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Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:16
par Arthur Duroy
Gilnéas, Auris
Manoir Lovelight
Le
manoir Lovelight était un très beau manoir, grand et imposant, qui abritait ce soir une réception. La réception était organisée par le propriétaire du manoir, le puissant
Général Dimitri Markov. C’était un membre de la Junte, l’un des dirigeants d’Auris, un héros de guerre qui avait organisé une réception en vue d’une levée de fonds. Tout le gratin de Gilnéas, l’une des plus grandes villes auriennes, s’y rendait donc. Arthur y participait donc. Lui qui était né de basse extraction, dans les bas-fonds de cette ville, il avait su devenir un membre influent. Le rêve d’Arthur était de faire partie de la Junte, chose à laquelle il s’employait en étant devenu un industriel de premier plan. Très riche, Arthur suscitait la méfiance de bien des dirigeants, et avait avec lui son atout fatal, ce joker qui lui avait permis de se hisser jusqu’ici : ses parfums.
Il était venu ici sur invitation de la frivole
Clothilde de Marelle. Clothilde connaissait bien le Général Markov, car son mari était un colonel très souvent absent, actif sur la Ligne de Partage, à combattre les forces uatéennes. Arthur était devenu l’amant et le Maître de Clothilde, et elle contribuait à son ascension. Ce soir, il jouait gros, car Clothilde comptait le présenter à des alliés venant de loin. Son contact était l’une des amantes de Markov,
Imani Anayolla. On soupçonnait cette beauté noire d’être une sorcière. Imani était l’une des amantes de Clothilde, mais c’était aussi par l’intermédiaire d’Imani qu’un rapprochement allait s’organiser ce soir. Cela faisait en effet un certain temps que la Junte d’Auris convoitait les ressources d’un autre État, Herzeleid. Le souhait de la Junte était de s’emparer des secrets de fabrication des armes herzeloises, afin de renforcer leur propre armée. C’était le gallium qui intéressait les Auriens, et Imani était justement en lien avec une Comtesse herzeloise qui disposait sur son terrain de mines de gallium : la
Comtesse Camille Lovegood.
*
Si je parviens à obtenir du gallium, ma place au sein de la Junte est assurée !*
Arthur savait qu’Auris était en train de perdre la guerre. Les Auriens disposaient d’un Empire immense, mais les Uatéennes avaient acquis une avance technologique fulgurante, et assez inexplicable. En moins d’un siècle, les Uatéennes avaient développé des armes terrifiantes, et, sans l’arrivée des Xénos, il ne faisait aucun doute que les forces auriennes auraient été dépassées. Avec du gallium, Arthur espérait pouvoir renforcer les armées auriennes, et ainsi pouvoir inverser la vapeur. Ce soir, Imani avait organisé une rencontre entre lui et Camille. Arthur espérait beaucoup de cette rencontre, et avait donc amené avec lui ses parfums. Il avait déjà mis sur lui son parfum «
Sensuelle », qui suffisait à faire tourner les têtes des femmes sur son passage. Avec sa carrure imposante, Arthur était généralement assez impressionnant.
Clothilde le conduisit donc à Imani, et il vit la jeune femme frissonner en le regardant.
«
On ne m’avait pas menti, Monsieur Duroy, vous êtes… Impressionnant. »
Arthur sourit doucement, et caressa la joue d’Imani, observant son magnifique décolleté, et l’embrassa ensuite. Imani soupira, heurtant le mur, et lui répondit.
«
Je pourrais vous impressionner bien plus, Madame… Mais nous avons une invitée qui attend.
-
Hum… Oui… Pas qu’une, d’ailleurs. »
Arthur fronça les sourcils.
«
Comment ça ?
-
La Comtesse Lovegood est venue en compagnie d’une femme qui, j’en suis sûre, vous fera plaisir, Monsieur Duroy.
-
Je n’aime pas les surprises de ce genre… »
Imani sourit malicieusement pour seule réponse. Arthur la suivit. Ils s’éloignaient de la réception, rejoignant une aile plus réservée. Il y avait un petit salon, et Arthur vit deux hommes qui menaient la garde. Ils portaient des tenues en cuir, avec un pantalon et un harnais sur le torse. Des torses glabres. Arthur les jaugea brièvement, avant qu’Imani n’ouvre la porte. Arthur entra à l’intérieur. La Comtesse Lovegood était là, en compagnie… D’un bébé qu’elle tenait dans ses bras, et d’une femme magnifique, avec une longue chevelure noire dans le dos, qui était assise à côté d’elle sur le canapé, et qui avait sa main posée sur la tête du bébé.
«
Hm… Mesdames… Arthur Duroy. Bienvenue à Auris. J’avais rendez-vous uniquement avec la Comtesse…
-
Bonsoir, Monsieur Duroy. Ne vous inquiétez pas, ma Maîtresse ne vous fera aucun mal, et, à vrai dire, c’est sur ses conseils que j’ai décidé de me rapprocher des Auriens. C’est elle qui décidera, je ne suis que son intermédiaire. »
Les yeux d’Arthur se froncèrent, et fixèrent cette femme, se demandant bien qui elle était…
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:18
par Valeria
Valeria était contente. Les préparatifs avançaient bien, les relations avec Auris avaient pris de l’ampleur et une tournure favorable. Camille et son Cercle de Sorcières avaient bien travaillé. Elles avaient trouvé un angle d’attaque pour s’introduire au sein de la haute société aurienne.
Elles avaient pris langue avec divers notables, jusqu’à dégotter l’oiseau rare, celui dont l’ambition et les moyens leur permettraient d’entrer par la grande porte dans la société. Il se nommait Duroy. Arthur Duroy. Un homme du peuple qui avait réussi à s’élever à force de ténacité, de pugnacité et de talent. Et d’une bonne dose de manque de scrupules aussi, ce qui ne déplaisait pas à Valeria.
Camille avait fait enquêter sur lui. Il devait principalement sa renommée à son talent de parfumeur. Rien de bien formidable en réalité, si ce n’était sa capacité à user de ces parfums pour obtenir ce qu’il désirait. Et là, ça relevait du grand art, voire de la magie. Il était dévoré d’ambition et, comme beaucoup d’auriens, à la recherche de gallium.
Camille avait acheté les fragrances, les avait faites analyser dans ses laboratoires hors de prix. A chaque fois, un ingrédient faisait toute la différence, mais il leur avait été impossible de déterminer lequel avec certitude. Cependant, le nez de Valeria avait identifié les essences sexuelles.
Et c’était là que son intérêt s’était grandement éveillé. Elle avait ordonné à Camille de prendre contact avec cet homme aux dents si longues.
Elles avaient minutieusement préparé ce rendez-vous, sachant parfaitement ce que l’homme désirait et ce qu’elles-mêmes désiraient. Comment parvenir à ce que leurs intérêts se rencontrent ne devrait pas poser trop de problèmes, le Sire Duroy traitant ses affaires sur le même terrain que les deux femmes : la séduction et le sexe.
Elles étaient venues avec Lucrécia, que Camille ne voulait pas abandonner. Camille était devenue un succube de puissance appréciable, ses capacités magiques en progression lui permettant d’accroître sensiblement son aura et sa puissance. La tutelle de sa Maîtresse n’y était pas étrangère, là non plus, car elle passait beaucoup de temps à ses côtés afin de l’instruire et quand elle n’était pas en mesure de le faire, elle avait plusieurs démones sous la main pour prendre le relais.
Sublime dans une tenue hybride femme-homme dans des tons de rouge, Valeria sourit à Camille. Elle était ravie d’en avoir fait son élève. Elle le lui avait déjà montré, avec parcimonie, car il ne fallait pas non plus que Camille croie qu’elle pouvait tout faire sous prétexte que sa Maîtresse l’aimait bien.
Elles avaient été emmenées un peu à l’écart de la réception par la sorcière Imani, leur « ambassadrice » de ce soir. Elles attendaient donc le Sire Duroy dans un petit salon dont la porte était gardée par Lyrev et Audec, qui eux aussi avaient vu leurs compétences et leur pouvoir grimper en flèche dans un registre différent de celui de Camille, même si des capacités de séduction y étaient incluses.
Enfin, elles entendirent une porte s’ouvrir et des pas approcher. Valéria caressa la tête de Lucrécia, adressa un clin d’œil à Camille. C’était parti !
« Hm… Mesdames… Arthur Duroy. Bienvenue à Auris. J’avais rendez-vous uniquement avec la Comtesse…
- Bonsoir, Monsieur Duroy. Ne vous inquiétez pas, ma Maîtresse ne vous fera aucun mal, et, à vrai dire, c’est sur ses conseils que j’ai décidé de me rapprocher des Auriens. C’est elle qui décidera, je ne suis que son intermédiaire. »
L’homme était tel qu’on le leur avait rapporté : grand, élancé, bel homme. La fragrance de son parfum les assaillit rapidement. Valeria sourit. Bien sûr, elles ressentaient l’effet de celui-ci, mais en tant que succubes, elles avaient la capacité d’y résister, même si en fonction de la quantité utilisée ça pouvait se révéler plus difficile.
