Du nom du fondateur légendaire du Japon, le lycée public Jimmu est un lycée très connu de Yoake, source de bien des rumeurs et de bien des légendes...

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Poison Ivy
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Ivy avait eu un superbe orgasme. Sa queue végétale s’était gonflée, avant de se relâcher brusquement. C’était une véritable verge tentaculaire, que Pamela pouvait volontiers étirer à loisir... Mais elle préférait avoir un sexe raisonnable. Après tout, avec ce tentacule, elle avait un véritable phallus, car cette plante végétale était reliée à son corps, comme collée à sa peau. Pamela soupirait lentement après avoir si copieusement joui. Elle avait... Elle avait perdu le contrôle ! Ses doigts s’étaient fortement crispés sur les cheveux de Chloé, et, pendant quelques instants, rien d’autre n’avait existé à ses yeux que son orgasme. Un puissant orgasme, vu qu’elle était psychiquement reliée à ses tentacules. Il lui semblait même avoir hurlé pendant quelques secondes, avant de se raidir sur place, et de jouir copieusement. Cette sensation perturbante, cette aliénation totale, elle l’avait ressentie avec peu de personnes en ce bas monde. Il y avait eu Harley Quinn, et... Sa belle Chloé.

Pamela observa brièvement son pouce, bien humide, prenant conscience de la perversion de son élève. Elle était masochiste, mais indéniablement une grosse fétichiste. Ivy sourit alors, tout en l’observant encore. C’était une magnifique crème blanche, avec du sperme recouvrant tout le haut de son corps. Un sperme végétal assez particulier, qui dégageait une douce odeur de fleur, ressemblant vaguement à de la vanille, et qui adhérait plus facilement à la peau. Chloé s’amusa à caresser son propre corps, tirant sur le sperme, l’étalant doucement, semblant s’en amuser, une lueur épanouie dans les yeux.

Elle redressa ensuite son visage, et observa avec le sourire la verge végétale d’Ivy. Légèrement trempée, elle était encore tendue, et Pamela, elle, se rappelait de cette exquise sensation de chaleur et de tendresse dans les seins moelleux de Chloé, dans sa grosse et voluptueuse poitrine. Elle-même s’en étonna, et finit par revenir à elle quand elle sentit sur sa queue le souffle des lèvres de Chloé. La jeune femme en avait encore très envie, et lui rappela qu’il allait sans doute falloir appeler l’internat. Pamela sourit doucement, et frémit ensuite quand la main de Chloé vint tendrement la masturber, une main maculée de son sperme.

« Hmmm... Oui, tu as raison, ma choupette... Car je ne compte pas te libérer si rapidement, tu sais... »

Pamela sourit doucement, une lueur malicieuse dans les yeux. Oh ça non ! Sa petite Chloé... Et Ivy réalisa qu’elle employait naturellement le possessif en parlant d’elle. Chloé était sa Chloé ! Ivy se pinça doucement les lèvres quand Chloé ouvrit très grand ses lèvres, orientant le sexe de Pamela vers sa bouche. Pourtant, Ivy n’avait donné aucune instruction, aucun ordre... Mais elle ne pouvait qu’apprécier la spontanéité naturelle de Chloé, son envie rapide et sincère de lui faire copieusement et sans relâche l’amour.

Rapidement, Chloé passa à l’offensive, avec la complicité tacite de Pamela, qui frémit en sentant sa magnifique bouche sur sa queue, les petites et douces mains de la jeune femme glissant sur son corps, à la base de son sexe, et s’appuyant sur ses fesses. Et, tout aussi rapidement, Chloé put à nouveau sentir une main se poser sur ses cheveux. Ivy crispa encore ses doigts dans sa chevelure, tandis que, avec l’autre, elle récupérait son téléphone portable. Elle s’en servit pour contacter le secrétariat de l’internat, et ferma les yeux pendant quelques secondes, soupirant doucement, avant de reprendre son calme.

Contre son oreille, le combiné se mit à sonner, et elle parla soudain :

« Allô ?... Oui, bonjour, Madame, je suis Isley-sensei... Hm... L’une de vos pensionnaires, oui... Chloé Faure... Hmm-hmmm... »

Elle posa le téléphone contre sa poitrine tout en regardant Chloé, qui releva les yeux vers elle, comme pour la provoquer.

« Tu veux me faire perdre mon calme, hein... ? Hmmm, quelle énergie, Chloé, mais... Je t’apprendrais l’impertinence ! »

Dans le dos de Chloé, un tentacule se déplaça, et glissa vers le sol. Chloé étant agenouillée, son petit cul était laissé à l’air libre, et le tentacule se mit à la fouetter doucement, faisant vibrer ses fesses à chaque claque, tandis que, dans le combiné, la secrétaire recherchait le dossier de Chloé Faure. Pamela soupira à nouveau. Elle entendit les bruissements spongieux du corps de Chloé, ses seins recouverts de sperme heurtant ses genoux, laissant quelques légères traînées... Mais, de manière générale, le sperme tenait bon, adhérant à la peau de Chloé, formant une sorte de superbe seconde couche pour la jeune femme.

En ligne, la secrétaire reprit alors la conversation, tandis que Pamela se dandinait doucement sur place, et que son fouet s’abattait à nouveau sur le cul de Chloé, amenant cette dernière à couiner. Comme pour la punir, Pamela maintint brusquement la tête de la jeune femme contre son sexe, la forçant à prolonger une longue gorge profonde.

« Oui, ouiii, hmmm... »

Puis elle relâcha la tension, et poursuivit à nouveau :

« Lààà, ouiii, Chloé... Ma petite Chloé ne pourra pas revenir ce soir, je... Elle est hébergée chez moi, car nous travaillons ensemble sur un projet, et cela finira tard, oui... Hmmmm... »

Ce genre d’appels étaient assez fréquents, mais Ivy avait clairement du mal à se retenir, et n’avait même pas réalisé qu’elle avait à nouveau inconsciemment usé le possessif pour désigner la jeune femme. Quoi qu’il en soit, il était assez commun que les élèves de l’internat soient domiciliés à l’extérieur, et, comme les parents de Chloé étaient originaires de France, il faudrait juste que Pamela signe une décharge indiquant que Chloé résidait chez une personne de confiance.

« Oui, j’irai la signer demain, hmmm... Il est à craindre qu-Que Chloé dorme encore chez moi, c’est... C’est un gros projet, hmmm... Déterminant pour son avenir ! »

Sa queue l’élançait de plus en plus, mais, pour perturber Chloé, un tentacule phallique se rapprocha brusquement, et heurta sa joue, la caressant. Peu à peu, la main de Chloé à la base de la verge d’Ivy devenait inutile, de sorte que sa main allait trouver de quoi s’occuper... Comme ce tentacule phallique...

