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Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Hinata Kaguya »

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Hinata Kaguya
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Enregistré le : 24 août 2024 16:19
Hinata/Nora
Le Bosquet des Hauts-Elfes ? Peut-être qu'Illyn pourrait réussir à leur faire visiter cet endroit un de ses jours ? Peut-être Eléna mais elle ne préférait pas l'embêter avec ses devoirs de reines. Quant à elles, elles étaient encore en vacances alors un petit détour par Lumen serait possible. À voir. Quant à son invitation, il est vrai qu'en général, elle aurait eu un peu peur mais là, qui allait les observer ? Les poissons ? Doucement, elles se laissaient aller, se baisant doucement, Shunya visait son épaule et doucement elle grimpait à ses lèvres et ensemble, c'était un délicieux baiser comme elles en avaient déjà partagé des centaines mais chaque baiser était toujours un peu mieux que le précédent. La reine se coucha doucement sur le rocher en voyant sa femme se placer au-dessus d'elle, le corps et les cheveux humide tombant vers elle, comme ses petites gouttes ici et là. C'était romantique.

« Je ne peux qu'en dire autant ma jolie sirène. »

Sans se presser, elle levait ses bras vers elle pour l'embrasser à nouveau, venant presser son tendre corps contre le sien et continuer ce nouveau baiser qui allait sûrement mener à un nouvel orgasme, face à la mer. Une grande première pour elles, durant leur voyage de noces. Il ne manquait que le coucher de soleil pour rendre cela plus romantique mais pour le moment, elle n'avait pas prévu d'emmener Shunya par ici lors d'une soirée. Mais on ne sait jamais ?

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Après une longue journée faite de baignade, de bronzage sur la fin et d'amour surtout, le trio rentrait à l’hôtel car il fallait bien se préparer pour leur dîner. Nora les suivait doucement, se renseignant un peu sur leur journée, même si elle était leur garde du corps, elle avait surtout bronzé en gardant un œil sur elle. Un œil secrètement caché pour ne pas les déranger. Elles rentraient dans la chambre, devant prendre une bonne douche pour retirer l'eau de mer – si s'en était vraiment – ainsi que choisir une robe pour ce soir ? Elle allait sûrement opter pour quelque chose de classique, dans les tenues offertes par Eléna pour utiliser son cadeau. Bien qu'attacher à ses traditions, elle n'avait pas envie de poter un yukata ce soir, même léger ou plus court. Puis une tenue digne d'une Tékhane... elle n'a jamais aimé les vêtements trop moulante en public. Elle voyait un peu ce qu'elle pourrait choisir avant sa douche mais à peine le temps de souffler qu'on frappait doucement à la porte. Tsukasa et Ryouka qui ont oublié leur clé ici pour rejoindre leur côté de cette suite ? En fait non. Ce fut une jeune femme à lunettes, apparemment d'Edoras vu son physique – les yeux bridés surtout – qui avait avec elle un charmant bambin et une autre demoiselle dans son dos. Peut-être sa femme ?

« Excusez-moi de vous déranger mais il y avait ce ruban devant la porte ? Il est peut-être à vous ? » dit-elle en tendant un long ruban rouge.
« Ha oui effectivement, il a dû glisser de mes affaires. Je vous remercie sincèrement mais dites-moi, comment se nomme cette adorable princesse ? »
« Oh, c'est Kyoko, ma fille. »
« C'est un nom magnifique je trouve. Bonjour petite Kyoko. Ooooh mais tu es toute mignonne dans ton petit maillot de bain dis-moi ! Houlala, que tu es belle ma petite chérie ! Tu es trop adorable !!! Excusez-moi de poser la question mais... serait-il possible de lui faire un petit bisou ? Ou de la porter ? »


La jeune femme était un peu surprise et regarda sa compagne avant de doucement lui tendre sa fille. On voyait dans son regard une certaine crainte mais quoi de plus normale face à une inconnue ? Mais c'est plus fort qu'elle, que voulez-vous.

« Ouh tu es grande Kyoko-chan ! Tu t'es bien amusé avec tes mamans, hum ? Tu as l'air fatigué ma pauvre chérie hein, tu feras une grosse sieste avec tes mamans et après tu pourras encore t'amuser ! Shunya, regarde la jolie petite princesse que voilà ! Elle s'appelle Kyoko-chan. Tu fais coucou à Shunya ? »

La petite semblait bien trop fatiguée pour jouer mais cela n'empêchait pas Hinata de lui embrasser la joue avant de la rendre à ses parents.

« Votre fille est magnifiques mesdames. Vous avez bien de la chance d'avoir une pareille petite princesse avec vous. »
« Ha, euh... Merci pour ces compliments. »
« C'est tout naturel, merci à vous pour le ruban. J'espère qu'on se recroisera bientôt, oh, pourrais-je savoir vos noms ? »
« Tsuzuri Tessou et voici Kara. »
« Enchanté, moi c'est Kaguya Hinata et voici ma femme, Shunya. On vient de se marier ! »
« Enchantée et félicitation. Désolée de devoir partir vite mais Kyoko ne tient plus beaucoup... »
« C'est moi qui suis désolé, bonnes vacances ! »


Nora referma doucement la porte, laissant Hinata rêveuse. La reine et les bébés, filles surtout, c'était une grande histoire d'amour.

« Huuuum... ce qu'elle était attendrissante ce petit bout de chou ! J'aurais aimé pouvoir la tenir plus longtemps ! Je me demande si nos filles seront aussi mignonnes que Kyoko-chan ? »

Hinata se fichait de la douche et de la robe à choisir, là, elle était rêveuse, perdue dans sa petite bulle en observant sa femme. C'est avec elle qu'elle augmentera le nombre de Kaguya au palais après tout. Nora souriait en venant passer sa main sur l'épaule d'Hinata.

« Cesse d'embêter ta femme avec cette histoire de bébé. Vous en aurez des tas, je compte sur vous. Mais elle le sait que tu en as envie. »
« Oh mais je l'embête pas, je respecte son choix après tout. C'est juste que je rêve parfois tout éveillée... »


Hinata se voyait déjà maman d'une petite Kyoko... Nora savait pour le secret, Shunya ne lui avait rien dit mais désormais l'ange veillait à la sécurité d'Hinata et de Shunya, ce qui voulait dire aussi une magie qui opérait comme un scanner, cherchant des infections ou virus en elles. Rien de cela chez les filles mais Nora savait que quelque chose se formait chez Shunya et ce n'était ni un virus, ni une maladie...
Tessou
Tessou se plaisait à prendre des photos, digne d'une véritable vacancière après tout ! Cela était important qu'elle garde une trace de sa petite fille à cet âge-là, s’amusant à la plage, avec Kara. Cela en fera de beaux souvenirs. Elle souriait en prenant dans l'objectif l'amour de sa vie avec sa meilleure amie... même plus ? Ce n'était pas le moment de jouer au jeu de la balance, savoir ce qui se passait dans son cœur ou non, elle n'était pas douée à ce jeu. Après quelques photos, Kara proposait d'inverser leur position afin qu'elle soit elle aussi avec sa fille sur les photos. C'est vrai que ce serait dommage de passer à côté de ça. Prenant sa fille dans les bras, elle l'embrassait tendrement en la serrant contre elle, faisant faire un coucou à l’objectif avec sa fille et sa petite main qui tentait de faire de même.

Kara profitait de ce moment pour supposer vouloir faire des photos au restaurant aussi. Bien sur qu'elles y iraient là-bas, elle n'allait pas changer d'avis mais Kyoko sera avec les autres enfants alors si photo il y a... tiens d'ailleurs elle n'avait pas de photo ensemble ? Maintenant qu'elle y repense les rares photos ensemble, il y a la jolie bouille de Kyoko avec elles. Alors serait-ce... une photo de couple ? Seules, dans un beau restaurant ? Simple photo ou étape franchit ? Ohlala, pauvre Tessou qui n'en savait rien !!! Face à son cerveau en surchauffe, Tessou tentât la carte de l'humour même s'il y avait de fortes chances que cela tombe à l'eau...

« Bonne idée, on photographiera les différents plats ! Ce sera bien différent comparé à la Terre à ton avis ? »

Mieux vaut sortir cette ânerie que se torturer l'esprit avec cette histoire de photo à deux...

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Après s'être amusée comme des folles dans la mer, après s'être mutuellement mitraillé de photo, il était temps d'en finir avec la plage. Elles pourraient y revenir mais Kyoko avait un petit coup de barre après s'être autant amusé et puis autant souffler un peu au calme avant le dîner. Ayant de nouveau sa chemise large sur elle pour être un minimum couverte, les trois demoiselles rentraient vers leur chambre où son attention fut attirée par un ruban rouge face à une porte ? Sûrement quelqu'un qui l'a fait tomber sans faire attention ? Tessou, policière avant tout voulait rendre ce ruban et si personne ne répond... bah elle le nouera autour de la poignet ? En tout cas après avoir frappé, ce fut une drôle de femme aux cheveux blancs bien que jeune avec un cache-oeil. Voyant le ruban rouge entre ses mains, elle en appela une autre plus jeune – sûrement avait-elle l'âge de sa petite sœur ? – qui l'en remercia. Mais cette même femme tomba sous le charme de Kyoko, la noyant de petits compliments. Tessou y était habitué dans son quartier avec les personnes âgées et les commerçant mais c'était étrange de voir le même effet ici aussi, sur un autre monde...

Elle en fut plus surprise de voir quand elle proposa de pouvoir l'embrasser ou la porter ? Elle ne semblait pas avoir de mauvaise intention mais elle jeta un court regard vers Kara... C'était la femme la plus rapide et la plus forte au monde, que risquait-elle ? Kyoko aurait sûrement été ravie de jouer la petite princesse comme ça mais la pauvre était épuisée après sa journée. Pour finir cette brève rencontre, cela l'étonnait de voir une fille marier à une autre fille... Elles semblaient bien jeunes en plus même si Tessou n'avait rien contre cela. D'autant plus qu'elles semblaient s'aimer vraiment, c'était mignon. Quittant les jeunes mariées, elle partait en direction de leur chambre alors que Kyoko était bien silencieuse, luttant plus ou moins pour rester éveillé.

« Eh bien ma chérie, si tu attires autant l'attention en grandissant, je n'ai pas fini de me méfier... »

Surtout face aux petits pervers qui voudraient en profiter en grandissant... Elle devra lui apprendre deux trois techniques pour repousser les plus insistants !

« Et désolé Kara... je n'ai pas osé la corriger quand elle nous pensait... ensemble... »

C'était si commun les couples unisexes ici ? Les couples unisexes avec un enfant en plus ! Car elle avait bien dit Ses mamans. Chose qui ne dérange pas vraiment Tessou mais... elle ne savait pas trop comment Kara voyait les choses ? Regagnant leur chambre, elle gardait sa fille dans les bras, voulant la mettre le plus tôt possible lui faire faire la sieste pour qu'elle ne s’endorme pas facilement en début de soirée.

« Je vais aller lui faire prendre son bain en attendant. »

Libre à Kara de faire ce qui lui plaisait, Tessou n'était jamais à court de chose à faire en tant que maman. Une chance que sa fille acceptât le bain, même si elle se montra un peu grognon mais c'était pur la rendre propre et lui retirer les saletés dans l'eau. Elle était très propre en apparence cette eau de mer mais dans le doute... Toute belle et toute propre, Tessou la changea en lui mettant un petit maillot et sa couche avant de la coucher sur le lit, vu comment elle se frottait les yeux, elle n'allait pas faire long feu.

« Kara, tu veux bien aller me préparer un bain s'il te plaît ? J'aimerais me détendre un peu... »

Laissant Kyoko sur le lit, elle lui caressa le ventre doucement en s'allongea près d'elle, gardant ses yeux elle en lui chantant sa petite chanson quelques minutes, n'écoutant rien n'y personne. Tessou était peut-être trop proche, trop protectrice avec sa fille mais pendant plus de six mois elle a vécu tous les jours avec elle, étant la seule dernière petite flamme de joie dans sa vie alors certes, les choses devraient changer un peu en grandissant mais tant qu'elle était cette adorable poupée, Tessou restera proche de sa fille et ce, peu importe ce que les gens diraient. Elle va grandir sans père, deux fois en peu de temps, elle a aussi failli être privée de sa mère, jamais elle ne se pardonnera sa faiblesse alors elle agira comme bon lui semble pour sa petite Kyoko. Maintenant bien endormi, elle plaça quelques polochons le long du lit pour agir comme une seconde protection, mieux vaut être prudent. Puis, elle s'apprêtait à rejoindre son bain pour se détendre.

Bain... détente... manquerait plus qu'à trouver Kara dans son bain en l'invitant pour rendre cela très... elle ne trouvait pas le mot ? Excitant ou bizarre ? La pauvre ne savait pas où elle en était sur ses sentiments pour la belle blonde. Déjà car elle n'arrivait pas à se faire à cette attirance pour les femmes mais au moins elle tentait sa promesse à Ryota, le seul homme de sa vie. Puis non seulement Kara était une femme mais une extraterrestre. Alors ne pas faire le point sur ce sentiment plus subir le regard des gens, en serait-elle capable ? Elle se voyait mal « vivre » avec une femme en l'avouant aux parents de Ryota... Ha oui, le Japon et ses mœurs... Mais bon, ce n'était pas le cas après tout ? Hein ?
Harmony & Ai
Pouvait-on dire non à Mélinda Warren ? À moins de lui demander des choses qu'elle ne ferait en temps normal jamais ô grand jamais, elle pouvait dire un timide non qui devenait finalement oui sous le regard insistant de la vampire. Puis entre sa maîtresse et un vulgaire jouet à garder longtemps, elle n'avait pas trop à hésiter. Au moins là, ce sera l'affaire d'un petit moment avant d'être libre alors que le plug.... Elle s'abandonnait donc à elle en se laissant pénétrer. Chose assez habituelle depuis qu'elle la sert, Mélinda qui ne sodomise pas ses employées, c'est... pratiquement impensable à vrai dire ? Même si avec Harmony elle avait pris le temps avant de le lui proposer vu sa timidité, il y en a qui se jettent à ses pieds en tendant les fesses ne serait-ce pour lui dire bonjour. L'image est un peu abusée mais on en est pas loin. Harmony se laissait donc faire, se détendant doucement pendant que la vampire faisait son devoir alors qu'Ai tentait de la rassurer... ou en profiter ?

Mais non, on pouvait dire qu'Ai était une perverse mais il ne va jamais contre la volonté de ses partenaires, c'est un minimum à respecter quand même. Elle faisait son possible pour aider Harmony en espérant gagner des points qui la rapprocherait d'un moment intime avec elle mais... aussi perverse soit-elle, elle savait attendre comme il faut. Harmony venait même proposer son cou, une chose banale quand on sait combien Mélinda aimait planter ses crocs chez les autres. AI aussi y était passé mais en général, elle offrait ce genre de choses juste avant de dormir quand elle était avec la vampire car un truc pareille, ça file un sacré coup de barre et devenir une poupée de chiffons quand les autres baisent joyeusement, c'est dur. C'est comme regarder un porno avec une ceinture de chasteté. Mais la vampire venait à proposer un de ses petits fantasmes, faire l'amour avec Harmony ? Si Shani Stevens avait pour but de coucher avec tous ses élèves, la petite futa était un peu plus gourmande puisqu'elle rêvait de faire la même chose avec le harem de Mélinda et n'importe quelle fille qui lui taperait dans l’œil. Gourmande hein ! Mais avant de se lancer, elle observa l'intéressée qui hocha doucement de la tête avant de se faire mordre... bon, puisqu'on lui en donnait l'occasion. Elle allait se montrer lente et douce par contre, ne pas jouer les perverses en manque de sitôt sinon.. le match retour ne sera pas pour demain.

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Faire l'amour en sandwich, se faire sucer le sang, il y avait mieux quand même pour tenir éveillé. Harmony avait passé la suite à se reposer avec les filles qui bronzaient ou s'amusaient entre elles, rejoignant parfois Mélinda quand elle avait besoin de son aide ou que ses jeux ne se faisaient pas en sortant sa queue. Harmny était une jeune femme qui pouvait s'amuser comme les autres, sans forcément penser au sexe. Elle aimait cela mais parfois, comme ici, elle aimerait ne pas faire comme au harem et se détendre simplement. Une chance que ce fut quand même le cas de la majorité de leur sortie. Ai en revanche était comme sur un petit nuage à faire l'amour dans l'eau avec les autres ou même sur la plage, elle était comme un poisson dans l'eau. Mais cette trop grande joie avait apporté la même chose qu'avec Harmony, un petit coup de fatigue mais pas pour les mêmes raisons. Une fois rentrées dans la suite, les filles étaient partie faire une petite sieste. La servante de Mélinda voulait récupérer un peu à cause de ce sang en moins dans ses veines, Ai, elle rechargeait ses batteries avec un petit somme. Quand on éjacule plus ou moins son poids en foutre, ça fout vraiment un coup de pompe. À se demander si la petite futa était entièrement humaine ?

Harmony ne dormait pas seule, elle partageât son lit avec une des filles de Mélinda, non pas pour cause de galipette mais cette dernière souhaitait aussi se reposer et évidemment, Harmony n'avait rien contre cela tant que c’est juste se reposer. Vu son sourire, elle devait rêver du fameux concours de t-shirt mouillé dont elle avait parlé avec sa maîtresse. Un truc inutile quand on vit dans un harem mais Ai n'oubliait pas l'importance de la tenue et ça... voir le tee-shirt moulé leurs sublimes corps... à moins qu'elle ne rêve de se voir entouré de belles fesses rebondies, noyer dans un océan de petits culs... Quel pied ! Puis... dormir en étant câliné, c'est quand même mieux. Du côté de la petite futa, le lit était vide mais c'était préférable, elle avait souvent le sommeil agité, allant même parfois à confondre rêve et réalité en laissant parler son entrejambe chez ses partenaires. Mais il n'était pas rare de la voir dormir avec le chapiteau et nue évidemment. Elle était de celles qui prenait un soin particulier à choisir ses tenues autant que ses dessous pour rendre un simple ébat bien meilleure mais quand il s’agissait de sommeil, autant laisser respirer son corps un peu, surtout qu'il faisait un peu chaud dehors. Cela dit, ici il faisait bon. Mais tant que la petite futa peut attirer des filles plus ou moins immédiatement à elle, elle ne crachait pas dans la soupe... mais ailleurs.
Karistal
Il fallait encourager cette belle neko prête à tout pour ses maîtresses, la preuve, elle voulait bien approcher un peu plus près de l'eau. Bon, elles ne savent pas encore jusqu'où elle ira mais elle ose, c'est déjà ça. Gardant la main de la neko dans la leur, elles avançaient doucement, au rythme des efforts de Luna, en rien les Karistal la forçait à aller vite ou loin, elle ira jusqu'où elle peut arrivé, c'est tout. Certes, plus elle ira loin mieux ce sera mais comme elle ne sait pas nager, la limite sera sa poitrine, juste avant ou au mieux, au niveau de ses tétons. Plus loin, ce serait compliqué pour faire demi tour mais cela aura été un bel effort de la part de Luna. Chaque pause, chaque progrès, comme promis, Luna avait ses petits bisous. Si le début était une bonne progression, au fur et à mesure, elle était plus lente mais elle avançait. Il faut savoir rester optimiste après tout.

Mais Luna arriva à la limite, ne pouvait plus avancer alors que l'eau était à sa poitrine, même si elle tremblait un peu, ce n'était pas la peur selon elle mais le froid. Possible mais les Karistal retiennent surtout son bel effort fait pour ses maîtresses. Un nouveau baiser sur ses joue arriva, plus long et plus agréable alors que doucement, elles tournaient la neko pour rejoindre doucement la plage.

« Je vois ça Luna, tu as tes petites tétons tout dur ! »
« Oui, ça me rappel quand Luna avait plein de lait dans ses seins... On avait tout bu jusqu'à la dernière goutte. »
« Tu t'en souviens petite nekoquine ? Comment tu miaulait de plaisir alors qu'on ne lâchait pas tes délicieux seins plein de lait de neko ? »
« Mais c'est très bien, tu auras le rôle de maîtresse ce soir. »


Doucement, le trio regagnait le rivage pour offrir une bonne glace à la neko et faire une petite sieste pleine de caresse par la même occasion.

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De retour dans leur chambre, elles offraient une nouvelle petite sieste à Luna le temps de tout bien préparer avec avant tout, une bonne douche à trois pour bien nettoyer la petite chatte. C'était facile de faire dormir Luna, l'allonger dans un lit, lui caresser le ventre et lui baiser le cou. En quelques minutes, la neko ronronnait de plaisir en dormant doucement. Pendant que cette dernière dormait paisiblement sur le lit, les Karistal préparait le terrain pour leur petite esclave favorite. Elles enfilaient d'abord les tenues de Blanche – pour Yuka – et de Noire – pour Yuko – afin d'avoir l'air sexy en domestique, elles se changeaient en neko mais cela était une formalité, c'était aussi simple que se changer puis elles firent monté une délicieuse pâtisserie pour Luna – sa favorite – en y mettant dedans de quoi changer Luna en futa avec un délicieux verre de lait. Le tout était prêt ? Ha non ! Il manquait que leur collier à mettre autour de leur cou et hop, Luna vient de gagner deux nekos domestiques à son service.

La petite chatte avait dormi une bonne demi-heure depuis la fin de leur douche et maintenant, elle avait deux nekos à s'occuper. Mais en tant que neko des Karistal, on ne réveil pas d'un simple réveil. On fait doucement sortir la maîtresse du rêve. Les deux sœurs se collaient à Luna en recommençant leur façon d'endormir Luna en y ajoutant leur petit mot doux. Caressant son petit ventre en lui baisant le cou, les Karistal la tirait doucement du monde des rêves pour un autre genre de rêve.

« Maîtresse Lunyaaaa... Faut se réveiller, nyaaa... »
« Debout Maîtresse... nous vous avons apporter votre dessert favori... »
« Et un grand verre de lait, nyaaaa. »
« Ensuite il faudrait penser à vous occuper de vos deux petites nekos, nyuuuu... »
« Nya, oui ! En plus, elles ont été vilaines... très vilaine ! »


Leurs queue remuaient en guettant que Luna se réveil, c'est pas tout mais elle avait deux nekos à punir avec sa belle queue de futa... qui se trouve dans son gâteau alors, au travail ! Ce sera tellement bon de sentir Luna jouer les Maîtresses avec elles. Il faut dire que ce sera une première que Luna soit une maîtresse futa, elle a déjà été futa pour elles mais ce fut plutôt les jumelles qui jouaient avec sa queue alors que là, c'était Luna la Maîtresse ! Ce n'est pas rien !!!
Kiriko
Après une agréable journée à bronzer au soleil dans les bras de Sha en parlant de leurs futurs enfants, de quelques projets de Déesse aussi, les deux femmes avaient passé une belle après-midi, même si ça manquait de sexe. Quelques caresses pour se calmer mais sinon, rien de bien méchant. Une fois les bras de Sha quitté, elle avait profiter du soleil, se demandant si elle aurait des marques de son bronzage ou non ? Quoi qu'il en soit, ce fut délicieusement calme mais Kiriko avait eu tout le temps d'imaginer comment allait se passer leur soirée car après tout, elle avait la noble et lourde tâche de mettre Sha enceinte. Elle devait planter Abby dans ce délicieux ventre afin de donner une sœur à Arya. Reste à savoir laquelle des deux naîtra en premier, à quelques jours – voir une semaine ou deux – de différence, tout peut se jouer. De retour dans leur chambre, elle invita Luxuria a faire patienter Sha, lui promettant à elle aussi son petit moment avec sa mère mais Kiriko devait avant tout s'occuper de Sha et garder toutes ses forces pour elle. Mettre une déesse enceinte doit demander beaucoup d'effort ! Une petite douche avant de se préparer !

Pour cette fois, pas question de jouer la simplicité en étant nue et futa, voir avec sa combinaison. Sha l'adorait mais à occasion spécial, tenue spéciale. Kiriko changeait rarement de garde robe mais pour l'occasion, sortons le grand jeu. Ayant suivi quelques conseils de Luxuria, cette dernière lui a choisie une charmante tenue sortie des grands attisant d'Edoras, une sorte de yukata plus sexy et moins long pour plus de charme. Gardant sa couleur fétiche, le violet, ce dernier était orné de quelques fleurs blanches en guise de motif. De longues manche très large, c'était étrange pour elle qui était habitué à sa tenue comme une seconde peau mais elle avait des brassard en option, ça au moins, elle savait ce que c'était. Elle portait une sorte de corset aussi, de quoi faire doucement rebomber sa poitrine et affiné sa silhouette – quoi que déjà parfaite – sa tenue terminait sur un morceau de tissu pas très large entre les jambes qui couvrait à peine son entrejambe comme ses fesses... Ok, ce n'est pas une tenue de ville sexy, c'est pratiquement une nuisette ce truc ! SI des filles à Edoras se baladent comme ça dans la rue, Lust doit y avoir son temple dans le coin ! Sa culotte – plutôt string – tenait très finalement, même si les lanières étaient visible sur sa peau, le tout était très fin et étant une futa, elle se doutait un peu que cela risquait de devenir vite inutile et pas assez large surtout. La vérité est que ce string était surtout son sexe, ce qui se transformera ensuite en outil pour mettre enceinte une telle déesse.

Pour finir, Kiriko mit des bas résilles en guise de collant et pour une double touche final, un ruban rouge autour du cou et... des lunettes, petites et fines. Elle ne savait pas pourquoi... mais elle présentait que cela plaira à sa femme et déesse, Sha. Se coiffant comme à son habitude, adieu natte de l'après-midi et bonjours coupe habituelle. Dernière touche, elle mit une goutte de parfum, aphrodisiaque ? En avait-elle vraiment besoin d'un aphrodisiaques ? Pas du tout. Même aveugle, Sha risque de ne pas dormir de la nuit et ça se comprend. Fin prête, Kiriko était assez embarrasser par sa tenue. Se balader dans une tenue super moulante ou nue comme un ver, pas de soucis. Comme une aguicheuse... c'est déjà plus dur. Kiriko avait sa fierté de guerrière mais elle avait aussi son passif de femmes et Sha, sans le savoir entièrement, savait qu'elle avait fait bien des choses avec elle ou pour elle. D'un côté il y avait Kiriko la guerrière, celle qui s'est brillamment illustré au tournoi et de l'autre, il y avait Kiriko la femme de Sha, mère de ses enfants et futurs enfants. C'était cette dernière qui allait ressortir ce soir.

Ouvrant la porte de la salle de bain, elle se montra sur le pas de la porte, le rose au joue, le sourire hésitant, elle prenait une pose sexy en posant une main sur sa hanche pendant que la seconde se tenait sur la porte.

« Alors Sha... prête à recevoir notre petite Abby ? »

Elle s'avança doucement en étant toujours aussi sexy, restant à côté du lit, elle posa le bout de ses doigts sur son décolleté, ne sachant pas trop par où commencer...

« Comment trouves-tu cette tenue ? »

Luxuria/Nausicaa était là, jouant avec sa mère divine, n'ayant d'yeux que pour Kiriko à présent.

« Tu est très belle maman... »
« Merci ma chérie. »


Son regard revenait sur Sha, sa réponse ? Nausicaa était au courant du programme, ce soir, c'est soirée entre mères, demain, elle pourra revenir jouer avec elles autant qu'elle voudra mais ce soir... Quoiqu'elle pouvait regarder si elle en avait envie. AU pire des cas, Luxuria saura comment passer le temps avec toutes les belles créatures dans cet hôtel.
Neferia
Pour la jeune dragonne, ces vacances tombaient bien, c'était une chose qu'elle aspirait depuis longtemps. Elle avait un peu de repos et de détente dans son entraînement, que ce soit aux côtés de Crystal ou même de Tigra mais des vacances comme ça, à se faire bichonner, c'était bien mieux encore. Cependant, Neferia n'avait pas prévu le brusque changement de comportement de son mentor. Elle qui semblait encore se détendre sous le massage il y a deux minutes, on croirait que son pire ennemi était apparu sur cette plage ! Pourquoi un tel changement ? Pour sa proposition ? Même si cela pourrait flatter son ego, elle n'avait pas besoin d'un concours stupide pour se sentir belle. Si elle voulait méditer, d'accord mais pourquoi le prendre ainsi ?

« Mais ? Et nos vacances ensemble ? Pourquoi tu prend la mouche comme ça ? J'ai rien dit de mal ! »

Crystal s'envola en ayant proposer à Neferia de la suivre méditer mais pour le coup... être comme une princesse, méditer ? Mince, elle pensait qu'elles pourraient méditer dans leur chambre ou dans un endroit plus calme sans quitter cet endroit ? Mais avant même d'avoir fait son choix, la voilà déjà dans les airs, laissant la jeune dragonne... Seule.

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Neferia n'avait pas continuer de massage ou autres activités de ses vacances, elle n'en avait plus le cœur. Elle avait vite regagner sa chambre pour se mettre en boule sous les couettes... et bouder. Oui, elle se donnait de grands airs mais ça restait encore une jeune dragonne. Une dragonne qui avait perdue ses parents et détestait la solitude plus encre que ses maudits porcs sur pattes. Ce n'est pas pour rien qu'elle trouvait toujours un prétexte pour dormir avec elle, avec ou sans Tigra mais souvent avec son tigre, même si ce dernier prenait de plus en plus de place. Lors de son entraînement, elle a déjà été seule mais avec Tigra au moins, là, elle n'avait pas son tigre, elle n'avait Crystal, elle était seule. Elle revoyait les derniers moments avant le départ de la dragonne, se disant qu'elle avait fauter quelque part mais elle ne l'avait forcer à rien, elle n'avait fait que des propositions ? Il y a deux minutes avant son départ, elle souriait de plaisir sous le massage des nekos ou même le sien puis la minute d'après... plus de Crystal. Neferia refusait de le dire mais elle voyait en Crystal une seconde mère alors se retrouver encore seule comme ça... elle n'aimait pas cela.

Comme une enfant, elle restait en boule à penser, pas à méditer car rien n'était paisible dans sa tête, elle n'aimait plus Crystal, elle ne s'aimait plus, elle déprimait ? Non, boudait, comme une princesse. À quoi sert ce genre de vacances sans Crystal après tout ? Elle l'aurait voulu, elle aurait prévenue Crystal qu'elle prendrait des vacances seules pour lui laisser l'occasion de souffler et faire ses projets en solo mais là, elle avait insister pour venir avec elle et passer ces vacances Ensemble ! Elle avait beau être une dragonne de glace, Neferia pensait l'avoir un peu changer, assez pour qu'elle passe les vacances à deux, qu'elle se détende mais il faut croire que la jeune dragonne était trop optimiste. Quand Crystal reviendra, s'il n'est pas trop tard, elle trouvera qu'une boule cacher sous les draps, encore dans son maillot de bain, à bouder la dragonne. A qui la faute ? À Crystal qui ne sait pas se relâcher ? À Neferia qui pensait bien faire ? Aux deux ?
Harley Quinn
Quoi de plus doux que faire l'amour ? Faire l'amour sous l'eau par exemple. Bien sur en sachant respirer en dessous et sans avoir peur de l'eau, sinon c'est un peu plus compliqué de s'amuser. Mais heureusement, ce n'était pas le cas d'Harley, elle s'éclatait comme une petite folle ! Elle se faisait bien plaisir à jouer avec sa grande copine de Gotham, sa plus grande amie même ! Eh oui, rien que ça ! Devenue une sorte de sirène, elle se faisait bien plaisir en disant qu'elle pourrait à l'occasion recommencer pour que le nom d'Harley soit aussi connue chez Aquaman ! Eh oui il se croyait à l’abri, à gouverner les poissons pannés mais c'est sans compté sur Harley sirène Quinn ! Enfin, elle verra ça àç l'occasion, non seulement ça ne presse pas mais en plus ça fait loin pour rejoindre la cité sous l'eau. Puis c'est où d'abord ? Avec sa Pamy membrée, elle se faisait un de ses pieds sous l'eau. C'était même marrant de pouvoir parler sous l'eau sans rien craindre de la noyade.

« Huuuum ma Pamy chérie... »

Collée contre elle, elle frottait son nez, caressant son visage en la laissant faire tout ce qu'elle lui voulait. Elle ne pouvait pas lui dire non à sa belle jardinière. Elle avait l'air si fière, si belle, lui dire non, ce serait méchant. Et même si elle se faisait un plaisir d'être méchant, elle aimait aussi se montrer gentille avec les autres gens qu'elle aime bien.

« Haaan ouais ! Fais toi plaisir... hum, ma petite sirène à moi... »

Ainsi continue les ébats aquatiques des demoiselles de Gotham.

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Bien des heures plus tard, alors que la plage se vidait un peu et le ciel se voilait doucement d'un jolie orange dans le ciel, les sirènes en avaient fini avec leur danse aquatique, prenant une pause bien mérité dans leur chambre. Faire l'amour sous l'eau, c'était bien plus fatiguant que dans un lit ou ailleurs mais au-dessus de l'eau. Alors qu'elles sortent ou non, Harley ne perdaient pas de sa bonne humeur, gambadant joyeusement dans la chambre en petite tenue, idéal pour passer la soirée ou la nuit, moins pour quitter cette chambre mais pour le moment, elles ne partaient pas. Leur petite aventure avait réveiller en elle son âme d'enfant comme bien souvent et chaque fois qu'elle voyait Pamy, c'était la même chose dans sa tête.

« Sous l'océan, sous l'océan... Y a une Pamy, qui est sexy, et en plus c'est une sirène, tata ta ta ! »

Aussi intelligente, aussi sadique, aussi folle, aussi innocente. Harley touchait à beaucoup d'extrême quand même mais pas grave, elle était heureuse. Venant rouler dans le grand lit pour se retrouver à moitié sur sa belle jardinière, elle continuait de chantonner le refrain doucement sans ouvrir la bouche en baisant le ventre de Pamy, simplement par envie. N'avait-elle pas le droit d'être joyeuse ?

« Tu veux faire quoi ce soir ma petite Ariel ? Tu veux qu'on sortent montrer comment se défoulent des Gothamienne ici ? Ou rejoindre un petit coin très vert pour continuer à te détendre ? Ou bien on reste ici et tu montre ta Harley adoré comment sa petite rose sait aussi être très tendre... ou très piquante ? »

C'était au choix. Cela dit après un petit câlin contre son ventre, elle redressa son visage vers elle, juste pour souligner un détail vachement important !

« Ha, quand je disais ta Harley adorée, je parlais de moi, pas des motos. »

Ivy n'était pas moto mais... on sait jamais que ce soit un vice caché. Ivy en motarde, la bonne blague ! Pourquoi pas en directrice d'usine nucléaire ? Cela dit, il pouvait se passer bien des choses en une soirée, ici ou en dehors.
Aoki
Elle n'avait pas eu beaucoup d'endroit où bien se cacher après tout alors la mer restait sa meilleure cachette même si elle peut paraître évidente avec les traces, si elle se déplace sous l'eau, comment la trouver précisément ? Elle n'allait pas s'amuser à faire le tour de l'ilôt mais elle pouvait au moins surprendre Félicia dans le dos, nageant doucement pour venir cogner son visage sur ses bouées arrières.

« Trouvéééééééé... »

Elle se redressa pour câliner Felicia car elle savait que disparaître comme ça pouvait quand même laisser quelques graines de peur en elle mais maintenant rassuré, c'était elle qui avait gagné. Frottant son visage contre son cou, elle comprenait pourquoi les chats aimaient se frotter aux autres, c'était si agréable. Quant à sa récompense, elle n'était pas à consommer maintenant, elle avait certaines envies qui pourront bine attendre quelques heures.

« Si tu est d'accord, on garde ma récompense pour ce soir, j'ai bien quelques envies à te demander mais cela demande plus de confort que du sable et de l'eau. Puis moi aussi il faut que je m'équipe... »

Oh ? Des objets ? Des costumes ? Aoki savait bien préparer ce genre de petites surprise mais cela impliquerait aussi que Felicia ait son jouet entre les jambes ce qui se serait pas un souci, elle ne devait pas avoir qu'une seule pilule sur elle. Quand bien même, elle pourra toujours en acheter dans le coin. Venant embrasser ses lèvres en se pendant à son cou, elle gardait ce long sourire qui lui allait si bien, ravie et perverse, pile ce qu'il faut pour qu'Aoki soit ravissante.

« En attendant donc... tu es libre de me faire l'amour comme tu le souhaite. »

Ou de faire autre chose mais à part une balade romantique sur cette petite plage, il n'y avait pas grandes activités à faire ici. Enfin, Felicia était libre de proposé ses idées.

==================================

Après cette belle après-midi, Aoki et Féicia avaient regagner leur chambre où elles avaient doucher et coucher encore ensemble, les deux en même temps avant de faire une petite sieste. Une après-midi de sexe aussi intense et un aller-retour à la nage comme ça, ça avait épuisé Aoki. La Chatte en avait peut-être un peu sous le coude mais refuser une sieste ne se faisait pas. D'autant plus que comme n'importe quelle chat, elle n'irait pas feuler sur ça. Mais Aoki avait tout prévu, réussissant à se réveiller avant Félicia, elle s'éclipsa doucement de ses bras pour venir se changer et piocher une de ses armes secrète dans ses bagages.

Se changeant à l'abri des regards – au cas où elle ferait semblant de dormir, elle était de tour dans la chambre dans une ravissante tenue de Bunny girl rose, les classiques oreilles de lapin, une mince tenue sur elle, un peu de douceur au niveau de la poitrine, une petite queue au niveau des fesses, des manches près des poignets et de jolies et attirants collant le long de ses jambes. Et pour finir, un joli petit nœud autour du cou. SI c'est pas mignon ! Avant leur sieste, Aoki avat pris soin de commander une bouteille de vin avec deux coupes ne serait-ce que pour rendre cette soirée un tout petit peu plus romantique. Elle servait les deux coupes en les posant déjà sur la table de nuit. Du vin au réveil, elle n'en était pas encore là mais pour servir de pause après ce qui allait arriver, pourquoi pas. Aoki s'allongea sur Félicia en venant lui baisers les joues afin de la réveiller en douceur et quand elle la voyait se réveiller doucement, elle gloussait en annonçant la couleur.

« Tu t'est déjà fait réveiller par un lapin ? »

Une lapine plutôt mais ça ne changeait rien au fait. Une jolie Bunny Girl pour passer la soirée, voilà la récompense de Félicia ? Oui mais pas la récompense d'Aoki. Pour ce qui était de sa récompense, elle la lui dira après, une fois avoir bien profiter d'une Bunny Aoki. La Chatte Noire pouvait lui faire l'amour comme bon lui semble, elle n'attendait rien de spécial entre ses jambes pour le moment.

« Tu est déjà chaude pour me baiser ou tu veux un peu plus de douceur ? »

Ce n'est pas ça qui manque dans les réserve d'Aoki, elle pouvait l'embrasser et la caresser aussi longtemps que possible. Elle adorait se montrer douce autant que perverse. C'était ça aussi Aoki, de la douceur et une salope. Pas pour rien que la Chatte Noire l'aime tant.
Rouge & Twillight
Après s'être déchaîné sexuellement avec Miranda, une pause fut organisé, pas de quoi fouetter un chat, cette pause n'était que pour Miranda s'organise mieux avec ce qu'elle avait en tête. Une sorte de projet qui va ravir ses deux invités. Mais quel projet ? Elle n'avait rien dit mais connaissant le personnage, ce ne serait pas pour une grande soirée cupcake où les filles mangent tout ce qui leur a l'air appétissant. Rouge en profitait pour se reposer un peu car passer un moment avec la PDG n'était pas de tout repos. Elle ignorait encore ce qu'elle allait faire ? Vraiment lui voler une partie de son argent ? Accepté une offre ? Elle ne savait pas trop car en plus, elle ne voyait pas d'échappatoire... Voler ou accepter d'être traitée comme une pute ? Sinon rien de tout cela mais ce serait dommage de passer à côté de cette mine d'or sans emporter une petite partie du butin.

Si Rouge était méfiante et concentré, Twillight était aux anges, ayant pu calmer ses ardeurs avec la copine de la belle blonde, elle attendait la suite pour pouvoir jouer avec la patronne et aussi Rouge, comme promis ! Une prêtresse de la Luxure comme elle n'allait pas se contenter de si peu mais pour le coup, la petite humaine avait apprit ce que c'était que devoir subir une licorne en manque de sexe. Une chance qu'elle maîtrisait un sort pour pouvoir ressentir toute sa queue en elle sans la mettre en danger sinon vu la longueur, c'est comme si elle lui aurait enfoncer son bras dans ses orifices. Autant une main ça passer pour être courageuses mais un bras ?! Enfin, la belle terranide était moins en manque et était ainsi plus ouverte à une discussion plutôt que d'harceler la belle chauve-souris pour passer à l'action dans un rodéo dément.

« Tu veux quoi donc concrètement ? Tu est difficile à suivre tu sais... Heureusement que j'arrive à te pas te perdre du regard, avec un cul pareil, comment je pourrais poser les yeux ailleurs après tout. »
« Arrête ça, moi je ne sais plus comment faire... Je voulais lui piquer une partie de son argent pendant qu'elle avait le dos tourner mais cela ne lui donne même pas le moindre petit air de déception. Elle veut me payer mais moi je suis pas une prostituée et pas question de jouer les bonnes dans sa boîte ou chez elle ! »
« Tu te complique trop la vie, si tu veux l'argent et qu'elle veut te le donner, accepte. »
« Pas question, je suis une voleuse pas une prost... »
« Oui oui, j'ai compris. Mais en quoi ça te dérange ? »
« Mon honneur, mon image, voilà ce qui me dérange. Toi tu trouve ton pied n'importe comment avec n'importe qui. Moi mon petit plaisir c'est de voir aux infos ce que j'ai fait et semer les doutes, les pistes de ceux qui me traquent. Non pas que ça m'excite sexuellement mais c'est ça qui me branche ! Alors me tendre la porte grande ouverte en me disant sert-toi, je porte pas plainte tellement elle a de fric qu'une vie suffit pas à tout compter à la main, non merci. »
« Huuum... c'est compliqué d'être voleuse... Tu aurais dû faire comme moi, il y a toujours de la place pour un joli petit lot comme toi auprès de Lust. »
« Non merci, moi et les cultes, ça fait deux. »


Rouge était sûre que même leur repos ici était filmé, Miranda ou une de ses sbires devait garder un œil sur elles et rapporter à la boss tout ce qui se passe. Elles n'étaient pas retenue en otage mais Rouge voulait son fric, sans être payé pour ça, sans voler ça trop facilement. En quoi un vol dépanne ou ne fait ni chaud, ni froid ? Il devait bien avoir une façon de lui voler sans que Miranda hausse des épaules en changeant de page sur son magazine... A part lui piquer tout son argent d'un coup... et encore, Rouge se disait qu'avec ça, elle risquait juste de soupirer avant de reprendre son compte en quelques jours grâce à ses bénéfices... Rhaaaa cette blonde lui courait sur le haricot !!!
Tsukasa
Une chose était sûr, des vacances auprès de Tsukasa sans ceinture de chasteté ou sans un enjeu assez gros pour la retenir, ça fini en sexe, évidemment. Et avec sa grande amie Ryouka, ça ne pouvait QUE être des vacances sexuelles. Si en plus sa grande sœur se rajoute à ce duo, ça ne ferait que pimenter les choses. Depuis cette idée de massage, autant dire que les trois jeunes femmes n'avaient pas chaumer, quittant enfin le massage après une très longue séance pour profiter de la plage comme n'importe qui, au moins le temps de se reposer un peu et d'avoir la chance d'être dans un lieu publique pour profiter un peu du calme. Même si, entre elles, faire ça dans un lieu publique attirait leur envie de sexe alors elles devaient se faire plaisir mais discrètement. Le trio regagnait la suite royale, passant devant Nora qui attendait ses protégées encore sur la plage.

Par chance, la suite était vraiment grande et Tsukasa avait donc une suite qui était un vrai petit appartement. De quoi s'éclater sans gêner sa reine et sa femme. Même si bon, pour gagner leur chambre, il fallait passer par la suite, donc par le coin royal. Étant seules pour le moment, Tsukasa se rapprocha de Nika mais juste dans le but de lui soutirer quelques informations qui pourrait lui être utile.

« Dis moi, de toi à moi, comment tu fait pour punir ta petite sœur ? Peu importe ce que je propose, elle est toujours ravie de subir ceci ou cela. »

Punition sexuel en évitant la ceinture de chasteté, il fallait que Tsukasa prenne son pied en punissant Ryouka d'être une vraie petite traînée. Car bon, les fessées, les pincements, le bondage, faire grossir son membre, l'urine aussi, bref, Tsukasa a fait bien des choses avec elle mais sa grande copine semblait avoir si peu de point faibles... elle les cachaient bien. Puis entre elles, ce genre de punition n'avait que nom de punition, ça restait toujours un plaisir pour elles. Maintenant dans leur chambre si souvent baptisé un peu partout depuis leur arrivé la veille, il était temps que Nika baptise aussi cette chambre.

« On a bien fait de demander un grand lit mais à trois, on risque de se serrer un peu... je doute que cela te dérange, Nika ? »

Leur invitée avait le choix, faire l'amour dans le lit, par terre, sur leur petite terrasse ou pourquoi pas dans leur jacuzzi ? Un petit bain à trois, voilà qui devrait plaire à l'un comme à l'autre Spänje ! Maintenant chez « elles », inutile de rester couverte d'un bikini qui n'avait pas assez profiter du soleil mais qui pouvait profiter de bien des choses, solide ou liquide.

« Fait comme chez toi, Nika... tu m'excusera mais un j'ai un petit cul à défoncer et je te laisse deviner lequel... »

Ryouka évidemment, elles tournaient leur rôle afin de ne pas faire de jalouse et Tsukasa fut la dernière à avoir subit son assaut, peut-être que Nika voudra l'aider dans cette noble tâche ? La belle blonde se posa dans son dos en caressant sa poitrine, le tout en baisant son petit cou si tendre.

« Quelle position pour ça ? »

Allongée dans le lit ? À quatre pattes ? En s'agrippant aux rideaux ? Elles avaient déjà tout fait pratiquement ici.
Sya
Ce fut vraiment une très bonne après midi avec sa maman et même avec Kazuha. Après leur petite virée aquatique, elles avaient regagner un coin tranquille où la belle blond peu jouer un peu avec Sya et sa maîtresse avant de se reposer un peu. Sya ne refusait jamais un jeu mais elle comptait faire quelque chose de spécial, comme elle l'avait demander à Kazuha alors elle devait être au meilleur de sa forme ! Elle ne comptait pas l'annoncer clairement à Samara, juste lui faire passer une bonne soirée et demain, si tout se passe bien elle lui en parlera mais pas avant. Même concernant la quatrième femme, celle que Sya a invité, elle allait la laisser jouer avec Kazuha pour ne pas qu'elle s'ennuie et une fois après avoir passé un peu de temps avec sa mère, elles pourraient peut-être passer un moment à quatre ?

La soirée débutait et avec sa maman, elles allaient dans la chambre où elle lui demande de patienter sur le lit, le temps de préparer sa surprise. Elle emporta avec elle un long drap pour s'enfermer dans la salle de bain. Surprise jusqu'au bout ! Pour elle, il n'y avait rien de plus facile de changer d'apparence et encore plus de vêtement. Pour ça il lui suffisait de prendre sa tenue basique, sa mini-jupe blanche et ensuite de lui donner la forme qu'elle veut. D'où son très sexy très mini bikini ou encore ses petits coquillage en sirène. Ici aussi, elle usa d'un zeste de magie pour que la tenue soit un peu plus grande pour envelopper son corps et donner une forme noire moulé à elle. On pouvait y voir ainsi qu'elle portait la même tenue que Samara. Le moindre détail était là. La peau rouge, les cornes, la queue et les tatouages en moins mais sa tenue était la plus fidèle possible mais à la taille de Sya. C'était sa seule différence.

Elle savait qu'une archimage comme Samara pourrait facilement deviner le petit bonus magique qu'elle userait pour tomber plus facilement enceinte mais elle usa d'un objet magique mais pas de son plein grès. Elle avait été voir une de ses amies présente sur l'île entre deux pauses pour lui emprunter une pilule. Ça avait le même effet que le sort qu'elle voulait user mais il ne s'usait pas avec sa propre magie à elle. Ainsi, si Samara détecte un zeste de magie en plus sur Sya, elle ne saura pas en quoi est ce petit plus ? C'est comme surprendre quelqu'un en train de copier sur sa voisine, on sait que la personne triche mais à quel sujet ? On ne sait pas vraiment. Là, c'est pareil. Entouré de son grand drap, elle ne laissait que sa tête dépassé pour garantir l'effet de surprise. Avançant doucement vers le lit, elle faisait en sorte qu'aucun indice ne laisse filer entre les draps. Avec son grand sourire, elle souriait à sa mère.

« Maman a été patiente ? Car Sya a une belle surprise pour elle... prête ? Alors, un, deux... trois ! »

Elle retira le drap et pouf, la voilà dans la même tenue que Samara qui la rendait si sexy et belle, la voici à la taille de Sya. Quel geste mignon que de copier sa mère après tout. Mais ce geste ne restera pas mignon bien longtemps vu les projets qu'elles avaient en tête en se retrouvant ainsi face à face. Sya tourna sur elle-même en étant la plus heureuse des anges.

« Alors maman ? Que penses-tu de ma tenue ? Comment tu me trouve ? »

Belle ? Mignonne ? Bandante ? Elle voulait tout entendre et surtout plaire à sa superbe maman ! Elle venait même bondir pour la rejoindre dans le lit pour la câliner en se frottant comme elle comme une petite chatte. Samara n'avait aucun vrai lien de parenté avec Sya mais ça ne l'empêchait pas de l'aimer comme sa véritable maman. Elle était impatiente de jouer avec elle mais elle n'était pas contre un peu de douceur avant de ressentir un peu de sexe. C'était très plaisant, l'un comme l'autre. Et les deux ensemble, c'était encore mieux !
Konata
Elles en avaient fini avec ce jeu, en même temps Konata n'était pas du genre à jeter l'éponge si facilement. Au contraire, ce sont les jeux qui abandonnaient face à elle. Elle était la célèbre hantise des joueurs de borne d'arcade de Seikusu où partout le pseudo « KON » ou Konata quand elle avait assez de place trônait en haut des high score. Et quand quelqu'un parvenait à réussir son coup, elle venait réduire cela en miette pour le vaincre à nouveau. Bref, maintenant fini, elle laissait Jessica allez voir ses parents pour venir passer la soirée avec elle et pendant ce temps-là, elle retourna dans sa chambre occupé Choco. Elle lui offrait quelques pop-corns pour le calmer avant de lui demander d'être sage mais ce n'était pas une chose simple car il était née après tout des filles de la déesse de la folie alors dites blanc et il répondra banane quoi. Faut croire les doigts pour que le petit Chocobo qui se prenait pour un Mog accepte de se tenir tranquille ?

Konata préparait donc sa soirée avec divers snakcs acheter dans les boutiques de l’hôtel, quelques séries qu'elle avait trouvé pas mal en lisant le synopsis de certaines séries ainsi que quelques jeux à deux qu'elle a emporté de chez elle en double console. 3DS, PSP, y a pas beaucoup de console qu'elle a pu emporter vu que les prises n’étaient pas les mêmes alors à moins d'un Pikachu dans le coin pour recharger ses consoles, ce sera utile un petit moment dans la soirée. Au pire, rien ne les empêchaient de passer une soirée sans être devant la télé ou autres, en se baladant un peu ou en bavardant simplement entre filles ? Elle avait abandonner son maillot de bain scolaire puisqu'elle en aura plus 'utilité ce soir et se mit très à l'aise, comme chez elle. Un petit short jaune ainsi qu'un marcel assez large pour ne pas être serré. Konata était du genre fine en même temps donc les vêtements larges, ça la connaît. Elle ne portait pas de soutien gorge mais ça, c'est question pratique. Vu la chaleur et sa tenue, ça gênerait un peu. Alors que tout semblait bien se passer, c'était sans compter sur son allié et adversaire.... Choco.

« Tu vas tout gâcher tu sais ? »
« Hey, pourquoi tu est si pessimiste ? »
« Faut voir la vérité en face, Kupo, faut que t'invite tout plein de gens et faire une teuf d'enfer sinon elle va juste se tourner les pouces. »
« N'importe quoi, c'est une geek, 'fin je crois ? En tout cas elle se débrouille super bien aux jeux, pourquoi elle viendrait sinon ? On s'entend bien. »
« Sort lui le grand jeu alors, accueille là façon nudiste, Kupo ! »
« Et puis quoi encore, elle va me prendre pour une folle puis adieu ma soirée. C'est bien beau ses vacances mais cette bande de radin a donner ce lot qu'à une seule personne ! Même pas deux ! »
« Et moi je compte pas ? »
« Ta dormi dans mes bagages, ils savaient même pas que tu était là. »
« Kupo, fait une teuf ! Une teuf ! Une teuf ! Une teuf !!! »
« Chut stupide piaf, faut pas gêner les autres ! »
« Kupo, faut faire la fête, agiter tes plumes et fait la fête, Kupo !!! »
« Soit au moins fidèle à tes origines et cesse de jouer les Mogs ! »
« Mais j'en suis un, Kupopo !!! »


Ha l'amour fou entre elles...
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Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Kaguya Shunya »

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Kaguya Shunya
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Demande de RP
SHIZUKA SHUNYA
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Après leur journée de plaisir et de détente, il était temps de se préparer pour d’autres festivités... Soit, en l’occurrence, une soirée où Shunya allait annoncer à Hinata l’heureuse nouvelle. Une nouvelle qui l’inquiétait un peu, car, effectivement, elle était enceinte, tout en sachant qu’Hinata n’avait pas spécialement envie d’avoir un garçon. Alors, comment réagirait-elle quand elle apprendrait ce qui était en train de pousser dans le ventre de sa femme ? Néanmoins, Shunya ne pouvait décemment plus continuer à faire marche arrière. Elle était sûre que Nora savait qu’elle était enceinte, et, chaque jour qui passe, elle se reprochait de ne rien lui dire, de rester silencieuse, de se taire, de se maintenir dans le silence. Ce soir serait donc le moment où elle le dirait.

Et, comme pour l’inciter en ce sens, les deux femmes croisèrent un couple, composé d’une femme brune avec des lunettes, d’une femme blonde avec de beaux yeux bleus qui les regarda silencieusement, et, surtout, d’un bébé, un jeune bébé qui avait l’air très épuisé, mais dont la présence sembla revigorer Hinata. Shunya en rougit un peu, tout en comprenant clairement ce que sa femme voulait. Elle aussi, elle voulait des enfants, des bébés. Se marier avec Shunya, accepter son amour, n’avait fait que réveiller ses vieilles fibres maternelles, ce désir très naturel d’engendrer la vie, de la porter dans ses bras.

Il fallait admettre que Kyoko était très belle, et Shunya l’observait en souriant, avant de regarder les deux filles, en comprenant très vite que ce bébé était la fille de Tessou... Mais, venant de cultures où les couples homosexuels étaient fréquents, elle s’adressa aux deux femmes pour les complimenter :

« Vous avez un très bel enfant. »

Kyoko aurait sûrement bien aimé jouer, mais le petit bébé semblait fatigué. Pour autant, à cet âge, les enfants disposaient de réserves d’énergie insoupçonnées, et, devant Hinata, Kyoko tortilla des bras en gazouillant joyeusement, avant que sa mère ne la reprenne. Les eux femmes et leur bébé partirent, laissant Hinata et Shunya ensemble, en compagnie de Nora. Et, bien sûr, cette anecdote permit de remettre sur le tapis l’enfant de Shunya, qui rougit poliment. Elle aurait pu enchaîner là-dessus, mais, troublée, et se retenant de dire que, effectivement, elle était enceinte, elle ajouta :

« On... On devrait aller au restaurant. »

Pour le rejoindre, elles allèrent à l’un des héliports du Paradisio Hotel, et s’envolèrent ainsi dans les airs. Le soleil commençait à se coucher, et, depuis les airs, les deux femmes eurent droit à un spectacle impressionnant. Le soleil était lentement en train de se coucher dans l’eau, dardant le ciel de multiples lueurs orangées et de reflets flamboyants dans les cieux.

Et puis, au bout d’un moment, elles aperçurent enfin l’imposant bâtiment. Se dressant sur l’eau, la Novac Tower était une structure épaisse, l’une des superstructures les plus connues de Novac. Le plus volumineux gratte-ciel du monde, pour ainsi dire. Shunya l’observait en clignant des yeux, muette de stupeur, tandis que l’hélicoptère amorça sa descente sur l’aile de la Tour, venant s’y poser lentement.

Leur table était réservée... Tout en-haut. Le duo s’avança le long des impressionnantes coursives de la Novac Tower, filant sur la passerelle menant au bâtiment principal.

« C’est incroyable... Je savais que cet endroit était grand, mais je n’aurais jamais pu imaginer qu’il puisse être si... »

La guérisseuse en était tellement surprise qu’elle en perdait même ses mots, clignant des yeux à plusieurs reprises, continuant à voir cette immense bâtisse. Puis les deux femmes rejoignirent un ascenseur qui les amena vers les ultimes étages, où elles arrivèrent sur le toit, un endroit composé de multiples terrasses et de restaurants. La Novac Tower était construite comme une véritable ville, avec d’innombrables boutiques, des écoles, des usines, et, bien entendu, des restaurants, les plus luxueux se trouvant au toit.

Là où les deux femmes allaient.

Et là où Shunya allait pouvoir révéler son secret à son amoureuse.

SUPERGIRL
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Kara avait gagné la partie, et, quand les filles retournèrent dans leur appartement, et Kara réserva une table à un restaurant de luxe : l’un des restaurants de la Novac Tower ! Elle avait vu cet endroit sur des images, mais aussi en y volant. Le Paradisio Hotel n’en était pas très éloigné, et, pour le rejoindre, l’hôtel proposait des navettes, aériennes ou maritimes. De cette manière, on en faisait vite le tour, et Kara, qui s’était préalablement renseignée, réserva donc une table dans l’un des meilleurs restaurants de la tour, mettant la note sur le compte du SHIELD. Elle réserva, bien naturellement, l’option garderie, voyant, sur des images, la garderie. C’était un espace très agréable, avec des coussins, des jouets, et surveillée par plusieurs femmes.

Le menu, quant à lui, était très vaste, proposant, outre des plats uatéens, de la volaille venant de Lumen, ainsi que de la viande. Il y avait toutefois une nette dominance de fruits de mer, compte tenu des lieux. L’endroit, du reste, était très impressionnant, et la Novac Tower faisait ainsi partie du fleuron national, un élément de fierté pour les Novaquiennes, un moyen de prouver à tous les sceptiques la supériorité absolue de la technologie novaquienne. Dreamland avait conçu une superstructure qui reposait sur d’énormes piliers s’enfonçant dans la mer, ce qui faisait que la Tour était impressionnante, tant pour elle-même, que pour ses massives fondations, qui se perdaient plusieurs centaines de mètres dans l’eau, les piliers formant, en fait, un véritable socle, énorme et immense, comme une sorte de base sous-marine.

Novac Tower abritait habituellement des résidents permanents, et plusieurs milliers d’individus vivaient et travaillaient ici. Kara s’était donc dit que c’était l’endroit idéal pour manger, et ce d’autant plus que le Paradisio Hotel proposait des restaurants de qualité moindre. Ainsi, si Kara avait pu faire croire que leur soirée aurait lieu à l’hôtel, elle aurait une surprise supplémentaire. La réservation fut enregistrée, et Kara, heureuse, retourna voir son amie.

Dans la foulée, elles étaient tombées sur un curieux couple, ce qui avait amusé Kara, confirmant que Kyoko était une starlette. La policière lui demanda ensuite de lui préparer un bain, tout en fredonnant une mélodie à Kyoko.

« À tes ordres, Tessou ! »

Kara fit couler l’eau, et, pour le coup, aucun de ses superpouvoirs ne pourrait l’aider à accélérer le rythme de l’eau remplissant la baignoire. Elle observa donc cette dernière monter, tout en s’interrogeant, elle aussi, sur la nature de sa relation avec Tessou. Le fait est qu’elle ne la considérait plus comme une simple amie maintenant. Elle respectait profondément la femme pour ce qu’elle était, à savoir une policière courageuse, élevant seule un magnifique enfant, au nom de son amour perdu pour Ryota. Elle se refusait ainsi à vivre avec un autre homme, mais, ce qui troublait Tessou, c’est qu’elle s’était toujours crue hétérosexuelle. Or, les deux femmes avaient fait l’amour, et Kara savait que Tessou avait aimé ça.

Évidemment, Tessou avait bien des avantages à sortir avec Supergirl, et la Kryptonienne savait que, au-delà de ses qualités propres, ses superpouvoirs étaient un élément qui rentrait dans la balance, car ils assuraient à Tessou et à sa fille une solide protection. Pour autant, Kara savait qu’il n’y avait pas que ça. Tessou était une femme terriblement sérieuse, une Japonaise qui, dans la plus pure tradition nippone, se refusait à faire autre chose qu’être la mère de Kyoko, à défaut de pouvoir être une épouse. Kara apportait cette touche de fraîcheur et d’insolence occidentale que les mangakas aimaient tant exploiter, comme pour mieux montrer les limites de la philosophie japonaise.

Kara vit alors que l’eau était arrivée à bonne hauteur, et, sans attendre, se déshabilla, puis grimpa dedans, frissonnant au contact de l’eau chaude, et s’étala dans le bain, avant de soupirer faiblement. Il ne fallut ensuite pas attendre longtemps avant que Tessou n’entre, et Kara, étalée dans le bain, un grand et agréable bain, tourna la tête vers elle, en lui souriant :

« Il fallait bien que je teste l’eau, histoire de voir si elle te va... Mais, dans le doute, je te propose de rester dedans, afin de la refroidir avec mon souffle... Ou de la réchauffer avec mes lasers. »

Le sourire innocent que Kara lui fit exprimait pourtant bien d’autres envies que simplement celles de réguler la température du bain... Comme réguler la température de sa belle Tessou.

Un programme très alléchant avant d’aller au restaurant !

LUNA EARTHWELL
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Indéniablement, Luna avait passé une fantastique journée. Depuis qu’elle était avec ses Maîtresses, la vie de la neko était comme un long fleuve tranquille, même si très agité par moments. Ses Maîtresses s’occupaient tellement bien d’elle que Luna n’aurait jamais pu espérer mener une meilleure vie. Elle se retrouva donc dans leur grande chambre, et, après une agréable douche, où elle avait couiné et miaulé, les deux Maîtresses l’avaient endormi, à l’aide de multiples câlins, caresses, bisoux, et tendres attentions. Luna était bien incapable de leur résister, et s’endormit donc paisiblement. Comme à chaque fois, Luna avait le sommeil lourd, et il était très difficile de l’en tirer. Elle roupillait tendrement, tandis que ses Maîtresses se préparaient, se changeant en nekos.

Luna, elle, faisait un rêve particulièrement érotique, où ses Maîtresses lui faisaient longuement l’amour à la plage, au milieu d’une armée de chats et d’autres nekos, et elle était souriante... Un sourire qui était également là, en-dehors de son rêve, tandis que l’esprit de Luna confondait réel et le rêve, les caresses des Maîtresses sur son corps étant reproduites dans le rêve. La petite neko se mit à gémir, soupirant lentement sur place, poussant de légers miaulements, tandis que la délicieuse odeur du gâteau remontait à ses narines. On léchait ses joues, son cou, son corps, la faisant gémir, et son corps était déjà en train de chauffer.

« Nyuuuuu... »

Un soupir s’échappa des lèvres de Luna, qui se retrouva couchée sur le dos, les pattes avant recroquevillées un peu sur elles-mêmes. Clignant des yeux, la petite neko miaula à nouveau. Il était toujours difficile de l’arracher du sommeil, mais, quand on mélangeait l’odeur d’un bon gâteau, les coups de langue, les miaulements, et les ronronnements, même la plus difficile des nekos se relevait. Les yeux de Luna s’écartèrent donc, et la neko vit ses deux Maîtresses, en neko, dans des tenues très sensuelles. Maîtresse Yuka avait enfilé une tenue blanche, composée d’un soutien-gorge, d’une culotte, de bottes avec des fanfreluches, et des longs gants avec, également, les mêmes fanfreluches. Maîtresse Yuko, elle, avait une tenue similaire, mais en noir.

Pour le coup, Luna dut faire un effort pour comprendre pourquoi ses Maîtresses l’appelaient Maîtresse.

« Mais... Ce n’est pas Luna la Maîtresse ! » protesta-t-elle.

La mémoire de Luna revint ensuite, et elle écarquilla les yeux, en se rappelant qu’elles avaient convenu de jouer ensemble à imaginer Luna en tant que Maîtresse ! Cette dernière cligna alors des yeux à plusieurs reprises, puis hocha la tête.

« Oh oui ! Luna se souvient, maintenant ! Luna est la Maîtresse, parce que ses Maîtresses ont dit qu’elle devrait jouer la Maîtresse ! »

Un jeu, ce n’était rien de plus que ça, car, fondamentalement, Luna était incapable de s’imaginer, de se concevoir comme étant une Maîtresse. Elle hocha donc la tête, puis s’approcha de la table, où, outre le gâteau, il y avait aussi une tenue pour elle. Luna se força à se tenir debout, dressée sur ses pattes arrière, et s’avança vers le gâteau.

« Hum... Un gâteau pour Luna ? Luna est heureuse ! »

Avant de le manger, elle enfila toutefois la tenue, composée de longues bottes à talon, d’un corset noir en cuir, de gants, et d’une culotte ouverte au milieu... La tenue était à gauche du beau gâteau, et, à droite, il y avait une cravache. Luna l’attrapa, et tira un peu dessus, avant de se mordiller les lèvres.

« Luna est habillée comme une Maîtresse ! Luna trouve que ça lui va bien... »

Elle s’amusa alors à faire crisser ses poings, en serrant et en desserrant ses doigts, puis se pencha ensuite vers le gâteau. Il n’était pas bien gros, et elle entreprit de le manger. Très gourmande, elle l’avala donc, ses Maîtresses lui certifiant que ce gâteau n’était que pour elle. Et, tandis que Luna l’avalait, elle sentit alors une forte chaleur émerger à hauteur de son bas-ventre. La neko se mit à couiner silencieusement, se tortillant sur place, et miaula... En sentant alors une verge pointer hors de son sexe, filant précisément dans le trou de sa culotte.

Luna gémit donc, poussant un long miaulement, avant de tenir entre ses mains ce membre dressé.

« Une verge ! Maîtresse Luna a une verge !! »

La jeune neko s’en pinça encore les lèvres, et porta son regard vers les deux Maîtresses, puis se racla la gorge, avant de prolonger le jeu :

« Esclave Yuko et Esclave Yuka... Venez lécher le sexe de votre Maîtresse ! »

Luna ronronnait déjà sur place, ressentant une curieuse bouffée d’excitation à l’idée de simuler ainsi le jeu de la Maîtresse.

C’était vraiment très excitant !

SHA
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« Je compte lui dire ce soir, Luxuria... »

L’Homoncule hocha lentement la tête, peinant à dissimuler son excitation. Cette séance à Novac promettait d’être fameuse, et ce pour de nombreuses raisons. Outre enfanter Sha, Kiriko allait aussi bientôt apprendre la révélation d’un des plus grands mystères de son existence, quelque chose qui la tracassait depuis qu’elle avait appris que, sous son ancienne réincarnation, la sorcière Misha, elle avait eu deux filles avec Sha : Nausicaa et Jasmine. Nausicaa avait été retrouvée à Wallündrill, où elle s’appelait Luxuria, et était une Homoncule. Des scientifiques et des alchimistes avaient créé Luxuria en utilisant le corps de Nausicaa, et les souvenirs de Nausicaa étaient latents en Luxuria, ce qui faisait que l’Homoncule, outre servir Lust, servait maintenant aussi Sha, et servait, en réalité, d’ambassadrice de Lust auprès de Sha, afin de renforcer les liens entre leurs cultes.

Mais Jasmine, elle, restait un mystère... Cependant, pendant Wallündrill, et même après, Sha avait mené ses recherches, et elle avait finalement retrouvé, non pas Jasmine, mais la réincarnation de cette dernière. Autrement dit, elle allait bientôt confier à Kiriko une ultime mission, une dernière quête pendant les premières semaines de sa grossesse, avant qu’elle ne retourne ensuite au temple pour donner naissance à la future Arya. Leur première fille... Luxuria, elle, trépignait d’impatience à l’idée de voir son ancienne sœur se rapprocher.

Les choses se passaient donc plutôt bien, et, ce soir, alors que le soleil commençait à se coucher, les deux femmes étaient dans une suite, un immense et magnifique appartement, avec de grandes baies vitrées, et une grande terrasse. Depuis la terrasse, on pouvait voir la mer se perdre au loin, avec des yachts et de multiples bateaux qui circulaient sur l’eau. Luxuria se mordillait doucement les lèvres, impatiente, pour le moment, de voir Kiriko. C’était elle qui lui avait conseillé un tisserand edorassien très connu, et elles avaient, ensemble, et dans le plus grand secret, confectionné à Kiriko une superbe tenue de geisha. Il était amusant de voir combien Kiriko était gênée à l’idée d’enfiler une telle tenue, qui changeait énormément de ses tenues militaires. Maintenant, outre la combinaison violette, la robe noire moulante, elle allait pouvoir offrir à Sha le spectacle de sa tenue d’Edoras. Luxuria, donc, en tremblait sur place, et Sha, elle, attendait donc, tout en s’écartant du bureau, s’éloignant ainsi d’une carte montrant une région océanique, au large d’Mijak, avec un archipel comprenant deux grandes îles reliées entre elles par un pont immense surplombant l’eau...

Kiriko entra alors, et Sha, qui venait de s’asseoir sur le lit, embrassait Luxuria, qui la palpait. Le regard de l’Ombre se tourna alors vers Kiriko, et...

*Qui est-ce ?*

Aussi incroyable que ce soit, pendant les premières secondes qui s’écoulèrent, Sha ne la reconnut pas ! Cette tenue était tellement à rebours de ce que Kiriko avait l’habitude de porter que le choc fut clairement visible sur son regard. Des sandales élégantes, de magnifiques collants à carreaux remontant jusqu’au-dessus de ses genoux, et, bien sûr, un haut... Magnifique. Une tenue rose et violette, fine, élégante, mettant ses formes en valeur, avec une sorte de morceau de tissu descendant de son ventre pour dissimuler l’accès à son bassin, où il y avait, derrière, une fine culotte violette reliée par des bandeaux.

En un mot, et pour le dire simplement, Kiriko était magnifique.

« Kiriko... »

Un léger soupir s’échappa des lèvres de Sha, tandis que Luxuria se mordilla les lèvres. Kiriko était vraiment aussi belle que dans ses souvenirs, et la jeune Celkhane rougissait, visiblement gênée de se présenter ainsi. Sha constata alors que la verge de Kiriko était sortie, ce sexe donné par Luxuria, et qui allait parfaitement à Kiriko. Elle le sortait maintenant de plus en plus, et ce n’était évidemment pas pour déranger Sha. De plus, il était important de souligner que, aujourd’hui, les deux femmes n’avaient pas fait énormément l’amour. Il y avait donc quelque chose à rattraper ce soir.

Kiriko lui demanda comment elle trouvait cette tenue, et Sha se redressa alors, son manteau glissant en même temps le long de son corps, tombant mollement sur le sol. Avec son corps nu, Sha se rapprocha, et sa main caressa la joue de Kiriko, l’autre caressant ses hanches, glissant sur la robe, sentant, dessous, un corset violet, rehaussant un peu les seins de la Celkhane. Tout en lui souriant, Sha déplaça sa main, et la posa sur l’une des fesses de la femme, tout en se mordillant les lèvres.

