est rencontrés, n’est-ce pas ? Dans cette auberge où tu avais frappé des vauriens qui t’avaient mal parlé… Tant de violence, tant d’énergie… »

Il la retourna alors, et caressa sa joue, son front se posant contre le sien. Son doigt ganté glissa sur ses lèvres, cherchant à s’enfoncer dans sa bouche.

«
Pourquoi es-tu là, dis-moi ? Pourquoi me dire tout ça en face, si ce n’est pour que je te retienne ? Au fond, tu veux juste me faire ressentir ce que tu as ressenti. Typique… Tu veux que je sois jaloux pour que je te dise que ce que tu ressens est réciproque. Pauvre Ruby… Tu le trompes deux fois, une fois en couchant avec moi, et une seconde fois en en faisant juste un homme que je devrais jalouser. Mais c’est trop tard, Malaurie… Tu m’appartiens pleinement. Tu es à moi. Je ne te laisserai pas partir si facilement, pas sans te baiser une dernière fois. »

Il agitait la carotte… Mais, si elle refusait, il brandirait le bâton.

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:38
par Malaurie Odessa
Malaurie était en plein tourment. Son diable prenait des apparences d'ange, mais c'était un loup venant la dévorer. Sa voix de velour venait titiller ses tympans. Son odeur masculine lui donnait le souffle court et son doigté si souple et doux la faisait transpirer comme jamais. Elle s'était pourtant ouverte, elle avait dit tout ce qu'elle avait préparé, elle venait de faire tout ce qu'il fallait faire pour ce libérer de son dangereux prédateur... Mais visiblement son âme avait encore les griffes de cette bête à cornes à travers. Il se colla dans son dos et elle sentit clairement son barreau se loger contre le sillon de ses fesses. Pourtant, plusieurs couches de latex les séparaient, mais son appétit venait de se réveiller. Malaurie ne savait plus quoi penser alors que Chengzu lui susurra qu'elle avait fait ça  juste pour que Chen jalouse Ruby.

"N-Non ! Pas du tout ! Je..."

Ses arguments résonnaient en elle. Venait-elle vraiment de faire ça juste pour que le bélier se sente envieux ? Avait-elle allumé le feu volontairement pour regarder tout ça brûler ? Les von Nacht, cette lignée déviante des Naviento, venaient d'empoisonner son cœur. Son regard se perdit un instant avant qu'elle ne ferme les yeux en sentant les mains de Chengzu sur elle. Elle tremblait comme une feuille et ses souvenirs la projetèrent à ce moment où elle avait quitté cette pièce dans une tenue indécente pour s'offrir au bélier... Mais ça a avait été un moment de faiblesse. Elle se le répétait en boucle. Peut être allait-elle finir par le croire ? Puis soudain Chengzu repassa devant elle, collant son front au sien. Bon sang, elle n'était qu'à quelques centimètres de ses lèvres, alors que sa verge maintenant bien tendue venait de se poser contre son bas ventre.

*Par Gao Mata... Il en a une facilement deux fois plus grosse et imposante que celle de Ruby... Comment je peux aimer quelqu'un que je déteste à ce point ? Quelle est donc cette épreuve que vous me donnez, déesse de vie ?*

Malaurie avait le souffle court, les joues empourprés et sa tenue de bonne soeur en latex lui donnait soudainement chaud. Elle parvint à poser ses mains sur la poitrine de Chengzu, pour le repousser... Mais elle se contenta de juste les laisser posés sur ses pectoraux avant qu'elle ne parvienne à reculer. La bovine regarda l'aries avant de baisser les yeux, se sentant sur le coup terriblement misérable. Mais elle sortit ces mots à voix basse, presque un soupire.

"One... last time..."

C'était comme si c'était sortit d'elle, sans filtre. A la réalisation de ces mots, elle posa ses mains sur son visage pour se cacher une seconde. Son coeur hurlait non, son corps implorait le oui. Son esprit était coincé entre ces deux émotions alors qu'elle sentit une lente mais progressive coulée humide descendant le long de sa cuisse. La Ushi se punissait mentalement de ces mots avant de détourner totalement le regard.

"Promet moi... que... ce sera la dernière fois..."

Cette fois, ça allait être son dernier moment de faiblesse... Elle fuirait Nachtheim demain matin pour retrouver Ruby et oublier cette vie qu'elle avait eut dans ces terres sombres. Elle dirait adieux à ce manoir, à son beau bélier et à ses pulsions... Elle ferait taire sa bête intérieure... Mais il lui fallait juste s'abandonner une dernière fois, jouir bien fort, et pouvoir passer à autre chose. Ce désir était totalement artificiel, elle en était persuadé...

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:39
par Chengzu von Nacht
Le bâton ou la carotte ? Il ne savait pas ce qui allait marcher avec Malaurie, mais Chengzu était sûr d’une chose : il ne voulait pas la voir partir. Ce qu’il ressentait pour elle était sans doute malsain, mais il s’en moquait. Elle était sienne. Il la voulait, et il ne laisserait pas une autre personne la lui prendre. Au fond, il se disait qu’elle en faisait exprès, qu’elle le mettait à l’épreuve. Elle menaçait de partir, elle titillait sa jalousie, pour voir à quel point il avait envie de la garder. C’était logique, une réaction très humaine. Il lui offrit une porte de sortie : « une dernière fois ». Comme un bouquet final, une apothéose grandiose. Elle soupira face à lui, le murmurant dans sa langue natale.

«
Une dernière fois… » répéta-t-il brièvement.

Elle lui demanda de le jurer, de lui promettre que ce serait bien la dernière fois. Sa main gantée caressa la joue de Malaurie, et son pouce frotta les douces lèvres de la jeune femme. Il déplaça son autre main pour caresser sa ravissante tenue de nonne en latex. Elle était ravissante dedans, avec sa poitrine généreuse qui déformait le décolleté de la robe. Il malaxa d’ailleurs l’un de ses seins à travers la robe, faisant doucement gémir Malaurie. De fait, il adorait l’entendre gémir, comme ça, et il adorait aussi la titiller, la provoquer. Il aurait pu utiliser ses pouvoirs vampiriques pour intensifier le désir en elle, mais Chengzu se réservait cette carte au cas où. Il avait envie que ce soit plus authentique, plus naturel.

La dernière fois, donc… Il posa ensuite sa main sur le menton de Malaurie, et la releva.

«
La dernière fois… C’est à toi d’en décider, Malaurie. Ce sera la dernière fois si tu ne souhaites plus… »

Il alla l’embrasser tendrement. Ce n’était pas un baiser pervers, mais un baiser tendre, sincère, sans qu’il ne vienne peloter les fesses de Malaurie. Il l’embrassait comme on embrasserait la femme qu’on aimait, un baiser passionné et appuyé.