Valeria le regarda droit dans les yeux, avec cet aplomb séducteur qui faisait frémir les plus purs ascètes.
« Valeria Nantoni. Je suis ravie de vous rencontrer. J’ai beaucoup entendu parler de vous, Messire. »
Elle lui adressa un sourire sans que celui-ci atteigne ses yeux, pas encore. Elles avaient convenu que Camille mènerait la discussion, à la suite de quoi Valeria ferait ses observations. Le but étant de laisser leur interlocuteur abattre la majorité de ses cartes et donc corroborer ou non les informations qu’elles avaient glanées avant de dévoiler les leurs.
D’un geste de la main, Valeria fit signe à Messire Duroy de prendre place. Elle ne s’occupa pas d’Imany, laissant à la Sorcière toute latitude de rester ou partir. Tout bien réfléchi, elle décida pour elle en s’adressant à elle par télépathie. Le canal ouvert, la Sorcière pourrait lui répondre sans peine.
Reste avec nous, écoute, et fais-moi part de tes observations pendant que Camille dirige les débats.

Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:18
par Arthur Duroy
Classe et élégante, Valeria Nantoni en imposait. Jambes croisées, elle dissimulait son visage derrière un chapeau haut-de-forme rouge et long.
« Ce qu’on vous a dit sur moi devait être inexact… Sinon, vous n’auriez jamais accepté de me voir. »
Arthur leva les mains, comme pour s’excuser.
« Navré, j’essaie de détendre l’atmosphère… Moi, en revanche, je ne sais pas grand-chose de vous. En revanche, je connais le clan Lovegood…
- Vous pouvez considérer Dame Nantoni comme la Matriarche du clan Lovegood, Sire Duroy. De vous, on m’a dit que vous étiez un homme talentueux, et je constate qu’on ne m’a pas menti. »
Arthur constata vite que son parfum ne fonctionnait pas sur elles. Il avait déjà pu le constater avec Imani, elle résistait bien à sa Sensuelle. Pour elle, il avait utilisé un extrait de sa Jouvencelle, un parfum amélioré, et les barrières magiques d’Imani n’avaient pas tenu. Comme la sorcière le lui avait expliqué, il était très difficile de se protéger des odeurs. Le meilleur sortilège restait encore de se boucher le nez, mais cela ne suffisait pas. Les sorciers étaient habitués à manipuler des aphrodisiaques, des élixirs, de sorte qu’ils résistaient bien à son parfum de base. Face à des succubes, Arthur doutait que la Sensuelle suffise, alors il avait ramené un échantillon de son plus efficace parfum : la « Jouissance ». Arthur avait très peu de morceaux de ce parfum, et, quand il l’utilisait dans une pièce comble, cela déclenchait automatiquement une orgie.
« J’ose espérer que cette fête est à votre convenance.
- Elle manque un peu de piquant.
- Cela, je pourrais y remédier… J’imagine que les fêtes à Herzeleid sont plus rythmées.
- Cela dépend lesquelles. »
Arthur hocha lentement la tête.
« Comme vous l’avez si bien relevé, je suis un homme influent, mais je ne fais pas encore faire partie de la Junte. Que pourriez-vous bien attendre de moi ?
- Outre votre charmante compagnie, mon clan cherche à se développer en-dehors des frontières de Herzeleid.
- Et en quoi puis-je y contribuer ?
- Nous verrons cela en temps voulu. Il ne faut pas tout gaspiller dès le premier soir, n’est-ce pas ? Je souhaite pour l’instant m’assurer que ce qu’on dit sur vous et sur votre magnétisme à l’égard des femmes est vrai. »
L’homme fronça brièvement les sourcils. Que savaient-elles exactement sur lui ? Imani leur avait parlé de ces puissants parfums, une arme fatale qui lui avait permis de devenir l’homme qu’il était aujourd’hui. Ce n’était pas un secret qu’il était prêt à partager avec d’autres.
« Vous me mettez à l’épreuve ? Je dois admettre que… C’est assez osé de votre part. Et qu’est-ce que votre Maîtresse voudrait que je fasse ? »
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:18
par Valeria
Valeria laissa Camille mener la discussion. Arthur Duroy était sur la défensive, il ne s’attendait pas à la présence du succube. Il ne savait pas non plus vraiment sur qui il allait tomber, même s’il connaissait le Clan Lovegood.
Amusée, Valeria laissa le noble en devenir se débattre dans les rets peu serrés de Camille et se concentra sur lui, son langage corporel, son odeur, son parfum.
Il lui paraissait sur la défensive, certes, mais non démuni pour autant. Grand et bien bâti, il dégagerait une forme d’assurance que bien des femmes devaient trouver attirante. Son ambition et ses compétences en avaient fait quelqu’un de dangereux, avec lequel il fallait compter. Son attitude montrait une importante confiance en lui.
Son regard restait franc, ne cherchait pas la fuite. Valeria remarqua le moment où il se rendit compte que son parfum n’avait pas l’effet escompté. Bien sûr, elle pouvait en sentir les effluves et si elle laissait libre cours à son corps et ses sens, il les éveillerait. Mais il était aisé de résister à cet impact pour un succube millénaire. Même Camille n’avait pas de souci avec le Sensuelle.
La Comtesse jouait avec l’homme. Il ne savait pas trop le but de ce rendez-vous et finalement se trouvait de plus en plus démuni face aux esquives et aux réponses courtes ne donnant pas d’informations sur lesquelles rebondir.
Valeria avait apprécié la façon dont Camille l’avait introduite. Le Clan Lovegood était une famille tentaculaire bien rôdée, avec des centres d’intérêts influents et développés dans tout Herzeleid et leur matriarche avait commencé à étendre son réseau au-delà des frontières du pays avant même l’arrivée de Valeria. Désormais inféodé au succube, il allait connaître un essor foudroyant. Mais jusqu’où allaient-elles le mener ? Et jusque dans quels rayons ? Valeria envisageait déjà des pistes sur Terre et sur Terra.
Arthur commençait à s’impatienter. Camille le renvoya dans les cordes une nouvelle fois. Le chat et la souris… Avec une souris qu’Arthur n’avait manifestement pas l’habitude d’être.
« Comme vous l’avez si bien relevé, je suis un homme influent, mais je ne fais pas encore faire partie de la Junte. Que pourriez-vous bien attendre de moi ?
- Outre votre charmante compagnie, mon clan cherche à se développer en-dehors des frontières de Herzeleid.
- Et en quoi puis-je y contribuer ?
- Nous verrons cela en temps voulu. Il ne faut pas tout gaspiller dès le premier soir, n’est-ce pas ? Je souhaite pour l’instant m’assurer que ce qu’on dit sur vous et sur votre magnétisme à l’égard des femmes est vrai. »
L’homme fronça les sourcils puis comprit où elles voulaient en venir.
« Vous me mettez à l’épreuve ? Je dois admettre que… C’est assez osé de votre part. Et qu’est-ce que votre Maîtresse voudrait que je fasse ? »
Voilà ! Il avait posé la question. Valeria sourit, fière de son élève. Il n’y avait eu nul besoin d’user de leur pouvoir.
Désormais, l’enjeu devenait intéressant. Camille allait amener Arthur à provoquer une orgie totale parmi les invités. Une soirée de débauche qui ne connaîtrait nulle pareille avant des années. Le but avoué étant pour les succubes de pervertir plusieurs personnalités de la haute société et d’en compromettre d’autres. Les convertir serait parfait, mais sinon, avoir des moyens de pression pourrait également faire l’affaire.
En fonction des résultats obtenus par le Sire Duroy, la suite des négociations prendrait un tournant. Serait-ce celui d’une alliance ? Ca dépendait surtout de lui. Sa voix résonna dans l'esprit de Camille
Il est prêt. Lance-lui le défi en lui expliquant les grandes lignes : l’orgie, les hautes instances, la conversion ou les moyens de pression. Insiste sur l’obligation de résultats importants, pousse-le à jouer ses cartes.
Valeria se leva en chantonnant doucement une mélodie très simple, mais empreinte d’un peu de pouvoir, une mélodie entêtante et une voix délicieuse qu’elle ne voulait pas qu’Arthur puisse oublier de sitôt. elle fit quelques pas vers la fenêtre, s'adressa alors à Imani.
Rien à signaler ?
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:18
par Arthur Duroy
Arthur n’était pas idiot, il savait que Camille était influente, mais il savait aussi que c’était la femme qui l’accompagnait qui dirigeait la chose. Elle se releva alors, le dédaignant en se rapprochant de la fenêtre, ce qui avait le don de l’agacer. Pour qui se prenait-elle donc ? En observant sa chute de reins et ses fesses, parfaitement moulées dans son pantalon, il se promit de la prendre par là, de lui ravager le cul. Elle se rapprocha de la fenêtre, et Camille se mit à parler :
« Nous savons quels sont vos talents, Monsieur Duroy… Ma Maîtresse sait que vous n’étiez qu’un roturier, et que vous avez réussi à vous hisser dans l’échelle sociale. Nous apprécions votre ambition, votre combativité… Et vos talents si particuliers. »
Proche de Valeria, Imani haussa les épaules. Il n’y avait rien à signaler, rien à craindre, ce n’était qu’une soirée comme les autres… Du moins, pour le moment. Arthur resta silencieux pendant quelques instants.