« Ma chérie, tu es vraiment magnifique... Peu importe la tenue que tu portes, Kiriko, ta simple vue est toujours autant un régal pour moi. »

Sha lui sourit donc, et, avec sa main posée sur son postérieur, la déplaça un peu pour enfouir ses doigts sous le tissu, caressant ainsi ses fesses.

« C’est donc ça, ta surprise ? Hum... Elle me plaît beaucoup. »

Sha l’embrassa tendrement ensuite, plaquant ses lèvres contre les siennes, et laissa passer quelques secondes. Un baiser d’amoureuses, le baiser d’une femme qui aimait sa partenaire. Les deux beautés s’embrassaient tendrement et joyeusement. Puis, au bout de plusieurs secondes, Sha, qui s’enivrait du doux parfum de Kiriko, rompit le baiser, en lui souriant.

« J’ai hâte que tu m’engrosses, Kiriko... Sache que j’ai, moi aussi, une très bonne surprise pour toi. Mais je te laisse décider si tu veux que je te la confie maintenant, ou une fois que tu auras conçu Abby dans mon ventre... »

Le choix lui appartenait, et c’était aussi un très bon moyen de voir jusqu’à quel point Kiriko était actuellement excitée.

CRYSTAL
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Après le coup d’éclat de Crystal, la nuit s’était abattue dans leur chambre quand des mouvements se firent entendre sur la terrasse. La porte vitrée s’ouvrit ensuite, et la Dovahkiin, silencieusement, rentra dans la salle de vie. C’était un petit appartement, avec une salle principale, et une chambre commune. Elle perçut rapidement la présence de Nefaria, et, silencieuse, s’avança. Crystal savait qu’elle avait vexé Neferia, et que, au-delà même de ça, Neferia se sentait probablement honteuse d’avoir proposé à Crystal quelque chose qui ne lui convenait pas. Entre les deux dragonnes, une relation complexe s’était nouée. La jeune dragonne ne voyait pas juste Crystal comme son mentor, mais comme une sorte de mère de substitution.

Crystal ne souriait pas, et vit une petite boule sur le lit. C’était Neferia. Elle se déplaça alors lentement, et s’assit sur le rebord du lit, ses longues ailes tombant sur cette masse enfouie sous les couvertures, et sa main se déplaça, se posant à l’emplacement approximatif de la tête de Neferia.

« Je t’ai déjà dit que j’ai dirigé une communauté, une fois... »

Un épisode lointain, sur lequel Crystal s’étalait peu, celui où, lassée de sa solitude, elle s’était rapprochée d’une seigneurie, et avait usé de ses pouvoirs pour protéger la population contre les monstres. Elle avait commencé en tuant des loups qui s’en prenaient au fils d’un fermier, et avait ensuite massacré des brigands, ainsi que d’autres monstres. Crystal avait eu tellement de succès qu’elle avait même fini par devenir, à sa surprise, le nouveau seigneur, quand elle avait tué l’ancien, qui abusait de ses droits seigneuriaux, et avait vu en elle une bête de somme.

Ce début de l’histoire, Neferia la connaissait, mais elle ne connaissait pas la fin, les raisons précises pour lesquelles Crystal n’avait pas établi une dynastie.

« Je dirigeais la seigneurie en essayant d’être juste et ferme. Je rendais des décisions de justice, tout en continuant à défendre la seigneurie contre les menaces. Je pensais être une bonne dirigeante... Mais, plus j’étais juste, et plus les jalousies s’ourdissaient. Dans mon dos, on colportait des rumeurs, et la foule, si apte à m’encenser, en venait peu à peu à me vilipender. En définitive, l’Ordre Immaculé a été informé de cette chose, et une croisade a été organisée. Mes propres gens se sont retournés contre moi. »

Crystal avait enrichi la seigneurie, et avait eu de multiples amantes. Son palais était devenu un endroit très vivant, ce qui avait engendré jalousies et rumeurs. On disait qu’elle voulait enfanter une génération de mutants dragoniques, de monstres, de bâtards et de mutants.

« Ils m’ont capturé, en usant de leurs sortilèges. La foule entière me crachait à la figure, me battait, me giflait. Moi, leur chef, j’étais devenue un exutoire pour leur haine et leur colère. On me pissait dessus, on me torturait, tout en m’attachant à un bûcher. Un feu magique destiné à me détruire. C’est là que je me suis transformée, Neferia. »

Une puissante dragonne de Glace qui avait déferlé sur ces mécréants, soufflant un froid mortel. Quand Crystal était revenue à elle, il n’y avait plus que de la glace partout, et d’innombrables morts. Elle avait tué tout le monde. Hommes, femmes, enfants... Une tragédie sanglante et affreuse.

« Depuis lors, j’ai peur de la foule, ma petite chérie... Au moins, la solitude ne peut pas me trahir, elle. »

Mine de rien, cette histoire était relativement similaire à ce que Neferia avait vécu.

Peut-être était-ce là une autre des raisons expliquant que Crystal ait pris la jeune femme sous son aile ?

POISON IVY
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Elles s’étaient, pour le coup, amusées toute la journée. Dans l’eau, le temps avait défilé très rapidement, au milieu de tentacules végétaux, des excroissances d’algues qui les avaient retenu, les pénétrant, leurs hurlements formant des petites bulles qui remontaient à la surface. Plus Pamela découvrait Terra et sa flore exceptionnelle, plus elle était étonnée de voir tout ce qu’elle pouvait en faire. Nager sous l’eau, offrir à Harley de quoi la rejoindre, elle n’aurait assurément jamais pu le faire sur Terre. Il avait fallu, pour ça, qu’elle étudie, chez elle, de multiples spécimens ramenés depuis Terra, et qu’elle les utilise pour modifier ses propres plantes. Se faire pousser une verge en était une autre illustration. Peu fréquent sur Terre, l’hermaphrodisme était, en revanche, nettement plus répandu sur Terra, ce qui avait quelques conséquences très utiles, comme Pamela et Harley en avaient fait les frais.

Maintenant qu’elles avaient fini, il faisait nuit dehors quand les deux femmes ressortirent, le long de l’une des plages entourant le Paradisio Hotel. Il y avait quelques groupes de touristes, ici et là, généralement des adolescents, qui en profitaient pour se détendre sous la nuit, ou pour coucher entre eux. Autant les laisser jouer entre eux. Harley, elle, laissait à Ivy le soin de choisir quoi faire pour la suite, et cette dernière se contenta d’un léger sourire.

« Pour l’heure, on va rentrer... Il faut que je te fasse essayer une tenue, ma belle Harley, je suis sûre qu’elle t’ira à ravir. »

Le SHIELD avait loué plusieurs chambres dans une zone commune. Harley et Ivy, elles, bénéficiaient d’une chambre commune, qui était proche de celle de Miss Marvel, comme un moyen tacite de leur rappeler de ne pas faire de bêtises. Mais, en ce moment, Ivy n’avait nullement de se battre. Pour quelle raison se battrait-elle, d’ailleurs ? Elle n’en avait aucune raison, tant Novac était un environnement pur, mélange parfait de science et de nature.

Pamela tenait Harley par la main, et les deux femmes rentrèrent donc dans leur appartement, où Ivy en profita pour serrer Harley contre ses bras, embrassant fiévreusement cette dernière. Son petit clown était bien placé pour savoir combien la flore influait sur les humeurs de Pamela. À Gotham, la pollution omniprésente la rendait agressive, cruelle, insensible, alors que, à Yoake, où la nature était bien plus respectée, elle était nettement plus sereine, plus apaisée, et plus détendue.

Alors, forcément, à Novac...

Ivy fourra donc sa langue dans sa bouche, caressant son corps trempé et humide, puis s’écarta rapidement, après un baiser fougueux et intense.

« Allez, Harley ! Je vais te montrer ton pyjama de soirée... »

Ce n’était pas tous les jours que Pamela, par habitude réfractaire aux vêtements, offrait une tenue à Harley. Elle se dirigea donc vers leur penderie, et sortit une robe de chambre violette, avec, à l’intérieur, une tenue pliée, puis la déposa sur le lit, et fila ensuite dans le salon, où elle alla s’occuper des quelques plantes vertes décorant l’intérieur, en attendant que son clown revienne avec la tenue.

Outre la robe de chambre, l’ensemble comprenait un soutien-gorge rouge, et, surtout, une culotte noire avec des collants rouges présentant des carreaux noirs. Comment ne pas craquer devant une telle tenue ? Pour Pamela, en tout cas, ce n’était pas possible ! Elle attendait donc que son amante enfile cette tenue, et, pendant qu’elle était en train de changer, Pamela répandit une fiole de son choix dans les plantes, qui se transformèrent, puis elle les contrôla à son tour, en posant ses mains dessus, laissant jaillir des tentacules, qui se regroupèrent entre eux, s’amassant sur le sol.

C’est ainsi qu’un clone végétal d’elle-même se dressa. Une seconde Poison Ivy apparut ainsi, les tentacules se regroupant et se couvrant de feuilles, la matière changeant ensuite pour donner l’illusion d’une peau parfaite. Le second clone, néanmoins, ne pouvait pas trop parler. Comment Pamela faisait-elle un tel tour de force ? Eh bien, elle ne le savait pas elle-même ! Elle pouvait le faire, mais était incapable d’expliquer, dans le détail, comment les tentacules faisaient. Ce n’était pas que de la science, c’était aussi de la magie.

La belle Harley allait en tout cas avoir droit à une sacrée nuit...

FÉLICIA HARDY
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Félicia avait à nouveau pris Aoki dans la douche, mais même elle était épuisée. Nager sur l’île, et en revenir, avait été particulièrement épuisant. Fort heureusement, au moment de revenir, elle savaient croisé un hors-bord, et deux touristes les avaient laissés grimper. Aoki avait presque dormi sur son épaule, mais elles avaient quand même pris une douche ensemble, où, couple oblige, les deux femmes avaient fait l’amour. Félicia l’avait prise contre la cabine de la douche, tout en lui enjoignant de lui dire ce qu’elle préparait... Hélas, Aoki avait tenu bon, et Félicia, après s’être nettoyée, s’était endormie avec sa combinaison de Chatte Noire. Elle aurait pu dormir nue, mais elle savait qu’Aoki aimait bien sa combinaison, et, comme Félicia ne l’avait pas encore enfilé aujourd’hui, elle se coula donc dedans, et le sommeil l’assaillit très rapidement.

Sa fermeture était abaissée jusqu’au nombril, tandis que, comme à son habitude, elle s’enfonça joyeusement dans le sommeil. En tant que Chatte, Félicia dormait toujours très bien, et c’était souvent Aoki, matinale, qui la réveillait, en profitant pour lui faire des surprises. Entre elles, c’était devenu un rituel habituel. Il était fréquent que Félicia ait des réveils très chauds. Aoki était tout simplement une bombe nucléaire du sexe, inépuisable, infatigable, comme elle l’avait montré il y a quelques semaines en couchant avec Félicia, Pamela, et Harleen Quinzel. Aoki était une endurante, et, ce faisant, les réveils alternaient entre douceur, où elle lui apportait du lait, et sauvagerie, où elle la réveillait en la mordant, avec une cravate et une tenue en latex.

La Chatte Noire dormait donc paisiblement lorsqu’Aoki, dans sa magnifique tenue de bunny girl, s’approcha d’elle. L’air était climatisé, et le soleil commençait à se coucher quand Aoki se pencha sur le lit. La fermeture de Félicia s’était encore un peu abaissée. Elle pouvait filer comme ça jusqu’à son bassin, et Félicia dormait paisiblement, la tête penchée sur le côté, yeux clos, ses longs cheveux blancs filant tout le long de sa tête.

Le délicat réveil s’opéra donc par une série de baisers et de frottements.

« Hnnnnnn... »

Félicia papillonna des yeux en sentant ce corps se presser contre le sien, et sa main glissa dessus, caressant le dos d’Aoki, sa peau nue... Puis la texture de sa tenue, près de ses fesses, et... Son pompon blanc. Ceci la fit cligner des yeux, et elle ré&agit un peu.

« Que... ? »

Ce fut tout ce qu’elle arriva à dire, avant qu’Aoki ne l’embrasse tendrement. Un baiser qui permit à Félicia de reprendre contenance, sentant les mains d’Aoki agripper les siennes pour les plaquer, à hauteur des poignets, contre le lit, au-dessus de la tête de la Chatte Noire. C’est dans cette situation que les deux femmes continuèrent à s’embrasser tendrement, Félicia réalisant peu à peu quelle folie Aoki avait faite...

Après ce baiser, Aoki se mit à califourchon, tout en lui proposant de la baiser, ou d’opter pour la douceur. Félicia, elle, observa le corps de la femme, et caressa ses hanches, à l’emplacement de la tenue rose, fine et agréable. Une vraie tenue de bunny girl, qui fit alors sourire Félicia. Un délicieux sourire, empreint de perversion. Elle s’en mordilla les lèvres, observant encore ce corps parfait, ce corps qui se dressait au-dessus du sien. Magnifique beauté, sensuelle et envoûtante, elle était tout simplement parfaite.

« Cette tenue te va vraiment à ravir, Aoki... »

Félicia s’en mordilla les lèvres, et continua à la caresser avec ses mains, tirant un peu dessus, caressant ses seins, serrant les fanfreluches blanches qui se tenaient dessus, tout en continuant à lui sourire.

« Désolée, ma chérie, mais... Je veux conserver l’image de toi en chaude lapine dans ma tête... »

La Chatte Noire caressait cette femme comme une sorte d’idole. C’était un tableau magnifique, en même temps, et la Chatte continuait donc à la caresser, avant de lui demander de se retourner. Aoki en profita pour rapprocher ses fesses de Félicia, qui redressa sa tête, léchant sa petite queue poilue, tout en massant ensuite son petit cul entre ses doigts. Elle tira sur la ficelle de sa tenue, pour la relâcher ensuite, la faisant ainsi claquer sur son postérieur.

Quoi de mieux qu’un réveil sexuel pour récupérer toute son énergie ?

« Vas-y, ma petite lapine, échauffe-moi bien... »

Par cette demande, Félicia avait fait le choix de la douceur, de la tranquillité, un démarrage en douceur, avant de la baiser bien comme il faut. Car, dans une telle tenue, il allait de soi qu’Aoki allait se faire joyeusement défoncer. L’inverse serait, pour le dire simplement, tout bonnement incompréhensible !

MIRANDA FORGE
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« Moi, je les aime beaucoup, ces petites !
- Elles ont un charme certain, c’est sûr...
- On devrait les inviter à nous rejoindre ce soir... »

Miranda réfléchissait silencieusement à cette option. Les filles venaient de faire l’amour, et l’après-midi était doucement en train de toucher à sa fin. Il fallait donc savoir quoi faire ce soir. Miranda, en réalité, ne manquait pas d’options, mais elle avait bien compris que Kaleena désirait y impliquer leurs deux nouvelles copines. Il fallait donc y réfléchir, ce que la PDG était en train de faire. Miranda hésitait, car elle avait senti quelque chose de perturbant chez Rouge. Pour le dire simplement, elle ne lui faisait pas confiance, et elle sentait que cette femme jouait double jeu, contrairement à sa copine, qui avait l’air d’avoir surtout envie de s’envoyer en l’air avec de belles femmes.

Rouge et Miranda avaient néanmoins eu l’occasion de faire l’amour, et Miranda, maintenant qu’elle était seule avec Kaleena, en profita pour photographier Rouge, puis envoya cette photographie à son assistante, Noémie, en lui demandant de faire une recherche sur cette femme. Il ne fallait pas prendre Miranda Forge pour une simple femme d’affaires. Par l’intermédiaire de GeoWeapon Corp., elle avait accès à un important réseau d’informations, et elle espérait bien en savoir plus sur elle.

En attendant, elle se rapprocha des deux femmes.

« Bon, les filles, je vous invite à passer la soirée avec nous... Qu’est-ce que vous en dites ? »
*
* *
Le soir vint donc.

Miranda avait une superbe suite, aussi grande et aussi impressionnante que celle de Sha. Kaleena et Twilight s’étaient enfermées dans une chambre depuis maintenant une heure quand, alors que Miranda et Rouge s’embrassaient et se pelotaient sur le canapé, cette dernière reçut un message.

« Hmmm... Attends un peu, Rouge... »

Miranda se redressa, délaissant le corps de la Terranide chauve-souris, et rejoignit son portable. Le message venait de Noémie, et contenait différentes informations sur Rouge. Comme toujours, GWC avait fait du bon travail, et Miranda apprit ainsi que Rouge avait travaillé avec un baron du crime uatéen, Gran Torino. Elle vit plusieurs informations sur elle, dont une image d’elle dans une tenue moulante en cuir, se composant de longs gants blancs, d’un pantalon en cuir sombre, et d’un corset avec des bottes roses.

*Hum...*

Néanmoins, le fichier était assez vide sur elle, signe qu’elle avait affaire à une femme talentueuse, et très discrète. Miranda nota donc ces informations, tout en retournant voir Rouge dans le salon. Elle tenait dans la main deux flûtes, et tendit à Rouge un verre de vin, tout en s’asseyant à côté d’elle, peinant à chasser de son esprit l’image séduisante de cette femme dans sa tenue de voleuse.

« Alors, ma chérie, comment trouves-tu Novac ? Ou cette suite ? Tu aimes être là, à te dire que tu embrasses la plus puissante femme de Uatis ? »

L’humilité n’avait jamais fait partie des qualités et des vertus de Miranda, ce qu’elle venait de prouver en quelques mots seulement.

RYOUKA
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Qui se ressemble s’assemble... Voilà, en tout cas, ce que pensait Nika en voyant l’ardeur sexuelle de Tsukasa. Elles avaient passé leur après-midi à faire l’amour ensemble, invitant parfois Nika, tout en ne cessant de se provoquer sexuellement. Nika s’était souvent demandée d’où venait cette nymphomanie, car, très clairement, Ryouka était nymphomane. Elle ne semblait ressentir aucune gêne à l’idée de faire du sexe, de le pratiquer à peu près n’importe où. Pour Nika, c’était une surprise continuelle. Elle avait beau connaître cette diablesse de Ryouka depuis des années, la jeune femme arrivait encore à la surprendre. En tout cas, elle formait un superbe couple avec Tsukasa. Ça, pour le coup, Nika ne pouvait que le reconnaître. Ensemble, les deux formaient une superbe paire.

Dans tous les cas de figure, après leur shopping dans les grandes artères commerciales du Paradisio Hotel, et leur séance de massage, elles retournèrent vers leur suite, Ryouka expliquant à Nika qu’elle logeait dans une grande suite, ce qui lui permettait de se séparer du couple royal.

« Et les murs de notre chambre sont insonorisés...
- C’est préférable, on vous aurait déjà foutus dehors, sinon... »

Ryouka se contenta de hausser les épaules, avec un sourire insolent sur les lèvres :

« Devrait-on s’excuser de prendre notre pied ? »

Comme toujours, Ryouka avait réponse à tout, et Tsukasa en profita volontiers pour demander à Nika des conseils, afin de savoir comment s’occuper de cette diablesse, comment réussir à la punir. Nika ne put que sourire. Punir Ryouka relevait du prodige. Nika l’avait déjà fouetté, et elle l’avait même frustré sexuellement avec une ceinture de chasteté, mais même ça excitait Ryouka, qui se frottait contre elle, voulant alors faire jouir Nika, tout en continuant à se dandiner. Avec une telle nymphomane, le concept même de punition était difficile à envisager, et Nika se contenta d’un sourire mystérieux, avant de lui répondre :

« Le jour où tu arrives à trouver, fais-le moi savoir, tu me sauveras la vie. »

Sur ces bonnes notes, le trio rejoignit une suite très impressionnante, extrêmement belle et grande, aux derniers étages du Paradisio. Une suite de luxe, avec un grand salon central se composant de baies vitrées donnant sur uen vue spectaculaire de la mer. Nika n’eut cependant pas trop le temps de s’y attarder, car le groupe s’enfonça dans un couloir latéral, avec une porte au fond, menant sur un petit salon, où Nika nota vite la différence.

Là où la suite était très bien rangée, dans celle-ci, elle vit des affaires qui traînaient sur le sol, des strings, des soutien-gorges, des minijupes, des débardeurs... Le lit de la chambre était défait, et, sans l’air climatisé et la ventilation, Nika était sûre que l’endroit sentirait le renfermé. Près de la télévision, assortie d’un lecteur DVD, elle vit toute une série de films pornographiques, et sourit encore.

*Faites pour s’entendre, définitivement...*

Nika suivit le duo, et, dès qu’elles furent donc rentrées, Tsukasa indiqua qu’elle avait un cul à défoncer, ce qui amena Ryouka à se déshabiller, avant de sentir Tsukasa se nicher dans son dos, frottant son corps contre le sien, tout en lui demandant quelle position choisir. Ryouka, en souriant, tourna sa tête vers Nika, en se dandinant un peu sur place.

« Tu veux nous rejoindre, Nika d’amour ? »

L’Héroïne hésita pendant quelques secondes, avant de se mettre à légèrement sourire.

« Pas tout de suite, non... Je crois plutôt que je vais vous observer faire des saloperies, toutes les deux.
- Han... Ça, c’est une bonne idée ! »

Ryouka, en souriant, se laissa alors tomber, et atterrit à quatre pattes, au milieu de la salle, sur le tapis, et tourna sa tête vers Tsukasa, pendant que Nika utilisait le matériel présent pour les filmer, et retransmettre en direct la scène sur la télé.

« Allez, les filles, lâchez-vous à fond, vous êtes filmées ! »

Sa petite-sœur ne put que sourire malicieusement, tout en bombant ses petites fesses.

« Allez, Tsukasa, viens me défoncer... À moins que tu ne sois épuisée ? »

Une petite provocation, rien de mieux pour lancer sa partenaire !

SAMARA
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Après leur journée à la plage, Samara, Sya, et Kazuha, se retrouvèrent dans leur appartement. Et, alors que Kazuha s’était empressée de filer dans la cuisine pour préparer le repas, Sya, elle, avait attrapé sa mère adoptive par la main, afin de lui demander d’attendre dans la chambre. Intriguée, Samara avait accepté. Plus elle passait du temps avec Sya, et plus elle appréciait cette jeune femme. La petite Ange qu’était Sya se montrait très aventureuse, en plus d’être une redoutable perverse. L’Ange ne cessait de surprendre Samara. Dire que, initialement, elle était juste venue la voir pour pouvoir dominer une Ange... Qui aurait cru que, entre elles, les choses auraient pu aller aussi loin ? Sûrement pas Samara. Et pourtant, elle était là, dans cette chambre, au lit bien rembourré, à attendre que Sya revienne avec sa surprise.

*C’est la vie elle-même qui est pleine de surprises...* songea alors Samara.

Et Sya en était une belle. L’Ange était jadis une Ange des Cieux, qui avait été sauvée, et reconstruite, par Lust, Déesse de la Luxure. Elle était, depuis lors, une Ange spéciale, traumatisée par les hommes, à mi-chemin entre la luxure, au sens infernal du terme, et le désir sexuel. Elle flottait sur cette ligne floue et instable, où les Anges avaient toujours eu du mal à s’imposer. Samara s’était très étrangement attachée à elle, ne voyant plus en Sya qu’un simple support sexuel, ou même qu’un moyen pour elle pour raffermir son influence sur le monde qui l’entourait en lui permettant de se rapprocher de Lust. Au-delà de ça, elle voyait Sya comme... Sa fille ? Pour Samara, cette notion relevait surtout du jeu, car, fondamentalement, elle savait que Sya n’était, ni sa fille naturelle, ni sa fille adoptive, vu qu’elles n’avaient jamais fait la moindre démarche en ce sens. Il était d’ailleurs impossible de le faire, car Sya était résidente à Caelestis, et, si les Mijakiens l’apprenaient, Sya aurait de gros soucis, les deux nations étant en guerre. Cependant, le fait que Samara prenne ce risque, en ayant délibérément choisi de ne pas dénoncer Sya aux autorités, attestait de quelque chose. Mais quoi ? Elle aimait bien cette petite Ange perverse, c’était un fait indéniable...

Perdue dans ses pensées, Samara s’était peu à peu couchée sur le lit. Loin d’Mijak, elle conservait quand même un œil sur ses affaires. De telles vacances étaient exceptionnelles pour elle, car, au vu de son poste à responsabilité, elle devait toujours se tenir disponible. Emhyr, son supérieur, Conseiller Impérial, pouvait ainsi toujours la joindre, et elle disposait, dans ses affaires, d’un miroir magique lui permettant de rejoindre instantanément son appartement, à Mijak.

Tandis qu’elle y songeait, Samara entendit soudain la porte s’ouvrir, et se redressa. Ce soir, l’Archimage portait sa traditionnelle tenue noirâtre, ce long corset avec les bottes et les gants, et elle resta assise sur le lit, stupéfaite en voyant...

« Oh... »

Elle avait l’impression de voir double en voyant la petite Sya... Visiblement, l’Ange avait choisi de faire à sa « mère » une belle surprise, en enfilant une tenue qui était très similaire à la sienne. C’était d’ailleurs la même tenue, et Samara la regarda sans rien dire pendant de longues secondes. Sya tourna lentement sur elle-même, ce qui permit à Samara de voir que la tunique de Sya moulait aussi bien ses petites fesses que la sienne le faisait avec son propre corps.

*C’est fascinant... Mais, si je m’interroge sur notre relation, je crois que c’est, elle aussi, très spéciale pour elle...*

Samara savait que Sya était une nomade, qui s’attachait peu sur le long terme. Pour autant, elle était venue voir Mélinda il y a des mois, et, si on en suivait son propre calendrier, elle aurait dû partir depuis des semaines. Or, elle continuait à venir, en grande partie à cause de sa relation avec Samara, même si l’Archimage supputait aussi que l’Angelotte aime beaucoup être l’esclave de Mélinda, une vampire pour laquelle on s’attachait beaucoup. Sya voyait-elle vraiment Samara comme une mère de substitution ? Après tout, étant orpheline, et amnésique, Sya avait probablement, en elle, de profondes carences affectives. Il était amusant qu’elle ait trouvé une démone pour lui permettre de se reconstruire.

Néanmoins, les deux filles n’étaient pas là pour parler de ça, et Samara laissa un fin sourire se dessiner sur ses lèvres, et tapota le lit, à côté d’elle. Sya la rejoignit donc, et Samara posa sa main sur son épaule, s’empressant de le coucher sur le dos, et se dressa au-dessus d’elle, en lui souriant malicieusement. Sa main caressa la joue de Sya, mais descendit rapidement sur sa tunique, glissant le long des seins, puis sur son ventre, ses longs doigts filant jusqu’à ses cuisses, avant qu’elle ne se penche, et n’embrassa l’espace creux entre ses seins.

« Hmmm... »

Pendant plusieurs instants, il ne se passa rien d’autre qu’une série de baisers sur sa tunique. Samara se penchait dessus, et coinça ses dents sur certains pans de la tunique, afin de la tirer vers le haut pour la relâcher, et elle continua ensuite à l’embrasser, enroulant ses bras dans le dos de Sya, continuant à la baiser, ici et là. Ses lèvres filaient le long de cette délicieuse texture, et elle rejoignit ainsi l’entre-jambes de Sya, son propre corps filant sur le sol. Assise par terre, Samara lécha ainsi le sexe de l’Ange, à travers la tunique. Elle la lécha pendant plusieurs secondes, sentant Sya couiner et gémir, pour se relever ensuite.

Se tenant debout sur le rebord du lit, ses mains caressèrent ensuite les jambes de Sya.

« Tu veux t’habiller comme ta Maman, hein ? »

Question purement rhétorique, en réalité, vu la tenue de Sya. Samara glissa ses mains sur ses sangles, tirant un peu dessus, puis elle retourna ensuite vers l’avant, ses mains remontant le long de la tunique de Sya. L’Ange avait été jusqu’à prendre une texture similaire à celle de Samara, et avait donc dû s’adresser au tisserand mijakien qui avait fait cette tunique. C’était du cuir, mais un cuir très particulier, modifié à l’aide d’élixirs et de substances chimiques pour le rendre plus malléable, tout en étant crissant.

Elle retourna ainsi contre elle, et embrassa Sya sur les lèvres, assez longuement, fourrant sa langue dans sa bouche, la remuant amoureusement en posant une main sur ses cheveux, et l’autre sur son épaule. La langue de Samara heurta celle de Sya, et, ensemble, elles partirent dans un long et doux ballet. Le temps défila donc, jusqu’à ce que Samara ne rompe ce baiser. Elle était confortablement allongée sur la petite Sya, et l’embrassa sur le front, en lui souriant à nouveau.

« Cette tenue te va très bien, Sya... Elle donne très envie à ta Maman de s’amuser énormément avec toi... »

Samara pencha ses lèvres vers son cou, et mordilla un peu sa peau, avant de la lécher.

« Pas toi ? » sourit-elle ensuite.

JESSICA DREW
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« Sois prudente, Jessica, surtout...
- Oui, M’an...
- Tu es fragile, Jessica, alors ne va rien faire de stupide ! »

Sur le canapé, Maman Carol leva les yeux au ciel, agacée devant la sollicitude de Kelly, ce que Jessica pouvait comprendre. Quand elle leur avait annoncé qu’elle avait rencontré une amie, et qu’elle allait manger chez elle ce soir, Carol y avait vu l’opportunité de passer une soirée avec sa femme, mais Kelly, elle, s’inquiétait, très naturellement.

*N’empêche, me dire que je suis fragile... Si tu savais ce que je fais le soir, Maman...*

Elle était Spider-Woman, après tout, et, à ce titre, elle avait pris des risques infiniment plus grands qu’aller voir une mystérieuse otaku avec un Chocobo qui parle, et dont elle était incapable de situer les origines. Mais, pour Maman Kelly, Jessica restait toujours sa petite Jess’, sensible et fragile, une jeune fille encore marquée par la mort de l’une de ses amies, et qui, en conséquence, avait besoin qu’on veille sur elle. C’était là ce que Kelly faisait, mais même Carol s’impatientait.

La jeune cadre de GWC se releva donc en grommelant.

« Kelly ! Arrête, ça en devient ridicule, là... On a le numéro de la chambre de son amie, et, s’il y a le moindre problème, Jessica nous appellera.
- Je sais, je sais ! J’ai quand même bien le droit de souhaiter à ma fille de passer une bonne soirée ! »

Jessica rougit un peu, avant de finalement réussir à s’arracher à l’emprise de ses mamans. Préférant ne pas savoir ce qu’elles avaient prévu ce soir, et en promettant d’envoyer des SMS, Jessica fila avec un sac à dos sur ses épaules, sac à dos comprenant divers jeux vidéos uatéens. Après leur succès phénoménal sur « Uatis Crisis 3 », où Konata avait été jusqu’à inscrire son nom dans le hi-score, Jessica avait emmené d’autres jeux.

Sans être une geek pur jus, Jessica aimait bien jouer, comme de nombreuses Uatéenes. Dans sa sacoche, il y avait donc un survival horror, « Emergency Zero », qui se déroulait dans une campagne uatéene, ou encore « Disease », un jeu jubilatoire consistant à massacrer des hordes de zombies dans les rues de Uatis city. Jessica traversait donc les couloirs, en songeant, outre au plaisir de la soirée, à ses interrogations sur Konata. Qui était vraiment cette femme ? D’où venait-elle ? Les interrogations se multipliaient légitimement dans l’esprit de la jeune femme.

*Alors, il faut que j’investigue là-dessus...*

Fort heureusement, la chambre de Konata n’était pas très éloignée de la sienne, et elle alla toquer à cette dernière.

Jessica avait, elle aussi, opté pour une tenue urbaine, mais qui lui allait plutôt bien, se composant d’un pantalon en cuir et d’une chemise bleue à manches courtes. L’ensemble moulait plutôt bien ses formes, et elle sourit à Konata.

« Re-bonjour, Konata ! s’exclama-t-elle. Tu passes une bonne soirée ? »

RAYNE
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« Hmmm-hmmmm... »

L’homme soupira faiblement, et ses mains, après avoir caressé le fessier de la femme, tentèrent de la repousser, en sentant sa vision devenir floue. Las, la femme était cramponnée sur lui, ses bras et ses jambes enroulées autour de son corps, et il ne put que gémir, encore, avant de sentir le son s’atténuer, comme si un brouillard se posait devant ses tympans. Il continua encore de se défendre, mais n’avait plus la force de faire quoi que ce soit, et Rayne finit par retirer ses crocs de son cou, et l’aida à s’installer sur la chaise, située dans un coin discret du restaurant, où il ne tarda pas à dormir. La Dhampir le regarda silencieusement, puis essaya du revers de la manche le sang coulant le long de ses lèvres.

Elle ne l’avait pas tué, mais elle avait besoin de son sang pour reprendre des forces. Rayne le laissa donc là, tout en se tournant vers la fraîcheur de la nuit... Et vers les sonorités de Wonderland. La foire était bien là, magnifique, comme une ville de lumière étincelante brillant dans la nuit, rafraîchie par l’air marin. Sortant de ce petit restaurant, la Dhampir se rapprocha d’une grande tour lumineuse avec un carré de chaises qui remontaient et descendaient à un rythme de plus en plus rapide le long de cette tour, provoquant hurlements et rires de joie. Rayne, elle, contemplait tout ça avec stupéfaction, et un léger dédain.

*Imbéciles d’humains...*

Depuis son île perdue, Rayne avait fait du ménage. Elle avait eu la chance d’être accostée par un individu dans un jet-ski, et avait planté ses crocs dans son cou. Elle ne l’avait pas tué, mais avait bu suffisamment de sang pour pouvoir grimper sur son jet-ski, tout en utilisant sa balise d’alerte, afin que les secours le récupèrent, et elle était partie ensuite sur le jet-ski. Rejoignant le Paradisio, elle avait encore dû mordre dans un cou pour récupérer des forces, et avait ensuite tenté de se venger, en retrouvant le yacht depuis lequel elle avait été mortellement blessée par Kagan et par ses hommes.

Ses pas l’avaient donc guidé à la capitainerie locale, où elle s’était infiltrée dans l’administration, et avait obtenu le manifeste local. Se rappelant encore du nom du yacht, elle avait alors constaté qu’il ne s’était pas accosté au Paradisio Hotel, et, en faisant des recherches supplémentaires, elle avait appris qu’il avait fait escale au Wonderland, la grande fête foraine de Novac, qui était située sur une île à part entière, disposant donc d’un port dans une crique, de l’autre côté de la grande fête.

Cette information en main, Rayne, qui n’avait plus ses lames dhampir, avait réservé un billet sur l’un des bateaux de plaisance menant au Wodnerland, tout en réparant sa tenue. Faute de retrouver ses lames, elle n’avait rien trouvé d’utile. Le Paradisio Hotel ne comprenait aucune armurerie, et elle n’avait aucun moyen de contacter Severin. Au passage, elle avait dû, dans la capitainerie, mordre une agente de sécurité, ainsi qu’une employée. Elle était donc chargée de sang, ce qui avait permis de cicatriser ses blessures, mais en prenant aussi le risque que les autorités ne traquent une vampire.

*Mais tout ça est sans importance, il faut que je retrouve Kagan...*

Une fois arrivée au Wonderland, elle avait pu constater que cette foire était vraiment gigantesque. Elle s’étalait sur plus de cinquante hectares, et comprenait un nombre hallucinant de manèges, et autant de visiteurs. Simulateurs, montagnes russes, chaises volantes, auto-tamponneuses, restaurants, on trouvait de tout, dans une ambiance très lumineuse et festive. Alors, forcément, dans un tel endroit, dans un tel vivier, traquer des vampires relevait de l’impossible, et Rayne, qui avait senti la faim la tenailler à nouveau, avait mordu un type qui avait tenté de la séduire. Avec sa combinaison rouge et noire moulante, Rayne passait difficilement inaperçue.

En tout cas, elle se dirigeait vers le port privé, où les clients VIP arrivaient, mais, pour ça, il fallait traverser tout Wonderland. Or, la proximité de tant de gens avaient tendance à agacer Rayne, qui sentait sa tête l’élancer douloureusement.

Elle s’approcha d’un carrousel, sur une place un peu plus calme, et vit ce dernier tourner lentement, avec des enfants dessus, qui rigolaient et chantaient, et croisa brièvement deux jeunes adolescentes, l’une avec des cheveux bruns, l’autre avec des cheveux blonds... Et perçut une odeur sanguine très particulière émaner des deux, ce qui amena Rayne à tourner la tête. La brune la regarda également, en fronçant des sourcils, et en la... En la reniflant.

*Qu’est-ce que c’est encore que cette cintrée ?*

Rayne grogna alors, et, comme à son habitude, lui fit un doigt d’honneur rapide, avant de partir. Elle marcha alors, avant de brusquement s’arrêter, et se retourna soudain, regardant le carrousel... Et, surtout, son sommet.

C’était un magnifique carrousel, à deux étages, et, en son sommet, une silhouette était posée dessus. Noire et silencieuse, elle semblait regarder Rayne.

*Merde !*

Elle reconnut rapidement cet individu.

Un Légionnaire de l’Ombre, un individu qui appartenait aux troupes d’élite d’Ephemera, capable de manipuler la magie de l’Ombre... Ce qu’il fit d’ailleurs, se volatilisant, pour atterrir sur un toit proche, celui d’un palais des épreuves, ces grandes structures de 3 ou 4 étages avec une série de prouesses acrobatiques à faire dedans.

Assurément, on avait repéré Rayne.

Tout aussi assurément, il s’agissait d’un piège. Et elle se jeta dedans, filant vers ce palais.
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Hinata Kaguya »

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Hinata Kaguya
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Hinata
Pour sûr, cette petite Kyoko était un véritable petit ange tombé du ciel, avec sa petite bouille, ses petits yeux, ses gazouillements, elle était adorable, comme n'importe quel petit bébé ! Mais tout le monde connaissant le fiable d'Hinata pour les petites filles alors forcément, si elle avait pu aider ce jeune couple en s'occupant de cette petite fille pour leur laisser un moment à elles, elle l'aurait fait sans hésiter. Mais voilà, Hinata devra encore patiente plus ou moins longtemps, pour le moment, sans bébé, c'est sur sa femme qu'elle devait veiller à longueur de temps pour la rendre belle et heureuse surtout. Hinata allait prendre sa douche une fois sortie de sa bulle, laissant sa femme sous la surveillance de Nora qui savait son secret mais ne disait rien. Cela ne la concernait pas et puis, elle préférait être spectatrice, pas actrice.

Pour leur soirée, Hinata avait pris une robe blanche, épousant bien ses formes, s'arrêtant sous ses genoux. Belle, pas trop ample, elle était parfaite. Hianata mis un peu de rouge à lèvres, un léger maquillage et un simple collier autour du cou. La reine n'était pas trop bijoux et maquillage, un peu suffisait. Pour rejoindre leur restaurant par contre, il fallait prendre un hélicoptère... Hinata lui avait parlé de sa peur du vide ? Autant dire qu'elle fut bien silencieuse durant le voyage en tenant la main de sa femme. Elle avait des peurs liées à son traumatisme mais elle avait aussi droit d'avoir des peurs simples comme tout le monde... Une fois arrivée sur place, se rendant tout en haut de cette tour, le moins que l'on puisse dire, c'est que cela ressemblait plus à une ville qu'un simple restaurant ! Des restaurants dans un restaurant !

« C'est juste incroyable ! Tout ça me paraît un peu excessif et bien trop nombreux mais... »

Chacun faisait à sa façon après tout. Nora continua de veiller sur elles, elle aussi sur son trente et un, elle se contera d'avoir une table pas trop loin des filles pour garder un œil sur elles en leur laissant la paix. Elle ne savait pas si Shunya lui dirait ce soir mais que ce soit le cas ou non, la mission de Nora depuis le mariage était de veiller autant sur Hinata que sur Shunya. Ainsi que cet heureux événement, cela va de soi. Le couple pris place dans un restaurant chic, agréable en apparence, reste à savoir si la nourriture leur conviendra ? Au moins le menu avait plusieurs langues dont les Kanji, écriture d'Edoras. Hinata hésitait, elle se laissera bien tenté par quelques fruits de mer, elle en mangeait peu. Autant le poisson était monnaie courante chez elle mais certains mets étaient plus rare. Mais elle ne prendra pas que cela.

« Je pense prendre un peu de crevettes en entrée et puis... hum je ne sais pas trop, certains noms ne me disent rien et j'ai peur de ne pas apprécier mais je ne veux pas non plus prendre quelque chose de trop classique et qu'on pourrait manger chez nous... »

Au palais donc. Hinata continua de lire en hésitant ici et là, il y avait une chose en tout cas sur laquelle elle n'hésitait pas ;, pas une seule seconde. Sa main venait enlacer la sienne pour lui sourire tendrement en la regardant dans les yeux.

« Nous avons beau être mariées depuis déjà quelques jours, mon bonheur n'a pas chuter d'un minimètre depuis, au contraire, il grandis encore et encore ! Tu ne peux pas savoir ce que je suis heureuse de pouvoir passer ces moments avec toi, mon amour. »

Leur vie était à deux désormais mais ici, pas besoin de penser au travail ou aux soucis liées à son rôle, là, son rôle était celui d'une femme marié, veillant sur sa moitié. Entre son hésitation pour commander et son amour, elle jonglais comme elle pouvait.

« Pour le dessert en tout cas, je souhaite une chose que l'on peut manger ensemble, côte à côte ! »

Elle acceptait de passer ce repas en face d'elle mais elle voulait aussi être à ses côtés, au moins sur la fin ! Elle se laissera guider par sa femme ou le serveur pour ce qu'elle ne sait pas choisi, elle laissait sa femme choisir et commander avec elle, sans lâcher sa main.

« Ta sœur nous a trop gâtées avec ce cadeau, nous devrions lui ramener un petit souvenir je pense ? Enfin, si nous faisons cela il faudra en faire autant pour Chika-chan et ka-san, puis to-san... »

Halala, Hinata ne pouvait s'empêcher de penser à sa famille, au moins c'eétait pour de bonnes choses, elle amait sa nouvelle famille, autant que sa vraie famille. Au moins, la journée a été splendide du réveil à maintenant, comment la rendre meilleure après tout ?
Tessou
Coucher Kyoko n'était pas difficile, d'autant plus qu'elle s'était bien dépenser alors après son bain, c'est une vraie petite marmotte. Mais elle prenait son temps, son petit rituel quand elle n'était pas pressée était d'observer sa fille, de veiller sur elle et d'éloigner les mauvais rêves avec sa petite chanson, caressant sa tête ou son ventre pendant qu'elle dormait. Ce petit ange méritait que le bonheur, rien d'autre. Une fois sûr qu'elle dormais bien, qu'elle éviterai toute chute avec les coussins, Tessou était partante pour le bain que Kara lui avait préparé, elle aussi ça lui fera du bien mais en passant la porte, elle fut à moitié surprise de la découvrir à sa place, s'assurant que le bain n'était pas trop chaud.

« Kara... »

Ce « reproche » était dit avec un léger sourire qui prouvait bien qu'elle ne lui en voulait pas. Comme si elle s'y attendait un peu. Kara aussi avait droit de se reposer, cette baignoire était assez grande pour ça et puis, ça leur fera gagner du temps. Et soyons honnête, si ça ne la gênait pas énormément, c'est qu'elle était plus ou moins partante. Mais qu'elle soit pour ou contre, elle retira son maillot de bain en lui tournant le dos, ce n'est pas parce qu'elles ont déjà fait l'amour plusieurs fois qu'elle ne devait pas se montrer pudique. Ha, les Japonaises... Cachant partiellement sa nudité, elle déposa ses lunettes sur sa petite pile de vêtement avant de rejoindre Kara avec la grande question... De quel côté elle s'installe ? Devant elle ? Avec elle ? En temps normal, elle aurait choisi face à elle mais elle avait besoin de se détendre, c'était un bain relaxant, pas une occasion de faire des folies. Elle s'installa doucement en posant ses fesses entre les jambes de Kara, se pressant doucement contre elle en soupirant de plaisir.

Une bonne température, parfaite même. Rien que cela la détenait déjà. Allongée un peu en travers, elle posa sa tête sur son épaule en fermant les yeux.

« J'espère que je ne te dérange pas, tu la idéalement préparer. Il ne manque que la mousse et les bougies parfumées pour que ce soit parfait. »

Mais c'était déjà très bien comme ça. Kara avait un corps très confortable, pour une femme pratiquement indestructible, sa peau était douce, son corps moelleux, s'y détendre contre elle était un vrai plaisir. Profitant du fait d'être entouré par la super femme, elle saisissait doucement sa main dans les siennes pour la regarder et la toucher dans tous les sens. Une peau douce, quelques légères marques qui laissait voir qu'elle se servait manuellement de ses mains mais loin d'avoir la peau irrité pur autant, ça restait aussi doux que la sienne.

« C'est dingue de se dire que tu es une extratressetre alors que physiquement, tu est comme nous ? »

Pas d'antenne, de squelette étrange, pas de queue, sans sa super force et ses supers pouvoirs que les gens de sa planète avait sur Terre, elle était comme Tessou, une simple femme. Mais sans vouloir voir Kara comme E.T., elle espérait ne pas se monter blessante dans ses propos alors qu'elle se calait un peu mieux contre elle.

« Merci pour tout, Kara. Pour ces vacances, pour être avec nous, pour nous protéger... Tu ne comptes pas seulement dans ma vie désormais mais dans celle de Kyoko aussi. C'est un des points les plus importants pour moi. »

Outre le fait de lui avoir sauvé la vie lors de leur rencontre, le cercle intime de sa fille était très limité, en dehors de la famille, il n'y avait que Kara pour le moment. Pas de copain – ses collègues n'avaient pas tous des enfants ou alors plus âgée que sa fille – elle n'allait pas encore à la crèche, bref, Kara était super souS bien des angles.

« Tu peux passer tes bras autour de moi ? »

Elle avait envie de se reposer – pas dormir – et avoir ses bras autour d'elle la rassurait. Même la nuit, rare était les fois où elle dormait face contre Kara quand Kyoko n'était pas dans son lit, en général, elle était comme elles étaient dans ce bain, mais dans un lit. Kara dans son dos et surtout ses bras autour d'elle pour la protéger de ce qui pourrait vouloir lui nuire. Elle avait bien des soucis à cause de son travail et pas forcément à cause des criminelles.
Karistal
Pauvre petite Luna, elle était perturbée pour se souvenir que c'était son cadeau ? Une Luna maîtresse qui peut faire tout ce qui lui plaît avec ses deux esclaves qui ressemblaient trait pour trait à ses maîtresses mais qui n'étaient pas elles. La neko était ravissante dans sa tenue spécialement préparé pur elle, le cuir lui allait bien, il est vrai que la neko avait plus pour habitude d'être dans le plus simple appareil que dans de belles robes mais ça n'empêchaient pas ses maîtresses de faire d'elle leur poupée, lui offrant et l'habillant avec toutes sortes de robes. Des plus mignonnes aux plus sexy ! Une chance que le petit gâteau lui faisait plaisir, il y avait sa surprise à l'intérieure après tout.

« Oui Maîtresse, nous avons pensé qu'après votre sieste, vous auriez faim, nyaaan ! »
« Manger tant que c'est chaud et n'hésitez pas à nous demander à souffler dessus ou même à vous nourrir, nyuuu. »


Cela la rendrait un peu plus esclave ? Pas forcément, les jumelles adoraient traitée Luna comme une petite peluche, elle était tellement mignonne. Une fois le gâteau fini, il ne fallut pas longtemps pour que la neko trouve la surprise dans le gâteau, qui ressortait hors de son corps. Une belle Luna futa. Cela plaisait beaucoup à la neko mais même à ses esclaves, qu'elle se rassure. De suite, elle ne perdait pas le nord en voulant sentir les langues sur sa nouvelle queue. Évidemment, les esclaves se faisaient une joie de lui faire plaisir !

« Nyaaaa, tout de suite Maîtresse ! »
« Juste lécher, nyu ? Moi je veux l'avaler et l'enfoncer en moi, nyuuu... tout au fond de moiiiii, nyuuuuu... »


Quelle nekoquine cette Yuko ! Mais que ce soit pour maintenant ou plus tard, les deux nekos se mirent à genoux pour venir lécher le gland de leur maîtresse, leurs deux langues se touchant sur le bout tout chaud de la neko. Joue contre joue, elles ronronnaient sur place à faire plaisir à leur maîtresse neko avant que Yuko ne prenne les devants et commence à enfoncer sa bouche sur la queue de la neko, filant doucement d'avant en arrière, agaçant sa sœur. Au bout d'une bonne minute, elle se devait de réagir !

« Nyaaaaaa ! Ce n'est pas juste, moi aussi, je veux la queue de la maîtresse !!! »

Elle bouscula sa sœur une fois sa bouche pratiquement au bout de sa queue pour que Yuka prenne la relève en faisant de même, offrant une doucement fellation à sa maîtresse en savourant ce petit goût si délicieux en elle. Hum, la queue de neko était si bonne. Yuka se faisait plaisir et à sa maîtresse aussi pendant aussi une bonne minute. Œil pour œiln Yuko se redressa dans le dos de sa sœur et appuya sa tête dessus pour offrir à leur maîtresse une gorge profonde jusqu'à sa limite.

« Khyuhuhu, Yuka a toujours aimer les grosses saucisses ! »

Yuka se retira en toussant avant de reprendre du poil de la bête en agrippant sa jumelle pour la bloquer.

« Allez y maîtresse ! Biffler la vilaine neko qui ne vous obéit pas, nyyaa ! Utiliser votre queue pour la frapper ! »
« Nyuuuu ! Et n'hésitez pas à balancer votre crème de neko dans ma petite et vilaine bouche, nyuuuu ! »
« Nya ! Moi aussi je veux la crème de la maîtresse ! Je veux la sauce de neko ! »


Leur bouche grande ouverte, elles deux chattes ronronnaient en poussaient de délicieux petits gémissements, attendant de recevoir leur cadeau tant attendu, comme deux vilaines petites cochonnes. Elles ne comptaient pas s'arrêter en si bon chemin, Luna allait en avoir pour tout, elle va se régaler du spectacle, avec ou sans force dans sa queue. Yuka tripotait la poitrine de Yuko pendant que sa queue se frottait entre les jambes de Yuka, chacune gémissait et ronronnait face à la queue de la neko. La maîtresse Luna va avoir beaucoup de travail avec deux escales pareilles !

« Nyyyyaaaa... »
« Nyyuuuuuuu... »


Elles sortaient les griffes entre elles mais elles s'adoraient surtout. Comme toujours !
Kiriko
La Celkhane s'était faite belle pour cette grande soirée, sortant une ravissante tenue rien que pour sa femme divine, elle se venait devant elle en aimant ce regard nouveau chez Sha. Comme si elle la voyait pour la première fois, observant chaque détail de son corps. C'était peut-être les lunettes ? Ça en faisait trop, c'est ça ? Pourtant on lui a dit que c'était primordial ! Et Kiriko mettrait sa main à couper que ce détail, rien que ce détail faisait la différence. Elle aurait pu sortir nue avec ça sur le nez, ça aurait plus à Sha cette petite différence. La Celkhane se sentait gêner, jamais habituée à défiler de la sorte pour Sha, nue, sa tenue habituelle, ça ne lui posait aucun souci mais ce genre de chose, c'était si nouveau pour elle et si... spécial.

Sha savait la rassurer en se mettant à l'aise, embrassant la jeune femme en passant les mains sur son corps. Un baiser si doux qui savait la rassurer par cette douceur et cette fermeté au bout de ses doigts. Elle aimait être la chose de Sha, tout simplement, comme toujours. Elle pouvait dominer le monde si elle voulait, elle aimerait toujours sentir Sha au-dessus d'elle, la faisant couiner comme un chaton docile. Baisant ses lèvres, la déesse sombre avoua avoir une surprise pour elle aussi mais que Kiriko pouvait choisir quand l'avoir, maintenant ou après ?

« Dans ce cas, je souhaite l'avoir après, sur l'oreiller si ce ne sont que des mots et un peu avant si cela demande un peu de mon énergie. Mais ne perdons pas de temps, Arya grandit doucement en moi, il est temps d'en faire de même pour notre petite Abby. »

Si ce n'était que des mots pour lui parler des prochaines soirées ou journée, ça pouvait attendre et si c'était pour réaliser une de ses fantasmes à nouveau, ça pouvait attendre au moins qu'Abby ait trouvé le chemin jusqu'à son utérus. Kiriko retourna lui faire un cours baiser sur ses lèvres en passant ses bras autour d'elle pour la serrer doucement. Kiriko menait la barque ce soir, elle pouvait très bien rester futa et se faire prendre par Sha pour concevoir Abby mais elle savait que sa femme aimait quand Kiirko osait prendre les rennes.

« Mais ne compte pas retirer ma surprise si facilement... je me suis bien embêter à l'installer, ce n'est pas pour la retirer en trois secondes ! »

Caelestis était plus simple à ce sujet, elle enfilait sa tenue, donnait son code et pouf, ça épousait ses formes comme une seconde peau alors que là, elle doit s'habiller doucement, mettant un truc à la fois, faisant attention à cela puis au reste, bref, ce n'était pas cool ! S'allongeant sur elle, sur le lit, elle ne savait pas par où commencer ? Dans le vif du sujet ou bien un peu de préliminaires ? Une petite pose, une longue séance, cette soirée de conception doit être importante après tout.

« On m'a raconté que la première giclée est la plus riche en chance de concevoir... alors elle sera pour ton entrejambe mais en attendant... Je dois déjà te faire l'amour ou bien je m'excite sur toi ? Quelque chose me fait dire que de me voir me tripoter en te regardant dans les yeux ne te laissera pas indifférente, je me trompe ?... »

Elle la connaissait tellement à force, quoi de plus normal que de savoir certaines choses à son sujet. Kiriko comptait bien faire en sorte que toutes les chances soient de leur côté, quitte a épuiser son stock de semence entre ses jambes, quitte à avoir plusieurs Abby d'un coup mais une seule sera déjà une réussite.

« Je sens que ton appétit va me pomper toute mon énergie... »

Et pour ça il y avait plusieurs moyens de la pomper son énergie, elle le sait et elle le vivra au cour de la soirée.
Neferia
La jeune dragonne était déçue, oh ça oui. Elle se disait avoir fauté et donc s'en voulait que Crystal ait mal compris une de ses phrases et l'abandonne. Mais c'était surtout ça le souci, bien des fois leurs avis étaient opposé et sur bien des choses mais jamais Crystal ne l'avait abandonné. Tourner le dos en gardant le silence au mieux mais ce n’était que quelques mètres qui les séparaient. Était-ce la goutte qui faisait déborder le vase ? Sous sa couette, elle se haïssait et haïssait même Crystal, elle avait les idées noires, elle était comme... une enfant. Au retour de la dragonne dans la chambre, pas question de lui sauter au cou et demander pardon, oh ça non !

Sa voix annonçait une chose importante à dire mais au vu de ses premiers mots, qu'est-ce que ça lui faisait ? Si encore elle aurait parlé de reine ou de princesse, d'accord elle pourrait prêter une oreille attentif mais là ? Le genre de belle histoire ou sa popularité grimpe en flèche et... tout bascule. Après son récit, elle comprenais un peu cette agoraphobie envers ses saletés d'humain et doucement sa tête quittait sa couette pour regarder Crystal. Quittant doucement sa place en sortant de son cocon, elle s'approcha d'elle à quatre pattes en tendant sa main pour lui caresser la joue doucement.

« Mais moi non plus je ne te trahirais pas... »

Neferia avait déjà avoué certains passages de sa courte vie, que ce soit nez à nez ou à travers ses cauchemars, elle n'aimait pas se plaindre de son passé, de qui la rendait ainsi. Une histoire ayant des similitudes avec Crystal sans en être la même. Jeune dragonne née de deux parents comme elles, ses derniers avaient repousser un empereur dictateur et sans pitier et le couple de dragon avait pris sa place, assurant protection à son peuple. Certes, leur travail était tout aussi dur mais ils tenaient parole. Que ce soit des bandits, des monstres ou même des dragons, les souverains repoussaient toute menace en assurant la paix. Il y avait parfois des accidents notamment avec Neferia qui n'aimait pas qu'on lui dise non mais dans quel royaume un poil dangereux, cela n'arrivait-il pas ? Quand une maladie frappa ses parents, même les meilleurs médecins ne pouvaient rien pour eux, laissant Neferia seule. Mais à peine furent-ils annoncés mort que les habitants fonçaient au château pour se venger.

Neferia put quitter les lieux en emportant ses parents mort qu'à la loyauté de quelques gardes qui avaient bloqué les portes assez longtemps pour fuir. Et quelle vie pour une jeune enfant de devoir creuser et enterrer ses propres parents. Son problème d'aile venait peut-être auss de là ? Devoir porter deux adultes de tout leur poids sur une longue distance et en hauteur pour éviter que leur sépulture soit saccagée. Et après quoi ? Une année à vivre seule, à se nourrir de peu de chose, ne comptant que sur la chasse et quelque rares terranides assez bon pour l'aider là ou les humains la repoussais ? Sans les gardes, elle aurait fini comme Crystal, voir pire ! Mais maintenant, elle s'en fichait, elle était au calme avec elle et elle ne voulait pas s'en séparer comme ça.

Neferia finissait blottie contre elle, partageant un câlin avec cette seconde mère pour elle, cette mère, cette amante comme avait pu le penser Crystal une fois. Elle était heureuse en étant avec elle, peu importe ce qui se passait, ce qu'elles faisaient. Il n'y a que la solitude qu'elle n'aimait pas.

« Tu comptes beaucoup pour moi Crystal, je ne peux pas m'imaginer te laisser seule comme ça... Je veux rester avec toi... longtemps... »

Ce genre de message, c'était rare pour elle, elle qui pensait avant tout à elle ou si compliment il y avait, elle se le lançait d'abord. Là, elle parlait avec son cœur, sans le déballer pour autant, elle en laissait un petit bout pour le partager avec une personne vraiment spéciale à ses yeux.
Harley
Quelle journée ! Harley espérait pouvoir attendre un peu et se reposer ce soir mais c'était mal connaître sa sirène Pamy. Elle était belle quand elle se l'était joué Arielle même s'il manquait les crabes et les poissons qui chantent sous l'eau. Mais il faut dire que la petite sirène fut bien plus classée X que pour enfant aujourd'hui... Ce n'était pas plus mal cela dit. Maintenant au propre et dans leur chambre, Pamy l'invitait à se changer pour enfiler son pyjama et... une fois face à la chose, ça ne ressemblait pas à un pyjama. Ok, elle se contente de peu pour se coucher mais quand Harley à sommeil et veut se coucher, être sexy est loin d'être sa priorité. Elle enfilait en général des pyjamas digne d'un enfant mais de taille adulte. Que ce soit des pyjamas à capuche en ressemblant à une grosse mascotte ou un truc rose bonbon avec des chaussons de gros monstres poilu hideux ou trop mimi, elle s'en fiche, elle veut dormir !!!! Mais là, elle voulait dormir ? Pas de suite...

Elle enfilait le tour pour se retrouver dans une nouvelle tenue sexy... C'était pas mal. Sa petite Pamy adorait la prendre pour jouer à la poupée, vu le nombre de tenue différente qu'elle a chez elle, que ce soit importer de Gotham ou tout nouveau, elle était prête pour devenir la reine du shopping quand il s'agit d’habiller Harley. Par contre elle, toujours son bustier végétal sinon rien. Va falloir qu'elle aussi lui trouve de nouvelle fringues tôt ou tard.

« Pamy chérie on a un souci avec le pyjama... je crois pas que je dormais avec au final mais je pense pas que ça te pose de... Non mais c'est pas vrai ! »

Elle se rapprocha pour voir si elle ne voyait pas double mais non, il y avait bien deux Pamy, habillées et nue ? Ok, c'était un jeu des septs différences grandeur nature ? Elle venait même toucher le bras du clone du bout de son index en faisant d'étranges bouilles tout en la contemplant.

« Maaaaaiiiiis pourquoi c'est toujours toi qui a ce genre de truc dans la vie ? Moi aussi j'aimerais bien avoir ma Harley Quinn Bis pour faire pleins de bêtise et lui proposer mes nouvelles blagues ! On se ferait ses jeux de mots, on aurait notre langage secret, ça serait cool ! »

Oui sauf que cette seconde Pamela n'avait pas ce genre d'objectif en réalité, même si Harley s'en doutait, elle disait la vérité. ça serait cool une seconde Harley. Pas forcément un clone mais une mini-Harley par exemple pour lui apprendre les ficelles du métier. Mais laissons cela de côté, il y avait un souci qui venait de la vraie Pamy en plus, c'est d'autant plus important !

« Mais dis moi toi... moi, j'ai mon nouveau pyjama, Pamy-Two a son pyjama de nudiste mais toi alors ? Car moi, je n'appelle pas ça un pyjama ! Alors c'est simple, si tu ne te changes pas de suite, je reste avec Pamy-Two et t'est pas invité à notre soirée pyjama ! »

Cette « menace » allait sûrement faire réagir Pamela et la forcer à se changer. Pourquoi, ce serait toujours elle qui doit se changer et pas les autres ? Harley venait revoir le clone en lui caressant le visage, comme son corps. C'est dingue, on dirait vraiment e la peau mine de rien !

« Tu sais que tu ressembles vachement à quelqu'un que je connais ! C'est dingue ! »

Allez savoir à qui elle pensait en voyant Pamy-Two ? En tout cas, le pyjama party était pour bientôt ! Un peu de patience !
Aoki
Cela devait être agréable de se faire réveiller par une Bunny Girl ? Dans le couple, rare étaient les fois où Félicia la réveillait le matin, la chatte semblait aimer les lits et la déloger sans sexe était difficile. À moins qu'elle soit en retard pour ses cours mais ce n'était arrivée qu'une seule fois pour le moment. Elle laissait le choix à Félicia de choisir entre un doux lapin a câliner et une belle lapine a baiser. Elle pouvait faire les deux avec cette tenue mais la chatte avait fait son choix alors elle va laisser le rôle du lapin câlin pour une autre fois pour le moment, place au sexe ! Suivant ses ordres, elle se retourna et profita du fait que Félicia se redressait pour lui mettre ses fesses au visage. Avec ou sans cette tenue, ce n'était clairement pas un souci après tout.

Félicia en profitait pour découvrir sa tenue plus en détail, tripoter son pompon ou caresser e tissu qui moulait son corps, elle avait tous les droits !

« Tu ne sens pas déjà comment je brûle ? Je suis même étonné que tu ne sois pas déjà en train de me manger... Les lapins ne font pas le poids face aux chats pourtant, non ? »

En guise de « provocation », elle écrasait ses fesses sur son visage avant de doucement les remuer, sa petite queue blanche et touffue devait se frotter sur son nez ou près de ses yeux. Après cela, elle se retourna pour lui faire face, elle continua de la chevaucher en se dandinant, caressant son corps et ses cheveux alors qu'elle faisait remuer tout cela rien que pour elle. Sa poitrine cachée par cette tenue mais cette petite fanfreluche tout autour... Elle connaissait une chatte qui devait avoir envie d'user de ses crocs. Et son regard de braise, hein ? Elle n'y a jamais résisté bien longtemps quand elle la fixait ainsi en jouant de son corps pour se faire plaquer par une chatte en chaleur. Et ses bas résilles alors ? D'accord pour le moment, ce n'était pas le plus important vu sa tenue mais ça restait très sexy !

« Les lapins sont pourtant connus pour leur énergie sexuel, non ? »

Certes, ils sont aussi connu pour leur rapidité dans ce domaine mais ce n'était pas un souci, il suffisait de recommencer plusieurs fois ? Toujours ne quête d'une chatte furieusement désirable, elle tomba sur elle, écrasant son visage entre ses seins, elle la maintenait le nez dedans en la regardant avec un large sourie en se frottant contre son corps.

« Hum, ça doit être ma saison des amours car j'ai une furieuse envie de me frotter contre toi ! »

Elle la prenait au mot en se frottant doucement contre elle. Peu importe que Félicia ai sa carotte ou non, leur soirée va rester mémorable, comme toutes les autres avant celle-ci ! Elle caressa sa tête en se frottant contre elle, déposant un baiser ou deux sur ses cheveux avant de la provoquer, toujours un peu plus pour garantir de meilleurs jeux pour la suite.

« Hmmm si j'aurais su que tu était si docile face au grand méchant lapin, je t'aurais pris un de tes bonbons... et avec ma carotte... je t'aurais baiser comme une vrai lapine... Encore et encore et encore... haaan, je n’aurais arrêter qu'une fois bien vidé en toi. »

Une vision amusante certes mais Aoki ne se risquerait pas à ça, pas de cette façon en tous cas, pour la voir en futa... hum, il faudrait ou bien une ambiance des plus romantiques et douces ou alors une ambiance et des plus hards et salace. Pas un simple jeu de lapine et chaton.
Rouge
Elle se prenait peut-être un peu trop la tête ? Certes elle était venue ici pour un but bien précis mais que ce soit sa faute ou celle de Twillight – ou même du hasard – la voilà dans la gueule du loup. La voler dans ses conditions serait tout aussi bien mais ce serait aussi moins excitant. Toujours Miranda ou une de ses femmes dans le coin, moins d'action, de suspens, puis on pourrait dire que sa tâche fut plus aisée ainsi. SI le résultat compte, la façon dont elle a pu avoir son argent compte aussi ! Pas question qu'on pense qu'elle se relâche.

« J'ai pas le choix, faisons ta méthode alors. »
« Haaaaaaaaaaa, là c'est bon ! Si seulement t'avais penser ça depuis hier, j'aurais moins souffert ! »
« De quoi tu te plains, ta une nana qui adore sentir ton machin en elle ! On parle de ta trique, c'est pas le genre de truc banal ! Je suis sûre que mon bras est plus petit ! »
« Sûrement. Mais profite bien de ta belle blonde, la petite est endurante mais pas éternelle, tôt ou tard, mon appétit va réclamer des culs et des chattes pas encore réduit en purée par ma lance ! »


Quand elle était déchaînée, elle l'était cette fille-là ! Voilà d'ailleurs le retour des deux femmes et si l'une était impatiente de se faire grimper par sa licorne, la seconde invitait Rouge sur le canapé, ne perdant pas de temps en futilité, la voleuse était plus détendue, plus à l'aise pour reprendre la partie. Laissant ce genre d'histoire de côté, elles pouvaient s'amuser sans se prendre la tête, la visite du compte en banque de Miranda se fera plus tard. Même si elle fut déranger par un message sur son portable, elle revint vite à elle en se montrant curieuse. Sa question voulait la mettre en valeur mais Rouge allait répondre d'une façon qui risquait de l'étonnée d'abord avant de la caresser dans le sens du poil.

« Franchement, je suis pas fan de cet endroit. Je suis trop habitué à la ville et la plage c'est sympa mais je suis du genre à préférer les forêts, les montagnes... » sûrement son instinct terranide ? « Puis quant à toi, je me fiche que ton compte en banque ai autant de zéro que de femme que tu as baiser. Je préfère me dire que j'embrasse une des femmes les plus jolies de Tékhos que les plus riches. »

Puis en vérité, pour son âge, elle était encore très bien, d'où la remarque de Rouge. Cette femme était de toute beauté, on ne peux pas le nier. Mais sa fortune aussi, pour ça qu'elle convoitait aussi cette chose. Buvant son verre tranquillement, elle caressait les jolies formes de la jeune femme, passant de son sein à sa chute de rein pour continuer vers sa cuisse.

« Vu ton caractère, je pense que tu est du genre à préférer avoir les commandes en mains dans un lit mais tu n'aime pas de temps en temps relâcher la pression et laisser l'autre mener la danse ? »

Pas forcément en futa, Rouge n'était pas équipé pour ça. Mais pour une femme qui ne jurait que pour la domination, se relacer un peu, c'était marrant aussi. C'est surtout que Rouge cherchait un potentiel point faible sexuel, savoir la chose qui ferait de la puissante Miranda Forge une petite chienne qui agite son derrière en attente de quelque chose ? D'une bonne fessée ou d'une très grosse queue, à voir...

« Il y a pas un petit quelque chose à savoir de ce côté là, non ? Une chose qui serait très intéressant et très excitant à entendre par hasard ? Je pourrais te dire ce que c'est pour moi mais ce serait moins marrant... »

Il y avait une certaine façon de lécher son entrejambe qui rendait la terranide folle de désir mais ça, c(était le genre de choses qui s'apprenait sur le tas, ce n'était écrit nulle part. Sa main commençait à remonter le long de son corps pendant que Rouge abordait un certain sourire bien envieux, tout comme son regard. Là, il n'y a aucun intérêt, Rouge veut juste s'éclater !

« Je pourrais essayer ça avec toi, pour voir si je peux réussir ? »

Quitte à changer un peu ses formes si cela nécessite certains artifices en plus ?
Tsukasa
Ha cette Ryouka, elle était vraiment son âme sœur sexuelle. Elle ne savait pas si elle pourrait dire l'aimer comme Hinata aime Shunya mais quand il s'agit de baiser, oh ça oui, elle était faire pour Tsukasa ! Se logeant dans son dos, elle se plaisait à caresser ses formes qu'elle connaissait sur le bout des doigts, si doux et si sensuel, elle ne se lassait pas de la caresser, peu importe avec quel membre. Même si elle tentait d'inviter sa sœur, ectte dernière préférait jouer les spectatrices, ce qui était loin de déplaire à sa petite perverse.

« Pourquoi le fait que Nika nous regarde et que ça t'excite autant, ça ne m'étonne pas ? C'est pour ça que je t'adore ma petite pute. »

Si on devait traduire cela en langage de jeunes demoiselles, ça donnerait quelque chose du genre nom tout mignon. Tsukasa en profita pour baiser son cou en laissant ses mains se faire un peu plus baladeuse avant qu'elle ne décide de se mettre à quatre pattes pour venir se faire prendre le cul sous les yeux de sa sœur et de son nouveau film.

« Huum on va se la jouer Poison comme hier soir alors ? T'avais adorer quand je t'ai enfoncer ma main dans le cul pendant que je te ramonais ta petite chatte ! »

Oh, encore des mots doux et la preuve de leur grand amour commun pour les bonnes choses et le cinéma quitte à rejouer la scène chez soi. Mais pas de ça ici, là, bien que cela tournait en direct, il fallait quand même se tourner bers la télévision. Ryouka s'observait durant cette séance de sexe et ça, c'était important ! Même pour elle.

« Je risque pas de fatiguer, certes tu me fatigue vite mais à te voir trémousser ton petit fion, ça me redonne un coup de fouet ! »

Elle en profita pour claquer sa fesse avant de s'agripper à elle et à s'enfoncer doucement en elle. Elle ne comptait pas le nombre de fois où elle l'avait sodomiser ou baiser, elle a dû arrêter après les dizaines de fois. Serrant les dents en faisant cogner son bassin contre son petit cul, elle gifla de nouveau sa fesse en remuant en elle. Tsukasa se pencha sur ele, ses seins se frottant dans son dos pendant qu'elle faisait de Ryouka une jolie actrice porno. C'est quand même dingue de savoir que Ryouka n'a pas coucher avec Poison, pourtant, c'était le genre de femme qui ne refusait pas les demandes de ses fans quand c'était possible et surtout, Ryouka devait en être fan ! Elle qui a grandit à Tékhos comme Tsukasa ! Déjà qu'elle, elle place cette femme comme une idole alors Ryouka... Tiens, elle aurait dû demander à Poison de venir faire la surprise pour Ryouka ? Ha oui mais bon... une actrice porno durant le voyage de noce de la reine et de sa femme... c'est moyen. Bah, elle a une idée de cadeau d'anniversaire pour la prochaine fois ! Reste plus qu'à la rejoindre à la date prévue ou à la faire venir.