...Ou peut-être rejoindre sa consœur pour s’occuper pleinement du délicieux cul de sa Maîtresse ?
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Chloé Faure
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Chloé avait beau être d'un naturel soumise et masochiste, elle n'en était pas pour autant passive, et quand une occasion se présentait, elle hésitait rarement à sauter dessus. Effectivement, Isley-senseï ne lui avait pas donnée comme instruction d'aller la sucer, mais elle était à genoux devant elle, et sa queue végétale était toujours aussi tendue, assoiffée, même après lui avoir couvert les seins d'une généreuse couche de sperme. La prendre dans sa bouche avait donc semblé très naturel pour la jeune Chloé, qui avait une irrésistible envie de faire l'amour à sa professeure , et surtout, surtout, la sucer pendant qu'elle était en train d'appeler l'internat.
La "punition" était un élément essentiel de toute relation entre une soumise et sa dominatrice, qui devait alors trouver des excuses pour initier leur petit jeu, mais Chloé semblait être du genre à donner elle même ces excuses. Rien que tout à l'heure, lorsqu'elle avait affirmée se masturber pendant les cours d'Isley-senseï, le but recherché avait bel et bien été celui là. Elle avait d'ailleurs même menti à ce sujet, car elle n'avait jamais fait ça, mais ça lui était venu comme ça, une inspiration subite, avec la certitude que sa maîtresse allait lui donner la fessée qu'elle cherchait tant. Honnêtement, Chloé était elle même en train de se découvrir, car c'était bien la première fois où elle pouvait vraiment se lâcher, vraiment laisser cours à ses fantasmes et ses envies, car elle se trouvait en compagnie de quelqu'un qui ne la jugeait pas, et qui était sur une longueur d'onde tout à fait compatible avec elle, parfaitement même.
C'est donc tout naturellement que la jeune lycéenne ouvrit grand la bouche pour prendre cette verge végétale entre ses délicates lèvres, une main à la base de ce sexe pour le branler, l'autre posée sur l'une des fesses fermes de sa senseï.

Hmmmm... ♥

Chloé poussait sans aucune honte de délicieux soupirs, adorant vraiment avoir la bite de sa professeure dans sa bouche, et cette dernière d'ailleurs avait un peu de mal à garder sa concentration alors qu'elle parlait. Il fallait dire que toute timide qu'elle soit, Chloé avait déjà une certaine expérience dans le domaine, la pipe était un préliminaire que n'importe quel garçon demandait, mais là en prime, Chloé était absolument motivée.
Au bout de quelques instants, la jeune femme sentit un tentacule dans son dos commencer à lui fouetter son petit cul, juste au moment où Isley-senseï crispa sa main libre sur ses cheveux, pour la "forcer" à lui faire une longue gorge profonde. Chloé avait eu juste le temps de le sentir venir, et avait pu donc prendre une grande inspiration avant de sentir sa tête se faire plaquer contre le corps de sa professeure, avec la totalité de sa verge enfoncée dans sa bouche, glissant en profondeur dans sa gorge.

Ghhhh...Glrup...

A mesure que l'air commençait doucement à lui manquer, Chloé sentit quelques larmes perler de ses yeux, non pas qu'elle aie peur, c'était juste une réaction naturelle du corps. Elle avait intégralement confiance en sa senseï, qui effectivement relâcha sa prise pour lui permettre de reprendre son souffle. Chloé se retira entièrement, et plusieurs filets de bave la reliait encore à cette verge. Elle prit le temps de prendre quelques inspirations, avant d'y retourner d'elle même, en s'enfonçant entièrement le long de cette grosse queue végétale. Déterminée à enchaîner les gorges profondes, Chloé posa alors ses deux mains sur les fesses de sa senseï, qui étaient déjà la source de nombreux fantasmes pour la jeune femme.
La belle lycéenne remuait donc sa tête frénétiquement, d'obscènes sons s'échappant de ses lèvres alors qu'elle fourrait cette grosse bite dans sa gorge, et que de la salive s'en échappait pour tomber au sol ou sur ses gros seins. Dans le procédé, Chloé avait été tellement occupée qu'elle n'avait pas prêtée attention au tentacule qui avait délicatement tapé contre sa joue, mais ce dernier trouva bien un endroit où se fourrer, et Chloé laissa échapper un soupir quand elle le sentit se glisser entre ses seins, et commencer à remuer contre ses deux masses mammaires couvertes de sperme.
Isley-senseï en avait-elle déjà fini avec le secrétariat de l'internat ? Elle était bien incapable de le dire, Chloé se trouvait en effet presque dans un état second, bien trop occupée à donner la pipe de sa vie à sa professeure, et s'apprêtant à recevoir une nouvelle décharge de sperme...

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Poison Ivy
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La pauvre Chloé n’arrivait même pas à suivre ce qu’Ivy était en train de dire dans le téléphone. Elle était... Comme possédée, totalement subjuguée par tout ce qu’elle vivait. Elle pompait avec appétit le dard de Pamela, une belle queue qui n’avait pas à rougir des phallus masculins. Cette verge tentaculaire et florale pouvait même gonfler, et gagner en taille ou en épaisseur. Elle était l’expression de la nature mutante et hybride de Pamela, qui crispait fréquemment sa main sur les beaux cheveux soyeux de son étudiante. C’était difficile à concevoir, surtout pour elle, mais, en une soirée, sa belle, Chloé avait réussi à se hisser au sommet des personnes que Pamela appréciait, presque au même palier qu’Harleen. Quel appétit, enfin ! Elle se cramponnait sur sa verge, s’étouffant lors des gorges profondes d’Ivy, qui ne lui épargnait rien.  Ainsi, un tentacule venait régulièrement fouetter le délicieux cul de Chloé, lui arrachant des couinements à chaque coup, tandis que, entre ses seins, un autre tentacule venait de se loger, remuant doucement. Il se tortillait contre ses seins, remuant longuement, tout en vibrant doucement, se frottant sur sa peau, répandant autour de lui un léger mucus qui permettait de lubrifier le corps de Chloé.

« Hmmm... »

Pamela avait du mal à se concentrer, au fur et à mesure que sa partenaire continuait son office. Mais elle voulait la faire jouir, tout en l’amenant à se focaliser exclusivement sur sa queue. C’est ce qui amena Pamela à approcher un autre tentacule phallique, qui alla entre les cuisses de Chloé, et glissa contre ses lèvres intimes. Il ne la pénétra pas, mais alla plutôt la masturber, remuant contre ses lèvres intimes, avant de se mettre à vibrer à son tour, tout en remuant sur place, et en filant d’avant en arrière. Les vibrations résonnaient sur la douce peau de Chloé ainsi que sur ses poils pubiens, de quoi donner à la femme des frissons particulièrement exquis.

Mais Chloé, elle, continuait à pomper son dard, creusant ses joues, gémissant de plus en plus, tout en commençant à suer. Ivy avait fini par déposer son téléphone, et l’observait silencieusement, avant de gémir encore. Des rougeurs vinrent décorer ses joues, témoignant du plaisir féroce qu’elle était en train de ressentir en ce moment.

« Oh C-Chloé, hmmm... »

Sa belle étudiante mouillait sur son tentacule, tandis que sa queue devenait bien grosse. Un membre veineux et impatient, juteux, sur le point d’exploser dans sa bouche, de relâcher une épaisse quantité de foutre, et ce au fur et à mesure que Chloé la pompait. Pamela se décolla même du bureau, afin d’amener les deux mains de Chloé à s’appuyer sur ses fesses. Elle-même posa ensuite ses deux mains sur sa tête, et remua progressivement, se déplaçant en harmonie avec Chloé, crispant régulièrement ses doigts sur ses cheveux.

Ivy pouvait jouir, mais elle se retenait, voulant d’abord faire jouir Chloé, comme une manière de marquer instinctivement sur elle sa supériorité. Mais, plus elle était excitée, et plus ses tentacules étaient voraces. Celui le long de ses seins se frottait contre son menton, celui sur les fesses de Chloé la fouettait davantage, et le tentacule phallique la masturbant se gorgeait de sa mouille, vibrant à chaque fois, s’appuyant encore sur elle.