«
Je t’aime, Malaurie… Alors, ne me demande pas de renoncer à t’aimer. Je ferai ce que tu veux, alors, si tu préfères Ruby à moi, j’accepterai ton choix. »

Chengzu lui sourit encore, tendrement, puis se pencha contre son oreille :

«
Maintenant, je vais te baiser ! »

Il attrapa ensuite la main de Malaurie, et la guida vers sa chambre, d’un pas décidé, annonçant une folle orgie…

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:39
par Malaurie Odessa
Malaurie se laissa embrasser. Elle ne put résister... Car à peine eut-il poser ses lèvres sur les siennes qu'elle ferma les yeux pour s'y abandonner. Ca n'avait rien de pervers, c'était un baiser d'amoureux, digne de comment Ruby l'embrassait. La religieuse se disait qu'il venait de dire qu'il l'aimait. Elle repassait ses mots dans sa tête en se demandant s'il l'aimait vraiment, si c'était juste une stratégie, ou si c'était de la sincérité à laquelle elle n'allait plus pouvoir résister. Elle serra un peu ses doigts sur les hanches de Chengzu avant que cet idylle ne se calme soudainement par un murmure. A la réalisation de ce qu'il venait de lui souffler, Malaurie ne percuta que maintenant qu'elle allait se faire prendre durement par cet amant fougueux.

"W... Wait !"

Mais il la tirait par le poignet, elle ne pouvait pas résister. Malaurie essaya de suivre son rythme à travers le manoir, passant couloirs et portes avant de se retrouver dans une chambre confortable équipée d'un lit à baldaquin. La Ushi avait le souffle court d'avoir presque couru jusqu'ici avant de réaliser de manière bien concrète se qui allait se passer. Posé sur cintre, sa robe bodycon qu'elle avait enfilée quand elle avait trompé Ruby pour la première fois avec de vrais sentiments. Elle se revoyait quand Theorem l'avait convaincue de rester à Nachtheim, et surtout à accepter les attentions du bélier. Mais à l'époque elle pensait que ce dernier ne la voyait que comme un sandwich, un repas à côté. Elle hésitait à céder à ses avances avant que les sentiments de Chengzu ne deviennent plus... envahissants. Elle sembla pensive devant cette robe avant de lever les yeux vers l'aries. C'est clair qu'ils n'allaient pas juste s'amuser ce soir. Un peu tremblante, elle défit le zipper de sa robe de nonne pour la faire tomber au sol avant de prendre la robe bodycon. Sans dire un mot, Malaurie disparue derrière le paravent. Cela ne dura que quelques minutes avant qu'elle n'en ressorte dans sa robe bodycon. Ses bas de latex indigo bordés de motifs à vache, ses manchettes de la même fabrique mais surtout sa robe très courte moulant son corps, exhibant les côtés de son corps et son nombril et contenant à peine son immense poitrine. Elle avait mit le voile associé à cette tenue, mais surtout son string en latex blanc tacheté de noir.

"I'm... I'm ready... Let's fuck for the last time..."

Malaurie était un peu nerveuse mais résolue à s'amuser à fond pour cette ultime partie de jambes en l'air. Quite à ce que ça ne se reproduise plus, autant rendre cette baise mémorable alors qu'elle se dirigea vers Chengzu pour déboutonner son uniforme de latex avec envie. Le corps de ce partenaire n'avait rien à voir avec celui de Ruby. Il était plus musclé, plus imposant, totalement imberbe et surtout équipé d'un organe masculin à faire pâlir les étalons. Chengzu, comme tous les infernois, était habillé pour le sexe sous sa tenue de tous les jours. Un chaps, un haut couvrant uniquement ses bras et ses épaules et un harnais se croisant sur sa poitrine. Si Malaurie restait ici, elle allait finir par s'habiller comme une pute sous sa tenue de nonne... Non pas que c'était contre les préceptes de Gao Mata qui prônait l'amour et la vie... Chengzu était une demi-tête plus grand qu'elle... Alors elle dût lever le menton pour se faire embrasser avant de venir flatter sa verge imposante dans sa main gantée.


"Tu as allumé un feu en moi... Tu vas devoir assumer..."

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:49
par Chengzu von Nacht
Non, il ne comptait pas la laisser partir. Quand on goûtait au fruit défendu, tout ce qu’on avait envie, c’était d’y goûter davantage ! C’était de toute façon pour le mieux. Il savait ce qu’il avait à faire, et il savait qu’il avait envie d’elle, et qu’elle avait envie de lui.

Chengzu la conduisit donc dans sa chambre. Il avait ressorti pour l’occasion la précieuse robe bodycon qu’il lui avait fait faire, une robe de grande qualité, en Lapoxynyle. C’était la preuve absolue de l’importance que Malaurie revêtait à ses yeux. Il referma la porte derrière eux à clef, tout en notant que le sang de Malaurie s’emballait, trahissant son excitation en voyant cette tenue. Elle la récupéra, puis fila derrière le paravent. De son côté, Chengzu se déshabilla également, retirant sa veste, son haut, et finit finalement avec un harnais en latex sur le torse, formant une croix autour de son torse, un anneau doré reliant les lanières. Dessous, un chaps, ces pantalons particuliers ouverts sur son sexe. Sa verge était déjà bien élevée quand Malaurie revint.

Elle avait enfilé la robe sans difficulté, et Chengzu frémit en la voyant ainsi, ressentant l’irrépressible envie de la baiser. Oui, il comptait la prendre cette nuit, et il n’allait pas y aller par quatre chemins. C’était ce qu’elle méritait, c’était ce dont ils avaient besoin tous les deux. Elle se rapprocha de lui, et ils s’embrassèrent. Il posa sa main sur l’une des fesses de Malaurie, et la pinça quand il sentit la main gantée de Malaurie serrer sa queue contre la sienne. Elle lui indiqua ensuite qu’il allait devoir assumer les conséquences de ses actes, ce qui le fit à nouveau sourire.

«
Je suis tout à fait disposé à assumer ce genre de choses… Ma pauvre, tu me fuis depuis des semaines, je sens l’odeur de Ruby sur toi, mais je suis sûr qu’il n’a jamais réussi à te faire jouir comme moi je l’ai fait… »

Elle pouvait nier, bien sûr, ne serait-ce que pour le titiller, mais lui savait. Il serra donc sa main sur ses fesses, puis la poussa alors en avant. Les chevilles de Malaurie heurtèrent le rebord du lit, et elle tomba dessus à la renverse. Chengzu sourit à elle, malicieusement, caressant ses jambes, et les releva. Il s’abattit sur elle, la pénétrant en optant pour une position de l’enclume.

Comme elle l’avait demandé, Chengzu n’y alla pas de main morte, et s’écrasa sur elle, s’étalant au milieu du lit à latex. Derrière eux, les draps en latex du baldaquin se refermèrent également, les enfermant à l’intérieur de ce grand lit. Il soupira en sentant le latex crisser de toute part, et en entendant Malaurie hurler.

«
Je vais te baiser, Malaurie, je vais te baiser toute la nuit ! Et tu voudrais te priver de ça ? Est-ce que Ruby te baise aussi bien ? Est-ce qu’il te fait hurler comme je te fais hurler ?! »

Le rythme était assez soutenu dès le début. Elle était en manque, il le sentait. Il ne comptait pas se retenir. Chengzu la prenait donc, pliant les jambes de Malaurie qui se redressaient à gauche et à droite de la tête de la jeune femme.

Ce n’était qu’un prologue.