« Fait un jolie sourire à la caméra... montre lui quelle jolie pute tu faiiiiiis.... »

Profitant d'être allongée sur elle, elle passait ses mains sur sa poitrine, caressant ses seins, ses jolies seins tendre et chaud et moelleux... Oh, sa bite était si bien entre eux. Elle adorait la baiser, peu importe comment, c’était toujours avec motivation et passion qu'elle se chargeait d'elle ou d'elle qui se chargeait de Tsukasa, elles n'étaient pas chiantes, elles échangeaient volontiers les rôles.

« Haaaaan et dis lui aussi.... Haaa, comment ta aimer... quand je t'ai... b-baiser hier... La façon que a adorer ! »

Allez, faut bien que Nika se régale aussi, elle assistait à une jolie démonstration de sexe mais il fallait aussi qu'elle sache ce que sa petite sœur avait fait durant ses vacances, même si elles ne sont pas encore finie.

« Après ça... je défonce ton p'tit cul d'amour, haaaaaaa, tu vas adorer ! »

Comme toujours. Faut bien agiter un bâton de chair pour qu'elle veuille bien en dire un peu plus.
Sya
Voilà sa surprise, elle avait transformer sa tenue de tout les jours en tenue identique à celle de sa mère, en ayant les proportions à sa taille. Sa tenue était magique, un des cadeaux de Lust qui faisait qu'elle s'agrandissait et rétrécissait au fil de ses envies, devenant le tissu le plus doux au monde au métal le plus inflexible du monde. C'est ça la magie, tant que c'est pour le plaisir sexuel, rien n'est impossible. Le cuir n'était peut-être pas le même que Samara mais en apparence, il n'y avait pas de différence en dehors de la taille entre celui de la démone et celle de l'ange. Samara la coucha sur le lit et commença un doux baiser entre elles, que ce soit sur ses lèvres ou plus rapidement su sa tenue qu'elle s'amusait à inspecter de haut en bas, Sya se sentait heureuse de voir sa mère jouer ainsi avec elle. Elle fut rassurée de voir cette dernière poser son nez entre ses jambes et commencer à la lécher pour la faire gémir doucement. La soirée commençait seulement, inutile de tout donner en une fois. Cette soirée était spéciale...

« Huuuummm oh, maman... »

Sya restait allongée en savourant ce que sa mère lui faisait avant de se redresser en demandant si Sya aimait s’habiller comme elle ? Mais évidemment ! Elle aimait ressembler à sa jolie maman à la peau rouge. Elle aurait pu se faire pousser des cornes comme elle mais elle voulait garder son côté ange bien que sa mère est une démone pure souche.

« Hmmm si Maman aime me voir comme ça, alors je serais comme ça à chaque fois. »

Il ne faut pas abuser des bonnes choses sinon ça perd son charme et puis sa tenue habituelle était toujours aussi mignonne, ne faisant qu'inspirer les pensées roses. Samara baladait toujours les mains sur son corps en venant l'embrasser tendrement. L'ange ne fit que lui renvoyer la pareille en passant ses mains dans son dos, caressant sa belle peau douce et chaude, caressant ses cheveux si doux pendant que leurs langues se frottaient amoureusement entre elles, partageant salive et passion. Sya aimait tout dans le sexe, du plus tendre au plus hard et pour le moment, c’était idéal pour commencer. Une fois terminé, elle eut droit à son baiser sur le front, recevant de nouveaux compliment de sa mère, ce qui prouvait qu'elle avait très bien fait son travail, cela la rassurait et la rendait heureuse. Il y a rien de pire pour une esclave comme pour une fille, d'entendre dire qu'on a mal fait son boulot.

« Hihihi ! Tu me chatouille maman ! Mais oui, j’espérais bien te faire cet effet là... je veux qu'on passe une bonne patrie de la nuit à user de tes positions préférer et j'espère y avoir droit aussi quelques fois. J'aime sentir la grosse queue de Maman en moi... Elle est si chaude, douce, si grosse... Huuuum... j'aime aussi quand Maman va vite et que je sens ses jolies bourses taper entre mes jambes, que ce soit sur ma petite chatte ou mes petites fesses, hihi... j'aime tout partager avec toi Maman chérie. »

Venant se coller à elle en frottant le bout de son nez contre le sien, elle en profita pour partager un nouveau baiser. C'était agréable, comme toujours mais même leur différence de taille. La petite ange et la grande démone, ça laissait souvent place à la sauvagerie de la démone qui empalait son bâton de chair en elle pour la punir mais elle espérait ce soir avoir droit à plus de passion et de douceur. Elle n'a rien contre les petits plaisir sanguin de sa mère mais pour ce soir, elle veut quelque chose de plus doux entre elles, cela fera un meilleur souvenir à raconter à sa future surprise quand elle sera grande.

« Par quoi on commence maman ? Ma vilaine petite bouche qui dit plein de cochonneries ? Ma petite chatte toute vierge ? Mon petit cul étroit ? Mon corps doux et innocent... enfin... pas tant que ça... Hihi, y a pas si longtemps que Maman m'a arroser de bien des façons, hein ? Hihihi ! »

De la mouille, de la foutre, de l'urine, des crachats, tout cela n'avait rien d'humiliant, elle était la vilaine petite ange à sa maman démoniaque, c’était ça qui était plaisant. Surtout quand la température descendait et qu’elle avait le droit à de gros câlin avec elle pour se faire pardonner, le luxe n'était pas l'or, c'était des bras aimant où s'y blottir. Comme elle avec ses nekos d'amour u ses toutes petites nekos. Même avec sa mère, ses filles lui manquait mais Saikai était avec sa sœur et elles profitent de ce moment entre sœurs, Sya, profitait de sa maman. Même si elle avait envie de revoir ses petits chaton, elle les verraient bientôt, pour l'heure, elle s'amusait bien avec sa mère. Une main entre ses jambes, elle commençait à se caresser devant la démone en dévorant son index, imitant très bien une autre action plus sexuelle...

« Haaaa Maman... J'ai tellement envie de jouer entre toi, haaaa... »

Ce serait criminelle de la laisser attendre aussi longtemps sans affection...
Konata
Inutile de se prendre le chou pour si peu, Konata avait pour mission de passer une bonne soirée avec sa nouvelle amie. Pas question de partir dans une quête IRL afin de faire briller son nom sur Terra. Ve lieux était un lieu de vacance et donc, il en sera de même pour elle. Non mais, et puis quoi encore ! Y a de bons mangakas qui prennent parfois une semaine pour souffler, pourquoi pas elle aussi ? Elle ne connaissait peut-être pas beaucoup Jessica mais elle en savait assez pour savoir qu'elle se défendait bien aux jeux vidéos et qu'elle était sympa. Choco avait promis de rester sage – en achetant son silence – donc tout devrait bien bien se passer.

Quand Jess était arrivée, Konata allait lui ouvrir en étant un poil surprise de sa tenue ! Passe encore pour la chemise mais le pantalon moulant, c'était trop... enfin, pas assez pyjama partie. Il suffit de voir Konata pour comprendre le mot détente. Un marcel assez large mais vu sa silhouette, n'importe quoi de taille adulte passe large, ainsi qu'un petit short. Là, on sentait lé détente !

« Bah ça va. T'es trop classe comme ça, t'aurais dû juste apporter un pyjama ou des trucs plus léger. »

Enfin, c'est elle qui voyait après tout, Koanata était dans sa chambre alors elle n'avait pas besoin de s'habiller de façon correct pour sortir. Elle laissait sa nouvelle amie s’installer dans la chambre où Choco avait retrouver son calme en jouant le rôle de peluche, la télé était allumé sur une émission parlant de jeux de Tékhos, même si Konata ne comprenait pas grand-chose à tant de nouveautés, ça la faisait baver de plaisir.

« Bon, tu veux commencer par quoi du coup ? J'ai plein de trucs à te proposer mais comme tout me branche, on gagnera du temps si tu propose et que je valide. »

Près de son lit était posé un sac en plastique avec toute sorte de cochonneries à manger. Elle faisait partie de ses chanceuses qui mangent comme dix et ne prennent pas un gramme alors elle en profitait tant que l'effet était actif sur son corps. Elle sortait un paquet de pookie qu'elle lui tendait en souriant. Ses fameux bâtonnets enrober de chocolat en général, très apprécier des Japonais. En Europe, ça porte plutôt le nom de Mikado mais après, ça dépend des pays.

« Fais comme chez toi, faut savoir se mettre à l'aise avant de s'amuser. »

Non, pas de sous-entendu. Jessica était sexy et très bele mais Konata l'avait inviter en premier pour jouer ensemble, pas pour faire ce genre de chose. Après si plus tard dans la soirée la proposition est lancée... pourquoi pas ? Konata était habillé légèrement, il suffisait de la regarder quand elle se penchait trop en avant et que son haut se détachait de son corps, on y voyait sa poitrine et même si elle est encore plutôt plate, une poitrine est une poitrine.

« Tes parents ne t'ont pas harceler de question pour que tu puisse venir passer la soirée avec moi au moins ? »

Ses mères avaient l'air assez maman poule vu comment elle lui a parler d'elles, enfin, surtout une des deux. Mais elle comprenait, son père était parfois un véritable ado qui s'en fichait et la seconde d'après, un papa poule comme pas deux ! Alors avec les parents, ça devait toujours être ça ? Au moins un des deux qui est toujours inquiet pour tout et rien quand ça concerne son enfant.
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Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Kaguya Shunya »

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Kaguya Shunya
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Demande de RP
SHIZUKA SHUNYA
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Elles y étaient donc. Enfin. Désormais, Shunya n’allait pas pouvoir se replier, fuir à nouveau en se fixant une autre date. Elle allait maintenant devoir le dire, elle allait devoir avouer à Hinata qu’elle était enceinte... Et autant dire que, si elle était très ravie d’être dans ce restaurant luxueux, elle était aussi très nerveuse. Ainsi, pendant qu’Hinata observait les plats, et cherchait quoi choisir, Shunya lisait la carte sans vraiment la lire, relisant en effet, à plusieurs reprises, les mêmes phrases. Les mots ne s’imprimaient pas dans son esprit. Hinata hésitait entre les fruits de mer ou des menus différents de ce qu’on trouvait à Edoras, mais elle, la petite guérisseuse, elle ne pensait qu’à ce qu’elle avait dans son ventre. S’humectant les lèvres, Shunya caressa doucement ce dernier, et releva la tête quand Hinata expliqua qu’elles allaient devoir prendre un dessert à manger ensemble.

« Hum... Oui, oui, tu as raison... »

Shunya n’avait jamais été une grande menteuse, et, en soi, qu’elle ait réussi à ne pas vendre la mèche depuis ce moment relevait de l’exploit. Mais là, il était trop tard, et ce fut probablement quand Hinata se mit à parler de sa famille que la souveraine dut réaliser qu’elle ne l’écoutait pas. Un léger silence s’installa donc, Hinata semblant attendre que Shunya ne lui réponde... Et, quand la guérisseuse réalisa que le silence s’était instauré, elle rougit sur place, et releva la tête.

« Ex... Excuse-moi, Hinata, je... »

La jeune femme rougit alors. Impossible de faire marche arrière, maintenant, et, tout en se pinçant encore les lèvres, elle remua un peu sur son siège, ferma les yeux, appelant tous les kamis pour lui venir en aide, et les rouvrit, regardant Hinata droit dans les yeux :

« Je... Je ne nous ai pas amenés ici pour... Pour un simple dîner en tête-à-tête, Hinata. Je... Je... »

Elle se mordilla les lèvres, encore. Shunya avait beau gagner en assurance, elle restait encore, au plus profond d’elle-même, cette jeune fille timide qu’elle n’avait jamais cessé d’être. Et là, en ce moment, cette timidité était en train de revenir, ce qui était le signe qu’elle était sur le point d’avouer quelque chose d’important... De très important, en réalité. La guérisseuse hésitait donc, et c’était là bien naturel. Finissant par se racler la gorge, elle releva la tête, sortant de ses pensées, et fixa silencieusement le visage d’Hinata.

Ses lèvres s’entrouvrirent alors, et elle se lâcha :

« Quand... Quand nous avons fait l’amour, Hinata, après notre mariage, je... »

Elle baissa les yeux, abordant les choses. Elle avait rarement été rouge, ses joues prenant une teinte très cramoisie. Même Hinata, maintenant, devait avoir compris où Shunya voulait en venir. Soupirant à nouveau, elle reprit encore, et la regarda droit dans les yeux, et lâcha finalement la phrase tant attendue :

« Je suis enceinte, Hinata... Voilà ce que je voulais t’annoncer. Je suis enceinte... Enceinte de toi... »

SUPERGIRL
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Kara se contenta d’un léger sourire moqueur devant le ton partiellement réprobateur que lui fit Tessou, et haussa ensuite les épaules, un air faussement innocent sur les lèvres.

« Quoi ? »

La baignoire était suffisamment grande pour deux, mais Tessou préféra lui tourner le dos pour se déshabiller. Kara se mordilla les lèvres, retenant à grand-peine de dire qu’elle trouvait la vue meilleure comme ça, car elle put voir le magnifique petit cul de sa policière... Elle se retint néanmoins, car le dire aurait probablement amené Tessou à se couvrir sous une serviette. Même si elles avaient pu faire l’amour, Kara avait depuis longtemps constaté combien son amante pouvait se montrer pudique. Elle qui avait toujours envisagé le sexe assez librement, s’avérait assez surprise de la manière dont les humains en paniquaient.

Tessou la rejoignit donc après quelques hésitations, se lovant contre elle, et Supergirl sourit devant les compliments de la femme. L’une de ses mains caressait doucement son dos, et elle sentit Tessou remuer un peu contre son corps, agrippant sa main dans la sienne, faisant sourire Kara quand elle avoua que, pour une extraterrestre, elle ressemblait beaucoup à une humaine.

« Je ne serais pas surprise d’apprendre que Terriens et Kryptoniens partagent un lointain ancêtre commun, tu sais... La race humaine est très fréquente dans tout l’Univers, c’est l’une des races les plus importantes. »

Si les humains étaient la population exclusive de la Terre, la race ne se limitait pas qu’à ce monde. Comment expliquer une telle diaspora, en sachant que les mondes humains d’origine, comme la Terre, ne menaient aucune politique de peuplement de la galaxie ? C’était une sacrée question, sur laquelle il existait déjà de multiples essais et théories académiques. La réponse était que, pour l’heure, on n’en savait rien, et Kara, pour elle, était une humaine, une humaine qui, contrairement à ses homologues terriens, avait évolué. Sur Krypton, les Kryptoniens n’avaient aucun superpouvoir particulier, et étaient très sensibles aux humains de la Terre. Ce n’était qu’au contact d’un soleil jaune que leur corps se transformait, développant les capacités exceptionnelles et surnaturelles qu’on leur connaissait, et qui faisaient des rares Kryptoniens encore en vie des guerriers d’élite dans tout le Cosmos.

Tessou poursuivit ensuite en remerciant Kara d’être là, ce qui la fit à nouveau sourire, et sa main remonta pour caresser la joue de la policière. Oui, avoir une petite-amie comme Kryptonienne, c’était un avantage indéniable. Et Kyoko appréciait également Kara, ce qui ravissait cette dernière.

« Tu n’as pas à me remercier, Tessou... Ou, si tu le fais, c’est aussi à moi de le faire. Je suis partie d’un monde oppressant, où je commençais à désespérer, et arriver sur cet autre monde, beaucoup plus paisible, est un régal pour moi. Et tomber sur toi et sur Kyoko est assurément la meilleure chose qui me soit arrivée ici. »

Elle avait jadis été surprise, en arrivant sur Terre, de voir combien Kal’, malgré ses pouvoirs surnaturels, s’efforçait de conserver une identité secrète, et de mener une simple vie de Terrien. Pour elle, ce choix était en effet incompréhensible, et elle avait mis du temps, avant de le réaliser. Elle et Kal’ étaient comme des Dieux sur Terre, des êtres dotés de pouvoirs cosmiques dépassant l’imagination. En quelques secondes, Superman aurait pu renverser tous les gouvernements du monde, et en devenir le maître incontesté, et, s’il n’avait jamais fait ça, c’est parce que, tout en ayant la tête dans les étoiles, il avait conservé les pieds sur terre. Kara avait notamment compris cela quand son cousin avait perdu la raison, et avait entrepris de renier Clark Kent pour devenir exclusivement Superman. Vivre en tant qu’humain lui avait toujours permis de voir les conséquences de ses actions, la manière dont les gens percevaient, et comment le pouvoir pouvait corrompre. Machiavel disait du pouvoir qu’il corrompt, et que le pouvoir absolu corrompt « absolument ». Cette maxime politique s’applique d’autant à un Kryptonien, et, le meilleur moyen d’empêcher cette corruption, c’était de rappeler aux Kryptoniens qu’ils n’étaient pas des Dieux, qu’ils avaient des sentiments, et que leur rôle était de protéger et de défendre, mais pas de gouverner et de diriger. Une nuance subtile à établir, mais qu’il fallait faire.

C’était des gens comme Tessou qui rappelaient à Kara son rôle sur Terre. Quand la jeune femme demanda à ce qu’elle la serre dans ses bras, Kara ne put qu’acquiescer, et la serra doucement contre son corps, allant l’embrasser sur le front. Un sourire épanoui se dessinait sur ses lèvres, et elle la serra donc, en lui caressant les épaules.

« Je peux faire beaucoup de choses, Tessou... Sache que je suis vraiment heureuse d’être avec toi, ma belle. J’adore tout de toi, ma chérie. Ton courage à poursuivre ta mission, tes valeurs... Même ta timidité... Surtout ta timidité, en fait. Tu es trop craquante quand tu rougis lorsque je te fais des propositions salaces, j’adore voir tes joues rougir et tes yeux se plisser sous le signe de la confusion. »

Elle lui sourit à nouveau, et l’embrassa encore sur le front.

« Alors, tu les regrettes, finalement, ces vacances, ou pas ? »

LUNA EARTHWELL
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Ohlàlà ! La petite Luna était toute bouleversée... Elle, la Maîtresse ! Elle, dans cette magnifique tenue en cuir ! Elle avait déjà eu ses Maîtresses dans des tenues similaires, et, dans ce genre de tenues, elles étaient particulièrement intenses, et aimaient bien faire souffrir la petite Luna en la giflant et en l’humiliant... Ce qui, bien entendu, ne faisait que ravir Luna. Mais là, c’était à elle de jouer le jeu, et la neko vibrait de plaisir. En voyant ses deux Maîtresses transformer en nekos, et se mettant à miauler devant elles, elle sentit leurs bouches s’approcher, tout en exprimant leur désappointement. Se contenter juste de lécher ? Elles s’attaquèrent à son sexe, l’une à gauche, l’autre à droite, et Luna se mit à gémir, ronronnant furieusement, sa queue se redressant. Ce n’était pas la première fois qu’on la dotait d’un verge, et, à chaque fois, elle adorait ça. Luna avait appris à se calmer face au plaisir masculin, car, par rapport à sa petite chatte d’amour, une grosse queue présentait des inconvénients, à savoir une sorte de furieuse vitalité qui s’emparait de son corps, et la dominait. C’était en compagnie de sa Sacha d’amour qu’elle avait appris à maîtriser ça, à contrôler ses pulsions.

Et là, Luna gémissait longuement de plaisir, ses mains caressant les cheveux des deux « nekoquines ». Elle savait qu’elles en feraient exprès, surtout Maîtresse Yuko, car Maîtresse Yuko avait toujours été plus dynamique que Maîtresse Yuka en la matière. Maîtresse Yuko plaqua ainsi la bouche de Maîtresse Yuka sur son sexe, faisant couiner Luna, qui ouvrit grand les yeux, avant de baisser les yeux.

« E-Esclave Yuko, haaaa... !! Rrrrr... !! »

Luna savait qu’elle allait devoir sévir, et, en ce moment, elle s’absorbait de plus en plus aisément dans son jeu. Maîtresse Yuka finit par se retirer, et se vengea sur sa sœur. La situation échappait peu à peu à Luna, qui comprit qu’elle allait devoir les calmer. Sa verge était bien dure, bien dressée, furieusement élancée face aux deux femmes, qui s’embrassaient et se léchaient en même temps. Han, quel délicieux spectacle ! La petite neko les regardait, avec des yeux transis d’amour, se mordillant doucement les lèvres. Elle admirait ce spectacle, et, sentant qu’elle était incapable de réfléchir, se masturba. Le sexe masculin la possédait et la contrôlait. Quand sa queue était aussi grosse que ça, Luna était incapable de penser à autre chose que l’envie de se soulager, ce qu’elle faisait en ce moment.

Soupirant de plaisir, la neko se masturba frénétiquement, sa queue glissant d’avant en arrière, ses doigts en cuir remuant dessus. Il ne lui fallut que quelques instants pour sentir le point culminant arriver. Dans un grand miaulement, Luna expulsa tout son foutre, le balançant sur le visage des nekoquines. Elles les voyaient se griffer entre elles, tant elles étaient excitées, et Luna poussa un long miaulement de plaisir.

« Nyyyyyyyyyyyuuuuuu... »

Luna se vida donc, et soupira ensuite, reprenant son souffle...

...Puis sa cravache s’abattit alors sur le dos de Maîtresse Yuko.

« Esclave Yuko est une mauvaise esclave, une... Une sale nekoquine que je vais punir !! »

Mais comment la punir ? Elle savait que Maîtresse Yuko voulait la pousser à la punir, et réfléchit donc un peu. Pour elle, c’était un exercice assez inédit, et elle songea donc à tout ce qu’on lui avait fait subir, cherchant la meilleure manière de punir au mieux sa Maîtresse.

*Luna va punir sa Maîtresse... Hihi, Luna est une vilaine petite esclave, hein, parce qu’elle aime ça...*

Et, tout en aimant ça, elle ne sentait plus la voix de la vilaine Luna, celle qui venait lui souffler des insanités, lui dire qu’elle n’était pas une bonne esclave. Luna réfléchit donc, tapotant ses lèvres avec sa cravache, et regarda autour d’elle. Ses Maîtresses avaient tout préparé, et Luna se mordilla les lèvres en voyant un instrument qui pourrait lui servir. Elle observa en effet un fauteuil avec un dossier noir et des instruments permettant de bloquer les chevilles.

« Luna va punir sa vilaine nekoquine ! » décida-t-elle.

Elle s’approcha alors, et attrapa un bandeau noir, puis le mit autour des yeux de Maîtresse Yuko, et récupéra des vêtements, puis l’habilla consciencieusement. Elle mit ainsi de longs gants noirs à sa Maîtresse, et de longs collants, un corset ouvert à hauteur des seins, et, surtout, une culotte un peu spéciale, consistant en une ceinture noire à hauteur du nombril, avec des godes.

Une fois Maîtresse Yuko prête, Luna alla l’installer sur le fauteuil, et termina enfin son travail en lui attachant un gode sur les lèvres. Elle tremblait d’excitation, griffant légèrement sa Maîtresse au passage, et, une fois qu’elle fut prête, elle se mit devant, et observa...

...Le fascinant spectacle.

« Esclave Yuko est si belle ainsi... »

Luna papillonna des yeux après cet aveu, et se racla la gorge, en rougissant.

« Mais elle doit être punie ! »

La neko appuya alors sur la télécommande, et les vibromasseurs s’enfoncèrent en elle, remuant joyeusement dans son corps. Luna se mordilla alors les lèvres, et regarda ensuite Maîtresse Yuka, qui avait encore un peu de sperme sur elle.

« Va sucer la queue sur sa bouche ! »

Et, lorsque Maîtresse Yuka se mettrait en position, Luna s’empressa de la fesser avec sa cravache !

SHA
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« Si c’est toi qui m’engrosses, Kiriko, c’est plutôt à toi de choisir quelle méthode te rendra la plus énergique possible... »

Attendre la fin de la séance pour lui balancer sa petite surprise ? Ça ne dérangeait pas Sha, et ce d’autant plus qu’il fallait effectivement l’enfanter. Arya poussait dans le ventre de Kiriko, mais celui de Sha était encore vide, et elle avait envie, plus que jamais, d’avoir des enfants. Qui aurait cru que cela arriverait un jour ? Quand Sha était revenue sur Terra, après avoir été scellée pendant des siècles, son âme était aigrie, son cœur noirci par toutes ces années de frustration. Elle avait progressivement changé, en comprenant que sa haine n’était que le reflet de sa colère et de sa souffrance, sa souffrance devant l’effondrement de son culte, et la mort de grand-nombre de ses sorcières. Kiriko, avec sa dévotion, son amour, sa détermination, et son courage, lui avait montré qu’elle pouvait reconstituer, non seulement son culte, mais aussi sa famille. Et, pour le coup, Sha avait des envies de famille très nombreuse. Arya et Abby ne seraient que les premières de leur grande portée, avec cette possibilité que Sha ou Kiriko aient, par la suite, de belles jumelles. C’était en tout cas ce que Sha espérait, car, historiquement, les sorcières jumelles avaient été particulièrement fortes.

En ce moment, elle observait donc Kiriko, continuant à détailler sa tenue. Ses longs collants en bas résille, cette fine tenue rose... Il était vraiment rare de la voir ainsi, et Sha réalisait que, effectivement, elle aimait beaucoup la voir sous cette tenue, et n’avait, elle aussi, aucune envie de la déshabiller trop rapidement. Après tout, c’était bien elle qui manipulait parfois la texture de sa combinaison moulante violette pour lui faire l’amour dedans. Elle voulait donc profiter d’elle dans cette tenue pendant un moment, et ses mains n’hésitaient pas à caresser son corps, glissant sur ce fin tissu, doux, confortable, et chaud.

« C’est vraiment très bien fait... Ta tenue est parfaite, Kiriko. »

Luxuria avait assurément dû la convaincre d’exploiter sa féminité. Une fine tenue edorassienne, très agréable, et Sha imaginait sans peine les arguments de Luxuria pour la convaincre. Sha continuait à la caresser, jusqu’à glisser sa main sous sa tunique, pour sentir son sexe. Un phallus bien dressé, qu’elle se mit à caresser, le masturbant tendrement, tout en blottissant son corps contre celui de la Celkhane, léchant son cou, mordillant délicatement sa peau, se frottant contre elle.

« Et si je te masturbais, hum ? Est-ce que cela ne t’exciterait pas davantage ? Tu veux que je me contente d’un rôle passif, alors que tu te pavanes devant moi avec cette tenue de geisha ? C’est presque un blasphème de me proposer ça, ma chérie... »

L’Ombre soupirait lentement, et lécha sa peau, tout en continuant à la caresser.

« Ne t’inquiète pas, j’utilise en ce moment ma magie pour t’empêcher de jouir... Tu ne balanceras ta crème que quand ta queue sera en moi. On peut donc longuement jouer avec ton corps en attendant... »

Sha sourit donc, et l’embrassa alors, retirant sa main de sa verge, et la glissa dans le dos de Kiriko, l’embrassant goulûment, pressant ses bras contre son corps. Sa langue s’enfonça rapidement dans sa bouche, et ses doigts filèrent à nouveau sous la tunique, pressant l’une de ses fesses, retournant une seconde fois palper son postérieur, le pinçant, et donnant même une petite gifle dessus... Et, tout en faisant ça, son nez remontait parfois, caressant les petites fausses lunettes de Kiriko, les rehaussant légèrement.

« J’aime toujours autant ton cul, Kiriko... Ainsi que tout le reste de ton corps. »

L’Ombre l’embrassa sur le bout du nez, puis l’Ombre s’écarta alors, et entreprit de se déshabiller, ôtant le manteau noir qu’elle portait. Elle le balança sur le sol, et se dressa face à Kiriko. Sha ferma alors les yeux, et se concentra, faisant sortir sa verge. Elle soupira joyeusement en la faisant sortir, puis s’approcha ensuite de la femme.

« Je crois que, avant que tu ne rentres en moi, je vais retourner explorer ton petit cul... Comme ça, ta verge sera bien dressée, et tu pourras venir te répandre en moi, et m’enfanter... »

Mais, pour l’heure, c’était le cul de Kiriko qui allait recevoir. Ceci étant dit, Sha était gentille, car elle laissait à Kiriko le soin de déterminer dans quelle position elle voulait se faire prendre.

CRYSTAL
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Crystal s’était enfin confiée. Aussi incroyable que ce soit, la Dovahkiin avait fini par ouvrir son cœur à Neferia, ce qu’elle n’avait, jusqu’alors, jamais fait avec quiconque. La Dragonne de Glace était une femme isolée, qui vivait seule, n’aimant pas spécialement la compagnie. Elle savait se contenter du peu qu’elle avait, à savoir elle-même, ses montagnes, et le chant de la neige. Quand Neferia était venue... Crystal ne s’était pas attendue à ça. Au début, elle avait vu en elle une enquiquineuse, et c’était vraiment quand la petite dragonne lui avait parlé de son passé que Crystal avait décidé de la former, et de l’aider... Sans doute parce que, inconsciemment, son histoire lui rappelait la sienne. On disait des dragons qu’ils étaient des seigneurs, cruels et puissants, et que tous se soumettaient devant eux, mais la réalité était que, aussi puissants soient-ils, quand des foules entières se retournaient contre vous, vous ne pouviez que fuir.

Les aveux de Crystal semblèrent faire quelque chose chez Neferia. L’âge avait beau les séparer, les expériences de la vie avaient rapproché les deux femmes. L’élève se redressa ainsi, et s’empressa de se nicher dans le creux des bras de la femme. Crystal la serra doucement, caressant son dos, et déposa un baiser sur sa tête.

« Je suis désolée de t’avoir planté toute seule, tout à l’heure... »

Ce moment était assurément important, à marquer d’une pierre blanche, car, aussi incroyable que ce soit, Crystal venait de s’excuser. Et ça, ça n’arrivait pas tous les jours. Elle, qui était toujours si sûre d’elle, inébranlable, admettait avoir commis une erreur. Une erreur qu’on pouvait comprendre, et sans aucun doute pardonner, mais qui était bien là, pour autant. Fermant lentement les yeux, Crystal soupira à nouveau, maintenant Neferia contre elle, et poursuivit :

« Je t’apprécie beaucoup, tu sais... Quand tu étais venue me voir, au début, je me disais que je devrais trouver le meilleur moyen de me débarrasser d’une petite mioche capricieuse venue se fourrer dans mes pattes. Je voulais t’enseigner à être froide et dure comme un Dragon se doit de l’être, mais j’ai vu en toi quelque chose que j’ai oublié de connaître... »

La compassion envers les faibles, ce qu’elle avait fait en refusant de tuer les tigres, et en choisissant d’en adopter un. Crystal n’avait pas compris, au début, et avait même été assez agacée. Pour elle, les faibles n’avaient pas leur mot à dire, et devaient se soumettre aux plus forts. Ce faisant, Crystal avait oublié que les dragons s’inscrivaient dans un cycle, dans tout un ensemble, et qu’ils ne sortaient pas de ce contexte, mais s’inscrivaient dedans.

« Nous sommes les créatures les plus puissantes de Terra, ma chérie. Et pourtant, malgré cette puissance affirmée, nous ne dirigeons plus rien. Nous confondons fierté et arrogance, et croyons que toute forme de compassion est une pitié mal placée. La réalité, Neferia, c’est que les forces naturelles ne sont pas immuables, et que même l’antilope peut triompher du lion. »

Elle continuait à la caresser. Crystal était une femme qui réfléchissait beaucoup, en permanence, que ce soit sur elle, sur son but, sur ce qu’elle était censée faire dans ce monde. Difficile de trouver sa place, et la Dovahkiin, incapable de trouver quoi faire, avait choisi de s’isoler, et de songer au mage qui avait vaincu son père, et à sa vengeance, seul élément auquel elle pouvait encore s’identifier... Jusqu’à ce que Neferia ne rentre dans sa vie. Maintenant, la petite dragonne était là, contre elle, et avait trouvé en Crystal un symbole maternel, après avoir perdu les siens lors de la révolte des humains.

« Je t’ai appris bien des choses, Neferia, mais toi aussi, tu m’as fourni quelques leçons constructives. Je continuerai à t’assister, ma petite. Ensemble, nous reconstruirons ton royaume, ma petite chérie. »

Crystal se pencha alors vers elle, et l’embrassa tendrement sur les lèvres.

POISON IVY
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Voir le clone sembla surprendre Harley, tandis qu’Ivy s’amusait. Harley lui imposa néanmoins de se changer, tout en allant flirter avec « Pamy-Two ». Ce clone disposait d’une conscience qui lui était propre, tout en étant aussi rattachée à Pamela. Un concept assez difficile à comprendre, mais qui n’était pas sans rappeler la logique insectoïde propre aux ruches, ou, pour reprendre un exemple terran, aux Formiens. Pamela savait depuis longtemps modifier les plantes pour créer des hybrides, mais elle avait perfectionné son art, depuis Terra, en se rapprochant davantage du Green, cette force primordiale de la Nature, et qui lui avait permis de réaliser que tout était lié, du simple brin d’herbe à une immense plante. La flore était, toute entière, reliée par le Green, et le Gardien de cette force, le Swamp Thing, pouvait ainsi accéder à toute cette force. Pour concevoir ses clones, Pamela avait réalisé un système de ce type, a fortiori depuis qu’elle avait rencontré Weldenela, et que cette dernière avait fait d’elle une Alraune à part entière. Les pouvoirs de Pamela avaient encore grossi.

« Pamy-Two » souriait donc, et embrassa goulûment la femme. Elle lui souriait, caressant son ventre.

« Ça ne me dérange pas, tu sais...
- Celle que tu appelles ‘‘Pamy-Two’’ est autant un clone que moi. Entre nous deux, il n’y a aucune différence, si ce n’est que je suis plus jeune qu’elle. »

La conscience de Pamela était liée à celle du « Green », et son corps originel était, en réalité, situé dans la forêt de Weldenela, dans une fleur où il était en train de se calmer. Mais les corps devant Harley n’étaient pas que de simples clones, car, suivant la définition classique, un clone était une reproduction d’une personne, mais sans être liée à cette personne. Ici, il était plus juste de dire que chacune des Pamela était toute reliée ensemble. Mais il est vrai que Pamela avait pris l’habitude d’avoir un corps unique, et de multiplier autour de ce dernier des clones.

« Cette tenue et ce clone n’est pas que la seule surprise que j’ai pour toi... »

Des mains se glissèrent soudain dans le dos d’Harley, soupesant ses seins, et, quand elle tourna la tête, ce fut pour voir une troisième Pamela, qui l’embrassa à son tour.

« Nous sommes toutes Pamela...
- Et, pendant que je me languissais de toi, Harley, je trouvais un moyen de te rappeler à mon souvenir... »

Les deux Pamela embrassaient et caressaient Harley tendrement, tandis que la première s’était isolée dans une pièce. Il fallut ainsi attendre quelques minutes pour que la première Pamela appelle son petit clown. Entre-temps, les deux clones continuaient à embrasser et à caresser Harley, déposant de multiples baisers sur ses épaules, son cou, ses seins, mais surtout sur sa bouche, qui faisait l’objet d’assauts buccaux fréquents, des langues s’enfonçant en elle.

Puis, quand la première Ivy fut prête, l’une des Pamela donna une claque sur les fesses d’Harley, et elles la guidèrent vers l’autre chambre, en mettant un bandeau autour de ses yeux.

« Pour la surprise... »

Voir une Ivy si espiègle pouvait surprendre, et elles guidèrent donc leur amie et amante dans la pièce, refermant ensuite la porte. On pouvait entendre des bruits de pas, et des mains caressèrent alors les épaules d’Harley.

« Hey, mais c’est vrai que je suis sexy ! »

Cette voix de crécerelle, douce et nerveuse... Le bandeau se retira alors des yeux d’Harley, qui put voir, sous son nez... Une « Harley-Two » portant un court maillot de bains deux pièces rouge et noir, et qui lui souriait, visiblement ravie de la voir.

La seconde surprise venait de derrière ce clone, qui s’empressa d’embrasser Harley, se pressant contre elle en gémissant de plaisir. Assise sur un fauteuil, Pamela se leva, et, faisant suite à la demande de son amie, avait changé son bustier... Pour d’élégants sous-vêtements verts, comprenant un soutien-gorge vert, une belle culotte verte, avec des porte-jarretelles vertes.

Ainsi, elles étaient toutes prêtes pour une nuit de plaisir... Et de folie !

FÉLICIA HARDY
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Félicia avait toujours eu le sommeil lourd, comme une parfaite chatte. Il fallait bien admettre qu’elle était une noctambule, habituée à grimper de toit en toit la nuit, et à dormir le jour. Ce faisant, être professeur de sport n’était pas aisé, et c’était en grande partie pour ça qu’elle s’était arrangée pour n’avoir des cours que l’après-midi. Les rares fois où elle devait travailler le matin, elle pouvait toujours compter sur Aoki pour la réveiller. Il y avait déjà de nombreuses semaines qu’Aoki et Félicia avaient décidé de vivre ensemble, et Aoki avait même un double de ses clefs. Le fait est qu’Aoki avait pris l’habitude de la réveiller, et pas forcément en lui offrant un chocolat chaud, mais en l’excitant sexuellement. Elle avait même été une fois jusqu’à lui mettre un casque en réalité virtuelle sur la tête, montrant une vidéo de leurs ébats, de quoi réveiller rapidement Félicia.

Cette fois, Aoki innovait, optant pour la bunny girl, costume que, bizarrement, les deux amantes perverses n’avaient pas encore eu l’occasion d’utiliser. Un choix très curieux, en réalité, car Aoki était vraiment magnifique ainsi. Félicia eut à peine le temps de l’observer qu’elle sentit le pompon de son amante se presser contre son visage, remuant le long de son nez, tandis que ses deux belles fesses allèrent se presser contre son visage. Encore partiellement réveillée, Félicia soupira à pleines bouches, et posa ses mains sur les hanches de la femme, en appui, et ne tarda pas à embrasser chacune de ses fesses, pendant que la Japonaise continuait à la titiller.

*C’est sûr, elle a, dans ce domaine, un super-pouvoir...*

Le sexe était un domaine dans lequel Aoki était tellement douée que c’en était presque surnaturel. Félicia n’avait jamais rencontré une amante comme ça... Sauf Poison Ivy, mais c’était différent, car Pamela avait des capacités extraordinaires. Aoki, elle, était une simple humaine, dont l’énergie et l’endurance l’avaient même amené à rejoindre le SHIELD. Certes, elle avait une mission particulière (repérer, parmi ses élèves, des individus dotés de capacités surnaturelles, et servir ainsi d’informatrice), mais ce n’était tout de même pas négligeable. Son travail au sein du SHIELD, en plus de son travail actuel, lui permettait d’avoir un salaire acceptable, et elle participait ainsi volontiers aux frais. Cette fille, pour le dire tout simplement, était en or, et sa perversion, loin d’être un défaut pour Félicia, ne cessait de l’enthousiasmer. Rien ne semblait devoir calmer les ardeurs d’Aoki, qui était à l’image de son lapin.

Félicia sourit quand Aoki avoua s’ennuyer, et vouloir plutôt prendre un bonbon pour s’occuper d’elle. La réponse de la Chatte Noire fut rapide, et une belle claque résonna dans la pièce, ses doigts rebondissant sur le tendre petit cul d’Aoki.

« Je vois que tu es toujours aussi impertinente, Aoki... Mais tu as raison, les chats sont supérieurs aux lapins, alors, si tu veux que je te baise, crois bien que je vais te prendre bien sévèrement ! »

Sa tenue lui allait vraiment très bien, et Félicia ne comptait nullement la déshabiller. Si elle aimait autant Aoki, c’était aussi parce que, comme elle, son amante partageait ses mêmes fantasmes. L’attrait pour le fétichisme, le cuir, le latex... Tout ça, c’était quelque chose que Félicia partageait avec Aoki, et elle, cette petite garce, n’avait cessé d’augmenter la perversion de la Chatte. C’était pour elle que Félicia avait décidé de devenir hermaphrodite, grâce à l’aide de Poison Ivy, et c’était à cause d’elle que Félicia adorait ça. Désormais, Aoki, même si elle pouvait aussi prendre la Chatte Noire, avait l’habitude de se faire fourrer par son amante. Et c’était bien ça que Félicia allait faire en ce moment.

Elle posa donc ses mains sur les fesses d’Aoki, et la repoussa alors.

« Mais, avant ça... Moi aussi, j’ai une surprise pour toi, ma chérie. Mais... Interdiction de quitter le lit ! »

Félicia lui sourit malicieusement, et caressa le visage d’Aoki, glissant ses doigts le long de son visage, après s’être redressée. Elle fila rapidement dans une pièce, jetant un ultime regard vénéneux vers sa chère amante, puis s’empressa, elle aussi, de s’habiller. Elle agit plutôt rapidement, et, quelques minutes après, retourna dans la pièce... Avec un ensemble violet brillant et très sexy, et une verge qui déformait sa culotte violette.

« Je l’ai achetée spécialement pour toi, Aoki... Dans cette tenue, je ne suis plus ta Chatte, je suis ta Maîtresse... »

Elle se rapprocha d’elle, faisant claquer ses talons sur le sol, et, avec l’une de ses mains gantées, caressa les cheveux d’Aoki, d’une main sûre et ferme, avec une solide assurance qui brûlait dans le firmament de ses yeux. Sa main massait ainsi les cheveux de sa lapine, et elle lui sourit doucement.

« Alors, maintenant, je crois qu’il va falloir que je te dresse bien fort, petite lapine sauvage, à l’aide d’une grosse carotte... N’est-ce pas ? »

Si Aoki utilisait pour la première fois sa tenue de bunny girl, c’était également le cas de Félicia, qui n’avait pas encore eu l’occasion de se servir de cet ensemble... Jusqu’à présent.

MIRANDA FORGE
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Dans la chambre, Kaleena était en train d’hurler de plaisir, se faisant besogner par Twillight, qui s’enfonçait joyeusement en elle, la prenant par le dos. Un spectacle qui ne serait pas éternellement inconnu pour Miranda, qui était pour l’heure en train de discuter avec la Terranide chauve-souris. Maintenant qu’elle en savait un peu plus sur elle, elle réfléchissait à ce qu’il convenait de faire... Tout en conservant dans sa tête l’image de Rouge dans sa combinaison moulante. Silencieuse, elle laissait la Terranide parler, lui expliquant qu’elle voulait inverser les rôles, trouver quelque chose qui serait susceptible de plaire à Miranda, tout en étant originale.

Cette dernière sourit alors, et tourna la tête vers elle, maintenant le corps de Rouge contre le sien, et déposa un baiser sur ses lèvres.

« Hum... »

La PDG réfléchissait, car une idée était en train de lui trottiner dans la tête.

*Pourquoi pas, après tout?*

Miranda attrapa une télécommande traînant sur une table basse, et appuya dessus, ce qui alluma l’énorme télévision devant laquelle les deux filles étaient assises. Très rapidement, une image apparut, avec des cris, des soupirs, des gémissements, le bruit de la chair qui claquait.

« Haaaaaaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Sur l’écran, on pouvait voir Twillight, occupée à besogner hargneusement Kaleena. En souriant, Miranda coupa alors le son, et attrapa un verre de vin, le tendant vers Rouge après en avoir avalé une rasade.

« Le spectacle te plaît ? Je dois admettre que ton amie est très énergique... Dire que, ce soir, j’aurais dû être à sa place, à besogner ma petite Kaleena... »

Miranda soupira lentement, observant encore ce singulier spectacle, puis sortit son téléphone portable, et, tandis que la séance de sexe se poursuivait, retrouva la photographie de Rouge dans sa combinaison. Elle montra ensuite l’appareil à la Terranide, et esquissa un nouveau sourire sur le firmament de ses lèvres.

« Tu as une tenue très sexy, Rouge... Si tu veux me faire plaisir, habille-toi ainsi... »

Elle rajouta ensuite, en souriant légèrement, une lueur espiègle dans les yeux :

« Tu es vraiment une Terranide très intrigante, tu sais... Mais j’aime ça. Ce côté mystérieux, chez toi... Enfile cette tenue, et tu pourras me commander... Pour le moment, du moins. »

Miranda s’amusait, et était tentée par l’idée de laisser Rouge la dominer. Après tout, ça n’arrivait pas tous les jours que quelqu’un cherche à dominer la puissante PDG de GeoWeapon Corp. Ce faisant, Miranda était tentée de voir si elle en était capable... Juste pour s’amuser un peu.

RYOUKA
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La réalité était que, si Ryouka n’avait pas un emploi du temps aussi chargé au sein des Héroïnes, avec la nécessité de devoir vivre loin de la capitale, le long des Badlands, elle aurait sans doute couché avec la fameuse Poison. La star de Uatis, coqueluche des médias, disposait de son propre site Internet, et organisait quantité de concours pour permettre à ses fans de coucher avec elle. Elle avait récemment rejoint le groupe GeoMedias, géré par GeoWeapon Corp., Depuis ça, il existait même une émission de téléréalité, « Une Nuit Avec Poison », où les fans se livraient à une série de défis, au cours de la soirée, et la gagnante avait le droit à une nuit avec la fameuse Poison.

Nika ne l’avait d’ailleurs pas encore dit à personne, mais elle avait inscrit Ryouka à l’un des épisodes de cette émission. Mais, pour l’heure, elle se contentait juste d’admirer le spectacle qui se déroulait devant ses yeux. Un joli tableau, en réalité. Tsukasa venait de e glisser derrière le corps de l’Héroïne, pressant son corps contre le sien, tout en incitant Ryouka à se montrer vulgaire. Cette dernière couinait et gémissait, enfonçant ses mains sur le tapis, soupirant en sentant le corps de Tsukasa se rapprocher du sien, pour que les mains de l’Edorassienne viennent palper ses seins, tendus par l’excitation.

Elle tourna sa tête vers la caméra, souriant en tirant la langue.

« Ouais... Je suis une grotte pute, et toi une super-salope... Autant dire qu’on forme un fantastique couple ! »

Et hop, une nouvelle claque vint s’abattre sur le postérieur de Ryouka. Le sexe de Tsukasa, lui, venait de s’enfouir dans l’intimité de Ryouka, et, tout en parlant, les deux femmes soupiraient lentement, Ryouka remontant une main pour caresser la nuque de Tsukasa, enfouissant ses doigts dans ses beaux cheveux blonds, en sueur, mais toujours aussi agréables, tout en tournant la tête pour tenter de la regarder.

« Hmmm... Ouuui, haaaa... J’ai a-adoré... Adoré quand... Quand tu m’as pris par derrière, hummm... À me défoncer mon petit cul pendant... Pendant des heures, haaaa...
- Des heures ?! Rien que ça ?
- O-Ouuuiii, haaa, si tu savais... Hmmm... Ce qu’elle me fait subir, haaa... Cette femme est très dangereuse, Ni-Nikaaaaa... »

Nika sourit légèrement, tout en se berçant des soupirs et des cris de plaisir de sa chère sœur adorée. Et, tout en tenant la caméra, elle aventura son autre main sur les fesses de l’Edorassienne. Elles étaient en sueur, mais terriblement douces, et elle donna, elle aussi, une petite tape, avant de se rapprocher du bassin, zoomant sur la verge de la femme. Elle put ainsi voir ce membre, qui s’enfonçait et ressortait, formant une longue tige de chair qui était coincée entre les deux femmes. Elles continuaient à soupirer et à gémir, dans un duo très réussi.

« Vous faites ça depuis que vous êtes arrivées ici ?
- Oui-haaaa... On est juste sorties une fois pour aller t’accueillir, mais... On s’est envoyées en l’air dans l’ascenseur... Hnnnn... »

C’était clair, Ryouka avait effectivement trouvé son double sexuel, ce qui, en réalité, était limite effrayant. Souriant légèrement, la jeune femme se releva à nouveau, et embrassa Tsukasa sur les lèvres, en posant une main sur son menton. Elle tenait toujours la caméra, et la braqua sur Tsukasa.

« Et tu peux tenir combien de temps comme ça ? »

Ryouka, elle, n’était pas dupe. Elle savait que Nika ne tiendrait pas longtemps. Sa grande-sœur avait beau tenté de le dissimuler, elle était, elle aussi, une Uatéene pur jus, et très perverse. En ce moment, la jeune informaticienne était sûre que sa sœur était en train de s’imaginer prise entre ces deux femmes, à subir, inlassablement, leurs assauts sexuels... Et elle avait intérêt à y penser, car c’était précisément ce que Ryouka avait en tête, une fois que Tsukasa aurait bien rempli ses trous !

SAMARA
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Entre Samara et Sya, leurs jeux avaient très rapidement été sexuels. Samara était une proche du culte de Lust, qui se rendait régulièrement au temple mijakien, tandis que Sya, elle, appartenait, corps et âme, à la Déesse de la Luxure. Pour toutes ces raisons, il fallait bien s’attendre à ce que leur relation soit, avant toute autre chose, sexuelle. À la base, Sya était une simple hôtesse du harem Warren, et Samara l’avait baisé parce qu’elle était une Ange, et qu’il était particulièrement jouissif, pour un démon, de soumettre, sexuellement parlant, un ange. Même si Samara n’était pas aux Enfers, et ne dépendait pas de l’autorité des Grands-Princes, sa nature profonde était marquée par l’animosité éternelle avec les anges. Une animosité qui pouvait être renversée, et leur relation le prouvait. Sya et Samara se considéraient en effet comme fille et mère spirituelle. Aucun lien de sang ne les reliait, mais Samara aimait l’idée que cette Ange perverse, et au demeurant assez puissante, la considère comme sa mère. De cette manière, surtout, Sya était restée à Mijak au-delà de son terme initial, et retournait régulièrement voir Mélinda, surtout qu’elle s’était faite quelques amies là-bas, comme Ai Aihara, une lycéenne venant de la Terre. Pour Samara, c’était ainsi un bon moyen de s’informer un peu sur les pratiques de sa turbulente Mélinda.

La démone savait que Mélinda était là, et elle se demandait d’ailleurs si elles n’allaient pas aller la voir. Sya aimerait sans doute voir Mélinda, ainsi qu’Ai, mais, pour l’heure, l’Archimage allait se montrer égoïste, en profitant du corps qu’on lui offrait. Sya avait tenu à améliorer son rôle de fille modèle en arborant une tenue similaire à la sienne, et cette dernière lui allait très bien. Samara, qui comptait déjà la baiser bien fort, sentit son excitation croître à toute allure.

« Maman aime te voir dans beaucoup de tenues, Sya... Mais je dois admettre que cette belle tenue est une très agréable surprise, et que je vais te faire joyeusement l’amour dedans. »

Samara avait fini de l’explorer. Elle savait que cette tenue était générée par la magie, mais ça ne la dérangeait pas. Sya avait probablement dû longuement y réfléchir pour parvenir à un résultat aussi convaincant. Elle suçait le doigt de sa « mère » avec insistance, comme pour signaler ce qu’elle voulait, mais en laissant, bien naturellement, à Samara le choix... Et, comme à chaque fois, Sya en avait profité pour reconstituer son hymen. Aussi perverse et salope soit-elle, Sya aimait beaucoup jouer avec le fait qu’elle soit une Ange avec une bouille assez mignonne, aimant se faire passer pour l’innocente créature céleste violée par une démone impitoyable et cruelle. Samara, elle aussi, aimait ça, et, tout en songeant au vaste programme qui les attendait, elle ferma les yeux, et le bas de sa tunique se déforma légèrement. Samara usa l’extrémité pointue de sa queue caudale pour ouvrir le bas de sa tunique, créant une fente qui permit à sa verge de sortir.

Un beau sexe rouge, de la même couleur que sa peau, pointa ainsi, une verge tendue. Ce membre érectile se dressait devant Sya, et Samara, une lueur profondément malicieuse dans les yeux, retira son doigt de la bouche de la petite Ange, et posa ses deux mains sur sa tête.

« Néanmoins, petite cachottière, ta présence m’empêche de faire ce que je voulais faire initialement... Me rendre aux toilettes. Alors, je crois que ta bouche de petite traînée va bien me servir... »

Joignant le geste à la parole, la démone enfonça alors sa queue dans la bouche de Sya, et donna quelques coups de reins. Sa grosse verge s’enfonçait dans cette délicieuse bouche, sentant la douce et chaude langue de l’Ange. Fermant les yeux, Samara se pinça alors les lèvres, et son phallus sembla se roidir pendant quelques secondes... Puis un jet doré fusa. Un soupir de plaisir s’échappa des lèvres de Samara, qui continua à remuer son corps, d’avant en arrière, urinant dans la bouche de Sya, répandant sa vessie dans ses lèvres, non sans soupirer.

Pendant une quinzaine de secondes, environ, elle se répandit ainsi dans sa bouche, puis, une fois le jet doré passé, donna des coups de reins supplémentaires.

« Allez, petite pute ! Maintenant que je t’ai bien lubrifié... Suce-moi ! »

Le choix avait donc été fait pour la bouche... Pour commencer.

JESSICA DREW
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« T’inquiètes pas, j’ai une nuisette dans mon sac à dos ! »

Jessica avait dû enfiler une tenue correcte pour ne pas inquiéter ses mères, et aussi parce que, tout de même, pour rejoindre la chambre de Konata, elle avait dû filer dans les couloirs, et elle se voyait mal être surprise en petite tenue par d’autres individus, qui bossaient dans la même société que Maman Carol. Jessica rentra donc dans l’appartement, heureuse de passer une soirée autre que de s’ennuyer dans sa chambre avec ses mères à côté, qui hésitaient entre la laisser sortir pour s’envoyer en l’air, et la laisser dans la chambre d’hôtel, où elles savaient que leur fille serait en sécurité. Initialement, Jessica avait envisagé de voler dans les airs, de se rapprocher notamment de la Novac Tower, d’inspecter tout simplement les environs, mais elle allait finalement faire une soirée bien différente, avec une amie trouvée sur place, à jouer aux jeux vidéos. Que demander de plus ?

Si sa tenue apparaissait effectivement comme sensuelle, elle était néanmoins dans les standards de beauté uatéens, où le cuir, le latex, et les tenues moulantes, étaient des tenues classiques, autant que de porter un jean. Chaque société avait ses propres critères en matière de tenue vestimentaire, et cette idée était particulièrement vraie, s’agissant de Uatis. Elle y songeait donc, en voyant la console de jeux vidéos, la télévision... Puis Konata lui demanda si tout avait été bien été avec ses parents, et elle haussa les épaules.

« Oh, mieux que ce que je pensais... Je pense que mes mères étaient contentes à l’idée de passer une soirée seules... Pour se retrouver. »

Jessica se racla lentement la gorge, ses joues rougissant légèrement. Elle secoua la tête, essayant de ne pas laisser ses pensées vagabonder sur ce que ses mères allaient faire, et ouvrit son sac à dos.

« Bon ! On se fait une partie ? »

Elle sortit « Disease ». Sur la jaquette du jeu, on pouvait voir, sur une teinte rouge, de multiples immeubles au fond, avec, eau premier plan, un tronçon d’autoroute, et des voitures calcinées, avec des créatures s’approchant au loin.

« On tue des Formiens dans ce jeu... Enfin, des humains transformés en zombies suite à une contamination globale. »

S’il fallait comparer ce jeu avec des jeux terriens, « Dead Island » aurait été un bon élément de comparaison Le jeu se présentait en effet comme un open world dans Uatis city, où il y avait plusieurs zones. Les joueurs incarnaient des survivants, et devaient accomplir une série de missions consistant à survivre, et à endiguer la contamination, qui émanait d’un laboratoire de recherches situé sous une usine de la zone industrielle de Uatis city. Le jeu commençait dans le centre-ville, et, plus précisément, dans une chambre d’hôtel, où la porte était défoncée par des zombies.

« On se bat surtout avec des armes blanches dans ce jeu. Allez, go ! »

Les deux joueuses commençaient dans le même lit, et le jeu se déroulait en vue subjective, sur des écrans splittés. Jessica récupéra son talon sur le sol, et s’en servit pour égorger le zombie qui l’avait plaqué contre le mur, puis balança une lampe sur un autre, et fila vers la cuisine, récupérant une poêle, pour se battre avec les autres zombies. Le jeu se voulait très réaliste sur les exécutions, et c’était quelque chose que Jessica put noter en entendant la chair du zombie éclater et pivoter sur place.

La soirée commençait bien !

SARAH PEZZINI
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Le Wonderland était un endroit très impressionnant, ce que Sarah put noter en arrivant. Elle avait foncé dans le premier yacht disponible, et n’avait donc pas eu le temps de se changer en quittant l’appartement de Natasha, portant toujours sa sensuelle robe rouge à latex, qui attirait quelques regards. Fort heureusement, à Uatis, où le latex et le cuir étaient de vigueur, cette robe ne choquait pas tant que ça, évitant ainsi à Sarah l’idée d’être une sorte de sac à viande attendant de se faire fourrer. Néanmoins, et même malgré cette situation, elle espérait bien ne pas tomber sur ses collègues, même si, en toute honnêteté, il était peu probable qu’elles soient ici. Sarah enquêtait en solo ici, à la limite de ses accréditations officielles, mais il fallait bien ça pour ébranler ce trafic de stupéfiants.

Dans l’appartement de Natasha, cette vendeuse que Sarah avait séduit dans l’un des magasins servant de couverture officielle au trafic, elle avait pu consulter son ordinateur, pendant que la jeune femme dormait paisiblement, épuisée après avoir couché avec une Sarah renforcée par le Witchblade. En consultant ses notes, elle avait appris que le patron de la femme voyait des clients ce soir, sur l’un des quais du Wonderland. Une situation bien étrange, car la rencontre avait lieu dans un yacht. En menant des recherches sur ce yacht, auprès du service d’immatriculations portuaire de Uatis, elle avait appris que le bateau appartenait à un individu qui, d’après les informations officielles, n’existait pas. Tout ça flairait l’embrouille, et elle était donc partie sur place.

La jeune femme avançait ainsi à travers les allées du parc d’attractions, le corps encore marqué par les griffures et les morsures de Natasha. Pour une simple femme, elle était très énergique au lit, mais s’épuisait très rapidement. Sarah était partie comme une voleuse, un peu gênée. C’était typiquement le genre de trucs qu’elle n’aimait pas : coucher avec quelqu’un, et se réveiller au petit matin pour constater qu’on était seules. Néanmoins, la mission s’imposait à elle.

*Ce n’est peut-être rien, mais mon intuition me dit autre chose...*

Il lui fallait traverser tout le parc pour rejoindre une baie située de l’autre côté, un endroit plus réservé, où le yacht devait se trouver. En chemin, elle longea une montagne russe, et continua sa route, tandis que le Witchblade se mettait à vibrer dangereusement, annonçant une menace.

*Qu’est-ce qui se passe ?*

Elle se rapprochait d’un carrousel, au centre du Wonderland, voyant plusieurs attractions autour, comme un stand vendant des croustillons, des gaufres, de la nourriture de forains... Et vit ainsi, sur différents toits, de curieux individus avec une visière comprenant de multiples lentilles rouges, qui regardaient à droite et à gauche.

*Mais qui sont ces types ?!*

Pezzini avait, pour le coup, un très mauvais pressentiment, en les voyant se volatiliser, comme s’ils étaient capables de se téléporter...

En tout cas, les choses avaient l’air de se compliquer.
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Hinata Kaguya »

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Hinata Kaguya
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Hinata
Un dîner romantique, si ce n'était pas une bonne idée ça, dans un décor si étrangé, ça allait rendre leur vacance encore plus belle. Elles n'étaient pas finie mais elle comptait savourer chaque seconde de leur voyage de noces. En plus, elles sont en dehors d'Edoras, il faut en profiter car les seules fois où ce sera possible, ce sera pour affaire et rien ne dit qu'elles auront le temps de flâner ici et là en profitant du beau temps. La jeune reine se demandait déjà si sa femme avait des marques de bronzage ? Voir son corps plus pâle à certains endroits plus intime allait rendre la chose plus sexy ? Puis pour elle aussi, elle devait avoir bronzé mais elle sera fixée ce soir. Elle ne s'était pas vraiment observée tout à l'heure puis cette petite Kyoko était vraiment à croquer ! Dommage qu'elles ne soient pas ici, elle aurait été heureuse de pouvoir lui donner à manger. Il y avait Chikaku aussi pour cela mais ce n'était pas pareil, elle devenait une vraie petite fille et elle devait apprendre à manger comme une grande.

Outre ses pensées toutes plus souriantes les unes que les autres, elle remarqua les absences de sa femme et pour quelle raison ? Elle n'en savait rien mais franchement, même si Shunya avait fait une bêtise, elle ne s'attendait pas à quelque chose de grave. Elle l'écouta donc en silence, cette dernière évoquant leur nuit de noces – une superbe nuit qu'elle s'en voulait de ne pas pouvoir reproduire plus souvent mais le lendemain, elles étaient bien fatiguée pour la journée et maintenant, Hinata devait prendre son rôle de reine au sérieux... même si ça ne les empêchera pas de recommencer tôt ou tard. Mais soit, Hinata écouta et même en évoquant cette nuit, l'idée du bébé ne lui venait pas de suite à l'esprit. Elle pensait que Shunya allait partager une chose qu'elles n'avaient pas fait cette nuit u bien qu'elle veuille essayer ? Voir même ne pas faire ? C’était possible. Quand la grande annonce tomba, elle élargit son sourire, allant même fermer les yeux avant de retourner sur le menu.

« Ne dis pas de bêtise, je l'aurai... »

L'aurais vue ? Elle n'était pas bête, elle savait qu'une femme enceinte avait comme premiers symptômes les vomissements le lendemain, les multiples petits défauts des sens qui se réveillaient pour pourrir la vie pendant neuf longs mois. Maintenant qu'elle y pensait, elle n'était pas la première levée le lendemain de leur nuit de noces ? L'absence quasi-totale de repas pour Shunya ? Juste un banquet de mariage un peu trop copieux qu'elle se disait. Et sa promesse d'attendre la fin de ses études ? C'était Shunya qui décidait, et ce, n'était pas Hinata qui allait lui interdire de tomber enceinte. Prenant conscience de ses mots, elle se redressa en plaquant ses mains sur sa bouche, les larmes aux yeux.

« Tu... tu... Oh... »

Elle ne savait pas quoi dire, les larmes coulaient toutes seules pendant qu'elle se rapprochait d'elle en pleurant comme un bébé. Elle s'agenouilla et tant pis si les autres les regaradient. Elle posa ses mains avec toute la prudence du monde sur son ventre si mignon et si plat. Cmment un bébé peut-il déjà grandir dedans ? Honnêtement, actuellement, fille ou garçon, elle s'en fichait, sa femme attendait un bébé, c'est tout ce qui comptait pour elle.

« V-Vraiment ? »

Elle ne savait plus qui regarder, les yeux de Shunya, son ventre ? Elle pleurait doucement dessus mais heureusement, ce nétait que des larmes de joie donc elle pouvait pleurer aussi longtemps qu'elle le voulait. Quand elle lâchait ce ventre, ce n'était que pour prendre les mains de sa femme en ne pouvant pas s'empêcher de sourire et de pleurer.

« Oh Shunya... je veillerais constamment sur vous deux... pas le moindre insecte ne viendra vous déranger, promis. »

Quitte à mettre Nora à la retraite, elle veillera sur sa femme avec précaution, qu'elle soit enceinte de quelques semaines ou quelques mois, ce sera la même prudence pour elle, pour veiller sur elles et agrandir la famille Kaguya et offrir la prochaine reine de ce royaume. Hinata ne perdait pas de vue ses fantasmes en ayant ses petites princesses à câliner. Une toute gentille, une petite rebelle qui voudra être une samouraï ou une shonobi, des petites jumelles ou des triplées, une petite qui gardera un visage de poupée et une petite kitsune aussi, une vraie petite furry qui sera quand même issue de Shunya et d'elle. Ne lui demander pas comment, ce n'était qu'un fantasme avec un échantillon de ses enfants rêvées.

« Gardons cela secret chérie, pour les trois premiers mois. J'ai entendu dire que cela portait malheur de l'annoncer avant. »

Hinata et les traditions comme les superstitions. Tout comme le fait de monter le lit du bébé avant son arrivée, pas question de faire ça, ça porte malheur ! Sa belle-mère était déjà au courant mais même en sachant cela, elle ne lui en voudra pas tant que la mèche n'est pas vendue à tout le royaume. Même la famille, chut, faut pas ébruiter cela devant elle. Rien que d'imaginer Chikaku en une petite tata avec sa petite princesse entre ses bras, ce serait trop chou comme photo !!!

« Oh ma chérie... »

Hinata en perdait ses moyens, à part pensé à sa femme et son bébé, elle ne pensait à plus rien d'autre...
Tessou
Au final, entre les bras de Kara, cela allait tout de suite mieux. Cette belle blonde venue d'ailleurs et qui l'avait sauver, lui évitant la mort et devoir laisser Kyoko orpheline ou une vie pire que la mort mais en pouvant voir sa fille encore. Dieu merci, Kara était arrivée à temps ce soir-là. C'était quand même bizarre de se dire que la galaxie avait beaucoup de terriens sans en être. Sur Terre, quand on pense extraterrestre, on pense de suite à quelque chose tout à fait à l'opposé de leur image alors que bien souvent, non. Il suffisait de voir Kara, elle était tout ce qu'il y a de plus humaine quand on la voyait parler ou se comporter. SI on retire ses pouvoirs, elle serait une Américaine normale.

N'empêche, penser que sa petite famille était la chose qui tenait le plus à cœur Kara, c'était gratifiant et pas qu'en peu ! Elle se sentait toujours en sécurité entre ses bras, peut-être en sachant pour ses pouvoirs mais même sans. Sa bonne humeur et son comportement savait toujours la faire sourire, elle qui avait tendance à voir la vie en noir parfois. Serrée dans ses bras, elle aurait pu rester simplement heureuse mais Kara avait tendance à trop montrer sa joie. Le Japon avait sa fierté et montrer ses sentiments, ce genre de petits nom, même en privée, ce n'était pas aussi simple qu'ailleurs. C'était plaisant mais ça la gênait, justement, elle parlait de ses joues rougies, de ses yeux qui cherchait ailleurs une réponse, elle l'avait. Mais qu'elle se rassure, même avec Ryota elle agissait comme ça. Ses petits nom – chérie, ma belle et ainsi de suite – c'était mignon mais comme toujours, Tessou n'était pas à son aise. Elle avait beau avoir plusieurs fois adorer Kara de biens des façons, jamais elle ne lui avait encore donner de ce genre de petit nom. Pas dans ses souvenirs du moins.

Changeant de sujet – heureusement – Kara s'inquiétait plutôt de savoir si Tessou était toujours dans le même état d'esprit que la veille ? À savoir l'inquiétude et tout le reste.

« Oui et non. Jusque là j'ai adorer ce qu'on avait vécu, Kyoko s'est amusé comme une petite folle, pour preuve, elle dort comme un ange en ce moment. Mais je reste quand même inquiète sur cette histoire de portail, j'espère qu'il n'y a pas d'effet secondaire pour les bébés ? Puis même les autres... sans vouloir être méchante, je ne suis pas habitué à me trouver dans la même pièce qu'un ange, un démon, une femme chat et un ours trois fois pus gros qu'un vrai. Même avec toi, j'ai toujours peur pour Kyoko... »

Elle espérait que dans cette garderie au restaurant, sa fille n'aura pas de drôle de camarades de jeux qui pourront lui faire du mal volontairement ou non. Oui, elle était très mère poule alors bébé ou non, le premier qui fera mal à sa fille risque de le regretter très fort. Parent ou enfant ! Elle savait qu'elle s'en faisait un peu trop mais elle ne pouvait pas penser différemment, c'était son rôle de maman.

« Si le restaurant fini tôt, on continuera a soirée ailleurs ou bien on retourne se reposer de cette longue journée dans le lit ? »

Pas d'allusion, elle était sérieuse. Enfin, sans le préciser, cela dépendait aussi de sa fille, si elle sera fatiguée ou pas tellement. Elles verront bien mais pour le moment, elle dort comme un ange et elles, elles se détendant en laissant le temps passer avant d'aller au restaurant. Se penchant hors de la baignoire, elle venait à sortir l'appareil photo pour le tourner vers elles, préparant à faire une belle photo.

« Nous n'avons pas de photo de nous au fait ? Avec Kyoko ou séparer mais pas toutes les deux ? Arrangeons cela alors, souris Kara, prête, trois, deux, un... »

Tessou souriait simplement mais sincèrement comme à son habitude, reste à voir comment sera Kara si elle ne bouge pas entre temps ?
Karistal
Yuko et Yuka, de vilaines nekos ? Oh, voilà qui est étonnant ! Ce n'est absolument pas leur genre. Mais c'est sûr que si leur gentille Luna devenait une jolie Maîtresse neko avec une belle queue toute tendue, c'était différent. Se battant pour elle, les jumelles avaient excité Luna au plus haut point, si bien que la belle chatte venait à jouir et envoyer sa crème de neko sur le visage de ses deux servantes qui adoraient sentir ce liquide chaud sur leur visage. Si chaud, si délicieux surtout. Toutes les deux étaient redevenue calme, léchant le visage de l'autre en ronronnant même quand Luna venait frapper Yuko avec sa cravache.

« Nyyyyyyu mais Yuko est une gentille nekoquine pourtant ? C'est Yuka la vilaine nekoquine... »

Yuko était impatiente de voir la suite mais elle devait quand même jouer son rôle et se faire passer pour la gentille neko. Luna restait silencieuse, semblant chercher ce qui allait se produire quand la petite Luna avait ce genre d'idée ? Inspiré, elle semblait avoir décider en allant mettre Yuko sur le fauteuil qu'elles avaient sortie mais ce n'était pas tout. Elle lui bloquait la vue et changea même la tenue de sa servante avant de venir lui bloquer les mains. À vrai dire en préparant cela, Yuko pensait que c'était Yuka qui allait finir dessus si jamais Luna aurait penser à ça. Luna allait prendre chère une fois son rôle finie... c'est peut-être ce qu'elle attendait, d'où le fait de prendre Yuko pour cible ? Installé comme un jouet sexuel, même sa bouche fut bloqué par un gode. Pour mettre la cerise sur le gâteau, Luna activa les godes, déjà qu'elle s'était mise à trembler en sentant l'excitation de sa neko sur sa peau alors là, Yuko tremblait de plaisir ! Elle se dandinait sur place en couinant. Yuka l'enviant un peu... mais elle avait une autre tâche à faire avec sa sœur !

« Nyyya ! »

Bondissant sur les cuisses de Yuko – cette position venait volontairement ou non, donner naissance à deux jolies fesses bien rebondie qui ne semblaient attendre que cela – pour engloutit la belle queue sur sa bouche. Sentant sa sœur sur elle, elle se calmais, venant essayer de l'embrasser mais elle ne faisait que lui faire une gorge profonde à la place. Ça restait un joli spectacle malgré tout. Mais à son tour, Yuka fut elle aussi fouetté par sa maîtresse qui semblait bien aimé renvoyer la balle après toutes les fessées et diverses choses qu'elle avait subit en leur compagnie. Que ce soit le cas ou non, voir Luna se lâcher était tellement bon.

« Nyyyyya M-Maîtresse !!!! »
« Mmmmmmmh Mmmmmmmh !!! »
« Nya, n-nous sommes de gentilles nekos, nous ?! »


Bah oui, elles sont gentilles. Contredire les ordres de la maîtresse n'était-ce pas là une faute ? Parler SM avec Yuka, c'était sauter les pieds dans le plat pour avoir à son tour une plus grosse dose de coups. Chacun son petit plaisir après tout. Yuko ne pouvait pas parler mais elle continuait de gémir fort et Yuka miaulait et ronronnait de plaisir sous les coups mais Yuka était gourmande, elle en voulait plus encore !

