[Rumekistan] We're warriors, unstoppable... (PV Wonder Woman)
Posté : 07 nov. 2024 01:07
Jeannie incarne:

Alix Cindra Erling, Super héroïne à temps partiel et badass extraordinaire

Alix Cindra Erling, Super héroïne à temps partiel et badass extraordinaire
De façon générale, quand je m’attaque au crime, le but est de leur donner une bonne leçon. Casser des gueules, monter à ces salopards que la justice a troqué l’épée pour une paire de poings et qu’elle cogne dur. Vraiment dur. Bon, c’est sûr que depuis ma rencontre avec une certaine gammazone et le fait qu’apparemment, au moins une organisation m’a dans le collimateur (le SHIELD), j’ai quand même décidé d’y aller un peu plus mollo. À ce qu’il parait, vous démolissez un connard qui vient de poignarder douze innocents, avec une centaine de témoins, les caméras et tout le bazar et ce pourrait être utilisé au tribunal pour le faire libérer. L’imbécilité colossale du système me donne envie de hurler mais bon. J’ai promis de faire des efforts et jusqu’à présent, cela fonctionne plutôt bien. Sauf, bien sûr, si c’est ELLE qui est impliquée. Là? Je ne réponds plus de rien.
De penser que nous partons, techniquement, de la même source et qu’elle puisse utiliser ainsi ses pouvoirs… C’est ma mission, mon but dans la vie que de la neutraliser et de mettre un terme à ses manigances. Et je réussirai. Pas parce que dans la fiction, le gentil gagne toujours contre le méchant. Non. Parce que contrairement à bien des super héros, quand il faut faire le nécessaire, je ne flanche pas, moi. On ne peut pas négocier avec des fanatiques. Vous ne les ferez pas changer d’idée. Comme le disait Winston Churchill dans le film Darkest Hour : Vous ne pouvez pas raisonner avec un tigre quand votre tête est déjà dans sa gueule. On ne peut pas négocier avec des gens qui sont déjà prêts à tout pour une cause car la diplomatie, la logique et la raison n’auront aucun effet sur eux. Si vous choisissez autre chose que la neutralisation, alors ils ont déjà gagné. Il y aura des victimes innocentes.
Ce qui nous amène dans un pays d’Europe dont vous n’avez probablement jamais entendu parler, le Rumekistan. C’est tout près de l’Ukraine, pour vous situer, avec un accès direct sur la mer noire. Et c’est plein d’anciennes caches d’armes, laboratoires et bases militaires abandonnées de son époque sous l’URSS et post URSS quand le pays était en proie à l’instabilité. Or, il s’avère que les cultistes de ma Némésis on récemment découvert, je ne saurais dire comment, un bunker souterrain contenant des armes nucléaires. Évidemment, des armes nucléaires des années 60, ça n’a pas le punch des armes modernes mais une bombe atomique reste une arme dangereuse. Et parlant de danger, c’est quelque chose de radicalement différent de ses plans habituels. À quoi joue-t-elle? Elle veut déclencher une guerre mondiale? Difficile à dire. Mais je finirai par le découvrir. Et je la stopperai.
Donc, l’ancienne installation souterraine a en surface les ruines d’une ancienne base militaire et bien entendu, ces salopards de cultistes ne vont pas me faire la vie facile. Ceci dit, il faudra plus que des mitrailleuses et des grenades pour venir à bout de quelqu’un comme moi. Et je ne serai certainement pas douce dans ma façon de faire les choses. J’ai fait le calcul. Il y a quoi? Une cinquantaine de cultistes, maximum, à la surface? Et un nombre indéterminé en train de chercher les bombes dans le bunker. Admettons qu’au gros maximum ils sont une centaine. Admettons. Une bombe nucléaire va tuer des milliers. Et blesser encore plus et ruiner potentiellement la vie de millions. Alors pour moi, le choix est simple. Neutraliser ce nombre de fanatique pour le bien du plus grand nombre ne me dérange absolument pas. Et s’il faut passer en mode létal, je passerai en mode létal.
Je fonce dans le tas comme un bulldozer et les sentinelles n’ont même pas le temps de donner l’alerte qu’elles viennent de se prendre en pleine tête deux projectiles à base de roche. Le camion prévu pour le transport des bombes est démoli avant même qu’ils réalisent ce qui s’est passé mais l’alerte est donnée peu après et un violent affrontement s’engage. Je sais ce qu’ils font. Ils veulent gagner du temps. Ce qui veut dire que soit ils ont un plan B, soit ils ont un type d’ordre que je n’aime vraiment pas. Vous savez, dans le genre, si on ne peut pas l’avoir, personne ne pourra l’avoir? Mais là, on parle de bombes atomiques. Ça devient donc une course contre la montre. Si ces bombes explosent et que les portes du bunker sont grandes ouvertes… Nous allons nous retrouver avec une catastrophe nucléaire sur les bras qui va faire passer Chernobyl pour de la rigolade.