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:49
par Malaurie Odessa
Malaurie savait que l'étreinte de Chengzu allait être charnelle et puissante... Mais une fois sur le dos, dans ce lit, enfermée entre quatre draps de latex, elle n'avait plus aucune chance de fuite. Elle se retrouva rapidement les jambes relevées alors que la verge de son amant pénétra son sexe avec vigueur. Heureusement elle était déjà détrempée et avait gardé son string de latex blanc tâcheté sur le côté pour libérer l'accès à sa vulve. Le bélier ne manqua pas à sa réputation et la besogna directement alors que Malaurie lâchait des soupirs et des gémissements. Sous les questions de son amant pour le comparer à son compagnon, elle ne tarda pas à pousser des cris entre gêne et hésitation. Mais finalement elle posa ses mains de chaque côtés du visage de Chengzu pour le regarder dans les yeux.

"Aaaah... Aaaaah... C... C'est pas comparable... Aaaah... Il... n'y a... qu'avec toi... que je me lâche autant... Ruby n'est pas... comme toi..."

Lâcha-t-elle entre deux gémissements avant de doucement serrer ses jambes autour des hanches de son amant, l'embrassant de plus belle avant de rouler sa langue avec lui. La respiration de la Ushi s'emballa soudainement. Elle plaqua une main sur son visage pour cacher un peu ses émotions mais sa voix trahissait la situation : elle jouissait ! Chengzu ne faisait que commencer, mais son orgasme fut fulgurant tellement elle l'avait retenu. Son corps trembla et sa chatte se resserra autour du sexe du bélier alors qu'elle tirait un peu la langue. A la fin de cet orgasme, elle reprit doucement son souffle avant de regarder Chengzu dans les yeux.

"Gnnn... Ahaaaa... Ohhhh... Pourquoi ?... Pourquoi... tu me fais... autant d'effet ?..."

Malaurie ne parvenait pas à s'expliquer pourquoi elle kiffait autant le sexe avec Chengzu. Pourtant Ruby lui apportait beaucoup de douceur et d'amour, elle devrait également jouir aussi fort pendant l'acte avec lui... Mais tout était différent. Au delà de la taille de la verge de son amoureux, bien inférieur à celle de Chengzu, le rythme et l'intensité était totalement différent ! En plus Chengzu pouvait faire la chose toute la nuit quand Ruby s'écroulait après un rapport. Malaurie était devenu quasiment insensible à ces coïts simples et aimants... Elle préférait de loin ce calibre imposant et ce rythme profond qui lui donnait les meilleurs orgasmes. Devant cette situation, elle poussa un autre soupir de plaisir avant de regarder son amant dans les yeux.

"... Tu sais... c'est la dernière alors... alors baise-moi dur ! Baise-moi comme si j'était ta salope !"

Cette phrase sortie du fin fond de son esprit embrasa son corps. Elle était en chaleur ! Malaurie allait céder totalement ce soir, pour mieux vivre sa vie plus tard... Il suffisait d'une fois inoubliable et de passer à autre chose... En tout cas c'est ce qu'elle pensait.

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:57
par Chengzu von Nacht
Chengzu restait fidèle à lui-même, fidèle à sa réputation d’homme-bélier besogneur. C’était un style similaire et à la fois différent d’Ishtar. Ishtar baisait ses amants avec force et pression, lui se montrait moins imposant, mais plus vif. De véritables coups de butoir, dignes d’un bélier ! Il la besognait donc, le corps de Malaurie filant d’avant en arrière, ses jambes remuant et sautillant en allant d’avant en arrière. Jadis, il avait du mal à se retenir dans cet état, à y aller franchement, mais cela était désormais un souvenir, l’époque de ce Chengzu naïf et introverti, avant qu’il ne rencontre son épouse. Maintenant, il souriait, dominant la femme, s’enfonçant dans sa chatte trempée. Mine de rien, cette pénétration vaginale avait quelque chose de très jouissive ! C’était moins douloureux que de s’enfoncer dans un fondement, et la mouille de Malaurie lubrifiait avec une grande efficacité sa queue, renforçant l’intensité des coups de reins.

Avec le baldaquin en latex refermé, les deux amants étaient enfermés dans une bulle de sexe. La luminosité avait fortement diminué, renforçant l’intimité de cette relation. Chengzu continuait à la prendre, son vit coulissant en elle, jusqu’à ce qu’elle se mette à jouir. Il la sentit jouir sans même avoir besoin de ses pouvoirs vampiriques. Il le vit dans son regard, dans la manière dont elle serra ses jambes autour de sa taille. Il l’aimait aussi pour ça, ce côté vif et assumé. Ishtar lui avait déjà proposé d’utiliser ses machines en souterrain, d’utiliser des électrochocs et du brainwashing pour la soumettre, mais Chengzu avait refusé. Il ne voulait pas altérer cette femme, il ne voulait pas juste en faire sa vide-couilles, mais une véritable Von Nacht !

Elle agit donc, le surprenant en reprenant le contrôle de ses jambes, qu’elle serra autour de ses hanches, ce qui l’amena à se coucher sur elle, pour un missionnaire endiablé. Ils s’embrassèrent ensuite, Malaurie se pressant contre lui, ses gros seins heurtant son torse.

«
Hmmm… !! »

La sentir jouir sur lui était une sensation magnifique. Malaurie partit pendant quelques instants, s’évaporant dans ce puissant orgasme, avant de progressivement reprendre le contrôle. Sa respiration était lourde, et elle croisa le regard de Chengzu, dont la verge venait d’expulser des chapelets de foutre. Lui aussi avait joui. Contrairement à Ishtar, il n’utilisait pas de préservatif, et, ce soir, il comptait bien marquer le coup.

Elle en redemanda encore, en indiquant que c’était la dernière fois. Chengzu sourit alors.

«
La dernière fois… Tu me dis ça à chaque fois, et, pourtant, tu reviens toujours. »

Chengzu se redressa ensuite, puis retourna Malaurie, et la mit à quatre pattes, redressant ses hanches. Il libéra l’accès à ses fesses, et les malaxa tendrement… Puis en gifla alors une, donnant une première claque, puis une seconde fessée, plus forte encore.

«
Tu crois que tu pourras te passer de ça, Malaurie ? Tu crois que tu pourras vivre sans moi ? Tu crois que tu as à choisir entre moi et Ruby… Mais tu es la seule qui t’impose ce choix. Je t’offre des choses que ton amant ne t’offrira jamais. Pourquoi lui plutôt que moi, hein ? Parce qu’il est le premier à t’avoir vu ? »

Chengzu ne lui laissa pas le temps de répondre. Il suçota deux de ses doigts, et les enfonça dans le fondement de Malaurie, venant la préparer, tout en la fessant encore.

«
Tu n’as pas à choisir, tu n’as pas à sacrifier ta vie pour Ruby. Tu es une femme forte, c’est pour ça que tu viens à moi. Tu veux des choses fortes, tu veux qu’on te prenne avec force, car c’est comme ça que tu aimes le sexe. Ton Ruby a sans doute plein de qualités, mais il ne pourra jamais te combler sexuellement ! »

Tout en parlant, il faisait tourner ses doigts, puis se pencha vers elle, et lécha son lobe de l’oreille, puis parla à voix basse, comme pour lui faire une confidence :

«
Tu n’as pas à choisir… Tu peux m’avoir comme homme, et lui comme ton soumis, comme moi avec Theorem… »

Il se redressa ensuite, et la sodomisa alors, s’enfonçant d’un coup sec et fort dans son fondement, puis retourna la besogner.