« C’est-à-dire ?
- Vos parfums aphrodisiaques… Ma Maîtresse vous propose un partenariat mutuel… Son aide pour que vous puissiez obtenir une place au sein de la Junte, et votre aide pour la hisser au sein de la société aurienne, et pour qu’elle puisse avoir une place de premier plan. »
Arthur fronça encore les sourcils. Valeria n’avait pas beaucoup parlé, mais sa présence était assez entêtante. En fait, il avait du mal à ne pas penser à autre chose qu’à sa callipyge croupe, et à imaginer sa solide verge taper en elle.
« Vous êtes ambitieuse… De tels propos pourraient me valoir une condamnation à mort, vous le savez ? »
Camille sourit en croisant sensuellement les jambes, et le regard d’Arthur sur ses longues et magnifiques jambes fuselées n’échappa pas à Camille.
« Nous voulons voir si vous pouvez être un partenaire fiable… Dans ce domaine, ma Maîtresse croit dans les actes, mais aussi dans la détermination.
- Vous tournez autour du pot, Dame Lovegood… À supposer que je dispose de tels parfums, que devrais-je en faire ?
- Rien de très compliqué… Nous voulons voir leur puissance… Nous voulons que vous les utilisez sur les invités, et voir ce qui se produira. »
Pour déclencher une orgie collective, même la Jouvencelle ne suffisait pas. Il fallait utiliser son parfum absolu, la Jouissance. Ce parfum, il en avait un échantillon sur lui, il suffirait qu’il le porte, qu’il le laisse se diffuser dans l’air…
« Et ensuite ? Il va falloir m’en dire un petit peu plus, ma belle…
- C’est assez simple. Si votre parfum est à la hauteur de nos espérances, ma Maîtresse pourra envoûter et subjuguer tous les invités qui sont ici. Votre partenariat ne pourra qu’être bénéfique, tant pour votre carrière que pour nos envies de domination… »
Arthur resta silencieux pendant quelques instants. Il attrapa alors une fiole dans la poche intérieure de sa veste, et en exhiba un parfum, assez léger.
« Ce qu’il y a là-dedans, c’est mon parfum absolu… Très difficile à réaliser, j’en ai peu. Si je l’utilise… Même une succube aurait envie de me baiser. Tous les humains tomberont en extase pendant des heures. Mais, et vous ? Vous en savez beaucoup sur moi, et moi, finalement, je ne sais rien de vous deux… Et je n’aime pas que votre copine me snobe en me tournant le dos. Si c’est une manière de me mépriser, notre partenariat commence plutôt mal. »
Arthur avait envie de clarifier les choses. Aussi belles que soient ces dames, il n’aimait guère qu’on le prenne de haut !
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:18
par Valeria
Camille expliqua parfaitement la situation, amena le Sire Duroy à dévoiler ses cartes, comme demandé. La Comtesse était une Maîtresse carte elle-même, jouée par Valeria afin d’obtenir ce qu’elles voulaient et qui, par la même occasion, offrirait à leur interlocuteur une entrée dans les strates fermées du vrai pouvoir, ce qu’il recherchait âprement.
La comtesse joua de ses charmes, bien que dos à la scène, Valeria pouvait imaginer sans souci ce qui se déroulait. Elle pouvait sentir aussi l’émoi et le désir du jeune homme face à elles. Cependant, il parvenait à rester maître de ses sens. Camille entra dans le vif du sujet.
« Et ensuite ? Il va falloir m’en dire un petit peu plus, ma belle… »
Cette condescendance déplut à Valeria, mais elle laissa Camille gérer.
« C’est assez simple. Si votre parfum est à la hauteur de nos espérances, ma Maîtresse pourra envoûter et subjuguer tous les invités qui sont ici. Votre partenariat ne pourra qu’être bénéfique, tant pour votre carrière que pour nos envies de domination… »
L’homme resta un instant silencieux, évaluant la situation avant de parvenir à une décision.
« Ce qu’il y a là-dedans, c’est mon parfum absolu… Très difficile à réaliser, j’en ai peu. Si je l’utilise… Même une succube aurait envie de me baiser. »
Ah oui ? Intéressant…
« Tous les humains tomberont en extase pendant des heures. Mais, et vous ? Vous en savez beaucoup sur moi, et moi, finalement, je ne sais rien de vous deux… Et je n’aime pas que votre copine me snobe en me tournant le dos. Si c’est une manière de me mépriser, notre partenariat commence plutôt mal. »
Arthur semblait quelque peu vindicatif. L’attitude de Valeria n’avait en soi rien de méprisant, bien qu’elle puisse concevoir que l’homme en ait pris ombrage. Cependant, son mouvement d’humeur était révélateur de son caractère.
Valeria se retourna alors et s’avança vers eux, laissant émaner de sa personne une aura de dangerosité prégnante mais pas trop, il ne fallait pas qu’il s’écroule à genoux en faisant sous lui. Elle s’arrêta à côté de Camille.
« Le mépris n’a aucune place dans ces négociations. Seul compte le résultat. Mais je dois bien avouer que vous permettre d’appeler la Comtesse Lovegood « ma belle » et me qualifier de « copine » en sachant que je suis sa Maîtresse est assez révélateur de vos origines modestes et pourrait être un problème. Il est primordial que vous parveniez à vous maîtriser. Si une simple petite contrariété vous amène à déjà perdre vos moyens, qu’en sera-t-il avec une plus grande ? »
Elle leva la main, attira télékinétiquement la fiole à elle malgré la tentative de résistance surprise de l’homme et l’examina, levant l’index de l’autre main devant Arthur pour l’empêcher de bouger. Sans l’ouvrir, elle porta la fiole à son nez. Déjà là, elle pouvait sentir la puissance de la fragrance. C’était stupéfiant !
Un fin sourire étira ses lèvres délicieusement dessinées et, enfin, elle lui permit de voir son regard. Un regard de braises incandescentes qu’elle laissa flamboyer un court instant avant de reprendre une teinte plus conforme à la décence de ce plan.
« Vous êtes intéressant, Messire Duroy, et votre travail tout autant. Si le test que nous vous demandons est concluant, et j’ai dans l’idée qu’il le sera, nous vous révélerons bien des secrets. Et je vous assure que nous sommes en mesure de vous offrir des ingrédients qui feront de ce parfum un balbutiement à côté de ce que vous pourrez faire alors. »
Elle s’approcha de lui et lui rendit la fiole sans cesser de sourire, l’aura de dangerosité se mâtinant de séduction et d’une pointe de désir. Le danger était presque toujours attirant, il fallait le reconnaître.
« Oui, si ce test se révèle positif, nous serons alors promis à de grandes choses… » dit-elle un peu plus bas, comme pour créer une intimité entre les quatre personnes présentes.
Lorsque leurs doigts s’effleurèrent quand il reprit la fiole, simple contact fortuit provoqué par Valeria en tenant un peu trop pleinement la fiole, elle laissa fugacement passer une délicate onde de charme afin de s’attirer la sympathie de l’homme dès à présent. Cela ne voulait pas dire qu’il serait en son pouvoir, elle le voulait juste « bien disposé ».
« Alors ? On passe au test ? Bien entendu, vous pouvez encore vous retirer, mais c’est votre dernière opportunité de le faire. Après, il sera trop tard. »
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:18
par Arthur Duroy
Arthur fit réagir la mystérieuse femme, et comprit bien vite qu’elle avait des pouvoirs magiques. Elle utilisa sa magie pour attirer à elle sa fiole, ce qui irrita un peu Arthur. Sur le Tekworld, la magie était mal vue, et a fortiori à Auris. Le Prince de Cristal avait jadis traqué et exterminé beaucoup de magiciens, et il était communément admis que les mages étaient des êtres dangereux, des comploteurs. Ce qu’Arthur faisait était tout à fait différent, il voyait sa maîtrise des parfums comme de l’alchimie. Il resta assis pendant que la mystérieuse femme examinait son joyau, sa fiole de Jouissance. Elle le renifla, et il la sentit en être perturbée. Elle pouvait l’utiliser sur elle, le parfum marcherait, mais Arthur l’avait avant tout conçu pour lui-même. Le Sans-Odeur percevait l’odorat particulière de ces femmes. Il récupéra sa Jouissance, et la remit dans sa poche intérieure. Arthur frémit néanmoins quand Valeria usa de son aphrodisiaque, et avait bien du mal à retenir un commencement lancinant d’érection.
« Ne me dites pas que vous vous familiarisez pour si peu, ma chère… Que serait une négociation sans un peu de provocation ? Et puis, je perçois votre odeur, vous savez… Je veux dire, votre vraie odeur. Elle se reflète sur celle de la Comtesse Lovegood, alors j’en déduis que vous devez avoir l’habitude de faire l’amour. Mais, surtout, vous n’avez pas l’odeur d’un être humain. Ce que je sens, c’est une odeur forte, très forte, ancienne, aussi… Comme un bon vin qui aurait pris le temps de maturer. »
Il était né avec un odorat surdéveloppé, à tel point que, chez lui, Arthur utilisait d’abord son odorat plutôt que ses yeux. Il pouvait même se déplacer les yeux fermés, en se fiant aux odeurs. S’il fallait trouver un équivalent, son odorat ressemblerait à celui d’un chat, quarante fois supérieur à celui d’un être humain.