« J-Jouis, ma belle, jouis, et... Hmmm... Prépare-toi à recevoir du foutre de partout ! »

En effet, Pamela ne comptait pas jouir uniquement avec sa queue. Son orgasme impacterait également les autres tentacules, et risquait encore de recouvrir Chloé de foutre... En tout cas sur les seins, le bassin, les cuisses, et, bien évidemment, sur son adorable petit cul.

Mais qui irait s’en plaindre ?
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Re: Masochisme [Chloé Faure]

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Chloé Faure
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Sa maîtresse était en train d'arriver au point de rupture à nouveau, Chloé pouvait le sentir et elle en était presque sûre, vu la façon dont Isley-senseï commençait à avoir du mal à parler. Elle raccrocha enfin le portable, et pu ainsi complètement se concentrer sur sa jeune élève, qui lui offrait vraiment une fantastique pipe. Même si elle avait de l'expérience, Chloé était loin d'avoir le "niveau" de certaines de ses camarades, car elle était relativement nouvelle à Jinmu, et avait vécue avant ça une vie pour le moins...chaste. Mais ce qu'elle n'avait pas en expertise, elle le compensait largement par son envie impérieuse de sucer la queue de sa senseï, elle n'hésitait pas à aller d'elle même bien profondément, à s'empaler sur cette verge végétale pour la prendre entièrement en bouche.

Glurp...Slllllllrp...

La belle lycéenne s'appliquait avec toute sa volonté et son envie pour bien sucer sa professeure, qui était la seule à avoir réussi à la mettre dans un état pareil. Il fallait dire, qu'en plus d'être sa professeure, Isley-senseï contrôlait aussi des tentacules, et était absolument magnifique. Isley-senseï était absolument parfaite, parfaite, et incarnait à la perfection le rôle de la maîtresse dominatrice dont Chloé rêvait depuis qu'elle assumait ses penchants de soumise masochiste.
Tandis qu'elle sucait avec gourmandise la queue de sa maîtresse, cette dernière décida par ailleurs d'amener un autre tentacule dans l'équation. En plus de celui qui se frottait entre ses seins déjà couverts de sperme, et celui qui lui fouettait agréablement son petit cul, Chloé en sentit alors un troisième venir vers elle, et plus spécifiquement, se glisser entre ses cuisses. La jeune femme écarquilla les yeux et se crispa instinctivement de plaisir en le sentant venir coulisser, de tout son long, et vibrer contre ses lèvres intimes, lui faisant l'effet d'un vibromasseur, mais en beaucoup plus organique, chaud...et gourmand.

MGNNNNNGLRP !!!! ♥

Chloé en aurait hurlée de plaisir si elle n'avait pas la massive queue de sa senseï déjà en bouche, la belle se mit en tout cas à trembler sur place en sentant ce tentacule assoiffé se frotter contre son intimité, en insistant particulièrement sur son clitoris, et en se gorgeant de sa mouille qui coulait alors bien à flots. Dans le même temps, Isley-senseï posa ses deux mains sur la tête de Chloé, pour accompagner ses mouvements, tandis que la jeune femme crispa encore d'avantage les siennes sur les fesses de sa professeure. Chloé accentua encore ses mouvements de va et viens avec sa bouche le long de cette grosse queue, qu'elle commençait à sentir tressauter, signe qu'elle allait jouir sous peu, et Chloé elle même...se relâcha.

GMMMMMMMMGNNNNNN !!!!! ♥♥♥♥♥♥

Le corps de Chloé se mit à se crisper en cascade sous l'effet d'un puissant orgasme qu'elle avait, jouissant sans retenue alors que Isley-senseï, pour sa part, en fit de même. Mais la professeure ne se contenta pas de juste cracher une belle quantité de foutre chaud directement dans la gorge de son élève, ses tentacules aussi se mirent à jouir, en même temps. Chloé eu la délicieuse impression de se retrouver sous une douche de sperme, alors qu'elle sentait de gros filaments être crachés sur plusieurs endroits de son corps, son cul et son dos, son bassin et ses cuisses, ainsi qu'encore une fois son opulente poitrine. Par ailleurs, du sperme coula également de sa bouche et le long de son menton, car elle ne parvint pas à complètement avaler tout ce que Isley-senseï lui crachait dans sa petite bouche de pute. Sa professeure resta ainsi un moment, à lui juter dans la bouche et sur son corps, et quand finalement elle se retira de la bouche de son élève, cette dernière était tellement heureuse qu'elle avait l'impression d'être sur un petit nuage. Plusieurs filets de salive reliaient d'ailleurs encore la queue d'Ivy à la bouche de son élève, alors que cette dernière poussait des petits gémissements de plaisir, à la fois alors qu'elle reprenait son souffle, mais aussi parce qu'elle sentait ce sperme chaud couler le long de son corps et de sa peau douce.

Maîtresse...

Oh qu'est-ce qu'elle avait chaud ! Jamais encore personne n'avait réussi à a mettre dans un tel état, d'excitation, de soumission, et d'admiration. Chloé n'avait même pas besoin de jouer un rôle ici, pas vraiment en tout cas, car elle se sentait vraiment comme la soumise de sa professeure, et se plaisait à croire que puisque sa senseï voulait l'inviter chez elle...c'était réciproque. Les mains de Chloé se déplacèrent alors, de l'une elle commença à se masturber, en se glissant deux doigts dans sa petite chatte humide, et de l'autre, elle commença à branler délicatement la grosse verge d'Ivy.

Maîtresse s'il vous plait...je...votre petite pute a tellement faim...je...oh pitié venez me baiser maîtresse, je vous en supplie !

Chloé n'en pouvait en effet plus. Depuis qu'elle avaient commencé leur petite session, Chloé avait joui à quelques reprises, mais pas encore une seule fois Isley-senseï n'avait daignée vraiment la pénétrer, pas une seule fois ! Chloé avait terriblement envie de sentir sa professeur la prendre, la baiser, là, maintenant...il n'y avait aucune chance qu'elle puisse attendre d'avantage.

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Poison Ivy
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Ce puissant orgasme l’avait autant assagi qu’excité. Pamela sentait clairement quelque chose d’inhabituel chez elle. Même chez Harley Quinn, le courant n’était pas passé aussi vite. Initialement, Pamela avait surtout vu en elle un excellent cobaye humain, et s’était peu à peu attachée à elle, en constatant que, derrière son côté hurluberlu et déluré, il y avait une femme intelligente, pouvant faire preuve d’une étonnante lucidité. Mais, là, face à Chloé, le courant était instinctif. Il n’y avait pourtant rien d’alraune chez elle, elle n’était qu’une humaine… Mais quelle humaine ! Pamela venait de jouir copieusement en elle, et sur elle. Elle se pinça doucement les lèvres en l’observant, et fronça alors les sourcils quand Chloé se masturba, tout en masturbant sa verge. Sa queue végétale était encore bien tendue, et Pamela grogna alors. Un tentacule jaillit de son genou, et s’enroula autour du poignet de Chloé, l’empêchant de se masturber encore.

« Sauf à ce que je t’en donne l’ordre, Chloé, tu ne dois plus te caresser intimement. C’est désormais moi qui te masturberai ! Maintenant, regarde ma main, je veux te montrer quelque chose… »

Pamela ne lui avait pas encore montré toutes ses capacités. Elle savait que Chloé avait très soif, mais… Justement, regarder cela ne serait pas dénué d’intérêt. Depuis les lunules de ses ongles, un liquide émergeait dessous, légèrement blanchâtre.

