Esclave des gobelins [PV]
Posté : 08 nov. 2024 14:30
Sous la houlette de leur nouveau chef, Skazz, la meute des Dents-Pointues venait d’accomplir l’impensable : elle s’était emparée du château-fort de Moriot ! Cette forteresse réputée imprenable était le siège d’un très puissant duché, qui, pendant des années, traquait les gobelins et menait des expériences génétiques et magiques sur eux. Les humains avaient fini par payer le prix de leur arrogance. Skazz avait été l’un de ces cobayes, qui avait fini par s’évader, et avait développé suite aux mutations subies une intelligence accrue. Cette intelligence lui avait permis au mieux d’exploiter sa petite taille. Il s’était emparé d’une meute de gobelins, et avait formé des gobelins d’élite, en faisant des assassins. Skazz et ses gobelins d’élite s’étaient infiltrés dans le château-fort, et avaient fait tomber les défenses principales de la ville. Ils avaient assassiné les principaux commandants et chefs de garnisons, et avaient ainsi réussi à faire tomber la ville.
Aujourd’hui, Skazz avait enfin accompli sa vengeance. Le duc du château lui appartenait, ainsi que sa femme, et leur fille, la duchesse Maëlys. Belle et parfaite, elle s’était toujours opposée aux expériences magiques menées dans les laboratoires alchimiques du duché. Skazz ne pouvait toutefois s’empêcher de la trouver magnifiquement attirante. Elle était à ce jour la principale raison qui expliquait que le duc soit encore en vie. La ville, elle, était aux abois. Il y avait de nombreux morts. Skazz avait déployé sur la ville des attaques de monstres en ouvrant des portes condamnées dans les égouts, libérant des flopées de noyeurs et de goules. Les humains s’étaient réfugiés dans le donjon principal, qui était tombé entre les mains des gobelins. Skazz avait en soi une force de frappe bien insuffisante pour s’emparer du fort de Moriot, mais, grâce à son ingéniosité, il avait réussi l’impensable !
« Tu ne t’en sortiras pas, quand le Roi apprendra ce que tu as fait, il te massacrera, sale vermine ! »
Skazz ricana en se retournant vers le duc.
« Toujours aussi arrogant… »
Il se rapprocha lentement, tandis que les autres gobelins d’élite ayant participé aux meurtres s’étaient également regroupés. Skazz hocha la tête, et l’un des gobelins frappa violemment le duc, qui tomba au sol. Les autres ricanèrent, et l’un des gobelins égorgea l’un des conseillers du duc. Son corps s’effondra sur le sol en se tortillant douloureusement. Skazz se rapprocha de la famille, puis tourna son regard vers Maëlys.
« Initialement, je comptais faire ce que vous avez fait subir à ma famille, duc… Tuer et torturer votre famille sous vos yeux… Mais votre fille est si belle… »
Les doigts crasseux et noueux de Skazz caressèrent la joue de Maëlys, et se saisirent de son menton, pressant ses joues.
« Tu tiens la vie de ta famille entre tes doigts, précieuse duchesse… Mais aussi de tes sujets. Tu vois tous ces gobelins autour de toi ? Nous allons tous te baiser… Tous, sous les yeux de tes parents, et, à chaque fois que l’un d’entre nous jouira, nous épargnerons l’un de nos prisonniers. »
La mère de Maëlys s’étrangla, et l’un des gobelins tira violemment sur ses cheveux, avant de la gifler sèchement, la jetant au sol. Skazz se redressa alors, et se déshabilla rapidement. Il avait une odeur assez atroce, et une solide verge verte qui durcissait contre son ventre rebondi, semblant d’autant plus grosse qu’il était petit. Il souriait cruellement, une lueur de perversité dans ses yeux. Il saisit de lui-même sa verge, et la fourra contre le visage de la femme.
« Tu sais quoi faire, non, ou tu es trop godiche pour ça ? Une salope comme toi a forcément déjà dû s’enfiler un tas de bites joufflues, non ? Sinon, on va se charger de refaire ton éducation, hihihi ! »
Aujourd’hui, Skazz avait enfin accompli sa vengeance. Le duc du château lui appartenait, ainsi que sa femme, et leur fille, la duchesse Maëlys. Belle et parfaite, elle s’était toujours opposée aux expériences magiques menées dans les laboratoires alchimiques du duché. Skazz ne pouvait toutefois s’empêcher de la trouver magnifiquement attirante. Elle était à ce jour la principale raison qui expliquait que le duc soit encore en vie. La ville, elle, était aux abois. Il y avait de nombreux morts. Skazz avait déployé sur la ville des attaques de monstres en ouvrant des portes condamnées dans les égouts, libérant des flopées de noyeurs et de goules. Les humains s’étaient réfugiés dans le donjon principal, qui était tombé entre les mains des gobelins. Skazz avait en soi une force de frappe bien insuffisante pour s’emparer du fort de Moriot, mais, grâce à son ingéniosité, il avait réussi l’impensable !
« Tu ne t’en sortiras pas, quand le Roi apprendra ce que tu as fait, il te massacrera, sale vermine ! »
Skazz ricana en se retournant vers le duc.
« Toujours aussi arrogant… »
Il se rapprocha lentement, tandis que les autres gobelins d’élite ayant participé aux meurtres s’étaient également regroupés. Skazz hocha la tête, et l’un des gobelins frappa violemment le duc, qui tomba au sol. Les autres ricanèrent, et l’un des gobelins égorgea l’un des conseillers du duc. Son corps s’effondra sur le sol en se tortillant douloureusement. Skazz se rapprocha de la famille, puis tourna son regard vers Maëlys.
« Initialement, je comptais faire ce que vous avez fait subir à ma famille, duc… Tuer et torturer votre famille sous vos yeux… Mais votre fille est si belle… »
Les doigts crasseux et noueux de Skazz caressèrent la joue de Maëlys, et se saisirent de son menton, pressant ses joues.
« Tu tiens la vie de ta famille entre tes doigts, précieuse duchesse… Mais aussi de tes sujets. Tu vois tous ces gobelins autour de toi ? Nous allons tous te baiser… Tous, sous les yeux de tes parents, et, à chaque fois que l’un d’entre nous jouira, nous épargnerons l’un de nos prisonniers. »
La mère de Maëlys s’étrangla, et l’un des gobelins tira violemment sur ses cheveux, avant de la gifler sèchement, la jetant au sol. Skazz se redressa alors, et se déshabilla rapidement. Il avait une odeur assez atroce, et une solide verge verte qui durcissait contre son ventre rebondi, semblant d’autant plus grosse qu’il était petit. Il souriait cruellement, une lueur de perversité dans ses yeux. Il saisit de lui-même sa verge, et la fourra contre le visage de la femme.
« Tu sais quoi faire, non, ou tu es trop godiche pour ça ? Une salope comme toi a forcément déjà dû s’enfiler un tas de bites joufflues, non ? Sinon, on va se charger de refaire ton éducation, hihihi ! »