« Je pense que vous pourriez résister à ce parfum, oui… Enfin, il ne vous laissera pas indolore, mais vous ne serez pas à ma botte. Nous verrons ensuite ce que vous avez à m’offrir, et ce que vous voulez réellement. Vous souhaitez une démonstration ? Très bien. »
Reléguée au second rang, Camille les écoutait, et Arthur sortit alors à nouveau la Jouissance, puis aspira son cou. Camille écarquilla alors des yeux, et renifla l’odeur… Elle se mit à papillonner des yeux, se tortillant nerveusement sur place.
« Haaaa… »
Arthur sourit doucement, et se rapprocha de la Comtesse, dont les tétons avaient durci. Il remonta son visage, et l’embrassa sur les lèvres en empoignant son menton.
« Déshabille-toi. »
Camille déglutit, et retira sa robe. Imani avait fait de même, et Arthur, généreux, leur offrit à chacune une dose de son exquis parfum.
« Promenez-vous au milieu des convives, laissez-les s’imprégner de votre charme, pendant que votre Maîtresse et moi, votre Maître, nous observerons le spectacle…
- Oui… Oui, Maître ! »
Arthur rangea ensuite sa fiole, puis les deux femmes sortirent rapidement en se prenant chacune la main. Arthur se rapprocha de Valeria.
« Je ne peux pas vous soumettre, mais avouez que vous en avez envie… Venez, il y a une mezzanine qui surplombe le hall… Mais vous avez raison sur un point : je viens bien de la couche populaire. Aussi, je me dois de vous prévenir, en tant que gentleman : ce parfum agit sur moi. Si vous me suivez, je compte vous baiser sur cette mezzanine, puis rejoindre mes ouailles… Et je dis bien baiser à dessein. »
Sous ses vêtements de noble, Arthur restait un amant passionné. Rien de surprenant à ça, c’était le sexe qui lui avait permis de se hisser à ce niveau de l’échelle sociale. Cette réputation, il entendait bien la préserver !
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:19
par Valeria
« Ne me dites pas que vous vous familiarisez pour si peu, ma chère… Que serait une négociation sans un peu de provocation ? Et puis, je perçois votre odeur, vous savez… Je veux dire, votre vraie odeur. Elle se reflète sur celle de la Comtesse Lovegood, alors j’en déduis que vous devez avoir l’habitude de faire l’amour. Mais, surtout, vous n’avez pas l’odeur d’un être humain. Ce que je sens, c’est une odeur forte, très forte, ancienne, aussi… Comme un bon vin qui aurait pris le temps de maturer. »
Le sourire de Valeria s’étira doucement à une seule de ses commissures de lèvres. Il présumait beaucoup et ne pouvait avoir aucune réelle certitude, mais il n’était pas si loin de la vérité que ça. L’homme était intelligent.
« Je pense que vous pourriez résister à ce parfum, oui… Enfin, il ne vous laissera pas indolore, mais vous ne serez pas à ma botte. Nous verrons ensuite ce que vous avez à m’offrir, et ce que vous voulez réellement. Vous souhaitez une démonstration ? Très bien. »
Parfait. C’est tout ce que je veux pour le moment.
L’alchimiste sortit à nouveau son parfum et en déposa quelques gouttes sur la gorge de Camille. L’effet fut immédiat. Et si Camille papillonna, Imani fut bien plus happée par le parfum. Camille aurait probablement pu résister grâce à un effort de volonté, mais elle n’était que nouvellement succube et n’avait encore acquis ni les réflexes ni l’expérience pour cela.
Il embrassa Camille sans que celle-ci résiste aucunement, puis lui ordonna de se déshabiller. La Comtesse obéit sans mot dire, imitée par Imani. Un court instant plus tard, elles étaient nues face à lui, les tétons dressés, le sexe palpitant. Valeria pouvait le sentir de là où elle était.
Impressionnant…
Il les parfuma puis leur donna ses instructions.
« Promenez-vous au milieu des convives, laissez-les s’imprégner de votre charme, pendant que votre Maîtresse et moi, votre Maître, nous observerons le spectacle…
- Oui… Oui, Maître ! »
Camille et Imani quittèrent la pièce avec empressement tandis qu’il rangeait sa fiole en se rapprochant de Valeria.
« Je ne peux pas vous soumettre, mais avouez que vous en avez envie… Venez, il y a une mezzanine qui surplombe le hall… Mais vous avez raison sur un point : je viens bien de la couche populaire. Aussi, je me dois de vous prévenir, en tant que gentleman : ce parfum agit sur moi. Si vous me suivez, je compte vous baiser sur cette mezzanine, puis rejoindre mes ouailles… Et je dis bien baiser à dessein. »
Si elle l’avait voulu, Valeria aurait pu tarir son désir, ou le faire exploser jusqu’à plus soif dans ses chausses, mais elle trouvait cette idée de coït sur la mezzanine divertissante.
« Cher Arthur, j’espérais bien goûter à vos charmes avant la fin de la soirée » répondit-elle, mutine, en lui caressant le menton d’un doigt léger. « Permettez-moi juste un instant… »
Elle confia l’enfant à la garde d’Audec et Lyrev, qu’elle immunisa temporairement contre le parfum afin de leur permettre de remplir leur rôle.
« Emmenez-moi, futur complice. J’ai hâte de voir les effets de ce parfum et de sceller notre accord dans le stupre. »
Elle le suivit dans le dédale de couloirs afin d’atteindre ladite mezzanine. Ils étaient pressés, elle pour le spectacle, lui pour un tout autre spectacle. Enfin ils arrivèrent et elle n’attendit aucunement. En un instant il était plaqué contre la balustrade, la langue de la succube dans la bouche. Elle fit monter la température en quelques instants, avant de le pousser à s’accroupir. Relevant ses jupes, elle le toisa avec une expression affamée.
« Bouffe-moi la chatte. Fais-moi jouir, fangeux, et tu pourras me trousser comme une paysanne ! »
Elle lui agrippa les cheveux et écrasa son visage contre son intimité moite. Les jupes retombèrent sur l’homme tandis qu’elle regardait se dérouler la pièce en contrebas, écrite par Arthur et jouée par Camille et Imani.
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:19
par Arthur Duroy
Le charme magnétique de cette femme n’échappait guère à Arthur, et le perturbait plus qu’il n’aurait osé l’admettre. Il la suivit, en réalisant qu’il n’était encore jamais tombé sur une femme comme elle… Belle, certes, mais aussi puissante, une puissance grisante et incroyablement exquise. Cette puissance aurait dû l’effrayer, mais il était au contraire emballé en étant près d’elle. Qui sait comment cela allait finir ? Elle pouvait le soumettre, il le sentait au plus profond de lui. Elle appartenait à une race supérieure, et il lui tardait de s’unir avec elle. Arthur était extrêmement ambitieux, une ambition qui lui avait permis de s’extraire de la fosse dont il avait vu le jour, de côtoyer les puissants d’Auris. Arthur et Valeria rejoignirent une double porte menant à la mezzanine entourant le hall central.
C’était un grand hall avec une longue mezzanine qui en faisait le tour. Une verrière se trouvait sur le toit, et, dès qu’ils entrèrent, le couple put percevoir les relents et les soupirs de l’orgie en bas. Le parfum d’Arthur faisait des merveilles. Nue, Camille était en train de se faire baiser par trois hommes. Elle dansait sur l’un d’entre eux, s’empalant sur sa verge. Un autre homme lui bourrait le cul, et un dernier s’enfonçait dans sa bouche. Un magnifique spectacle qui se répercutait à foison ! Valeria était aux loges pour observer ce spectacle, et elle donna ses ordres à Arthur. Elle portait toujours sa tenue rouge et noire, et releva le bas de sa robe en se penchant vers le rebord de la mezzanine.
« Oh, ma Déesse… »
Malgré sa musculature, il se sentait comme un enfant face à elle. Finissant à genoux contre elle, il put voir qu’elle ne portait aucune culotte. Il était dissimulé en partie sous sa robe en cuir, et déplaça ses mains. Il s’appuya sur la croupe de Valeria, et fourra sa langue dans sa chatte imberbe, venant la lécher avec appétit. La position pouvait paraître humiliante et infamante, mais Arthur ne sentait aucune gêne, simplement une excitation féroce. Une érection déformait son pantalon, et il continuait à la lécher, sa mouille glissant sur ses lèvres. Une cyprine délicieuse, qui remuait en lui, et qui enflammait ses sens !
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:19
par Valeria
Valeria était satisfaite. Leur interlocuteur était d’une trempe adéquate pour ce qu’elles avaient projeté. Intelligent, rusé, sournois même, il faisait montre d’une ambition dévorante et d’un attrait pour le sexe qui le rendait facilement manipulable. Un parfait outil qui les mènerait loin. Très loin si leurs plans trouvaient les bons intermédiaires pour se dérouler sans accroc.
