Même s'il s'agissait du souhait d'un clone, les trois parlaient pour une seule voix, c'est pourquoi ce que Kiriko soldate ou edorasienne disait, serait tout aussi sortie de la bouche de la jeune mariée. Oui, enfante un clone n'avait aucun intérêt, mais la vraie Sha savait ce qui lui restera à faire. Ce n'était pas à mini-Sha, Sha-Milf, musclée ou autre de venir enfanter la jeune mariée, c'était à la vraie déesse. Et sur ça, Kiriko le savait déjà, depuis longtemps. Son premier enfant, Arya, ce serait de cette Sha qu'elle tombera enceinte, cette même femme qui, sous sa forme divine avait un aspect noir, presque effrayant. C'est ainsi qu'elle l'avait sauvé, c'est ainsi que Kiriko était aussi tombée amoureuse de cette dernière. Pour leurs prochains enfants, elle ne la forcera pas à reprendre cette forme, mais il faut bien marquer le coup, ce sera leur première petite sorcière, la première d'une longue lignée. La belle Kiriko en yukata glissait le long de son corps nue pour se retrouver face à sa divine verge qu'elle prenait en bouche, offrant à cette déesse, la plus douce de toutes les fellations. Elle aurait pu lui pomper le dard de suite jusqu'à s'en étouffer, mais c'était plutôt une action valable pour la Celkhane. Les trois pourraient le faire, avec joie, mais actuellement, c'était la soldate qui aurait pu agir de suite comme ça avec sa femme.
Tenant sa queue à la base, elle la suçait délicatement en gémissant, offrant à la divinité. Tout dans la douceur, elle supportera les envies de cette dernière, mais elle ne précipitait aucunement les choses, elle y allait doucement, savourant le goût unique de son divin membre en bouche, elle aspirait fortement sa lance, creusant ses joues en levant parfois les yeux vers elle. Son regard conquit, ses petites lunettes, Kiriko était d'une beauté redoutable, Sha n'avait pas fini de laisser parler ses fantasmes en sa compagnie, même si sa combinaison Celkhane à elle seule suffisait à envoûter Sha. Kiriko n'était pas la plus douée des sorcières, mais elle savait obtenir de sa déesse toute son attention. Sa main de libre remonta le long de sa cuisse, glissant entre ses cuisses, allant caresser sa fente intime, sa paire de bourses ou qui sait, les deux ? Tout était possible avec une déesse pareille. La vraie Kiriko, prise en sandwich entre deux âges, se laissait baiser le cou par la forme plus âgée de sa femme, téter par sa forme plus jeune alors que la vraie Sha venait près d'elle, cueillant un baiser de sa femme en tenue de mariée. Avouant sans gêne son amour. Il n'était hélas pas possible de rougir plus que ça pour Kiriko, mais elle était flattée par cet aveu de sa femme.
« Mmmmmh, moi aussi, mon amour... Han, je t'aime plus que tout... »
Seuls leurs enfants auraient une chance de détrôner Sha, mais Kiriko ne pourra les aimer que comme une maman, pas comme une épouse. Même si l'idée de l'inceste était encore bien loins, car, même pour y songer, il faudra plus d'une dizaine d'années avant de tâter le terrain, rien ne retira l'amour entre elles, un amour à plusieurs visage où Kiriko avait eu bien des noms et des apparences, mais ce même amour a toujours été cultivée pour durer entre elles. Enfin, pour le dernier couple, la douceur était bien loin de ces autres exemples, car le sexe allait avoir sa forme la plus bestiale pendant que la grande Sha dominait son épouse, pétrissant son cul parfait avant de lui déchirer ce qui bloquait son accès, laissant la divinité profiter pleinement du meilleur cul de Terra.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN !!!!!!!!!!!!! »
Sans aucune retenue, Kiriko hurlait, s'agrippant aux draps alors que Sha commençait à la prendre, sans aucune douceur, faisant cogner son bassin contre elle, elle était remuée, sa crinière tirer par la déesse, le sexe à l'état pur ! Si jamais Kiriko a été une sorte de sauvage dans sa vie passée, leur amour a dû ressembler à ça lors de cette époque. Elle supportait les coups de butoir, sa puissante verge remuant en elle, grognant comme une bête, Kiriko n'était en rien malheureuse, au contraire, elle profitait entièrement de ce privilège, jetant de l'huile sur le feu, car c'est ce que toutes les deux attendaient.
« Allez ! Plus fooooort ! Haaaaan ! Défonce-moi le cul... grossie ta bite en moi ! »
Leur amour avait plusieurs formes, plusieurs visages, de la plus douce des fellations, à la déclaration la plus pure ou au sexe le plus sauvage et vulgaire entre elles. Oui, c'était ça l'amour, pouvoir porter n'importe quel masque entre elles et s'aimer toujours autant. Les autres couples ont le droit de ne pas aimer certaines formes, d'un commun accord, pourquoi se forcer après tout, mais quand les deux cœurs battaient à l'unisson, pourquoi s'en privé ! Leurs invitées auront bien du mal à égaler de telles partenaires, mais on n'était pas à l’abri d'une surprise.