« Je peux sécréter du sperme depuis mes doigts, petit trésor… Ainsi que ta mouille. Tu as bien joui sur mon tentacule, et il l’a absorbé. Je peux ensuite le redistribuer par d’autres parties de mon corps. N’oublie pas que je ne suis qu’à moitié humaine, Chloé. Maintenant, ma petite catin assoiffée de sexe, relève-toi, je vais te baiser bien fort. Couche-toi devant moi, pose ton petit cul sur le bureau. »

Elle n’allait pas le prendre par l’arrière, car elle savait que Chloé était encore vierge par là. La sodomie viendrait plus tard. En attendant, le sperme sur son corps s’avérait assez collant, les tâches se maintenant. Chloé était clairement en manque, mais obtempéra, regardant sa Maîtresse d’un air suppliant, écartant les jambes, dévoilant sa chatte. Ses poils pubiens étaient trempés, et Ivy se rapprocha d’elle. Sa queue tendue caressa l’intérieur de ses cuisses, et elle glissa deux doigts dans le sexe de Chloé, titillant ses lèvres intimes, et recueillit un peu de mouille, qu’elle lécha doucement.

« Oui, tu trempes comme une fontaine, ma pauvre… Normalement, je devrais te ramener chez moi, et te baiser toute la nuit, mais tu risques d’avoir du mal à tenir pendant le trajet, alors… »

Pamela se pencha vers elle, et l’embrassa chaudement sur les lèvres. Autour de sa verge, quelques petits tentacules jaillirent, et se posèrent sur le corps de Chloé, autour de ses lèvres intimes. Deux petits tentacules se glissèrent même entrez ses lèvres intimes, et les écartèrent doucement. De cette manière, Ivy n’avait pas besoin d’attraper sa queue pour la diriger, car celle-ci se guidait d’elle-même. Par ce biais, Pamela put attraper d’une main les cheveux de Chloé, les serrant fortement, et, de l’autre, glissa sa main contre son dos, et la posa sur ses fesses. Elle releva doucement Chloé, puis la poussa en avant.

Chloé s’étala brusquement sur le bureau, et la queue de Pamela se planta alors en elle. Son dard la fit hurler, et s’enfonça d’un coup brusque et humide jusqu’à la garde.

« Hmmm… PUTAIN, ma SALOPE, tu mouilles comme un océan ! » s’exclama alors Ivy, posant ses deux mains sur ses hanches.

Elle se demandait presque si Chloé n’avait pas joui en sentant cette queue s’enfoncer dans son corps, tant cette zone était humide. Se pinçant doucement les lèvres, Ivy commença alors à remuer, s’enfonçant en elle, glissant d’avant en arrière, enfonçant doucement sa trique dans son corps. Elle grogna alors, et se pencha, après plusieurs minutes, brusquement en avant. Elle embrassa Chloé sur les lèvres, puis s’écarta ensuite, et apposa contre ses lèvres deux de ses doigts, les lunules diffusant un liquide séminal, qui partit dans la bouche de Chloé.

Souriant malicieusement, Pamela embrassa le creux de son cou, lécha cette peau, et la mordilla ensuite :

« Là, ma petite traînée… C’est bon, hein ? Bois bien, ma petite affamée. Tu es ma petite pute à moi, Chloé, ma merveilleuse traînée, et je vais te baiser bien fort, là, dans ce bureau, mais aussi dans ma voiture, et toute la nuit chez moi. Je vais défoncer ton divin corps de salope dans tous les sens jusqu’à ce que l’aube se lève, et tu auras beau me supplier d’arrêter, je continuerai encore… Et encore ! »

De quoi la ravir, non ?
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Re: Masochisme [Chloé Faure]

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Chloé Faure
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Chloé était à ce stade là, autant terriblement heureuse que frustrée, Isley-senseï l'avait pourtant déjà fait jouir à plusieurs reprises, que ce soit à l'aide de ses doigts ou de ses tentacules...mais la jeune lycéenne avait profondément envie de la sentir se glisser en elle...de la baiser, tout simplement ! Chloé n'avait pas tellement réfléchie au fait de se masturber elle même, tout en branlant la queue végétale tendue de sa maîtresse, ça avait été instinctif...et elle fut surprise lorsqu'elle sentit un tentacule s'enrouler autour de son poigner, et ôter sa propre main de son intimité.

Que...

Chloé subit alors un bref retour à la réalité lorsque sa maîtresse la gronda, en mentionnant le fait qu'elle n'avait plus le droit de se masturber elle même, et que seule Isley-senseï était désormais à même de le faire.

P-pardon maîtresse !

Emportée dans leur petit jeu de rôles, Chloé se sentit aussi mal sur le moment que si on la grondait pour de mauvaises notes, mais Ivy passa vite à autre chose, et heureusement, car Chloé ne voulait pas que ça se termine sur une note pareille ! Sans trop comprendre pourquoi sur le moment, Chloé regarda les doigts de sa maîtresse, comme elle le lui demandait, avant de remarquer qu'un espèce de liquide semblait être sécrété au niveau de ses ongles. C'était en soi assez surprenant, et ça le fut encore plus lorsque Ivy lui expliqua exactement ce dont il s'agissait, rappellant aussi à son élève qu'elle n'était qu'en partie humaine...mais c'était précisément pour ça que le sexe avec Isley-senseï était aussi...intense ! La jeune femme dégluttit en comprenant que sa maîtresse pouvait sécréter du sperme depuis ses doigts, car Chloé, dans sa très longue liste de paraphilies, avait entre autres le fait d'adorer sucoter les doigts, de la main comme des pieds. La jeune femme, encore une fois, ne s'expliquait pas ce fantasme...mais ce qu'elle savait, c'était qu'elle était complètement hypnotisée par sa maîtresse...qui déclara enfin son intention de la baiser.

Oh maîtresse...tout de suite !

Encore toute tremblante d'excitation, la jeune femme, qui ne portait maintenant plus que ses longues chaussettes, se redressa, et prit place sur le bureau en prenant place assise sur le rebord. Elle écarta ses cuisses, dans une invitation sans équivoque à laquelle sa maîtresse répondit sans plus attendre, elle se rapprocha, et glissa deux de ses doigts dans la fente trempée de son élève, juste pour recceuillir de la mouille.

Han...m-maîtresse !

Elle porta ses doigts à ses lèvres, juste avant de s'approcher encore pour aller l'embrasser. Chloé poussa un long soupir, tout en entourant à l'aide de ses jambes le bassin de sa maîtresse. La pauvre n'en pouvait plus, elle avait tellement envie de sentir enfin sa maîtresse la prendre là, sur son bureau, lui fourrer la chatte encore et encore. Elle fini enfin par l'allonger, en suivant le mouvement...et Chloé sentit enfin sa maîtresse s'enfoncer en elle, d'un coup vif.

HAAAAAAAAA !!!

Chloé se tendit sur le coup, et, surprise, contracta presque immédiatement un orgasme à la suite de cette pénétration qu'elle attendait depuis si longtemps. Ivy se mit à remuer, levant et abaissant son bassin, la baisant en missionnaire alors que Chloé avait les jambes bien écartées, et ses mains posées sur le dos de sa maîtresse. C'était...oh putain que c'était bon ! Une bonne quantité de cyprine s'échappait de l'intimité de Chloé, qui se faisait rammoner par la grosse verge végétale de sa maîtresse. Elle soupirait, couinait comme une chienne, jusqu'à ce qu'Ivy ne lui présente deux de ses doigts...qui sécrétaient du sperme.
La jeune lycéenne se rua dessus, engouffrant ces deux doigts dans sa bouche, et elle les suça, le tout en glissant ses mains sur les fesses d'Isley-senseï pour les empoigner, l'inviter à la baiser bien fort, à remuer dans son vagin détrempé. Elle lui disait des choses tellement obcènes, et Chloé en eut très vite un nouvel orgasme...elle était comblée, heureuse...heureuse d'avoir enfin une maîtresse !