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:59
par Malaurie Odessa
Malaurie s'attendait naïvement à ce que Chengzu joue le jeu de la prendre une dernière fois avec autant de fougue, mais visiblement il jouait à un autre jeu. La Ushi avait baissé ses défenses et ne tarda pas à être dans un état second tant elle aimait ce sexe fort et intensif. Alors qu'elle se remettait de son dernier orgasme en missionnaire, elle se retrouva mise à quatre pattes alors que son amant enfonça deux doigts dans son fondement. Malaurie poussa un petit cri de surprise avant de rapidement laissé place à des soupires de plaisir et des gémissements. Sa chatte détrempée laissa échapper un peu de sperme chaud alors que la pauvre se faisait assaillir d'interrogations par le bélier.

"Je... Mooooo !!!!"

Elle poussa un gémissement typiquement bovin alors que son fondement se fit envahir par la verge de son amant. Sa rondelle préparée s'écarta autour de ce sexe puissant avant que le vas et vient ne vienne la faire gémir telle une bête. Malaurie serra ses mains sur les draps pour se maintenir avant d'enfouir sa tête dans l'oreiller devant elle. Courbant son dos comme une actrice du X, elle poussa plusieurs cris étouffés dans l'oreiller avant de se redresser un peu. Le miroir faisant face au lit retranscrivait parfaitement ce qu'elle subissait. Elle pouvait voir Chengzu empoignant son cul et besognant ce dernier d'un vas et vient rapide. Mais elle put aussi voir son expression de plaisir dans ce reflet.

*Fuck... I can't think... But... He is so right... I'm loving this sooooo much !*

Elle entoura les hanches de Chen avec sa queue bovine avant de fermer les yeux et de se laisser totalement aller. Malaurie devint soudainement très très sonore, laissant sa voix inonder la chambre de jubilation et de plaisir. En sueur, offerte à son amant, devenue jouet de plaisir, elle se laissa inonder, submerger. Tout devenait flou. C'était juste un océan de plaisir qui la berçait avant qu'elle ne contracte un nouvel orgasme. Cette fois elle fut une vraie fontaine, inondant le matelas sous elle d'un jet puissant alors qu'elle poussa un cri tout aussi fort. Mais Chengzu ne s'arrêtait pas pour autant de la pilonner. Drogué par ce plaisir, des scénario pervers se dessinèrent dans son esprit avant qu'elle ne cherche à nouveau le visage de Chengzu dans le reflet du miroir. C'était vrai qu'il était très beau ce bélier... Musculeux et pervers... Elle poussa un autre soupire avant de lui sourire perversement tout en se faisant enculer.

"Fais-moi connaître ce que tu fais avec Theorem... Haaan... Ce... Full Nelson..."

Elle le savait mais... Malaurie atteignait un point de non retour dangereux !

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:59
par Chengzu von Nacht
Avait-elle sincèrement cru que Chengzu allait se contenter de la baiser sans mettre en évidence les contradictions de Malaurie ? Trop tard, il était trop tard pour elle ! Il la voulait, et Chengzu n’était pas du genre à ne pas avoir ce qu’il voulait… Pas depuis qu’il était un vampire, pas depuis qu’il était un Von Nacht ! Malaurie avait sa place ici, et nulle part ailleurs, Chezngzu s’en était assuré. Parfois, il se disait que tout aurait été plus simple s’il l’avait enfanté, mais il avait été patient, et sans doute un peu trop respectueux. Ishtar s’en était déjà amusée, lui disant qu’il devait être plus ferme avec elle, qu’il devait l’emmener dans son laboratoire pour utiliser les électrochocs d’Ishtar. Une perspective assurément tentante, mais que Chengzu jugeait trop risqué. Il aimait Malaurie comme ça. Il la voulait forte, entreprenante, rentre-dedans, mais soumise avec lui, aimante et proche. Il voulait la modeler sans risquer d’abîmer son cerveau. Alors, à défaut de manipulations cérébrales, il utilisait sa plus belle arme : son infatigable verge ! Il la sodomisait avec force, sa queue tapotant en elle, coulissant en profondeur. Il put sentir la queue d’Ushi de Malaurie s’enrouler autour de sa taille, le maintenant à elle.

Chengzu la sodomisait avec force, sa queue coulissant dans son cul, d’avant en arrière. Plus le temps passait, et plus l’homme-bélier montrait sa nature de « bélier », s’enfonçant avec force en elle. Ses mains se crispaient sur les hanches de Malaurie, et se déplaçaient aussi. Il tirait volontiers sur les cheveux de Malaurie, en serrant sa coiffe en latex, tirant dessus, et il la fessait également, claquant ses fesses. Pendant cette phase, Chengzu parlait peu. Il avait déjà beaucoup dit, et il savait que ses mots avaient fait mouche. Pouvait-elle se passer de cela ?

*
Je sais que tu adores ça, Malaurie, je le vois dans ton regard… Et tu voudrais t’en priver ? Nous en priver ?*

Voilà ce que ses yeux disaient tandis qu’il la prenait, encore et encore. Elle ne pouvait rien faire, elle lui appartenait. Après vingt minutes ainsi, Malaurie lui demanda de la prendre comme il le faisait avec Theorem. Chengzu sourit, et se pencha alors contre Malaurie. Il s’abattit sur son dos.

«
Très bien, mon amour… Pose ta main sur ma nuque… »

Tandis qu’elle faisait ça, lui passa ses mains sous ses jambes, et se redressa ensuite en relevant ses jambes. Sa verge coulissa hors du cul de Malaurie, et il remonta ses mains pour les poser derrière la nuque de Malaurie. Ses jambes se relevèrent également en suivant le rythme, et il descendit du lit, puis se posta devant le miroir. Derrière elle, il bandait ses muscles, sa verge flattant le corps de la jeune femme. L’exercice était éprouvant, tant pour elle que pour lui, car il maintenait ses jambes dans une posture assez improbable,  Chengzu soupira ensuite, et la regarda par le miroir, sentant sa mouille sur sa verge. Il l’embrassa dans le creux du cou.

«
Je ne veux pas que tu partes, Malaurie. Ce que nous vivons, toi et moi, c’est unique. Theorem est un excellent amant, mais il est bien trop soumis… Et je sens ta mouille sur ma queue. Tu es tellement parfaite, comme ça... Forte et passionnelle, tu ferais une Infernoise magnifique, tu sais… »

Il banda ses muscles, et fit glisser Malaurie en bas, pour que sa verge retourne en elle, s’enfonçant à nouveau dans son fondement. Il soupira lentement, griffant légèrement sa nuque, et lécha encore son creux du cou.

«
N’aie pas peur de ce que tu es devenue, Malaurie… Tu l’as toujours été… Tu es destinée à devenir une Von Nacht ! »

Ses canines s’enfoncèrent alors dans le creux du cou de Malaurie, et il commença à la sucer, buvant un peu de son sang, tout en la sodomisant en full nelson !