« Nyyyyyyyyaaaaaan ! Maîtresse ! Maîtresse !!! »

Entendre ça dans ses petites oreilles... Luna devait être aux anges de se faire traitée ainsi !
Kiriko
C'était bien là tout le souci, Kiriko ne savait pas comment commencer cela ? Elle avait déjà fait l'amour en futa avec Sha, plus d'une fois mais il a toujours été question de simplement baiser, même si Kiriko avait tendance à être plus douce comme ça, elle retrouvait parfois son caractère, moins idolatrice de Sha mais plus amoureuse. Même Sha pour l'engrosser avait été particulièrement douce avec elle, le temps de la remplir peu à peu, même si avec ses pouvoirs, elle était sûre de l'avoir mise enceinte, elle continua la douceur.. Kiriko voulait en faire autant mais est-ce que Sha voudrait ça ? Pour Kiriko c'est simple, on parle un peu trop d'amour et ainsi de suite avec Sha, la voilà aussi douce qu'une pucelle amoureuse mais Sha a toujours été moins porté sur ce côté là de l'amour. Dans ses souvenirs d'anciennes vies – ou simple fantasme, difficile à savoir – elle voyait souvent Sha comme sa femme et mère de ses enfants, elle se comportait normalement avec elle et leurs petites sorcières mais elle était loin d'être aussi couveuse que Kiriko quand il s'agit d'enfant. Sha l'avait bien vu en prenant sa forme de petite fille durant le tournoi, la sauvage et cruelle Kiriko était un vrai caramel mou avec elle en forme enfant....

Il en sera sûrement de même dans le futur. Mais à part quand elle imaginait dans ses rêves leur vie futur avec Arya, Abby et toute leur petite colonie de sorcière, là, elle était un peu plus maternelle. Moins que Kiriko en temps que maman mais beaucoup plus que maintenant. Alors du coup, façon romantique ou façon sauvage ? Perdue entre ses pensées et les caresses de Sha, sa queue elle ne perdait pas le nord en pointant vers Sha. Quand elle se blotti contre elle en commençant à la masturber, c'était en train e la tuer à petit feu.

« Haaaaa, Shaaaaa... Pardon, je sais paaaas, quoi choisir... »

Difficile de trancher avec un tel morceau devant elle, effectivement. Une chance que la déesse et sa magie l'empêchait de jouir car malgré son côté très guerrière, elle aimait être la petite poupée entre les mains de Sha, surtout quand elle se faisait douce et coquine. La sentir se blottir contre elle en la masturbant, c'était divinement bon. Embrassant la superbe femme qu'elle avait épousé – une déesse, ce n'est pas rien – elle en profitait avec plaisir en savourant ce moment si doux entre ses bras.

« Et moi, je me lasserais jamais, huuuum, de te faire l'amour... peu importe comment. »

Se mettant à son tour à nue, elle se proposait de la prendre avant de se faire prendre, un programme qui semblait lui convenir alors que leurs queue se caressaient doucement, Kiriko venait en rajouter une couche en masturbant doucement leur queues ensemble.

« Je pense que c'est mieux... tu m’excite bien... et après, je viens te mettre enceinte. Et aussi... c'est trop demander de garder ta main là-dessus pendant que tu me prend le cul ? Je la trouve très bien dessus. »

Sans sa magie, un tel combo la ferait jouir bien rapidement mais là, vu que c'est « bloquer », autant en profiter un peu. Elle relâchait leur queue pour venir l'embrasser, ses mains poser délicatement sur ses épaules en alsisant sa queue tressauter en sentant celle de Sha contre la sienne. Ses mains glissaient le long de ses formes, sans même vraiment peloter ses seins, ses mains en caressaient juste le contours, passant de ses seins à ses côtes puis ses hanches. Retirant ses mains, elle se détachait aussi de ses lèvres et se retournait, approchant du pied du lit, elle se tenait aux barreaux en dandinant ses petites fesses, plus ou moins caché par sa tenue, cela dépendait de la façon dont elle se trémoussait aussi.

« Si tu me prend et que tu me branle doucement, j'en ferais autant pour toi, et si tu le fais sauvagement... je tenterais d'en faire autant. »

C'était plus simple pour elle se lui faire tendrement l'amour – futa ou non – que de le faire sauvagement en prenant le dessus. Elle y arrivait déjà plus qu'avant mais elle avait parfois peur d'aller trop loin dans sa façon de faire comme dans ses insultes. Mais Sha n'en était pas à si peu, elle avait tant vécu avec Kiriko et ses anciennes formes, elle a dû voir pire qu'elle et plus douce qu'elle aussi. À moins que toute ses formes avaient sensiblement le même caractère à défaut de se ressembler ? Allez savoir... C'est en se donnant une claque sur sa fesse en tous cas qu'elle réveillait Sha, hypnotiser par sa petite danse des fesses. S4en était presque mignon dis donc.

« Viens me baiser... viens m'exciter... Et après, je te ferais un bébé... »

Drôle de moment pour faire des rimes...
Neferia
La jeune dragonne avait bien des défauts même si elle en reconnaissait très peu. De même qu'elle avait un sacré caractère, hérité des dragons ou non, cette demoiselle n'était pas la chose la plus simple au quotidien. Un caractère de princesse voulant vivre dans le luxe croisé à une envie de devenir plus forte afin de reprendre ce qui lui reviens de droit – pas la ville où elle a grandit, Ishtar y a déjà fait le ménage – mais plutôt autre chose. Tout nouveau et rien qu'à elle. Elle savait être froide, sans pitiés et fière face aux humains. Elle accordait plus de respect et d’importances aux terranides. Crsytal était là, jouant les perceptrices, jouant les mamans, elle avait tenter de façonner Neferia comme elle, devenir une vrai dragonne au cœur de glace mais il y a des choses impossible.

Neferia se disait cruelle mais elle avait eu du mal à voir le bon côté des choses en tuant ce tigre avec l'aide de Crystal, pire encore quand elle a vu ce bébé tigre. Ce bébé était comme elle, sans parent et c'était sa faute alors, non. Elle n'était pas aussi méchante qu'elle le disait. Mais voilà, voir Crystal partir et se sentir seule, elle n'avait pas aimé, être seule, elle n’aimait pas ça. Heureusement, elle était de retour, blottie dans ses bras, la jeune dragonne se sentait mieux, bien mieux. Ce n'était pas sa mère, elle le savait bien mais aussi fière était-elle, elle manquait d'amour, maternel ou non, elle avait besoin de quelqu'un à aimer et à respecter, se sentant offrir la même chose en retour. Parlant de l'épisode du tigre à travers ses paroles, Neferia redressa doucement le visage, acceptant pour cette fois son erreur en comparant cela à son passé mais ne lui en demandons pas trop non plus.

« Ce bébé tigre, indirectement, j'ai tué sa mère et non pas car celle-ci allait me sauter dessus et m'attaquer. On l'a attiré, on était consciente de la suite... Des terranides, des animaux, je refuse de tuer impunément comme ça... Je me suis comporté comme ses maudits humains... je refuse d'être comme eux, Tigra restera avec moi, c'est ma faute, je l'assume... Mais face à eux... enfant ou non, ils seraient morts... »

Mieux vaut ne pas en demander la preuve, un bébé ou un jeune enfant, elle sera peut-être pas capable de le tuer comme ça de sang froid. Mais sa haine envers les humains étaient vrai, pas comme les terranides. Eux au moins avaient plus de respect pour elle, elle l'avait vu dans son année de solitude. Par respect pour sa race ou par bonté, on lui offrait de quoi vivre et se sentir mieux là ou les humains étaient prêt à la tuer si elle s'approchait de trop. Se faisant douce, Crystal se montrait affectueuse, même si se faire traitée de petite l'aurais fait bouder... mais elle n'en était plus à ça près. Se penchant sur elle, elle répondais présente à ce baiser, fermant les yeux en savourant le contact de sa langue contre la sienne, c'était doux et chaud et tendre. Le sexe et Neferia... elle s'en était habituée mais ce n'était pas encore ça. Mais les baisers, ça, elle savait gérer sans trop être gêner. Les yeux fermées, elle savourait en baladant ses mains sur les épaules de la dragonne, les caressaient délicatement.

À pleine bouche, elle passait sa langue dans celle de Crystal, ses doigts se crispaient presque contre ses épaules, elle s'en dandinerait presque entre ses bras. Rompant lentement le baiser, elle restait près d'elle en observant cette dernière dans les yeux, le petit pont de bave se cassant naturellement, elle se blottit contre elle, posant sa tête sur sa poitrine, à l'emplacement du cœur.

« Tu veux bien me gratter le dos pour me détendre ? J'en ferais autant pour toi... »

Comme un chaton, elle aimait sentir les doigts ou même les ongles de Crystal passer au mieux de son dos, caressant sa colonne vertébrale. Elle avait découvert cela par hasard en écoutant le cœur de Crystal battre pour elle prouvant bien qu'en sa compagnie, son cœur battait plus que d'ordinaire. Et depuis, peu importe le rythme du cœur de la dragonne de glace, Neferia aimait l'écouter battre. Étant entre dans son Maillol de bain, cela sera une occasion de le retirer ? Par la suite, elle renverra la balle à Crystal pour la détendre, l'échange équivalent comme elle aime bien le dire. Contre son corps et son cœur, elle s'y détendais en douceur, attendant sa récompense mais appréciait surtout cette peau chaude contre laquelle elle aimait y dormir.
Harley
Il n'y avait qu'elle pour faire ce genre de choses ! Comme si elle n'avait pas assez à gérer avec une Ivy, en voilà une seconde, plus vraie que Nature en plus ! Ce n'est pas comme si cette Pamy-two était muette ou planté au sol pour bien montrer qu'elle n'était pas l'originelle, non, c'était vraiment deux Pamy ! Ce sosie en profitait d'ailleurs pour l'embrasser en se montrant peu farouche avant que la vraie Pamy ne dévoile un détail... pas logique ?

« Mais euh, si c'est une seconde toi, et qu'elle a été créer y a quelques minutes, c'est elle la plus jeune en théorie ? »

Non pas que la vraie Pamy était vielle – sinon Harley aimait se faire sa petite Milf ! – mais si cette seconde Ivy a pousser y a quelques instants, c'était logique que le clone soit plus jeune ? Enfin, inutile de rentrer dans les détails, ce n'est pas ça qui allait perturber Harley, que cette seconde Pamy ai quelques secondes de vie ou cent vingt ans, elle était très bien pour son âge ! Mais comme Pamy le disait si bien, ce n'était pas la seule surprise, une troisième Ivy ! Deux achetés, la troisième offerte ! Aussi peu farouche que sa sœur... mère... cousine ? Bref, que les deux autres, elle caressait déjà son corps la petite plante en chaleur !

« Oh mais c'est que cette chambre va devenir mon petit harem d'Ivy ! Je préviens de suite, si vous me pousser à bout, je n'hésiterais pas à mordre et à griffer ! »

Trois Ivy comme la vraie, si elles sont d'accord pour se la jouer dominante avec Harley, elle n'avait pas finie de servir de poupée et d'engrais à ses plantes. Mais si ce sont des Pamy dociles, elle va avoir du boulot avec elles ! Même en futa, elles vont l'épuiser ! Déjà qu'une, ça lui demande beaucoup de travail alors trois ! Elle savourait les caresses et les baisers des deux rouquines, c'est qu'elle aurait presque miauler de plaisir mais elle, c'était Harley Quinn, pas Catwoman. Bien que ce petit moment en sandwich était pas mal, ce fut la suite qui fut tout aussi bien. Rejoignant la vraie Ivy dans une autre pièce, guidé par les deux autres clones qui lui masquait la vue mais cela ne les empêchaient pas de la caresser et de profiter de tout cela en plus. Elle se demandait ce qui allait se produire ensuite, sûrement un truc avec trois Ivy différente ? Une dominante, une docile et une... euh... Une Ivy ? Bref, elle fut vite caresser de nouveau avec une voix familière... Et pour cause, c'était la sienne ! Retirant son bandeau, elle fut étonnée de se voir dans un miroir mais... différente !

« Huuuuum ! Mais tu est folle toi ! Je m'embrasse moi-même ! Ce qui fait que... c'est quoi ? De l'inceste ? De l'auto-désir ? Du clonophile ? Hmmm... Rhaaa tu me fait poser trop de questions ! Pamy, ça s'appelle co-Whaou ! Dis donc ma belle plante, ta sortie les grands moyens ! Regarde moi ça comment t'es sexy ! »
« Trop sexy je dirais ! »
« Méga sexy ! Ouais, ça fait plaisir de te voir comme ça! »


Reste à savoir si tout cela va se faire à trois ou à cinq ? Pour le moment, Harley se voyait bien gérer une Ivy et une Harley, pour un renfort d'Ivy, à voir ensuite. SI ça se trouve, elle va gérer comme une déesse mais dans le doute, attendons un peu !

« Pamy chérie, c'est qui qui te tente le plus ? Voir deux Harley se faire des Choooooses, ou bien une Ivy entre deux Harley ? »
« Ou même une Harley entre une Harley et une Ivy ? T'en pense quoi Harley ? »
« Je pense que ça fait beaucoup d'Harley en si peu de temps... Mais ta des idées, j'aime ça ! »

Les deux folles se caressaient doucement, toutes les deux gardant Ivy à l’œil, elle était bien sexy dans sa petite tenue. Chic et sexy, ça, c'était bel et bien signé Pamy ! Comme quoi, elle n'avait pas tellement changer que a au final dans cette ville. Elle avait changer dans beaucoup de choses, mais pas sur ça. Les Harley se pelotaient les fesses en attendant de voir la suite des événement mais... il manquait comme un petit quelque chose pour s'amuser... Comme par exemple une Ivy ? Ou deux ? Ou trois?

« Moi je dis... on a une grande chambre et pas mal de monde ici... Alors... »
« Partouze ? »
« J'aurais pas dis mieux ! »


Sans même attendre l'autorisation, Harley-Two allait ouvrir la porte, faisant entrer les clones ! Les vrais étaient en infériorité numérique, mais là, ça allait être super marrant !

« Pour pas faire de jalouse et bien commencer, on se fait un gros câlin et un maxi bisou baveux ! »

En cinq secondes, leurs corps se serraient caressaient tout ce qui leur passait sous la main , sortant leur langue pour la frotter à une meute de petites perverses ! La soirée allait être animée !
Aoki
Si la tenue de Bunny Girl était une première pour elles, elle ne sera sûrement pas la dernière. Tout comme la White Cat, sa tenue était autant pour jouer que travailler, quand le SHIELD la mettait sur le terrain le soir avec Félicia et que les missions se limitaient à des petits malfrats dans le coin et non des désastres cosmiques et venue d'ailleurs comme cette histoire qui a autant bousculer sa vie privée qu'amoureuse avec cette histoire de Scratch/Yomi et de divinités Japonaises. Enfin, une chance que tout cela soit derrière elles à présent. Aoki savourait donc cela en jouant avec Félicia, le chaud lapin ne cessait de se demander comment elles allaient jouer ? Car exciter et lécher Félicia était amusant mais tôt ou tard, il faut agir et de façon plus ferme ! D'une claque sur sa fesse, elle la fit gémir, faisant remuer son pompon en se demandant quelle surprise elle avait pour elle ?

« Tu sais ce qu'on dit des lapins, ils adorent s'accoupler. »

Message subliminal pur lui faire comprendre que leur petite séance du soir n'aura rien de mielleux et romantique. Elle restait donc dans le lit, prenant une pose sensuelle, nul besoin d'écarter les jambes ou se mettre à nue, une position subjective suffisait à donner envie d'aller plus loin. Attendant la jeune femme, elle se doutait de la suite, une verge. Depuis sa soirée romantique « gâchée » par la venue de Poison Ivy et Harley Quinn, Aoki avait pu voir et sentir Félicia membrée et depuis, non sans être obligatoire, c'était toujours un plaisir que de partager ce genre d'aventure. Simples femmes, c'était aussi un régal que de faire l'amour mais comme ça, c'était divin ! Il y avait tant à faire pour s'amuser, surtout quand on parle de SM ou domination, Félicia avait le chic pour ce genre de rôle.

Aoki rêvait aussi un jour de finir enceinte de Félicia mais elle savait que les chances frôlaient le zéro et même si ce ne serait pas le cas, elle se voyait mal dans la vie de tout les jours élevée cet enfant sans « père ». Car comment dire que le père est une mère ? Et puis Aoki cachait son attirance pour les femmes à ses parents et élevée un enfant seule, sans père connu, c'est assez mal vu... Alors non merci. Elle continuera de fantasmer simplement. D'autant plus que Félicia était elle aussi une maman et d'une façon ou d'une autre, elle ne veut pas lui rappelé ses enfants laissé avec leur père aux USA. Elle avait parfois tenter d'aider dans ce sujet, d'une façon ou d'une autre, plus ou moins directement mais Félicia n'avait pas besoin d'aide sur ça, super-héros ou non, c'était privée. Alors évidemment, Aoki n'insistait pas.

Mais fini de parler vie de famille, voilà sa surprise qui arrivée, ravissante dans cette tenue bien serrée avec un paquet prêt à exploser entre ses jambes !

« Hum, je devrais me sentir honorer que ma Maîtresse fasse des frais juste pour moi alors. »

Faisant mention de sa grosse carotte, Aoki en aurait presque glousser alors que son regard se penchait plutôt devant son nez, devant cette étrange bosse qui semblait crier « à l'aide, sortez-moi de là » mais elle n'allait pas aller aussi vite, pas tout de suite. Du bout des doigts, elle caressa les formes de cette bosse, lentement en levant les yeux vers sa maîtresse.

« Vous êtes ravissante maîtresse dans cette tenue, ça me rend toute chaude ! Vous verrez après, mon petit jus de lapine rendra votre tâche plus facile mais en rebranche... je risque de trempée votre lit... Alors si vous voulez punir votre lapine avec votre grosse carotte en la giflant avec, ne vous retenez pas, elle le mérite parfois votre petite vilaine lapine ! »

Ou comment la provoquer un peu. Le « bifflage » le fait de « taper » avec sa queue était amusant, en rien douloureux, ça rendait la chose drôle, comme une pinution prise à la légère. Se penchant vers son entrejambe, elle baisa la bosse du bout des lèvres, sentant l'excitation à travers les quelques battements qui se produisait dedans. C'était drôle, on aurait dit un cœur qui battait lentement. Avec ses dents, elle raclait la culotte en cuir, provoquant chez sa maîtresse une folle envie de la punir avec sa queue ou de la prendre – ou autres – mais Aoki ne faisait que chauffer Félicia pour le moment, elle n'agissait pas sans ordre de sa maîtresse... même si elle avait un peu faim... de carotte. Patience... elle va bientôt l'avoir sa carotte.
Rouge
Pourquoi se prendre la tête ici après tout ? Rouge était en vacance et même si de base, elle avait pas prévue ça mais vraiment de voler certaines choses, pourquoi maintenant ? D'autant plus qu'elle était quasiment démasqué alors autant laisser couler et de retour à Tékhos, le jeu reprend ? Ce serait bien meilleur aussi pour elle de dévouer bien des pièges dans la boîte de Miranda que se contenter de hacker une chose ou deux ici pour parvenir à ses fins. C'est comme faire l'amour dans un lieu public, c'est excitant car on peut se faie choper, dans le vol avec Rouge, c'est pareil. Si elle fait ça dans une maison vide à cent pour cent avec zéro risque, c'est nul. Ce sont des vacances, autant en profiter. A quand remonte ses vrais dernières vacances ? Elle ne s'en souvenait pas, preuve que c'était urgent à prendre quand même !

Regardant ce qui se passait dans la chambre d'à côté avec Twillight et Kaleena, c'était excitant mais inutile de mettre le son, elles entendaient très bien comme ça.

« Tu t'attendais à quoi ? C'est une terranide équestre qui semble adorer la magie rose, pas étonnant que ta copine adore ! Ça m'étonne quand même qu'elle soit encore debout... c'est un véritable bras qu'elle a entre les jambes. »

Même sans l'avoir ou vu ou toucher, la jeune femme s'en était tellement vanter que Rouge voulait bien la croire. Ce genre de terranide à ce genre de réputation. Mais comme elle s'en doutait, Miranda savait pour son identité mais plutôt que prévenir la police, elle semblait vouloir jouer. Bon, le personnage de Byta n'aura pas tenue longtemps mais au moins, il ne semblait pas y avoir de flic derrière les portes, elles les auraient senti arrivée.

« Tu te rend compte de ta demande quand même ? Tu voudrais m'obliger à mettre ma tenue de travail durant mes vacances ? Si ça ce n'est pas cruel ! »

Ce n'était pas dit sérieusement mais vraiment, Miranda avait tout prévu car Rouge ne se baladait pas avec ça sur elle, sauf que quelqu'un à été le chercher dans sa chambre. Sympa ? Rouge avait donc disparu dans un des couloirs pour rejoindre une pièce où se changer. Miranda ne va pas gagner si facilement, la voleuse comptait bien lui montrer qu'elle était douée. Rampant au plafond grâce à ses gants et bottes, elle se faufila dans le salon par une des portes laissé ouverte – elle avait prévu son coup – et elle observa quelques instants. Soit elle jouait la comédie, soit elle ne l'avait vraiment pas vue venir. En même temps, elle semblait hypnotiser par ce qui se passait dans la pièce à côté. Au-dessus d'elle, Rouge se laissa tomber, arrivant dans le dos de Miranda, ses cuisses venant se mettre autour de son cou, assise à la fois sur le bord du canapé et sur Miranda.

« Tu sais que ce n'est pas bon de trop regarder la télé au moins ? Tu m'as forcé à aller me changer alors non seulement tu vas jouer mais tu vas pas me retirer tout ça de suite, oh ça non... »

Sa main caressa les cheveux blonds de Miranda, Rouge venait même prendre délicatement ses lunettes pour les poser sur son nez en la regardant. Lunette de vue ou simplement pour se donner un air ? En tous cas, c'est la voleuse qui le portait sur sa truffe à présent.

« Maintenant, c'est donc moi la patronne si je comprend bien ? Quoi qu'il en soit, viens jouer avec ma petite chatte mais sans me déshabiller et juste avec ta petite langue. Il est temps de me renvoyer l'ascenseur. »

Après ce qu'elles avaient fait près de la piscine, Rouge se sentait d'humeur à jouer les dures. Elle avait sa tenue de voleuse et Miranda l'avait démaqué, ce n'était pas le moment de lui demander d'être gentille, elle aussi à ses envies pour se calmer les nerfs et jouer les petites chefs.
Tsukasa
Lui faire l'amour était un plaisir sans nom. Tsuksa était une grande perverse, fidèle à ses racines Tékhanes, elle ne reculait devant rien quand il s'agissait de sexe, prête à piéger sa princesse – oups, sa reine à présent – pour repousser ses expériences sexuelle plus loin. Elle savait qu'elle n'était pas la première à coucher avec Hinata en futa mais elle, sa majesté en personne, en futa, elle n'avait pas posé la question mais si Nora n'avait pas jouer à ce petit jeu avec elle, elle était sûr d'être soit première, soit seconde. Sauf si Hinata cachait bien son jeu, lorsqu'elle avait jouer quand Luna était là, c'était digne d'une fille non, habituée. Alors trouvée Ryouka, c'était comme retrouver l'usage de ses jambes pour un paraplégique, on se sentait tout de suite mieux ! La vérité, c'est que Tsukasa avait tentée de faire venir Poison ici, pour leur vacance auprès de la reine mais cette dernière était trop occupée sur ses projets mais elle a promis à Tsukasa de jouer avec Ryouka et elle un peu plus tard, que ce soit à Tékhos ou Edoras, quand elle sera moins débordé, avec une possibilité d'inaugurer une nouvelle émission, voir un film amateur ? Elle se tâtait encore la Poison. Non, Tsukasa n'était pas amie avec la célèbre Poison mais l(actrice est toujours prête à aider ses fans et comme l'anniversaire de Ryouka approche, Poison ne peut pas dire non à l'une de ses plus grandes fans.

« Un couple ? Huuum, alors tu seras ma petite pute à moi ? Hein ma petite salope de chérie. Tu Aiiiiiiimes quand je te baise bien au fooooond ! »

En général, on dit c'est beau l'amour mais là... on serait tenter de se dire est(ce de l'amour ? Tout comme le mal, l'amour à bien des visages et si entre elles, ce n'est pas de l'amour, au moins, c'est une sacrée amitiés ! Tsukasa pétrissait sa belle poitrine entre ses jambes, la faisant redresser contre elle, la maintenant pendant que ses coups de reins étaient toujours plus fort et plus intense. Sa petite Ryouka la décoiffait en la caressant mais Tsukasa se fichait de sa coiffure, comme si c'était important actuellement ? Nika la caressait, venant même lui donner une petite claque. Drôle de cameraman qui intervient de la sorte. Mais ce n'était pas déplaisant, elle la trouvait juste un peu trop proche pour juste filmer... Mais la suite ne risque pas de lui déplaire. Elle l'embrassait doucement en gardant Ryouka contre elle, la seconde soeyur à ses côtés.

« Huuum, ça dépend... de qui je baise... Ryouka, elle, elle me motive... elle me stimule... sa perversion est mon carburant alors... ce n'est que quand mon corps lâche pour... d-dormir un peu que j'arrête. Quand y en a pour une... y en a pour deux. »

Baiser les deux sœurs ne faisait pas peur à Tsukasa, elle ne pouvait pas avoir deux queues extensible pour les satisfaire en même temps mais elle pouvait toujours jouer à tour de rôle. Ou bien comme Ryouka l'imaginer, juste se charger une des deux sœurs, s'alliant avec la seconde pour prendre l'autre en sandwich. Peu importe qui, tant qu'elle calme sa queue en feu.

« Mais avant... faut demander à ma petite chérie... ce qu'elle en pense. Hein, ma petite putain de mon cœur... je dois abandonné ton vilain petit cul pour... huuuuuma, baiser ta sœur... ou bien elle viens te baiser aussi ? »

Elle n'avait pas préciser si c'était dans un ou deux trous différent. Tsukasa continuait de jouer le jeu du couple, en si peu de temps, elles avaient déjà tant fiat ensemble, maîtresse et esclave, infirmière et patiente, police et voleuse, même mère et fille ! Alors couple, pff, c'était du gâteau pour elles ! Puis Tsukasa avait ses raisons de jouer ainsi devant la caméra, elle susurra quelques mots doux à son oreille, à peine audible avec tout les gémissements et bruit de sexe autour d'elles.

« Montre toi vilaine... On enverra la vidéo à Poison... tu sais très bien... comment elle punie les vilaines filles ? Avec sa grosse queue... elle va te laisser des marques... à moins que... ce soit avec sa cravache ? Huuuum, ma petite poupée sexuelle... tu préférais quoi ? Dis le à la caméra... demande le à Poison ! »

Elle faisait croire que ce n'était qu'une demande comme la star pouvait en recevoir assez régulièrement, des fans voulant jouer avec le feu mais Ryouka ignorait que la star allait vraiment venir, faut juste attendre un peu et espérer que Ryouka ne pirate pas le compte de Poison pour accéder à ses mails. En même temps, vu la personne et son affinité avec boîte de Miranda Forge, peu sont les hackers à pouvoir se vanter d'avoir fichu des bâtons dans les roues à la GeoCoprs sans s'en mordre les doigts. Puis franchement, une perverse comme Ryouka n’irait pas lire les mails d'une femme comme elle, elle irait plutôt regarder ses films, encore et encore !
Sya
Faire plaisir à sa mère était une de ses premières préoccupation et on peut dire que c'était réussi. Copier sa tenue et jouer la petite fille modèle était une bonne chose en vérité. Pour Samara, la petite fille qu'était Sya avait été très sage comme très vilaine, très polie comme très grossière, elle avait jouer tout les rôles de petite fille pour sa maman car elle aimait ça, elle aimait lui faire plaisir. Alors être la petite fille digne de Samara, c'était plus ou moins une nouvelle page qui se tournait. Même si la démone caressait son corps en long et en large, il semblerait bien que ses gênes aient parler comme bien souvent. Mère et fille ou non, Samara était une démone et Sya une ange. Comme dans la majorité des cas, quand elle jouait la petite ange innocente, elle jouait le rôle jusqu'au bout.

« Non, Mam... »

Pas le temps de finir que sa longue et douce queue s'enfonçait dans sa bouche. Ha ce plaisir. Même si par la suite, elle allait tout faire pour être contraire à ce qu'elle ressent, elle adorait ce qui se produisait. Samara aimait voir Sya pousser son rôle à fond en tant qu'ange. Ne pas vouloir cela, rester pure, dire non, pleurer aussi à chaude larmes, ça rendait la chose plus réelle et une fois comblée, Samara était souvent très câline avec sa fille. Attendrie par ses pleurs ou culpabilisé, Sya savourait les moments de tendresses ? Mais passons, elle devait refuser tout cela. Elles avaient un code en elles et tant que Sya n'use pas de ses cheveux pour tirer sur une des cornes de la démone, Samara pouvait s'en donner à cœur joie ! Du coup, c'était la seule chose que Samara ne pouvait pas faire, maintenir tout ses cheveux ensemble. Car après tout, sans être une grande fan de l'urine, elle aimait bien cela de temps en temps. Et sentir cette longue queue expulser son liquide chaud et quelque peu acide, c'était si bon. Elle aurait pu avoir une tête digne du paradis mais pour sa chère maman, elle fermait les yeux en tentant de retirer sa tête, de fines larmes naissaient sur le bord de ses paupières.

« Hhhhhhhmmmmmm !!! »

Mais hélas pour la gentille petite Sya, tout cela ne faisait que débuter car une fois sa vessie vidé, c'était ses boules qu'elle devait vider. Tenace, elle continuait de tenter de se retirer mais les mains puissantes de sa mère l'en empêchait, la forçant à subir cet acte horrible ! La vérité était bien plus gaie mais pour faire plaisir à sa mère, Sya voulait continuer à lui faire le coup de la petite ange innocente, jusqu'au bout... du moins jusqu'à ce que le naturel revienne au galop. Forcée à cela, elle suçait cette queue en gardant les yeux fermé, gardant cet air de dégoût sur le visage même si c'était plutôt le plaisir qui devrait apparaître. La queue s'enfonçait en elle, allant parfois titiller sa gorge, la faisant « paniquer », la voyant s'agiter en remuant des bras, cherchant son air qu'elle retrouva bien vite. Toujours maintenue dessus – même si ce n'était que formalité pour son rôle – elle fini par sentir un autre liquide chaud et plus épais arrivée dans sa bouche, et dans sa gorge.

« HHHHMMMMMM !!!!! »

C'était tellement bon, si délicieux, si tendre... Mais sur son visage, c'était tout le contraire. En temps normal, elle aurait tout avaler et même récolter les dernières gouttes mais à peine la queue sortie qu'une partie – elle en avait quand même avaler – sortie de sa bouche, coulant sur elle alors qu'elle reprenait son souffle. Mais vu l'air fière et la queue tendue, encore, de la démone, la suite n'allait pas être de nouveau sa bouche. Elle aurait aimé garder sa première éjaculation pour tomber enceinte, c'était la fois la plus concentrée en spermatozoïde après tout, mais tant pis, sa magie rose allait juste servir plus que nécessaire.

« Non... Non, maman je veux pas ! Pitié, laissez-moi mon innocence... Je ne serais plus pure autrement ! »

Son innocence, celle entre ses jambes... Toujours vierge, elle n'usera pas beaucoup de ce sort ce soir, elle était vierge actuellement mais peut-être la seule fois de la soirée pour facilité les vas et viens qui arriveront. Le visage paniqué, les lèvres blanche, le menton tâchée, elle tentait de paraître comme cette ange faible et paniqué qui plaisait à Samara. La vraie Sya aussi était plaisante mais quand Samara jouait à la vilaine démone, elle aimait avoir une ange toute innocente à ses côtés. La suite était inévitable et c'était tant mieux.
Konata
Au final, sa nouvelle amie avait quand même de quoi se changer et passer la soirée plus à l'aise, voilà qui était rassurant. Libre à elle s'habiller comme elle veut pour se détendre mais Konata avait du mal à la voir détendue en portant ce genre de vêtement. Chacun son délire. Quoi qu'il en soit, l'otaku préparait doucement le terrain pour elles, se demandant même si ses parents l'avait laissé filé avec l'esprit tranquille ? Elle ne savait pas trop ce que c'était que d'avoir des mères poules, son père était plutôt relax. Non pas qu'il se fichait de sa fille mais il était assez immature alors s’inquiéter pour un rien, ce n'était pas pour lui même si ça lui arrivait de temps à autres.

Elle ne comprenait pas de suite ce qu'elle voulait dire par « se retrouver », il lui fallut quelques secondes pour comprendre mais elle n'avait fait aucun commentaire entre temps alors y a pas de mal. Elle se contenta d'un « Oh. » qui voulait dire qu'elle avait saisi... Temps de lancer la partie, Jessica proposait un jeu de type FPS avec du zombard a dégommer. Y a pas à dire, même si le zombie se reproduit plus vite que des lapins quand il s'agit de jeux vidéo, c'est toujours un plaisir de dégommer leur sale face ! Bon, ce n'était pas de vrais zombi mais ça restait quand même des cibles.

« Bon au moins je sais à quoi m'attendre. »

Y auras peut-être autre chose en plus que des zombies mais pour débuter, quelques crânes à fracasser, _a ne mange pas de pain. Commençant le jeu en pleine immersion, elle se trouvait dans une maison ace du monde apparemment, mais pas le genre des copains survivants. Pour débuter, il y avait des aides, un peu comme un didacticiel et Konata pris donc une chaise qu'elle explosa contre un zombi, le faisant tomber avant d'user d'une des pieds de la chaise pour le clouer au sol ! Cool ! Ce serait mieux avec ce genre de jeu de rester dans le noir mais il était encore trop tôt pour ça.

« Hum, ce petit jeu va me plaire ! »

Jessica savait à quoi s'attendre avec Konata, même si cette machine restait un mystère pour elle, la prise en main de la manette n'avait aucun secret pour l'otaku. L'aventure continuait, Konata finissait par avoir trouver non pas un objet contentant comme un couteau ou des ciseaux mais ce qui s'apparentait à une sorte de raquette en bois... on aurait presque dit une rame mais en plus petite ? Allez savoir ça venait de quel sport mais si en fessée, ça devait faire mal, en pleine tête, ça allait remettre des neurones en place !

« Au fait, tu as dit que c'était des Formiens... mais c'est quoi comme bestiole ça ? »

Elle avait beau avoi des notions de Terra, elle n'avait pas encore d’encyclopédie dans la tête. Dans la guilde d'Akua, il y avait déjà bien assez de choses importantes à retenir sans en plus rajouter encore plis de choses pour lui faire apprendre tout ce qui regorgeait sur Terra. Malgré sa question, ça ne l'empêchait pas de jouer et dégommer du zombi, lent ou rapide, elle ignorait comment on se soigne dans ce jeu mais autant éviter la faute pour ça. Un peu de calme ou des objets dans le coin suffis à se redresser ou alors, la moins blessure était fatale et il fallait donc se crafeter des protections pour éviter ce genre de mésaventure ? Jessica finira bien par lui expliquer les choses à savoir si ce n'est pas elle, il y a un didacticiel d’activer pour ça. Se servant du décor, elle trouva une pente sur laquelle elle retira quelques pierres qui bloquait les roues, cette dernière finissait par rouler doucement sur la pente pour prendre de la vitesse et dégommer les monstres sur le passage... mais le Boum qui avait freiner l’ascension de la voiture folle n('allait pas faire venir plus de zombie ?

« Oups ? »

Ce serait étonnant d'avoir un GG pour ça...
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Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Kaguya Shunya »

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Kaguya Shunya
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Demande de RP
SHIZUKA SHUNYA
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La surprise fut de taille, et Shunya rougit, en ne disant rien pendant quelques secondes. C’était une nouvelle formidable, en réalité, et elle avait eu bien du mal à se retenir de le dire à Hinata... Et, si elle avait eu autant de mal, alors qu’il s’agissait, normalement, d’une bonne nouvelle, c’était aussi parce qu’elle savait les risques qui auraient lieu. Oh, Shunya ne pensait pas qu’aux problèmes inhérents à la grossesse, mais aussi, et surtout, au sexe de ce futur bébé. Elle avait bien noté qu’Hinata, quand elle songeait à cet enfant, ne concevait qu’une fille... Mais Shunya avait catégoriquement refusé toute forme de thérapie génique. Elle ne voulait pas de ça. Certes, on pouvait lui objecter qu’il n’était pas naturel d’avoir, comme génitrices, deux mères, mais Shunya voulait aussi changer les mentalités. Elle avait toujours détesté les discriminations, et elle ne comptait pas commencer en en faisant avec sa propre progéniture.

Dire à Hinata qu’elle était enceinte, c’était aussi amener entre elles une conversation sérieuse sur le sexe de leur enfant, afin d’envisager le fait d’avoir, nécessairement, des garçons parmi leurs enfants. Et Shunya avait peur qu’Hinata aime moins ses fils que ses filles, et qu’elle voit en eux le fantôme de Shun. Elle se pinça donc les lèvres, en sentant cette conversation approcher, l’anticipant, son cœur se mettant à remuer très nerveusement dans sa poitrine. Hinata glissa qu’il faudrait garder cette information secrète le premier trimestre, et la guérisseuse sourit poliment.

« Comme tu veux, ma chérie... Le plus important était que je l’annonce à toi avant tout. Je ne l’ai même pas dit à Nora, mais je pense qu’elle a dû le réaliser, elle est très observatrice... »

Shunya avait effectivement eu quelques pertes d’appétit et des nausées au début, ainsi que des vomissements. Comme elle était guérisseuse, elle n’avait pas été voir les médecins du Temple de la Lune, mais elle se rappelait que Nora était venue la voir, un soir, peu avant l’heure du dîner, afin de lui demander comment elle allait. Elles n’en avaient plus reparlé depuis lors, mais Shunya avait toujours soupçonné la femme d’avoir découvert que son ventre était en train de fabriquer une nouvelle vie. Une Ange avait probablement des pouvoirs magiques insoupçonnés pour sentir ce genre de choses, non ?

La guérisseuse sourit devant le plaisir de sa femme, ainsi que sa surprise. Estomaquée, elle ne savait plus quoi dire, et Shunya se mordilla les lèvres en rougissant.

« Oui, Hinata... Oui, c’est vraiment merveilleux. »

Elle en gloussa même un peu, sentant ses doutes s’évanouir devant le visage ravi de sa femme. Était-il possible d’envisager qu’Hinata fasse autre chose qu’aimer leur enfant ? Oh, comme il serait stupide de le détester juste parce qu’il serait de sexe masculin ! Homme ou femme, un bébé restait l’une des plus belles et des plus innocentes créatures au monde ! Shunya, elle, savait qu’elle déborderait d’amour pour ses enfants, comme sa mère envers elle.

La jeune femme soupira donc à nouveau.

*Il est si tentant de se défiler, Shunya... Mais, si tu veux être une bonne mère de famille, tu DOIS lui en parler !*

Oui, elle devait le faire. Il n’était tout simplement plus question de reculer, de se dérober face à ses responsabilités. Elle se racla donc la gorge, et se mit alors à parler, en entrouvrant les lèvres.

« Il faut que je sache, Hinata... Il... Je ne compte pas faire de thérapie génique sur notre enfant, tu sais. Alors... Il est possible que ce soit une fille, mais aussi un garçon, et... »

Elle rougit alors, en sentant son rythme cardiaque s’emballer, et se pinça les lèvres. Elle avait lâché le mot infernal, celui qui pouvait assombrir l’humeur d’Hinata... « Garçon » ! Mais il avait fallu qu’elle le dise, qu’elle en parle, que ce terme sorte de ses lèvres, afin qu’il n’y ait pas de non-dit entre elles. Un long moment sembla se suspendre aux lèvres de Shunya, avant qu’elle ne finisse par cracher le morceau :

« Je ne veux pas que tu détestes notre enfant parce qu’il sera de sexe masculin, Hinata ! Parce que moi, j’aimerais notre bébé, je l’aimerais de tout mon cœur et de toute mon âme, que ce soit un petit garçon ou une petite fille ! »

SUPERGIRL
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Faire autre chose après le restaurant ? Kara avait bien quelques idées, mais... Difficilement avouable envers Tessou ! Pour autant, Supergirl savait que, sous sa timidité et ce calme de policière, il y avait une jeune femme énergique et pleine de passion. Elle le savait, car elle avait largement eu l’occasion de le vérifier. Quand elle avait enfilé sa ceinture-gode, par exemple... Cette fois, elle avait vu que Tessou n’était pas qu’une jeune femme très réservée, mais qu’elle aimait vraiment le sexe. Il fallait juste la motiver un peu, ce que Supergirl faisait parfois... Comme en en ce moment, dans la salle de bains. Elles étaient dans une situation terriblement érotique, nue l’une contre l’autre, mais la Kryptonienne savait que Tessou ne franchirait pas le cap.

Elle finit par proposer de prendre une photographie ensemble, et Kara acquiesça, en esquissant un léger sourire.

« Tu n’as pas tort... Il va falloir qu’on se fasse plein de photos, alors ! »

Elles allaient commencer par une sorte de selfie dans la baignoire. Tessou récupéra l’appareil-photo, et Kara retourna poser sa main sur ses hanches, la tête de la policière se pressant contre la sienne, et elles sourirent devant l’objectif, puis la photo eut lieu. Tessou regarda ensuite l’image, en compagnie de Kara, sur l’écran objectif, et la Kryptonienne sourit, en déposant un baiser sur le front de la femme.

« Tu es magnifique à voir, ma chérie, n’est-ce pas ? »

Kara sourit à nouveau, et reposa l’appareil-photo, puis posa ensuite sa main sur les hanches de Tessou, et tira un peu, l’amenant ainsi à se coucher sur elle. Leurs corps se pressèrent ainsi l’un contre l’autre, et Kara posa l’une de ses mains sur sa nuque, et déplaça l’autre, venant ainsi tendrement palper les fesses de la policière, et s’empressa de l’embrasser. Difficile, pour Tessou, de se retirer, car, pour le moment, Kara avait une prise assurée, et plaquait sensuellement ses lèvres contre les siennes, l’embrassant avec énergie et avec passion.

Fort heureusement, la Kryptonienne maîtrisait sa force à la perfection, ce qui faisait que son amante n’avait absolument rien à craindre. Kara voulait juste profiter un peu de son corps, et maintint ainsi le baiser pendant une quinzaine de secondes, avant de le rompre.

« Désolée, ma chérie, je n’ai pas pu m’en en empêcher... »

Elle avait beau se dire désolée, son ton et son regard malicieux exprimaient tout, sauf le regret.

LUNA EARTHWELL
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On ne s’en doutait pas en la voyant, elle qui semblait si douce, et semblait être l’expression même de l’innocence, mais Luna avait, en son âme, de grandes réserves de perversion, qu’elle appliquait généralement par mimétisme envers ce qu’elle avait vécu. Parmi toutes les Maîtresses qu’elle avait eu, c’était clairement Maîtresse Alaunriina, la plus perverse de toutes. Elle avait été sa première Maîtresse, celle qui lui avait fait comprendre que la liberté était dangereuse pour les petites nekos, et que Luna avait tout intérêt à s’épanouir dans la soumission. La perversion de Maîtresse Alaunriina avait frappé la jeune Luna, qui était alors insouciante, venant d’un environnement où elle chassait des papillons. Une sortie violente de l’enfance, qui avait façonné la jeune neko, fertilisant son imagination, ce dont on voyait maintenant les résultats.

Nettement plus perverse que ce à quoi on pouvait s’attendre, Luna avait donc fait parler ses fantasmes et son imagination, attachant Maîtresse Yuko (qui était provisoirement Esclave Yuko) sur une sorte de délicieuse chaise de torture, invitant Maîtresse Yuka à la sucer... En s’attaquant au gode qui pointait depuis la bouche de Maîtresse Yuko. Choisir Maîtresse Yuko n’était pas totalement anodin, car Luna connaissait suffisamment ses Maîtresses pour savoir que, des deux, Maîtresse Yuko était celle qui préférait donner les gifles, qui dominait plus souvent que Maîtresse Yuka, plus douce, et moins encline à faire spontanément des fessées. Dans sa tenue, Luna ronronnait lentement, ses joues rougissant de plaisir en voyant ses deux Maîtresses se faire plaisir, Maîtresse Yuka prenant bien le gode en bouche, le suçant.

« Mrrrwwww... »

Luna fredonnait lentement, miaulant de plaisir, tout en se rapprochant des deux femmes, et abattit sa cravache sur les fesses de Maîtresse Yuka. Elle connaissait bien cette chaise, car c’était elle qui était posée dessus, en temps normal. Ses Maîtresses avaient énormément d’objets de ce genre, beaucoup provenant du harem Warren, un endroit dont Luna avait entendu parler, et dirigée par une femme qu’elle avait vu quand elle était venue au manoir de ses Maîtresses. Cette femme avait d’étonnants yeux verts, un corps magnifique, et était une grande amie de ses Maîtresses, qui lui avait laissé l’opportunité de jouer avec la petite Luna. Luna aimait réellement le sexe, et jouer la Maîtresse était un exercice tellement rare qu’elle se sentait surexcitée, sa queue lui faisant mal, tant elle était dure !

Tout ça, c’était une joie de sens... L’odeur de ces corps en transpiration, les gémissements, les claquements des sangles retenant Maîtresse Yuko, les crissements du latex... Luna se masturbait d’une main, tout en cravachant le cul de Maîtresse Yuka de l’autre, tapant parfois fort, le tout en ronronnant furieusement. Pour elle, elle n’était pas vraiment en train de les torturer ou de les punir, c’était plus un jeu qu’autre chose.

« Nyyyyuuu... Haaaawww... !! »

Luna clignait des yeux, adorant vraiment se masturber. Il était rare qu’on la dote d’un phallus, et, à chaque fois, elle était très surprise par les sensations qu’elle ressentait, à la fois similaires et très différentes de ce qu’elle éprouvait quand son petit minou était en feu. Avec ce gros bâton, le désir était... Plus vivace, plus impérieux, et, surtout, elle aimait bien caresser son sexe. Que ce soit quand il était bien dur comme en ce moment, ou tout mou, elle trouvait ça... Amusant. Quand c’était tout mou, elle aimait bien le tripoter dans tous les sens, gloussant... Avant de le sentir, ensuite, se durcir un peu.

Et là, eh bien, ce petit bâton était maintenant bien dur. Esquissant un sourire, elle cessa de fouetter Maîtresse Yuka, puis s’approcha ensuite de l’intimité de Maîtresse Yuko. Ses jambes étant écartées, elle pouvait l’atteindre, mais, avant de faire ça, elle déplaça encore un peu certains des composants de la chaise, à savoir les liens retenant les chevilles de Maîtresse Yuko, afin d’étirer ses jambes, et pouvoir ainsi avoir accès plus facilement à son intimité. Elle retira ensuite le gode qui pénétrait la femme, et sourit en se penchant, léchant un peu cet espace.

« Hihi... C’est tout trempé ! Esclave Yuko a l’air d’aimer ce que Maîtresse Luna lui fait subir ! »

Maîtresse Luna... Oh, comme elle rougissait en s’appelant ainsi ! Luna s’en pinçait les lèvres, puis approcha son bassin de celui de la femme, sa queue venant caresser ses lèvres intimes. Cependant, il lui fallait aussi s’occuper de Maîtresse Yuka, et Luna réfléchit un peu, avant de se mettre à parler :

« Esclave Yuka ! Tu vas t’occuper des seins d’Esclave Yuko pendant que Maîtresse Luna la pénétrera ! Pince les seins d’Esclave Yuko, fais-là gémir de plaisir ! »

Sous les coups fougueux que Luna allait infliger à Yuko, le bandeau risquait bien de se retirer, afin de permettre à la jeune femme de voir lemagnifique spectacle qui allait se dérouler devant ses yeux ébahis.

SHA
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Rien de ce que Kiriko pensait ne lui échappait. Entre elles, il y avait un lien fusionnel très important, ce que Sha avait pu réaliser lors des Épreuves de Wallündrill. Ensemble, elles avaient réalisé être les héritières d’un amour millénaire, aussi vieux que le culte de Sha lui-même. Kiriko avait toujours été sa plus fidèle prêtresse, et, même s’il restait encore des zones d’ombre (notamment sur la période entourant le bannissement de Sha), l’Ombre savait que l’amour qu’elle éprouvait envers Kiriko était plus vieux qu’elle, plus fort qu’elle. Kiriko, qui portait actuellement son bébé, était incapable de choisir, se posant elle-même des questions et des problèmes que Sha ne se posait pas. Elle souriait devant les hésitations de Kiriko, tout en sentant leurs queues se caresser ensemble, tendrement, doucement. Les belles chairs se frottaient, se caressaient, engendrant des picotements et des frissons électriques qui remontaient le long du corps de la puissante et sombre Déesse.

Kiriko aimait bien qu’elle la masturbe, et retourna finalement le choix qu’elle s’était faite dans sa tête, en expliquant que, selon la vitesse et l’intensité que Sha mettrait à la sodomiser, elle en ferait pareil. Visiblement, ce qui troublait Kiriko, c’était le fait que, pour une fois, elles n’allaient pas coucher ensemble juste pour le plaisir d’honorer leur amour, mais pour avoir une progéniture. Autrement dit, elle se demandait si, du fait de cette finalité particulière, elle ne devait pas adopter un rythme particulier. Dans les faits, ça n’avait aucune importance, mais que Kiriko ressente ça exprimait tout simplement sa nervosité. Elle allait, après tout, rendre sa Déesse enceinte. Pour elle, c’était probablement un honneur encore plus important que celui d’avoir triomphé des Douze Épreuves de Wallündrill, mais il fallait maintenant que Sha intervienne.

Elle esquissa néanmoins un léger sourire en entendant la proposition de la jeune femme : la sodomiser tout en la masturbant.

« Si tu veux, amour... »

Kiriko se déplaça ensuite un peu, s’appuyant contre les barreaux du lit, et titilla un peu l’envie de Sha, en se dandinant sur place, remuant son beau petit cul. Avec le petit châle fuchsia qui dissimulait le haut de son corps, Kiriko, en se redressant, permettait de voir ses fesses, et Sha observa ce spectacle, se plongeant pendant quelques instants dans ses pensées. Elle voyait ce petit cul se dandiner, et se disait que, oui, et vraiment sans aucun doute, elle aimait profondément sa sorcière. La Celkhane était une femme d’exception, aussi courageuse qu’amoureuse, et Sha comprenait, chaque jour davantage, pourquoi elle l’aimait tant.

Cependant, Kiriko semblait impatiente, et tapa sur ses fesses, comme pour inciter Sha à venir. La Déesse sourit alors, et se rapprocha davantage, se nichant dans le dos de la femme, posant une main sur la verge de Kiriko, sentant cette dernière tressauter légèrement. La bouche de Sha s’approcha de son oreille, et elle la lécha tendrement, en la mordillant tendrement, tirant un peu dessus, crispant sa main sur sa queue.

« Tu es vraiment une sacrée perverse, Kiriko... Ce séjour à Wallündrill t’a bien marqué... Et je suppose que Luxuria ne doit en rien t’aider à devenir plus chaste. »

Depuis Wallündrill, le culte de Sha s’était enrichi d’une nouvelle personne, qui n’était pas à négliger : Luxuria. Une superbe Homoncule, une femme très puissante, insensible à la douleur, et qui avait rejoint le culte de Lust, avant de choisir de se rapprocher de Kiriko, qui était la réincarnation de sa mère, Luxuria elle-même étant la réincarnation de l’une des deux filles de Misha (le nom de l’ancienne version de Kiriko), Nausicaa. Maintenant, Luxuria vivait au temple de Sha, où, officiellement, elle était la représentante du culte de Lust, et, en réalité, la gouvernante des futurs enfants à intervenir, ainsi qu’une amante régulière au sein du temple. Sha savait que Luxuria et Kiriko se voyaient fréquemment, et que Luxuria était un peu devenue sa conseillère matrimoniale, et même sexuelle.

On en voyait les résultats. Kiriko était plus ouverte, plus délurée, et avait clairement moins froid aux yeux quand elle faisait à l’Ombre des propositions, toutes plus indécentes les unes que les autres. Sha s’en pinçait donc les lèvres, revenant au moment présent. Sa main masturbait doucement la queue de la Celkhane, et elle posa son autre main sur son propre phallus, le dirigeant dans l’espace creux et doux de ses fesses, écartant chacune de ses fesses à l’aide de tentacules noirs et ombreux qui suintèrent de son corps pour faciliter l’accès à sa délicate rondelle.

Son membre caressa sa peau, et Sha soupira, avant de s’y enfoncer, écrasant ses seins dans le dos de Kiriko, et commença à remuer en elle, forçant le passage en grognant, s’enivrant de son délicieux parfum, de cette odeur très sensuelle qui s’échappait de son cou. Oui, Kiriko était très bonne à renifler, et Sha commençait à doucement la pénétrer, sentant le corps de Kiriko s’écraser contre les barreaux, avant de repartir en arrière, sa main ne se décollant pas de sa verge, la crispant, la masturbant. Son autre main se déplaça alors, et alla masser l’un des seins de la femme, à travers sa robe, pinçant un téton, tout en souriant.

« Tu aimes ça, h-hein... ?! »

L’Ombre soupirait profondément, dans le creux de l’oreille de Kiriko, et continuait à la prendre, en accélérant progressivement le rythme.

« M-Moi, j’adore, en tout cas, hmm... Jamais je... Jamais je ne pourrais me lasser de ton adorable petit cul, Kiriko, c’est... C’est impossible, hmmm... !! »

Tout simplement impossible, oui, car Kiriko était vraiment trop belle comme ça !

CRYSTAL
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Crystal savait combien Neferia détestait les humains. Pour autant, cette colère n’était pas une haine froide et aveugle, car Crystal s’était livrée à une petite expérience avec elle. Il y a de cela quelques mois, elle l’avait emmené dans une maison, et l’avait mis au défi de tuer un couple ayant des enfants. Ce que la Dovahkiin voulait que Neferia réalise progressivement, c’était que le « Mal » absolu n’existait pas, ou, s’il existait, ne pouvait s’assimiler à une race entière. Neferia en voulait aux humains parce que ceux de son royaume s’étaient révoltés, et avaient éradiqué sa famille, faisant d’elle une orpheline. Fondamentalement, Neferia souffrait du fait d’avoir perdu ses parents, et Crystal avait compris depuis longtemps qu’elle n’était pas uniquement sa mentor, mais aussi sa mère de substitution... Du moins, aux yeux de Neferia.

L’incident de tout à l’heure, à la plage, n’avait été qu’une illustration de cette confusion que la jeune dragonne faisait. Elle voulait que Crystal l’aime comme si elle était sa propre fille. Sous son arrogance et ses airs prétentieux, Neferia était, Crystal en était sûre, une jeune femme en souffrance, qui n’avait pas fait le deuil de son ancienne existence. Cependant, Crystal n’avait pas vraiment de réponse à lui donner, car elle-même n’avait jamais oublié son passé lointain, le bannissement de son père, un puissant dragon ancestral, par un mystérieux mage que, depuis ce temps, elle cherchait. Cependant, elle n’avait pas été tout le temps esclave de son passé, car elle avait cherché à faire autre chose... Mais, en définitive, elle était toujours revenue à ses bases, à ce passé, à ce chapitre de sa vie qui n’avait jamais vraiment été terminé.

Et, maintenant, Neferia était là, contre elle, et lui demanda des câlins. Crystal esquissa un léger sourire amusé.

« Ces filles de la plage ne t’ont pas assez massé, peut-être ? »

Pourtant, de ce que Crystal se rappelait, les nekos n’avaient pas loupé la jeune femme... Mais sans doute que son départ précipité avait quelque peu atténué la bonne humeur de Nefaria. Tout ce que la jeune fille avait voulu, c’était bien faire, et essayer d’avoir une journée normale, entre « mère » et entre « fille »... Sauf que Crystal n’était pas sa mère, et n’était pas non plus une femme normale. Elle était une dragonne de Glace, qui vivait depuis plusieurs millénaires, et qui ne pouvait guère apprécier les loisirs simplistes d’autres personnes. Néanmoins, et même si son cœur était fait de glace, elle sourit devant Neferia, et la coucha sur ses genoux.

« Comme ça, ce sera mieux... Mais je dois te prévenir, Nefaria, gratter le dos des autres, ce n’est pas ma spécialité... »

Le problème de cette relation, c’était que Nefaria voulait que Crystal lui offre quelque chose qu’elle n’était pas. Crystal n’était pas une bonne mère de famille, elle n’en avait pas l’étoffe. C’était une femme solitaire, au tempérament très calme. Elle caressait donc le dos de la femme, sans trop savoir si elle apprécierait, ses ongles griffus glissant sur sa peau, de haut en bas.

POISON IVY
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Deux Harley... Il fallait être folle pour concevoir une seconde Harley Quinn, et en avoir deux sous le nez ! Les clones étaient des plantes, en réalité, des créatures végétales qu’Ivy formait avec l’ADN de la personne qu’elle connaissait. Cependant, il ne suffisait pas que d’avoir juste de l’ADN pour réussir à faire ça, car, si Ivy pouvait, avec l’ADN, créer une apparence physique similaire, en ce qui concerne la personnalité, il en fallait plus. Pamela ne pouvait faire ça qu’avec les personnes qu’elle connaissait vraiment, en utilisant les liens psychiques qu’elle partageait avec l’ensemble de ses plantes. Autrement dit, les relations importantes qu’elle entretenait avec sa petite folle lui avaient permis de faire un clone particulièrement conforme au modèle d’origine, ce qu’elle n’aurait pas pu faire avec d’autres.

Elle voyait donc Harley embrasser son clone, « Harley-Two » s’avérant aussi perverse que le modèle d’origine, lui mordillant les lèvres. Ivy avait conçu ces clones depuis quelques heures, à l’aide de plantes incubatrices, assez similaires à celle qui avait permis de créer Kyli. Bien sûr, ces plantes-ci ne dureraient pas éternellement, et s’effriteraient dès la fin de la soirée, se fanant pour devenir des plantes mortes. Ainsi allait la vie. Pour faire un clone qui durerait plus longtemps, il faudrait l’incuber bien plus longtemps que quelques heures.

Quoi qu’il en soit, pour l’heure, Pamela, dans ses sous-vêtements verts, regardaient les deux femmes s’embrasser. Le spectacle était effectivement assez magnifique à voir. Elles se frottaient l’une contre l’autre, « Harley-Two » mordillant ses lèvres, enroulant ses bras autour de sa nuque, caressant ses cheveux, et griffant même sa peau. Elles parlaient entre elles, et Pamela sourit, n’ayant visiblement pas son mot à dire.

« Oui, je ne me suis pas trompée en la faisant très bavarde, ça te va tout à fait, Harley... »

Ivy sourit en se relevant, et se rapprocha des deux femmes. Ses deux clones étaient également là, suite à l’action de « Harley-Two », qui avait ouverte la porte, et chacune s’approcha d’une Harley, se glissant dans leurs dos, caressant leurs hanches, et allant les embrasser. Les Harley se retournèrent, et Ivy vit ainsi deux couples s’embrasser tendrement, les mains des Ivy filant sur les fessiers des Harley, et la Poison Ivy originelle émit un soupir de plaisir.

« Oh, c’est merveilleux... Ce que je ressens est difficile à t’expliquer, Harley, mais chacun de ses clones sont des plantes, et je suis reliée à elles... Je sens leur plaisir, si tu savais comme c’est... Agréable. »

Elle fermait les yeux en gémissant de plaisir, caressant son propre corps, ses doigts glissant dessus. Elle s’en mordillait les lèvres, et les observa encore. Les deux Ivy enfonçaient leurs langues dans les bouches des femmes, et Ivy se rapprocha de l’Harley d’origine. Ivy-01, son premier clone, et qui s’occupait d’Harley, remonta ses mains, les écartant, permettant ainsi à Pamela de palper les fesses de la femme à son tour. Harley connaissait bien Poison Ivy, afin de savoir qu’elle aimait énormément jouer avec son beau petit cul. Ivy le massait donc, et l’embrassait dans le creux du cou.

« Quand tu embrasses mon clone, c’est comme si tu m’embrassais moi... Si je fermais les yeux, je partagerai pleinement ce que mon clone ressent. Tu pourrais me faire jouir sans même me toucher, ma chérie... »

Ivy, tout en parlant, déplaça ses mains, et en glissa une sous la minijupe noire de la femme, venant ainsi caresser son sexe, directement dessous, sentant ses lèvres intimes, que ses doigts caressèrent... Puis son majeur fila dans le trou, l’antre humide et chaude, qu’elle se mit à caresser, pendant qu’Ivy-01 rompait fréquemment ses baisers pour l’embrasser encore, remontant ses mains pour masser ses seins à travers le soutien-gorge de cette femme.

« Ohhh... Harleey...
- Hmmmm... Harley... !! »

Les deux femmes soupiraient et gémissaient dans le creux de ses oreilles, léchant et embrassant sa peau, la mordillant aussi. Prise entre les deux beautés vertes, Harley ne pouvait que se laisser porter...

FÉLICIA HARDY
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Cette tenue lui allait plutôt bien, et avait même été faite sur mesure. Elle avait été l’acheter dans un sex shop de Yoake, où une vendeuse avait relevé ses mesures, afin de confectionner cette tenue. Félicia avait acheté cette dernière pour célébrer leur premier anniversaire avec Aoki, depuis ce moment où elles s’étaient rencontrées dans un parc. Ensemble, elles avaient vécu de sacrées aventures. Il y avait eu énormément de sexe, mais aussi de multiples aventures. Aoki travaillait maintenant pour le SHIELD, comme agente de liaison, utilisant son métier dans une agence de marketing pour repérer les élèves méta-humains, et ainsi remplir les bases de données du SHIELD, tout en suivant régulièrement des formations de l’organisation.

Ensemble, elles avaient, petit à petit, construit une vie, et s’étaient confiées sur leur passé. Aoki savait ainsi beaucoup de choses sur Félicia, y compris qu’elle avait deux enfants, dont Flash Thompson était le père. Leur relation s’était donc approfondie, densifiée, mais le sexe n’avait jamais cessé d’en partir, constituant le pilier qui les reliait... Et ce moment allait volontiers le prouver. Face à Aoki, Félicia était très excitée, heureuse de voir combien cette tenue lui allait bien, et sourit quand Aoki, tout en se rapprochant de son sexe, proposa de se faire fouetter avec.

« Tu es vraiment incorrigible, toi... »

La Chatte Noire esquissa un sourire ravi, et sa main gantée saisit son sexe, le faisant sortir de sa culotte, puis elle se rapprocha encore du doux visage d’Aoki, à tel point que son membre tapa contre son front. La Chatte Noire tremblait légèrement, sous l’effet de l’excitation, et se mordilla doucement les lèvres.

« Mais oui, tu es vraiment une sale lapine, Aoki, tellement indisciplinée... »

Félicia reprit son souffle, et sa queue frappa sur la gauche, décrivant de légers mouvements. Son autre main alla rapidement s’appuyer sur la tête d’Aoki, afin de pouvoir mieux la maintenir contre elle, et, ce faisant, avec une prise bien assurée, la Chatte Noire multiplia les coups. Sa queue glissa de gauche à droite, et, parfois, elle s’amusait juste à amener la tête d’Aoki, l’amenant à s’écraser contre sa verge excitée, la femme aux longs cheveux argentés en poussant alors de longs soupirs de plaisir.

« Tu aimes ça, hein ? La sentir contre toi, ma belle et grosse queue, hum... ! Sens comme elle est juteuse... Juste pour toi, petite catin ! »

La Chatte Noire soupirait encore, et continua encore à aplatir le visage d’Aoki, et à la fouetter encore. Elle finit ensuite par s’arrêter, sa queue glissant le long du nez d’Aoki, barrant son visage en deux, sa main s’appuyant fortement sur ses cheveux.

« Vas-y, ma petite pute... Suce-moi bien fort, je vois que tu en as envie... Allez, suce ! »

MIRANDA FORGE
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Il pouvait être imprudent de laisser une voleuse vagabonder dans ses appartements, surtout une voleuse proche du crime organisé, et qui avait donc de nombreux contacts. La PDG, néanmoins, aimait prendre des risques. De fait, on ne devenait pas la richissime femme qu’elle était en restant toujours dans les sentiers battus. Il fallait en sortir, s’en démarquer, trouver des collaborateurs atypiques, s’attaquer à des marchés peu porteurs afin de les rendre porteurs. Miranda pouvait faire beaucoup de choses d’une Terranide-voleuse, capable de s’infiltrer facilement, vu que les Uatéenes, par habitude culturelle, mésestimaient les Terranides en les réduisant, soit à un rôle domestique, soit à un rôle de cobaye. Miranda était de plus en plus convaincue que Rouge ne s’était pas uniquement rapprochée d’elle pour une aventure sexuelle, comme sa copine Terranide-jument, mais sûrement pour se renseigner davantage sur elle, pour chercher à la voler, ou pour obtenir des informations.

Miranda la laissa donc se changer, et resta à observer l’écran télé, où Twillight continuait à bourrer Kaleena. Son amie était visiblement en train de prendre son pied, et Miranda se demandait si, après cette épreuve, elle n’allait pas acheter une Terranide-jument. On en trouvait très peu sur le marché, mais, en mettant les bons moyens, il était toujours possible d’obtenir ce qu’on voulait. Ou peut-être opterait-elle directement pour un cheval ? Un étalon était encore plus puissant qu’un Terranide dans ce domaine, après tout. Miranda fit donc mine de ne pas voir Rouge, et, si ce n’était ses lunettes, elle ne l’aurait effectivement pas vu.

*Une vraie souris...*

Les lunettes de Miranda n’étaient pas des lunettes de vue, en effet, mais elle seule pouvait les porter. Si une autre personne les enfilait, elle verrait floue, et penserait ainsi avoir affaire à des lunettes servant à voir. Cependant, si jamais Miranda avait été myope, on pouvait s’attendre à ce qu’elle ait guéri cette maladie, elle qui était perpétuellement en quête de perfection. En réalité, ses lunettes servaient à bien des choses, et ses branches étaient dotées de microimplants qui permettaient ainsi de repérer qui les portait, ne marchant ainsi que sur la personne qui était enregistrée dans les microprocesseurs de cet appareil. Et ces lunettes, donc, permettaient d’avoir des visions différentes. Vision IR, vision améliorée, possibilité de voir derrière soi par un système de réfraction de la lumière... Ou encore celle de voir les sous-vêtements d’une personne ! Il y avait donc de nombreuses fonctions, mais Miranda fit comme si elle n’avait rien vu, car Rouge, en réalité, était aussi discrète que silencieuse.

Elle grimpa ainsi au plafond, et se laissa tomber sur Miranda, atterrissant juste à côté d’elle, s’asseyant sur le dossier du fauteuil, et lui subtilisa ses lunettes. Miranda la laissa faire, tout en penchant sa tête vers l’arrière.

« Hum... Tu es plutôt jolie comme ça... »

Elle se redressa alors, et se retourna une nouvelle fois, observant le corps de Rouge. La combinaison brillait légèrement, et elle lui allait vraiment très bien, lui donnant un air uatéen indiscutable. Esquissant un sourire, Miranda s’empressa néanmoins de récupérer ses lunettes.

« Désolée, mais je ne crois pas qu’elles te vont, ni te permettent de me voir bien... »

Ceci fait, elle se rapprocha encore de Rouge, et la prit dans ses bras, puis retourna s’asseoir sur son canapé, mais en maintenant Rouge contre son corps. Certes, la Terranide lui avait dit de lécher sa chatte, et, si Miranda comptait bien s’exécuter, elle voulait aussi en profiter un peu auparavant. Elle la serra donc contre son corps, une main sur sa tête, l’autre dans le creux de son dos, caressant sa combinaison, et alla l’embrasser, posant ses lèvres sur les siennes.

Pendant quelques secondes, Miranda goûta ainsi aux lèvres de la femme, jusqu’à les retirer, et sourit devant cette petite beauté.

« Oui, tu as des lèvres très agréables, Rouge... Et j’adore la manière dont ta combinaison se crisse contre mon corps. »

Elle lui sourit donc, et déposa un baiser sur son front, avant de passer aux choses sérieuses, amenant Rouge à se coucher le long du canapé.

« Occupons-nous de ce minou, alors... »

Lueur malicieuse dans les yeux, Miranda se pencha vers les jambes de la femme, les écartant avec ses mains, et lécha donc son bassin, à hauteur de son sexe, sa langue glissant sur la combinaison, atteignant, à travers la texture, l’intimité de la femme. Elle la léchait donc, en espérant bien l’entendre gémir et soupirer, en profitant aussi pour mordiller sa combinaison, et pour tirer dessus, et ce juste afin d’exciter la délicieuse Terranide.

RYOUKA
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Ryouka était effectivement une fan de Poison, ressemblant, en ce sens, à bien des Uatéenes. Elle suivait fréquemment les actualités de la célèbre star pornographique, et avait ainsi appris que cette dernière s’était rapprochée de GeoWeapon Corp., ce qui avait inquiété de nombreuses fans sur les réseaux sociaux. Poison allait-elle perdre de son indépendance ? Allait-elle devenir une simple icone publicitaire pour la gargantuesque mégacorporation ? Finalement, toutes ces inquiétudes s’étaient avérées infondées, car Poison était restée telle qu’on la connaissait, perverse et sulfureuse, provocante et magnifique. Comment ne pas l’admirer ? Elle représentait toute une partie, non négligeable, de ce que Ryouka était. Nika était bien placée pour confirmer cette vision. Sa petite sœur était une redoutable perverse, et, en ce moment, l’Héroïne adorait sentir la queue de Tsukasa dans son cul, remuant dans les profondeurs de son fondement.

Ce gros morceau de chair planté en elle la faisait doucement vibrer, et de longs soupirs de plaisir s’échappaient de ses lèvres. Han, ce qu’elle aimait ça ! Tsukasa était une amante redoutable, et, ensemble, elles avaient beau faire l’amour avec acharnement depuis le début de leur séjour, Ryouka n’arrivait pas à se lasser d’elle, de sa présence, de sa force, de cette queue virile qui lui maltraitait son cul, s’enfouissant dans son corps, en la faisant hurler et gémir.

Nika, pour l’heure, se plaisait très bien dans son rôle de spectatrice.

« N-Non... On... On la baisera ensemble, haaaa... H-Hein, Ni-Nika... ?!
- Vous deux sur moi ? Vous voulez ma mort, ma parole... »

Devant cette réponse, Ryouka s’empressa de sourire légèrement, tout en continuant à haleter et à gémir. Oh, oh, ce membre massif ! Tsukasa continuait à la bourrer, tout en lui parlant à nouveau de Poison, faisant encore gémir Ryouka, qui continuait à joyeusement mouiller, décorant le sol de ses traces, y apposant sa marque. Quant à Nika, elle souriait. Malgré ce qu’elle venait de dire, il fallait bien admettre que sentir ces deux femmes en elle ne manquait pas de la faire doucement vibrer. Oh, ça promettait d’être intense ! Mais, pour l’heure, elle continuait à les observer, et sourit encore quand Ryouka se mit à parler :

« Ah P-Poison... Je... Je veux sentir votre... Votre divine queue en moi, votre fougue, votre corps qui s’écrase contre le mien, vos mains qui me griffent et me maltraitent les seins, vos lèvres qui me mordillent le cou... Si je pouvais être avec vous, je... Je serais votre petite chatte, une délicieuse petite esclave qui ronronnera sous vos coups de trique et vos coups de fouet... !! »

Difficile de faire un aveu qui soit plus clair. Tout en l’écoutant, Nika souriait à nouveau, révélant ses belles dents, amusée et excitée par ce qui se passait. Elle se rapprocha alors de Tsukasa, et se glissa contre son flanc, caressant d’une main ses hanches, finissant rapidement sur ses fesses, et embrassa la joue de Tsukasa.