En l’état, le premier intermédiaire était ferré, très intéressé par la proposition et plus encore par le cul rebondi qui s’était doucement déhanché devant son nez tandis qu’ils avaient gravi les escaliers.
Le spectacle en-dessous d’eux était digne des orgies romaines. Valeria sourit en voyant Camille trôner au centre de l’attention. Et bien que ses orifices soient tous occupés, d’autres hommes venaient solliciter ses faveurs, ses mains n’avaient pas non plus le temps de chômer !
Arthur obéit à son injonction et tomba à genoux pour venir s’occuper de l’intimité qu’elle venait de lui dévoiler en levant sa robe.
« Oh, ma Déesse… »
Valeria sourit. Elle adorait être adorée. Elle caressa les cheveux de l’homme tandis qu’il enfouissait sa langue dans les profondeurs de son entrecuisses. Elle se laissa goûter, humer, explorer. L’homme l’avait bien mérité, son travail était exceptionnel. Et les fragrances qu’il découvrait ici n’étaient pas du genre à le laisser indifférent. Peut-être même ses aptitudes l’amèneraient-elles encore plus vite que d’autres à une addiction dévorante.
Quoi qu’il en soit, la cyprine se mit à maculer la langue puis dégouliner dans la barbe au fil des minutes. Arthur s’appliquait et il était sacrément doué. Valeria finit par se tourner avant de jouir, présentant alors sa croupe à son amant afin que non seulement il termine ce qu’il avait entamé mais qu’il s’occupe également de sa délicieuse petite rondelle affamée.
Elle profita longuement de sa langue et de ses mains, ne le laissa pas agir autrement tant qu’il n’avait pas rempli le contrat. Et quand il y parvint enfin, elle inonda sa bouche d’un nectar si exquis qu’il en jouit sans pouvoir aucunement faire autrement.
Elle le laissa alors se relever.
« Tsss quel gâchis » dit-elle dans un souffle de regret tout en dégrafant son pantalon pour dégager la queue turgescente et maculer sa main du foutre qui déjà tachait le tissu. Elle le porta à sa bouche, le lécha comme une chatte en chaleur, son regard de braise promettant mille délices à son amant.
« Délicieux. J’espère que tu en as encore… »
Elle écarta les bras pour s’appuyer contre la balustrade, un léger sourire aux lèvres.
« Viens chercher ton prix et prends ce qui te revient, noble Arthur, bientôt tu seras Roi ! »
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:19
par Arthur Duroy
Malgré sa carrure imposante qui lui donnait un côté rustre, le sexe était un domaine dans lequel Arthur avait d’indéniables compétences. En même temps, s’il n’avait pas été un diable d’amant, il n’aurait jamais réussi à se hisser autant au sein de l’échelle sociale aurienne. Certes, ses parfums représentaient un atout majeur, mais encore fallait-il bien savoir les utiliser ensuite. Dans ce domaine, Arthur estimait être talentueux, mais, tout aussi talentueux qu’il fut, il avait senti chez Valeria une force surréaliste. Elle n’était pas une simple humaine, elle était une démone de luxure, une succube. Sa puissance l’émoustillait. Un autre humain se serait sans doute écrasé devant elle, mais la puissance de cette femme l’excitait. Il la respectait pour ça, et l’enviait aussi. Arthur avait toujours été ambitieux, et avait toujours aimé le pouvoir. Une ambition sans limites, qui l’amenait à la frontière de l’irrationalité, car il fallait sans doute avoir un grain de folie en soi pour pactiser ainsi avec une succube pareille. Une femme qui résistait à ses parfums… La chose aurait semblé impossible, mais ce n’était pour autant pas la peur qui le dominait. Il voulait s’aventurer plus loin, comme il l’avait toujours fait, gravir les échelons.
*Elle mouille beaucoup…*
Est-ce qu’elle faisait semblant ? Ou est*-ce que son charme bestial lui plaisait ? Il la sentait mouiller, et il déplaça ses mains, caressant ses longues jambes fuselées. Il pressa chacune des fesses de la démone, et la sentit soupirer, haleter, sa magnifique peau mate se recouvrant de belles plaques de rougeur à hauteur de ses joues. Elle finit par se retourner, et il soupira, avant de continuer à la lécher, alternant toutefois entre sa chatte trempée et sa porte arrière. Ses pouces écartaient pour cela chacune de ces fesses, et il fourrait sa langue dans sa rondelle, avant de finir par y glisser un doigt.
« Peu importe ton profil, tu es vraiment à tomber, Valeria… Mais ça, j’imagine que des milliers de personnes ont dû te le dire avant. »
Ce n’était pas pour autant que la chose était désagréable à dire. Tout en titillant sa rondelle avec sa langue, Arthur utilisa l’une de ses mains pour la masturber, entretenant la flamme. Il connaissait bien l’anatomie féminine, il avait longuement eu le temps de l’explorer, car ses doigts ne tardèrent pas à titiller la partie durcie, le bouton de plaisir, ce clitoris assoiffé de sexe qu’il se mit à presser. Une féroce érection déformait son pantalon, mais Arthur avait toutes les peines du monde à délaisser ce corps pour déboutonner sa ceinture. Il s’y attaquait avec le zèle d’un adorateur devant sa divinité, conscient que son partenariat avec Valeria s’avérerait très fructifiant… Et il la sentit finalement jouir.
« Hmmm… »
Le corps de Valeria se crispa, et, dans un grand soupir, la succube se mit à jouir. Un très bel orgasme, qui provoqua chez lui une érection forte, et un virulent orgasme également, sans même qu’il n’eut à toucher son sexe. Il avait alors apposé ses lèvres, et récolta ce nectar magnifique, cette cyprine qu’il se promit d’utiliser pour en extraire un jour l’essence. Ce fut d’ailleurs l’ultime réflexe qui le traversa ; quand elle jouit sur lui, et posa ses mains sur sa tête, sa propre main attrapa un flacon dans sa poche, et il l’utilisa pour recueillir des échantillons. Un geste rapide, témoignant de son habitude à le faire.
Arthur se redressa ensuite, semblant un peu sonné. Sa queue le démangeait toujours, et, quand il la vit se pencher en arrière sur le balcon, lui présentant la vue magnifique de son corps sculptural, femme callipyge par excellence, Arthur déglutit. Valeria put entendre le son d’une ceinture qu’on déboutonnait, ce cliquetis quand le cuir et la pièce en métal se frottaient, puis la ceinture tomba au sol. Arthur avait senti ses lèvres sur sa verge assoiffée, et il se déshabilla donc, achevant d’abaisser son pantalon, puis sa veste et sa chemise. Nu, il exhibait un corps massif, barbu et poilu, une silhouette trapue et épaisse. Sa verge lui faisait mal, et il avait le sentiment qu’elle n’avait jamais été aussi grosse. Il posa sa main dessus, comme pour l’apaiser, et se rapprocha de Valeria, jusqu’à se retrouver contre elle. Son souffler était fort, précipité, il était comme possédé, possédé par elle, par ce charme bestial et sensuel qu’elle dégageait.
« Il n’y a qu’un seul roi, Valeria, et c’est une Reine en l’occurrence… Une Reine que je compte baiser comme jamais. »
Sa verge caressa le sexe de sa partenaire, et il l’embrassa, tout en la pénétrant, posant une main sur sa nuque, et l’autre sur ses fesses, pour maintenir son bassin en place. Arthur soupira ensuite en se plongeant en elle… Et, en sentant toute cette mouille, il eut un second orgasme incontrôlé. Tout son corps se tendit, et il expulsa une seconde vague de foutre en elle, sans pour autant que sa verge ne semble débander, car il commença ensuite à remuer, donnant quelques premiers coups de reins, le bassin de son amante heurtant le garde-corps, et Arthur continua ensuite, son corps massif se heurtant au sien. Quand le baiser se rompit, elle put l’entendre grogner, soupirant encore, comme une bête en rut… Car c’était bien ce que, petit à petit, il était en train de devenir !
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:19
par Valeria
Oh oui ! Il est vraiment bon !
Valeria « subit » pendant de longues minutes les attentions d’Arthur, emprisonné sous ses jupes. Sa langue, sa bouche et ses doigts étaient délicieusement aventureux magnifiquement intrusifs. Elle aima ses compétences et ses initiatives. Il n’y avait aucune raison de feindre, elle était un démon de luxure et prenait le plaisir où il se trouvait et de quiconque.
Qu’il s’attaque à son sexe ou à son cul, de la langue ou des doigts, il était habile et expérimenté. Elle se laissa transporter.
« Peu importe ton profil, tu es vraiment à tomber, Valeria… Mais ça, j’imagine que des milliers de personnes ont dû te le dire avant. »
Ces mots avaient beau être connus et reconnus, ils n’en faisaient pas moins plaisir. Se savoir adorée et placée sur un piédestal était toujours agréable. Les minutes passèrent, il ne se lassait pas. Il montrait une application enfiévrée, et plus la mouille se déposait sur sa langue, plus il devenait dévot. Elle sourit, le contrat qu’ils avaient prévu était très intéressant, mais elle commençait à penser que faire d’Arthur un de ses mignons serait peut-être une excellente affaire. Le contrat resterait, bien sûr, mais il pourrait avoir tellement plus ainsi. Et lui apporter tellement plus également.