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 17:59
par Malaurie Odessa
Malaurie n'aurait pas imaginé qu'elle se ferait baiser comme ça jusqu'au moment où elle réalisa enfin ce que c'était que le full nelson dont Theorem lui avait si longuement parlé. Elle qui s'était juste imaginé une position un peu élaborée pour le sexe, une énième page du kama sutra à expérimenter, vivait quelque chose de totalement différent. Coincée dans les bras puissants du bélier, elle se sentit d'abord totalement prise au piège. Mais avec le reflet dans le miroir, c'était encore plus avilissant. Malaurie s'était toujours trouvé sexy. Ce n'était pas la première fois qu'elle se touchait parfois en regardant son reflet... Mais là elle assistait à sa propre baise. Chengzu n'arrêtait pas de la tenter, de lui dire ce qu'elle voulait entendre... Elle se répétait que ce n'était qu'un dragueur invétéré, qu'il ne chercherait probablement pas à la garder si elle devait valider ses sentiments profonds... Mais franchement plus il en parlait et plus c'était tentant... Se dire qu'elle pourrait vivre ça tous les jours...

"Genre tu dirais me préférer à Theorem ?... J'ai du mal à y croire-Aaah ! Aaaaaaahhh !!! M... Moooo ! MoooHooHooooOOOOOOOO !!!"

La verge tendue de son amant s'enfonça dans son fondement et, coincée dans ses bras, elle ne pouvait plus s'échapper de cette prise de soumission. La vachette ne put absolument pas contenir ses cris de plaisir avant de meugler comme une bête quand les crocs du vampire pénétra la chair de son cou. Sa chatte détrempée, laissée sans attention, déversa une bonne quantité de fluide qui s'abattit sur le miroir. Dur pour Malaurie de localiser efficacement son plaisir, mais il irradiait dans tout son être. Elle jouissait, de son cul à son cerveau. Mêmes ses orteils se contractèrent sous cet afflux de plaisir, ses mains se crispèrent sur Chengzu. La Ushi eut les yeux fuyants vers le haut et elle tira sa langue de plaisir alors qu'elle se faisait si durement baiser. Son esprit au complet s'inondait dans les endorphines et elle ne pouvait plus penser. Tout ce qu'elle pouvait savoir là, c'était le plaisir qu'elle ressentait et à quel point elle était heureuse. D'ailleurs ça se voyait sur son visage tant elle était bien et dans un orgasme continuel.

*It feels so gooood ! I'm becoming a real slut ! I want moooooore !!!*

La religieuse orgasma plusieurs fois d'affilé, éjaculant comme une fontaine à quatre reprises avant de tourner de l'oeil dans les bras du bélier. Elle eut une sorte de syncope alors que ses songes furent soulignés de scènes sexuelles et intensives. Quand enfin elle se raccrocha à la réalité, ce fut au son d'un bruit répétitif, d'un mouvement régulier... Elle était couchée sur le dos et Chengzu la besognait encore. Sa main droite se masturbait visiblement avec une intensité rare alors qu'elle était en train de se faire sodomiser par Chengzu. Sa frénésie sexuelle avait sûrement libérée quelque chose en elle alors qu'elle reprit doucement ses esprits, bien que le plaisir l'obscurcissait encore.

"Haaan Chengzu... On pourrait... han... On pourrait vraiment... vivre ça tous les jours... alors que tu aimes Theorem... et Ishtar ?..."

Malaurie aimerait se convaincre que c'était impossible... Car la seule possibilité où elle serait contenté sexuellement comme ça régulièrement... Et la Bête en elle lui ferait vouloir rester... Bien sûr qu'elle aimait Ruby, de tous son coeur... Mais peut être qu'elle l'aimait plus comme... un frère ?... Alors que Chengzu, il devenait un peu comme son homme ?... La religieuse posa ses mains sur ses pectoraux, soupirant doucement, attendant sa réponse comme en contenant son orgasme le plus longtemps qu'elle le pouvait...

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 18:00
par Chengzu von Nacht
Elle était en train de craquer, et ce dans tous les sens du terme. Chengzu s’en amusait, mais en était aussi excité. Ishtar lui avait bien dit de ne pas s’en faire, et que, au fond, Malaurie voulait juste faire son intéressante. Qui aurait pu repousser un tel homme, après tout ? Somme toute, Chengzu avait beau être un dominateur, il n’avait pas en lui l’assurance franche et posée d’Ishtar. Mais, maintenant, il le sentait, oui, Malaurie lui appartenait. Il la prenait donc fort, y allant franchement, comme il pouvait le faire avec Theorem, si bien que Malaurie avait cessé de parler, et bavait sur place. Elle commençait à divaguer, délirant en étant semi-absente. On pouvait entendre les claquements répétés et frénétiques de sa verge qui tapaient dans le con trempé de sa partenaire. Quand il finit par jouir en elle, Chengzu soupira longuement, après une bonne demi-heure à la baiser sans ménagement. En sueur, sentant le latex frotter sur sa peau, il expulsa d’épaisses quantités de foutre dans sa chatte, et la laissa retomber sur le lit.

Malaurie tomba dessus. Elle respirait encore, mais clignait des yeux, de manière évasive. La pièce se remplissait déjà de cette délicieuse odeur, mélange de sueur et de sexe, le tout renforcé par la chaleur. Respirant lourdement, Chengzu vit son sperme dégouliner de sa chatte, et se pencha sur elle. Il la coucha sur le flanc, et se lova contre elle, se glissant ensuite dans son fondement. Malaurie gémit alors, et commença à retrouver peu à peu ses esprits, tandis qu’il avait diminué le rythme, la pénétrant plus longuement. Malaurie commençait à avoir l’esprit lucide, et caressa ses pectoraux. Il sourit, et elle put constater qu’il avait retiré ses lunettes. Maintenant qu’il était devenu un vampire, il n’avait aucun problème de vue, et les portait simplement pour se donner un style.

«
Hummm… On le pourrait, oui… Tu as déjà rencontré Theorem, non ? Il sait pour nous… »

Chengzu soupira lentement, et l’embrassa alors, tout en pelotant l’un de ses seins, le compressant à travers sa robe. Il avait ralenti le rythme, comme pour pouvoir mieux parler avec elle.

«
Quand je suis arrivé dans cette famille, j’étais comme toi, tu sais… Désorienté, perdu. Theorem et Ishtar me semblaient être… Complets l’un à l’autre. Et puis… J’ai compris qu’on pouvait aimer plusieurs personnes. Chacun d’eux m’apporte… Des choses différentes. Avec Theorem… Je peux l’aimer et le soumettre, m’amuser à le dominer, à le punir, à me délecter de sa servitude, de ses couinements. Cela répond à l’une de mes facettes, à plusieurs pulsions. Avec Ishtar… Cela répond à d’autres pulsions. Nous faisons l’amour différemment, elle et moi, et souvent avec d’autres personnes. Est-ce que cela te semble si inconcevable ? Être une Malaurie avec quelqu’un, et une autre Malaurie avec une autre personne… »

Il soupira encore, et l’embrassa dans le creux du cou. Tout en parlant, il l’embrassait souvent, et pelotait ses seins, les embrassant et les mordillant à travers sa robe. Sa verge s’enfonça également dans sa chatte, se retirant de son fondement. Tout en faisant cela, pour maintenir la porte arrière de Malaurie en état d’utilisation, il glissa un plug anal en elle, puis glissa sa verge dans sa chatte trempée.