« Je vais peut-être me répéter, mais... Je ne pensais pas trouver un jour une femme qui soit aussi perverse que ma salope de sœur. Toutes les deux, vous allez battre des records, je crois bien ! »

Sa main se releva alors, et gifla le petit cul de la belle blonde, tout en lui murmurant quelques petits mots salaces :

« Petite pute... »

SAMARA
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Entre Sya et Samara, il y avait beaucoup de jeu. L’Archimage savait à qui elle avait affaire, à une Ange du culte de Lust. Une sorte d’anomalie de la nature, car, tout en étant versée dans la Luxure, qui était un vice, Sya n’avait pas déchu. Elle n’avait pas d’ailes noires, mais des ailes fines, translucides, ce qui était vraiment atypique. Une preuve supplémentaire, s’il en fallait encore une, que, sur les Anges, sur leur nature, biologiquement parlant, beaucoup de choses n’avaient pas encore été éclaircies. Mais, en-dehors de ces considérations, la démone savait pertinemment que la jeune Ange était une redoutable perverse. Samara, proche du temple de Lust situé dans la capitale impériale, connaissait les pratiques de ce culte, et elle savait donc que l’innocence supposée de Sya était totalement feinte, et ne servait qu’à exciter davantage sa « mère », afin de donner à Samara une envie renforcée de baiser cette Ange. Après tout, entre les Anges et les Démons, ça n’avait jamais été le grand amour. Les deux espèces se détestaient cordialement, se haïssaient même, et, même si Samara faisait partie d’un mouvement plus progressiste que la majorité de ses confrères et consœurs démoniaques, elle restait encore une démone.

Autrement dit, violer une ange s’avérait toujours agréable, et, aujourd’hui, c’était Sya qui allait prendre... Comme à bien des fois. Sans faire partie du culte de Lust, Samara n’en restait pas moins une redoutable femme dans le domaine sexuel, à tel point que les prêtresses de Lust faisaient souvent appel quand il s’agissait d’invoquer des démones pour jouer avec leurs élèves. Samara aimait le pouvoir, la puissance, ainsi que le sexe. Une corrélation existait entre ces notions : la domination. L’autorité ! Et, pour Samara, il n’y avait rien de plus jouissif qu’exprimer cette autorité par le sexe.

« Haaa... ! »

En conséquence, elle urinait joyeusement dans la bouche de Sya, qui essayait de se retirer. C’était une simulation, bien entendu, mais Sya faisait de grands efforts pour que ça ait l’air crédible, et, en retour, Samara appuyait fortement avec ses mains, griffant même le cuir chevelu de la belle Ange. Elle se crispait ainsi sur sa tête, en avançant son bassin vers l’avant, répandant ainsi son nectar jaune en elle. Une fois ceci fait, Samara esquissa un profond soupir, et retira finalement sa queue, conservant, sur ses lèvres, un sourire particulièrement malicieux.

Sya venait d’avaler une bonne partie de son urine, et, devant son sexe en érection, il ne fallait pas être très perspicace pour savoir ce qui allait se passer.

« Plus pure... ? Oh, mais il n’y a pas grand-chose de pure en toi, ma chérie, surtout maintenant que tu as bu mon urine ! »

L’Archimage se mit à sourire, une lueur vicieuse dans les yeux, et elle s’approcha ensuite d’elle, faisant claquer ses talons sur le sol, puis attrapa Sya par les cheveux.

« Je vais te baiser bien fort contre le mur, sale traînée... ! »

Sa main écarta la tunique de la femme, à hauteur de son sexe, et elle s’avança rapidement, la plaquant contre le mur de la chambre, puis enfonça sa verge en elle, en poussant un long soupir de plaisir. Sa main se crispa sur sa nuque, son autre s’appuya sur ses cuisses, et elle alla la prendre rapidement, emmenant le corps de Sya d’avant en arrière, sous les élans rapides. Son hymen ne tint donc que quelques secondes, rapidement percé, et l’Archimage se mit à soupirer profondément.

« Oooohhhhh... Ma petite puuute !! »

JESSICA DREW
Image
« T’as jamais entendu parler des Xénos... ? »

Elle... Elle plaisantait, non ? Haha, oui, elle devait forcément plaisanter ! Pour autant, Jessica avait déjà pu noter que Konata était très étrange. Elle avait initialement pensé que la jeune fille venait de Lumen, mais elle doutait vraiment qu’une Lumenienne puisse être aussi naturellement douée avec les consoles. Les Lumeniens n’avaient pas l’habitude de voir des écrans télévisés, et vivaient encore dans des sociétés féodales, où l’électricité n’avait pas la même place qu’à Uatis. Par conséquent, le seul fait de voir des images animées leur donnait mal à la tête... Mais même les Lumeniens, du moins pour la plupart, connaissaient les Xénos. À Uatis, il ne se passait pas une heure sans qu’on ne voit des messages publicitaires parlant d’eux, de ces abominables monstres, et encourageant les citoyennes à se montrer vigilantes, et à fuir vers les points d’évacuation en cas d’invasion formienne.

Konata ne pouvait tout simplement pas être une Uatéene si elle ignorait l’existence des Xénos, et elle ne plaisantait pas. Autrement dit... Elle devait venir d’un autre pays, probablement aussi développé, technologiquement parlant, que Uatis, ou assimilé. Était-ce impossible ? Jessica avait entendu parler de ce vaisseau géant qui flottait dans les nuages, Vapeur, une technologie futuriste, équivalente à celle de Uatis.

*Peut-être une petite île isolée...*

Terra était un monde bien vaste, et il existait, au-delà du supercontinent formant l’essentiel de la planète, un vaste océan, où de nombreuses parties étaient encore inexplorées, en raison des monstres marins et des puissants courants océaniques. Quoi qu’il en soit, Jessica se concentra davantage sur le jeu. Après avoir utilisé une voiture, le duo arriva dans un village de vacances, en pleine nuit, avec un vent violent qui sifflait. Des palmiers et des tables gisaient sur le sol, et l’eau tomba quand elles sortirent de la voiture, l’objectif étant de s’approcher du centre de secours, dans le bâtiment administratif local.

Les deux filles s’avançaient donc, avec la possibilité de fouiller les magasins locaux pour y trouver des armes ou de l’équipement.

« Tu sais... C’est mieux si tu connais pas les Xénos, en fait. »

Mine de rien, ces créatures cauchemardesques étaient tellement affreuses qu’il était parfois préférable de ne pas en parler, surtout face à une Uatéenne.
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Hinata Kaguya »

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Hinata Kaguya
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Hinata
Shunya n'aurait pas pu trouver mieux à lui dire pour la rendre heureuse. Hinata avait ce but dans la vie, avoir une famille heureuse et Shunya venait d'en poser la première brique sous son nez. Enfin, pas la première brique puisque sa femme était cette brique. Enfin bref, pour le moment, rien ne gâcherais le bonheur d'Hinata qui continua de rester à genoux à côté de sa femme, lui touchant le ventre, la regardant, les yeux plein de larmes. Évidemment que Nora le savait, depuis les premiers jours. Sous ordre de sa reine, elle protégeait aussi la femme de la reine et avec son sort placé sur elle, comme pour la reine, elle détecte le moindre virus, la moindre bactérie, le moindre changement dans leurs corps. Alors un bébé qui se forme, forcément, elle le sent. Mais elle n'avait rien dit à Hinata par respect et rien à Shunya, jugeant que si elle voudrait en parler, elle serait là. Elle ignorait peut-être sa grossesse après tout ? Ça arrive à certaines femmes.

Dans ce bonheur absolu, Shunya venait aborder sûrement l'un des rares sujets où les deux femmes étaient assez opposées. Mais avec l'émotion et avec une part de vérité aussi, elle lui répondait le plus simplement du monde.

« Comment je pourrais détester notre bébé ? C'est le fruit de notre amour, ce sera notre bébé d'amour. Alors oui, je veux une petite princesse... mais je vais être maman, c'est tout ce qui compte pour moi. »

Une chose que Shunya savait bien, Hinata voulait une petite fille, même plusieurs mais une pour commencer serait bien. Si ce soir, elle était sur son petit nuage et disait oui à tout, ce choix sera aussi le fuit de nombreuses discutions et de nuit agitée pour la reine. Un bébé, c'est innocent et pur donc elle ne pourra jamais le détester. Mais en supposant que ce soit un garçon, oui, plus il grandira et plus elle aura les craintes qu'elle a vécues avec son frère. Et si leur fils lui ressemble physiquement ? Comment aimer le visage du diable ? Et s'il avait les mêmes idées que lui ? Hinata n'avait rien de spéciale contre un premier fils, même si hélas sa mère avait fait la douloureuse expérience de cela, avant elle, d'autres reines ont eu un fils en première comme la Reine Mère et elle n'a eu aucun souci, ses princes étaient d'accord avec la régence d'une femme sur le trône. Pourquoi Shin avait été si différent pour en arriver là ? Bonne question, mais Hinata ne veut pas revivre ça, elle ne veut pas l'ombre d'un doute pareil.

Le sexe du bébé était un souci sans l'avouer. En jouant avec les mots, elle pourrait demander à Nora de faire en sorte que ce soit une fille ? Pas de truc génétique, d'accord mais magique ? Non, elle ne le ferait pas sans l'accord de sa femme évidemment. Outre cela, Hinata était prête à changer bien des choses dans son pays mais le trône devait rester à une femme. Edoras a bien vécu comme depuis le début, bataille, paix, tout s'était bien déroulé, seul Shin avait été le seul vrai point noir au tableau. Pour Hinata, le trône était une tradition, Elisa Kaguya l'a fait ainsi et pour Hinata, il doit en rester ainsi. Si les générations suivantes changent les lois, ça ne la regarde pas mais sous son règne, elle ne voulait pas de ça. Elle était prête à rajouter une ligne concernant le trône, si actuellement les lois stipulent qu'une Kaguya, fille de la reine et de son épouse/époux doit trôner sur le trône une fois adulte, il n'est jamais mentionné d'homme. En absence de descendance femme, on pouvait revoir une autre Kaguya dans la famille, comme actuellement Yuna, la cousine d'Hinata qui restait sa famille la plus proche. Sinon il restait Nanami qui était fille d'une bâtarde, idem pour d'autres enfants non connu de l'époque rose de Raku. Elle était prête à rajouter une ligne pour dire que, si aucune fille naît de leur amour, et qu'à sa mort, aucune Kaguya n'est née, le prince premier-né peut prendre la succession jusqu'à la prochaine Kaguya... Mais actuellement, c'est le mieux qu'elle puisse faire.

Mais elle était encore loin de tout ses tracas, ses doutes,s es hésitations, ses craintes, là, elle n'était que la femme la plus heureuse au monde alors que doucement, elle reprenait sa place. Observant sa femme avec amour. Elle n'avait faim que du regard, dire qu'au fil des mois, son ventre allait s'arrondir et elle en deviendra que plus belle encore. Impatiente ? Oh, à peine !

« J'espère que tu es prête désormais ? Car chaque occasion de voir ton petit ventre sera une raison pour moi de le baiser et de le caresser. Je veux que notre petit bébé sache déjà que ses mamans veillent dessus. »

Hinata disait la vérité et Shunya allait s'en rendre compte dés ce soir. Hinata allait être la plus attentionnée et la plus douce des femmes, déjà que c'était le cas avant, là, elle ne pourra pas bouger un orteil sans qu'Hinata ne veuille l'aider. Un bébé... né de cette nuit de noces donc ? Une si belle et longue nuit d'amour...

« Je pense qu'après sa naissance, on pourra inverser les rôles, ce sera mon tour de porter notre second enfant, non ? »

Elle ne voulait pas échapper à cela, même si cela semble être douloureux, elle veut porter la vie en elle. Hinata ne voulait pas que leurs enfants soient un concours de ping-pong, un côté puis l'autre, mais elle voulait au moins porter un bébé en elle. Après, elle ou Shunya, elle agrandira sa famille tout simplement. Ha, qu'elle était heureuse !
Tessou
Cette idée de photo, de selfie comme on dit, ça lui était venue comme ça. C'est vrai que des photo Tessou/Kyoko, il y en avait des tonnes. Kara/Kyoko aussi, il y en avait quelques-unes, idem à trois mais Tessou/Kara, sauf si sa mémoire lui fait défaut, elle n'en avait pas. Prenant cette photo en souriant naturellement, elle la contempla quelques instants avec un sourire niais sur le visage. Elles étaient bien ensemble, et bien que leur peau et leur cheveux soient humides, on ne voyait pas vraiment leur nudité, ce qui est un bon point. Elle ne finira pas en photo d'accueil sur son portable, on ne détrône pas sa petite Kyoko en belle petite princesse avec son petit nœud dans les cheveux si facilement. Mais elle sera conservé précisieuement dans ses fichiers de téléphone, pour sûr. Une photo avec sa sauveuse... Depuis le temps, elle aurait dû commencer par ça.

Mais son baiser vint la retirer de ses pensées et la faire rougir avec son petit nom... ma chérie... c'est bête mais il en fallait peu pour Tessou afin de perdre son sang-froid. Dans le bon sens cela dit. Mais plutôt que le dire haut et fort – ce serait mentir de dire qu'elle n'aime pas mais il y avait toujours son côté réserve et surtout respectable envers la famille de Ryota comme la sienne – elle préférait éviter le sujet.

« Je ne sais pas, je me trouve toujours bizarre sans mes lunettes ? »

L'habitude. Elle ne gardait pas cela pour faire jolie mais pour corriger sa vue, rien de bien méchant mais qu'on ne lui parle pas de lentille. Elle fait partie de ses personnes incapables de se mettre le doigt dans l'œil alors faire ça deux fois par jour, non merci. Se sentant comme une poupée de chiffon entre les bras de Kara, elle fut surprise de se sentir retourné avant de doucement rencontrer les lèvres de la belle blonde, impossible de s'en défaire ! De toute façon, elle n'en serait pas partie. Elle savoura le baiser quelques instants en fermant les yeux, les ouvrant à nouveau doucement une fois fini. Cette fois, comme une enfant, elle fit les gros yeux en gonflant une de ses joues.

« Mais euh, arrête de m'appeler comme ça... »

Même elle n'osait pas le dire et pourtant... elle l'aimait bien ce petit surnom. Mais bon, la jeune femme de tout à l'heure les avaient crus ensemble déjà, pensant sûrement que Kara était aussi la mère de Kyoko ? Difficile pour Tessou d'imaginer deux vraies mamans. Elle savait que sur Terre, cela pouvait exister mais une vraie mère et la seconde joueraient en quelque sorte la mère adoptive mais une maman/papa à la fois... faut pas trop lui en demander. Mais brève, elle restait allongée contre elle, profitant du corps chaud de Kara et de l'eau à température idéal. Elle tendait l'oreille une seconde pour écouter sa fille dans la pièce à côté mais rien, elle devait dormir comme un ange après s'être autant amusé à barboter dans l'eau. Tessou n'en voulait pas à Kara pour le surnom, cette dernière le savait. Mais faire le point sur ses sentiments ne sera pas aussi simple avec tous ses questionnements. Etait-elle vraiment amoureuse d'elle ? Pouvait-elle se le permettre avec son métier ? Vis-à-vis de sa famille ? De sa seconde famille ? Pour Kyoko ? Malgré toutes ses questions, c'était surtout la première qui la préoccupait.

Kara était une fille dont elle était amoureuse ou juste une très bonne amie avec qui elle aimait explorer un peu plus ce côte lesbienne qu'elle s'ignorait ? Restant allongé contre elle, la tête sur son épaule, elle aurait pu imiter Kyoko et y trouver le sommeil mais non, elle restait songeuse. Elle avait une surprise pour Kara, un soir à lui montrer et pas forcément pour un de leurs « jeux » quand Kyoko dormira, c'était une surprise qui serait gâchée si Kara avait espionné le contenu de son sac mais qui serait une belle surprise si Kara n'a rien espionné. Elle voulait d'ailleurs l'avertir teins.

« Kara, durant notre séjour, j'aurais une petite surprise pour toi, peut-être pas ce soir mais sous peu. Alors même si ce serait pour ma sécurité, ne regarde pas à travers mes vêtements, d'accord ? Je veux dire, mes valises... »

Autant garder cette surprise ! Ce n'était pas une petite tenue très aguichante comme elle avait pu le voir dans ses affaires mais Tessou avait profité de ses vacances pour sortir un de ses yukatas. En géneral, l'été rymme avec fête estival alors elle pensait que ce serait plus ou moins le cas ici ? Elle voudrait se montrer ainsi au moins une fois pour Kara. Et si possible, en faire de même pour Kyoko, elle avait apporté un tykata à sa taille au cas où mais elle se demandait si ici ils avaient ce genre de vêtements ? Un modele local serait peut-être mieux ? Elle ignorais si c'était le cas mais pas chance, Edoras était proche de la culture Japonais – drôle de coïncidence – donc si Novac dispose de tenue du monde entier, elle trouverais son bonheur si une fête de ce genre à lieu durant leur séjour. Par contre, parlant de vêtements...

« Il faudrait que tu m'aides par contre pour choisir quoi porter ce soir... Tu sais, tu as évoqué juste le côté vacance, pas vraiment restaurant et compagnie alors... je n'ai pas vraiment de belles robes à me mettre ou autre ce soir... »

Elle ne voulait pas non faire trop touriste mais elles verront bien quoi porter. D'ailleurs, Kara avait quelque chose en particulier ? Leurs vacances promettent d'être bien aimé en tout cas !
Karistal
Qui aurait cru que cette douce petite chatte pouvait être aussi douée ? Que ce soit naturel ou bien que ses maîtresses l'inspirent autant, c'était vraiment délicieux ! Yuko ne s'était pas attendu à être dans la position de soumise mais venant de Luna, c'était surprenant et puis, on ne dit pas non à une telle peluche. Bloquée sur sa chaise, elle subissait les assauts de son gode, de sa sœur suçait son gode en bouche et de ses caresses. Yuka subissait les coups de fouet de Luna, et la tentation horrible et douce de voir Luna se masturber sur elles ! Elle avait envie de voir ça mais... mais... elle ne pouvait pas vraiment ! Les jumelles gémissaient de douleur et d'envie, voulant rompre ce jeu pour lui sauter dessus et la câliner comme jamais mais elle ne pouvait pas hélas !

Il y eut un petit moment d'espoir quand Luna dicta de nouvelles choses, libérant Yuko de son gode et cessant de battre le petit cul de Yuka, cette dernière voulait prendre Yuko et laisser à sa jumelle tout le loisir de la torturer. Un bien joli programme mais on parle d'une Luna membrée alors forcément, il y a quand même quelques envies.

« Nyyyyaaa, Yuka aussi veut se faire baiser par Maîtresse Luna ! »
« Mmmmmmhhhh !!! »


Même incompréhensible, une plainte reste une plainte, Yuko voulant surement profiter de ce petit plaisir à elle seule pour le moment. Débuta un nouvel ébat à trois, Luna venait prendre Yuko qui gémissait de plaisir pendant que Yuka s'occupait de sa poitrine. Elle aimait lui faire mal et sentir Luna cogner contre elle aussi c'était un vrai délice aussi même si elle préférait un peu la place de sa jumelle. La chambre vibrais de leurs ronronnement commun sous la danse de la neko, et la chance tournait car son bandeau glissait, préférant le laisser tomber pour ne pas précipiter les choses et attirer l'attention. Car une fois le bandeau glissé, même d'un œil, han, c'était beau ! Outre sa sœur qui couinait et s'acharnait sur elle, elle voyait une Luna prendre son pied à la baiser ! Han, c'était beau !

« Mmmmmmhhhhhhh !!! »
« Fesser moi Maîtresse !!! Je suis une vilaine neko ! »


Chasser le naturelle et il revient au galop. Yuka était un peu jalouse de sa sœur alors il fallait bien prendre son pied autrement. À grand coup de langue sur sa joue, elle embrassait sa sœur, se plaisant autant que Luna à écouter tant de gémissements et de ronron dans la pièce. L’hôtel entier allait vibrer de plaisir si ça continue. Luna était une chanceuse quand même, qui peut se vanter d'avoir soumise les jumelles en même temps ? À part Mélinda Warren, aucune n'avait réussi. Encore moins une esclave. Comment rendre tout cela meilleur ? Oh il y avait bien des choses de prévues mais pas pour tout de suite, ce n'est pas tous les jours que les sœurs avaient une Maîtresse Luna à leur service alors autant profité de ce gâteau à fond !

« Nyyyyyaaaaaaaaaaaa ! »
« Mmmmmmmhhhhhh !!! »

Kiriko
Comment refuser de faire l'amour avec Sha ? Kiriko aurait bien du mal à lui refuser ça, qu'elle soit fatiguée ou blessée, c'est à peine si elle pensait pouvoir essayer de dire non. Cela dit, une foi enceinte, à l'approche de l'accouchement, bien des plaisirs seront à éviter, ne serait que l'amour tentaculaire, c'est amusant et bon de les sentir se faufiler partout mais il ne faudrait pas gêner le bébé. Une chance que Sha penserait surement de même. À quatre pattes sur le lit, Kiriko attendait la suite, présentant ses fesses, ce qui était une de ses meilleures armes contre sa déesse, elle ne savait pas dire non à une telle chose. Alors les remuer doucement... se fesser, forcément, Sha ne pouvait qu'en être attiré.

« Huuum, c'est un crime que de vouloir faire plaisir à sa femme ? Ose dire que cela te déplaît... »

Bien sûr que non ! Sha en était même très friande. Kiriko continuait de l'aguicher, sentant son soufflé sur son oreille, sa main entre ses jambes, elle était prête à jouir grâce à elle, peu importe la façon au final, cela sera un vrai bonheur, même si la magie va l'empêcher de jouir avec sa queue. Mais que voulez-vous, elle voulait jouir en elle, on lui a toujours dit que la première giclée était toujours la plus généreuse en futurs bébés. N'empêche, l'idée de faire l'amour à Sha, pour l'enfanter, ça ne lui posait pas un vrai problème mais elle avait toujours quelques craintes quand même. Une fois en elle, ce fut un ssoupirsi long de plaisir qui se dégageait de sa gorge. Un vrai délice. Son membre toujours aussi dur et plaisant, sa main sur sa queue, la seconde caressant son sein, elle adorait, il n'y avait pas d'autres mots pour ça.

« Haaaaaaaa, Shaaaaaa ! »

Les meilleures choses dans la vie, sont les plus simples. Comment ne pas aimer un tel plaisir après tout ? Kiriko se faisait baiser par Sha, cela n'avait rien d'inhabituel mais si Sha ne se lassait jamais de son cul, Kiriko ne se lasserait jamais de Sha, tout simplement. Ses mains ne cessaient de raffermir sa poigne autour des barreaux, savourant chaque coup un peu plus fort, un peu plus vif de sa Déesse. Elle avait des siècles d’entraînements, Kiriko aussi d'une certaine façon mais c'est ce qui a forgé leur amour aussi. Sha était une lame parfaite et Kiriko un fourreau tout aussi parfait pour cette grosse lame en elle. Maintenant, sa prise à une main, elle posait la sienne sur celle de Sha, la laissant continuer mais profitant aussi de la douceur de sa peau, elle était toujours tellement proche d'elle, dans les moments doux comme dans les moments hards. Kiriko avait parfois l'impression d'être le réceptacle de toutes les femmes que Sha a eu comme des « Kiriko » précédentes. Chacune de ses femmes, d'elle, savourait ce plaisir et transmettait à kiriko tout leur amour pour Sha et leur expérience comme leur conseil. C'est peut-être pour ça qu'elle est si parfaite au lit ?

Kiriko voyait bien des choses en dormant, futur comme passé, elle voyait des choses qui semaient le doute en elle, réalité ou simples songes, elle avait rarement partagé ses visions du passé mais elle avait parfois l'impression que c'était trop vrai pour n'être qu'un simple rêve.

« Plus fort Shaaaa, plus Fort ! »

Kiriko aimait les moments de pure douceur avec sa déesse mais parfois, il fallait dire ce qui est, c'était meilleur quand ça faisait un peu mal ! Ou que c'était plus rapide. Remuant sa tête en cherchant à l'embrasser du bout des lèvres, elle profitait de ce léger moment contre elle pour trouver toujours les bons mots à employer avec Sha.

« Baise-moi... bien fort ! Fait remuer mes bourses... Que notre petite Abby, haa... sache... qu'elle va devoir se préparer... à grandir en toi... Hhaaaan ouaiiiiiiis, plus fooooooort ! »

Leur famille s'agrandissait de jour en jour, Kiriko portait déjà Arya, Sha allait porter Abbigail, les premières briques de ce vaste empire familial si important pour le culte que Sha rêvait de revoir. Comment ne pas vouloir faire plaisir à Sha quand elle désirait de telles choses. Il y avait des projets en pause aussi, le plus important était avant tout elles, le restent... plus tard. Comme offrir à Luxuria une petite sorcière, Kiriko devra engrosser Sya pour cela ou encore le fait que Sha souhaite une petite Kiriko/Açoka, c'est d'une part leur amour commun pour cette déesse qui va rendre cela possible. Se redressant contre elle, elle maintenait sa main sur sa poitrine, la seconde venant se caresser le second sein pendant qu'elle remuait contre son corps, devant se faire aux coups de reins de sa belle déesse. C'était un tel délice !

« A-après ! Moi aussiiiiiii... je te baiserais... et, haaaa... je te remplirais ! »

Une seule fois pourrait suffire mais combien de quantité de foutre Kiriko avait reçu lorsqu'elle devait recevoir Arya ? L'occasion de renvoyer la pareille ? Peut-être bien... On va voir si son entraînement pote ses fruits !
Neferia
Il est vrai que Neferia voyait un peu Crystal comme une mère, cela se voyait parfois dans son sommeil ou même à son réveil où il n'était pas rare que ses premiers mots soient « maman » quand elle se faisait réveiller par la dragonne. Elle tentait toujours de se rattraper ou justifier cette erreur mais elle refusait de rester trop longtemps sur ce sujet, jugeant que ce n'était qu'une faute car elle n'était pas bien réveillée. Ce qui était un peu vrai aussi. Mais la jeune dragonne voyait tant de choses chez Crystal, une mère qu'elle aurait aimée encore avoir, une préceptrice qui forgeait son avenir et parfois, son amante. Oui, c'était plutôt l'inverse qui se produisait pour ce dernier point mais Neferia refusait de se voir inférieur ! Puis Crystal comme amante, c'est pas mal ! Voir même comme sa femme aussi ? C'était beau de rêver.

Elle ne voulait pas que Crystal soit sa mère, tout comme elle avait refuser cela avec Ishtar. Sa mère était sa mère et aussi cruel soit le destin, elle n'était plus de ce monde. Elle qui avait terrassé bien des adversaires redoutables pour protéger leur royaume, terrasser par une vulgaire maladie sans remède. Mais même si elle ne voulait pas la voir dans ce rôle permanent, elle n'avait rien contre l'avoir de temps en temps dans ce rôle. Un peu de douceur ne fait jamais de mal. Elle aimait rester contre elle et écouter son cœur battre, c'était relaxant et si calme. C'était ça après tout des vacances, du calme, de la relaxation et aucun ennui en vue. Voulant un peu plus de douceur, Crystal venait à l’installer de façon à poser sa tête sur ses cuisses chaudes. Son hésitation pour une tâche si simple était amusante à voir mais elle ne s'en faisait pas.

« Tu est la dragonne la plus forte et la plus courageuse que je connaisse et tu ne te sens pas capable d'une tâche si simple ? Ton humour est parfois étrange... »

Elle lui demandait simplement de lui caresser le dos, pas de venir imiter un lapin et inventer une danse pour une contine d'enfant. Là, elle pense que ce serait posé une colle pour Crysral mais caresser le dos, doucement, c'était à la porter de tout le monde. C'était de la peau sur ses doigts, pas du papier de verre. Pour preuve, Neferia gémissait doucement, ne pouvait refouler un doux souvenir où sa mère en faisait autant avec elle quand elle était plus jeune. Lui renvoyant partiellement la pareille, Neferia caressait doucement sa hanche, partant vers son dos aussi en passant ses mains doucement sur elle, nul doute que c'était agréable.

« Tu vois que les caresses sont agréables... elles savent détendre... toujours... »

La petite dragonne se calmait, doucement, elle se dirigeait vers la route du sommeil mais ce n'était que le début de sa route, elle pouvait très bien passer à quelque chose de plus éveillé mais pour le moment, elle ne voulait pas cesser de sentir les mains dans son dos. Neferia avait une vue sur le ventre de Crystal, songeant à ce que sa préceptrice avait dis, pourtant elle se doutait qu'elle aurait fait une bonne mère... L'occasion pour elle d'aborder un sujet nouveau. Les bébés. La descendance !

« Tu n'as jamais songé à devenir maman ? Sans forcement que ce soit toi mais plutôt, avoir un bébé, un enfant que tu pourrais entraîner comme moi, ailleurs ? »

Elle se demandait si Crystal était si solitaire que ça sur ça aussi ou bien si elle cherchait une partenaire qui pourrait bien elever son enfant. Que ce soit comme une simple mère ou pour l'élever comme Crystal l'imaginait plutôt ? C'est vrai, elles n'avaient jamais parlé de ça. Puis en repensant à sa mère, dans un moment de douceur... elle se posait la question pour Crystal. Neferia savait déjà pour elle, elle aura une descendance, un jour quand elle aura son trône, comme ce fut le cas avec ses parents afin que son enfant, fille ou garçon, ne manque de rien dans le luxe et le confort, même si elle comptait aussi lui apprendre les bases d'un dragon afin qu'elle ne soit pas perdue comme ce fut plus ou moins le cas pour elle...
Harley
Qui aurait cru qu'elle aussi aurait droit à son clone bio ? Pas Harley en tout cas et pourtant, c'était bien elle qui était face à elle ! Elle en apparence et pourtant ce n'état que des plantes et de la sève ! Dingue non ! Elle se plaisait bien avec cette dernière, elle était très réaliste, très elle tout simplement et rien que pour ça, cela lui donnait envie de continuer ç la connaitre un peu mieux. Elles pourraient bien s'amuser ensemble, même avec les autres Pamy ! Bah oui, pas de jalouses comme ça ! Les autres Pamys les embrassaient tendrement en les caressant aussi, faisant venir à elles la vraie Pamy qui disait ressentir le plaisir de ses plantes, ce qui était naturellement bon.

« Je suis sûre pourtant que c'est pas mieux que de m'embrasser vraiment, hein ? »

C'est vrai qu'on préfère toujours l'original à une copie. Ses mains venaient se faufiler entre leurs jambes, caressant leur zone intime sans se priver pour y glisser ses doigts par la même occasion. La vraie Poison Ivy se tenait là à caresser les Harley, elles-mêmes caresser par des clones d'Ivy. Les Harley se rapprochaient, sur la même longueur d'onde apparemment. À leurs tours, elles caressaient Pamy, tout son corps était très doux et aussi très attirant.

« Pamy chérie... »
« Ma petite rose... »
« Et si on te dévorait avec nos lèvres ? »
« Et qu'on te caressait aussi ? »
« Pendant qu'on laisse tes clones nous faire de même... »
« Cela te ferait plaisir de ressentir tout plein de plaisir ? »
« Puis être prise entre deux Harley... Tu en rêves ! »
« Ouais, je suis sûr que tu voudrais être prise en sandwich par nous hein ? »


C'était surement simple à deviner mais faire cogiter cette idée n'était sans doute pas plus mal non plus. Dans la chambre, en un seul point, cinq femmes se préparaient à faire l'amour et cela risque d'être plus humide qu'une forêt tropicale ! On ne bloque pas Harley Quinn aussi facilement, les deux clowns la caressaient de long en large, débordant sa peau sucrée avec leur lèvres, soupirant contre elle, soupirant grâce à des Ivy douée et coquine... Un très beau sandwich bio se préparait, le genre sexy à souhait ! Une maîtresse des plantes prrise entre deux bonbons arlequin puis enocre deux tranches de Pamy, ça va être le genre de chose super déicieuse et en quantité très limité !

« Alors, on use de nos talents ? »
« Ou on se dope un peu pour te défoncer ton petit bulbe d'amour ? »


Elles sont gentilles, elles veulent juste arroser une belle plante, planter ses petites graines et l'arroser à grand coup de terreau ! Pamy était tour à tour rembrasser par une Harley puis l'autre, que de plaisir. Luxure ou non, cette avalanche de caresses était toujours la bienvenue.

« Je te préviens ma chérie... on est pas prête à faire dodo alors, trop de plaisir ou non, tu as intérêt à me tenir compagnie toute la nuit ! »

Sinon... ça va mal aller demain !
Aoki
Entre elles, le sexe était un pilier solide de leur relation. L'amour, les secrets, leur vie héroïque, c'était certes aussi de bonnes bases dans cette relation mais si le premier soir, elles ont fait l'amour de façon Très sauvage, ce n'était pas un hasard. Félicia qui portait du cuir, c'était aussi excitant qu'un téton visible après une longue période sans le moindre sexe. Évidement que cela était tenant, Aoki en avait envie, ça se voyait mais Félicia aussi. On ne se ramène pas comme ça en voulant jouer les innocentes. Le comportement de la Japonaise était tout à fait ce que Félicia avait besoin ce soir.

« Tu préférais peut-être que je sois sage comme une image ? Je sais bien que l'idée de me voir tout docile et timide te tente mais tu te lasserais vite si je serais pas comme ce soir... »

Aoki était surtout dominé par Félicia, c'était inévitable, mais leur relation était aussi basée sur ça, elle était docile et partante pour bien des choses à deux mais elle avait son petit caractère qui rendait la chose terriblement meilleur. Docile ou hard, Aoki état parfaite au lit, ce n'était pas Félicia qui allait dire le contraire. Face à sa queue, elle soupirait de plaisir en voyant Félicia jouer avec, commençant à s'en servir de matraque. Elle faisait exprès d'écarser son visage dessus, comme une chose inacéssible et pourtant si proche... C'est vrai que ça la tentait et même si elle faisait sortir sa langue pour l'avoir, elle arrivait à peine à la lécher.

« Haaaaan, elle a l'air si délicieuse... Je la veux ! Oh oui, je la veux en moi ! »

Félicia jouait avec cette douce torture avant de la laisser à porter de main, face à son nez, lui demandant qu'une chose, sucer. Ce n'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde ! Elle soupira avant de remonter son visage et de placer sa bouche sur son gland. Sa langue avait caressé cette queue le temps d'arriver si haut, avant d'engloutir ce morceau de chair ô combien savoureux !

« Huuuuuuuuum ! »

Tellement délicieux, ce précieux était toujours le même, pas de forme ou de goût diffèrent et pourtant, c'était toujours le même plaisir à revoir encore et encore. Ses mains se baladaient sur les cuisses de Félicia, arrivant à ses petites fesses bien ferme qu'elle pressait tendrement. Ce cul était aussi divin. À lécher, à caresser, à fesser car c'était déjà arrivé, tout était parfait avec ce cul. Il n'y avait que la sodomie qu'elle n'avait jamais essayée à vrai dire ? En même temps... elle a toujours laissé à Félicia le soin d'avoir une queue pour mieux s'en servir contre elle. Elle était encore vierge en futa, l'idée était tentant, elle a déjà été tenté mais elle préférait avoir sa Félifuta que s'en doter.

Continuer de la sucer avec de petits vas et viens, elle se prépara en prenant une grande inspiration par le nez avant que sa bouche ne vienne doucement engloutire son morveau de viande, doucement, laissant quelques bruits d'éttoufement se faire entendre, suivi de bruit assez glauque et excitant avant de s'en dégager, ne laissant que sa queue baveuse comme jamais le temps de reprendre sons souffle.

« La nuit va être longue... J'espère que tu tiendras le coup car je vais te vider les couilles ! »

Comment dire... en langage amoureux, on pourrait traduire cela pas quelques mots tendres en disant vouloirs avouer cet amour toute la nuit. Là, c'est la version hard et crue. Aoki reprenait son travail en nettoyant plus ou moins sa queue avec sa langue avant de la reprendre en bouche, la suçant toujours plus fort en venant caresser le gland avec le fond de sa joue. Elle était tentée de la masturber mais elle préférait pétrir ce cul ! Quelle idée d'avoir un cul pareil aussi. Aoki enchainait les gorges prfondes, imposant son rythme, parfois celui de Félicia mais ausis endurante et aussi délicieuse soit cette queue, elle finit par jouir dans sa bouche et ce fut un régal ! Aoki avala avec joie sa crème, laissant quelques guttes couler sur son menton et sur sa poitrine avant de regarder Félicia avec un grand sourire.

« Tu veux commencer par quoi ? Me sauter comme une lapine ou jouer avec ma petite queue ? »

En gros, la méthode classique pour faire des enfants ou faire remuer ses petites fesses avec sa petite queue ronde ? Cela dit entre elles, il existait bien des façons de faire jouir Félicia mais hey, la soirée commence à peine ! Il faut bien que leur petite sieste serve à quelque chose !
Rouge
Décidée à laisser de côté son envie de vol, elle ne voulait pas voler Miranda Forge pendant que cette dernière lui tendait son compte en banque en se disant que son vol ne serait rien de grave pour elle au final. Non pas qu'elle veut voler Miranda au point de la mettre sur la paille, elle veut juste réussir à lui voler de l'argent ou des objets de valeurs pour l'étonnée, voir la faire rager un peu. Miranda n'était pas la mauvaise personne alors elle n'avait pas vraiment de raison de voler jusqu'à ce point là. Rouge voulait juste faire son travail, et le faire bien. Maintenant dans sa tenue de travail, elle retourna dans la même pièce que la belle blonde, retombant près d'elle en lui soutirant ses lunettes. Plus qu'une simple paire de lunettes, certes, mais Rouge se fichait bien des options, elle se demandait juste si ça la rendait plus sexy ?

Elle était plutôt contradictoire d'ailleurs, elle disait que ça lui allait bien puis elle les récupéraient en disant que non, ajoutant aussi qu'elle ne devait pas bien la voir. Humph, simple détail pour Rouge. La belle terranide rejoint les bras de la belle blonde avant de s'embrasser doucement, la puissante femme avait ignorer son ordre pour le moment mais pas pour longtemps, qu'elle se rassure. Après ce petit baiser, voilà le moment de détente pour la voleuse. Allongée, elle laissa Miranda venir s'occuper de son minou, ressentant un frisson de plaisir à la voir se rapprocher de sa zone intime, plus encore en sentant sa langue passer et repasser sur cette même zone. C'était tellement bon mais ce n'était aussi que le début.

« Huuuum, pas mal... »

Oui, il ne fallait pas lui donner raison trop vite. Rouge se prélassait en savourant ce plaisir qu'elle ressentant, passant le bout de ses doigts gantées dans ses cheveux blonds. Elle soupirait doucement en se prélassant, ce n'était pas tout les jours qu'une femme comme Miranda Forge s'occupait de son minou. Même si cette dernière jouait avec ses dents sur son entrejambes, cela donnait une idée à Rouge, une idée qui allait forcément appâter sa partenaire.

« Dis donc la vorace, si tu arrive à m'arracher cette partie rien qu'avec tes dents et que je t'arrose avec ma cyprine, je te laisserais me baiser de la façon que tu le souhaite, une fois. »

Au bord de la piscine, elles avaient fait des choses ensemble mais au final, c'était très sage. Là, elle proposait bien ce que Miranda voulait, que ça aille dans une sodomie brutal ou un fétichisme plus personnel comme la masturber avec ses pieds ou autres, Miranda allait sûrement dire oui, rien que pour ce petit plaisir. Rouge avait envie de se faire bouffer le minou par cette vorace. De même qu'elle avait envie de la traiter comme une chienne, avec un collier et une laisse autour du cou... Inverser les rôles terranides et humains, ça la branchait bien. Mais une chose à la fois après tout, non. Sa petite queue arrière remuait faiblement à cette idée qui pourrait bien devenir réalité au cours de cette soirée. À en voir l'écran de télévision, Twillight aussi s'amusait comme une petite folle avec son gigantesque machin entre les jambes. Au final, tout le monde prend son pied ce soir. Ses doigts venaient caresser sa joue pendant que le sourire de Rouge s'étirait de plus en plus.

« Et si tu me montrait ton côté terranide, hein ? Je suis curieuse de voir si tu est plus du genre neko ou lionne ? »

Sous-entendre que Miranda pourrait être une neko, une des races terranides les plus dociles qui soit ? Voilà qui donnerait envie à la belle blonde de lui prouver le contraire, non ? Rouge voulait obtenir ce qu'elle désirait, d'une façon ou d'une autre.
Tsukasa
La belle blonde savait sa copine fan de Poison, s'étant connue sur le cybersexe, les deux copines avaient longuement parler d'elle et de ses actualités de l'époque. Tsukasa avait grandis à Tékhos avant d'avoir la nationalité et la vie d'Edoras, elle n'avait pas grandis en voyant Poison – elle n'était pas aussi vielle – mais elle aimait bien cette star si pulpeuse dans ses films et si naturelle et sympa avec ses fans. Et aussi très sauvage au lit avec ses fans il paraît mais ça, elle n'avait jamais essayé pour le moment. Baisant Ryouka, elle faisait en sorte que sa cameraman filme bien les aveux qu'elle pourrait bien envoyé à la star, espérant que cette petite Ryouka allait obtenir un voyage dans le lit de Poison, elle n'en sera que ravie ! Mais avant de penser à la belle actrice, il fallait encore s'occuper de sa belle copine qui se faisait une joie de la sodomiser.

Pas de jalouse au moins, toutes les deux échangeaient à tour de rôle ce genre de choses, Tsukasa ne saurait dire qui à été le plus baiser par l'autre ? Ça ne se compte pas ce genre de chose, comme de savoir combien de fois on a inspirer ou expirer en une heure, personne ne fait ça. Ici, idem. Toujours cramponner à ses hanches, elle continua de la prendre en se montrant plus forte dans ses coups de bassin car une petite traînée pareille, ça se traite comme ça. Nika continuait de leur tourner autour, surtout de Tsukasa, en lui lançant des fleurs et en la titillant aussi... Elle posa ses yeux sur elle en la regardant de la tête au pied, ayant envie de recommencer leur séance de massage collectif mais dans une version plus... sexe. Certes, ce fut e cas déjà avant mais la même chose, l'huile de massage en moins. Du sexe, tout simplement.

« Huuuuuuuum, Ryouka chérie... ta grande, hu, sœur est j-jalouse je crois ? »

Le sourire aux lèvres, Tsukasa n'allait pas abandonner Ryouka en la laissant sur sa faim mais elle avait bien envie de voir si le fondement de sa grande sœur était aussi bon que la petite sœur ? Elle délaissa une des hanches de sa copine de jeux pour passer ses doigts sur le ventre de la belle demoiselle, remontant entre ses seins puis son menton, où amena ses lèvres contre les siennes. Pas de baiser sauvage et brutal, non, au contraire, tout doux et lent. Faute à la position ou simple envie, elle l'embrassa tendrement sans pour autant ménager ce petit cul qui lui collait une trique d'enfer ! Cela sera amusant de faire ménage à trois ce soir, ça promet de belles choses !

« Tu voudra, hum, me nettoyer la bite... avant que je te fourre avec ? Ou alors t'es trop impatiente pour ça ? »

Tsukasa avait son sourire et son ton provoquant, elle sentait bien que Nika était le genre de femme qui aimait tenir les rênes mais c'est comme ça avec toutes les dominantes, une fille qui écarte déjà les jambes ou une qui leur tiens tête, elles préfèrent la seconde option. Puis si Tsukasa se fait plaquer par elle, il y aura Ryouka pour aider... sauf si elle retourne sa veste, ce qui ne serait pas impossible. Faisant claquer sa main de libre sur le cul de Ryouka pour faire entendre un doux bruit dans la pièce, elle souriait de plus belle en remontant doucement ses lunettes sur le nez.

« Ce soir... je vais vous remplir, les Spanje... Pas de jalouses... mes belles petites putains... »

C'est beau le sexe quand même !
Sya
Le jeu pouvait continuer ! Sya était la douce et gentille petite ange retenue prisonnière par la vilaine démone qui était en train de la violer. Quel genre de fille aimerais jouer à ce jeu avec sa mère ? Eh bien Sya. Outre ce fantasme, c'était aussi pour faire plaisir à Samara et la mettre en condition. Aussi douce était la démone, ça restait une démone face à une ange, elle avait très souvent envie de la soumettre et pas qu'un peu alors sa fille lui faisait ce petit plaisir ! D'autant plus que la petite cachottière comptait bien tomber enceinte ce soir, Kazuha était aussi dans le coup mais chut, ceci était un secret que Samara aura au réveil demain matin. Maintenant qu'elle avait fait plaisir à Samara en jouant les chiottes vivantes, il fallait passer à la suite, à la partie la plus importante de cette soirée ! Car s'il y a bien une chose que l'on sait en tant que prêtresse de la luxure, c'est que la première giclée est toujours la plus porteuse d'espoir ! Alors, pas pour sa bouche, ni pour son petit cul mais pour sa chatte.

« Non ! NON ! Je ne veux pas, NON !!! »

Quoi ? Il fallait continuer le jeu et faire plaisir à sa maman. Sya se releva pour « fuir » mais fut plaquée contre le mur, la queue dressée de Samara, aussi dure que rouge, venait se frotter contre elle avant de s'enfoncer entre ses jambes. Gémissant, serrant les dents, Sya venait même à avoir de petites larmes aux coins des yeux, il fallait bien jouer son rôle a fond. Ce n'était pas une comédienne née, ni même qu'elle avait de hauts talents mais quand il s'agissait de sexe, rien n'était impossible. Elle fermait les yeux en gémissant, sentant cette queue forcer le passage et à la rupture de son hymen, elle en eu le souffle couper pendant quelques secondes, sentant la pression de Samara sur elle, son pénis commençait le travail !

« Nooooon ! Arrêttez ! Pitiéeeee ! »

Sya venait même à tenter de la repousser, vraiment même si dans sa tête, elle voudrait au contraire l'enlacer mais pour ce petit plaisir plaisir pour sa mère, Sya jouait le rôle jusqu'au bout. Mais ange ou non, vu leur différence de taille et de carrure, ce n'est pas sa force qui pourrait vraiment repousser Samara, ce serait pratiquement impossible. Les larmes coulaient toujours, les gémissements aussi, alors qu'elle était prisonnière entre ce mur et la démone, subissant les coups de reins ô combien délicieux même si elle tentait de faire dire le contraire. L'atmosphère d'une relation sexuelle était importante, pur Sya, doux ou puissant, elle aimait le sexe dans sa globalité mais si ce jeu d'ange et démon excitait sa douce mère, alors elle continuera, au moins jusqu'à sa première giclée, ensuite, à voir si le jeu continue ou si Sya redeviens elle-même ?

« Nooon... Haaaaan, naaaaaan... Allez... vous-en... HaaaaAAAAAAA ça... ça grossiiiiiiiii ! »

Ses doigts se crispaient contre les bras de Samara alors qu'elle sentait cette queue prendre du volume en largeur comme en grandeur, c’était encore meilleur. Même si sa bouche se devait se dire le contraire pour que tout soit parfait. Sya se débattait de plus en plus, venant cogner ses petits poings contre Samara, aucune force dedans, à peine de quoi attirer son attention à vrai dire.

« Mal ! Ça fait maaaaal ! Stooooop, haaaaaaaaaan, nooon, haaaaaaaaaa, huuuuuuuuum... »

Difficile de dire si elle n'aimait pas ou si elle aimait bien... jeu ou non, le sexe restait avant tout un plaisir, un plaisir qu'elle tentait de partager au plus profond avec sa mère démoniaque. Chose réussi pour le moment, Sya adorait et Samara, elle devait être, aux anges ! Jusqu'au bout, Sya feindra de ne pas vouloir de cette relation mais en vérité, c'était tout le contraire car quand arriva la fin de ce premier acte...

« Noooooooon ! HYYYYYYYYAAAAAAAAAANNNN !!! Haa... Haa... Haa, non... Ma... pureté... »

Les larmes continuaient, elle gardait cette mine triste mais elle était en vérité si contente... Maintenant qu'elle sentait cette semence en elle, activant ses pouvoirs pour faire en sorte que Samara ai une vraie fille sous peu. Sya était une prêtresse de la luxure et aussi douée soit Samara en magie, Sya excellait en magie rose alors pour découvrir sa surprise par avance il aurait fallut rester sur ses gardes magiques et, lors de l'orgasme, par ailleurs dans ce moment de détente estival absolue, Samara aurait placer une barrière magique pour surveiller le moindre mouvement magique ? Ce serait étonnant... Elle reprenait son souffle, bientôt, elle allait redevenir Sya et jouer joyeusement avec sa mère mais d'abord, il fallait reprendre son souffle et savoir si ce petit jeu avait plu à Samara ? C'était le plus important.
JKonata
Qu'elle le veuille ou non, Konata trahissait de plus en plus sa couverture. Elle savait bien que tôt ou tard, une question allait forcément la piéger. Après, elle ne cachait pas son identité spécialement, Jessica semblait être une choc fille, pas le genre à planter un couteau dans le dos. Mais autant que possible, elle préférait rester évasif à ce sujet. Peur d'un certain racisme vis à vis de son monde de base ? Bof, ça elle s'en fichait un peu. Alors quoi ? Bah alors qu'en général, manga ou autres, quand un peros débarque, il ne révélait pas ses secrets dés le début comme ça, ça se fait lors d'un meilleur moment. Mais après, quel est le plus gros secret ? Native de la Terre ou ses pouvoirs d'Otaku ?

Devant ce jeu, elle tentait d'en apprendre plus sur ce terme, les Xénos, tout en apprenant à maîtriser ce jeu par la même occasion. Pour le moment, ça se passait bien mais en même temps, il n'y avait pas encore d'ennemi, c'était plus de l'exploration et de la préparation. Sûrement un gros assaut ensuite ? Pas trop gros pour commencer quand même... Jessica fini quand même par avouer que de ne pas connaître ses choses étaient préférable, après elle en avait vu des horreurs, que ce soit dans les films ou les jeux. Mais cela était sûrement différents entre un écran et l'IRL. Cela dit ça ne répondais pas encore à sa question. Son personnage fouillait les coin de la boutique pour trouver de quoi se défendre avant de briser à nouveau le silence.

« Dis, en fait ta quel âge ? »

La question tombait simplement comme ça, non pas que ce soit très important ou autre mais Konata se demandait si elle était du genre à aller dans un lycée ou plutôt déjà à bosser dans une entreprise ou autres ? Il y avait quand même quelques années qui les séparaient, chose qu'elle ne pensait pas savoir car franchement, elle pensait que Jessica avait environ son âge, seize, dix-sept ans ? Non, plus de vingt ans ! En fait, les deux se trompaient sur l'âge de leur partenaire. Une drôle de situation ! D'ailleurs quand Jessica apprendrait que Konata à quinze ans, ça pourrait choquer ! Elle faisait jeune mais ça, c'est un détail dont elle se fichait royalement. Elle s'aimait comme ça.

« Juste pour savoir, le genre de cours et de formation que ta eu. »

Fallait bien dire ce qui est même si elle cachait une petite part de vérité mais ce n'est pas grave. Fallait bien apprendre des choses banales sur sa nouvelle amie après tout.
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Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Kaguya Shunya »

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Kaguya Shunya
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Demande de RP
SHIZUKA SHUNYA
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La question était d’importance ! Pour l’heure, Hinata lui avoua que le sexe de l’enfant serait indifférent, mais Shunya, elle, se doutait bien qu’elle parlait sous le coup de l’émotion. En réalité, Shunya ne pensait pas que ce serait sous Hinata que la stupide discrimination à la succession royale cesserait. Elle avait sa propre théorie sur les raisons ayant poussé son frère à commettre l’acte dément qu’il avait commis. Shin n’était qu’un symptôme. Le véritable mal, à Edoras, venait du fait que, tout en se voulant progressiste, la nation restait ancrée dans les préjugés uatéens à l’égard des hommes. De fait, Shin n’avait pas été seul à mener le putsch, et beaucoup d’hommes l’avaient rejoint, soit des soldats, soit de simples habitants edorassiens, exacerbés par cette ségrégation sexuelle. Et, même si Shunya ne pouvait évidemment pas cautionner ce qu’ils avaient fait, elle pouvait, au moins, comprendre. Même si Shin avait été bien éduquée, et qu’Aoki avait été une mère aimante, il avait toujours été, comme tous les hommes d’Edoras, éduqués de façon différente des filles,n de façon oinférieure. Le plus incroyable, c’était en fait qu’il ait fallu attendre neuf générations avant que ce putsch n’éclate. Ce putsch, pour le dire autrement, n’était qu’une crise aigue sur un problème de longue haleine, et, si rien n’était fait, il y aurait d’autres soulèvements. Shunya le savait très bien, car Mamoru, tout en aimant profondément les Kaguya, côtoyait fréquemment des fermiers qui parlaient de renverser le pouvoir.

Au-delà de ça, le problème était avant tout économique. Pendant neuf générations, Edoras avait été un pays en pleine croissance, et, pour les gens, qu’il y ait des injustices était compréhensible, tant qu’on avait assez d’argent pour remplir son assiette, rembourser ses dettes, et payer les factures à la fin du mois. Malheureusement, sous le règne d’Aoki, l’économie avait commencé à se dégrader, un constat qui ne se limitait pas qu’à Edoras. L’économie mondiale était concentrée autour des marchés lumeniens, et, quand Lumen avait commencé à aller mal, les conséquences avaient été ressenties dans le reste du monde. À Edoras, les fermiers avaient soudain du mal à boucler leurs traites, et, quand ils constataient que les emprunts qu’ils faisaient auprès des établissements bancaires étaient faits à des taux d’intérêts prohibitifs par rapport à ceux consentis aux femmes, ou quand ils réalisaient que toutes les factures adressées à des hommes étaient automatiquement taxées, cette grogne latente avait commencé à muer et à se cristalliser. Shunya s’en inquiétait, naturellement, et, même sans cette raison assez cynique, qui conduirait à agir uniquement en vue de prévenir un prochain désastre, elle souhaitait aussi qu’Edoras soit fidèle aux idéaux d’Elisa, plus droite, et plus juste... Et, pour cela, il fallait abandonner ce système ségrégationniste.

Shunya ne pensait pas qu’Hinata le ferait, car sa femme était trop ancrée dans les traditions, et encore trop marquée par ce que Shun avait fait, alors, elle misait beaucoup sur ses enfants. C’était aussi pour ça qu’elle voulait des garçons, afin de bien les éduquer, et que leur fille soit celle qui briserait enfin les chaînes de leur nation. Voilà l’objectif qu’elle envisageait, secrètement, de faire.

Mais, pour l’heure, elle se contentait juste de sourire en voyant le regard rêveur d’Hinata, et rougit quand cette dernière expliqua que ce serait ensuite à son tour.

« Oh, mais ça, j’y compte bien, Hinata... Et ce sera à toi de subir mes attentions ! »

Elle lui attrapa la main, et la baisa tendrement.

« Nos enfants seront le fruit de notre amour, Hinata, alors, il est normal qu’on en ait beaucoup ! Ils rempliront le Temple de la Lune de leurs cris et de leurs rires... »

Pour elles, c’était un tout nouveau chapitre de leur existence qui était en train de commencer, en réalité. Shunya rougit alors, en se mordillant les lèvres, et se racla la gorge.

« Mais, tu sais... On n’est pas obligées d’attendre que... Enfin... Que j’ai accouché pour... Pour que tu sois enceinte, toi aussi... »

Elle rougit plus furieusement encore, en réalisant le sous-entendu sexuel qu’il y avait derrière sa proposition.

SUPERGIRL
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Kara sourit de toutes ses dents, lueur pétillante dans le regard, et répondit, sur un ton se voulant toujours très amusé :

« Okay, Tessou, j’arrête de t’appeler comme ça... Tu as un ton tellement convaincant, ma chérie, que je e m’en voudrais de... Oh... Oups ! »

Espiègle, Kara s’amusait beaucoup à tourmenter la pauvre Tessou, car elle adorait la voir rougir. La policière était tout simplement trop craquante ainsi, avec ses belles joues qui se gonflaient comme un petit poisson cherchant à respirer. Ce n’était pas la première fois que Kara narguait ainsi Tessou. À force, on s’y habituait. La Kryptonienne avait beau avoir la quarantaine passée (ce qu’on ne remarquait pas, car elle avait une croissance bien plus lente que les humains, du fait de son exposition aux rayonnements solaires), elle restait encore très jeune, aussi bien physiquement que mentalement parlant.

Tessou lui indiqua alors qu’elle avait une surprise, et les yeux de Kara s’écarquillèrent légèrement.

*Une surprise ?!*

Sa première tentation fut évidemment de regarder dans son sac, mais elle y résista très facilement, et embrassa la femme sur les lèvres, en souriant. Kara adorait beaucoup les surprises, comme on pouvait s’y attendre, venant d’elle. Elle sourit donc, et frotta son nez contre celui de Tessou.

« Maintenant que tu m’en as parlé, c’est trop tard, Tessou. Tu me montreras ça ce soir ! »

Après le restaurant.... Kara semblait déjà être en train de s’imaginer une soubrette, même si elle imaginait mal Tessou franchir le pas à ce point. Mine de rien, sa policière avait beau défier des Yakuzas fous furieux et des criminels psychotiques, dès qu’il s’agissait de sexe, elle semblait perdre tous ses moyens, et réagir encore comme une gamine. En conséquence, il fallait que ce soit Kara qui la motive dans ce domaine, comme quand elle lui avait fait l’amour avec un gode. Tessou n’aurait jamais pensé le faire toute seule, mais Kara savait qu’elle adorait ça, même si elle refusait d’en parler. Il suffisait juste que Kara l’évoque pour qu’elle rougisse sur place.

Par conséquent, elle ne pensait pas vraiment que Tessou avait acheté une tenue coquine... Même si elle s’amusait à l’imaginer. En attendant, la policière lui demanda quoi mettre, et Kara se releva.

« Je n’ai pas non plus une robe de soirée, Tessou... On aura qu’à en acheter avant d’y aller, les boutiques restent ouvertes très tard, ici. »

Kara se redressa par la suite, car, s’il fallait aller à la boutique avant d’aller au restaurant, il fallait se préparer. Elle se releva donc, et entreprit de se nettoyer.

« Tu vas voir, ma chérie, on va passer une super soirée ! »

Sans aucune gêne, la Kryptonienne remettait le couvert sur le surnom ! Et, comme si elle venait de le réaliser, elle sourit encore à Tessou, se faisant provocante :

« Si tu veux, d’ailleurs, je peux t’appeler autrement... Je pourrais te donner du ‘‘Maîtresse’’ si tu trouves que je me comporte mal, mais il faudrait que tu me fesses... »

Une nouvelle proposition qui allait assurément la rendre toute chose, cette pauvre petite policière...

LUNA EARTHWELL
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Luna était un peu plus habituée au fait de porter une verge que d’être Maîtresse Luna. Le fait est que Maîtresse Alaunriina aimait bien lui faire ingurgiter des pilules roses qui faisaient pousser une verge. Maîtresse Luna, donc, portait en elle ce mandrin, ce vit tendu et assoiffé, et l’avait enfoncé dans le corps d’Esclave Yuko. Oh, bien sûr, elle n’oubliait pas Esclave Yuka, mais Luna ne pouvait être qu’un endroit à la fois ! Elle s’enfonçait vigoureusement en elle. La jeune neko, si timide, si nerveuse, si soumise, était en train de mener un jeu merveilleux. Son corset appuyait contre son corps, ses collants, ses gants... Elle était drapée de noir, avec ce latex délicieux qui crissait au fur et à mesure que ses coups de reins se poursuivaient sur le corps d’Esclave Yuko, meurtrissant son magnifique cul. Esclave Yuko était plus grande qu’elle, ce qui donnait un curieux déséquilibre, mais qui n’empêchait nullement Luna de la bourrer aussi fort que possible, grognant et haletant, serrant ses lèvres quand elle s’enfonçait le plus loin possible dans son cul, et que son corps, en conséquence, se mettait à ronronner furieusement.

Esclave Yuka, de son côté, s’attaqua donc aux seins de sa sœur, et elles régalaient Luna par leurs cris et leurs soupirs. Chanceuse, la neko l’était, mais, comme elle jouait le rôle de la Maîtresse, elle ne pouvait pas le dire. Néanmoins, la délicate blonde était pleinement consciente que ce qu’elle vivait ici était exceptionnel, et suffisamment rare et précieux pour faire durer le plaisir. En conséquence, elle ne comptait pas jouir si rapidement, savourant le magnifique cul d’Esclave Yuko.

« Haaaann... Nyyyyuuuu... Miaaaaawww... !! »

Ses oreilles se soulevaient d’avant en arrière, tandis que tout son corps y allait. Certes, elle avait entendu Esclave Yuka demander à se faire fesser, mais, en l’état, Luna en était tout simplement incapable. Elle se focalisait en effet sur Esclave Yuko, et ne pouvait pas être à deux endroits à la fois. Luna ne voulait tout simplement pas louper une seule seconde de ce qui se passait, et, si elle administrait des gifles, c’était au cul d’Esclave Yuko, un doux petit cul qu’elle giflait et pinçait méchamment, tout en remuant, encore et encore, énergiquement, furieusement, la sueur coulant de ses joues, moulant davantage ses formes grâce à cette tenue en latex qui absorbait la sueur pour se plaquer sur son corps.

Maîtresse Luna se donnait à fond pour être à la hauteur, ce qui se traduisit aussi par des jurons, s’échappant de sa douce petite bouche à la voix fluette :

« Sa... Salope, hummm... Ouuuiiii... Esclave Yuko est... Une... Une petite ca-Catin... !! Nyuuuu... Une belle petite pute qu’il faut... Miaaaawwww... Qu’il faut fourrer b-bien fort... ! »

Et hop, elle lui donna une nouvelle gifle, tout en continuant, encore et encore, pendant de longues minutes. Mine de rien, et ce malgré son petit gabarit, Maîtresse Luna avait une très bonne endurance sexuelle, le résultat de sa très grande expérience en la matière. Elle s’enfonçait donc en Yuko, jusqu’à finir par sentir le plaisir qu’elle ressentait atteindre le point culminant. Alors, dans un grand soupir, Luna se vida en elle, et alla remplir le cul de Yuko de son foutre chaud, éclatant contre le sien.

« Nyyyyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaawwww... !! »

Luna se mit à jouir violemment, enfonçant ses ongles dans les belles fesses d’Esclave Yuko, et se répandit donc, balançant des filaments de foutre, tout en soupirant, la tête filant vers l’arrière, sa bouche s’arquant légèrement. Sa queue tressautait dans le petit cul d’Esclave Yuko, et, encore et encore, pendant une bonne minute, Luna jouit, avant de se cambrer vers l’avant, et de miauler longuement en se vidant.

« Nyuuuuuuuuuuuuuuuuuu... !! »

Ce cri, c’était le miaulement du plaisir, qu’elle poussait avec ses belles joues, toutes les deux très rouges. Elle se redressa ensuite, soupirant profondément, et retira sa queue du cul d’Esclave Yuko, respirant profondément.

« Maîtresse Luna a bien joui dans le petit cul d’Esclave Yuko... Et, maintenant, elle va s’occuper d’Esclave Yuka, qui a été très patiente... Maîtresse Luna va donc la baiser bien fort, mais... »

De la main, Maîtresse Luna caressa son chibre, qui avait perdu de sa vigueur.

« Esclave Yuka et Esclave Yuko vont devoir stimuler la verge de Maîtresse Luna pour qu’elle sodomise bien Esclave Yuka, et, vu comment Esclave Yuka est une belle salope, il vaut mieux stimuler vite fait sa petite queue, afin qu’elle devienne une grosse queue ! »

Pour elle, c’était un jeu de rôle, et Luna avait toujours aimé jouer... Alors, elle adorait tout simplement jouer le rôle de Maîtresse Luna !

SHA
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Dans la vie du culte de Sha, il y avait eu un avant, et un après, Wallündrill.

Avant les Douze Épreuves, le culte était balbutiant, peinant à se mettre en place, se structurant lentement, dans une région désolée et sauvage de l’Empire, que les Mijakiens avaient confié à Sha dans l’espoir que, soit elle parvienne à pacifier la région, soit elle échoue, et ne les laisse en paix. Son culte renaissait alors des cendres de son ancien culte, massacré et exterminé pendant des siècles de souffrance et de chasse terrifiante aux sorcières, avec une Déesse qui avait même été bannie. En revenant à la vie, en s’extirpant de sa prison, Sha avait reconstruit son culte, en partant de presque rien.

Maintenant, après Wallündrill, Sha avait reçu une telle force divine qu’elle avait vu son nombre de fidèles grossir. Très indépendantes, les sorcières avaient eu tendance à se souvenir davantage d’elle, à l’invoquer, à solliciter ses faveurs, et, en conséquence, son culte avait grandi. Le temple était devenu un lumen de magie, où elle pouvait s’absorber dans cette dernière, et reconstituer son pouvoir. Et, suite à cela, elle arrivait enfin à se souvenir de son passé. De fait, maintenant, Sha ne songeait plus à reconstruire le culte en espérant qu’il survivrait, mais à le développer pleinement.

Et, pour ça, il lui fallait beaucoup de filles. C’était maintenant son nouvel axe de bataille, ce qu’elle allait faire avec Kiriko. La Celkhane portait un bébé, et Sha en aurait un autre, mais elle ne s’arrêterait pas qu’à ça. Elle voulait commencer par deux jumelles, dont l’une viendrait de Kiriko, et l’autre d’Açoka, l’une des toutes premières femmes ayant rejoint son culte, avant qu’elle ne retrouve Kiriko. Sha comptait ainsi avoir une superfécondation, c’est-à-dire un mécanisme extrêmement rare où deux ovules étaient fécondés par des spermes différents. C’était son plan. Elle en profiterait aussi pour engrosser Açoka, et comptait également utiliser Sya, qui était une Ange incroyablement fertile, pour qu’elle ait, elle aussi, un bébé. Kiriko, de fait, avait déjà prévu d’avoir un enfant avec Luxuria, en utilisant Sya comme mère-porteuse, chargée de stocker en elle les embryons issus d’un rapport sexuel entre Luxuria et Kiriko, de manière à ce que Sya puisse donner au monde un bébé. Luxuria étant une Homoncule, elle ne pouvait pas procréer par elle-même. Et, bien entendu, Sha comptait aussi enfanter elle-même Sya.

Mais, pour l’heure, elle se concentrait sur Kiriko, durcissant le rythme, intensifiant ses coups de reins, en grognant et en soupirant. La sueur coulait le long de son corps, tandis que Kiriko se dandinait sur le lit, hurlant et soupirant, en demandant à l’Ombre d’y aller aussi fort que possible. Ce n’était évidemment pas la première fois que Kiriko se faisait sodomiser aussi violemment. Si, chez la plupart des couples, le coït était la position sexuelle privilégiée, par défaut, entre Kiriko et Sha, c’était la sodomie.

« Hmmm... Ouiii, Kiriko, haaaa... Mais... Arya aussi, ma chérie... Hmmm... Il faut... Il faut qu’elle sache... Combien sa mère aime qu’on lui prenne le cul, haaa... »

Sha aurait pu finir par se lasser, mais, en réalité, à chaque fois qu’elle retournait s’enfoncer en elle, elle ressentait toujours le même désir, le même besoin, la même envie vorace de la pénétrer, de la sodomiser violemment. C’était donc ce qu’elle faisait, faisant se tortiller le lit, et finit par soulever Kiriko, en posant une main sur son ventre, à l’emplacement de son fœtus, et la souleva alors, la maintenant debout, elle-même venant s’asseoir sur le lit.

Dans cette position acrobatique, ses mains saisirent les poignets de Kiriko, et elle maintint ainsi la femme. Grâce à cette posture, sa queue s’enfonça aussi loin que possible dans le cul de Kiriko, dont les hurlements résonnèrent dans toute la pièce, faisant siffler ses oreilles.

« Ouuuiiii, haaaa... Vas-y, vas-y, Kiriko, danse sur moi... Fais-moi JOUIR !! »

Sha la laissa donc danser, et le lit se mit à craquer violemment, tant les coups de Kiriko étaient forts. La Celkhane était en sueur, sa mouille dégoulinant le long du corps de la femme. Sha criait, elle aussi, tant sa queue se faisait malmener dans ce petit trou étroit. L’Ombre hurla à nouveau, et ferma les yeux, avant de tendre tout son corps, et de balancer d’épais filaments de foutre dans le corps de la sorcière. Le sperme éclata le long de son cul, remontant à toute allure dans son rectum, éclatant en elle.

« Haaaa... »

Oh, que ça faisait du bien !

CRYSTAL
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Des caresses... Crystal ne s’estimait pourtant pas particulièrement douée dans ce domaine. Cependant, quand elle était une châtelaine, elle aimait bien recevoir des massages. Malgré sa peau froide et son tempérament très calme, elle se rappelait très bien comment elle avait frissonné. En un sens, son départ de tout à l’heure, sur la plage, était peut-être une réaction inconsciente à cette situation ancienne, qui lui rappelait une période heureuse. Crystal, en massant les épaules de Neferia, et en griffant tout doucement son dos, se replongeait dans ses souvenirs.

Neferia lui indiqua que les caresses pouvaient être utiles, tout en se laissant aller. La Dovahkiin pouvait le sentir. Le sommeil était en train de gagner la jeune femme, quand, brusquement, elle lui posa une question...

...Et les mains de Crystal dérapèrent soudain sur le dos de Neferia, manquant la couper, amenant la femme à se racler la gorge ensuite, en sentant une bien étrange gêne venir la traverser.

« Hmmm... »

Crystal se pinça les lèvres, et se redressa un peu.

« Je... C’est... C’est compliqué, Neferia. »

Quelque chose avait changé dans l’humeur de Crystal, ce qu’on voyait dans son intonation, devenant beaucoup plus sombre, beaucoup plus dure. Elle soupira, consciente que Neferia allait lui poser des questions, et que, dans ce domaine, la petite dragonne pouvait se montrer extrêmement têtue. Crystal en savait quelque chose, elle commençait à plutôt bien la connaître. La Dovahkiin soupira donc, et releva le visage, puis regarda à nouveau Neferia.

« Quand j’étais châtelaine, j’ai eu des enfants... Mais ils sont morts. Je suis... Une femme-dragon, Neferia, et ce n’est pas facile à porter. Quand j’arrive à mettre des enfants au monde, ils souffrent des tares propres aux humains. Les miens... Ils étaient beaux, vigoureux, mais n’ont pas survécu à l’érosion du temps... »

On sentait que Crystal pouvait encore en dire bien plus, mais, même pour elle, ce n’était pas vraiment un sujet simple à évoquer...