Re: Masochisme [Chloé Faure]

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Chloé était sienne. Définitivement. Quand Ivy s’enfonça en elle, et qu’elle sentit la lycéenne jouir, elle le sut instinctivement. Comme elle avait jadis su, en ramassant Harley à Robinson Park, qu’elle s’occuperait d’elle. Elle le sut donc quand Chloé, dans un gémissement exquis, se mit à jouir. Ivy avait son petit club d’élèves au sien du lycée, des amoureux de la botanique avec qui elle faisait compulsivement l’amour. Des élèves comme Shii, mais elle savait que Chloé ne serait définitivement pas comme les autres. Difficile de dire comment Ivy se sentait vis-à-vis d’elle, car c’était un mélange de sentiments… Comme si elle souhaitait être à la fois sa Maîtresse et son amante. Quand Shii couchait avec Mélinda sans l’en informer, Pamela l’acceptait, mais, avec Chloé… Elle aurait clairement l’impression d’être trompée si Chloé se laissait aller à une aventure extraconjugale sans l’en informer. Oh, cela ne voulait pas dire qu’elle voulait la conserver pour elle-même, bien au contraire… Mais elle se voyait un peu tout à la fois. Sa Maîtresse, son amante… Sa mère, même.

*Elle me rend perplexe…*

Perplexe par ce que sa présence impliquait pour elle. Mais, pour l’heure, les soupirs de Chloé tuaient ses capacités de réflexion. Elle sentit Chloé jouir encore en suçotant ses doigts, et soupira quand la lycéenne posa ses mains sur ses fesses, pinçant son cul, implorant silencieusement sa Maîtresse de la baiser plus fort. Avec ses cheveux roses pastel, les rougissements sur ses joues étaient tout simplement magnifiques. Un spectacle magnifique se mariant à merveille avec ses beaux yeux violets.

« Oh, ma Chloé… Moi, je ne suis pas humaine, mais toi… Une humaine normale ne peut être aussi jolie et gourmande que toi… » déclara-t-elle sur un ton mielleux, doucereux, presque amoureux.

Elle cessa alors de remuer, et sentit les doigts de Chloé se crisper sur ses fesses, un long gémissement de frustration la traversant au bout de quelques secondes. Ivy gloussa alors, et reprit alors. Elle commença même à accélérer, et donna des coups de reins de plus en plus prononcés. Le corps de Chloé se tendit sur place, mais, quand celle-ci fermit les yeux, Ivy, pinça son téton.

« Je veux que tu me regardes, Chloé… Je veux que tu me regardes te baiser tout du long. Je veux voir tes magnifiques yeux quand tu atteins l’orgasme, Chloé… »

Ivy avait cessé de la faire suçoter ses doigts, car elle voulait l’entendre gémir, et même hurler. La voix cristalline de Chloé était un pur régal, et Pamela se lâcha ensuite. Elle accéléra le rythme, la baisant durement, énergiquement. Sa grosse queue s’enfonçait dans les lèvres intimes de Chloé, remontant jusqu’à taper contre son col de l’utérus, donnant des coups qui se faisaient ressentir dans tout le corps de la jeune femme.

« Hmmm… Haaaannn… »

Petit à petit, le plaisir venait également à irradier sur les lèvres d’Ivy, sur son visage. Elle rougissait furieusement, elle se dandinait sur place, sa queue gonflant, le plaisir croissant en elle. Ses joues rouges se mariaient à merveille avec ses cheveux, et Chloé pouvait constater combien sa Maîtresse aimait qu’on lui palpe le cul. Autour d’elles, les plantes semblaient s’illuminer devant le plaisir de leur Maîtresse, et Pamela alla embrasser Chloé, un baiser fiévreux et intense. Sa main se serra furieusement sur ses cheveux, et elle mordilla ses lèvres, avant de rompre le baiser, et de gémir sur place.

Chloé était encore en train de jouir, mais ce nouvel orgasme en arracha un à Ivy. Dans un soupir, elle ferma les yeux pendant quelques secondes, et les rouvrit au moment de la délivrance. Sa queue avait alors gonflé, gonflé tant et si bien qu’elle avait formé comme un nœud à la base, l’empêchant de repartir avant de jouir. Sa verge relâcha d’épaisses quantités de foutre, venant ensemencer le ventre de Chloé, et elle se mit donc à jouir.

Toutefois, Pamela allait vite faire comprendre à Chloé qu’elle était clairement une femme multifonctions. Car, après cet orgasme, sa queue se mit à agir comme certains insectes hermaphrodites. Des insectes féminins dotés d’une verge qui couchaient avec un insecte masculin doté d’un vagin, mais absorbait sa semence en jouissant. Tout autour de la queue de Pamela, son membre se mit à pomper, et absorba des filaments de mouille de Chloé, ce qui n’était pas compliqué, vu comment celle-ci avait joui. La mouille remonta ensuite le long de ses tentacules, sans passer par ses tubes digestifs, ou par son corps. Elle embrassa de nouveau Chloé, et relâcha sa mouille par sa bouche, partageant ainsi avec elle un baiser très humide, au beau milieu du bureau ravagé.

Sa main vint se serrer dans l’une des mains de Chloé, et ce baiser dura bien plusieurs minutes, tandis que la queue d’Ivy remuait encore doucement dans la chatte de Chloé, vibrant doucement. Pamela léchait sa langue, jouait avec elle, jusqu’à se retirer doucement, un épais filet de bave et de mouille reliant leurs lèvres, qu’elle essuya de la langue.

« Bon… Je continuerai bien à te baiser ici, Chloé, mais… Je crois qu’il est temps de rejoindre ma maison, non ? Je ne voudrais pas que tes hurlements ramènent le vigile, car je devrais te partager avec lui… Et, pour ce soir, je te veux rien que pour moi, Chloé. Pour moi toute entière… »
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Re: Masochisme [Chloé Faure]

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Chloé Faure
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Chloé avait  beau être une nymphomane assumée, elle même était surprise par la rapidité avec laquelle elle enchaînait les orgasmes en compagnie d'Isley-senseï. Mais, dans le même temps, étais-ce si surprenant que ça ? Ivy était tout  ce que Chloé pouvait rêver de mieux chez une maîtresse, car elle dégageait cette aura d'assurance, et cette beauté, qui fait que Chloé avait naturellement envie d'être sa "victime", sa soumise, sa petite pute. Et puis, outre ça, il y avait aussi l'aspect surnaturel de cet être, qui en faisait une espèce de déesse aux yeux de la jeune femme, surtout car elle maîtrisait les moyens d'assouvir un fantasme qu'elle n'aurait jamais cru possible, celui de se faire prendre par des tentacules. Et là, après un long moment à avoir attendu ça, sa maîtresse était enfin en train de proprement la baiser. Là, sur son bureau, Chloé était allongée, et acceuillait avidement le chibre végétal de sa maîtresse en elle, qui n'avait aucun mal à se faufiler dans sa petite chatte tant elle était lubrifiée.