«
Ce n’est pas une question de préférence, mais d’expérience différente. Avec toi, je peux expérimenter des choses que je ne peux pas avoir avec Theorem ou avec Ishtar, mais ça ne signifie pas… Que je fais un concours entre vous. Chacun d’entre vous, vous me complétez, tout comme Ruby t’apporte des choses que je ne peux pas t’apporter… »

Il remuait plus lentement, modifiant le rythme, mais pour rester sur un mouvement relativement fluide, plus adapté à cette conversation.

«
Cesse de nier l’évidence, Malaurie. Toutes les fois où je t’ai invité et où tu es partie en disant ne jamais revenir… Et, pourtant, tu es là, à jouir contre ma bite. Tu as besoin de moi. Et j’ai besoin de toi. Tu me rappelles celui que j’étais en rejoignant cette famille, l’étrangère qui se trouve une place. Tu seras ma partenaire idéale. Je te veux comme tu es, forte, dominatrice, capable de dominer Theorem avec moi, et de te faire baiser pendant des heures par moi et par Ishtar. Je ne souhaite même pas que tu choisisses entre moi et Ruby. Ruby peut rester ton amant, il peut croire que tu n’as personne d’autre… Ou devenir ton esclave sexuel, si tu le souhaites. Je te laisse choisir… Moi, j’aime l’idée de te sauter quand il est là, l’idée qu’il dorme avec toi sans se douter que mon odeur est sur toi… Et je sais que ça t’excite… Sinon, tu ne serais pas revenue en me parlant de lui. Tu en as envie, comme moi… Qu’il ne puisse plus te toucher pendant que je te baiserai comme jamais. Tout ce que tu as à faire, c’est d’accepter ce que tu veux, Malaurie… Deviens mienne, deviens une von Nacht, accepte de m’épouser… Je veux lier ma vie à la tienne, que tu fasses partie de ma famille… »

Aurait-il été au poker qu’on aurait pu dire qu’il avait fait tapis. Qu’allait-elle répondre, maintenant qu’il s’était lancé ?

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 18:00
par Malaurie Odessa
Tout en se faisant longuement et puissamment baisé en missionnaire, Malaurie ne pouvait pas quitter Chengzu du regard. Il lui pelotait ses seins tout en l'embrassant, continuant un vas et vient lent mais intense. A ce rythme, Malaurie appréciait le sexe et savait qu'elle pourrait baiser de la sorte pendant des heures... Ca aurait été du sexe tellement long et puissant qu'elle se disait qu'ils pourraient baiser comme ça pendant des heures. Avec un plug désormais en elle, la sensation de se faire prendre était encore plus appréciable. Ca la rendit encore plus réceptive aux phrases du bélier qui tout en la besognant cherchait à la convaincre, d'apposer le point final à la chose.

"Tu es l'ange de la tentation, Chengzu..."

Puis enfin il aborda l'idée de la baiser dans le dos de Ruby, que ce dernier n'apprenne jamais pour leur relation... En plus si Chengzu voulait se marier avec elle, et bien ça faisait de Ruby un simple amant qui pensait être en couple avec elle. Elle se mordilla la lèvre inférieure en imaginant sans mal ces moments où elle allait cocufier Ruby dans son dos, l'embrasser après qu'elle ait pompé le bélier, avoir une ceinture de capotes sous sa robe quand elle le câlinerait... Sa main droite se décala pour aller flatter son clitoris sous les mots de Chengzu et pendant que son imagination turbinait.

"Faire ça à Ruby..."

Mais son imagination lui offrait tous les scénarios les plus croustillants. Elle pouvait s'amuser, vivre cette vie sexuelle débridée, s'adonner à la bête à deux dos avec Chengzu. Elle ne se sentait pas trop bisexuelle mais sûrement que le faire avec Ishtar serait tout aussi puissant. Dominer Theorem ? Pourquoi pas, mais il était très mignon aussi... Malaurie eut les yeux qui se révulsèrent sous une vague de plaisir avant de résister à l'orgasme, ramenant ses yeux droit dans ceux du bélier. Elle résista encore, serrant les dents alors qu'elle frottait son clitoris avec intensité. Elle sentait ses mamelons poindrent et se mettre à lacter. Elle jeta un regard implorant à Chengzu pour avoir l'ultime stimulation qui la manquait et sans qu'elle saisisse si son regard avait tout dit ou si Chengzu l'avait deviné pour cette étape finale, mais la poigne du bélier saisis sa gorge. Malaurie arqua aussitôt son dos, basculant sa tête en arrière avant de lâcher un cri de bête inhumaine et bovine. Elle chercha à s'agripper aux draps ou au corps du bélier avant qu'un jet puissant de cyprine n'éclabousse le bas-ventre de Chengzu.

"I'm a bad giiiiiiiiirrrrrrrllllllllllllll............"

Lâcha-t-elle dans un grand soupire en post orgasme. Elle redescendit doucement, redevenant molle dans le lit alors qu'elle chercha à voir Chengzu à nouveau et à l'embrasser, tirant ses bras vers lui. Elle redescendit mais en vrai elle resta chaude et excitée, son vagin se contractant plusieurs fois autour de la queue du bélier.


"Gnnn... J'ai envie de toi, Chen... Promet-moi de t'occuper de moi comme ça toutes les nuits... Et nous verrons si Ruby peut vivre sans le voir..."

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 18:01
par Chengzu von Nacht
Chengzu avait abattu toutes ses cartes. Un véritable tapis. Il savait que c’était là le point de bascule, le moment de non-retour. En comparant sa situation à celle de Malaurie, il les rapprochait, et il les normalisait. Chengzu ne faisait que dire la vérité, il ne cherchait pas en soi à manipuler Malaurie en lui vantant de fausses promesses, il ne faisait qu’énoncer ce qui, à ses yeux, relevait de l’évidence. Sa solide verge restait nichée dans le con de la jeune femme, même si le rythme avait ralenti. Il entretenait la flamme, tandis qu’elle acceptait l’idée de devenir sienne, de devenir son épouse. Chengzu sourit joyeusement, et ce sourire ressemblait aux sourires innocents qu’il pouvait faire jadis, avant de devenir un vampire. Elle jouit contre lui, et il soupira contre son cou, léchant sa peau, la titillant de ses crocs. Il la fit jouir sous ce rythme lent, excitant, l’excitant davantage par ce qu’il disait, par ce qu’il promettait, que par ce qu’il faisait.

Ils s’embrassèrent à nouveau, sa verge toujours tendue.

«
Toutes les nuits, ma chérie ? Vraiment ? »

Le vampire souriait joyeusement, et retrouvait sa nature de prédateur. Il embrassa Malaurie dans le creux du cou, et sa queue durcit encore.