POISON IVY
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Devant la remarque d’Harley, Pamela sourit, et même gloussa un peu, étirant ses délicieuses lèvres dans un sourire onctueux. Sur ce point, elle ne pouvait effectivement qu’être d’accord avec sa petite folle, et tint à le lui faire savoir :

« Il n’y a que très peu de choses qui peuvent se prétendre être au moins à ton niveau à mes yeux, mon petit clown... »

Entre elles, il y avait une longue histoire, qui avait commencé il y a quelques années, et qui avait progressivement pris davantage de poids, jusqu’à prendre un tournant sexuel prononcé, puis significatif. Maintenant que les deux femmes étaient parties vivre au Japon, à Yoake, leur relation avait gagné en intensité sexuelle, ce qui était indéniable. Cette soirée en était l’illustration définitive. Pamela portait d’élégants sous-vêtements verts, et était entourée par deux clones d’elle-même, « Ivy-01 » et « Ivy-02 », Halrey, et un clone d’Harley, « Harley-01 », avec qui Harley semblait s’entendre à merveille. Les ingrédients pour une superbe soirée étaient réunies, et, pour l’heure, les deux Harley venaient se presser contre le corps de Pamela, la couchant dans le lit, couvrant son corps de caresses et de baisers.

Leurs douces lèvres filaient sur sa peau, les deux Harley venant rapidement se focaliser sur ses seins, les embrassant à travers le tissu de son soutien-gorge. Après tout, il était si rare de voir Ivy porter une telle tenue qu’elles avaient tout intérêt à en profiter au maximum. Les baisers se multipliaient donc, et les mains des deux Harley se rejoignirent sous sa culotte, caressant les alentours de son sexe, veillant à l’exciter, mais sans la doigter encore.

« Haaa... Ohhhh, mes chéries... »

Sensuellement, Harley lui faisait du bien, et remonta ses lèvres, pour l’embrasser goulûment. Ivy, si habituée à dominer la belle Harley, se laissait maintenant faire, goûtant à ce plaisir sensuel, et remua ses jambes et ses bras en sentant le plaisir croître. Son plaisir se diffusait dans l’esprit de ses clones, et Ivy-01 s’approcha d’elle, puis lui mit un bandeau autour des yeux, avant de sourire, et de se pencher vers la vraie Harley, lui murmurant quelques mots :

« Prends ton temps avec mon corps, nous avons effectivement toute la nuit... »

Et le temps, les deux Harley allaient le prendre. Après ce premier contact, le clone d’Harley se releva, et s’assit sur le lit, tandis que Pamela se redressa, en s’appuyant sur ses mains, et sentit Harley-01 se glisser dans son dos, l’invitant ensuite à s’allonger sur son ventre, en la tirant en arrière avec ses mains. Pamela se laissa faire, et sentit sa tête aller contre les seins moelleux du clone, tandis que, avec ses mains, et en souriant, ledit clone s’amusait à caresser ses bras et ses hanches, la faisant frémir par des caresses légères, et, parfois, appuyées.

Pendant ce temps, Ivy-02 s’approcha d’Harley, et l’embrassa fiévreusement.

« Lèche son corps, Harley... Et son bourgeon intime... Ou alors...
- Pénètre-là directement... »

Cette phrase venait d’Ivy-01, qui termina ce que son clone disait en se lovant de l’autre côté du corps d’Harley, volant ses lèvres à sa sœur génétique pour embrasser le délicieux clown, tout en caressant son sexe à travers sa culotte, la masturbant de bas en haut, comme pour essayer de faire sortir sa verge.

Mais le choix, en réalité, appartenait exclusivement à Harley...

FÉLICIA HARDY
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Aoki en bunny girl rose pimpante, c’était un appel au sexe sauvage et débridé, un appel à la luxure. Après avoir titillé la femme avec sa queue, Félicia la laissait maintenant la sucer, avec des mots très crus, mais qui, à leur manière, caractérisaient leur relation. On aurait pu penser à quelque chose de plus romantique, mais ce n’était pas pour les deux femmes. Son arrivée à Yoake avait amplifié la perversion naturelle de Félicia, elle qui, à New York, était surtout joueuse et mutine. Ici, c’était comme si son avarice, sa soif d’argent et de pouvoir, s’était progressivement muée en une soif de sexe. Cette soif l’avait même amené à subir cette opération uatéene, mélange de magie et de science, pour se doter d’une verge, pour devenir hermaphrodite. Pour l’heure, elle n’en faisait étalage qu’avec Aoki, mais, à force de travailler au lycée Mishima, on finissait peu à peu par comprendre que, dans ce lycée, les relations sexuelles entre professeur et élève constituaient la norme locale.

Elle soupirait pour l’heure, crispant ses poings sur place, tandis qu’Aoki, après quelques succions préliminaires, passa à la vitesse supérieure, optant pour plusieurs séries de gorges profondes, provoquant, dans le corps de Félicia, quelques vibrations sonores. Elle en décrispa les poings, faisant pointer ses griffes, et soupira encore, tout en remuant légèrement sur place, d’avant en arrière.

« A-Aoki, haaa... »

Yeux clos, Félicia bascula sa tête vers l’arrière, et posa finalement l’une de ses mains sur la tête de la magnifique Japonaise. C’était bien elle, c’était bien sa Aoki, toujours aussi perverse. Insatiable, impossible à stopper, elle était une vraie nymphomane. Une femme déviante ne pouvait s’entendre qu’avec une autre femme déviante. Voilà pourquoi leur couple, si atypique, fonctionnait à merveille, car elles pouvaient faire tout ce qu’elles voulaient. Outre coucher violemment entre elles, elles se livraient aussi à quantité de fantasmes peu avouables en public : sadomasochisme, échangisme... Félicia aimait se faire plaisir avec elle, et Aoki cessa de la masturber avec sa bouche, se redressant un peu.

Couverte de la salive de son amante, sa queue était bien dure, bien droite, raide et tendue. Elle crispait ses poings en soupirant, pesant le pour et le contre. La chatte... Ou l’anus ? Félicia sourit alors.

« Tu es en feu, ma lapine... Alors, ça nécessite un traitement intense, pour commencer... Etr, ne t’inquiète pas pour moi, je compte bien te baiser toute la nuit ! »

Félicia avait rarement rencontré une partenaire aussi résistante qu’Aoki, aussi sexuellement endurante qu’elle, à tel point qu’elle s’était même demandée si la Japonaise n’avait pas, à sa manière, un superpouvoir qui lui fournirait cette force exceptionnelle. En tout cas, Félicia lui ordonna de se mettre à quatre pattes, et, comme à son habitude, Aoki en profita pour frotter ses fesses contre sa verge, son pompon rose venant caresser l’extrémité de son sexe.

Pour première réaction, Félicia leva sa main, et gifla le cul d’Aoki, une claque sonore qui se répercuta dans leur chambre.

« Tu es... Vraiment incorrigible, espèce de... De sale catin ! »

Et PAF !, une autre claque résonna sur son petit cul rose. Félicia respirait bruyamment, haletant sur place, et écarta le bord de sa combinaison, dévoilant ainsi la croupe d’Aoki, avec cette rondelle qui semblait vouloir l’attendre.

« Je le précise quand même, mais... Parle-moi crument, Aoki, tu sais combien j’aime voir ma petite salope se dévergonder... »

Et, sur ce, elle alla s’enfoncer en elle, venant finalement explorer son doux et tendre fessier...

MIRANDA FORGE
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Les lunettes de Miranda ne fonctionnaient que sur Miranda, et, comme on pouvait s’y attendre, elles étaient tout, sauf des lunettes servant à assister une vision déficiente. En réalité, si quelqu’un d’autre que Miranda les enfilait, les lunettes se désactivaient, et étaient alors, peu importe la vision de la personne, impossibles à utiliser, car la vue se brouillait. Les verres des lunettes comprenaient en effet des nanomachines qui agissaient comme scanner optique, analysant la pupille de la personne les portant, et les fonctions ne se déclenchaient que pour Miranda. C’était un petit bijou de la technologie, et ces lunettes agissaient comme un véritable HUD, capables d’améliorer la vision de Miranda, de lui permettre de voir dans la nuit, à travers les vêtements, ou de zoomer, se transformant en véritables jumelles. Ce simple appareil était à la pointe du progrès. Si Rouge voulait voler quelque chose de précieux à Miranda, alors elle avait tenu ce bien pendant quelques secondes. De telles lunettes vaudraient une fortune si on arrivait à sauter la protection du scanner.

Mais, pour l’heure, Miranda et Rouge retournèrent à des préoccupations plus prosaïques : le sexe. Une chose ancestrale et bonne, qu’elles allaient faire toutes les deux avec appétit. Rouge était couchée sur le canapé, et proposa à Miranda de se montrer plus bestiale, ce qui ne manqua pas de la faire sourire. Sur l’écran géant, Kaleena continuait à hurler, et Miranda avait, fort heureusement, choisi de couper le son. Elle sourit donc, et, avant de lui répondre, glissa sa main vers le bas du canapé, et tira sur un levier, ce qui déclencha un système. Le canapé s’abaissa totalement, la partie supérieure tombant pour former un lit. Le système uatéen se voulait très facile, avec tout un système de pompes pour permettre de transformer le canapé en lit en quelques secondes.

Rouge se retrouva ainsi étalée au milieu de ce nouveau lit, et Miranda lui sourit, tout en léchant son entrejambes.

« Tu es gourmande, Rouge... Mais, me transformer en Terranide... Il ne suffit pas de coucher avec moi pour espérer voir ce genre de désir se réaliser. »

Miranda savait qu’il existait des potions de polymorphisme permettant ce genre de choses. Même si, à Uatis, on voyait la magie comme une simple force naturelle, la PDG, elle, savait très bien que la magie était capable de prouesses surnaturelles. Face à Rouge, elle s’attaqua donc à son sexe, le léchant à travers son pantalon. C’était une tenue résistante, aussi seyante que solide, et elle le sentait. Pour l’heure, il était vain de tirer dessus, mais ça ne l’empêchait pas de la lécher énergiquement, à l’emplacement de son sexe, répandant sa salive dessus. Si Rouge pensait Miranda trop « BCBG » pour se livrer à cette sauvagerie sexuelle, elle allait vite comprendre qu’elle se trompait lourdement sur la belle blonde. Il y avait, chez Miranda, un degré de sauvagerie et de puissance impressionnant, qu’elle délivrait généralement par le biais de rapports sexuels brutaux et violents. Rouge allait en être l’heureuse victime.

Pour l’heure, donc, Miranda léchait, sa langue glissant sur le pantalon, de haut en bas, d’avant en arrière, et elle s’arrêtait parfois, posant ses lèvres sur son bassin, et laissait sa salive s’écouler dessus. Elle entendait Rouge remuer sur le lit, faisant quelques délicieux crissements quand sa combinaison se frottait contre le lit.

« Hmmm... »

Miranda se concentrait, d’avant en arrière, léchant encore, sentant, peu à peu, ce pantalon se coller davantage contre sa peau, moulant magnifiquement ses formes, jusqu’à ce qu’elle puisse voir les rebords de son bourgeon. Un léger sourire se forma alors sur ses lèvres, puis elle avança désormais ses dents, et les planta dans la combinaison, puis tira dessus, tout en posant ses mains autour de son visage, afin de faire contrepoids. Elle relâcha, puis mordit encore, et tira, tira fermement, crispant ses muscles... Rouge filait vers elle, avant d’être plaquée contre le lit, et, encore une fois, Miranda se mit à tirer, sentant la combinaison se mouvoir contre ses dents. Difficile de déchirer cette texture, mais la PDG avait, fort heureusement, plus d’un tour dans son sac, et continua encore à forcer, grognant et secouant la tête dans tous les sens.

« Mmmrrrppffff... !! »

Elle continuait à tirer, tout en veillant bien à coincer le vêtement avec ses mains, et ce dernier commença à émettre des craquements. Miranda en avait les joues rouges, soupirant lourdement, et força encore. Néanmoins, maintenant qu’elle avait commencé à tirer, le reste se retira encore plus facilement, et elle arracha ainsi un lambeau du pantalon, et le tint entre ses lèvres, ce qui, pendant quelques secondes, avec son corps agenouillé, devait probablement lui donner l’allure d’une chienne.

La femme recracha alors le morceau de tissu, et sourit.

« Ne t’inquiète pas, ma chérie, tout ce que j’endommagerai, je le réparerai. »

La femme lui sourit ensuite, et approcha ses lèvres de son intimité, puis commença à lécher son sexe, enfonçant sa langue entre ses lèvres intimes, son nez appuyé contre le latex de son pantalon, et elle lécha donc, tout en en profitant pour reposer ses dents... Car, mine de rien, déchiqueter ce pantalon lui avait fait du mal aux dents.

« Mmhmmm... »

RYOUKA
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« Hmmmm... B-Bien sûr qu’elle... Qu’elle l’est ! Haaaa... Nika aussi est... Est fan de.... De Poison !
- Peuh ! N’importe quoi ! »

Vraiment ? Si on observait bien Nika à ce moment-là, on verrait qu’elle avait rougi. Les sœurs Spänje avaient des tempéraments très différents, mais, si Ryouka était la plus perverse des deux, Nika était loin d’être une sainte. Autrement dit, les deux ne s’étaient pas construites en opposition, et Ryouka soupçonnait même sa sœur d’être au moins aussi perverse qu’elle. Cependant, la différence principale entre les deux venait surtout du fait que Nika incarnait la grande sœur, celle qui protégeait, et qui, partant de là, se devait d’avoir la tête sur les épaules, là où Ryouka était nettement plus insouciante. On le voyait encore en ce moment, mais elle avait tapé juste.

Effectivement, Nika aimait bien Poison, et, sans partager la dévotion de Ryouka, elle se voyait bien coucher avec elle, elle aussi. Belle, la femme était aussi très endurante, et le récit de ses exploits sexuels était impressionnant. Elle avait de plus récemment signé un important contrat avec GeoWepon Corp., qui donnait lieu à divers émissions, et Nika adorait voir celle où elle explorait les couloirs de la firme, et couchait avec toutes les personnes, ou presque, qui lui tombaient sous le nez.

Tsukasa, elle, semblait se régaler d’être en compagnie des deux femmes, et, tout en continuant à sodomiser et à gifler Ryouka, tourna sa tête, allant embrasser Nika, qui répondit volontiers à son baiser, posant l’une de ses mains sur l’autre fesse de Ryouka, sa seconde main venant se glisser dans le creux des reins de la femme, appuyant sur sa peau, fourrant sa langue dans sa bouche. Et, tout en l’embrassant, Tsukasa continuait à enfoncer sa verge dans le délicieux cul de la jeune femme aux cheveux argentés.

« Tu comptes nous remplir toutes les deux ? Gourmande... »

Mais, si Nika était venue jusqu’ici, ce n’était évidemment pas pour leur tenir la chandelle. Jamais une Spänje ne se contenterait de si peu, et, en attendant, elle laissa Tsukasa se répandre dans le corps de Ryouka. Maintenant que Nika était là, Tsukasa avait visiblement envie de changer de partenaire, et remplit donc Ryouka, qui en soupira de plaisir, se mordillant les lèvres en frémissant sur place.

« Haaaaaaaaaaaaannn... Ouuuiiii... !! »

Le plaisir déferla dans le corps de Ryouka, la transcendant, la transportant et la soulevant dans les airs, avant de revenir à la réalité, le corps en sueur, et la respiration haletante. Tsukasa venait de remplir le cul de la jeune femme, et, à peine eut-elle le temps de se retirer que Nika alla l’embrasser encore, plus goulûment qu’auparavant, et l’attrapa par les fesses, la soulevant, amenant les jambes de Tsukasa à s’enrouler autour de ses hanches, tandis qu’elle allait finir dos au mur, faisant tambouriner ce dernier.

« J’espère que tu as encore de la réserve, ma chérie... Car, moi, je suis au moins aussi endurante que ma sœur, tu sais ! »

Autant dire que ça promettait pour le reste de la soirée...

SAMARA
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Sya était une jeune personne très convaincante dans le rôle de la victime violée, un personnage qu’elle jouait fréquemment quand elle faisait l’amour avec Samara. C’était un rôle parfait, en même temps, la démone violant sauvagement la petite ange ingénue et pure. Dans ce domaine, Sya était donc excellente, allant jusqu’à tenter, en vain, de fuir. Samara pouvait déployer toute cette agressivité et cette sauvagerie démoniaque qui sommeillait en elle par ce biais, et elle plaqua violemment Sya contre le mur. Dans un coin de sa tête, elle ne pouvait que féliciter les Novaquiennes d’avoir fait des murs aussi résistants, car les hurlements de Sya étaient extrêmement réalistes. Elle se donnait à fond dans son rôle, pleurant, gémissant, et Samara, de son côté, se montrait plus brutale encore, bandant ses muscles.

L’une des conséquences directes de cette situation, ce fut ses cornes. Habituellement repliées le long de ses cheveux, elles se redressèrent, pointant fièrement au-dessus de son crâne, lui conférant ainsi une posture bien plus infernale, et elle mordilla la chair de la femme, serrant fort à hauteur du cou.

« Hmmmm... Ouiii... Haaaaa... S-Souffre, haaaaa... !! Hmmmmm, tu es si bonne, ma salope... !! »

Même la voix de Samara se faisait plus caverneuse, et sa queue caudale ondula sur place, allant fouetter le délicieux petit cul de la femme. Rien n’était épargné à Sya. La langue de l’Archimage se fit ainsi plus longue, plus fourchue, léchant son cou, avant de s’enrouler autour de ce dernier, et de serrer, venant ainsi l’étouffer à moitié. Elle serrait avec sa langue, relevant le corps de Sya, puis l’envoyait à nouveau s’écraser contre le mur, encore et encore, donnant ainsi à cette séance de sexe la véritable apparence d’un viol, sauvage, violent, brutal... Démoniaque.

Naturellement, Samara ne savait pas que tout ceci était un plan de Sya pour obtenir son bébé. Elle se défoulait juste, griffant ses cuisses, tandis que sa verge enflait et grossissait encore, les larmes et les hurlements de Sya, tout comme ses gesticulations, ne faisant que renforcer sa détermination. Ainsi, plus Sya se débattait, et plus Samara la baisait violemment.

« Hmmm... Petite... PUTE !! »

Samara relâcha son cou avec sa langue, et la fouetta à nouveau avec sa queue, l’envoyant s’aplatir à nouveau contre le mur. Sa queue devenait si épaisse qu’elle en déformait le ventre de Sya, qui grossissait quand sa verge s’enfonçait, et diminuait quand elle repartait. Une queue épaisse, dure, comme Sya les aimait, et Samara déplaça l’une de ses mains, empoignant les beaux cheveux de Sya, et la tira en arrière, puis en avant, plaquant son corps contre le mur. Elle voyait les bras de Sya taper sur ce dernier, tandis que Samara continuait, imperturbablement, à la baiser.

Comme Sya avait reconstitué son hymen pour se donner l’apparence d’une vierge, le sang continuait encore à couler de son intimité, ce qui, visiblement, ne choquait nullement Samara. Une mère de choc, qui poursuivit son rude traitement, jusqu’à approcher de l’orgasme. Elle posa alors chacune de ses mains sur les seins de Sya, et les pinça douloureusement en appuyant sur les tétons, puis continua à la prendre, jusqu’à sentir une terrible vague la traverser. Si Sya maîtrisait la magie rose, c’était aussi le cas pour Samara, qui maîtrisait quelques tours, et mélangea subtilement magie rose et magie élémentaire, en utilisant un sort d’Air au moment de jouir.

Une véritable explosion de foutre remonta dans le corps de Sya, et, avec le sort d’Air, l’Ange se catapulta depuis sa verge, dans une fusée de sperme. Samara hurla de plaisir, tout en sentant le corps de Sya partir, fusant comme un bouchon de champagne qu’on aurait fait sauter trop vite, la pression la balançant sur le sol. L’Ange de la Luxure s’y vautra lamentablement, dans une mare de sperme et de sueur, tandis que la queue de l’Archimage expulsait encore d’impressionnantes quantités de foutre, Samara se masturbant énergiquement. Son sperme éclata sur le mur, mais aussi sur le corps de Sya, dégoulinant le long de ses jambes, de son visage, et de son ventre déformé.

« Haaaaa... »

Samara reprenait son souffle, tandis que son corps reprenait son apparence normale.

« Ça... Ça fait du bien, non, tu ne trouves pas ? »

La respiration de la démone était lourde, signe évident de sa fatigue.

JESSICA DREW
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Mieux valait, en effet, ne pas noircir ses nuits de cauchemars. Il était curieux que cette femme n’ait jamais entendu parler des Formiens, ce qui, une fois n’est pas coutume, renvoyait Jessica à essayer de la percer. D’où venait-elle ? Lumen était sa principale théorie, vu l’animal bizarre qu’elle avait, un Chocobo. On n’en trouvait que peu dans les environs de Uatis Metropolis. Et, maintenant qu’elle venait d’avouer son ignorance des Formiens, on pouvait définitivement exclure d’autres pistes. En effet, Jessica avait aussi songé à Edoras, mais les Edorassiens connaissaient tous les Formiens, étant de racine uatéene. À Lumen, le doute était permis, car, pour autant que la jeune Uatéene le sache, les Lumeniens n’avaient encore jamais subi de bio-infestation. Alors, il n’était probablement pas impossible d’envisager que des Lumeniens n’aient jamais entendu parler de ça.

*Oui, d’accord, mais...*

Comment expliquer sa facilité naturelle, non seulement avec les jeux vidéos, mais aussi avec la technologie numérique ? Un Lumenien se reconnaissait toujours à ça. Les différences technologiques entre Uatis et le reste du monde faisaient que les Lumeniens, tout comme les Mijakiens, étaient toujorus désorientés en arrivant à Uatis Metropolis. Trop d’écran géant, trop de numérique, trop de pixels qui dansaient devant leurs yeux. Ils étaient très mauvais aux jeux vidéos, parce qu’un jeu vidéo était quelque chose d’instinctif, où il ne fallait parfois pas réfléchir, et juste se lancer. Pour des personnes adultes, c’était donc toujours plus difficile, un peu comme vouloir apprendre à un adulte à utiliser une fourchette et un couteau. On y arrivait bien plus facilement avec un enfant, car l’enfant ne raisonnait pas de la même façon que l’adulte... Et, avec les jeux vidéos, c’était la même logique.

Or, ici, Konata se comportait comme si elle était née avec un pad’ entre les mains, parvenant même à humilier Jessica. La jeune femme en était donc confuse, et, tout en continuant à réfléchir, en vint surtout à se demander...

*Pourquoi je ne lui demande pas directement, d’ailleurs ?*

Alors que cette idée venait de s’imposer dans sa tête, Konata lui demanda soudain son âge.

« Euh... »

La question étant assez surprenante, Konata précisa rapidement qu’elle le demandait pour savoir où elle en était, au niveau de ses études. Y voyant surtout l’occasion de rebondir, et de pouvoir satisfaire sa curiosité, Jessica ne tarda pas, et s’empressa de lui fournir des éléments de réponse :

« J’ai dix-huit ans, et je suis à un lycée à Uatis Metropolis. Un lycée public, mais qui subit un important financement de la part de GeoWeapon Corp. »

Un fonctionnement logique, car le lycée était situé dans un quartier créée par GWC, et ne comprenant que des employées de la puissante firme. C’était donc une école semie-publique, car, tout en suivant le programme d’enseignement public de l’Éducation Nationale, elle bénéficiait de financements privés, une possibilité offerte aux firmes depuis que le Sénat avait sauté de nombreux verrous économiques, et soutenait une politique ultralibérale.

Jessica avait donc répondu, et enchaîna tout aussi rapidement :

« Et toi, alors ? Tu viens d’où, comme ça ? »

Difficile de faire plus clair comme question...

LAURA KINNEY
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Les pointes d’accélération du Roller Typhoon avaient de quoi décrocher la mâchoire aux plus hardis des super-héros. Cet impressionnant roller coaster proposait des descentes spectaculaires, où l’engin filait à la vitesse d’un bolide, provoquant une pointe d’accélération incroyable. Laura y avait goûté de plein fouet, mais, là où bien des Novaquiennes sortirent toute patraque, elle se remit bien vite sur pied. Les musiques, les lumières, tout l’absorbait et l’aveuglait... Et, surtout, elle admettait adorer les croustillons, et en reprit donc de nouveaux.

« C’est vraiment trop bon, je ne savais pas que des choses aussi délicieuses existaient ! »

Elle avait déjà eu l’occasion, à Yoake, de goûter aux glaces, et elle s’était surprise à adorer ça, alors que c’était gelé. Félicia, qui avait choisi de l’éduquer (elle préférait traiter Laura comme une fille normale, plutôt que de la laisser dans une cellule de haute-sécurité du S.H.I.E.L.D.), avait vite compris que la nourriture était le moyen le plus efficace de briser la coquille de Laura. Quand elle servait l’HYDRA, elle ne mangeait que des rations de survie, des boîtes de conserve, des plats rapides à faire, mais qui n’avaient aucun goût. Ainsi, Félicia, avec l’aide d’Aoki, s’amusait souvent à lui préparer des gâteaux. Laura raffolait des gâteaux au chocolat servis avec de la crème anglaise, de toutes ces sucreries et viennoiseries dont elle avait été privée pendant son enfance. Ce n’était pas non plus une évolution formidable, car, à côté de ça, Laura restait toujours très réservée, mais c’était, pour Félicia, un premier progrès.

Usant de ses griffes, elle les plantait pour attraper les croustillons, et les gobait, tout en continuant à marcher. Wonderland était un impressionnant parc d’attractions, souvent considéré comme le plus grand du monde. Il s’étalait sur toute une île, et tournait nuit et jour, avec des feux d’artifices qui explosaient régulièrement dans le ciel, des animations, des clowns, des mascottes, des hôtels, et, évidemment, un grand-nombre d’attractions. Laura et Illyana se rapprochèrent notamment d’un train fantôme, et choisirent de le prendre, plus pour se détendre qu’autre chose. Ayant passé plusieurs années dans les Limbes, il en fallait bien plus pour effrayer Illyana. Le train s’aventura ainsi dans un manoir hanté, avec des zombies jaillissant de placards, des fantômes qui jaillissaient à droite et les traversaient, par le biais de systèmes holographiques. Le train fila également tout autour d’une grande salle à manger avec un lustre, et où tous les convives avaient été empoisonnés, des fantômes sinistres tournoyant autour d’eux.

Le duo sortit à nouveau, continuant à s’avancer sous une musique entraînante. Laura voyait plusieurs restaurants installés ici et là, avec, à l’extérieur, des grills où on faisait rôtir à la broche des lapins, des agneaux, formant une belle viande saillante, dans des cadres champêtres qui juraient beaucoup avec l’aspect extrêmement technologique de Uatis. Wonderland tenait assurément toutes ses promesses, et Laura se surprenait à vouloir essayer presque toutes les attractions. Le duo fila ainsi dans une sorte de voyage dans les airs, sur une nacelle surplombant une grande maquette de Uatis Metropolis.

« C’est vraiment incroyable, ce qu’ils ont fait ici... Il y a une foire à Yoake, mais... Elle est quand même moins grande qu’elle. »

La jeune mutante s’amusa également à un stand de carabines, où sa précision légendaire sembla amener le forain au bord de l’apoplexie. Le principe était enfantin, mettre des ballons dans une cage, et ces derniers, sous l’effet d’un ventilateur, remuaient dans tous les sens. Laura commanda 10 cartouches, et réussit, non seulement chaque tir, mais en faisant des doublons, voire des triplés. Elle obtint ainsi un score plutôt impressionnant, et choisit de prendre, après quelques hésitations, une peluche en forme de Mog, qui poussait un « Kupo » quand on appuyait sur un bouton situé dans son ventre.

« Je l’offrirai à Félicia, elle ressemble un peu à ses chats. »

Continuant leur tour, elles atteignirent une place centrale avec un carrousel, un palais des glaces, et un bâtiment à cinq niveaux proposant toute sorte d’acrobatie, un palais des aventures. Avancer à travers un tonneau qui tournoyait, dans le noir, sur des escaliers aux marches qui s’abaissaient et se soulevaient... Laura sembla hésiter un peu, et se dirigea finalement vers le palais des glaces. Un endroit qui s’avéra particulièrement difficile pour elle, car elle ne pouvait guère se reposer sur son odorat, ni sur son ouïe, et encore moins sur sa vision. Partout, elle se heurtait à des murs invisibles, tâtonnant avec ses mains, comme pour chercher son issue.

Elle arriva finalement à trouver l’escalier, tout en voyant, autour d’elle, de jeunes enfants, ou des couples, qui semblaient rire aux éclats.

*J’admets que c’est marrant... Même si je ne comprends pas trop pourquoi...*

Le palais comprenait un étage, et Laura arriva à cet étage, longeant le rebord... Et s’arrêta soudain en sentant une odeur... Malsaine. La jeune femme s’arrêta sur place, ce qui fit qu’un jeune garçon, qui était derrière elle, la heurta.

« Hey ! protesta-t-il. Mais pourquoi vous vous arrêtez ?! »

Laura ne réagit pas, et observa le carrousel, en fronçant les sourcils, et émit un léger grognement. Son regard se porta ensuite sur le palais des aventures, et remonta le long de ce dernier... Pour voir un étrange individu, appuyé sur ce dernier, avec une visière rouge. En le voyant, Laura grogna encore, et crispa ses poings. Le jeune garçon, surpris, vit alors des gouttes de sang perler le long de ses jointures, et choisit prudemment de s’écarter.

Cet homme... Il avait une aura malfaisante, une odeur haineuse que Laura ressentait.

Et ça ne lui disait absolument rien qui vaille.
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Hinata Kaguya »

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Hinata Kaguya
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Hinata
Peu importe ce que le futur leur réservait, qu'Edoras change ou non, que ce soit un garçon ou une fille, Hinata allait être maman ! Marier à Shunya, mère dans neuf mois, après ses quelques années de malheur, la vie semblait lui redresser la pente de façon rapide et elle n'allait pas s'en plaindre. Même si elle ignorait encore tout de ce bébé, elle voyait une magnifique petite fille, sa petite princesse chérie qui fera leur bonheur de tous les jours, les plus beaux moments de sa vie, ses premiers pas, ses premiers mots, ses premiers jours d'écoles, elle avait tant de « premiers XXX » à vivre avec sa femme qu'elle en était impatiente. Sans porter malheur, rien n'était encore jouer mais elle voyait déjà la vie en rose avec ce bébé. Rien ne pourrait retirer son bonheur, elle était bien trop heureuse actuellement !

Retrouvé le temple sous les rires des enfants, ce serait très beau effectivement. Elle avait connu le temple ainsi, étant jeune, jouant à des jeux d'enfant à travers les couloirs et du jour au lendemain, c'est devenue si silencieux, si paisible. Un paisible silence angoissant au début qui avec le temps avait trouvé sa quiétude. Elle voulait entendre des rires et des pleurs à travers les couloirs, comme elle en avait connu étant petite fille. Dans quinze ans, comment ce sera ? Des tas d'enfants ? Comme elles le souhaitent ? Des princesses de différents âges et caractère ? Oui, elle y a déjà songé et elle les voyait déjà toutes, de la gentille à la rebelle, en passant par la timide comme celle qui déborde d'énergie, oh cette vision était si belle. Il y aura surement des garçons dans le lot, Hinata craignait juste le premier bébé, si elle a une fille, la suite elle se fichait bien des sexes. Toujours tenant sa main, elle écouta la supposition de sa femme, chose à laquelle elle n'y avait pas songé. Elle souriait, rougissant doucement en préférant observée les rougeurs de sa femme, ça la rendait si mignonne !

« Je n'y ai jamais vraiment songé à vrai dire... Ce n'est pas que je ne veux pas mais je pensais que nous aurions fort à faire avec un bébé alors deux en même temps... Cela dit nous pouvons toujours essayer ? Les kamis ont voulu que la nuit de notre mariage, notre famille prenne forme alors je n'oserais pas contredire un kami. »

Certes, la queue d'Hinata n'avait rien de divin ou naturelle lors de leur mariage, par le biais de Tsukasa, un kami avait décider d'agrandir la famille Kaguya alors peut-être que cette nuit aussi si elles s'y mettent ? Quelle pub cela ferait pour Novac quand même, le couple royal Kaguya ont procrée dans cette chambre, la preuve étant l'enfant que porte la reine ! Non, ils n'oseraient pas faire une telle pub. Hinata n'avait rien pour devenir futa cependant, ses affaires comprenaient certes quelques dessous aguichants mais ce genre de chose n'était pas sa priorité en venant se reposer. Soit Shunya avait prévu le coup, soit Nora pourra les aider et dans le pire des cas, elle a son joker. Tsukasa. Tsukasa qui n'a pas ce genre de chose sur elle, c'est comme une personne qui oublierait de respirer, ça ne se peut pas.

« Pauvre Nora quand même... Si nous tombons enceintes en même temps, sur les dernières semaines, nous allons lui demander mille et une choses dans la journée. Néanmoins, élevée un, deux ou plusieurs bébés en même temps, je m'en sens capable avec toi à mes côtés ma chérie. Rien ne me ferait même plus plaisir que ça. »

Reste à savoir, si Hinata tombait à son tour enceinte, qui allait accoucher la première ? De quel sexe sera le bébé ? Et pour l'avenir ? En admettant que par le plus grand des hasards, elles accouchent le même jour, en même temps, un garçon et une fille, l'avenir du royaume sera pour qui ? Elles étaient encore bien loin de penser à cela, même en tombant enceinte, elle avait au minimum presque dix-neuf ans pour se décider de changer cette loi, ce n'est pas demain la veille que cette discussions allait arriver sur le tapis.

« Si cela arrive, nous serons les premières de l'histoire d'Edoras à être enceinte dans la même période. »

Même dans les couples lesbiens des Kaguya, aucune reine n'était enceinte en même temps que sa femme. Peut-être Elmyra et une de leurs nombreuses maîtresse mais comment savoir ? La liste était bien trop longue et tellement vague. Elles avaient retrouvé que très peu de traces pour le moment, en dehors de Nanami qui était sa cousine de Lumen, les autres Kaguya « bâtarde » étaient inconnus. Hinata venait à en baiser sa main, toujours aussi souriante, elle était si heureuse avec sa femme.

« Je n'aurais jamais pu trouver meilleure partenaire pour ma vie que toi. Tu ne cesse de me combler de bonheur. »

Elle le pensait vraiment, évidemment.
Tessou
Kara taquinant Tessou, ce n'était pas nouveau, ça avait toujours été comme ça entre elles, la belle blonde trouvant toujours maintes choses faisant rougir la jeune femme, la gênant dans le sens mignon, sans pour autant être honteux. Alors, volontairement ou non, elles se retrouvaient souvent dans ce genre de position, que ce soit à table, devant la télé ou dans un lit. Même dans une baignoire comme maintenant. Kara recommença sa faute, faisant de Tessou un hamster qui gonfla ses joues pour bouder. Comment ne pas avoir envie de la taquiner quand elle agissait comme ça aussi ? Elle tentait de changer de sujet pour amener autre chose mais évidemment, joueuse comme toujours, Kara voulait sa surprise maintenant, même ce soir. Ce soir... Kara devait imaginer quelque chose d'érotique et sensuelle mais ce n'était pas le but premier. Avec ces vacances, elles allaient louper une fête à Seikusu où Tessou aurait pu sortir en kimono avec Kyoko et voulait quand même offrir ce spectacle ici à Novac mais.. Cela dit oui, elle pouvait bien le mettre ce soir mais Kyoko ne sera surement pas d'humeur à faire un petit défiler, même pour tata Kara.

« On verra cela alors. »

Non pas qu'elle voulait vraiment faire du chantage, elle n'était pas douée pour cela mais elle pensait surtout à une vision des choses plus classique et moins adulte. Tessou, toujours aussi naïve pour ce genre de chose. Encore un atout charme. Elle aimait ce genre de petite attention, leur nez qui se frottait, elle trouvait cela mignon. Rien de sexuel ni d'explicite, elle ne ferait pas cela en public certes mais avec Kyoko, elle n'avait aucun souci par exemple. En même temps, c'est sa fille et ce n'est certainement pas un problème. Autre sujet encore, la robe de ce soir. Car étant des vacances, Tessou était loin d'avoir emporté ses plus belle rose, elle avait simplement des tenue plus détendu pour les vacances mais pas de panique, selon Kara, elles trouveront leur bonheur dans les boutiques mis à disposition. Elle se demandait sur quel genre de vêtement elle allait tomber encore mais au moins, elle avait une roue de secours. Tessou entrepris elle aussi de quitter la baignoire alors que Kara recommençait avec ce surnom, la jeune femme levant ses yeux accusateur vers elle qui proposa de suite autre chose... de beaucoup plus gênant.

« Tu es folle ! » élevant la voix, elle plaqua ses mains devant sa bouche, ayant peur d'avoir réveillé Kyoko mais... pas un bruit, ouf. Elle reprenait donc plus doucement en étant passé de sa peau pâle à un rouge tomate. « Tu es folle ! Jamais je n'oserais dire une telle chose, privée ou public ! Et puis c'est tricher, les balles de fusil sont aussi douloureuses qu'une mouche qui se heurte sur toi, ce n'est pas mes petites mains qui vont te faire mal ! »

Non, elle n'était pas du tout tenté de se montrer un tant soit peu SM avec Kara mais imaginé ce genre de scène ne la laissait forcément pas indifférente. Que ce soit avec ou sans cuir, cette idée était très étrange. Les gens avaient le droit d'avoir leurs préférences mais ça ! Bizarre ! Tessou commença à s'essuyer avec une serviette, cherchant à masquer sa nudité comme elle le pouvait devant Kara en lui tournant le dos par exemple. Elle préférait sentir son regard dans son dos que sur son corps, devant, à certaines parties intimes. Faire les boutiques ne sera pas difficile, même avec Kyoko, il faut espérer qu'elle ne soit pas grognonne. Autant la laisser encore dormir un peu pour se reposer.

« Tu as vraiment de drôles d'idées parfois ! »

Elle n'était pas fâchée, plus gênée que la Kryptonienne ai abordé un tel sujet avec autant de légerté. Elle était toujours aussi pudique, comme n'importe quelle Japonaise pure souche mais c'est vrai que les deux femmes abordaient rarement le sujet de fantasmes et autres choses plus déluré. Pour cause et comme preuve, chaque fois qu'elle lance un sujet, Tessou est neuf fois sur dix trop gênées pour en parler. Même avec Ryota, elle était déjà comme ça sur des choses classiques avec un homme et une femme alors deux femmes... elle ne s'y faisait pas encore totalement. Comme si cela déplaisait à Kara d'avoir beaucoup de cartes en main pour jouer avec Tessou à bien des choses, sexuelle ou purement taquinerie !
Karistal
Tout cela n'était qu'un régal sans nom ! Yuko n'était pas une soumise facile mais pour leur neko qui avait vaincu plus ou moins sa peur de l'eau, il fallait bien récompenser une petite chatte aussi courageuse que ça ! Alors bon, pour ce soir, elle veut bien être soumise. Puis une Maîtresse Luna... c'était aussi attirant que curieux ! Coincée dans ce jeu et dans cette position, elle subissait tous les assauts de la maîtresse chatte qui se faisait si plaisir que s'en était presque mignon ! Sa bouille d'amour qui réclame autant d'amour, comment l'en priver ? Il n'y avait que Yuka qui était plus ou moins frustrée, de ne pas être centre des attentions mais surtout de ne pas se faire pincer les fesses ou encore de ne pas se faire fesser. À croire qu'il n'y en avait que pour sa sœur. Elle jouait bien un peu avec elle mais aussi marrant soit le fait de ne pas être la soumise pour une fois, elle voulait être le petit jouet de Maîtresse Luna ! Voilà ce qui la tentait !

« Nyyyyaaaan ! »
« Huuuuuuummm ! »


Les deux petites chattes ronronnaient et miaulaient de plaisir pour cette gentille Luna qui faisait bien ce qu'on lui disait et la voir jurer, s'en était si mignon ! Oh, elle en savait des grossièretés, combien de fois elle s'était traité de petites putes ou d'autres noms tout aussi charmants et excitants durant l'acte ? Mais la voir renvoyer la balle sur ses deux belles, grandes et puissantes maîtresses... C'était comme voir un tout petit-enfant qui dit des gros mots, on sait que ce n'est pas bien mais c'est mignon et amusant aussi. Par chance, après s'être autant déchainé, la neko venait à jouir en Yuko, déversant son foutre de plaisir, soulagée d'avoir bien fait son travail. Yuka aussi était contente, elle allait enfin pouvoir jouer ! La petite chatte ne manquait d'ailleurs pas d'idée en proposant de faire redresser sa queue pour qu'elle ai ensuite droit à son petit plaisir !

« Nyyyyyyaaan !!! »
« Nyuuuu... »


En voilà deux petites nekos heureuses ! D'un commun accord, les deux nekos venaient lécher et sucer les belles boules imberbe de la neko, délicieuses bien rondes, elles se faisaient un plaisir de tirer dessus en les aspirants, faisant glisser leur langue dessus, le tout en gardant leur maîtresse neko à l'œil. Yuka était vraiment en manque vu la façon de se frotter à sa jambe, ronronnant de plaisir et frémissant en voyant doucement sa queue se redresser. Yuko était plus calme en suçant sa boule, elle caressait la jambe de Luna mais elle n'était pas en transe comme sa jumelle.

« Vas-y Yuka... Nyuu, tu en meurs d'envie... »

Après une grosse seconde d'hésitation, elle relâchait la boule pour venir sucer sa queue plutôt, gourmande comme tout, elle la suçait doucement mais surement, venant offrir une gorge profonde en même temps à sa maîtresse pourtant pas encore bien réveillé. Sa queue était délicieuse et elle était pressée de l'avoir en elle aussi, entre les jambes ou entre les fesses, elle n'attendait que ça.

« Nyaaaaan ! Yuka est une gentille neko, hein Maîtresse ? Vous pouvez baiser Yuka aussi longtemps que vous le voulez, elle adooooore chat ! »


Impatiente, elle faisait frotter son visage sur son sexe, osant demander quelque chose à la maîtresse neko, elle savait bien que ce n'était pas autorisé mais qui pourrait l'empêcher de demander une fessée, hein ? Elle en avait envie... plus que tout ! Elle avait vue une Luna futa, une Luna maîtresse, une Luna vulgaire.... elle voulait une Luna Sado ! Qu'elle vienne la fesser avec ses patounnes ou sa queue, elle n'attendait que ça, recevoir la punition de sa maîtresse. Yuko ne pouvait que sourir en voyant sa sœur en manque, c'était tellement drôle !
Kiriko
Leur ébat amoureux, à elles, c'était loin des petits mots tendres et mignons. Certes, elles ont leur petit moment rose bonbon plein de caresses, de gloussements et de rougeur sur les joues mais entre ses deux-là, leur amour se montre surtout dans la force, le sexe sous sa forme la plus animale possible. Kiriko était certes membrée mais ça n'empêchait pas Sha de lui prendre le cul en la masturbant doucement afin de mieux la stimuler sans pour autant la faire jouir. Rien que sur ça, on voit que la douceur ne serait pas pour de suite. Même en étant comme ça, elles restaient amoureuses et pleines de rêves, le rêve de voir ce soir leur petite Gaby grandir dans le ventre de Sha, Arya était déjà en Kiriko et grandissait très doucement, il en sera de même pour Sha mais pour ça, il faut déjà planter la petite graine.

« Rhhhhaaaaan ouiiiii en-encooooore !!!! »

Kiriko venait même à s'asseoir sur les cuisses de sa femme – eh oui, marier à une déesse, même si cela ne change rien entre elles, elle était la seule à avoir ce titre au temple. Parmi toutes ses sœurs sorcières, qui peux se vanter d'avoir un amour millénaire avec Sha ? Kiriko n'en prenait pas la grosse tête, au contraire, que ce soit ça ou le fait d'être enceinte, elle se montrait plus douce avec les autres, plus maternelles. Même avec Açoka, elle évitait de trop vite lui sauter dessus. Pour tenir parole à Sha mais aussi pour éviter de blesser son bébé durant un potentiel échange de coups. Prudence est mère de sûreté. Assise sur ses cuisses, elle était maintenue par les poignets par la déesse pendant que la Celkhane sautait sur elle, s'empalant sans douceur sur sa queue, pendant que son sexe tendu remuait doucement de bas en haut comme un crayon qu'on agiterais entre ses deux doigts. L'impression d'être mou alors qu'il était tout dur. Sa queue se balançait au rythme de ses sauts, de même que ses bourses, tout cela préparer Gaby à se mettre en place sur la ligne de départ pour bientôt filer dans l'utérus de sa mère.

« Haaaaaan ! Haaaaaaaaaaan mouiiiiiii, c'est... Trop booooooooon !!! »

Dernier coup de fesses sur Sha, elle sentait le foutre jaillir en elle, la remplissant de plaisir pendant qu'elle se cambrait, ce que c'était bon ! Elle se laissait aller contre elle, reprenant son souffle, laissant sa queue bien tendue en profitant de cette petite pause contre sa femme. Les gouttes perlaient sur son corps mais elle ne se retirait pas maintenant, elle prenait même une des mains de Sha pour la poser sur son ventre. Elle n'avait aucune rondeur sur son ventre pour le moment mais elle aimait sentir Sha lui toucher le ventre, comme si elle surveillait son bébé. Elle sera mère mais elle n'en restait pas moins la femme de Sha, c'est pour cela qu'elle guida sa seconde main sur sa queue palpitante, elle n'avait pas joui grave à son sort mais sans lui, elle aurait repeint la chambre de sa semence.

« Maintenant que tu t'es lâché en moi... c'est à mon tour ! »

Elle se retira doucement, sentant déjà la crème couler vers son trou, peut-être couler hors d'elle un peu plus tard ? En tout cas, elle laissa Sha allongée sur le lit, sans retirer le moindre vêtement en plus – elle ne l'avait pas mise pour la retirer aussi vite – elle se positionna, remontant ses petites lunettes sur le nez avant d'embrasser Sha, un petit baiser plein de saveur qui les préparaient à la suite.

« Ecarte bien les cuisses que j'installe notre bébé en toi. Je te préviens... tant que tu n'es pas sûr qu'elle est en toi, je te remplierais encore et encore... quitte à tomber de fatigue. »

Kiriko était très soumise à Sha mais quand on lui promettait une grande et belle famille de petites sorcières, elle était prête à imposer sa loi à Sha. Doucement, elle se positionna, sa queue forçant doucement le passage vers son entrejambe avant qu'elle n'arrive enfin en elle, soupirant de plaisir en frottant son bas-ventre contre le sien. Elle échangea un regard et un sourire avec elle avant de remuer doucement.

« Huuum, je n'avais pas remarqué... que tu était si belle vue de dessus... »

Ce n'était pas une provocation, même si elle a déjà couché avec Sha en étant membrée, c’était souvent elle qui prenait Kiriko, et les rares fois où elle la sodomisait, bah elle ne voyait pas Sha allongée avec grâce et beauté sur le lit alors que là, oui.

« Je vais a-adorer, hum, te faire tout... huuuum, tout un tas d-de bébés... »

Un sentiment sûrement réciproque mais qui faisait toujours plaisir à entendre. Enfin, c'était bien beau l'amour mais un bébé se fait aussi avec du sexe alors, c'est parti ! Kiriko remua doucement, n'allant pas trop fort au début mais il fallait bien commencer doux avant de faire grimper la vitesse.
Neferia
Aussi têtue et presque capricieuse était la jeune dragonne, il y avait ce genre de moment où, bien qu'il ne fallût pas le lui dire à vive voix, elle était aussi douce qu'un chaton. Dans un sens, on pouvait dire que Crystal avait de la chance de connaître ce côté tendre de la demoiselle, en général, les autres supportent son comportement hautain et très rares sont les êtres à la savoir ainsi. Dans les bras de Crystal, elle aurait pu s'endormir comme de nombreuses fois – sans les caresses – mais elle posa une question qui avait germé dans sa tête, une question personnelle mais ce n'était pas tant un sujet qui dérangeait Neferia. Elle posait ses questions et si c'était trop personnel, indiscret, elle s'en excusait. Sentant sur son dos que la question était mal tombée, elle retint son couinement pour redresser doucement la tête et regarder Crystal qui ne répondit pas de suite.

Mais la suite était plus triste. N'y a-t-il pas plus dur pour une mère que perdre ses enfants ? Écoutant la réponse, on pouvait lire dans le regard de la jeune dragonne un signe de pardon, elle ne pensait pas à mal en posant cette question, elle voulait juste savoir si Crystal avait cette fibre maternelle en elle ou bien si sa quête de vengeance et sa nature la rendait éloignée de cette idée. À entendre ses mots « j'arrive à mettre des enfants au monde » elle en déduit qu'elle a porté ses fameux enfants mais sa question suivante, elle la connaissait déjà en réponse... Cet homme – ou femme – était un humain ? Mais avant cela, elle serra elle-même son étreinte en frottant sa tête contre elle. Chose que l'on pourrait ranger dans la catégorie très rare, elle se redressa même un peu pour lui baiser la joue. Sans sexe ou message caché, juste un petit geste amical et réconfortant.

« Pardon, je ne voulais pas te blesser en te demandant cela... » La jeune dragonne avait de bons côtés, il fallait juste la côtoyer pour apprendre à savoir quels étaient ses bons côtés. « Je présume que cela s'était passé avec des humains mais les chances ne sont pas plus grandes entre deux dragons ? »

Elle n'avait jamais posé cette question à ses parents mais ont-ils eux aussi eu du mal à avoir leur fille ou bien elle est arrivée naturellement sans qu'ils aient de soucis spéciaux ? Que ce soit son utérus qui porte un enfant humain ou une humaine portant un enfant dragon, ça restait quand même différent ? Mais avec deux dragons, ce pallier de mort tôt devait être repoussé ? Loin de là l'idée de procréer avec Crystal, ce n'était pas son idée. Déjà elle se voyait trop jeune pour cela et de deux, vu son caractère, Neferia était plutôt celle qui devait faire porter son enfant à une dragonne/terranide, et non porter un enfant en elle. Leurs relations à elles, c'était proche d'une relation mère/fille même si le sexe n'était pas à écarter. Jamais Neferia n'avait appelé Crystal maman, sauf peut-être dans son sommeil mais ce n'était pas adressé directement à elle.

Neferia ne voulait pas être seule et elle lui avait dit qu'elle ne l'abandonnerait jamais comme ça, c'était peut-être aussi pour réconforter Crystal qui n'avait jamais repoussé ses « avances » quand elle se faisait gentille et douce comme ça. Elle a toujours eu des excuses plus ou moins justifié pour dormir avec elle ou dans ses bras quand elle méditait mais Crystal acceptait peut-être cela comme ses enfants n'avaient jamais vraiment grandis ? Neferia recherchait une mère, Crystal un enfant, ses deux-là se sont peut-être trouvées naturellement par leurs envies ?

« Si ce n'est pas indiscret... comment... comment ils s'appelaient ? »

Neferia ne voulait pas remuer le couteau dans la plaie mais sa curiosité était autant un avantage qu'un défaut. Cela dit, elle était prête à mettre une pause dans son entraînement pour aller déposer quelques fleurs sur les sépultures de ses enfants. Depuis sa rencontre avec Crystal, elle n'avait pas été sur celle de ses parents, elle devrait songer à en faire de même sous peu ?
Harley
Difficile de refuser quoi que ce soit à cette belle plante, qu'elle se montre douce ou autoritaire, Harley avait du mal à lui dire non, même si parfois elle s'amusait à la taquiner en faisant attendre une réponse, trois Ivy pour le prix d'une et une jumelle bio, qui dit mieux ? Les deux Harley se plaisaient à caresser Ivy, que ce soit sa peau ou ses dessous. Oui oui, ses dessous, Ivy avait pour une fois quelque chose sur le corps qui ne se résumait pas à un buisson ou une branche pour cacher le strict minimum. Autant en profiter de ce moment si rare, faite une croix sur le calendrier, c'est comme les années bissextiles, une fois tous les quatre ans... avec de la chance. Sous les baisers et les caresses, Pamy fondait de plaisir et une de ses clones venait lui cacher la vue avant de doucement venir lui murmurer quelque chose en son nom.

« Oh pas que toute la nuit, tout notre séjour ici. »

Il serait dommage de ne pas rester entre copines avec les autres mais elles ne sont pas obligées de rester toute la journée ensemble, la preuve pour ce soir. Doucement installées en parti sur Harley-two, les deux autres venaient à faire des propositions qui la tendaient bien même si elle ne savait pas par quoi commencer ? Ou quoi rajouter car il n'y avait pas que ça de possible. Réfléchissants à son choix, les Ivy venaient la faire oublier son choix, l'une d'elle l'embrassant en caressant son sexe, hum, délicieux non ?

« Huuum, vilaine petite rose... Si je t'enfonce ma queue dans la gorge, Pamy aura la même sensation ? Le goût de ma crème ? »

Sa question était à voix basse, plus pour exciter ses dernières que pour vraiment se questionner, même si elle attendait un peu la réponse malgré tout. Mais sa vraie question était plutôt de savoir comment jouer tous ensembles sans en oublier une ? Elles étaient cinq, Harley-two était occupé avec Pamy, elle, elle va avoir le choix du trou à occupé mais les deux autres ? Puis vint l'idée !

« Toi ma chérie, puisque tu sembles aimer user de ta bouche, je te réserve une place d'honneur ! Et à toi, la Pamy discrète, tu vas aimer ton rôle aussi ! »

Délaissant les belles plantes, elle se pencha d'abord sur Ivy, venant faire frotter sa queue le long de sa raie sans en percer le tissu, ses sous-vêtements étaient tellement rare qu'il ne fallait rien abîmé ! Elle tira un peu dessus pour faire entre sa queue entre ses jambes, pénétrant doucement Ivy, non pas en sodomie mais en simple levrette, explorant sa zone humide.

« Huuuum, ta sève coule à flot dis donc ? »

Bon et les deux autres alors ? Bien placé, Harley écarta un maximum les jambes, offrant une belle vue à l'une des rouquines mais surtout, un très grand choix !

« Jolie petite plante... viens donc user ta langue ici, fait la glisser, où tu veux, huuum-huhu ! »

Ses fesses, son trou secret, ses lèvres intimes, ses bourses, elle avait le choix ! Quant à la seconde – enfin troisième – Ivy, elle lui fit signe d'approche, se plaçant au-dessus de sa vraie forme, entre les deux Harley.

« Je vais quand même te bouffer ton petit bonbon à la menthe. Et ma coupine, elle va te croquer les fesses ! »
« Yeah, j'avais une petite faim ! »


Voilà, tout le monde y trouvait sa place au final ! Ainsi commença doucement les vas et viens sur Pamy et sa petite intimité fourré, Harley avait une langue agréable entre les jambes, Harley-two avait de belles et tendres fesses sous le nez, pendant qu'Ivy s'occupait de la poitrine de la seconde Harley, quant à la dernière Ivy, elle prenait son pied des deux côtés, en observant le tout. Sacré prise de vue en tout cas mais au moins, tout le monde y prend son pied. Surtout Pamy, si elle était liée à elles, elle ressentait ce goût dans la bouche cette pénétration réelle entre les jambes et cette langue devant comme derrière... Chanceuse la Ivy !
Aoki
La soirée bien entamée, la jeune femme avait une proposition à faire à Félicia, souvent citée, souvent tranché mais toujours incertaine, cela dépendait de l'humeur de sa belle, de la sienne aussi et de leurs envies. Un choix crucial mais toujours bon dans les deux cas, anus ou vagin ? C'était comme proposé une pomme ou une poire, chacun avait ses préferences mais là, contrairement à un simple fruit, ça va faire mal, ça va être bon et elles vont adorer. Félicia avait choisi, peut-être un peu guider par sa petite amie, c'est vrai mais ce sera son cul. D'une gifle qui la fit frissonner, elle avait choisi, précisant bien qu'elle allait prendre cher mais qu'elle pouvait aussi se lâcher. Comme si elle allait hésiter. Aoki ne se retenait pas, certes parfois elle aime être un poil plus romantique que vulgaire mais se lâcher verbalement ne rendait tout cela que meilleur.

« Haaaaaannnnn ouuuuuuuhhh ! Vas y doucement... ça fait longtemps que tu m'a pas, enculer... »

Quelques heures ? Et encore... Longtemps ? Bah, entre elles il y avait surement eu plus de sodomie que de bouquet de fleurs offert pour se dire « je t'aime ». C'était d'autant plus vrai depuis que Félicia avait fait cette opération mais attention, elle n'en abusait pas, elle aimait son minou comme elle l'avait connue. Comme une vraie femme. Depuis qu'elle a ce sexe, lui faire l'amour normalement était même devenue presque aussi bon que comme ça car ça rendait cette pratique un peu plus rare alors elle en profitait un peu plus, Félicia aussi. A quatre pattes, serrant ses poings, elle remuait doucement les fesses sous les coups de reins et les gifles de Félicia qui la faisait délicieusement couiner. Espérons que les murs soient assez épais ou alors que les voisins aiment ce qu'ils entendent ? C'était peut-être une de leurs couples d'amies vue qu'elles passent les vacances ensemble ?

« Haaaaaaaaaaaannnn ! Encoooore ! »

Aoki rebondissait sous les coups, sa poitrine suivait le rythme, sentant le corps de sa petite amie cogner plus dur contre elle, elle adorait cela, le criant sans mal dans la chambre, sentant sa salive couler doucement sur son menton. Se tenant à trois pattes, elle venait se caresser entre les jambes quand la Black Cat donnait des coups moins forts.

« Huuuuuum tu me fait... mouillé ma Féli-nyan... Hummm, ouh, goutte ça... »

Elle se redressa sur ses genoux en tendant quelques doigts humide vers elle, laissant cette dernière suçoter ses doigts, récoltant le fruit de son plaisir vaginal pour quelques coups plus doux, juste le temps de savourer cette petite pause.

« Tu aimes, huuum ? Moi je trouve, han, que ça manque de crème... » Elle se blottissait un peu plus contre elle, frottant son dos sur sa poitrine, se faisant aussi doux qu'un chaton et surtout aussi chaude qu'une chatte en période de rut. « Tu viendras me baiser la chatte après, huuum ? Que je déboooorde, haaan... »

Un rien suffisait à la faire repartir et Aoki retomba à quatre pattes sous les coups d'une Félicia plus motivé que jamais à lui prendre le cul. Mais la lapine comptait bien aider aussi sa belle à la prendre sauvagement, comme un catin. N'était-ce pas ce qu'elle désirait ? Elle lui tendait d'abord un bras, puis le second, la voilà entièrement maintenue par la super-héroïne qui va s'en donner à cœur joie maintenant pour remplir l'anus de sa chérie.

« Huuuuummmm oooouuuuuuUUUUIIIIII ! HAN OUAIS !!! Plus FORTT VAS-Y BAISE MOI !!!!! Défonce-moi le cul hannn ! Donne tout ce que tas ! Allez chériiiiiiie ! Hum AlllEZ !!! Vas Y Fort ! Fait... huuuuummm haaan, fait en sorte... que dem-main jemmmmm.... Je boite... à cause de toi... »

Cela devait être dans ses cordes... Ses deux-là s'aiment mais rarement à travers les petits cœurs et les mots doux, ça, ce n'était que quand elles étaient fatiguées et habillées, et en public – du moins dans un endroit u s'éclipser et être discrète était impossible – ici, le sexe était leur façon de se dire leur amour. Et pour certains, c'était vulgaire mais quand on voit leur visage radieux, eh bien c'est beau !
Rouge
Rouge était joueuse ! Sérieuse et très pro quand elle travaillait, en savourant son repos, elle savait se montrer coquine et mutine mais évidemment, on ne voit pas la voleuse dans cet état aussi facilement. Miranda avait donc une certaine chance de voir la terranide se montrer aussi joueuse. Elle n'avait rien à perdre dans cette histoire et son objectif reste le même, elle volera Miranda, d'une façon ou d'une autre et elle le fera seule, en touchant un endroit où ça fait mal. Si son pognon, elle s'en fichait vu ce qu'elle gagnait en l'espace de quelques minutes, il fallait qu'elle trouve autre chose. On dit que voler l'instrument d'un musicien est horrible et pire que tout lui voler, alors, quel serait le point faible de Miranda ? Elle comptait bien le savoir pour mieux frapper mais pour le moment, les pistes étaient très rares et très minces.

La voleuse avait parler de la transformer en terranide mais évidemment, ce n'était pas au sens propre de la chose, elle sous-entendais là de la voir sous son coté bestiale, la voir devenir une vraie chienne en chaleurs car côté terramorphose... quelle race de terranide irait à Miranda ? Une neko si elle était assez salope ? Jument si elle était bien membrée ? Inu ? Kitsune ? Il y en avait des choix mais ce n'était pas le moment d'avoir ce genre de pensée, elle avait une affamée à satisfaire ! Ou plutôt elle devait se satisfaire. Elle laissait la belle blonde venir la lécher entre les jambes, sa tenue la moulait de plus en plus, mais elle la laissait faire, espérer, continuer, pendant que la voleuse lui caressait doucement la tête.

« Huhu, tu es une petite vorace toi ! »

C'est le moins que l'on puisse dire mais Rouge n'en était pas dérangé, non, c'était agréable évidemment mais amusant aussi. Même à la voir user de ses petites dents, elle était courageuse de vouloir tenter de lui arracher sa tenue mais bon, elle n'allait pas la stopper. Rouge gémissait doucement en caressant sa tête et une fois arrivée à ses fins, tenant un morceau de sa tenue entre ses dents, elle avait choisi ! Miranda Forge ferait une belle chienne !

« Oh mais j'espère bien. »

Rien n'était gratuit avec Rouge après tout. Elle la laissait aller entre ses jambes pour y boire sa récompense, à grand coup de langue. Est-ce qu'elle va mal le prendre si elle la traite de chienne ? Oui et non, en tout cas la voleuse savourait sa récompense du moment, laissant ses doigts glisser sur sa tête, se demandant si elle lui arrosera le visage en même temps ? Pourquoi pas après tout.

« Mhhh mais tu es affamé dis donc... Au moins, tu te régales à ce que je vois... »

Comment nier cela ? Allongeant ses jambes, la voleuse venait les enrouler autour de sa tête, bloquant ainsi Miranda entre ses cuisses, nul doute qu'il y avait pire comme endroit où être bloqué. Sans dire autre chose, elle savait que la femme avait compris où elle voulait en venir. Pas d'autres choix possibles avant qu'elle ait joui !

« Tu m'as prouvé que tu étais doué avec tes dents... mais en est-il de même avec ta langue ? »

Provocation ? Test ? Peu importe comment elle le voit, Rouge voulait quelque chose, elle l'obtenait, point final. Avec sa main, elle tentait de « l'étouffer » entre ses cuisses en bloquant son visage entre ses cuisses, le genre de torture que Miranda devait aimer. Rouge avait toujours eu un côté autoritaire, c'était d'autant plus vrai depuis son épisode avec les poneys futas, elle tentait de regagner son statut d'avant, de remonter cette pente.
Tsukasa
Qui ne serait pas heureux de faire l'amour à une telle petite beauté ? Ryouka était pratiquement le sosie sexuel de Tsukasa. Elles ne se ressemblaient pas physiquement mais toutes les deux pourraient passer la journée à faire des activités liées au sexe si jamais rien ne les retenaient. La belle blonde travaillait pour la nouvelle reine d'Edoras, remplissant son devoir comme il faut, elle avait des soirées mouvementé, et en temps de paix, autant dire que ses journées sont loin d'être difficile. Même si sa tâche vaut qu'on a besoin d'elle tous les jours, elle avait quand même pas mal de moment de libre. Profiter du voyage de noces de sa reine pour jouer à part avec Ryouka et maintenant Nika, elle se demandait si elle n'était pas née sous une bonne étoile ?

Les sœurs étaient ravissantes, la grande sœur était autant perverse que sa petite sœur même si elle cachait mieux son jeu que Ryouka. Du moment qu'elle arrive à ses fins, elle se fiche du reste. Même si son amie avait bien plus profité de la belle blonde que sa grande sœur, elle ne comptait pas la laisser seule bien longtemps. Si elle était fan de Poison, elle pourrait bien lui organiser une petite entrevue avec Nika ? Vue la place de Tsukasa, prendre contact avec la star ne sera pas compliqué, d'autant plus que son projet « Terra sex » pouvait aussi l'amener à facilement négocier ? Tourner un nouvel épisode spécial Edoras et en échange, une entrevue avec sa copine ? Pourquoi pas. Hinata ne serait peut-être pas d'accord mais depuis qu'elle était amoureuse, elle disait oui plus facilement. Puis tant que Poison trouve des volontaires pour dire oui, ça reste du cinéma. Ce n'est pas comme si elle allait violer les passantes. À voir.

« Pour tenir... tête à Ryouka... tu crois que j... je me contenterais... de peu ? Tu me... s-sous-estime ! »

Ryouka puis Nika, puis les deux à la fois s'il le faut, elle n'avait pas froid aux yeux ! Entre les baisers et les caresses de Nika, son corps se concentra un peu plus sur son amie, venant taper son bassin contre son corps, sa main claquant sa fesse et sa queue se libérant en elle. Han, quel plaisir ! Même si elle avait déjà fait ça si souvent depuis le séjour de Ryouka ici... le plaisir ne saurait être répétitif. Un vrai plaisir de la sodomiser ! Même de la baiser tout court.

« Haaaaaa ! »

Tsukasa se dégagea à peine que Nika prit le relais en se faisant très envahissante. Leur petit jeu l'avait bien chauffé, ça l'amusait de la voir aussi entreprenante avec elle ! Nika venait carrément la plaquer contre le mur, la soulevant par les fesses. Elle se demandait si entre-temps elle n'était pas devenue futa pour mieux la prendre mais rien ne semblait lui caresser ses lèvres intimes.

« Ne redoute pas l'endurance d'une native Tékhane ma jolie. »

Tsukasa avait un prénom Edorassien, une identité Edoras mais elle était née à Tékhos. Elle y avait grandi, mais comme ses parents, elle était tombée amoureuse de cette ville et la voilà maintenant, habitant toute l'année dans cette ville. Alors malgré son statut, la belle blonde n'était pas né là-bas, ce qui se voyait, la plupart des gens étaient bruns ou avec des cheveux noirs et elle, elle était naturellement blonde. De quoi la faire sortir du lot.

« Huuum, c'est ça, régale moi, huuuuuum... Laisse-moi juste me décider... de quel côté je te baiserais en premier... »

Devant, derrière ? Telle est la question. Ryouka devait reprendre son souffle en gardant un œil sur elle, Tsukasa se tenait à elle, savourant ses baisers et ses caresses, l'embrassant à pleine bouche en caressant ses cheveux, sa queue reprenait doucement du service en se redressant peu à peu.

« Huhuhu... je sens qu'avec toi... ça va être plus hard qu'avec elle. »

Elle devait bien deviner, autant depuis leur rencontre IRL les deux femmes avaient tout essayer du plus hard au plus doux, autant Nika aura surement droit à plus fort que ce à quoi elle venait d'assister. Et leur petite scène durant le massage sera comparable à du pipi du chat vu ce qui va se passer ! Elle se reposait juste encre un peu en profitant du talent de Nika, après, elle va prendre cher, elle et son... petit cul ou sa petite chatte. L'un comme l'autre, Tsukasa savait comment trouver leur bonheur commun.
Sya
C'était dans cette sauvagerie sans nom que leur bonheur atteignait les sommets. Évidemment faire des choses, sexuelles ou non de façon plus banale était aussi un plaisir mais Sya savait combien le sang de démon de sa mère était si bouillant quand elle baisait Sya comme ça, comme une vulgaire ange, prouvant sa domination sur ce peuple ailée qui ne souhaite pourtant que faire le bien. Et Sya, fidèle à la luxure, se voit capable d'aime toute forme de sexe, même s'il y a des choses qu'elle préfère moins que d'autre, simuler ce viol barbare, ça lui faisait plaisir. Elle ferait surement une piètre actrice sur scène mais quand il s'agit de sexe, elle se fond avec la réalité, donnant une véritable impression de viol dans ce rapport ange/démon. Malgré les cris, les larmes, la douleur, sous le masque elle était comblée. Comblée de voir combien sa mère était heureuse, comblée de sentir ce corps si chaud et musclé l'écraser, de sentir cette queue grandir et grossir au point que la pilonner faisait ressortir une drôle de bosse sur son ventre. La joie avait bien des visages.

Sous cette forme démoniaque, Samara était si belle, plus grande, plus forte, ses cornes semblaient plus grandes, là ou un ange aurait peur d'elle, Sya la trouvait encore plus belle sous sa forme libérée.

« NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!! Naaaaaaaaaaaaaaaan pitiééééééé ! Arrêteeeezzz !!! Bouhouuuuuuu.... Nan ! Stop... Stopper... ça... »

Derrière les cris, ce n'était pourtant que le plaisir de se sentir moins que rien, un simple objet entre les mains de Samara. Sa poitrine lui faisait un peu mal, mais bon, elle n'en voulait pas à sa mère d'aller un peu plus loin dans le réalisme. Puis la douleur était ridicule comparé au plaisir qu'elle prenait. Quand l'orgasme arriva et que Sya décolla de sa queue pour se retrouver au sol, arrosé par sa grosse queue rouge, elle continua de garder son rôle en pleurant, en mimant la douleur et la honte mais diable, qu'elle était heureuse ! Elle aurait préféré récolter toute la crème en elle, pour mieux tomber enceinte mais elle avait déjà de quoi faire. Vu sa force et la brutalité, elle était sûre d'être enceinte d'une future puissante démone – et ange aussi mais surtout démone. Elle ne savait pas si le jeu était vraiment fini vu le ton plus doux de Samara, ayant repris sa forme normal mais entre deux gémissements, elle renifla avant d'afficher une bouille en total opposé avec ce qu'elle venait de montrer. Si heureuse, sans tout ce liquide blanc sur elle et autour, elle rayonnerait de bonheur !

« Oh oui Maman ! J'adore quand tu me baises comme ça, tu es tellement belle quand tu laisses parler ton côté démon. J'adore voir tes yeux jaunes brillé de haine... ils sont tellement beaux et ta queue... hum, j'aime la sentir si serrée en moi et quand elle me déforme le ventre, hihihi ! »

Sya tendait les bras comme une enfant, couverte de sa semence, elle gardait ce long sourire et sa joie de vivre malgré les larmes encore en train de perler au niveau des yeux mais ça allait sécher. Il y avait un petit quelque chose en plus qu'elle appréciait dans ce genre de séance c'est qu'après avoir autant subi, Sya avait droit à un vrai traitement tout doux avec sa maman où faire l'amour était si doux et si agréable. Une démone angélique, c'était beau à voir, surtout quand elle jouait les mamans. Sya se blottissais contre elle, peu importe si elle collait, elle était contente de serrer sa maman contre elle alors qu'elle lui baisait la joue en gloussant.

« Mais tu sais Maman, même si j'aime ça, tu y vas toujours trop fort en moi... Tu peux me mettre de la pommade en moi ? Comme ça après, on pourra continuer à jouer encore et encore ce soir et toute la nuit ! »

Ce n'était qu'une excuse pour que Samara y replante son épée de chair en elle sans user d'une violence inouïe cette fois, juste de la douceur en la prenant. Elle voulait déborder de semence et avoir le plus de chance de tomber enceinte ce soir. Toujours dans la même tenue que sa mère, elle déposait des tas de bisous sur son visage, de baisers tendre et délicieux quand Samara lui tendait ses lèvres. Leur amour mère fille était certes « incestueux » - bien qu'elles ne partagent aucun lien de sang – mais il était aussi tellement beau.

« Après, tu pourras me prendre le cul si tu veux. »

Comment dire non à un si grand sourire ? Sya était un véritable petit ange, sous bien des sous-entendus et bien des aspects.
Konata
Au diable les secrets ! Akua lui avait dit au début d'éviter de crier sur tous les toits qu'elle venait de la Terre. Elle comprenait, elle passerait pour une folle ou alors il y aurait presque une sorte de racisme envers la Terre peut-être alors sans chercher plus loin, elle avait accepté. Mais là, avec Jessica, elle se disait qu'elle était assez jeune pour ne pas prendre peur ou autre en avouant ses origines. Après tout si Konata avait une amie qui lui disait venir de l'espace ou d'un autre monde, elle trouverait ça cool ! À moins que l'ami en question ne soit menaçant avec de grandes dents et une armée de lames en guise de bras, si elle restait physiquement humaine et pacifiste, bienvenu ! Décidé à savoir son âge, afin d'en apprendre plus sur elle, elle avait sa réponse. Même si bon, elle était un poil plus vieil qu'elle. Peu importe, ce n'était pas un souci.