Après quelques minutes d’un violent affrontement où je n’étais clairement pas en danger, toutes les forces ennemies en surface sont neutralisées. Je me rue à l’intérieur du bunker, presque désespérée de trouver le fanatique en chef avant qu’il ne soit trop tard. Je fonce et défonce tout ce qui se trouve devant moi. C’est pratique de pouvoir manipuler la matière. Ou vous augmentez votre propre résistance ou vous affaiblissez celle de ce qui se trouve devant vous. Je finis par repérer ma cible et je l’attrape par la gorge avant qu’il puisse faire quelque chose de vraiment, vraiment, vraiment dangereux. Pourquoi est-ce qu’Elle vous a envoyé voler des armes nucléaires, que je lui demande. C’est un sacré pas entre avoir un culte et ce niveau de terrorisme, ajoutais-je. J’aurais dû m’en douter. Ce débile commence à parler d’une nouvelle ère, d’un changement du rapport de force et je ne sais quelle ineptie.
Et là, il se produit la pire chose imaginable. Une voix autoritaire me dit de « lâcher cet homme ». Ok, je l’avoue. Je suis couverte de sang. Pas le mien, bien entendu. Et techniquement, les cultistes sont habillés en militaires, ce qui est logique si vous voulez passer inaperçu. Donc, pour un œil extérieur, on dirait que je viens de prendre d’assaut une base militaire désaffectée et que j’ai attaquer les forces militaires locales… Donc J’AI l’air de la méchante de l’histoire. Et je suppose que rouge et noir pour mes vêtements, ça ne doit pas aider des masses non plus. Par réflexe, je tourne la tête pour dire : ce n’est pas le moment de me faire chier… Et c’est l’opportunité que le cultiste en chef attendait. POUR LA DÉESSE! Crie-t-il avant d’appuyer sur le détonateur. MERDE, que je gueule avant de le lancer contre le mur. Ouh… Au craquement sonore, il ne se relèvera pas… COURS!
C’est ce que je dis à l’autre. Je n’ai pas beaucoup de temps mais je dois tenter de minimiser la catastrophe. S’il y a des portes, je les ferme. S’il n’y en a pas, je fais s’effondrer le plafond pour bloquer une partie du souffle de l’explosion à venir. Je refais le chemin en sens inverse, le cœur manquant de me sortir de la poitrine. Je ne suis pas formée pour désamorcer les bombes et juste taper dessus, c’est un plan pour un apocalypse improvisé. Me voilà à l’extérieur et je ferme l’énorme porte du bunker et j’utilise mon pouvoir pour la garder fermement en place. Quelques instants plus tard, les bombes explosent et je me dis : ok, ça devrait le faire… Ou pas. Car bien que fortement diminué par mon travail de sape, tout n’est pas arrêté et ce qu’il reste de la force de l’explosion lutte contre la porte du bunker et donc contre moi. Allez Alix, tiens bon… Tiens bon… La pression augmente, augmente, augmente encore…
Et finalement, la porte se fait souffler par l’explosion. Heureusement, je me suis protégée contre les radiations mais ce n’est pas parfait. J’ai l’impression de me faire jeter comme une poupée de chiffon. Je percute un mur renforcé avant de perdre connaissance. J’espère juste avoir réussi à avoir fait d’une cataclysme une catastrophe localisée. Mieux vaut une ancienne base militaire irradiée qu’une partie du pays, moi je dis…
De penser que nous partons, techniquement, de la même source et qu’elle puisse utiliser ainsi ses pouvoirs… C’est ma mission, mon but dans la vie que de la neutraliser et de mettre un terme à ses manigances. Et je réussirai. Pas parce que dans la fiction, le gentil gagne toujours contre le méchant. Non. Parce que contrairement à bien des super héros, quand il faut faire le nécessaire, je ne flanche pas, moi. On ne peut pas négocier avec des fanatiques. Vous ne les ferez pas changer d’idée. Comme le disait Winston Churchill dans le film Darkest Hour : Vous ne pouvez pas raisonner avec un tigre quand votre tête est déjà dans sa gueule. On ne peut pas négocier avec des gens qui sont déjà prêts à tout pour une cause car la diplomatie, la logique et la raison n’auront aucun effet sur eux. Si vous choisissez autre chose que la neutralisation, alors ils ont déjà gagné. Il y aura des victimes innocentes.
Ce qui nous amène dans un pays d’Europe dont vous n’avez probablement jamais entendu parler, le Rumekistan. C’est tout près de l’Ukraine, pour vous situer, avec un accès direct sur la mer noire. Et c’est plein d’anciennes caches d’armes, laboratoires et bases militaires abandonnées de son époque sous l’URSS et post URSS quand le pays était en proie à l’instabilité. Or, il s’avère que les cultistes de ma Némésis on récemment découvert, je ne saurais dire comment, un bunker souterrain contenant des armes nucléaires. Évidemment, des armes nucléaires des années 60, ça n’a pas le punch des armes modernes mais une bombe atomique reste une arme dangereuse. Et parlant de danger, c’est quelque chose de radicalement différent de ses plans habituels. À quoi joue-t-elle? Elle veut déclencher une guerre mondiale? Difficile à dire. Mais je finirai par le découvrir. Et je la stopperai.