HMMMM !!!! HUUUUUUMMM !!!!

Chloé gémissait fortement tout en suçant les doigts qu'Ivy avait glissée dans sa bouche, les deux mains posées sur les fesses de sa maîtresse pour la supplier, de cette manière, de la prendre bien fort. Quand Isley-senseï décida de faire l'exact inverse, à savoir de s'arrêter subitement, la jeune femme ne parvint pas à se retenir de crisper ses doigts contre ses monts de chair ferme, la griffant involontairement sans toutefois aller jusqu'au sang. Une réaction qui sembla toutefois l'amuser, puisqu'elle laissa échapper un gloussement, avant de recommencer à remuer en elle, pour le plus grand plaisir de Chloé, car elle se mit aussi à accélérer.
Oh que c'était bon ! La lycéenne n'avait pas le souvenir d'avoir déjà autant pris son pied à se faire ainsi baiser, son corps remuait en rythme sur le bureau, qui grinçait sous les coups de butoir d'Ivy. Chloé en ferma même les yeux un moment, mais elle les rouvrit bien vite en sentant Ivy lui pincer l'un de ses seins, et retirer ses doigts de sa bouche. Elle déclara alors qu'elle voulait impérativement qu'elle la regarde, tout du long.

Hmmm p-pardon m-maîtreeeeeese...Haaaaaan je...je vais...faire de...m-mon mieuuux...Haaaaaaan !!!!

Chloé s'efforça alors de regarder sa maîtresse dans les yeux tout du long, alors qu'elle se mettait à lui labourer la chatte avec bien plus de vigueur. D'obscènes bruits humides s'échappaient alors de l'intimité de Chloé, dont la mouille coulait alors sur le bureau et recouvrait intégralement la queue de sa maîtresse. Elle la pénétrait au plus profond possible, allant jusqu'à taper au fond de son vagin, Chloé se sentait délicieusement remplie, labourée comme une chienne en chaleur, et elle adorait ça. Elle gémissait comme une pute tout en regardant sa maîtresse dans les yeux, et en continuant de lui palper les fesses, les serrant pour l'encourager dans ses va-et-viens brutaux qui faisaient remuer le bureau. Chloé ne pu rien faire d'autre que de contracter un nouvel orgasme, qui en déclencha également un chez sa maîtresse, qui jouit alors en elle. Chloé sentit effectivement la verge végétale d'Isley-senseï tressauter en elle, relâchant de gros filaments de foutre qui allèrent tapisser ses parois internes en abondance. Dans le même temps, alors que Chloé se sentait partir dans le délicieux "blanc" de l'orgasme, Ivy vint l'embrasser langoureusement, dans un baiser très, très humide. La jeune femme reconnu distinctement le goût de sa mouille mélangée à la salive de sa professeur, et si elle ne comprit pas sur le coup comment pareille chose était possible...elle n'en avait cure, c'était tout simplement très excitant, et elle était en train de jouir comme une petite folle, les contractions des parois de son vagin serrant fortement la verge d'Ivy.

Elles restèrent toutes les deux dans cette position encore quelques minutes. Chloé était essouflée, elle avait chaud, mais diable qu'elle se sentait bien ! Elle avait tellement joui en si peu de temps, c'en était divin, et elle était excitée comme une puce après ce long baiser et tout simplement, cette longue séance de baise...qui n'était que le prélude. Elles auraient pu encore longtemps faire l'amour dans ce bureau, mais Isley-senseï évoqua le fait qu'il était temps qu'elles se déplacent. La jeune femme se mordilla les lèvres en voyant qu'elle était sérieuse, et qu'elle voulait l'amener chez elle.

Oh je suis d'accord maîtresse...mais...comment on va faire ? Enfin je veux dire...mes vêtements...

Les vêtements de Chloé étaient en effet dans un sale état. Sa petite culotte était certes trempée de cyprine, mais il y avait également sa chemise et sa jupe qui étaient imbibées de sperme, lorsque le tentacule qu'elle avait sucé avait éjaculé, et qu'elle n'avait pas pu tout avaler. Elle ne pouvait donc pas vraiment les porter en l'état...mais peut-être Isley-senseï aurait-elle...une idée ?

Re: Masochisme [Chloé Faure]

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Poison Ivy
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Les deux femmes s’embrassèrent longuement, très longuement. Même après avoir joui, elles se maintinrent l’une contre l’autre. Pamela serrait les cheveux de Chloé dans sa main, l’autre main s’appuyant sur ses fesses, et l’embrassait encore. Leurs langues s’enfoncèrent l’une contre l’autre, jouant tendrement ensemble. Pamela se déplaça doucement, soulevant le tendre corps de Chloé contre le sien, juste pour goûter à ses lèvres. Elle réalisa progressivement qu’elle l’embrassait de la même façon qu’il lui arrivait d’embrasser Harley. Mettant finalement fin au baiser, Pamela avait reposé Chloé, tout en reprenant ses esprits. Celle-ci lui fit rapidement savoir qu’elle n’avait plus de vêtements, et Pamela sourit brièvement, contemplant l’uniforme sali de Chloé.

« Effectivement… Il ne serait pas raisonnable, pour une jeune fille bien éduquée comme toi, de te déplacer dans des vêtements sales. »

Pamela fit mine de réfléchir.

« Malheureusement, je n’ai pas de tenue pour toi, mais j’ai accès à la laverie du lycée. Nous n’aurons qu’à y mettre ton uniforme là-bas et trouver un uniforme de susbtitution. »

Une lueur amusée éclaira les yeux de Pamela à cette idée, car cela supposait que Chloé sorte nue dans le lycée. La chose était peut-être un peu précipitée, mais il semblait difficile pour Chloé de désobéir à sa Maîtresse. Outre l’attrait naturel qu’elle ressentait pour elle, les phéromones d’Ivy étaient redoutables, irrésistibles. Pamela récupéra un collier rose avec une laisse.

« Rassure-toi, je vais t’y conduire… Mais il fait nuit, maintenant, et je ne voudrais pas que tu te perdes… »

Elle lui passa donc le collier autour du cou. Il était rose, avec un petit pendentif en forme de cœur. Le nom de Chloé ne se trouvait pas encore dessus, mais il y avait, derrière le pendentif, un surnom affectueux : « KITTY ». Pamela attacha ensuite le collier, et le relia à la laisse, puis récupéra ensuite une culotte rose vive spéciale, avec un vibromasseur interne.

« Voilà pour te tenir chaud… Et aussi pour te préparer. Car, dès que nous serons chez moi, ma belle, je compte bien défoncer de nouveau ta chatte, mais aussi ton insolent petit cul… »

Pamela se rapprocha donc, et se chargea d’enfiler la culotte à travers les jambes de Chloé, ce qui fut aussi pour elle l’occasion de déposer plusieurs baisers sur les jambes parfaites de Chloé, constatant que celle-ci s'épilait ici, ce qui l’amena à relever la tête.

« Tu as des jambes magnifiques, Chloé, tu devras continuer à y prendre soin… Je veux pouvoir les lécher et les embrasser en ayant le sentiment qu’elles sont aussi douces qu’une peau de bébé. Sinon, je t’épilerai moi-même… »

Ivy alla ensuite poser la culotte, et enfila le vibromasseur dans son vagin. Chloé se dandina doucement sur place, et Pamela se redressa ensuite, l’embrassant encore brièvement… Puis vint la câliner. La tête de Chloé s’enfonça chaudement contre ses seins, et Ivy la serra encore.