Jessica essayait surement de bien faire mais quand elle précisa son parcours... bah ça ne lui disait rien. Que ce soit GeoWeapon Corp ou autre, c'est bien. Ce n'est pas comme si c'était financer par Square Enix ou encore la Shueisha, là oui, elle baverait littéralement devant elle en imaginant des cours teeeeeeeeeeeeellement cool mais bon, là... vu que la boite comprenait le mot « Weapon », elle pensait que ce groupe était plus en moins en rapport avec des armes ? On ne laisserait pas des trafiquants d'armes financer une école ici quand même ? Jessica lui renvoya la question mais sans vouloir savoir son âge, juste sa provenance. C'était bon signe, généralement on disait que Konata faisait moins que son âge ? Elle ne le prenait pas mal, ce n'est pas comme si son but était de ressembler à une bimbo très siliconer qui joue les allumeuses, elle, son but, c'est être une super gameuse et être à jour dans ses différents mangas alors le reste, osef. Mais elle doit quand même répondre à cette question... Comment ? Se la jouer directe ? Je viens de la Terre. Mouais bof. Plus explicite ? Je viens d'une galaxie lointaine, très lointaine ? Elle n'en avait aucune preuve que leurs deux mondes soient si espacés ? Si ça se trouve, c'était comme un monde parallèle ? Rester muette ? Ou très vague... genre je viens de pas loin mais en étant loin ? Non, c'est trop bizarre...

« Tu me croirais si je te disais venir d'un autre monde ? »

Voilà, la pierre est lancée dans le lac Hylia. C'était la vérité même si la jeune otaku n'était pas sûr à 100% de ses dires. C'était ce qui se rapprochait le plus de sa position. Elle ne pensait pas que Jessica prendrait peur ou autre, elle serait curieuse surement ? Idem avec ses pouvoirs, chose qu'elle pourrait aussi montrer... un peu pour étaler son don mais aussi pour montrer qu'elle était différente. Jessica aura peut-être droit à une de ses otamorphose. Elle tourna son regard vers elle, la regardant sans vouloir insister ou paraître bizarre, Konata restait elle-même.

« J'ai même des pouvoirs ! »

Si ça se trouve, elle va croire à une blague ? Ce qui ne serait pas impossible vu que l'otaku aime aussi piéger ses amies mais pour le coup, ce n'était pas une blague. Une héroïne secrète avec une autre héroïne secrète, quel duo ! Bon, à la différence que Konata s'en prenait qu'aux petites frappes pour le moment et qu'elle avait besoin de pas mal d'entrainerment pour maitriser ses différentes classes. Et puis elle n'a pas vraiment de costume super moulant et sexy mais bon, chacun son truc. Après tout, elle ne pensait pas avoir une super-héroïne devant elle, juste une lycéenne avec qui elle semblait bien s'entendre. Aussi simplement que ça !
Suki
La jeune femme ne pensait pas que leurs vacances apporteraient aussi son lot de nouvelle connaissance entre guillemets. Milwën Novac n'était pas inconnu au bataillon et même si Suki et sa petite amie ne la connaissait pas personnellement, depuis ce jour, on pouvait dire le contraire. La jeune femme s'était rapprochée d'elles à cause de leurs filles qui avaient finie par faire connaissance et bien s'entendre. EN venant ici, Suki s'était dite de laisser sa guerre de côté et jouer son rôle de mère à cent pour cent mais si par hasard, elle a aussi rencontré la reine de Lumen, rien que ça, elle avait commencer à débattre sans aller trop loin puis de fil en aiguille, en laissant Elena Ivory tranquille, elle était tombé sur la Baronne de cet endroit. Manquait plus que rencontrer la famille royale d'Mijak et les hautes personnalités de Tékhos et ce sera un parfait combos ! Mais bon, elle devait laisser son avis et tout ce qui concerne Caelestis de côté, durant son séjour, elle n'était rien de plus qu'une mère, c'est tout.

« Vous êtes prêtes les filles ? »

Arrivant à elle, ses petites étaient prêtes, dans leur petite robe, elles étaient aussi mignonnes qu'adorable. Holy était fidèle à elle-même, sage comme une image et Kity l'était aussi mais on sentait dans son regard le feu vert de sa mère pour quitter sa place et faire la folle. Elle se pencha sur elles pour voir la robe n'avait aucun défaut, de même pour leur coiffure et ce fut une bise sur leur front qui confirma l'inspection terminée.

« Bien, allez attendre devant vos dessins animés, on finit de se préparer et on ira manger. »

De son côté, Suki avait une robe noire, une robe de soirée classique, sans manche, de fines bretelles sur les épaules, cela épousant ses formes parfaitement mais cela n'avait rien de vulgaire. Elle avait en plus un collier en tissu autour du cou, cela allait avec la robe. Elle n'aimait pas trop cela, lui faisant penser aux colliers d'esclave mais Rinako l'avait convaincu du contraire. Elle fut aidée de sa partenaire pour faire de ses longs cheveux détachés une natte parfaite tombant dans le dos. Elle avait préféfer ne pas avoir les cheveux trop tendu en arrière et avait laissé une petite frange sur le front. Rinako abordait une robe plutôt similaire, sauf que la sienne était dans un ton plus clair, entre le rose et le pastel. À vrai dire, elles n'avaient pas emporté ce genre de choses dans leurs affaires pour les vacances, déjà que Suki n'avait aucune robe, elles avaient loué cela à la boutique, pour les filles en revanche, elles les avaient emportées. Elles avaient quelques robes dans leurs vêtements.

« Tss, comment elles font pour se trimballer avec ce genre de truc ? Je comprendrais jamais ! »

Le tissu était trop mince, le fait que cela ne soit pas collé à sa peau la perturbais, elle avait toujours porté des combinaisons Celkhane alors ce genre de vêtements, elle n'en était pas habitué. Surtout au niveau des jambes, c'était souple et le moindre coup de vent pourrait faire voler sa robe. Mais bon, c'est comme ça qu'agissent les femmes sur Terra, non ? Rinako venant l'embrasser pour la détendre, la petite famille pouvait rejoindre Milwën Novac et sa fille au restaurant. Un des meilleurs qui soit ici apparemment, chose que Suki comme Rinako ignorait, c'était que le restaurant en question avait mine de rien beaucoup d'invitées de marque, ne serait-ce ce soir que la nouvelle reine d'Edoras et sa femme. Qui sait, elles se croiseront peut-être au détour d'une table avec la Baronne ?
Magie
Il était bon de retrouver son âme d'enfant, Illiyana l'avait perdu il y a bien longtemps, si elle avait grandis en partie normalement en Russie avec sa famille et son grand-frère, bien jeune, cela avait changé quand elle a dû s'habituer aux limbes et à toutes les horreurs qui vont avec. Depuis, elle avait grandis en un clin d'œil sur Terre, là où son absence, son enlèvement avait durée une poignée de secondes, Magie avait vécue des années en Enfer. Depuis, elle était assez froide, et souvent peu associal mais comment le lui reprocher ? Seul son grand frère et Kity étaient toujours respecté par la jeune femme mais depuis sa venue dans cette dimension – ou ce passé/futur, elle n'en sait trop rien pour le moment – elle devait faire avec, aidé le SHIELD même si entre eux et les X-Men, ça n'a jamais été une histoire d'amour... Mais bon, elle était avec Laura, une mutante qui comme elle, n'avait pas vécu une enfance facile alors elle tentait de l'aider. Puis se retrouver ici était quelque part très agréable.

Elle était amusée de voir Laura s'extasier devant de simples choses comme des glaces ou autres délicieuses petites choses de la vie. En voyant cela, elle se retrouvait un peu en Laura. Magie n'en avait pas fait tout un fromage mais c'est vrai qu'à son retour des limbes, même des aliments qu'elle n'aimait pas en étant petite fille, c'était un régal ! Depuis, elle n'était pas trop difficile sur ce sujet même si évidemment, elle a des préférences sur certains plats contrairement à d'autres. Pour ce qui était de Seikusu, elle ne pouvait pas trop y répondre, Magie travaillait actuellement pour le SHIELD et était surtout en déplacement un peu partout même si effectivement, dernièrement elle était souvent basé dans ce coin du Japon, à croire que bien des choses se passaient dans le coin ? Laura ayant trouvé une peluche à offrir à Félicia, elle observait la boule de poil en souriant, elle ne trouvait pas vraiment que cela ressemblait à un chat mais ça restait mignon. L'idée de la maison des miroirs fut à prendre avec des pincettes, Magie saurait garder son calme – plus ou moins – mais avec Laura qui voyait le mal partout, ce ne serait peut-être pas une bonne idée ? Même si elle avait gagné en bonne humeur en venant ici, elle ne voudrait pas retrouver la même fille un peu trop sur ses gardes.

« Que se passe-t-il ? »

Magie n'avait pas le flair de la Wolverine mais il est vrai qu'elle sentait un peu de magie noire dans le coin. Rien à voir avec Dormamu ou Mephisto mais ça restait de mauvais augure. En voyant la cible de la jeune femme, elle allait sortir son épée mais cela risquait de créer un mouvement de panique dans le coin. Autant essayer que tout reste en ordre ici en stoppant ce dernier. Magie avait une certaine affinité avec la magie, d'où son nom de X-men mais son pouvoir était celui de se téléporté même si son épée était plus un artefact magique que son pouvoir, cette dernière était bien utile même si on pouvait dire que cela était à double tranchant.

« Je vais nous téléporter près de lui, tu agira au plus vite mais ne le tue pas trop vite, il faut qu'on en sache plus. »

D'un geste, un cercle se créait sous leur pied alors que Magie ne perdait pas la cible de vue et ensuite, elles se téléportait aux yeux de tous pour rejoindre leur adversaire, si Laura aurait du mal, une épée sur la gorge de cet individu devrait lui faire comprendre de ne pas trop remuer.
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Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Kaguya Shunya »

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Kaguya Shunya
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Demande de RP
SHIZUKA SHUNYA
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Leur tâche était importante. Il ne s’agissait pas juste d’assurer une descendance, mais de reconstituer toute une famille royale. C’était bien plus considérable, et très difficile à faire, dans la mesure où les femmes étaient de même sexe. Et, si la technologie uatéene permettait d’avoir des enfants, il fallait aussi avouer que ce n’était pas aussi efficace qu’un couple hétérosexuel viable. Fort heureusement, les examens gynécologiques avaient permis de révéler que Shunya et Hinata étaient toutes les deux très fertiles. Autrement dit, elles pourraient avoir beaucoup d’enfants, mais, pour ça, il allait aussi falloir beaucoup pratiquer.

Dit encore autrement, Shunya et Hinata ne pouvaient pas tomber enceintes à tour de rôle. Shunya avait pour projet d’avoir beaucoup d’enfants, et elle ne voulait pas avoir des différences d’âges trop larges entre les membres de sa fratrie. Puisqu’elles étaient deux femmes, le choix logique était donc qu’elles se mettent enceinte mutuellement. Encore une fois, la technologie uatéene permettait d’accomplir bien des miracles contrenature, puisque Shunya et Hinata étaient toutes les deux des femmes capables d’émettre des spermatozoïdes. Shunya était enceinte, mais elle tenait à ce qu’Hinata le soit aussi.

« Nous sommes aussi les premières d’Edoras à vouloir autant d’enfants, ma chérie. Il est normal que nous accomplissions quelques records pour cela. »

Chaque Reine d’Edoras avait eu droit à son surnom. Hinata allait-elle être historiquement connue pour être « La Fertile » Reine ? Un seul enfant, ce n’était clairement pas suffisant pour elles ! La Reine enchaîna alors par un magnifique compliment, qui fit benoîtement rougir Hinata. La jeune femme s’en racla ensuite la gorge, perturbée et confuse.

« Oh… Euh… Merci beaucoup, Hinata. C’est… C’est entièrement réciproque, bien sûr ! »

Elle sourit timidement. Qui aurait pu croire que ce serait elle, Shunya Shizuka, jeune guérisseuse timide et refermée sur elle-même, qui arriverait à décrocher le cœur de la belle et puissante Hinata ? Une telle romance défiait tous les pronostics, allait à l’encontre de la logique des classes et des castes sociales. Cet amour était bien la preuve qu’Edoras n’était pas une nation comme les autres, et qu’à Edoras, il y avait un rêve égalitariste, un rêve que Shunya voulait améliorer et perpétuer.

La guérisseuse attrapa la main d’Hinata, et l’embrassa tendrement.

« Je t’aime, ma chérie… Et notre amour sera le nouveau ciment sur lequel Edoras grandira, et redeviendra la nation d’espoir et d’amour qu’elle n’a jamais cessé d’être. »

Ce que Shunya disait n’avait pas vraiment trop de sens, mais, vu la manière dont son cœur battait la chamade, on pouvait, sans aucun doute, lui pardonner son trouble. Elle rajouta ensuite, pour revenir au sujet principal, et en se penchant vers Hinata, comme pour s’assurer que personne ne les entende :

« Mais j’ai très envie de te mettre enceinte ici… C’est un lieu magique pour ça, non, tu ne crois pas ? »

Le Paradisio Hotel était après tout une magnifique région, belle et somptueuse.

Quel meilleur endroit pour enfanter la vie ?

SUPERGIRL
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Tessou était un véritable cliché ambulant de Japonaise, dans tout ce que ce terme pouvait englober. À ce titre, elle considérait que l’apparence, devant le public, était primordiale, et elle rougissait furieusement. Et, quand Kara évoquait le sexe, c’était un véritable festin. Tessou se transformait en une magnifique tomate, gonflant ses joues sous la gêne, ce qui, paradoxalement, conduisait Kara à pouvoir la provoquer davantage. Elle savait que les Japonais voyaient les Longs-Nez (les Occidentaux) comme des individus beaucoup plus délurés qu’eux. Pour s’en convaincre, il suffisait de s’intéresser aux mangas. Les Occidentaux, dans l’imagerie japonaise, étaient des êtres libéraux, plein de libertés, ce qui était vu autant comme une chose positive que négative. Au Japon, le poids des traditions était une chose certaine. La famille avait une valeur cardinale et étouffante beaucoup plus forte qu’en Occident, et, dans une certaine mesure, Tessou l’illustrait. Elle ne vivait que pour être la mère de Kyoko. Avant même son boulot de policière, éduquer sa fille était la chose la plus importante qui soit… Ce qui était tout à fait normal, jusqu’à un certain degré.

Kara, en effet, avait d’ores et déjà pu observer combien l’éducation de sa fille avait, aux yeux de Tessou, un caractère sacré, puisque, du fait de cette éducation, elle se privait de tout. C’était une véritable mère-sacrifice, qui abandonnait tout au profit de sa fille, et parfois sans aucune raison logique. Les difficultés qu’il y avait à l’amener ce soir à une soirée illustraient très bien ce schéma. Et il était très paradoxal aussi de se dire que Tessou avait autant peur pour sa fille, alors que sa petite-amie (Kara estimait maintenant pouvoir s’appeler ainsi) était surpuissante, et pouvait la protéger, elle et Kyoko, en n’importe quelle circonstance. Pour Kara, c’était une philosophie de vie. Tessou était une femme qui angoissait énormément (ce qui, à ses yeux, était lié aux épreuves qu’elle avait subie dans l’exercice de sa profession), et qui, partant de là, avait continuellement besoin qu’on la rassure… Ce que Kara faisait notamment en la provoquant et en la titillant.

Forcément, la perspective de donner à leur relation un accent sadomasochiste horrifia Tessou… Mais, vu la manière dont elle réagissait, la jeune Kryptonienne était bien en droit de se demander ce qui l’horrifiait vraiment, et qui elle cherchait à convaincre par sa réaction scandalisée. Kara, ou… Elle-même ?

*Tu as de la chance que je ne sois pas télépathe, j’adorerai voir ce à quoi tu as pu penser quand j’ai émis cette idée !*

Peut-être y avait-il un recoin de son esprit où elle se voyait en combinaison noire en cuir, à lécher les bottes de « Maîtresse Kara » ? L’idée amusa Kara, qui sourit brièvement, avant d’entendre Tessou lui dire qu’elle avait parfois de « i]drôles d’idées[/i] ». Le sourire de la belle blonde s’élargit.

« Tu trouves ? Pourtant, il y a énormément de love hotel à Yoake… Qui sait ? Peut-être que, pour ton anniversaire, je ferais une réservation dans l’un de ces hôtels… »

Faire rougir Tessou était quelque chose qui amusait toujours autant Kara, qui sourit encore, et vint la serrer dans ses bras, embrassant ses belles petites joues.

« Tu comprends, il faut bien que je trouve quelque chose pour te faire plaisir… Tu ne penses quand même pas que nous sommes venues jusqu’ici pour passer la soirée à lire sur notre canapé ? Et, puisque la perspective d’un grand restaurant ne t’emballe pas plus que ça, eh bien… Je te propose d’autres trucs. »

Ce qui était sûr, c’est que Kara n’allait pas passer la soirée dans l’appartement ! Ce n’était pas tous les jours qu’elle avait l’occasion d’aller à Novac, et elle comptait bien en profiter un peu, d’autant plus que c’était le S.H.I.E.L.D. qui payait la facture !

« Alors, on fait quoi ? »

Elle lui proposa une tablette numérique comprenant toutes les activités nocturnes du Paradisio Hotel. Il y avait, bien sûr, les restaurants de luxe, mais aussi des boîtes de nuit, et d’autres établissements.

« Il y a un club échangiste, notamment… Mais peut-être que tu préféreras une soirée-repas sur l’un des yachts ? C’est comme ces bateaux-chenilles à Paris, les yachts font le tour de l’île pendant la soirée, et on mange à bord. C’est quelque chose de très romantique, d’autant plus que, chaque soir, il y a des feux d’artifices… »

Elle rajouta ensuite, en balançant l’argument ultime :

« …Et il y a une crèche qui s’occupe des enfants à bord. »

Kara voulait sortir, oui, mais elle ne voulait pas sortir seule. Elle savait que Tessou était têtue, mais savait aussi que, en insistant bien, elle finissait par se rendre. La preuve était sous son nez. Quand la Kryptonienne avait proposé ces vacances à Novac, Tessou avait rechigné, mais, à force d’insister, elle avait néanmoins fini par accepter.

Car Kara aussi savait insister…

LUNA EARTHWELL
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Luna s’en était prise à Yuko en priorité, car, inconsciemment, Luna savait que, de ses deux Maîtresses, Maîtresse Yuko était la plus autoritaire. Quitte à inverser les rôles, autant s’en prendre à la plus dominante. Inconsciemment, c’était le raisonnement que Luna avait suivi, et qui l’avait donc conduit à bourrer le corps d’Esclave Yuko, au détriment d’Esclave Yuka. Pour autant, Maîtresse Luna n’avait nullement oublié Esclave Yuka, et elle était, de fait, sa prochaine cible. Pour l’heure, Maîtresse Luna laissait les Esclaves Karistal s’attaquer à son sexe, avec un sourire ravissant sur les lèvres. Ses mains caressaient les visages des deux esclaves, et elle soupirait de plaisir, ronronnant tendrement, vibrant de plaisir en sentant les deux femmes s’attaquer, non pas à sa trompe, mais à ses boules, léchant et embrassant ses testicules.

« Hmmmm… Nyaaaaaawww… !! »

Elles savaient comment y faire, veillant à ne pas s’attaquer à sa verge, stimulant ainsi l’excitation de Luna, qui se prenait vraiment bien dans son rôle. Pour elles, Luna était prête à être la meilleure Maîtresse qui soit ! Pendant plusieurs minutes, elle laissa ainsi ses esclaves lécher ses testicules, remontant dessus, embrassant et se frottant parfois contre sa queue, avant qu’Esclave Yuka ne vienne s’attaquer à ce sexe. Le corps de Maîtresse Luna se crispa sous l’effet du plaisir, et elle soupira encore, poussant un long miaulement de plaisir, tout en caressant les cheveux d’Esclave Yuka. Luna était bien placée pour savoir qu’Esclave Yuka avait très envie de se faire prendre. La frustration était une chose terrible, et, quand ses Maîtresses jouaient avec elle, il était fréquent qu’elles attachent Luna, et la frustrent, pendant de longs moments, avant de finalement la baiser sauvagement.

Luna ne ressentait donc aucun remords à faire ainsi patienter Esclave Yuka, car la frustration sexuelle exprimait le réel rapport de domination dans ce jeu sexuel. En l’occurrence, le plaisir de la Maîtresse supplantait ceux des esclaves, et, si les esclaves ne le comprenaient pas, alors c’est qu’ils étaient mal éduqués. Ou alors, c’était une tentative pour se faire punir. Luna était une esclave très obéissante, alors on pouvait s’attendre à ce qu’elle soit une Maîtresse redoutable.

Ainsi, quand Esclave Yuko vint lui proposer de baiser Esclave Yuka, Luna tourna la tête vers elle. Il est vrai qu’Esclave Yuka la suçait avec énergie, multipliant les gorges profondes, mais Luna poussa un grognement.

« C’est à Maîtresse Luna de décider, pas à Esclave Yuko ! Esclave Yuko est désobéissante ! »

Le ton était fort et clair, et Luna repoussa Esclave Yuka.

« Esclave Yuko mérite d’être punie pour pouvoir croire qu’elle peut dire à Maîtresse Luna ce que Maîtresse Luna doit faire ! »

Luna se déplaça alors, et récupéra un chat à neuf queues entreposé dans un meuble. Elle se retourna ensuite, faisant claquer ses talons sur le sol, et se rapprocha d’Esclave Yuko.

« Maîtresse Luna comptait prendre le cul d’Esclave Yuka, mais, comme Esclave Yuko a fait la rebelle, Maîtresse Luna va la punir avant de s’occuper d’Esclave Yuka ! »

On aurait pu craindre que Luna ne se laisse trop prendre au jeu, mais, en réalité, il aurait juste suffi que ses Maîtresses annoncent la fin du jeu pour que Maîtresse Luna disparaisse, et que seule Luna ne reste. Dans sa tête, il ne faisait aucun doute qu’elle était l’esclave, et que tout ceci n’était qu’un jeu pervers de ses Maîtresses. C’était bien pour ça que Luna y allait aussi fort. Son fouet claqua alors sur les fesses d’Esclave Yuko.

« Maîtresse Luna veut entendre Esclave Yuko dire qu’elle est une catin ! Une vilaine esclave désobéissante qu’il faut remettre à sa place ! Esclave Yuko est une sale pute ! »

Des mots si crus dans la bouche de Luna, cette belle petite neko qu’on aimait câliner et couvrir de douceurs, c’était un pur régal auditif, et ce d’autant plus qu’elle n’y allait pas de main morte, fouettant fortement le cul et le dos d’Esclave Yuko. Comme dit, elle se donnait à fond !

SHA
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Kiriko venait de danser sur sa Déesse, et, maintenant que Sha avait joui en elle, il était temps d’inverser les rôles. Après tout, si Kiriko était enceinte, ce n’était pas encore le cas de Sha, et l’Ombre avait très envie d’être engrossée par son amante. La Celkhane avait son membre, et il était bien raide, assoiffé, prêt à s’enfoncer en elle. Il était donc temps d’y aller, de la prendre, et ce fut là tout ce que Kiriko envisagea de faire. Elle se redressa donc, pendant que Sha rentrait son sexe en elle, dévoilant ainsi son pubis, trempé, assoiffé, à hauteur de cette soif que Sha ressentait dans tout son corps. Un léger sourire éclairait les tendres lèvres de la Déesse, qui écarta les jambes et les bras, les couchant sur le lit, s’offrant sans aucune résistance à sa sorcière bien-aimée.

Sha sourit quand la Celkhane lui exposa le programme, annonçant vouloir l’engrosser à tout prix.

« Parce que tu crois que je te laisserai partir tant que tu ne m’auras pas enfanté, Kiriko ? »

Si Kiriko avait envie d’une fille de Sha, l’inverse était vrai. Maintenant que Sha avait commencé à recouvrir ses souvenirs, elle avait envie de penser au futur, à son avenir… Et son avenir passait par une importante famille, une famille qui renforcerait son culte et son pouvoir. C’était aussi pour ça qu’elle s’était rapprochée de la Déesse Sanguilia, anciennement Perséphone, femme d’Hadès, et qui avait choisi de se rebeller contre l’autorité des Olympiens. Les Olympiens avaient leur famille, et Sha aurait bientôt la sienne. Elle était en gestation dans les ventres de ses amantes, mais aussi dans le sien.

Kiriko allait être la grande privilégiée, la première qui aurait l’occasion immense d’engrosser Sha. Et ceci, indéniablement, était un honneur, un immense honneur. La Celkhane était donc prête à y aller, et se glissa au-dessus de Sha, prête à la prendre en position de missionnaire. Une posture classique, mais qui ne gênerait nullement Sha, qui souriait de plaisir, une lueur malicieuse brûlant dans le firmament de ses yeux.

« Viens… Viens, Kiriko… »

Ce fut là tout ce qu’elle avait à dire, et il n’était nul besoin d’en avancer plus. Sha sentit la verge excitée de Kiriko se frotter contre ses cuisses, puis la Celkhane se redressa encore. L’une des mains de Sha agrippa sa nuque, l’autre ses fesses, et elle se crispa sur son corps, gémissant silencieusement en sentant la jeune sorcière s’enfoncer en elle, son membre coulissant dans son trou, raclant contre ses parois, avant de remonter en elle.

« Ki-Kiriko, haaaa… »

Sha soupirait langoureusement, tout en sentant les mouvements de la Celkhane s’accentuer. Elle continuait à la prendre, plus profondément, plus lourdement, plus fortement. Kiriko ne lui épargnait rien, et c’était là tout ce que Sha voulait. Elle alla même jusqu’à la motiver en giflant son postérieur.

« A-Allez, Kiriko.. Hmmm… P-Plus fort ! Ne me fais pas croire que tu donnes tout, ma chérie… Tu-Tu crois que je suis faite de porcelaine, hm… ? Baise-moi plus fort !! »

Qu’elle se donne à fond ! Voilà ce que Sha voulait !

CRYSTAL
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Pour autant qu’elle s’en rappelle, Crystal n’avait encore jamais parlé de ses enfants à quiconque. Elle était la Glace, une femme froide, qui semblait aussi inébranlable qu’un glacier. Pourtant, un glacier pouvait fondre quand on le chauffait suffisamment fort. La glace autour du cœur de Crystal n’était pas que le fruit de son tempérament naturel, mais aussi de tout ce qu’elle avait subi. Elle pouvait accoucher d’un dragon, en se transformant en dragonne, mais Crystal ne répondit pas à ça. La réponse aurait été trop longue, et elle n’en aurait pas envie. Crystal avait déjà, sous sa forme de dragonne, donné naissance à des dragons, mais c’était bien différent des humains. Un bébé humain était une petite chose fragile, qui avait besoin de la protection de sa mère pour survivre, et grandir. Un bébé dragon était autonome bien plus rapidement. On ne fondait pas une famille avec des dragons. Crystal avait donc décidé de fonder des enfants humains.

Tout ça, elle aurait pu le raconter à Neferia, mais c’était long à dire, et elle n’en avait pas la motivation. Il allait falloir attendre, tout simplement. Pour l’heure, elle était plongée dans ses pensées, ce qui ne manquait pas de perturber la petite Dovahkiin, peu habituée à voir Crystal dans un tel état. Elle, qui semblait si sûre d’elle, si inébranlable, révélait les failles qui l’agitaient, les fissures dans son cœur et dans son être. Neferia marchait sur des œufs, mais était malgré tout curieuse d’en savoir plus.

Ainsi, quand elle lui demanda l’identité de ses enfants, Crystal redressa la tête, puis se releva, reposant Neferia sur le lit. La petite dragonne avait-elle franchi la ligne ? Crystal, en réalité, alla récupérer une bouteille d’alcool fort, de la liqueur de prune naine, et en avala une rasade.

« Pénélope et Fenrir. Impossible de les oublier. Une fille, et un garçon. Je les aimais profondément, Neferia. Pénélope était un peu comme toi, d’ailleurs. Fenrir était un fier guerrier qui a très tôt appris à cracher des flammes, et à manier la magie. Mais Pénélope, elle… C’était une petite princesse, qui faisait grandement attention à son apparence, tout en étant aussi une rude guerrière. »

C’était une époque lointaine, mais Crystal s’en souvenait encore comme si tout ça n’avait eu lieu qu’il y a seulement quelques semaines. Une mère n’oubliait jamais ses enfants. On sentait la nostalgie dans sa voix, tandis que, progressivement, elle évoquait ses enfants. Ils avaient été de fiers guerriers, qui avaient défendu la région contre des Barbares, les monstres, les géants. Ils avaient la vigueur des dragons, tant sur le plan militaire que sexuel. Fenrir était connu pour ses amantes, Pénélope pour épuiser ceux qui couchaient avec elle.

« Quand ils sont morts, j’ai noyé mon chagrin en devenant une dragonne. J’ai passé plusieurs siècles à renier ma forme humaine, jusqu’à réaliser que je n’étais pas qu’une bête. »

Crystal soupira lentement, et secoua la tête, puis sa main vint ébouriffer tendrement les cheveux de Neferia.

« Je m’étais jurée de ne plus jamais avoir de liens d’affection… Et puis, tu as débarqué, Neferia. Comme quoi, la vie nous réserve toujours des surprises… »

POISON IVY
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Pamela et Harley s’amusaient à plusieurs. Les plantes de Pamela permettaient manifestement de faire quantité de choses fascinantes, comme créer de magnifiques et sensuels clones, qui s’envoyaient joyeusement en l’air ensemble. Harley prit rapidement les commandes des clones, et demanda à ce qu’elles la lèchent, tout en pénétrant Ivy. Délicatement, Harley avait écarté sa culotte, sans la déchirer, probablement trop heureuse de voir son amante se doter enfin de vêtements, elle qui avait l’habitude d’utiliser des tenues végétales biodégradables qu’elle fabriquait elle-même avec ses plantes.

Tandis que les deux femmes se faisaient l’amour, leurs clones s’évaporèrent progressivement. Pamela ne pouvait pas les maintenir éternellement, surtout quand elle était si excitée. Harley finit ainsi par être poussée par les clones, de manière à ce qu’elle s’allonge contre son corps.

« Ha-Harley, hmmm... »

Couchée sur le lit, Pamela posa sa main sur les fesses de son amante, appuyant dessus, et déposa son autre main sur sa nuque, crispant ses doigts dessus. Elles s’embrassèrent ensuite, leurs langues jouant ensemble. Plus de clones, simplement elles, et c’était amplement suffisant. Elles s’unissaient, se faisant l’amour parce qu’elles s’aimaient, et que c’était bon. En vacances, au repos, ensemble... Harley ondulait contre elle, s’enfonçant encore dans son corps, sa belle bouche d’amour répandant son odeur sucrée dans la sienne.

Pamela, quant à elle, diffusait ses aphrodisiaques et ses spores pendant qu’Harley multipliait les coups de reins. Ivy giflait même ses fesses, tout en lui souriant.

« Allez, ma chérie, baise-moi fort ! »

Sa queue était bien tendue, assoiffée.

« Vas... Vas-y, hmmm... O-Ouiii... »

Elle griffait ses fesses, la giflant encore à nouveau. Harley était encore à la prendre, accélérant le rythme, poussant de longs soupirs, langoureux et soyeux, onctueux et jouissifs.

« Plus fort, p-plus fort, haaannn... Fais... Fais-moi hurler, ma chérie, aaahh... Mords-moi, allez... !! Hmmmmm... !! »

Avec Ivy, il n’y avait pas à hésiter !

FÉLICIA HARDY
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Entre Aoki et Félicia, leur amour était très fusionnel, tourné vers le sexe intensif, sauvage, et débridé. Entre elles, l’amour était brutal, violent, les rares perles de douceur venant contrebalancer leur violence mutuelle, comme pour se persuader qu’elles s’aimaient vraiment. La scène actuelle en était l’illustration typique. Félicia lui bourrait le cul, la baisant voracement. Elle n’aurait jamais cru pouvoir être autant attirée par le sexe. Aoki avait réveillé en elle des pulsions inconscientes latentes, qui avaient fini par s’exprimer avec une intensité incroyable. Maintenant, une soif sans pareille la dominait, et elle continuait à prendre Aoki, avec puissance, se mouvant confortablement en elle. Il fallait dire qu’elle avait déjà eu l’occasion de prendre le cul d’Aoki tellement de fois que ce dernier en venait à se dilater sans aucun problème, permettant ainsi aisément au membre de la Chatte Noire de se glisser en elle.

Félicia la prenait donc, encore et encore, crispant ses mains sur les rebords de sa belle tunique rose, griffant sa peau. Quand elle ralentissait le rythme, Aoki en profitait pour se caresser, et finit par tendre sa main vers l’arrière. La Chatte arrêta alors de remuer en elle, maintenant juste sa queue dans son cul, immobilisée. Un exercice particulièrement rude, mais qu’elle fit pour avoir le temps de sucer les doigts d’Aoki.

« A-Aoki, haaa... »

Elle mouillait, sa petite pute ! Félicia en était toute excitée, et sentait sa queue lui faire atrocement mal. Cette douleur... Elle n’aurait jamais pu imaginer qu’un phallus en érection puisse être aussi douloureux ! Certes, elle avait pu le concevoir quand elle faisait l’amour, mais, jusqu’à ce point... Aoki alla jusqu’à se redresser en arrière, Félicia venant la soutenir. Bandant ses muscles, elle posa une main sur le bas du ventre de son amante, et une autre sur ses seins, pendant que la main d’Aoki, celle qu’elle avait léché (et mordillé) se posa sur sa nuque, en soutien.

« Hmmmm... Pe-Petite pute rose, haaaa... »

Aoki était suspendue en l’air, ne touchant plus le sol, retenue par les mains et les muscles de Félicia. Elle soupira, cette position particulière ayant pour effet d’enfoncer davantage son gourdin dans le cul étroit d’Aoki. Elle avait du mal à remuer dans cette position, et, voyant le cou d’Aoki, le mordilla rapidement, serrant ses dents sur sa peau, comme une petite chatte désireuse de montrer toute son affection.

Son amante demanda à se faire prendre encore plus fort, encore plus intensivement. Un nouveau frisson traversa le corps de Félicia, qui la laissa se remettre à quatre pattes, avant de saisir ses poignets. Elle la maintint ainsi, et continua à la bourrer, reprenant ses coups de reins, avec force, puissance, en grognant et en soupirant, insultant Aoki entre plusieurs coups de reins, comme pour se donner du courage dans ce qu’elle faisait.

« Tiens, salope... Hmmmm... Haaaaa... Hummmm... Tu-Tu aimes ça, h-hein... Haaaaa... Hnnnnn... »

Les coups de reins se poursuivirent donc, avec une intensité frénétique. Félicia gémissait longuement, jusqu’à sentir l’orgasme approcher, et, enfin, se répandit dans le cul de la femme. Elle envoya des filaments de foutre dans son corps, poussant de longs soupirs de plaisir en s’exécutant.

« Oooooh ouuuiii... C’est si bon, haaaaa... !! »

Indéniablement, ça faisait un bien fou.

MIRANDA FORGE
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La résistance et les provocations de Rouge n’étaient pas, en soi, désagréables. Disons que, pour Miranda, ça la changeait de d’habitude. Elle n’avait toujours pas une grande confiance en la Terranide chauve-souris, mais la croyait suffisamment pour faire l’amour avec elle, ce qui, somme toute, n’était pas une mauvaise chose. Elle léchait donc l’intimité de la femme, lorsqu’elle sentit brusquement les cuisses de Rouge se crisper autour de sa tête, venant la presser dans un monceau de chair et de latex.

« Hmmmm… !! »

Bien prise ainsi, Miranda continuait à lécher ce sexe mis à nu, enfouissant sa langue en elle. Rouge se dandinait sur place, et allait rapidement avoir confirmation que, en matière sexuelle, Miranda n’avait pas à rougir de ses performances. Elle était talentueuse, et sa langue glissait dans la fente de Rouge. Elle sentait son bouton de plaisir, et le titilla rapidement, s’abreuvant de la mouille de la jeune femme, qui fusait de ses cuisses comme pour témoigner du plaisir que leur propriétaire ressentait.

En position inférieure, Miranda était dans une situation rarissime, suffisamment pour qu’on daigne prendre le temps de le noter. Elle, si prompte à dominer les autres, si véhémente à donner des ordres, n’avait tout simplement pas l’habitude d’être ainsi. Généralement, c’était ses partenaires qui s’agenouillaient devant elle, et venaient la sucer. Là, elle montrait qu’elle pouvait tout à fait être dans l’autre rôle, et, tout en léchant l’intimité de la femme, posait ses mains sur ses cuisses, puis les déplaça encore, venant les apposer sur ses fesses, soulevant un peu le bassin de sa partenaire.

Avec sa langue, elle avalait la cyprine qui fusait, et remuait lentement, d’avant en arrière, se sentant elle-même de plus en plus excitée. Rouge avait un très joli corps, et, malgré la pression de ses cuisses, elle pouvait l’entendre gémir. D’ailleurs, cette pression était également très agréable, étouffant confortablement Miranda, l’enfermant dans un cocon de chaleur, de latex, et de sexe. Rouge, sous l’effet du plaisir qu’elle devait ressentir, crispait davantage ses muscles contre sa tête.

« Hnnnn… »

Encore et encore, Miranda s’évertuait à la sucer avec talent, à titiller ce bouton de plaisir, jusqu’à faire approcher la femme de l’orgasme. Elle poussa jusqu’à sentir Rouge se déverser en elle. Un bel orgasme, qui remplit ses lèvres de sa délicieuse cyprine, que la femme avala goulûment, avant de se redresser lentement. La prise de Rouge se défit, et les deux femmes vinrent s’embrasser, la main de Miranda se posant sur les cheveux de Rouge, son autre main s’appuyant sur sa cuisse pour la hisser, et la plaquer contre elle. Miranda se retrouva ainsi dos contre le dossier du fauteuil, avec Rouge sur ses genoux, à s’embrasser tendrement.

« Ah, ma chérie… »

Miranda lui offrait un baiser sensuel, et même relativement vorace, puisqu’elle n’hésita pas à mordiller les lèvres de la femme, tirant doucement dessus, nichant sa langue dans sa bouche. Elles s’échangeaient des pelles, et, tout en faisant ça, Miranda déplaça sa main de la cuisse de Rouge pour la poser sur ses fesses, et crispa ses doigts dessus. Elle la gifla ensuite, arquant sur ses lèvres un sourire séduisant et pervers.

« Alors… Et si on passait aux choses sérieuses, toi et moi ? Vu les muscles que j’ai senti autour de ma nuque, je crois que tu en as encore en réserve, non ? Car… Moi, oui ! »

RYOUKA
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S’il avait fallu faire un concours de perversion, on aurait été bien en peine de choisir laquelle, des trois, était la plus perverse. Plus calme que sa sœur, Nika avait cependant, en elle, des réserves de luxure insoupçonnées. Les sœurs Spänje étaient, en ce sens, des Uatéenes dignes de leur nation. Si Tsukasa était nymphomane, c’était aussi le cas de Ryouka, et croire que la jeune femme allait rester inerte, simplement spectatrice, serait une grossière erreur. Usant de ses muscles, Nika avait plaqué Tsukasa contre le mur, et cette dernière ne tarda pas à lui dire de se faire plaisir. Ryouka, elle, venait d’être sodomisée par Tsukasa, mais apparut rapidement.

« Hey-là ! Vous n’espériez quand même pas commencer sans moi, j’espère ? C’est MA copine, Nika ! Si tu la baises, je veux y être ! »

Ryouka venait de se relever, et exhibait, à son tour, une belle verge. Nika sourit donc, et relâcha un peu la pression sur Tsukasa, afin de tourner sa tête vers la jeune femme.

« Ça me semble légitime… »

Nika se concentra, et fit pousser sa verge .Comme Ryouka, et sans grande surprise, elle s’avérait être, elle aussi, une belle hermaphrodite. Son membre heurta les délicieuses fesses de Tsukasa. Nika avait choisi, et Ryouka vint rapidement les rejoindre. Prise entre les deux sœurs incestueuses, Tsukasa ne pouvait rien faire d’autre que subir. Se faire sodomiser n’avait nullement réfréné l’ardeur de Ryouka. Elle aussi, elle était aussi perverse que Tsukasa, et elle comptait bien participer à l’émission télévisée que Tsukasa prévoyait de faire avec Poison. Après tout, elle était sa plus grande fan, et n’avait encore jamais eu l’occasion de coucher avec elle. Or, elle savait que Tsukasa connaissait Poison, et espérait bien profiter de son séjour ici, à Novac, pour pouvoir sentir la queue de Poison se perdre en elle.

Pour l’heure, les deux sœurs s’enfoncèrent dans le corps de Tsukasa, et les hurlements de la belle blonde vinrent emplir avec joie leurs oreilles. Nika s’enfonçait dans son magnifique cul, qui se dilata très rapidement, preuve qu’il avait été pris un grand-nombre de fois avant que Nika ne passe par là. Quant à Ryouka, elle s’enfonça dans son vagin, et, ainsi, les deux femmes commencèrent à se perdre en elle. Tsukasa avait un corps très agréable, ample et tendre, et Ryouka ne tarda pas à poser ses mains sur les deux fesses de la jeune femme, en appui, pendant que Nika, elle, posa les siens sur les seins de Tsukasa, pinçant ses tétons, et banda ses muscles en remuant en elle.

« Haaaaaa…
- Hmmmm-hmmmm… !! »

Pour Tsukasa, c’était l’heure de se faire sévèrement tringler !

SAMARA
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Samara n’aimait pas spécialement prendre sa forme « démoniaque », qui n’était, en réalité, qu’une déformation de sa véritable apparence. Elle gagnait en masse musculaire, ses cornes se dépliaient au lieu d’être repliées, et, de manière générale, elle gagnait en férocité, en bestialité, et en férocité. Pour le dire simplement, le corps de Samara prenait une forme plus masculine, et c’était ça qu’elle n’aimait pas. Arrogante, Samara aimait la beauté de ses formes, l’harmonie de son corps, cet ensemble magnifique et soyeux. Elle n’aimait donc pas forcément changer d’apparence, mais, avec Sya, il était difficile de se retenir. L’Ange avait cette capacité incroyable de la faire sortir de ses gonds, sans pour autant la rendre totalement folle. Sya stimulait autant son amour que son agressivité, pour des résultats intenses et extrêmement jouissifs.

L’Archimage était maintenant assise sur le canapé, et Sya vint la rejoindre. Elle portait toujours une tenue similaire à la sienne, et arborait une petite bouille enfantine. La démone sourit, et la prit dans ses bras, sa verge toujours présente. Comme elle s’y attendait, Sya n’avait fait que jouer en poussant des cris de vierge effarouchée, et lui avoua aimer voir sa mère comme ça.

« Il n’y a que toi qui arrive à me transformer ainsi, Sya... »

C’était d’ailleurs assez troublant. Qu’est-ce qui justifiait de telles transformations ? La théorie de Samara était que le fait de coucher avec une Ange qui gémissait et hurlait déclenchait des réactions inconscientes chez elle, liées à l’hostilité légendaire entre les démons et les anges. Samara ne voyait pas comment l’expliquer autrement, et, tandis qu’elle y songeait encore, Sya vint se presser contre elle, frottant son corps contre sa verge, réclamant un « nettoyage ». Samara, qui savait très bien ce à quoi elle faisait allusion, sourit, surtout quand Sya rajouta qu’elle n’était pas contre l’idée de se faire sodomiser par sa mère adoptive ensuite.

« Tu es vraiment insatiable, ma Sya d’amour... Mais j’aime ça. »

Elle mentirait en prétendant le contraire. C’était bien cette perversion, cet appel insatiable à la luxure, qui faisait tant fantasmer l’Archimage. Ses lèvres se posèrent à nouveau sur la bouche de Sya, et elle commença à remuer lentement, en enfonçant sa verge dans sa chatte. Rien à voir avec la brutalité des étreintes précédentes. Ici, Samara optait pour la douceur, en remuant tranquillement ses hanches, déplaçant son autre main sur les fesses de Sya, les pressant tendrement.

« Là, voilà... Comme ça... Pas de précipitations, hmmm... Contentons-nous de savourer ce... Ce moment, haaaa... »

Samara laissa passer ensuite quelques secondes, où elle continuait à caresser sa petite chérie, venant embrasser le creux de son cou, ou encore sa joue, frottant son corps contre le sien.

« Est-ce que... Est-ce que tu aimes les vacances que nous passons ici, ma chérie ? »

Question purement rhétorique, mais ça faisait toujours plaisir de l’entendre des bouches de la jeune femme !

JESSICA DREW
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Son intuition lui soufflait qu’il y avait quelque chose d’anormal avec cette fille. Et Jessica avait appris à se fier à son intuition, à l’écouter, et à s’en inspirer. Elle devait savoir se faire confiance, et c’était là ce qu’elle faisait. Konata lui dissimulait quelque chose, et, derrière cette question anodine, Jessica espérait bien avoir une réponse.

Alors, Konata lui glissa qu’elle venait d’un « autre monde ». Jessica la regarda, un peu circonspecte, s’attendant à la voir rire, mais, au lieu de ça, Konata semblait très sérieuse. Jessica ne lisait aucune hésitation dans son regard, aucun frémissement de ses lèvres qui pourrait annoncer une éventuelle plaisanterie.

*Elle est... Elle est vraiment sérieuse, là ?!*

Un autre monde ? Alors... C’était une extraterrestre ? Jessica commença à frémir, en se demandant si elle n’était pas une Xénosne infiltrée... Mais une Xénosne n’aurait jamais révélé qui elle était ! Konata ajouta ensuite qu’elle disposait de pouvoirs, ce qui acheva de convaincre Jessica qu’elle ne plaisantait pas. La jeune femme aux cheveux bleus était très sérieuse, et Jessica la regarda sans rien dire... Avant que sa langue ne semble retrouver son usage.

« A-Attends, tu... Tu es... Tu es quoi, genre... Une alien ? »

Jessica secoua la tête en souriant.

« C’est du délire ! Tu plaisantes, hein ? »

Oui, c’était forcément une plaisanterie... Non ? Mais Konata ne plaisantait pas. Jessica, pour le coup, ne pensait même pas encore au fait qu’elle avait des pouvoirs (comme elle), mais au fait qu’elle venait... D’ailleurs. Les Terrans savaient qu’il y avait de la vie en-dehors de leur monde, depuis qu’un astéroïde peuplé de monstres s’était écrasé au nord de Uatis, mais, de là à tomber sur une extraterrestre, comme ça, sans prévenir, en passant de tranquilles vacances au Paradisio Hotel de Novac... Eh bien, pour Jessica, c’était un vrai choc ! Elle se pinça les lèvres, signe qu’elle réfléchissait, tout en se désintéressant totalement de leur partie de jeu vidéo.

Son instinct, au moins, ne s’était pas trompé.

« T’es... T’es pas une Xénosne, au moins, h-hein ? »

Après tout, il existait des Xénoss qui étaient capables de prendre des apparences humaines. Depuis que cette traîtresse, Sarah Kerrigan, avait rejoint la Horde, les Uatéenes avaient vu la menace xénosne redoubler d’intensité, comme à l’époque sinistre où le Containment Point n’avait pas encore été bien bâti, et où les Xénoss multipliaient les assauts. Cette époque avait vu l’essor d’abris, de bunkers souterrains destinés à protéger les Uatéenes des nuées xénosnes. Jessica se rappelait de la frénésie de l’époque, quand ses propres mères avaient hésité à déménager. Alors, oui, elle croyait aux extraterrestres, mais n’avait encore rien vu, chez Konata, qui sous-entendait qu’elle puisse être dangereuse.

*Rien jusqu’à présent, en tout cas...*

Est-ce que c’était le moment où, comme dans tous les films, le méchant dévoilait sa véritable identité avant d’attaquer ? Jessica essayait de se calmer, de se dire qu’elle se faisait des histoires... Mais, comme elle n’en savait rien, elle était quand même prudente.

Au cas où...

MILWËN NOVAC
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« Alors, Majesté, votre séjour vous plaît ?
- Oh, vous pouvez m’appeler Elena, Madame la Baronne...
- Seulement si vous m’appelez Milwën ! »

Un léger sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme. Ce n’était pas tous les jours qu’on pouvait dîner au dernier étage de la Novac Tower avec Elena Ivory et sa conseillère, Adamante Mélisi. Ce repas, qui était l’une des raisons de la présence de Milwën au Paradisio Hotel, était toutefois important. Même si Elena était officiellement en vacances, tout comme la Baronne, il était bien connu qu’un État, lui, ne prenait jamais de vacances. Milwën n’allait pas rater l’occasion d’une entrevue avec la doucereuse Reine, et il en allait de même pour Elena.

« C’est entendu, alors, Milwën... Et, pour répondre à votre question, je suis ravie d’être ici. Il existe un véritable fossé technologique entre Lumen et Uatis, c’est vraiment impressionnant.
- Les Uatéenes ont choisi de se développer en faisant confiance à la métallurgie, à la science, et à la technologie, là où les Lumeniens ont préféré le développement de la magie. Je ne cherche nullement à faire preuve de supériorité envers vous ou envers votre peuple, Elena.
- C’est ainsi que je l’entendais. »

Les deux femmes sourirent encore. Le ton se voulait poli et cordial, elles étaient ici pour discuter, pas pour se faire la guerre.

« Et puis, notre technologie a un coût, nous sommes dépendants des matières premières et des ressources énergétiques que vous nous fournissez.
- Il n’empêche, la vue est vraiment superbe, d’ici. »

Ça, ce n’était sûrement pas Milwën qui allait la contredire. Uatis et Lumen avaient jadis été en guerre, mais ce conflit était très éloigné, maintenant. Les deux nations étaient en paix, et entretenaient d’étroits liens commerciaux, même si, à l’égard du conflit entre Mijak et Lumen, Uatis tenait fortement à sa neutralité politique.

« Enfin, quoi qu’il en soit, j’espère que votre règne n’est pas trop difficile, j’ai entendu dire que... »

Milwën se tut brusquement en voyant une petite famille approcher, et fronça les sourcils.

*Mais...*

C’était cette Celkhane qu’elle avait aperçu à la plage tantôt ! Elena, surprenant le regard de Milwën, tourna alors la tête, et la même expression de surprise put également se lire sur ses yeux.

« Suki ? »

Milwën regarda Elena, étonnée.

« Tu la connais ?
- On s’est croisées... À la plage.
- Oh... »

Elena et Milwën se regardèrent brièvement, puis Milwën se racla la gorge, et demanda à une servante de venir chercher Suki. Après tout, puisque tout le monde se connaissait, c’était là l’occasion de prendre quelques nouvelles...

LAURA KINNEY
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Au milieu de cette fête endiablée, Laura avait clairement senti une présence malsaine. Cette présence s’incarnait dans cet être situé au-dessus d’une attraction, le long du carrousel. Avisant également cela, Magie décida de les téléporter toutes les deux. Elles avaient beau être venues au Wonderland pour s’amuser, elles n’en oubliaient pas qu’elles avaient eu, toutes les deux, un passé trouble, dont il ressortait quelques réflexes, comme une propension naturelle à se mêler des histoires qui ne les concernaient pas. Magie les téléporta donc, et le duo arriva sur le toit de l’attraction, dans le dos de la mystérieuse créature aux yeux rouges.

Laura grogna lentement. Elle sentait une odeur très particulière suinter de cet être. Une aura maléfique l’enveloppait, et ça, il n’y avait pas forcément besoin d’avoir des sens surdéveloppés pour le réaliser. Crispant ses poings, prête à déployer ses griffes, elle se rapprocha lentement de l’individu... Qui se téléporta brusquement, dans une volute de fumée, et atterrit sur le toit du carrousel. Avait-il repéré le duo, ou avait-il tout simplement décidé de partir ? Laura le vit se téléporter à nouveau, atterrissant sur le toit d’une autre attraction, avant de se téléporter encore.

« Il est en train de partir ! » s’exclama-t-elle.

Inutile de vouloir se téléporter à son tour, il fallait les traquer à l’odeur, ce que Laura fit... En sautant en contrebas. Elle fit un bond d’une dizaine de mètres, mortel pour n’importe qui, et se réceptionna sans problème sur le sol, au milieu de badauds impressionnés et intrigués. Sans leur laisser le temps de comprendre, elle fila entre eux, se mettant à courir, bien consciente qu’Illyana n’aurait aucune difficulté à la suivre. Elle, elle devait se dépêcher, traquer l’odeur de cette créature avant qu’elle ne disparaisse dans la foule. Laura était une prédatrice, une traqueuse à l’instar de Wolverine, et, ce faisant, capable de suivre une proie sur des kilomètres. C’était là ce qu’elle faisait, filant à travers les allées et les dédales du vaste parc d’attractions.

Wonderland était découpée en plusieurs secteurs, par thématiques. Elle rejoignit ainsi la section « Stronghold », abritant un village médiéval derrière des murs en pierre, accessible par une série de corps de garde. Il y avait, bien sûr, des attractions, mais dans ce qui s’apparentait à un village lumenien typique, avec des rues étroites, des auberges fumantes, des échoppes vendant des souvenirs et des cadeaux... Laura ralentit progressivement, l’odeur se faisant plus persistante.

Illyana ne tarda pas à arriver près d’elle, en venant de se téléporter.

« Il n’est pas loin... »

Autrement dit, la prudence était de mise. Ici, il y avait moins de touristes, car le village comprenait essentiellement des attractions souterraines, de telle sorte que les queues avaient lieu à l’intérieur des attractions. Le duo s’avança donc, se rapprochant d’un petit square central, où Laura revit la cible, qui était en compagnie de plusieurs femmes portant une étrange tenue noire moulante en cuir, avec une longue épée. Laura se rapprocha prudemment quand, brusquement, les regards se tournèrent vers elle.

Elle réalisa alors que ces gens ne parlaient pas, émettant plutôt des borborygmes, et déploya ses griffes.

« Qui êtes-vous ?! »

Pour seule réponse, l’une des femmes lança vers elle un shuriken, et Laura poussa un grognement de douleur quand le projectile, en la prenant par surprise, la frappa au torse, se plantant en elle.

« Okay, si vous voulez la jouer comme ça... »

Elle s’élança vers eux en rugissant, toutes griffes dehors. Laura ignorait ce qui se tramait ici, mais elle était bien décidée à y mettre son grain de sel !
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Hinata Kaguya »

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Hinata Kaguya
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Hinata
Le rêve prenait forme ce soir, il avait déjà pris forme il y a quelque temps, depuis qu'elle avait commencé à éprouver certaines choses pour cette fille qui allait devenir sa petite amie, puis sa femme et la mère de ses enfants. Et ce soir, cette nouvelle ajouta de nouvelles pièces à ce puzzle qu'était ce rêve idyllique, elle voyait son rêve prendre forme, sa petite famille s'agrandir et elle devait cela qu'à sa femme. Elle pourrait tout faire pour elle, du plus simple au plus compliqué, Shunya était sa moitié, sa raison de sourire et de profiter de la vie. Après ces quelques années à vivre avec un chagrin, un regret, une chose qui ne lui donnait aucunement envie de sourire, aujourd'hui elle se réveillait en souriant aux côtés de sa femme pour finir de façon similaire, souriante auprès de sa femme. Très souvent nue et épuisée d'ailleurs. La venue de ce bébé, même si ce ne sera que dans quelques courts et longs mois à la fois, ça rendait sa vie tellement plus gaie. Elle était si impatiente !

Elever un enfant, évidemment que tout ne sera pas tous les jours rose mais c'est l'euphorie du moment. Il y aura les pleurs, les réveils dans la nuit, les petites crises stressantes quand bébé aura mal quelque part sans savoir où et pourquoi, bref, pas que de la joie. Mais avec une telle nouvelle, on oubliait bien souvent les mauvaises choses. Et puis cela faisait partie du job de Maman, on n'avait pas que les avantages. Mais elle acceptait cela.

« Notre nation se doit de montrer l'exemple, nous-même, de montrer cet exemple fièrement. »

Paysan ou royauté, artiste ou membre du conseil Edoras a toujours mis en avant l'amour avant tout, pas de mariage arrangé ou sous une certaine forme de menace, l'amour plus fort que tout. Certes, l'égalité des sexes était encore la zone sombre de ce pays mais doucement, cette tâche allait disparaître, il faut laisser du temps pour ça mais cela allait arriver. Edoras ne s'est pas construit en deux jours après tout. Sa femme venait baiser sa main et murmure une petite chose à son oreille qui la fit glousser comme une petite fille. Il est vrai que si maintenant Shunya était enceinte, Hinata n'était plus obligée de prendre sa femme pour la mettre enceinte. Il était plaisant de lui faire l'amour avec une queue, c'est vrai et si le bébé n'était qu'une excuse pour arriver à cette conclusion, les rôles vont pouvoir s'inverser un peu.

« Ici ou ailleurs, notre amour brûleras intensément. » Il est vrai que le décor était beau mais pour Hinata, tout lui conviendrait mais avec l'inversement des rôles pour agrandir d'ors et déjà la petite famille, la reine allait pouvoir offrir un cadeau spécial à sa femme qu'elle voulait offrir depuis leur mariage. Mais bon, elle était tellement occupée à lui faire l'amour aussi. Se penchant sur elle, elle parlait à voix basse à son tour. « Et je t'offrirais un autre cadeau en plus, chérie. »

Elle ne disait pas quoi mais il ne pouvait être offert que si Shunya avait une belle érection entre les jambes. Sa virginité anale. Autant dire que si Hinata tombe enceinte ce soir ou non, ça laissera quand même un très bon souvenir ! Avec en plus Shunya en tant que futa, c'est bête mais Hinata attendait ça impatiemment ! Mais que voulez-vous, avec son envie de planter sa petite graine en sa femme, elle ne pouvait pas penser à tout. Ce soir, elles vont concurrencer Tsukasa et sa cousine... Amoureuse ou non, Hinata restait encore naïve sur certains mensonges gros comme une maison... C'est aussi ce qui faisait son charme après tout. Elle prenait toujours l'amie de Tsukasa comme sa cousine et qu'elles ne faisaient rien de mal ensemble. Si elle savait...

« Je sais qu'on dit d'attendre trois mois avant de l'annoncer mais je suis impatiente de voir le visage des autres. Que ce soit tes parents ou tes sœurs. Hihi, Chika-chan sera tellement mignonne quand elle aura le bébé dans ses bras ! Oto-san en pleura surement de joie, hihi... Oka-san aussi ? Il me tarde d'agrandir notre petite famille, de prendre soin de toi, plus encore que ce que je fais aujourd'hui, ma chérie. »

Il en sera surement de même pour Hinata avec Shunya mais la reine pensait d'abord à sa femme. Puis inconsciemment, elle imaginait cette même scène sans la tragédie. Ses parents qui auraient chouchouter le bébé, Kagami qui, aujourd'hui serait presque une jeune femme aurait fait une tante en or pour le bébé. Enfin, Shunya était là pour lui retirer toute mauvaise pensée, sa femme et sa famille étaient à présent Sa famille à elle aussi.
Tessou
Pour Kara, taquiner Tessou devait être un de ses jeux favoris, pour la jeune mère, elle comprenait le fait d'être taquiner mais elle en oubliait le but parfois, prenant tout au pied de la lettre. Il est vrai que la jeune femme était très mère poule, très attachée à sa fille. Quelle mère ne l'est pas, déjà ? Puis il ne faut pas oublier qu'elle était le dernier souvenir de celui qui allait devenir son mari, forcément, sa fille était la prunelle de ses yeux. Elle pouvait passer des journées à la regarder jouer, dormir, sa fille était pour ainsi dire tout dans sa vie. Si Kara prenait plus de place dans cette vie quelle ne voulait le voir, sa fille restera majoritairement tout son univers. Doucement, la jeune femme pensait à des choses et d'autres, qui incluait tant la blonde super forte que son grand bébé adorable. Mais les mots de Kara venaient de la sortir de ses rêveries en pensant de suite à des choses qu'elle serait incapable de faire. Aller dans un love hotel ?!

Certes, les gens ont le droit à leurs vies privées et cela n'avait rien d'illégal tant que monsieur ou madame « je suis marié » ne se fait pas attraper. Mais elle, dedans ?! Pour peu, elle aurait élever de nouveau la voix en la traitant de folle mais elle la regardait juste avec de grands yeux, le rose aux joues et une bouche prête à crier cette remarque même si elle venait de se retenir... Elle ne disait rien, quand même en disant oui, il ne faut pas oublier LE détail à ne pas oublier, rien à voir avec la tenue à porter ou un accessoire, c'était plutôt une baby-sitter pour Kyoko. En avoir une quand elle travaille était simple, sa famille était là pour ça mais Tessou ne voulait pas compter sur eux pour quand elle était disponible. Et pas question de la confier à n'importe qui ! Mais elles n'en étaient pas encore là. La blague – ou non ? – étant passé, Kara la prenait dans ses bras en la rassurant un peu. L'idée de jouer la petite famille paisible ne la dérangeait pas. Certes, elles faisaient un peu ça quand la Kryptonienne venait dormir chez elle et il serait dommage de passer à côté de tout ce que pouvait proposer ce monde.

Ce n'est pas que la soirée ne la tentait pas, c'est juste qu'elle avait du mal à se faire à ce nouveau monde. Elle a eut son lot de bizzarie depuis le retour de son service comme de la présence de Kara auprès d'elle – pour ne citer que les vampires pour commencer – mais fréquenter des anges, des démons, des hommes loups ou chat à chaque coin de rue, c'était un peu étrange. Autant pour elle, elle s'en fichait un peu du moment qu'on la laisse tranquille mais c'est pour Kyoko qu'elle avait peur. Elle pouvait faire confiance aux différentes garderies mais admettons qu'un enfant animaux quelconque la griffe ou la morde et qu'elle attrape une maladie rare ? Comment gérer ça ? Kara lui faisait la liste, en commençant par un club échangiste... elle refuserait déjà un love hotel, est-ce que Kara croit vraiment que Tessou accepterait ça ?! Enfin bon, le jour ou Kara cessera de taquiner la jeune femme, les poules auront des dents.

« Oublie tout cela. Tu as réservé un restaurant pour nous, alors ce sera ça. Le tour de l'île en bateau, ça attendra demain ou un peu plus tard. Ne vas pas croire que je m'ennuie ou que je veux rester cloitré ici, au contraire. Mais je partage ma vie avec deux opposés et je ne sais pas comment gérer cela. D'un côté il y a une fille qui pourrait écraser un tank avec son petit doigt et de l'autre, j'ai une petite fille fragile où je panique au moindre bourdonnement d'insecte près d'elle. »

En disant cela, elle n'était pas loin de la vérité. C'était commun à toutes les mères mais Tessou avait toujours peur que sa fille se blesse, que sa petite toux ne soit plus grave, que son manque d'appétit cache une maladie de passage ou non. Kara pouvait changer Tessou sur bien des points mais pas sur ça. C'est sûr que si elle avait un super bébé qui ne craint rien, elle aurait un poids en moins sur les épaules mais ce n'était pas le cas.

« Et à ce propos, il faut nous dépêcher de nous préparer, j'ai encore une robe à choisir et toi aussi peut-être ? »

Elle ne savait pas à quelle heure elles iront diner mais Tessou ne voulait pas prendre de risque, elle ne voulait pas arriver en retard à cause d'un choix de robe trop long. Kara pourrait toujours choisir pour elle cela dit. En tout cas, elle voudra surement observer sa fille à la garderie quelques instants, voir si tout va bien. Parlant d'elle, elle devra la réveiller, espéreront qu'elle ne soit pas trop grognonne. Se mettant sur la pointe des pieds, elle venait l'embrasser sur le coin des lèvres avant d'enfiler le reste de sa tenue et commencer à réveiller son petit trésor en douceur. Elles avaient l'air d'une belle-famille, toutes les trois.
Karistal
Avoir Luna comme une petite-maîtresse futa, c'était très plaisant ! Autant pour Yuko que pour Yuka. Les situations rares comme celles-ci sont d'autant plus savoureuses ! Ensembles, elles se plaisaient à embrasser et lécher les belles bourses de la petite chatte, ronronnant d'excitation en la regardant avec envie. C'est à se demander qui allait sauter sur l'autre ? Leur petit jeu pourrait prendre fin simplement en un claquement de doigts, mais à quoi bon ? Elles s'amusaient bien. Même si sans le savoir leurs lapines gardes du corps avaient prévue de faire venir leur grande sœur Alice ce soir, les Karistal savourait leur petite-maîtresse pour le moment. Yuko incitait Luna à agir dans le sens qu'elle l'entendait mais pour une fois, ce n'était pas par égoïsme, elle, elle avait eu son compte mais ce fut vraiment pour rendre service à sa jumelle, comme quoi, une bonne action n'est pas toujours bien.

Luna continuait de porter sa casquette de maîtresse et repoussa Yuko, ce qui, en la voyant comme ça la faisait furieusement ronronner de plaisir et de désir ! Même quand elle sortait son arme, oh bon sang ce que Yuko voudrait bien voir ça sur sa sœur pour savourer chaque image ! Montrant ses petites fesses, Yuko venait gémir en miaulant sous les coups de sa ravissante petite-maîtresse.

« Nyyyyaaaan ! Je suis une Nyan, vilaine esclave ! NyyyyyAAAAAANNnnn ! Je suis une, Mhhhh Nyyyya, sale petite salope de neko ! Une petIIIIIITE Pute !!! »

Luna s'en donnait à cœur joie et voir sa sœur prendre son pied sous les coups de Luna n'arrangeait pas les choses. La seconde Karistal vint prendre une pose similaire à Yuko en exposant ses fesses, le visage contre terre et d'une main, elle écartait une de ses fesses et de l'autre, elle se touchait avec une envie plus que brûlante !

« Nyyyya Maîtreeeeeesse ! Yuka ne tient plus ! Pitié Maîtresse PITIER !!! Venez me prendre, j'ai siiiii maaaaaal à ma chatte ! Et à mon cul ! Nyyyyyuuuuuuu.... »

Quand Yuka voulait jouer les esclaves en manque, elle savait y faire, Yuko ne disait rien, voulant aider sa sœur, simplement en regardant tantôt sa jumelle, tantôt sa maîtresse. Comment refuser une si jolie demande. Il faut en profiter car sans le savoir, les invitées ne vont pas tarder à venir rendre une petite visite aux trois nekos. Yuka mouillait sur place, sa culotte était une vraie éponge, ses cuisses montraient les traces d'un nectar coulant à souhait, offerte à sa ravissante petite-maîtresse neko. Yuko venait quand même à agir, non pas en se montrant désobéissante, elle caressa le visage de sa sœur. Luna était une maîtresse sévère mais aimante, elle n'allait pas abandonner cette pauvre petite chatte quand même. La Karistal miaulait d'impatience et de désir en se touchant sous les yeux de leur maîtresse. La suite va être géniale, c'est ce que se disaient les deux sœurs jumelles, reste à savoir à quel point ?
Kiriko
L'enfant qu'elle portait était tant la récompense pour ses durs efforts lors des épreuves que la preuve aussi que leur amour à eut bien des visages – pour Kiriko – mais que le sentiment lui, restait toujours plus fort. Kiriko comme Sha n'arrivait pas à déterminer le nombre exact d'enfants qu'elles ont eu à travers l'histoire, Misha avait eu Jasmine et Nausicaa mais il était arrivé à la Celkhane, souvent en rêve, de revivre certaines anciennes vie, que ce soit un simple moment de plaisir avec sa Déesse ou un événement banal du quotidien, elle avait souvent un visage et une apparence différente mais souvent, quand il ne s'agissait pas de sexe, elle se voyait avec un ou plusieurs bébés autour d'elles. Que ce soit de simples enfants ou leurs enfants, le doute était permis même si parfois la ressemblance était plus que frappante. Depuis leurs retrouvailles, la mémoire de Sha revenait peu à peu et ainsi, elle voulait faire grandir son culte, tant en fidèle qu'en enfant. Elles en étaient encore loin mais si chacune de leurs petites sorcières prenaient des leçons particulières auprès des autres sorcières du temple, ça pourrait en faire de très grande sorcières !

Arya qui était dans le ventre de Kiriko était encore très loin de devoir apprendre des cours magiques mais le temps passait si vite et il fallait tout prévoir. Bientôt, le temple de Sha va vite déborder de rires d'enfants comme de magie ! Qui sait combien de bébés elles auront mais les deux premières avaient déjà leurs noms de prévus, sa petite Arya était déjà dans son ventre et ce soir, Kiriko devait mettre dans ce joli ventre la petite Abigaïl, Abby pour les intimes. Kiriko était la femme de Sha, elle portait sa première fille d'une longue série, elle était si heureuse. Franchement, qu'elle couche avec d'autres, elle s'en fiche, elle n'était que sa femme et Sha était une déesse. La seule réticence de Kiriko vis-à-vis des idées de Sha, c'était qu'elle tombe enceinte. Qu'elle plante ses petites graines ici et là, elle s'en fichait mais que quelqu'un d'autre cherche à mettre un bébé dans le ventre de sa femme, ha non ! Elle n'était rien pour interdire cela mais c'était la seule chose qui pouvait faire de leur mariage un privilège. À défaut de ne coucher qu'entre elles, au moins Kiriko peut enfant Sha et seulement elle.

Et inversement aussi, Kiriko ne porte que les enfants de Sha ! Après, on parle de Sha, la grande déesse ! Alors si cette dernière exige qu'Açoka vienne baiser Kiriko... ha non pas elle ! On ne sait pas comment les choses vont se passé mais Kiriko avait du mal avec elle comme toujours mais, elle avait toujours ce genre de rêve où elle et l'Mijakienne ont une petite fille... La Celkhane se posait de plus en plus de question su ses rêves qui étaient souvent comme un puzzle à assembler, tant du passé que du futur. C'était peut-être de simples fantasmes de son subconscient mais ça semblait de plus en plus réel tout ça... Mais pour en revenir à notre petit couple, l'amour avait commencer et évidemment, si Kiriko doit y passer la nuit, elle y passera la nuit pour l'enfanter ! La sorcière donnait le coup d'envoi, commençant doucement même si peu à peu, la sorcière se laissait bercer par ses émotions et prendre sa femme avec de plus en plus de passion. La déesse n'était pas en manque de douceur non plus car bien vite, elle gifla la fesse de Kiriko en demandant plus de force dans son action !

Kiriko en gémit sur le coup, avant de se dire qu'en effet, cela était trop classique pour parler de « faire un bébé ». Abordant un sourire plus confiant, elle donna un grand coup de reins avant de glisser ses mains sous une des jambes de la déesse pour lui lever la cuisse. Elle était ainsi moins étroite alors que la Celkhane lui faisait lever la jambe, la collant contre elle pendant que sa queue la pénétrait plus loin et plus fort. Cela forait un peu Sha à se mettre sur le côté mais le jeu en valait la chandelle. D'autant plus que la sorcière n'avait pas sorti toute ses cartes. Elle venait humidifier son majeur avant de le faire glisser entre les fesses de sa femme. Ce n'était pas aussi imposant que son pénis mais ça restait mieux que rien !