Même sous les jupes, elle le vit dégrafer son pantalon et commencer à se masturber. Il était tellement investi, la mouille avait un effet prégnant désormais. Elle le laissa continuer et finit par jouir sur sa langue, maculant également sa barbe de ses fluides. Elle le sentit grogner quand la jouissance le prit lui aussi, par surprise et sans même un geste. Elle n’était pas assez transportée pour ne pas remarquer qu’il recueillait un peu de sa cyprine. Elle le laissa faire, puis glissa sa main dans ses cheveux et sourit alors qu’il se relevait.
Elle s’offrit. Il eut du mal à garder son sang-froid, se dévêtit de plus en plus vite et confusément. Il était beau, viril, puissant, extrêmement brut. Il se dégageait de lui une forme d’animalité qui plus à la démone.
« Il n’y a qu’un seul roi, Valeria, et c’est une Reine en l’occurrence… Une Reine que je compte baiser comme jamais.
- J’espère bien ! Et après, tu nous créeras un nouveau parfum… »
Il l’embrassa et l’envahit. Elle le sentit jouir presqu’immédiatement. Quoi de plus normal ? Il se reprit néanmoins et commença à la besogner. Elle s’abandonna en soupirant, la main dans ses cheveux tandis que la bouche de l’homme se perdait dans son cou.
« Baise-moi Arthur. Je suis une Reine, TA Reine, mais aujourd’hui je suis aussi une salope. Et j’ai besoin d’une queue de compétition ! »
Son pouvoir afflua en lui, elle le corrompit. Il était bien trop avide à ce stade pour pouvoir résister à quoi que ce soit issu de la magie rose. Elle en fit temporairement un ersatz de Démon, lui offrit un aperçu de ce qui pourrait être mais dont il ne savait encore rien. Ses vêtements tombèrent au sol sans qu’il sache comment et le corps nu de la succube se retrouva entrelacé au sien. Ses cuisses se refermèrent sur ses hanches avec passion tandis qu’il la soulevait et qu’ils s’étreignaient.
Ils tombèrent au sol, elle sur lui. Sa puissance l’écrasa, le subjugua, le gonfla à bloc. Elle en avait fait l’amant qu’elle désirait à ce stade. Leurs ébats devinrent intenses, puissants, inhumains. Elle lui laissa le temps d’appréhender, de comprendre quelque peu ce qu’elle venait de faire de lui. Les minutes s’écoulèrent durant lesquelles le plaisir qu’il expérimenta n’eut plus aucune commune mesure avec ce qu’il avait même pu imaginer dans ses rêves les plus fous.
Et tandis que ses suivantes faisaient jouir plusieurs convives en cet instant, elle se redressa, belle et sauvage, et le domina pleinement, laissant ses yeux démonisés entrapercevoir son aura démentielle.
« Si tu le veux, tu peux être éternellement mien. Il te suffit de le dire à haute et intelligible voix. »
Il sentit en cet instant suspendu qu’il avait totalement le contrôle de sa raison, que le choix lui appartenait, pleinement. Elle venait de lui montrer un vague aperçu de ce qui pourrait être.
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 10 nov. 2024 05:19
par Arthur Duroy
Arthur était excité. Il n’avait pas encore joui, et, quand il embrassa Valeria, qu’il pressa son corps nu et sauvage au sien, il sentit une vague incroyable l’envahir, comme une bouffée de désir frénétique. Il sentit les vêtements sensuels de Valeria descendre, et grogna encore, sentant cette vague en lui. Sa queue se redressa furieusement, lui semblant plus forte que jamais. Elle était belle, si belle, et si forte… Valeria le renverse, et il tomba au sol, puis la sentit s’empaler sur lui.
« Hum… !! »
Il serra ses mains sur les hanches de Valeria, griffant sa peau en soufflant encore. Ses yeux prirent une teinte rouge brièvement, et il soupira encore, sentant un feu intense bouillonner en lui. Son corps massif se crispa sur place, et il sentit l’étroit sexe de Valeria, ses parois intimes qui se déformaient sous son vit. Sa queue massive remuait en elle, dans sa chatte trempée, s’immergeant de sa mouille. Elle dansait sur lui, et il soupira encore, poussant un grondement guttural. Arthur était de base impressionnant, mais ce grondement bestial était encore plus grave qu’habituellement, il était démoniaque ! Il sentit la puissance de Valeria, plongé dans une extase indescriptible. Arthur prenait toujours son pied quand il faisait l’amour, mais cela n’avait jamais été aussi fort, jamais aussi… Jouissif !
Arthur aimait le sexe, mais il était avant tout ambitieux, très ambitieux. Et cette ambition, il la vit dans les visions de Valeria. Lui, l’époux d’une femme forte, mais une femme qu’il ne pourrait jamais dominer comme il le faisait avec les autres. Une femme dont la puissance l’exaltait autant qu’elle l’inquiétait. Car Arthur n’était pas dupe. Un vieux dicton disait qu’il était meilleur de régner en Enfer que de servir au Paradis… Mais il savait que ceux qui détenaient vraiment le pouvoir ne le partageaient pas. Serait-il son égal ? Ou un autre des innombrables pantins, à qui elle donnerait une fraction de sa puissance, pour lui donner l’illusion qu’il était puissant ? Arthur avait du mal à réfléchir, le désir l’envahissait. Il malaxait les hanches de Valeria, pinçait et griffait sa chair, malaxant ses fesses. Elle dansait sur lui, et ils étaient couchés sur les vêtements soyeux de la démone. Elle avait beau conservé sa forme humaine, il percevait sa puissance, il la voyait sous a forme démoniaque, il devinait sa vraie puissance… Une force qu’il respectait, une puissance surnaturelle qui l’exaltait.
« Haaaaa… »
Il finit par jouir en elle. Les minutes avaient défilé à toute allure, et il sentit son calme revenir. Sur lui, Valeria continuait à le chevaucher, n’attendant qu’un signal pour qu’il se déploie. Mais, avant cela, elle souhaitait savoir s’il souhaitait s’unir à elle encore, être sienne. Arthur soupira longuement.
« Être tienne… Cela va plus loin que notre simple partenariat, n’est-ce pas ? Tu m’offrirais un pouvoir dont je ne pourrais espérer même dans mes rêves les plus fous, oui… Mais il y a toujours un prix à payer. Tout ce pouvoir que j’ai acquis, toute mon ambition… Je ne cherche pas la gloire, ma chère, mais je veux assurer ma liberté par mon influence et mon pouvoir. »
Arthur s’appuya sur ses avant-bras, sa verge baignant encore dans la chatte de Valeria. Il se redressa alors, et ce fut Valeria qui glissa sur le sol. Il s’allongea au-dessus d’elle, puis contre elle, son corps massif heurtant le sien. Elle avait une peau d’une douceur infinie. Il l’embrassa dans le creux du cou, humant son odeur, reniflant sa chair, sa verge restant toujours aussi durcie.
« Oui, tu ferais de moi un homme comblé, puissant… Et sans doute que j’en serai heureux… Mais je ne me perdrai pas ma liberté, démone. Je n’appartiens à personne d’autre qu’à moi-même. »
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 09 déc. 2024 16:52
par Valeria
Alors qu’elle lui rendait son libre-arbitre, elle le sentit se répandre une nouvelle fois en elle. Ce plaisir n’était pas humain. Camille ne parvenait pas encore réellement à l’appréhender. L’homme ne pouvait que succomber à tant de sensations. Mais obtenir son accord nécessitait une toute autre forme d’abandon. Un abandon lucide.
Elle le laissa encaisser son orgasme sans cesser de le chevaucher, se nourrissant de son plaisir avec parcimonie. Elle voulait que ce moment dure, au moins un peu.
Toujours pleinement fiché en elle, il soupira longuement. Elle sentit son refus avant même qu’il ne le formule.
« Être tien… Cela va plus loin que notre simple partenariat, n’est-ce pas ? Tu m’offrirais un pouvoir dont je ne pourrais espérer même dans mes rêves les plus fous, oui… Mais il y a toujours un prix à payer. Tout ce pouvoir que j’ai acquis, toute mon ambition… Je ne cherche pas la gloire, ma chère, mais je veux assurer ma liberté par mon influence et mon pouvoir. »
Il se redressa sur ses avant-bras, elle le laissa la renverser pour prendre la position dominante. Il s’abandonna dans son étreinte, embrassa sa gorge, s’enivra de son odeur et de sa douceur.
« Oui, tu ferais de moi un homme comblé, puissant… Et sans doute que j’en serais heureux… Mais je ne me perdrai pas ma liberté, démone. Je n’appartiens à personne d’autre qu’à moi-même. »
Elle rit. Un rire profond et intense, un rire qu’il n’oublierait pas de sitôt, peut-être jamais. Toutes les promesses qu’il contenait, tout ce pouvoir qu’il recelait. Quand il cessa, ce fut comme une porte qui se refermait sur un palais de merveilles.