Un doux moment d’étreinte, comme un moyen supplémentaire de lui rappeler toute l’affection qu’elle lui portait.

« Allez, ma belle… À quatre pattes derrière ta Maîtresse ! »

Avec Pamela, Chloé allait découvrir toutes les joies de l’exhibitionnisme. Normalement, il n’y avait plus personne au lycée, si ce n’est les vigiles… Et Pamela n’était pas contre l’idée d’en croiser un. Ou, plutôt, disons que la présence d’un vigile ne la dérangerait nullement. Elle sortit donc avec Chloé, sa peau verdâtre se mettant à luire dans la nuit, comme une sorte de végétal phosphorescent leur permettant de s’avancer sans peine. Pamela avançait à un rythme assez lent, afin que Chloé puisse la survivre, et s’amusa à déclencher la fonction du gode niché dans le corps de Chloé.

« Je t’autorise à miauler, ma petite chérie… » la provoqua doucement Ivy, tout en se dirigeant vers la laverie.
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Re: Masochisme [Chloé Faure]

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Chloé Faure
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Chloé n'était absolument pas contre le fait d'aller directement chez sa maîtresse pour qu'elles continuent leur nuit ensemble. Oh certes, ce serait sans doute un peu difficile pour la jeune lycéenne de se contenir jusque là, mais une maison offrirait bien plus de possibilités que l'environnement cloitré de ce bureau, et puis il commençait à se faire un peu tard pour rester dans le lycée. Il y avait toutefois ce...léger problème qu'elle avait justement soulevée, Chloé n'avait en l'état pas de vêtements de rechange à disposition, et son uniforme là était vraiment...dans un sale état. A l'exception près de ses longues chaussettes, tout le reste était mâculé d'une grosse couche de sperme qui avait bien pénétré les tissus, mais aussi de cyprine dans le cas de sa culotte qui était, elle aussi irrécupérable à moins d'un passage dans une machine à laver. Isely-senseï quand à elle n'avait pas non plus de tenue à lui fournir, ce qui sembla placer Chloé momentanément dans une situation un peu...périlleuse. Aller à la laverie, certes, c'était d'ailleurs sans doute la seule option qui leur restait mais...déambuler nue dans les couloirs ?

V-vous êtes sûre maîtresse ?

Même si à cette heure là, il faisait nuit, cela ne voulait pas dire qu'il n'y aurait personne. Certains étudiants pouvaient rester jusqu'à assez tard dans des salles pour travailler, et des vigiles patrouillaient régulièrement dans les couloirs. Mais la jeune femme écarquilla les yeux en voyant Ivy sortir d'un tiroir de son bureau...un collier rose muni d'une laisse. Elle...elle allait la promener comme une petite chatte, nue, dans les couloirs du lycée ? Disons que...au moins elle ne serait pas seule...mais tout de même ?
Pour autant, Chloé ne se sentait pas de dire non. Isley-senseï semblait avoir ce don de la rassurer, et puis l'idée qu'elle la promène comme une sorte d'animal de compagnie...et bien...ça ne la laissait pas de marbre. La jeune femme se laissa faire, et poussa un petit gémissement en sentant le collier autour de son cou, relié à une laisse que sa maîtresse tenait.

Oh je...je n'ai encore jamais fait ça...

Chloé ne disait toutefois pas ça dans une optique de se défiler, en fait, c'était même plutôt pour d'avantage souligner le fait qu'elle acceptait volontiers de faire ça, parce que c'était Isley-senseï, et uniquement elle. Mais la sensation de ce collier autour du cou, et de sa maîtresse la tenant ainsi par la laisse c'était...disons qu'elle aurait à cet instant pu se mettre à quatre pattes au sol pour la supplier de la baiser à nouveau.
Mais sa professeure n'en avait pas fini avec ses jouets, et sortit d'un autre tiroir une culotte rose tout à fait particulière, puisqu'il y avait un gode vibrant intégré, mais pas comme un strapon, non, ce gode était orienté de façon à la pénétrer quand elle l'enfilerait. Ivy voulait la lui enfiler pour la conserver dans un bon état d'excitation, ce n'était pas vraiment nécessaire en soit, mais Chloé n'allait pas protester de toutes façons. La jeune femme poussa un einième soupir de plaisir quand sa professeure s'approcha à nouveau, et commença à la faire glisser cette culotte le long de ses jambes. Elle disait vouloir à nouveau la défoncer une fois qu'elles seraient chez elle, et tout en complimentant ses belles jambes épilées, Ivy les embrassait.

Han...maîtresse...hum...

La jeune lycéenne se dandinait sur place, sentant la culotte se faire remonter le long de ses cuisses, à mesure qu'Isley-senseï déposait des baisers et des coups de langue sur sa peau. Il n'y avait présentement que l'intimité de Chloé qui n'était pas épilée, et ce précisément parce que Shii lui avait affirmée qu'Isely-senseï prenait plaisir à épiler elle même ses élèves dans ce genre de cas. Ferait-elle aussi ses jambes ? La jeune femme s'imaginait déjà sa maîtresse prendre soin d'elle de la sorte, pour ensuite tester immédiatement après la douceur de sa peau. Puis, comme pour la sortir de ses rêveries, Chloé sentit le vibromasseur s'enfoncer dans sa petite chatte. Aucune difficulté à le prendre en elle, Chloé continuait à mouiller, et même si c'était bien moins agréable que la verge végétale avec laquelle Ivy l'avait baisée tantôt, c'était la situation elle même qui était plaisante. Ivy s'assura que la culotte était bien placée, puis se redressa...et serra Chloé contre elle. La professeure était relativement plus grande que sa belle élève, assez en tout cas pour pouvoir fourrer sa tête contre ses seins dans une étreinte toute douce.

Hmmm...

Autant dire que Chloé était aux anges. Est-ce que sa senseï, sa maîtresse, se prenait autant d'affection pour elle, que Chloé lui témoignait en admiration ? Même si ça semblait être une sorte de fantasme inaccessible, la jeune femme se voyait bien partager le quotidien de sa professeure, dans une relation de soumise et dominante couplée à de la vie de tous les jours. Mais bon...ça, ce serait peut-être pour plus tard ? Chloé ne voulait pas passer pour une espèce de fangirl obsessionnelle en grillant des étapes, même si elles allaient quand même bien vite dores et déjà ! Elle se laissa bercer dans la douce chaleur de son étreinte, avant qu'Ivy ne se retire, tenant toujours la laisse dans une de ses mains, elle lui demanda alors de se mettre à quatre pattes derrière elle.

Oui maîtresse !

Chloé s'exécuta alors, tandis qu'elles prirent le chemin de sortir du bureau, pour s'enfoncer dans les couloirs assombris du lycée à cette heure. Il n'y avait guère que les signes des issues de secours qui brillaient encore, mais Isley-senseï la guidait, semblant savoir exactement où aller. La pénombre n'était toutefois pas assez forte pour empêcher Chloé d'avoir une...plutôt belle vue sur le fessier de sa maîtresse, ainsi que son dos, et ses longues jambes. Leur rythme de marche, assez lent, permettait à Chloé de suivre sans se faire mal sur le sol, mais aussi de regarder le corps de sa maîtresse, qu'elle rêvait d'embrasser et de...de vénérer, presque. Puis, léger bruit vibrant résonna dans le couloir désert, et Chloé écarquilla les yeux en sentant le vibromasseur dans sa chatte se mettre à vibrer. L'objet remuait déjà un peu dans son intimité, du fait des mouvements amples de son bassin que lui imposait la marche à quatre pattes, mais là, Chloé du se mordre la lèvre pour ne pas pousser un cri de surprise.
Isley-senseï l'autorisa alors...à miauler. Ainsi donc, elle était sa petite chatte ?