Donc, l’ancienne installation souterraine a en surface les ruines d’une ancienne base militaire et bien entendu, ces salopards de cultistes ne vont pas me faire la vie facile. Ceci dit, il faudra plus que des mitrailleuses et des grenades pour venir à bout de quelqu’un comme moi. Et je ne serai certainement pas douce dans ma façon de faire les choses. J’ai fait le calcul. Il y a quoi? Une cinquantaine de cultistes, maximum, à la surface? Et un nombre indéterminé en train de chercher les bombes dans le bunker. Admettons qu’au gros maximum ils sont une centaine. Admettons. Une bombe nucléaire va tuer des milliers. Et blesser encore plus et ruiner potentiellement la vie de millions. Alors pour moi, le choix est simple. Neutraliser ce nombre de fanatique pour le bien du plus grand nombre ne me dérange absolument pas. Et s’il faut passer en mode létal, je passerai en mode létal.
Je fonce dans le tas comme un bulldozer et les sentinelles n’ont même pas le temps de donner l’alerte qu’elles viennent de se prendre en pleine tête deux projectiles à base de roche. Le camion prévu pour le transport des bombes est démoli avant même qu’ils réalisent ce qui s’est passé mais l’alerte est donnée peu après et un violent affrontement s’engage. Je sais ce qu’ils font. Ils veulent gagner du temps. Ce qui veut dire que soit ils ont un plan B, soit ils ont un type d’ordre que je n’aime vraiment pas. Vous savez, dans le genre, si on ne peut pas l’avoir, personne ne pourra l’avoir? Mais là, on parle de bombes atomiques. Ça devient donc une course contre la montre. Si ces bombes explosent et que les portes du bunker sont grandes ouvertes… Nous allons nous retrouver avec une catastrophe nucléaire sur les bras qui va faire passer Chernobyl pour de la rigolade.
Après quelques minutes d’un violent affrontement où je n’étais clairement pas en danger, toutes les forces ennemies en surface sont neutralisées. Je me rue à l’intérieur du bunker, presque désespérée de trouver le fanatique en chef avant qu’il ne soit trop tard. Je fonce et défonce tout ce qui se trouve devant moi. C’est pratique de pouvoir manipuler la matière. Ou vous augmentez votre propre résistance ou vous affaiblissez celle de ce qui se trouve devant vous. Je finis par repérer ma cible et je l’attrape par la gorge avant qu’il puisse faire quelque chose de vraiment, vraiment, vraiment dangereux. Pourquoi est-ce qu’Elle vous a envoyé voler des armes nucléaires, que je lui demande. C’est un sacré pas entre avoir un culte et ce niveau de terrorisme, ajoutais-je. J’aurais dû m’en douter. Ce débile commence à parler d’une nouvelle ère, d’un changement du rapport de force et je ne sais quelle ineptie.
Et là, il se produit la pire chose imaginable. Une voix autoritaire me dit de « lâcher cet homme ». Ok, je l’avoue. Je suis couverte de sang. Pas le mien, bien entendu. Et techniquement, les cultistes sont habillés en militaires, ce qui est logique si vous voulez passer inaperçu. Donc, pour un œil extérieur, on dirait que je viens de prendre d’assaut une base militaire désaffectée et que j’ai attaquer les forces militaires locales… Donc J’AI l’air de la méchante de l’histoire. Et je suppose que rouge et noir pour mes vêtements, ça ne doit pas aider des masses non plus. Par réflexe, je tourne la tête pour dire : ce n’est pas le moment de me faire chier… Et c’est l’opportunité que le cultiste en chef attendait. POUR LA DÉESSE! Crie-t-il avant d’appuyer sur le détonateur. MERDE, que je gueule avant de le lancer contre le mur. Ouh… Au craquement sonore, il ne se relèvera pas… COURS!
C’est ce que je dis à l’autre. Je n’ai pas beaucoup de temps mais je dois tenter de minimiser la catastrophe. S’il y a des portes, je les ferme. S’il n’y en a pas, je fais s’effondrer le plafond pour bloquer une partie du souffle de l’explosion à venir. Je refais le chemin en sens inverse, le cœur manquant de me sortir de la poitrine. Je ne suis pas formée pour désamorcer les bombes et juste taper dessus, c’est un plan pour un apocalypse improvisé. Me voilà à l’extérieur et je ferme l’énorme porte du bunker et j’utilise mon pouvoir pour la garder fermement en place. Quelques instants plus tard, les bombes explosent et je me dis : ok, ça devrait le faire… Ou pas. Car bien que fortement diminué par mon travail de sape, tout n’est pas arrêté et ce qu’il reste de la force de l’explosion lutte contre la porte du bunker et donc contre moi. Allez Alix, tiens bon… Tiens bon… La pression augmente, augmente, augmente encore…
Et finalement, la porte se fait souffler par l’explosion. Heureusement, je me suis protégée contre les radiations mais ce n’est pas parfait. J’ai l’impression de me faire jeter comme une poupée de chiffon. Je percute un mur renforcé avant de perdre connaissance. J’espère juste avoir réussi à avoir fait d’une cataclysme une catastrophe localisée. Mieux vaut une ancienne base militaire irradiée qu’une partie du pays, moi je dis…