« Qu’il en soit ainsi ! »
Elle referma ses bras sur ses épaules, enserra sa taille de ses cuisses et lui rendit les améliorations temporaires qu’elle lui avait montrées. Elle voulait une vraie baise d’enfer.
« Baise-moi, Seigneur. Cloue-moi au sol avec ta grosse queue puissante ! Emplis-moi de ta sève ! »
Chaque mot sonnait comme un ordre, chaque désir énoncé comme un glas. Le pouvoir corrompait. Le pouvoir dominait. Le pouvoir chavirait et abrutissait. Mais pas ici. Elle lui laissa assez de libre-arbitre pour que son désir ne l’annihile pas et qu’il puisse se baigner jusqu’à se perdre dans ce stupre qu’il ne connaîtrait peut-être plus jamais. C’était un cadeau qu’elle lui offrait, tant parce qu’il scellait leur accord que parce que sa volonté l’avait impressionnée et amusée.
Cela dit, elle ne se priva pas de se nourrir de cette folle énergie sexuelle qu’il se mit à dépenser.
En contrebas, l’orgie prenait une autre tournure et, leurs corps déjà dégoulinants de stupre, Camille et Imani commençaient à régner sur les humains peu à peu complètement asservis par leur désir.
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 03 janv. 2025 09:14
par Arthur Duroy
Irrésistible, envoûtante, elle dansait sur lui… Il lui affirmait tenir à conserver son libre-arbitre, sa volonté, mais, plus le temps passait, et plus cette femme le hantait. Ce n’était pas que sa beauté incroyable, c’était aussi cette puissance qui se dégageait d’elle, cette force incroyable qu’il sentait émanant d’elle. Oui, cette force terrible, l’envoûtement magnétique et irrésistible de cette femme… Elle le chevauchait, et s’amusait de lui, de ses tentatives de conserver sa lucidité. Il jouit en elle, dans sa délicieuse chatte, et sentit une puissante énergie l’envahir, remontant en lui. Un feu intérieur le dévorait, et Arthur grogna, soupirant longuement, en posant ses deux mains sur le cul de Valeria. Il malaxa ses fesses parfaites, tandis qu’elle lui intima l’ordre de la baiser. Arthur grogna, et un soufflement profond, guttural, s’échappa de ses lèvres.
*Si belle, elle est si belle…*
C’était effrayant. Arthur venait de jouir, mais son corps en redemandait encore. Une soif inextinguible qui s’emparait de lui, une envie furieuse de la baiser, encore et encore, l’envahissait. Ce feu intérieur semblait impossible à refroidir, impossible à calmer. Il sentait les mains de Valeria sur son corps, le renflement de ses seins caressant son torse, le souffle de la femme sur ses lèvres. Ses mots filaient en lui avec délice, annihilant toute résistance. Elle en faisait une poupée sexuelle à sa volonté, et Arthur savait que, s’il répondait à son invitation, il lui appartiendrait. Jamais une femme ne l’avait mis dans une telle situation de vulnérabilité, de dépendance… Jamais il n’avait eu autant envie de baiser une femme qu’en ce moment précis.
« Oh… »
Ses mains se raffermirent sur sa croupe, et il se redressa alors brusquement, portant Valeria à bout de bras. Ses iris avaient repris leur teinte rouge, tandis qu’il sentait cette force nouvelle l’envahir, cette énergie dont il avait besoin pour la baiser avec force. Arthur rejoignit le plus proche mur, et plaqua Valeria dessus, son sexe retournant la bourrer, s’enfonçant avec force dans sa chatte, provoquant des bruits spongieux, des claquements en s’enfonçant entre les lèvres intimes de la femme, de sa magnifique partenaire, des lèvres remplies d’un mélange de son foutre et de la mouille de la succube.
De longs soupirs s’échappaient des lèvres d’Arthur, qui l’embrassa à nouveau, serrant d’une main les longs cheveux soyeux de Valeria, tout en remuant furieusement en elle. Le corps de Valeria filait d’avant en arrière, rebondissant contre le mur, provoquant une série de secousses et de vibrations qui eurent raison d’un proche tableau à proximité, qui tomba sur le sol.
« Tu aimes ça ? Tu aimes quand je te baise comme ça ? Haaaa… Tu es si bonne, Valeria !! Laisse-moi te baiser comme la chienne en chaleur que tu es ! »
Il succombait à la luxure, et, dans la foulée, il succombait à elle, à sa Valeria… Sa Maîtresse.
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 03 févr. 2025 18:05
par Valeria
Valeria sentait l’ardeur d’Arthur. Elle sentait son dilemme, le combat qui se déroulait dans son esprit. Elle le poussait petit à petit vers le gouffre. Ce n’était pas difficile, la chair était ce qu’elle était : un vice et une faiblesse, et c’était encore plus vrai pour les hommes que pour les femmes.
Il jouit en elle et c’était une nouvelle capitulation. Son désir croissait à nouveau de manière exponentielle tandis qu’elle insufflait en lui le pouvoir auquel il avait goûté si peu auparavant. Dans son regard flottait déjà la concupiscence, elle la voyait étendre son ombre sur les pupilles sombres et tandis qu’elle le chevauchait en lui ordonnant de la baiser fort, il subissait chaque mot comme un uppercut.
Bien vite, il céda, il obéit. Ses sens prirent le dessus, son cerveau reptilien s’anima. Il se redressa, l’emmenant sans effort avec lui et la plaqua au mur, fissurant le platras dans son dos.
« Haaannnhh ! »
Il s’enflamma, se mit à la pilonner sans plus vraiment de retenue. Les bruits collants et humides qui s’échappaient de leurs bas-ventres n’avaient d’égal que le volume de leurs soupirs et leurs gémissements. Il s’enfonçait de plus en plus brutalement en elle, faisant trembler le mur. Le platas se mit à s’écailler plus fort, plus loin. Un tableau tomba au sol et toujours il l’empalait. Les bruits de cyprine se faisaient encore plus intenses, le succube mouillait très frt à présent, lubrifiant Arthur comme jamais.
« Tu aimes ça ? Tu aimes quand je te baise comme ça ? Haaaa… Tu es si bonne, Valeria !! Laisse-moi te baiser comme la chienne en chaleur que tu es ! »
Elle l’enlaça fortement, lui fit ployer la tête pour la nicher au creux de ses seins, comme si elle le maternait alors qu’elle s’offrait. Dans le sexe, il y avait bien des manières de faire, bien des subtilités. Arthur ne donnait pas l’impression d’avoir de maître, ni maintenant, ni jamais. Il était temps que cela change.
Elle pouvait sentir sa conscience se déliter petit à petit dans son désir pour elle. il fallait le pousser encore. Plus fort, plus intensément.
Elle agrippa ses cheveux, lui tira la tête en arrière. Elle l’embrassa à pleine bouche, mordant la lèvre de l’homme au sang pour la lécher ensuite. Son regard rivé dans le sien, elle répondit :
« J’aime ça, oui. Tu baises bien, mais ce n’est pas assez pour moi. J’en veux plus ! Plus fort ! Tu me pilonnes mais tu ne me défonces pas. Vas-y, lâche-toi. Soumets-moi, fais-moi crier ton nom ! »
Elle enserra ses hanches de ses jambes et augmenta la tension autour d’eux, ainsi que le pouvoir dont elle le gratifiait. Il était devenu monstrueusement puissant. Pas assez pour lui faire du mal, mais bien assez pour assouvir ses désirs.
« Tu attends QUOI ? »
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 05 févr. 2025 16:04
par Arthur Duroy
Son arrogance commençait à éprouver ses limites. Qui avait-il été, pour croire faire jeu égal avec cette femme ? Tandis qu’il la baisait, qu’il donnait toutes ses forces, il sentait qu’il était comme un enfant cherchant à attaquer une montagne avec ses mains en espérant la faire s’effondrer. Elle le surpassait. Sa beauté, sa force, sa puissance… Plus le désir montait en lui, et plus il sentait cette soif de pouvoir, cette ivresse qui l’envahissait. Impossible de lutter ! Il sentait la puissance de Valeria, qui l’écrasait totalement, mais aussi qui le galvanisait. Pouvoir faire l’amour avec une telle femme, voilà qui était un immense honneur ! Mais quel fol il avait été ! L’énergie de Valeria l’envahissait. Elle lui hurlait de le baiser plus fort, mais Arthur atteignait ses limites.
*Accepte son cadeau, accepte sa puissance…*
Une voix sensuelle remontait en lui, une voix forte et puissante. Devant lui, Valeria continuait à le narguer. Arthur grogna encore. Ses jambes chaudes se serraient sur lui. Arthur ne pouvait pas en soi devenir un démon. Cela supposait qu’il meure, que son âme soit jugée impure et envoyée en Enfer. Cependant, à défaut de mourir, un démon pouvait vous donner des attributs et des pouvoirs démoniaques, une sorte de transformation hybride.
C’était ce qu’Arthur subissait. Il sentait cette force en lui, il sentait la puissance de cette femme. Sa main empoigna ses cheveux, et il l’embrassa, tandis que son autre main devint plus griffue, et pinça l’une des fesses de la femme.