«
Sache que je ne passe pas mes nuits seul, Malaurie. Tu pourras être avec moi chaque nuit, ainsi qu’avec les autres. Theorem, Ishtar, et les autres concubines que nous prenons avec Ishtar. Il serait sans doute loisible que tu invites Ruby à revenir… Vous disposez après tout d’un appartement, et il suffirait que nous transférions ta chapelle dans notre manoir pour pouvoir amplement justifier que tu ne viennes pas avec lui chaque soir… »

En disant cela, Chengzu devenait plus fébrile, imaginant déjà toutes les manières dont il pouvait baiser Malaurie dans le dos de Ruby. Le saurait-il un jour ? Peut-être quand Malaurie deviendra enceinte, si le bébé ressemble davantage à son père qu’à sa mère… Mais, même dans ce cas de figure, il ne souhaitait pas pour autant évincer Ruby. En tant que prédateur, Chengzu était sans pitié. Avoir un Ruby asservi, condamné à voir sa femme se faire sauter par lui, voilà qui l’excitait presque tout autant que l’idée qu’elle le trompe sans qu’il le réalise, qu’il enfonce sa queue dans sa chatte sans se douter qu’elle était déjà ruisselante et imbibée du sperme de son vrai amant…

Chengzu cligna des yeux, et souleva les jambes de Malaurie. Il les plia ensuite en les relevant bien haut, puis en les rabattant vers la tête de sa partenaire. C’était une variante du missionnaire, une position plus intense, la position de l’enclume. Chengzu grogna en amplifiant le rythme, sentant la robe violette de Malaurie crisser avec délice, luisant sous ses yeux.

«
Ce n’est… Que le début, ma chérie… Ce soir, tu rejoins ma famille, alors Theorem nous rendra visite, puis Ishtar… »

Il ne voulait pas en faire sa simple amante soumise. Chengzu savait que Malaurie avait en elle le potentiel d’alterner entre les positions, et c’était cela qu’il voulait développer chez elle au cours de cette longue nuit…

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 18:01
par Malaurie Odessa
Malaurie avait orgasmé plusieurs fois déjà ce soir. Quand Chengzu la prit dans la position de l'enclume, elle ne tarda pas à jouir une autre fois, très rapproché de son précédent orgasme. La pauvre ne comprenait plus grand chose et son corps en sueur était devenu l'offrande à son amant. Quand enfin elle revint doucement à elle, la Ushi se faisait doucement prendre en missionnaire, probablement juste après que le bélier ait reposé son dos sur le lit. Elle embrassa plusieurs fois ce dernier avant d'entendre une voix s'élever à côté d'elle.

"Tu apprécies te faire sauter par cette grosse bite, la vachette ?!"

Theorem était assis à côté d'elle, visiblement juste en bikini de latex noir et portant ses gants et ses bas noir. Il ne quittait pas des yeux la jeune femme alors qu'il caressait sa cage de chasteté à travers le latex noir ainsi que sa poitrine. Le jeune Haiena semblait un peu en colère mais surtout frustré de voir son homme autant concentré sur sa partenaire. Il se mordilla la lèvre inférieure avant d'embrasser Chengzu avec envie, roulant sa langue avec la sienne. Malaurie regarda la scène alors qu'elle se faisait encore besogner. Chengzu put la mettre sur ses genoux avant de saisir sa queue de Ushi et de l'empaler sur sa verge à nouveau, en anal. Theorem était scandalisé.

"Hey c'était mon tour de prendre sa queue !"

Il se mordilla le pouce en les regardant faire, cherchant à tout prix l'attention de son homme. Malaurie de son côté ne manqua pas de regarder son reflet car tout en se faisant durement sodomiser par le bélier, elle pouvait voir Theorem embrasser Chengzu et chercher à remplacer la Ushi pour ce soir... Mais le sexe de Chengzu l'amena rapidement à un autre orgasme avant qu'elle n'éclabousse de nouveau le drap de latex sous elle d'une giclure de cyprine. Enfin, son cul resta au calme quelques secondes, car Theorem vint se mettre à côté de Malaurie, alignant son cul avec le sien avant de se faire ramoner à son tour. Le femboy poussa plusieurs soupires de plaisir avant de totalement s'abandonner. Malaurie lâcha un cri de surprise quand son sexe délaissé reçu la visite des doigts de Chengzu. La soirée ne faisait que commencer visiblement...

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 06 nov. 2024 18:03
par Chengzu von Nacht
Chengzu avait accompli un premier succès : convaincre Malaurie de vivre avec lui. Il restait maintenant l’étape cruciale : la faire accepter au sein de sa famille. Ishtar ne serait pas difficile à convaincre, mais Theorem… Chengzu savait que ce serait différent. Il savait que lui serait jaloux, car lui-même avait été jaloux de sa relation avec Akimbo. Somme toute, il avait aussi fallu l’intervention de Malaurie pour que Chengzu se montre moins égoïste. Il appela donc Theorem pendant que Malaurie comatait après l’avoir fait jouir encore. Chengzu s’était alors détendu en fumant une cigarette, et envoya à Theorem un SMS :

Phase 1 terminée. Malaurie est prête à passer à la suite. Rejoins-nous, mon chéri.

Le temps qu’il arrive, Chengzu recommençait déjà à coucher avec Malaurie. La Ushi était très impressionnante, et Theorem put grimper sur le lit, et chercha à s’imposer, visiblement frustré de voir que Malaurie s’accaparait l’attention du bélier. Il finit par s’agenouiller à côté d’elle, et Chengzu s’enfonça dans le cul de Theorem, sous le regard choqué de Malaurie. C’était un point qu’il devait tuer dans l’œuf, il ne voulait pas de jalousies déplacées entre eux deux.

«
Malaurie… Theorem… Quand Theorem est sorti avec Akimbo, j’ai eu les mêmes pulsions que vous… La jalousie, l’incompréhension, l’envie de m’imposer sur ce rival. Cela aurait pu compromettre notre famille. J’ai dû accepter les choses, et tu dois aussi les accepter, Malaurie… »

Il fit signe à Alice. En tenue de maid, avec ses dizaines de cadenas sur le corps, elle se rapprocha lentement. C’était elle qui avait guidé Theorem ici, dans cette chambre. Elle se rapprocha de Malaurie, et lui sortit, en amenant un plateau en argent comprenant un solide strap-on violet en latex, avec du lubrifiant à côté. Le strap-on comprenait aussi deux vibromasseurs orientés vers l’intérieur.

«
Tu n’es pas une soumise, Malaurie… Ces pulsions que tu as en toi, elles sont similaires à celle que Maître Chengzu avait quand je l’ai rencontré. Il était alors lui aussi en train d’hésiter. Maîtresse Ishtar a fait de lui un dominant, mais toi… Toi, tu dois être entre les deux. Tu seras leur soumise, mais aussi la Maîtresse de Theorem. »

Tandis qu’elle parlait, Chengzu serrait d’une main les longs cheveux de Theorem, tirant dessus pour redresser son corps, tout en le fessant fortement. Alice aida Malaurie à se relever, et lui mit le strap-on. Elle soupira doucement en reniflant le sperme de son Maître, semblant se rappeler qu’il y avait bien longtemps que Maître Chengzu ne l’avait pas baisé ainsi. Elle aussi aurait pu en être jalouse, mais c’était après tout son choix que de devenir la parfaite soumise de Maîtresse Ishtar.

«
Tu me ressembles, tu sais… Face à Maîtresse Ishtar, je me comporte comme la dernière des putes, mais, quand je vois Theorem, j’ai juste envie de le punir… De le baiser fort, de le faire couiner. Regarde le pied qu’il prend, et la manière dont il t’a qualifié… Vachette. J’ai entendu dire que tu cassais la figure des gens qui te parlaient mal dans les tavernes. »

Alice se redressa après avoir serré le strap-on, et se lova dans le dos de Malaurie, puis baisa le creux de son cou, tout en malaxant ses seins.