M...Mriaouuuuw...

Elle allait jouer le jeu, même si elle se demandait intérieurement si elle parviendrait à tenir sans jouir avec ce gode dans sa chatte, et cette situation qui l'excitait au plus haut point...

Re: Masochisme [Chloé Faure]

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Poison Ivy
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Si Pamela avait équipé Chloé, elle s’habilla ainsi. Son corset végétal se reforma rapidement, et elle enroula ses jambes dans de longs collants verts, tandis que des lianes se formaient régulièrement autour de ses bras et de ses jambes, de délicates fleurs poussant dessus, libérant un délicieux pollen aphrodisiaque. Les fleurs dégageaient une odeur très agréable, de la vanille, inhalant les sens, les enflammant. Ainsi vêtue, avec sa longue chevelure flamboyante tombant jusqu’au bas de son dos, Pamela sortit donc. Elle connaissait le chemin vers la laverie, avec les vestiaires, et les stocks d’uniformes. Il fallait quitter l’administration, et rejoindre la buanderie, à côté du réfectoire et de la cuisine. Pamela s’avançait lentement, et, bien évidemment, roulait joyeusement des hanches. Une vue magnifique pour la belle Chloé, tant le beau cul de sa Maîtresse était moulé dans cette tenue.

Elle enclencha rapidement la fonction vibrante du gode, et entendit Chloé soupirer doucement, avant de miauler alors. Ivy s’arrêta alors, brusquement, et sa main caressa ses cheveux. Elle savait que Chloé était nerveuse, que tout cela dépassait ses espérances, et que, somme toute, même si elle était très perverse, elle n’en restait pas moins une adolescente. Et là, elles étaient au beau milieu du couloir. Le lycée était fermé, et la nuit était tombée sur la ville, mais c’était tout de même sa première séance d’exhibitionnisme. La main de Pamela alla donc jouer avec ses cheveux, les caressant tendrement.

« Tu dois faire confiance à ta Maîtresse, Chloé. Sache que je ne ferai jamais rien qui ne soit pas dans ton intérêt. Quoi qu’il se passe, sache que jamais je ne permettrai qu’on te fasse du mal. »

Pamela allait sûrement faire des expériences sur elle, car elle était convaincue que le patrimoine génétique de Chloé devait être exceptionnel. À ce jour, seule Harley avait manifesté une telle résistance à ses phéromones. Enfin, ce n’était pas que Chloé y était insensible, mais elle s’y adaptait très bien. Pamela reprit donc sa marche, tirant sur la laisse, laissant volontiers à Chloé l’occasion de profiter de son cul. C’était si vrai que, quand Chloé baissait un peu trop longtemps la tête, le collier se mettait alors à serrer, l’étouffant doucement, et se desserrait quand elle relevait la tête.

Alors qu’elles allaient quitter l’administration, Pamela s’arrêta à nouveau, et sourit malicieusement.

« Oh, mais… J’avais presque oublié le plus important ! »

Elle sortit alors de ses affaires… Une petite clochette dorée. S’agenouillant, elle demanda à Chloé de relever sa tête, et l’embrassa à nouveau, chaudement, tout en accrochant à son collier la clochette.

« Voilà, mon chaton… Comme ça, je ne pourrais pas perdre ma belle chatte, hm ? »

Le ton doucereux de Pamela, mielleux, était évidemment trompeur. Elle se releva donc, et reprit sa marche.

Les deux femmes traversèrent les couloirs publics, ceux que Chloé avait dû emprunter aujourd’hui, avec les vestiaires, les portes sur la droite menant aux salles de cours. Les deux femmes s’avançaient tranquillement, la douce et sensuelle odeur de Pamela emplissant tout le lycée. Une odeur irrésistible, à laquelle on pouvait facilement s’enivrer, s’enivrer à en perdre la raison.  Pamela tira encore sur la laisse.

Elles arrivèrent près du réfectoire, qu’elles longèrent, Pamela ouvrant ensuite une porte réservée au personnel, qui faisait le tour de la cantine. La buanderie se trouvait par là, avec les stocks d’uniformes.

« Nous y sommes presque, petit chat… »

Pamela ralentit encore, et allait ouvrir la porte de la buanderie…

…Quand un agent de sécurité sortit alors.

À la mine bedonnante, l’homme sursauta doucement. La panique devait toutefois éclater dans le corps de Chloé, surtout quand le regard de l’homme fila de Pamela à Chloé, puis revint à Pamela.

« Mais que… »

Pamela l’embrassa alors. Un baiser brusque et efficace, et l’homme crispa puis décrispa ses doigts, avant de papillonner des yeux. Les spores aphrodisiaques d’Ivy jaillirent, et elle rompit le baiser.

« Là, là… Tu n’as rien à craindre… Comment t’appelles-tu ?
Hi… Hitashi, Maî… Maîtresse… »

Ivy sourit doucement, et glissa sa main le long de son uniforme bleu, jusqu’à caresser sa ceinture, et la bosse dessous.

« Mon beau Hitashi, tu es ici depuis longtemps ?
C’est… C’est ma première semaine, Maîtresse… Mais… Je ne comprends pas, je… Qui êtes-vous ?
J’ai vu ton alliance. Est-ce que ta femme te suce, Hitashi ? »

Hitashi cligna des yeux, semblant lutter contre la toxine qui remontait en lui. Pamela l’embrassa à nouveau, et Hitashi frémit doucement. Chloé allait ainsi pouvoir constater que Poison Ivy ne s’appelait pas ainsi pour rien. Jadis, elle aurait pu tuer avec un tel baiser, mais elle avait adouci ses techniques. Hitashi était fatigué, et facile à influencer, car sexuellement frustré, comme beaucoup de Japonais.

Une proie par conséquent idéale.

« Non, elle ne doit pas se mettre à quatre pattes, hein ? Tu as de la chance, Hitashi, je te présente ma petite chatte personnelle, Chloé… Dis-lui bonjour. »

Hitashi regarda alors Chloé. Des gouttes de sueur glissaient le long de son visage. Dans sa tête, des voix sensuelles hurlaient, balayant tout le reste.

« Je… B-Bonjour, Ch-Chloé-chan… »

Ivy sourit encore.

« Il est temps que vous découvriez ce que tous les vigiles font le soir au lycée Jinmu, Hitashi-san. Ma petite Chloé, je veux que tu montres ton respect à ce brave agent de sécurité. Déboucle sa ceinture, libère sa queue, et montre-lui tous les talents de ta bouche. Offre à Hitashi-sama le fantasme qu’il mérite. Il oubliera cela, et ce ne sera plus qu’un rêve pour lui, mais… Il est fort probable que, s’il te recroise ensuite, il aura des érections incontrôlées. En même temps, tous les hommes devraient bander face à toi, vu comme tu es belle… »

Et, tout en disant cela, elle caressa encore ses cheveux. Il fallait bien rassurer Chloé, mais aussi la pervertir encore.

Allait-elle paniquer, ou obéir à sa Maîtresse ? Hitashi, en tout, cas, clignait des yeux, le désir prenant peu à peu totalement le pas sur sa raison.
DC de l'Observateur !

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