« Hmmmm, tu veux vraiment que je te baise comme la dernière des putes, hein ?! »
La vague l’envahissait, pleinement. Il ne cherchait désormais plus à la repousser, mais, au contraire, il l’accueillait avec passion. Arthur tremblait sur place, et, quand leur baiser se rompit, ses yeux avaient pris une teinte rouge. Sa verge grossit encore, et il grogna, avant de relâcher Valeria.
Arthur se concentra encore. Deux cornes jaillirent sur son front, pointant vers le haut. Il grogna et soupira encore, sentant l’énergie de Valeria en lui, un don qu’il accepta pleinement. Désormais nu, il sentit une paire d’ailes jaillir dans son dos. Sa queue durcit et gonfla encore, jusqu’à se dédoubler. Arthur soupira longuement, et, quand il rouvrit les yeux, il sentait cette puissance exquise en lui.
« Oh, Maîtresse, vous m’avez offert un sacré cadeau… De quoi vous baiser très fort ! »
Sans attendre plus longuement, il se rapprocha d’elle, et la mit à quatre pattes. Sa main gifla sèchement le cul de Valeria, et son autre main empoigna ses cheveux. Il tira dessus, puis enfonça dans la foulée sa verge dans le fondement de Valeria, et l’autre dans sa chatte. Arthur grogna alors, poussant un long soupir, avant de commencer ses puissants coups de reins, la pénétrant avec force.
« Je n’ai jamais baisé une femme aussi bonne que vous, Maîtresse… Ah, quel pied ! »
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 27 févr. 2025 16:17
par Valeria
Enfin le néo-aristocrate céda du terrain. Il empoigna les cheveux de Valeria, démontrant que son désir ne cessait de croître et qu’il en était devenu dépendant. Le désir dominait à présent et le voir petit à petit subir les mutations provoquées par l’acceptation du « don » augurait d’une reddition à venir.
« Hmmmm, tu veux vraiment que je te baise comme la dernière des putes, hein ?! »
L’homme tremblait sous le joug du pouvoir qui le transformait. Son regard changea, son aura muta, galvanisant d’autant plus son esprit, de plus en plus esseulé dans son humanité déliquescente. Son corps prit du volume, sa queue enfla démesurément. Assurément, désormais plus aucun humain ne pouvait encaisser pareil attribut sans dommage. Le succube se mit à mouiller fortement, ses sucs imprégnant la verge, ses effluves s’insinuant en Arthur par tous les pores de sa peau.
Les sensations devaient être divines. Valeria les avait elle-même expérimentées plusieurs millénaires auparavant et elle s’en souvenait encore. Rien ne pouvait remplacer ni même approcher un rapport avec un succube.
Elle le laissa se dégager, il devait continuer sa transformation. Il se concentra, semblant savoir ce qu’il voulait. Le pouvoir dont il était doté suivit les impulsions, Arthur muta. Sa peau durcit, son corps grandit encore. Des cornes jaillirent de son front, deux énormes ailes noires déchirèrent la peau de son dos pour se libérer de leur carcan. Son sexe prit des dimensions à l’aune de sa transformation, faisant se mordre la lèvre d’envie à sa Maîtresse. Puis elle se dédoubla !
« Ah ! Là tu deviens intéressant mon salaud !
- Oh, Maîtresse, vous m’avez offert un sacré cadeau… De quoi vous baiser très fort ! »
Il s’avança alors sans attendre, la retourna comme une poupée pour la mettre à quatre pattes. Elle feula de désir, remonta sa croupe vers lui. Il la gifla sèchement, le claquement prenant le dessus un court instant sur les bruits orgiaques qui émanaient du rez-de-chaussée.
« Awww ♥♥♥ »
Et soudain il fut en elle. Plus aucune retenue, il avait capitulé devant ce corps si délicieux. Ses deux verges la pénétrèrent sans façon, puissamment, brutalement. Elles écartèrent ses chairs pour la soumettre, elle ploya sous le poids de son corps devenu si lourd, si imposant. Les queues trouvèrent sans effort les chemins de son intimité, les conquirent en quelques ahans violents.
« Je n’ai jamais baisé une femme aussi bonne que vous, Maîtresse… Ah, quel pied ! »
Valeria adorait. Il se mit à la matraquer et elle se soumit de bonne grâce, ses bras cédant petit à petit jusqu’à se retrouver le visage contre le sol, bras écartés, ses mains s’ouvrant et se refermant spasmodiquement au gré des coups de boutoir qui la défonçaient enfin.
« Tu… Tu te débrouilles… pas mal… Mais tu peux sans doute faire encore mieux, non ? »
Elle se mit à jouer de ses muscles intimes autour des verges. Elle savait cette caresse affreusement efficace. Même certains Princes-Démons y avaient succombé – d’accord, des Princes-Démons parmi ceux dont les attributs étaient très loin du sexe, mais des princes-Démons quand-même.
Elle soupira et les couilles d’Arthur faillirent sortir de ses bourses.
Elle se mit à rouler des hanches, se servant des élans brutaux pour mieux encore stimuler de ses parois les verges détrempées de ses sécrétions. Elle doutait qu’il tienne encore ne fut-ce qu’une demi-minute à ce rythme.
Une ultime provocation avant de voir. Avant de sentir. Elle voulait son sperme. Oh oui elle le voulait. Là. Maintenant. Une dose massive dans ses deux orifices assoiffés. Et après…
Oui, après…
« Viens… Enflamme mes entrailles de ton foutre brûlant… »
Maîtresse… Il n’avait pas attendu longtemps pour lui donner ce nom. Il lui donnerait bien plus. Et elle prendrait tout. Absolument tout, jusqu’à ce qu’il soit absolument, totalement, irrémédiablement sien.
Re: Sexe, Parfum, et Conspiration [Valeria]
Posté : 05 mai 2025 01:16
par Arthur Duroy
Arthur frémit. Ce qu’il ressentait, c’était… Incroyable ! Ce mélange de puissance, de force, et de désir… Arthur avait toujours vu les autres comme des proies, des femmes à conquérir, des pions agréables qu’il baisait avec énergie, mais dont le but était d’asseoir son propre pouvoir. Cette influence, Valeria la désirait, mais lui était sous son charme. La beauté de cette femme, sa soif de sexe… Tout ça l’enivrait. Il voulait la posséder, il voulait être proche d’elle. Arthur sentait en son for intérieur qu’il ne pourrait jamais la dompter, mais, s’il pouvait devenir son bras droit… Il sentait que sa transformation n’était pas encore achevée, il sentait ce pouvoir incroyable en lui. Arthur frémit donc encore, et, quand Valeria lui ordonna de jouir, il soupira à nouveau. Elle lui demanda de l’emplir de son foutre, et il grogna doucement.
«
O-Ouais, hmmm… Vous remplir de foutre, hmmm… J’en ai tellement envie, Maîtresse… »
Il se pencha vers elle, et empoigna à nouveau les longs cheveux bruns de Valeria. Il la coucha sur le côté par rapport à lui, et la prit sur le flanc, en empoignant ses chevilles. Valeria était suspendue en l’air, pouvant s’appuyer sur le mur, tandis qu’Arthur la besognait avec fureur, donnant de solides coups de reins. Le corps de sa Maîtresse filait d’avant en arrière, et, dans un ultime râle, les deux verges d’Arthur se relâchèrent en elle.
«
Raaaaaahh… !! »
Dans un grand râle, Arthur balança la purée. D’épais chapelets de foutre jaillirent dans la chatte et dans le cul de Valeria. En grognant encore, Arthur continua à la remplir, jouissant généreusement. Quand la vague de foutre se calma enfin, il relâcha sa Maîtresse, qui sentit la gravité s’appeler à elle. Elle tomba sur le sol, et reçut encore une rasade de foutre sur son corps. Arthur grogna ensuite, soufflant longuement, et sentit après cet orgasme son corps mûrir encore.
«
C’est… Maîtresse, ce pouvoir que vous m’avez fait… »
Arthur sentit l’énergie jaillir de lui. Son corps enfla encore, et une sorte de couche noirâtre vint le recouvrir. Son torse enfla généreusement, et une toison rouge se forma au milieu de son torse, tandis que son corps se recouvrait de ce slime noirâtre.
«
Haaaaa… !! »
Il était impossible pour lui de devenir un démon à part entière, mais l’influence de Valeria lui permettait de s’en rapprocher. Quand il rouvrit les yeux, ce fut pour revêtir
sa nouvelle apparence. Massif, puissant, sa solide queue pendouillait entre ses jambes, tandis Que des tentacules pointaient de son dos, formant comme des serres. Il avait également une longue queue caudale noire. Plus grand, plus massif, il dominait joyeusement Valeria… Arthur l’observa lentement, semblant plus apaisé, comme s’il acceptait sa nouvelle forme.
Puis, dans un soupir, Arthur s’agenouilla respectueusement devant sa Maîtresse.
«
Maîtresse… Je suis désormais votre obligé, votre chevalier… Ce don que vous m’avez fait… Jamais je ne me suis senti aussi puissant, aussi fort, aussi vivant. Je ne pourrais jamais vous remercier autant pour ce que vous m’avez offert, Maîtresse. Je vis désormais pour vous servir… Je vous aime, Maîtresse. »