«
Baise ses lèvres, qu’il apprenne à te respecter. »

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 16 nov. 2024 08:12
par Malaurie Odessa
Malaurie n'était pas encore habituée à ce climat de domination, de jeux sexuels et de perversité. Quand Alice lui installa son strap on, elle ne put s'empêcher de gémir mais cacha une partie de son visage avec sa main tout en sentant les deux godes entrer en elle. Alice essayait de la corrompre, de la transformer... Mais là elle était tellement chaude de cette baise qui n'en finissait pas qu'elle avait déjà quasiment relâché la bête. Une fois les sangles bien serrées autour d'elle, la Ushi s'approcha du couple en train de baiser. Elle observa Theorem se faire sauvagement défoncer avant de venir doucement lui caresser les cheveux pendant qu'il se faisait prendre rudement. Mais elle finit par poser sa main sur la hanche de Chengzu, cherchant à les écartés.

"Laisse-moi faire, handsome."

Elle appliqua généreusement du lubrifiant sur son jouet avant de voir Theo s'écrouler sur le lit de s'être fait ouvrir le cul par son Maître. Malaurie ne tarda pas à se placer derrière Theorem, à lui saisir violemment les hanches pour le ramener sur son sexe factice, rentrant en lui d'un seul coup. Theorem ne put s'empêcher de lâcher un petit cri alors qu'elle lui poussa la tête contre l'oreiller, le faisant taire.

"Silence bitch ! Take it like the cock whore you are !"

Elle empoigna solidement son soumis et commença à le besogner avec une vigueur exceptionnelle ! Malaurie avait de la force dans les reins, on ne pouvait le nier. Theorem en faisait l'expérience mais d'une toute autre manière. A chaque impacts sur son cul, le lubrifiant giclait jusque sur le dos du femboy qui se tortillait sous les impacts de la vachette. Au bout de quelques minutes, elle retourna Theorem sur le dos, sans douceur avant de coincer ses bras avec ses mains. Elle commença un mating press bien puissant alors qu'elle observa le facies en extase de Theorem. Elle se lécha doucement les lèvres.

"Tu sais mon mignon... Je ne suis pas lesbienne... Mais je pourrais probablement embrasser une chienne comme toi..."

Soeur Malaurie se baissa... et ils disparurent sous le voile de la Ushi. Mais vu les bruits humides qu'on entendaient, elles échangeaient un baiser bien baveux. Quand elle se redressa, elle laissa un Theorem pantelant, le bas ventre couvert de son propre sperme qui s'était échappé de sa cage de chasteté. La vachette se retira doucement, avant de retirer les sangles qui retenaient le strap on sur elle avant de le laisser choir au sol. Elle venait de vaincre son adversaire alors... Elle gagnait le prix, non ? Son regard vairons se tourna vers Chengzu qui avait eut un beau spectacle.


"The toy was fun... Mais c'est ton gros jouet que je veux..."

Re: Pour une poignée de capotes

Posté : 21 nov. 2024 09:11
par Chengzu von Nacht
Chengzu observait la scène tout en s’enfonçant avec aisance dans le cul de Theorem. Alice habilla Malaurie avec cette culotte spéciale, veillant ensuite à bien serrer le tout avec les sangles. Elle se redressa ensuite, et encouragea Malaurie à aller baiser la bouche de Theorem. Chengzu frémit, s’imaginant déjà au lit avec ces deux beautés, leur faisant l’amour énergiquement tout en les regardant s’embrasser… Il était bel et bien bisexuel ! Malaurie se rapprocha ensuite, et, tandis qu’elle rejoignait lez lit, Chengzu sentait sa nervosité s’évaporer, fondant comme neige au soleil. Elle le surprit même en le repoussant brusquement. Chengzu sortit du fondement de son mari, et descendit du lit. Malaurie redressa les hanches de Theorem. Chengzu se rappelait qu’elle n’était pas qu’un simple trou à foutre, la prêtresse était aussi une guerrière qui s’était illustrée en arrivant à Nachtheim en menant une bagarre dans une auberge, allant jusqu’à déboîter une porte. Chengzu la vit donc s’enfoncer avec force dans le fondement de son amant. Elle grogna également, serrant les dents, avant de l’insulter. Le spectacle était très réussi, et Chengzu alla s’asseoir sur un fauteuil, observant la scène. Alice était également cantonnée au rôle de spectatrice. Elle regarda brièvement le sexe à l’air libre de Chengzu, puis décida plutôt de filmer la scène, consciente que ce genre de vidéo plairait sans doute à Ishtar.

Malaurie y allait brutalement, sans grande finesse, mais cela n’était pas un problème. C’était la première fois qu’elle goûtait à la domination, à ce frisson de pouvoir, ce délectable sentiment d’omnipotence, de contrôler le corps de son amant. Il ignorait si elle allait y prendre goût, mais lui se régalait !

«
C’est bien, ma chérie, rappelle-lui qu’il est notre soumis ! »

Les minutes défilaient tandis que Malaurie continuait à se glisser en lui, faisant crisser sa tenue en latex, les claquements secs du gode heurtant les parois anales de Theorem résonnant dans la chambre. Chengzu avait toujours une queue bien tendue, et vit Malaurie retourner Theorem. Celui-ci avait du mal à parler, ayant sur son visage un regard de dément. Le plaisir l’envahissait, et Malaurie releva ses jambes, puis se pencha vers lui. Elle opta pour une position de l’enclume solide, et se pencha sur lui. Son voile recouvrit le visage de Theorem, leur offrant une capsule d’intimité, qui se traduisit par un baiser fiévreux entre les deux amants. Chengzu sentit au rythme cardiaque de Theorem qu’il était en train de jouir. L’image était en tout cas très réussie, et sa verge s’élança durement, le faisant frémir.

Malaurie se redressa ensuite, et défit le strap-on, puis le jeta au sol. Celui-ci était bien humide, et elle se tourna alors vers Chengzu, qui sourit, et se redressa alors.

«
Tu m’as interrompu en plein acte, tu sais… Tu es moins soumise que tu aimes à le croire, ma chérie… Mais oui, tu étais très chaude ! »

Il rejoignit Malaurie, et la mit à quatre pattes, au-dessus de Theorem.

«
Je veux que Theorem te voie jouir quand il reprendra ses esprits… Qu’il sente tes gros seins remuer sur sa poitrine… »

Un bon mari n’oubliait jamais totalement son époux ! Chengzu glissa ensuite sa verge dans la chatte trempée de Malaurie, et frémit sur place. Après un tel spectacle, il dut faire appel à sa concentration pour ne pas jouir trop vite. Chengzu se relâcha néanmoins au bout de quelques minutes, mais conserva la dureté de sa verge, continuant à baiser Malaurie. Alice, de son côté, continuait à filmer, et envoya un SMS à Ishtar :


Phase 2 terminée, Maîtresse. Vous pouvez venir quand vous le voulez.

Le message était adressé au dernier membre de la famille von Nacht. Pour que Malaurie les rejoigne, il fallait l’achever, et, pour cela, Chengzu comptait poursuivre cette séance de baise avec sa femme, Ishtar… Ainsi, la famille von Nacht serait au complet pour accueillir leur nouveau membre !