« Huuuum haaaaan ouiiiii ! Te baiser c'est si boooooon han putainnn ouais ! »

Elle n'était plus aussi novice qu'avant mais elle restait loin d'avoir l'expérience de Sha dans le domaine. Puis à choisir c'était plus souvent Sha qui venait baiser Kiriko devant ou derrière plutôt que Kiriko qui sortait sa queue ! Sa main maintenant sa jambe contre elle, caressant sa peau douce et ferme, elle dévorait sa femme du regard, seul un bon baiser manquait à cela mais vu leur position, il était difficile d'imaginer en partager un pour le moment.

« Tu es vraiment, hum, trop belle comme ça.... ça m'excite ! Je vais, hum, te faire plus qu'une Abby là-dedans ! »

On ne sait jamais qu'elle dise vrai mais déjà avoir leur petite sorcière numéro deux en routes, ce sera une bonne chose. Surtout qu'une fois leurs grossesses entamées, le sexe ne sera plus aussi torride et sauvage, il sera bien plus doux certainement. Si Kiriko retirait son doigt de son antre chaude, ce ne fut que pour gifler son cul avant de le remettre au chaud. Kiriko gifler le cul de Sha, avant les épreuves, ça auait été une chose impensable ! Déjà que quand elle était un peu trop familière avec elle, elle s'en excusait alors la gifler ?!

« Han, je vais tout te donner ma Sha ! Je vais vider mes couilles en toi ! Encore et encore ! Haaaaan, tu es... si gourmande... Han, tu vas m'épuiser, je le sens déjà ! »

Là, c'était loin d'être un mensonge.
Neferia
En bavardant, elle avait fini par se montrer curieuse sur le passé de Crystal, cette dragonne si froide qui peu à peu semblait lui montrer sa vraie nature, la femme qui se cachait derrière la dragonne. Homme ou femmes dragon, il y avait toujours quelqu'un avec une personnalité, elle avait bien vu ça avec ses parents. Haute prestance et image royale au sein de son peuple, ils semblaient si fort alors qu'en sa présence ou même simplement eux, en privée, ça avait presque l'image d'une famille heureuse. Il ne faut pas en vouloir à Neferia de se renseigner, elle fut juste étonnée de savoir que sa préceptrice a été maman, forcément, elle n'aurait jamais imaginé ça ! Posant sa question, elle l'écoutait attentivement, sachant que cela n'était pas une chose simple a déballer. Calmement, elle lui parlait de Penelope et Fenrir, un garçon et une fille, mais l'entendre, ils avaient quand même vécu un certain nombre d'années. Vu ce qu'elle avait dit avant, elle pensait que les pauvres étaient morts jeunes mais, guerrier, cracher du feu, ce n'était pas des choses qui se passaient en bas âge.

Ce n'était pas précisé, la façon dont ils sont morts, naturellement ou lors d'une bataille, elle préférait ne pas demander, chaque mot prononcé les concernait amenait un peu plus le chagrin à s'installer. Mais elle pouvait très bien comprendre son sentiment. Elle n'avait jamais eu d'enfant vu son âge mais elle avait elle aussi perdu deux être chers. La main de Crystal venait lui ébouriffer les cheveux, faisant sorti Neferia de ses pensées. Elle attrapait doucement la main pour y frotter sa joue dessus. Il était rare que la jeune dragonne se fasse câline, quand elle était réveillée, elle se montrait toujours un peu autoritaire, venant presque exiger ceci ou cela de la part des autres mais ça lui arrivait, comme maintenant, de savoir être autre chose qu'une exigeante petite dragonne au fort caractère.

« J'ai éprouvé comme toi un sentiment de solitude, voulant juste écraser cette vermine et tirer un trait sur cela. Je pense que si j'aurais pu, je me serais aussi changé en dragon et une fois ma vengeance accomplis, je serais resté dans un coin... »

Aussi colérique as-t-elle pu être, jamais elle ne s'était changée en dragon, pas à sa connaissance du moins. Si Crystal avait fait un effort en parlant de ses enfants, elle en fit autant en parlant de ses parents. La jeune princesse avait évoqué sans s'attarder la perte de ses parents, ce n'était pas le genre de chose qu'elle aimait évoquer après tout.

« Mes parents m'ont offert tout leur amour, j'avais le luxe et la belle vie autour de moi mais j'aurais abandonné tout cela pour rester plus longtemps avec eux... Même envers ses sales humains, ils étaient si bon. Leur impôt pouvait être lourd mais combien de monstre, de brigands et autres menaces ils ont écrasé alors qu'ils menaçait leur peuple ? À peine emporté par la maladie que ses saletés ont voulu cracher sur leurs corps et leur faire les pires choses ! Je suis sûr que j'y serais passé aussi si nos derniers fidèles n'avaient pas retenu les portes... »

Elle se souvenait encore de chaque détail de ces derniers jours. Et pou renforcer sa haine, évidemment, les gardes fidèles étaient toutes sortes de terranide et ceux qui brandissaient les fourches et les flammes étaient des humains.

« Une fois mes parents enterrés... je n'ai pas tout détruit sur mon passage, loin de ma maison, j'ai juste erré une année environ, ses pourceaux étaient prêts à user de leurs couteaux pour me faire reculer alors que je ne demandais qu'un morceau de pain où un toit ou m'abriter le temps que la pluie cesse. Alors que les terranides les plus pauvres m'offraient leur maigre ressource et compagnie pour que je puisse me reposer. »

Entre ça et ses derniers instants en princesse, Crystal pouvait mieux cerner sa haine du genre humain, là où les terranides, peu importe leur origine avaient plus de respect aux yeux de la jeune femme.

« Que l'on ai une bonne raison ou non, on croit que la solitude est une solution mais la vérité, qu'on le veuille ou non, c'est que tout le monde, dragon ou terranide, à besoin de vive auprès de quelqu'un. »

S'isoler un peu ne peut pas faire de mal cela dit mais voilà ivre à plusieurs était aussi une bonne chose parfois. La jeune dragonne était loin de lui faire une déclaration, juste lui dire qu'elle aussi aimait sa compagnie. Étant proche d'elle, elle venait poser sa tête sur son ventre en fermant les yeux, savourant en silence le contact de sa main sur son visage, ses cheveux. Crystal a souvent été une mère pour Neferia, bien qu'elle ne le dise et refuse même de remplacer sa mère par cette dragonne. Mais cela était surtout visible dans son sommeil où parfois, collé contre Crystal, elle appelait sa mère – mais jamais son père – preuve que la dragonne comptait à ses yeux plus qu'elle ne voulait le dire. Fierté des dragons ou juste son comportement de princesse, elle ne s'ouvrait pas facilement en ce qui concernait les sentiments.
Harley
Ces petites vacances ne faisaient pas que du bien à Harley mais aussi à Ivy, ça se voyais ! Même chez leurs amies mais étant donné que depuis leur séparation, elles n'ont plus de nouvelles, elles verront bien demain ce qu'elles ont fait durant leur absence ? Surement quelque chose de tout aussi amusant. Ce sont des vacances après tout. Et ce n'était pas la première fois et encore moins la dernière fois qu'Harley faisait joyeusement l'amour à sa petite plante chérie, sous l'effet de ses spores en plus. Cela était moins efficace sur les femmes, surtout Harley qui avec le temps avait été plus ou moins immunisé à cela. Ses spores fonctionnaient mais pas aussi rapidement que sur la première nana que Poison Ivy coincerait entre ses lianes. Que ce soit les spores ou non, Harley restait très en forme, assez puissante pour continuer de baiser Pamela sans retenue !

« Huuuuum, ouaiiis encore ! Encore !!!! »

Harley était aussi déchainé que Pamela mais une fois qu'elle était lancée, il était rare qu'Harley se montre calme, était-ce seulement arrivé une seule fois ? Membrée ou non, l'arlequin continuait de la prendre, en y mettant à chaque coup de reins un peu plus de force et de puissance, afin que la belle rose s'envoler rapidement au septième ciel. C'est tout ce qu'elle attendait après tout. Sinon à quoi bon la provoquer en giflant ses fesses ? Elle n'attendait que ça la coquine. Pamela jouait les dominants raffinés avec ses petites manières mais des deux, c'était surement elle la pire. Il suffisait de la voir, elle ne tenait plus en place la rouquine ! La jolie blonde venait même cesser de gesticuler un instant, le temps de pouvoir parler plus librement.

« Huuum t'es vraiment assoiffer ! J'vais t'arroser ma salope... Dire que tu me disais qu'une plante avait besoin d'amour et de tendresse... Ta de drôles de notion pour ça toi, hahaha ! »

Puis elle reprit enfin, comme Pamela le voulait, toujours plus fort ! Venant même l'écouter car à travers son baiser, elle venait mordre sa petite lèvre inférieure en tirant dessus avec plaisir avec de l'embrasser de nouveau sauvagement, en la serrant contre elle avant de recommencer. Elle savait être vorace la petite Harley !

« Promis... après je te prends le cul mais là, pamy-chérie... faut que je te baise à foooooond !!! »

La prenant contre le lit, elle ne lui laissait aucun moyen de fuir, elle la prenait de plus en plus fort, venant ancrée son corps dans le matelas, que ce dernier se souvienne pour toujours de leur passage ici ! Harley augmentait le rythme, encore, encore et encore jusqu'à lui donner les ultimes coups de reins, plus lent certes mais plus fort, jusqu'à ce que le dernier coup ne lui fasse relâcher la pression sous la ceinture !

« Haaaaan ouiiiiiiiiiiiiiiii !!!!! »

Quand elle sentit le dernier tressautement de sa queue en elle, elle se relâchait, écrasant Ivy de tout son poids. Elle n'abandonnait pas maintenant, elle reprenait juste son souffle en profitant de cette légerté qu'elle ressenrait. C'était tellement bon !
Aoki
Ce n'est pas une surprise qu'entre elles, l'amour avait toujours été surtout sauvage et intense. Que ce soit Aoki ou Félicia, il arrivait parfois que cela soit très doux et sensuel mais quand on sait comment à finir leur première soirée, on se doutait bien que le sexe devait avant tout épuiser que faire voir des nuages roses. Aoki se faisait prendre le cul, elle adorait cela, sentir Félicia toujours plus forte, en elle, tambourinant ses fesses à grand coup de reins pour mieux faire aller sa queue le plus loin possible. Elle prit une position qui demanda une certaine énergie mais Aoki n'en avait pas peur, comme sa partenaire. Ainsi, elle ne touchait plus le sol et elle adorait ça. Même son premier petit ami n'avait pas été aussi fort avec elle. Les mains de la Chatte noire caressaient son corps autant qu'ils la maintenaient en place, elle tenait la nuque de sa petite amie, caressant du bout des doigts ses longs cheveux d'argents.

« Haaaaan ! Ouiiii ouiii OUIIIIII !!!! Continue chérie, encore !!! »

Aoki n'avait pas peur quand ça faisait mal, même quand elle changea de position, sentant ses bras tiré en arrière alors qu'elle était à nouveau au sol – ses genoux du moins – et que son corps, était frappé encore et encore par la Chatte noire qui prenait un malin plaisir à y aller à fond. Elle sentait sa poitrine remuer au rythme des coups de reins, allant de bas en haut pendant que la Chatte Noire entrait de plus en plus près de l'orgasme, comme Aoki.

« Mmmmhhhhhhh oui continuuuuueeee ! Baise-moi à fond ! Défonce-moi le cul !!! »

Il n'en fallait plus pour que quelques instants plus tard, ce rodéo se fige un instant, dans un long soupir partagé avant que tout ne retombe mollement au calme. Essoufflé, Aoki se dégageait doucement de sa queue pour s'allonger sur le dos, et accueillir Félicia entre ses bras. Leur respiration était lourde mais à défaut d'avoir un sexe tout mielleux, c'est l'après-sexe qui était tout doux. Prenant sa tête entre ses mains, elle la posait sur sa poitrine pour lui caresser les cheveux, le regard perdu dans le plafond. Elle était si heureuse.

« C'est pour ça que j'adore... te voir sauvage... Après tu es plus douce, qu'un chaton... »

La soirée était loin d'être finie mais il fallait bien un petit moment de calme, pour réfléchir à ce qui va se passer ensuite par exemple même si pour Aoki, ça n'avait pas d'importance, la soirée était déjà réussi pour elle.

« Je t'aime, ma Féli-nyan d'amour. »

Même l'évidence avait besoin d'être répétée parfois, venant baiser ses lèvres tendrement pour ponctuer l'importance de cette phrase.
Rouge
La terranide n'était pas forcément dominante, il est vrai qu'à choisir, elle préfère dominer qu'être soumise mais pratiquer de temps en temps le rôle de soumise, pourquoi pas. Mais face à Miranda, cette femme de grande renommé à Tékhos, avec un compte bancaire aussi aguichant que la personne, Rouge voulait prouver qu'elle se hissait au-dessus d'elle. Elle va la voler, d'une façon ou d'une autre, sans que ce vol ne soit un don, une paie ou autre encore. Rouge va l'avoir, elle va le prouver tôt ou tard. Mais pour le moment, elle laissait ses neurones de côté, laissant plutôt le désir prendre place sur son plan pour voler Miranda. Disons que pour le moment, c'était plutôt pour la violer et non la voler. Faite prisonnière entre ses cuisses, elle continuait de la maintenir là, une main dans ses cheveux pendant que sa langue allait entre ses jambes.

Oh quelle délicieuse sensation de plaisir et de puissance ! Rouge gémissait doucement en gardant cette vue mémorable. Aussi belle et puissante soit-elle, entre ses jambes, elle n'était qu'une femme obligée de la lécher, obliger de laisser parler ses instincts en lui léchant le minou.

« Bien... Continue comme ça... Hum... ma petite neko... »

Miranda en neko ? Ça doit valoir le coup, surtout que les nekos sont connu pour leur docilité, il y a bien sur des exception mais dans la majorité des cas, les nekos étaient très docile. Et Miranda l'était aussi ? Pour le moment, oui. Mais Rouge disait surtout cela pour la manipulation de sa langue, les nekos étaient doué pour ça. Ils étaient doués pour beaucoup de choses quand il s'agissait de sexe après tout. Doucement, mais surement, la belle blonde emmenait la terranide vers la jouissance et, outre la libération entre ses jambes – tant ses cuisses que sa cyprine – Miranda se sentit aussi libre. Même si rapidement, la belle blonde amena Rouge sur ses cuisses en venant l'embrasser à pleine bouche, n'hésitant pas à laisser parler son côté sauvage. L'insulte de neko qui lui as fait pousser ses petites dents ou la belle voulait s'amuser un peu plus ? Rouge n'avait rien contre mais elle comptait bien d'une façon ou d'une autre garder le contrôle sur tout ça.

Sentir la main sur son cul était agréable, si elle ne l'avait pas fait seule, elle l'aurait aidé pour ça mais tant mieux si elle n'a pas besoin de ça. La gifle dessus était... de trop ? Non, ça la motivait un peu plus à reprendre les rennes. Si le baiser s'était interrompu à cause de ça, la belle blonde prouvait que la partie commençait seulement. La terranide avait jouit grâce à elle mais ce n'état pas réciproque après tout...

« Et qu'est-ce que tu attends de moi, hein ? Tu te sens excitée parce que je suis pas comme tous tes petits toutous qui remuent la queue devant toi ? Tu veux que je te dresse ? Que je te fasse couiner comme une neko ? Que je te fesse comme la vilaine petite chienne qu'est en réalité Miranda Forge, c'est ça ? »

Rouge se faisait plus proche encore, venant presque l'étouffé dans sa poitrine même si son regard impliquait que celui de Miranda ne la quitte pas des yeux. Souriant en dévoilant légèrement ses dents, dans d'autres circonstances, la terranide aurait pu avoir l'air menaçante... mais ce n'était pas menaçant qu'elle paraissait mais excitante. Même si Miranda avait une expérience sexuelle très impressionnante, vu la puissance des cuisses de Rouge, la position des ciseaux qui était un classique de la relation entre femmes pourrait prendre une toute autre tournure pour le coup ! Telle deux fauves, les deux femmes se tournaient autour en se fixant dans les yeux et bientôt... l'une d'elles allaient agir pour tenter de maîtriser l'autre.
Tsukasa
Partager ses vacances – même rien qu'une soirée – avec les sœurs Spanjee, voilà qui allait être très mouvementé ! Mais les défis ne lui font pas peur à Tsukasa. Sans son amour pour Edoras, elle aurait pu facilement devenir une des « filles » de Poison. Non pas sa propre fille mais plutôt des filles et des hommes qu'elle trouvait et formait pour devenir aussi performant et légendaire que l'actrice. Cela dit, il en était de même pour Ryouka, quant à Nika il était trop tôt pour le décider. Mais avant d'organiser cette petite fête pour sa copine, la belle blonde comptait bien savourer pleinement ses vacances. Pour le coup, elle délaissait son côté dominant avec Ryouka pour jouer avec sa grande sœur, sachant très bien que la petite sœur allait-elle aussi venir.

Pour preuve, Tsukasa s'amusait à peine avec Nika que la petite Ryouka arrivait en voulant jouer avec sa copine, ce qui était normal comme le disait Nika. Regardant par-dessus son épaule la demoiselle avec sa belle queue, elle ne regrettait en rien d'avoir une invitée de plus sur les bras.

« Je sens qu'on n'est pas prête de dormir toutes les trois... »

Déjà qu'à deux, les nuits étaient courtes alors à trois, voilà qui promet ! Changeant un peu la position du coup, la belle blonde venait faire face à sa meilleure copine de jeu pendant que Nika allait passer par-derrière. Enlaçant la jeune femme, Tsukasa embrassait Ryouka à pleine bouche en se serrant contre elle, sa queue venant remuer sur son ventre, sentant sa trique se faire plus raide encore au moment de la pénétration. Un délice. Alors quand Nika s'invita en plus, le baiser cessa et un long cris de plaisir résonna ici, une chance que l'option chambre insonorisé ai été pris.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan !!!! »

Dire que ce n'était que le début... Ses doigts se crispaient dans le dos de Ryouka, risquant de laisser des marques qui allaient s'ajouter à la collection de marques que les deux femmes partageaient sur leur corps, preuve que leur aventure n'était pas que douceur et tendresse. Ses mains maintenaient ses fesses, Nika avait sa poitrine en main, il était temps d'en profiter un peu plus ! D'un petit bond, elle enroula ses jambes autour de son amie, venant bien s'accrocher à elle puisque sa grande sœur était là pour aider à la maintenir.

« Hum, vous avez, han, in-intérêt à être à l-la hauteur, les frangines... »

Une touche de provocation alors qu'elle tendait une main en arrière pour caresser les cheveux de Nika, venant même partager un début de baiser. Faire cela sous les yeux de Ryouka, voilà qui allait un peu plus la motivée, bien qu'elle n'en avait pas besoin. Et Nika aussi d'ailleurs. Tsukasa avait toujours son érection, libre à elles de s'en servir ou de la laisser jouir quand le plaisir sera trop grand ? Comme c'est parti, c'était Ryouka qui risquait de se faire arroser.

« Allez... Montrer moi votre talent... Défoncer moi, les frangines ! »

Pour sûr, la douceur sera pour plus tard, là, Tsukasa en allait avoir pour son grade !
Sya
Si la violence de leur précédent ébat amoureux lui avait énormément plus, comme souvent, l'ange n'avait rien contre un peu de douceur. À vrai dire, malgré son apparence, elle adorait quand c'était bestial ! Mais avec les filles qu'elle aimait beaucoup – comme ses femmes, Lust, sa mère ou encore Mélinda – elle aimait les petits moments de tendresse et de câlin. Ainsi, elle continuait de se frotter contre elle, peau contre peau, même s'il y avait un peu de sueur, elle aimait tout sentir, elle aimait sa tendresse. Si le tableau d'une démone violant une pauvre petite ange n'avait rien de surprenant, l'image de cette démone câlinant tendrement cette ange pouvait surprendre. C'était tellement beau aussi.

Mais outre la douceur, il fallait bien ajouter un peu de sexe à tout cela. Sya ne perdit donc pas une seconde à lui demander la suite de ce ravissant programme. Tout en douceur, Samara venait la prendre en remuant doucement, pas de geste brusque, pas d'insulte ou de griffes, juste de la douleur. Samara pressait ses petites fesses mais même se faire pincer aurait été plus douloureux alors après l'extrême violence, l'extrême douceur. Chacun son univers. Pressé contre le corps chaud et rouge, elle savourait les mouvements et les caresse, l'odeur de sa mère titillait ses narines, le bruit de sa respiration soufflait à son oreille, elle savourait pleinement chaque seconde.

« Mmmmmh ouiiii... ha, je t'aime, maman... hum, j'aime quand tu es sauvage... et quand tu es toute douce... Huuum... »

Elle frottait son visage contre son épaule comme un chaton, savonnant les pénétrations comme les caresses de la démone. Elle aimait tellement sa maman. Et face à cette question stupide elle levait son nez vers elle en souriant, venant l'embrasser du bout des lèvres.

« Oui, Maman... J'ai bien aimé... hum, dormir contre toi, à la plage, han... Et aussi... jouer avec toi sous l'eau, huuuum... J'ai bien aimé jouer avec toi et Kazuuuuha... Sya est toujours heureuse avec sa maman. »

Cette fois, son baiser était plus prolongé, fermant les yeux en savourant le contacte de cette langue qui pénétrait sa bouche, sentant cet organe baveux remuer dans sa bouche, le goût délicieux de sa bave. Pas de baiser d'Edoras cette fois... mais Samara y aura surement droit au cours de la soirée. Soirée qui avait pour but de lui offrir une agréable surprise au petit matin mais il fallait encore cacher tout cela et continuer de jouer. Bien que Sya ait déjà montré de nombreux talents pour faire plaisir à sa mère, elle gardait quelques petites choses cachées dont une qu'elle comptait dévoiler à présent. Mais pas avant d'avoir la semence de sa mère en elle à nouveau. Après de longues minutes de tendre et de douceur, cela arriva.

« Haaaaan, Ma-maman ! Je vais jouir... oh oui maman, continue encore, je vais jouir, je vais JJJJJOUIIIIIIR !!!!! Han ! Ha.... oh maman... J'adore sentir ta semence en moi... Ha... »

Toujours aussi docile, elle venait se câliner contre elle en restant aussi gentille comme un ange. Mais après avoir repris son souffle, elle la regardait avec son grand sourire en caressant une de ses mèches de cheveux.

« Tu sais maman, j'ai une autre surprise pour toi ce soir... Tu as aimé me faire l'amour, à ta gentille petite sirène ? Eh bien, que dirais-tu de faire l'amour à ta petite démone adoré ? »

Sya pouvait changer son apparence grâce à sa tenue, elle pouvait avoir n'importe quel bout de tissu sur le corps, du plus court au plus long mais en jouant avec la magie rose, elle pouvait changer certains aspects de son corps, voir complétement son apparence. Neko, inu, ushii, elle avait déjà tout essayé. Pas tout devant Samara, la pauvre démone avait peu de demandes à faire tant sa fille lui en faisaient déjà voir de toutes les couleurs. Mais après ses quelques mots, un de ses yeux changeait de couleur pour copier ceux de Samara, sa peau autour de son œil commençait à virer au rouge, se propageant doucement à tout son corps, une première corne commençait même à pousser sur sa tête. Si Samara ne l'empêche pas, elle aura le peau-rouge, deux jolies petites cornes qui commencent à se courber et une queue dans le dos. Comme sa maman. Ses cheveux resteront bleus, sauf si Samara demande aussi une couleur noire, pour mieux lui ressembler avec ses petites dents pointues.

« A défaut de ne pas être ta vraie fille, je peux au moins faire comme si je l'étais comme ça. »

Elle ne savait pas si l'idée de ressembler totalement à sa mère allait lui redonner un second souffle de luxure envoutante ou une poussée d'amour maternelle ? Mais dans les deux cas, elle serait ravie ! Si cela coupe l'envie de Samara par contre, elle va s'en vouloir...
Konata
C'était un grand pas pour elle. Elle ne craignait pas une soudaine repoussé comme si elle disait détenir une maladie super contagieuse mais elle s'attendait plus ou moins à un peu de recul ? Ce fut le cas ? Oui et non, sans prendre ses distances, Jessica évoquait les différentes possibilités qu'elle avait en tête concenant sa nature, allant croire qu'elle était un alien ? Elle avait une preuve à donner ? Pas vraiment. Puis venir de la Terre, un autre monde, est-ce que ça fait d'elle une alien ?

« Pas que je sache mais je t'assure que c'est pas une blague. »

Elle avait vraiment des pouvoirs. Sur un monde où la magie est les nekos existe, elle voyait mal comment sa nature pouvait être une blague ? En disant cela, elle s'attendait presque à ce que Jess acquiesce de la tête avant de lui demander de reprendre la partie. Mais une fois de plus, elle venait à se demander si elle n'était pas une de ses Formienne ? Konata venait à pencher un peu le visage sur le côté en soupirant.

« Je t'ai dit que je sais même pas ce que c'est et vu que tu m'en as dit, je suis très loin de ressembler à ça. M'enfin, une image vaut mille mots ont dit alors, une démo s'impose. »

Konata avait posé la manette avant de se lever et se mettre devant Jessica à quelques mètres quand même. Même si elle se tenait debout devant elle, eh bien... en quoi elle devait se cosplayer ? Elle en avait du choix, avec peu de changement, beaucoup de changement ? Devait-elle copier un personnage masculin, féminin ? Puis même une fois changé, elle devait faire une démo de ses talents ou changer de peau lui suffirait ? Autant changer physiquement et y ajouter quelques talents surtout physiques et non pas risquer de faire exploser la chambre. Maintenant décider, elle prenait une pose très... étrange avant d'en enchaîner d'autres typique des sentais japonais. Et pour cause, elle copiait le Great Saiyaman. Bon il manquait le costume et la cape mais la chorégraphie était impeccable ! Et ce fut durant le final, qu'elle allait enfin changer.

« Attention les yeux ! »

Konata semblait irradier de lumière, entièrement elle brillait au point de devenir impossible à regarder et une fois le flash passé... elle n'avait pas pris en taille ou en poids, elle était toujours la même et apparemment, elle était à moitié neko. Mais pas n'importe laquelle car cette neko était une icône de Capcom et elle savait se battre ! La seule différence entre la fiction et elle, c'est que l'originale avait plus de forme mais ça, c'est un détail. Prenant une nouvelle pose très féline en étant assise, avec une patte en l'air, elle laissait juste un :

« Tadaaaa ! »

Le temps que Jess voit qu'elle ne mentait pas. C'est sûr que physiquement, bah à part le pouvoir de se changer très vite, rien n'avait changer et pourtant dans un vrai combat, la neko serait super rapide et agile, peut-être pas la plus forte de ses otamorphose mais elle serait quand même douée !

« Ça se voit pas forcément mais là, je suis vachement plus doué au combat car normal, bah je suis assez nulle... Et puis on manque de place ici mais tu verrais, je suis super agile aussi, comme un chat et regarde ! Ma patte à de bonnes griffes et puis les poils sont super doux ! »

Elle ne voulait peut-être pas que Jess se coupe avec ses griffes mais au moins toucher sa patte, qu'elle voit que Konata ne mentait pas en disant que sa pilosité avait du bon. Ce qui était doux sur sa patte l'était aussi sur tout son corps, là où elle avait des poils du moins. Après tout, elle préférait montrer sa ressemblance avec un chat sur le physique plutôt que devoir faire une démonstration de combat, c'était moins fatigant.
Suki
Pour les petites, elles étaient impatientes de retrouver leur copine Eve, Suki et Rinako avaient tenté de les calmer, de les occuper mais depuis la plage, elles n'ont eu de cesse de vouloir revoir Eve au plus vite. La fille de la baronne avait beau avoir le double de leur âge, elles voulaient continuer de la voir. Un enfant se fiche des origines, pour elles, une copine, c'est une copine. La baronne avait parlé d'une soirée ensemble, quitte à renvoyer le restaurant en guise de remerciement. En soit, elles auraient très bien pu attendre mais les petites tenaient tellement à revoir Eve que Suki et Rinako se disaient que, quand bien même Eve serait absente ce soir, elles pouvaient toujours s'occuper d'elle avec leurs filles. Ce n'était pas un réel souci, Eve semblait être aussi sage qu'intelligente. Bien habillées, les mères comme les filles, la petite famille se renseigna sur la localisation de la Baronne. Une information qui n'était pas donnée facilement mais étant donné que les petites étaient des amies d'Eve, - et surement une brève vérification de leurs dires – elles pouvaient la rejoindre au dernier étage d'un restaurant, là où un simple repas devait coûter aussi cher que leur séjour ici.

Holy et Kitty étaient deux vraies piles, impossible à fatigué ce soir, même une fois en haut, elles cherchaient déjà partout la trace de la petite fille mais les deux jeunes mères se renseignaient auprès du serveur qui indiqua la table de leur patronne, qui dînait avec la reine de Lumen. Autant dire que sans repartir dans un débat, il faut éviter de parler de ça. Elles sont en vacances, une notion que Suki avait du mal à assimilé. En se rapprochant de la table, elle vit que leur arrivée semblait mal tombée, non sans grimacer, elle voyait bien sur le visage de Milwën qu'elle était étonnée de voir la famille Celkhane débarquer ici. Suki et Rinako se courbait doucement en signe de salutation – une baronne et une reine quand même – avant d'ouvrir la bouche.

« Navré de vous déranger en plein repas, mais les petites tenaient absolument à revoir Eve. »
« Si jamais elle est ailleurs, nous pouvons nous occuper d'elle pendant que vous bavardiez ensemble... »


Non pas que la proposition était louche – fournir sa fille à une famille pratiquement inconnue – mais chez elles ne se dégageaient pas un sous-entendu louche, juste que les petites voulaient tellement jouer avec leur nouvelle copine. Si Holy restait entre ses mères, toujours aussi timide, Kity contemplait déjà la table et les assiettes, se demandant surement si tout cela était bon ? Les petites avaient déjà croisé la reine sur la plage mais Kity était toujours si curieuse envers elle et tout le monde.

« Madame la reine, elle est comment votre couronne ? Puis vous avez un grand cheval blanc aussi comme dans les histoires ? »

La petite kitsune fut étonné sur la plage de ne pas voir la reine avec une couronne alors elle voulait pouvoir se l'imaginer. On voyait bien que les questions de la petite renarde gênait les parents qui essayaient de se faire toute petite alors que la petite renarde elle se posait juste des questions. Elle allait même se rapprocher d'elle avec sa petite truffe et ses grands yeux en levant la tête vers elle pour la regarder de plus près.

« Si t'es une reine, ça veut dire que t'était une princesse ? Pis que tu t'es marié alors ? C'est ta femme à côté de toi ? »

Elle était intelligente cette petite quand même pour savoir ce genre de détail sur la dynastie, même si elle pensait d'abord que la reine avait une femme avant de songer à un potentiel mari. Mais bon, c'est l'éducation de Caelestis. Même si Holy restait muette et entre ses mamans, les questions de Kity l'intéressaient aussi. C'était une petite fille et elle faisait face à une reine quand même.
Magie
C'est à croire que passer quelques jours au calme était une chose qui n'existait dés lors qu'on savait qu'on possédait le gêne X. Magie n'en faisait pas exception mais elle, sa vie a été un cauchemar avec rarement du repos depuis son séjour dans les limbes, là où son pouvoir a aussi fait surface et depuis, si elle a passer une semaine paisible dans sa vie, ça devait tenir au miracle. À chaque fois il y avait une catastrophe qui menaçait la terre, Magneto qui reprenait ses envies d'homo superior, de Monsieur Sinistre, d'Apocalips, de fanatique anti-mutant qui s'en prenait aux plus faibles et ainsi de suite. Même sur une autre terre, sur un autre monde, si elle n'a pour le moment vu personne avec un pancarte « dehors les mutants », il y avait quand même quelque chose qui lui faisait agir son côté héroïque. Une telle installation n'a pas son lot de guerrier aux pouvoirs extraordinaires qui se baladent en colant de toutes les couleurs pour faire régner la justice ?

Tant pis. Magie téléporta donc Laura avec elle pour rejoindre la créature qui en fit tout autant. Que ce soit le hasard où qu'elle les ait sentis arrivée, ça ne suffira pas à les faire rebrousser chemin. Sauf que Miss Wolverine voulait agir à la force de ses jambes et non de ses pouvoirs – enfin un peu quand même. Ainsi, elle pourchassait la bête en bondissant de la nacelle, Magie en fit autant même si elle usa d'un peu de magie pour alléger sa chute et éviter que la douleur ne paralyse ses jambes quelques minutes. Suivant Laura qui suivait la créature, elle avait atterri dans un endroit très médiéval, ignorant que cela copiait une cité de ce monde, elle voyait juste le côté chevalier.

* Espérons qu'ls ne nous pourchassent pas avec des torches et des fourches... *

Ha oui, la bonne vielle chasse aux sorcières. C'est sûr qu'une femme qui brandit une grande épée et se téléporte, ça va effrayer les gens du coin, idem pour une sauvage qui sort des griffes et n'a ensuite aucune blessure. Espérons que sur ce monde, ce ne soit pas la même chanson. Suivant Laura, elle avait fini par la rattraper pour faire face à une bande de nana apparemment fan de SM vu leur tenue. Toutes armées et personnes ne semblaient prêtes à vouloir simplement discuter de tout cela autour d'une tasse de thé... Ok. Son épée en main, alors que Laura était attaquée, Magie se téléporta pour arriver dans leurs dos et les faucher, elles avaient esquivé bien sur mais au moins, elles n'étaient plus en meute. La jeune femme pouvait commencer à chasser ! Car se dire qu'elle était une X-man et donc, forcément, elle était gentille et ne tuait pas, c'était une erreur ! Pour avoir vécu en enfer, elle n'était pas le genre de fille sympathique qui allait leur demander de s'arrêter bien gentiment.

« On en garde au moins une en vie, les autres, vous allez crever ! »

Une pour Laura et une pour Magie, ça faisait deux survivantes comme ça si elles ne parlent pas, si l'autre voit ce qui l'attend après avoir vu souffrir sa copine, ça va peut-être les motiver à parler ? Magie en blessait certaines, gravement ou non, elle devait parer certains coups , encaissants d'autres – heureusement de simples coups, ça faisait mal mais elle ne serait pas mal en point facilement – mais plus on l'énervait et plus ça allait mal aller pour elles... Énerver deux femmes comme Laura et Magie, ce n'était pas une bonne idée. La seule chose, c'est que Magie devait contenir sa colère car à un certain point, elle risquait de devenir une vraie démone, une princesse des limbes et... autant dire que bon ou gentil, ce ne sera pas beau à voir pour tout le monde.
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Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Kaguya Shunya »

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Kaguya Shunya
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Demande de RP
SHIZUKA SHUNYA
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Shunya était enceinte. Et elle venait de le dire ! C’était, indéniablement, un grand moment, et un immense soulagement. Comment diable avait-elle pu attendre si longtemps avant de le faire ? Qu’avait-elle donc bien pu craindre ? Maintenant, Shunya se sentait toute légère, comme si un énorme poids sur ses épaules était tombé. Sereine, elle se pinçait les lèvres devant sa femme, tout en continuant à manger. C’était un endroit paisible, parfait pour elle. Novac était à la hauteur de ce qu’elle représentait, une modernité propre. C’était très différent d’Edoras mais, paradoxalement, très proche aussi. On y trouvait, en effet, le même respect de la Nature, le même souci d’une harmonie entre la technologie et l’écosystème. L’air, aussi, était très pur, rappelant à Shunya les bouffées d’air frais qu’elle pouvait se faire dans les campagnes de son pays natal.

Hinata lui parla de leur famille, et Shunya sourit, en se montrant rêveuse. Comment ses parents allaient réagir ? Mamomu, son père, allait sûrement bondir de joie au plafond. Chikako, elle, serait aussi très heureuse...

« En fait... Je crois que toute ma famille sera heureuse. »

Elle savait qu’Hinata, n’ayant plus sa famille, s’était identifiée à celle de Shunya, de sorte qu’elle voyait la famille de Shunya comme étant un peu la sienne... Ce qui, au demeurant, ne risquait pas de déranger Mamoru, même s’il avait toujours tendance à rougir et à manquer de concentration devant elle. C’était la Reine d’Edoras, après tout !

« Et nous ferons ensuite notre famille, Hinata... »

Et ça, c’était une certitude ! Leur enfant ne serait que le premier d’une longue série. Peu importe son sexe, Shunya savait qu’Hinata l’aimerait, et c’était, fondamentalement, tout ce dont un enfant avait besoin. Il était temps que le Temple de la Lune résonne des cris de joie des enfants, de leurs gloussements... Oh oui, tout cela serait magnifique !

« Tout ça... C’est ce qu’on va faire, Hinata... »

Elle sourit une nouvelle fois.

« Mais, pour l’heure... On devrait juste se contenter de manger, je suis sûre que ce sera délicieux ! »

SUPERGIRL
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Kara savait que, avec Tessou, il fallait s’armer de patience. Ce n’était tout simplement pas dans la nature de la jeune femme de se décompresser, de se lâcher un coup. À terme, Kara avait peur qu’elle se monte trop protectrice envers sa fille. C’était, hélas, très courant chez les Japonais. Les mères étaient très proches de leur enfant, parfois jusqu’à l’étouffement. De là à dire que Tessou serait une mère castratrice, Kara se serait un peu trop avancée, mais il est vrai qu’elle était très anxieuse. Pour l’heure, cette nervosité n’avait pas rejailli chez Kyoko, mais il fallait l’amener à se détendre. Pour ça, Kara était prête à tout, mais, la principale qualité requise, en réalité, c’était une bonne dose de patience.

Tessou s’inquiétait toujours, ce qui était d’autant plus paradoxal que, étant proche de Supergirl, elle était sans doute la femme la plus protégée au monde. Elle en fit elle-même la remarque, tout en rejetant les idées alternatives de Kara, pour retenir l’idée initiale du restaurant. La jeune Kryptonienne, elle, trouva rapidement quoi lui répondre pour concilier ce paradoxe apparemment insoluble :

« Il n’y a qu’une manière de le faire, Tessou… En faisant davantage confiance aux autres, et en te disant que le monde entier ne veut pas te tuer tous les jours. »

C’était facile à dire. Tessou avait été victime de la Duchesse. Si elle l’avait voulu, elle aurait pu être en arrêt maladie, et, en tout cas, elle suivait une psychiatre au boulot. Une nécessité, après avoir été victime d’un tel traumatisme. Kara n’en demandait pas beaucoup là-dessus, mais elle pensait que son amie devrait davantage suivre une thérapie. La séance avec la Duchesse l’avait considérablement heurté, et ça, Kara le savait. Tessou vivait en insécurité permanente, et, la nuit, il était fréquent qu’elle se recroqueville contre elle. Kara savait qu’elle cherchait à le masquer, mais pouvait-on vraiment lui masquer quelque chose ? Quand elles marchaient dehors, et qu’un pétard explosait, Kara sentait les battements cardiaques de Tessou s’accentuer exagérément, de même quand une voiture démarrait trop fort.

Supergirl ne pouvait rien faire de ce niveau-là. Toutefois, ce n’était pas à elle d’en parler trop. Pour l’heure, Tessou était d’accord pour une soirée, et c’était tout ce que Kara pouvait espérer. Restait encore l’épineuse question de la tenue à porter, que la policière souleva.

« Hum. Oui… Eh bien, j’en ai apporté une, moi ! »

Elle annonça aller l’enfiler, tout en laissant à Tessou le soin de se préparer. Kara fila donc dans leur chambre, et la trouva rapidement. Elle aurait pu se changer en quelques secondes, mais, comme il fallait aussi laisser à la policière un peu de temps pour digérer tout ça, Kara prit, au contraire, tout son temps. Elle se déshabilla, puis enfila sa belle robe, et, cinq minutes après (soit une éternité pour elle !), ressortit dans le salon.

« Alors, comment tu me trouves ? »

C’était une très belle robe, rouge, ouverte à hauteur du dos et des jambes, et avec une série de pierres brillantes sur les côtés.

« Ce sont des cristaux de Krypton », précisa-t-elle.

Il y en avait beaucoup dans la Forteresse de Solitude. Kara n’avait eu qu’à se servir. Autrement dit, elle s’était faite une robe très personnalisée, et en était, par conséquent, plutôt fière. Il ne restait maintenant plus qu’à espérer que l’ensemble plaise aussi à Tessou.

LUNA EARTHWELL
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Luna en Maîtresse, c’était un spectacle de haute volée ! Autant dire qu’on ne voyait pas ça tous les jours ! Le fait qu’elle soit capable de le faire en étant si efficace était bien là la preuve que ses Maîtresses étaient très douées, et avaient su la changer bien comme il fallait. Luna n’était plus une simple esclave docile suivant aveuglément ce qu’on lui disait, elle avait appris à réagir par elle-même, à réfléchir, à être une véritable esclave obéissante et intelligente, vivant avec joie dans ses chaînes. En aucun cas, elle ne s’imaginait être libre, et elle prenait toujours ses rôles très à cœur, y compris quand il s’agissait de punir ses Maîtresses. Et c’était bien là ce qu’elle faisait !

La neko en était en sueur, frissonnant de plaisir. Elle venait de fouetter longuement Esclave Yuko, faisant bien rougir son cul, mais se retourna vers Esclave Yuka, qui était impatiente. Luna sourit donc, sentant son excitation croître… Et la fouetta à son tour.

« C’est Maîtresse Luna qui décide, Esclave Yuka ! »

Pour autant, sa décision était déjà faite, ca relle se déplaça, et se mit dans le dos d’Esclave Yuka.

« Mais Esclave Yuka a été une gentille esclave, alors il est normal que Maîtresse Luna la prenne dans le petit cul… Mais Esclave Yuko devra regarder ! »

Quelle punition ! Être condamnée à un simple rôle de spectatrice… Mais c’était bien là tout ce qu’Esclave Yuko méritait ! Bien sûr, Luna comptait aussi la soulager, mais, pour l’heure, elle devait bien choisir, et, comme elle ne pouvait pas se dédoubler… Enfin, trêve de palabres inutiles, ou de tergiversations supplémentaires, Luna avait une très belle érection. Sans plus attendre, elle approcha sa queue du fondement d’Esclave Yuka, et s’enfonça en elle, poussant un long soupir.

Sa queue se perdit en elle, remontant dans le corps de la jeune femme, et Luna se pinça les lèvres, crispant ses mains sur les fesses d’Esclave Yuka, avant d’accélérer progressivement, en filant d’avant en arrière. Ses oreilles suivaient le mouvement, et sa combinaison se crissait à chacun de ses déplacements, tandis qu’elle continuait à la prendre, s’enfonçant de plus en plus profondément.

Luna avait intérêt à tenir le rythme, car, après Esclave Yuka, ce serait au tour d’Esclave Yuko, et elle était bien placée pour savoir combien les deux étaient gourmandes !

« Hmmmm… Nyaaaaa… E-Esclave Yuka a… Vraiment un très beau cul… !! »

SHA
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Un enfant, c’était la meilleure forme d’alliance qui existe. Si les humains associaient le mariage à des enjeux politiques, c’était bien parce qu’ils partaient du principe qu’une descendance unissait deux familles plus fortement que n’importe quoi d’autre. Partant de ce point de vue, Sha se devait de réfléchir sérieusement à sa descendance. Elle en était arrivée à la conclusion que, même malgré tout l’amour qu’elle portait à Kiriko, sa semence se devrait d’être ailleurs. Elle savait que cela ne plaisait pas trop à Kiriko, qui avait peur de perdre le sentiment d’exclusivité qu’elle avait avec Sha, mais… Eh bien, Sha n’était pas une humaine normale. Elle était une Déesse, et, partant de là, Kiriko ne pourrait jamais avoir avec elle une relation normale, ou purement égalitaire. Comment ne pas comprendre le ressenti des autres sorcières et prêtresses de son culte ? Sha ne pouvait tout simplement pas se limiter à une seule femme, surtout quand on était la Déesse des sorcières, des femmes qui avaient généralement en commun d’être sexuellement très libérées. Mais, au-delà des rapports sexuels, c’était surtout le rapport à l’enfant qui se posait. Qui avait le droit d’engrosser Sha, et qui Sha pouvait-elle engrosser ? Kiriko, certes, mais l’Ombre ne comptait pas se limiter qu’à elle. Et, si elle comprenait que Kiriko puisse s’en sentir vexée, ça ne voulait pas dire, en soi, que Sha ne l’aimait pas.

Il y avait Sanguilia, pour commencer. Sha s’était rapprochée de la redoutable Déesse, une ancienne Olympienne, qui était maintenant une divinité infernale. Refuser de s’allier à elle aurait été pure folie, et la grossesse de Sanguilia était, actuellement, le meilleur symbole de cette alliance. Alors, Sha avait tout simplement choisi d’assumer sa nature de divinité. Elle savait que Kiriko s’y ferait, mais il faudrait la convaincre encore un peu. Et puis, outre Sanguilia, il y avait aussi le cas d’Açoka, qui troublait Sha. Açoka était l’une de ses plus ferventes fidèles, une Mijakienne qui avait pratiquement renié ses serments envers l’Empire pour servir Sha, et qui était dévorée par sa jalousie envers Kiriko. Et ça aussi, Sha ne pouvait pas l’ignorer, car, sans Açoka, elle n’aurait plus personne pour assurer la sécurité dans ses terres… Et, même au-delà de ça, Sha aimait beaucoup trop Açoka pour la laisser se déliter d’elle-même.

Mais, pour l’heure, point de Sanguilia ni d’Açoka, seule comptait sa Kiriko adorée… Sa Kiriko, qui accéléra le rythme, tout en déplaçant le corps de Sha. Elle souleva l’une de ses jambes, et enfonça un doigt dans le fondement de l’Ombre, qui se mit à soupirer, fermant les yeux, se pinçant les lèvres, avant de sentir les coups de reins de sa Celkhane bien-aimée.

« Hmmm… Ouiii… !! »

Kiriko était vraiment très motivée, et ça, ça faisait vraiment plaisir ! Sha la laissait s’enfoncer en elle avec un plaisir évident, particulièrement jouissif. Elle se dandinait sur place, tout en la sentant, encore et encore, la pilonner. Kiriko la pilonnait joyeusement, et, maintenant que Sha l’avait motivé, elle ne cherchait plus à la ménager. Cependant, l’Ombre pouvait comprendre ses hésitations. Habituellement, c’était surtout Sha qui la baisait, car Kiriko n’était pas très à l’aise à l’idée de se doter d’un chibre. Il avait fallu que Luxuria la motive, et, surtout, qu’elle comprenne qu’elle n’aurait aucun autre moyen d’engrosser Sha. Elle manquait d’expérience en la matière, mais faisait du mieux qu’elle pouvait, filant d’avant en arrière, serrant ses hanches, multipliant et amplifiant les coups de reins.

Preuve de son engouement, Kiriko alla jusqu’à… La gifler ! Sha en sourit, rougissant de plaisir. Oui… En effet, un tel acte aurait été impensable il y a encore quelques semaines. Kiriko avait bien changé, elle avait gagné confiance en elle à Wallündrill, et c’était cette confiance qui avait amélioré sensiblement leur relation, les faisant passer d’un stade très sexuel à… Quelque chose de plus fusionnel. Sha avait engrossé Kiriko, et, maintenant, la sorcière allait lui rendre la pareille.

« Hmmmm… Hoooo… Vas-Vas-y, Ki-Kiriko, haaaa… !! »

Sha soupirait et gémissait longuement, serrant les dents, son corps filant d’avant en arrière. Le spectacle de son visage irradiant de bonheur devait être magnifique à voir pour Kiriko. Sa verge, quant à elle, continuait à grossir et à enfler. C’était une verge magique, après tout, fournie par Luxuria, un phallus créé par la magie rose, et dont la taille pouvait évoluer. L’Ombre se faisait joyeusement baiser, et c’était là tout ce qu’elle demandait.

C’était à ce prix qu’elle tomberait enceinte !

CRYSTAL
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À force de figer son cœur dans la glace, Crystal avait peut-être espéré pouvoir, un jour, oublier les visages de ses enfants. Et elle les avait effectivement oubliés. Ou, du moins, elle avait cru le faire. Elle avait cru oublier les rires de Pénélope, les regards de méchants que Fenrir voulait se donner en jouant des muscles. Puis, Neferia était arrivée. Crystal avait mis du temps à le réaliser, mais, maintenant, elle comprenait… Elle comprenait pourquoi elle s’était attachée à cette petite dragonne pleine d’énergie, de vigueur, d’optimisme, avec une passion immodérée pour sa beauté, notamment ses jambes.

Neferia lui expliqua aussi la raison de sa colère envers les humains. Il y avait, non seulement eu la révolte, mais aussi après, quand elle avait erré en vain, et n’avait recueilli que de l’hostilité de la part des hommes. Les seuls qui l’avaient aidé furent les autres parias de la société, les Terranides. Neferia avait aussi eu son lot de souffrance, qu’elle avait, comme Crystal, masqué derrière sa fierté, et derrière ses fantasmes illusoires de grandeur.

Crystal serra alors Neferia dans ses bras, et déposa un baiser sur ses cheveux, en lui faisant un léger sourire.

« Tu ne m’avais pas habitué à autant de sagesse, ma petite Neferia… Mais tu n’as pas tort, loin s’en faut. Pour autant, ne va pas te faire d’illusions, j’ai toujours aimé la solitude et le calme. Juste... Pas trop non plus. »

Même quand elle avait eu sa famille, Crystal n’avait jamais été une grande fêtarde.

« Tu lui ressembles vraiment beaucoup… Elle était incapable de méditer. Elle bouillonnait toujours sur place quand je lui imposais des exercices de méditation. Je me demandais même s’il était possible que cette boule de nerfs puisse être ma fille, moi qui suis si calme. Et, comme toi, elle adorait les animaux. À chaque anniversaire, je lui trouvais un animal un peu plus exotique. »

Crystal émit un nouveau soupir. Elle se rappelait des fois où Fenrir et Pénélope dormaient sur elle, chacun dans un de ses bras, leurs petites têtes posées sur chacun de ses seins, à respirer lentement. Crystal sourit devant Crystal, et réalisa que ses yeux s’étaient embués. Elle secoua la tête, et papillonna des yeux.

« Hm… Regarde dans quel état tu me mets, ma chérie… »

Le passé n’était jamais une chose dont on aimait se rappeler, car il vous rendait toujours nostalgique. Pour autant, un sourire amusé ne tarda pas à éclairer ses lèvres, et elle embrassa le front de Neferia.

« Les humains sont peureux par nature. Ils sont faibles, Neferia, fragiles, leur espérance de vie est courte… C’est la peur qui les motive. La peur les rend cupides, agressifs, mauvais… C’est ce qui explique pourquoi ils ont besoin de gouvernance. »

Elle sourit encore, et l’embrassa une nouvelle fois.

« Alors, dis-moi… As-tu réfléchi mieux à ton plan pour reconquérir le pouvoir ? Ce n’est pas parce que tu as de magnifiques jambes que les humains t’obéiront docilement, tu sais… »

POISON IVY
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Ivy n’avait encore jamais doté Harley d’une verge… Et elle ne pouvait que regretter ça. Quelle force, quelle énergie ! Mais comment aurait-il pu en être autrement, après tout ? Son petit clown avait toujours été une femme pleine d’énergie, pleine de passion, emplie d’une incroyable joie de vivre. Avec elle, on trouvait toujours le sourire. Il y avait, chez Harley, quelque chose de profondément enfantin, dans la mesure où elle ne semblait accorder de sérieux à rien, et tout prendre avec insouciance, et avec le rire. Avec le temps, Ivy avait compris que ce n’était que la facette prédominante de sa personnalité, mais ça ne lui déplaisait pas. Elle, après tout, était une femme très sérieuse, très stricte, toujours plongée dans ses recherches, ses expériences, à faire preuve d’un irréductible sérieux. Autrement dit, entre elle et Harley, il y avait un séduisant équilibre, car les deux femmes se complétaient.

Par conséquent, il était normal qu’Ivy ait fini, peu à peu, par aimer cette femme. Au début, elle avait juste vu en elle un cobaye, un moyen utile de tester ses antidotes à ses propres poisons. Harley avait été un cobaye magnifique, et le seul viable qu’elle ait pu jamais trouver. Cette attirance purement scientifique avait peu à peu mué en d’autres choses… Jusqu’à ce moment, ce moment précis où les deux femmes se faisaient vigoureusement l’amour. Avec sa trique épaisse, Harley défonçait l’intimité de Poison Ivy, s’enfonçant rudement en elle. Rien n’était épargné à la jeune femme, qui crispa une main sur les fesses d’Harleen, tout en la sentant la prendre, encore et encore.

« Haaaaa… !! Hmmmm… !! »

Quelle énergie, vraiment ! Harley se lâchait, filant d’avant en arrière, son membre s’enfonçant jusqu’à la garde dans l’intimité de Pamela, avant de ressortir, et de s’enfoncer encore. Elle multipliait ainsi les mouvements, sans relâche, avec une joie manifeste et envahissante. Son autre main se crispait sur ses cheveux, ou s’écrasait parfois sur le lit, laissant alors la main d’Harley s’enrouler dans la sienne. Elle continuait à la prendre, encore et encore, coulissant en elle.

« HA-HAAAAAAAAAAAAARLEEEEYYY… !! »

Ivy hurlait, cette fois, car la queue d’Harley se mettait à grossi, comme si elle se nourrissait de la mouille de Poison Ivy. La femme en écarquilla les yeux, se tortillant sur place, et sentit soudain Harley se vider en elle… Soit une véritable explosion de foutre. Sa verge avait en effet bien poussé, prenant de l’engrais, et relâchait maintenant tout le surplus. Elle jouit longuement, longuement et tellement que le ventre de Pamela se mit à grossir. Pamela en ferma les yeux, jouissant à son tour, répandant sa mouille sur le lit, un délicieux nectar parfumé et aphrodisiaque. Et, même si Harley était immunisée à ses toxines, les spores aphrodisiaques, elles, marchaient toujours autant.

Harley reprenait son souffle, son corps lové contre celui de Pamela, dont le ventre avait joliment gonflé. La main d’Ivy se posa sur son estomac, et elle gémit encore.

« Hmmm… Regarde dans quel état tu m’as mis, petite cochonne… Mon ventre est… Tout distendu ! »

Elle soupira une nouvelle fois, et, avec son autre main, caressa le visage d’Harley, tripotant ses lèvres, puis l’embrassa encore.

« Je ne pensais pas que tu jouirais autant, ma chérie… À la base, je comptais te baiser par tous les côtés, mais… Maintenant que tu as une verge, je me dis qu’il vaut mieux en profiter jusqu’au bout. »

Pamela sourit encore.

« Ton sperme est là, en moi… Est-ce que tu aimes me voir ainsi ? Ravager mon beau corps avec toute ta hargne et toute ta passion ? »

La réponse était évidente, mais… Ivy avait envie de l’entendre, d’entendre sa petite chérie lui murmurer des propositions salaces et indécentes.

FÉLICIA HARDY
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Comment résister à Aoki ? En temps normal, son amante était déjà chaude comme la braise, aussi incisive qu’un volcan en éruption. Alors, là, dans cette belle tenue de bunny girl rose pastel, Félicia ne pouvait que fondre sur place. Elle la baisait violemment, avec cette incroyable énergie dont elle savait faire preuve, et qui n’était que le fruit de sa grande perversion, une perversion latente et qui avait éclaté quand elle était arrivée à Yoake. Dans cette ville, elle avait rencontré Aoki, et Aoki l’avait aidé à accepter définitivement cette facette de sa personnalité. Ensemble, elles avaient une relation terriblement fusionnelle, où le sexe tenait une place importance… Le sexe sauvage, débridé, passionnel et violent. Car, indéniablement, dans la manière dont Félicia avait pris sa chérie, il y avait une forme de violence fondamentale.

Elle s’abandonna en elle, remplissant son corps, ce qui eut pour effet de la calmer. Aoki n’avait pas tort. Félicia se laissait prendre au jeu quand elle faisait l’amour, et, après, une fois le feu calmé, elle se sentait intuitivement coupable, redoutant d’avoir, avec sa force améliorée, infligé trop de douleur à Aoki. Le résultat était donc qu’elle se montrait douce, voulant s’assurer qu’Aoki n’avait rien de cassé. La belle Japonaise trouvait ça irrésistible, bien entendu, ce qu’elle lui avoua donc, avant de lui glisser, tout naturellement, qu’elle l’aimait.

« Hmmm… »

Félicia la regarda pendant quelques secondes, réalisant qu’elles ne s’étaient encore jamais véritablement avoué leurs sentiments. Tout avait commencé comme de simples aventures sexuelles. Une sex friend. C’était, du moins, ce dont Félicia avait essayé de se convaincre. À partir de quand est-ce que leur relation avait glissé ? Évolué vers quelque chose de plus sérieux ? Quelque chose qui impliquait les sentiments ? Même la Chatte Noire ne pouvait répondre à cette question, mais elle pouvait, en tout cas, faire le constat de leur attirance mutuelle.

La Chatte Noire se mit donc à sourire, son corps lové contre celui d’Aoki, et alla donc l’embrasser tendrement. Il n’y avait plus de doutes possibles, plus de points à nier. Désormais, seule une absolue certitude s’était emparée de Félicia, qui, après son baiser, répondit tout naturellement à Aoki, caressant ses hanches d’une main :

« Je t’aime, Aoki. »

Voilà. C’était dit. Aussi simplement que ça. Néanmoins, Félicia n’allait pas verser dans le mélodrame et dans le romantisme à l’eau-de-rose, ce n’était pas son style, ni celui d’Aoki. Elle sourit donc, et lui embrassa le cou, avant de mordiller tendrement sa peau.

« Mais ça ne change rien au fait que tu es sacrément bandante dans cette tenue… C’est à croire que tu veux m’épuiser. D’abord le bikini rouge brillant et moulant, puis cette tenue rose qui me donne une envie irrépressible de te baiser dans tous les sens… M’as-tu encore prévu d’autres surprises, ma petite catin ? »

Qui sait de quoi Aoki était encore capable…

MIRANDA FORGE
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Rouge pensait jouer à armes égales avec elle. Elle voulait la dompter, la dresser… Ah ! La bonne blague ! Certes, elle était une ravissante Terranide chauve-souris, rarissime, mais… Eh bien, elle avait quand même Miranda Forge face à elle. Miranda ne se soumettait que par pur plaisir. Pour le reste, elle était la dirigeante d’une mégacorporation, l’une des femmes les plus puissantes du pays.

« Ne me fais pas rire, Rouge… Tu crois qu’il suffit juste de quelques provocations et de muscles ici et là pour me soumettre ? »

Miranda la poussa alors, et Rouge s’étala sur le canapé, couchée sous elle, les mains de Miranda sur ses épaules, son corps s’appuyant contre le sien.

« Me dresser… Tu as un sacré culot, ça, c’est indéniable, mais… Fais tout de même attention à ne pas abuser de ton capital sympathie, mon petit ange. »

Miranda n’avait pas non plus une patience inépuisable, et, si elle aimait l’effronterie, elle n’aimait pas pour autant l’insolence. Il ne fallait pas oublier qu’elle était une Forge, et entendre Rouge dire aussi impunément que ça qu’elle voulait la dresser, c’était… Jouer à un jeu dangereux. Pour l’heure, Miranda voulait dresser cette petite, et avait quelques idées pour le faire. Rouge put sentir taper contre ses cuisses, un sexe tendu. La PDG blonde venait de faire sortir son phallus, une magnifique queue. Quoi de plus normal, venant d’une Uatéene comme elle ? La PDG était naturellement hermaphrodite, et esquissa un léger sourire devant Rouge, son visage proche du sien.

Elle lui sourit donc, et lécha son visage, à hauteur de ses lèvres, avant de l’embrasser tendrement.

« Je te propose un petit défi, ma choupette… »

Miranda reprit, en appuyant son membre contre les cuisses de la femme.

« Mets-toi à quatre pattes. Je vais te prendre en levrette, et, si tu arrives à ne pas jouir au bout de… Dix minutes… Je te laisserai… Me ‘‘dresser’’. Mais, si tu échoues, petite cochonne, c’est moi qui te dresserai. »

Miranda se redressa en souriant, une lueur malicieuse dans les yeux, et se rapprocha de la caméra, qui filmait toujours les ébats de leurs amies Elle appuya sur un bouton de la télécommande, et fila sur une autre caméra, montrant une pièce sombre… Un donjon SM, rempli de croix de Saint-André, de chevalets, de chaînes, d’un lit rouge moulant dans un coin en forme de cœur…

« Tu vois, c’est simple. Tu réussis mon challenge, je te donnerais les clefs de cette pièce, et tu seras libre de me faire subir tout ce que tu veux. Si tu échoues, c’est l’inverse. Finalement, la seule question que tu doives te poser, c’est… »

Elle retourna la voir, et lui sourit encore, révélant toutes ses dents pendant quelques secondes :

« …Est-ce que tu penses pouvoir me résister pendant dix minutes ? »

RYOUKA
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Ryouka ne se faisait aucune illusion sur les talents sexuels de Tsukasa. Oui, elle était digne de faire partie des assistantes de Poison, de rejoindre l’un de ses shows… Comme Ryouka, en fait. Le sexe était quelque chose de naturel, mais, à Uatis, le sexe devenait rapidement très pervers. La scène actuelle en était une parfaite illustration. Pour Tsukasa, il n’y avait plus aucune échappatoire. Ryouka devant elle, Nika dans son dos, elle était littéralement prise au piège, faite comme un rat… Un délicieux petit rat. Ses jambes s’enroulèrent autour des hanches de Ryouka, et cette dernière soupira, se mordillant les lèvres, crispant ses mains sur les belles fesses de la magnifique blonde.

Nika, elle, posa les siennes sur ses seins, et c’est dans cette configuration qu’elles s’enfoncèrent en elle. Nika sentit bien sûr une résistance à hauteur de son fondement, mais constata, également, que les parois anales de Tsukasa se dilatèrent très rapidement, la plus belle illustration de son état d’excitation prononcée.

« Hmmm… Haaaaa… !!
- Hnnnn… ! »

Les deux femmes n’avaient pas oublié avec qui elles couchaient. Une Ryouka-bis, selon Nika, ce qui impliquait de la prendre avec passion, et avec efficacité. Hors-de-question d’y aller avec douceur, ce qui fit qu’elle bandait ses muscles, pinçant ses seins, et amplifiait la vitesse de ses coups de reins. Nika la pénétrait durement, sans relâche, s’aidant des mouvements de Ryouka pour enfoncer et retirer sa queue. Elle soupirait longuement, les joues rougers sous l’effet conjugué de l’effort et du désir. Qui, en effet, n’aurait pas aimé s’enfoncer dans un tel cul ? Tsukasa avait un magnifique petit cul, bien rebondi, et légèrement trempé, probablement à force de se faire pénétrer ici par Ryouka.

Ryouka et Nika la pénétraient donc, la chair claquant contre la chair, la sueur se mélangeant à leurs peaux en chaleur et tendues. Nika continuait à haleter et à gémir, fermant parfois les yeux, et alla jusqu’à embrasser Tsukasa dans le creux du cou, mordillant sa peau, imprimant ses dents sa chair, ralentissant le rythme pendant quelques secondes, laissant ainsi le soin à Ryouka de pénétrer plus durement encore la jeune femme.

« Hmmm… Sa… Salope !! »

Entre l’Edorassienne et la Uatéene, c’était de l’amour violent, ardent. Ryouka lui pinçait les fesses, tout en continuant à la prendre, se déchaînant de plus en plus, rentrant dans une sorte d’état second qui consistait à bourrer la jeune femme autant que possible. Et ça, pour la bourrer, Nika s’y prenait bien ! Grognant et gémissant, elle ne lui épargnait vraiment rien, rejoignant plutôt bien Ryouka.

C’était à la fois intense et long, car les deux beautés ne comptaient pas se relâcher si facilement. Elles continuaient à lui faire sauvagement l’amour, en gémissant. Ryouka se pinçait les lèvres, et venait parfois mordiller le cou de Tsukasa, Nika la rejoignant alors pour marquer l’autre côté. Elles l’embrassaient également sur les lèvres, tout en ne se privant pas de l’humilier ou de l’insulter :

« Haaaa… Tu… Tu aimes ça, h-hein, petite… Petite pute… ?
- É-Évidemment qu’elle aime, c’est… C’est une sale traînée !!
- Ouiii… Notre… Notre salope… R-Rien… Rien qu’à nous ! »

Et tout ça, mine de rien, justifiait bien de la prendre et de la baiser bien fort… Jusqu’à l’orgasme !

SAMARA
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Qui aurait cru que Samara puisse autant s’attacher à Sya ? Sûrement pas elle, en tout cas. Mais il fallait bien reconnaître que l’Angelotte avait bien des qualités, parmi lesquels on trouvait une perversion sans bornes. Dès lors que le sexe était avec une femme, Sya était capable de tout. Elle lui avait souvent expliqué que son rôle était de servir les femmes, ce qui faisait qu’elle était potentiellement l’esclave de toutes les femmes. Autant dire qu’elle avait eu droit, au cours de son existence, à un lot incalculable d’amantes, que ce soit de simples femmes méconnues, ou des Déesses. Samara avait été surprise d’apprendre que Sya était une amante de Sha, et qu’elle l’avait croisé à Wallündrill, peu de temps avant de devenir l’esclave de Mélinda. Comme quoi, Sya était partout, très active, tout en ayant aussi une famille à Caelestis. Autant dire que la petite Ange ne devait pas arrêter.

La relation entre Sya et Samara était très étrange. Basée uniquement sur du sexe, elle était devenue de plus en plus affectueuse, jusqu’à ce que Samara se prenne au jeu. Être la « mère » de Sya n’était pas totalement désintéressée, car, par ce biais, elle avait accès à une véritable mine d’or. Lorsqu’elle organisait des réceptions ou des soirées, Sya était très populaire auprès des autres femmes. Et, même sans ça, les connaissances multiples de Sya permettaient à Samara de se renseigner sur beaucoup de personnes. Certes, il s’agissait essentiellement de renseignements sexuels, mais Samara considérait qu’on pouvait beaucoup dire d’une personne par ses pratiques sexuelles. Sya la renseignait donc.

Elle venait de jouir en elle, et l’Ange, bien décidée à lui montrer à quel point elle était heureuse d’être sa fille, changea d’apparence. Sous les yeux de la démone, elle vit la peau de Sya rougir, tandis qu’elle généra sur son corps de longs gants noirs, des bottes, une tunique noire moulante… Puis Samara vit des cornes de bouc se dresser au milieu de ses cheveux, avant de se replier sur place. Une queue caudale longue et fourchue se mit à pointer, tandis que la peau noire de Sya se recouvrit de glyphes et de runes noires, filant esthétiquement le long de sa peau. Ses yeux, enfin, étaient devenus luisants, et elle sourit, avec une belle bouche aux lèvres pulpeuses.

« Oh… »

Samara fronça les sourcils, et caressa les cheveux bleus de Sya, puis glissa ses doigts sur ses joues, et se pinça les lèvres. Sya avait peur d’avoir été trop loin, Samara pouvait le sortir.

« Que serait une fille, si elle ne cherchait pas à ressembler à sa mère, hein ? »

Un sourire amusé se nicha ensuite sur les lèvres de Samara. Sa verge était toujours là, et, si Sya percevait les pulsions sexuelles de sa mère, elle aurait tôt fait d’avoir la réponse à ses inquiétudes. En effet, en voyant le nouveau look de Sya , son excitation sexuelle avait cru, durcissant sa queue et la redressant un peu.

« Hmmm… Tu es donc maintenant une vilaine démone, Sya… Et tu vas commencer par me sucer, ma chérie. Redresse-moi ma queue, puis je te baiserai ensuite bien, bien, fort, car c’est comme ça qu’il faut faire l’amour avec les vilaines démones comme toi. »

Autrement dit, c’était un succès pour Sya, et il y avait fort à parier que, à chaque fois qu’elle remettrait cette tenue, elle se ferait sévèrement défoncer par sa mère.

Qui aime bien châtie bien, après tout !

JESSICA DREW
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En soi, tomber sur une extraterrestre n’était pas, pour une Uatéene, une révolution fondamentale. Les Uatéenes affrontaient des envahisseurs extraterrestres depuis des années, mais, comme il s’agissait du seul contact avec les espèces aliens, il était légitime, fondamentalement, que Jessica s’interroge sur Konata, et ce même si elle lui avait déjà posé la question auparavant. Certes, les Xénos étaient d’ignobles monstres tentaculaires aux dents longues, mais Jessica avait entendu parler, à la télé, des Xénos ressemblant à des humains, ou même d’humains modifiés par des parasites. Certains disaient que la presse voulait juste propager un vent de panique au sein de la population civile, qui permettait ainsi à Uatis de rester la junte militaire officieuse qu’elle était, mais la jeune femme n’en était pas si convaincue. Les Xénos étaient des adversaires redoutables, et, pour s’en convaincre, il suffisait de voir qui les dirigeait, maintenant. Tous les jours, on parlait de Sarah Kerrigan à la télévision, la Traîtresse… La Reine des Lames, qui avait été corrompue par les Xénos, et qui était maintenant une redoutable Annexienne. Maintenant, on vendait continuellement sur Internet de pseudos-détecteurs de gènes xénos, que les gens achetaient massivement, et on ne comptait plus le nombre de personnes devenant paranoïaques en étant persuadées que leurs proches étaient tombés entre les griffes des Xénos.

Alors, dans un tel climat, on pouvait comprendre les interrogations de Jessica ! Fort heureusement, elle n’était pas cinglée à ce point, et vit Konata se mettre en position, puis… Faire une étonnante danse, en remuant ses bras dans des positions improbables, et en tapant le sol avec ses pieds.

*Mais que… ?!*

Finalement, Konata termina en joignant ses mains au-dessus de sa tête, puis son corps se mit à… À blanchir. Une vive lueur étincelante se forma le long de son corps, et Jessica dut en froncer les sourcils, éblouie.

*Mais qu’est-ce qui se passe ?!*

Le corps de Konata devenait blanc, comme s’il se transformait en une étoile miniature… Puis son corps grandit, et le flash disparut. Éberluée, Jessica vit que Konata avait changé de forme, devenant… Une belle Terranide aux longs cheveux bleus électriques, avec de curieux bandeaux blancs dissimulant ses parties intimes, et de longs gants blancs en fourrure se terminant par des griffes proéminentes, de même pour ses pattes. Une longue queue caudale blanche s’échappait également de son corps, et Jessica, muette de stupeur, l’observait sans rien pouvoir dire.

Il fallut encore quelques secondes pour qu’elle sorte de sa léthargie, quand Konata se mit à parler. Jessica leva la main, et caressa l’une des pattes de Konata, pour réaliser qu’il ne s’agissait pas d’un trucage, mais bien d’une fine fourrure blanche et duveteuse. Spider-Woman se mit à sourire lentement, en revenant peu à peu à elle.

« Tu es un Changelin ? Ou… Une Polymorphe ? Je ne sais pas trop comment on dit… À moins que ce ne soit là ta vraie forme ? C’est… C’est fascinant ! »

Cette fille avait des supers-pouvoirs… À moins que ce ne soit naturel venant de son espèce ? Jessica regarda son dos, non pas tant pour se rincer l’œil en observant son superbe fessier, mais surtout pour constater que sa queue caudale n’était pas, là aussi, un artifice.

« C’est très impressionnant, en tout cas ! Comment ça marche ?! »

Qui sait ? Peut-être que Konata allait, elle aussi, apprendre que Jessica n’était pas une femme comme les autres…

MILWËN NOVAC
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Passée la surprise initiale, Milwën comprit qu’elles cherchaient à voir Ève. La Baronne l’avait tout simplement laissé à la garderie. C’était un environnement un peu trop simpliste pour Ève, qui disposait de capacités intellectuelles renforcées, mais ce serait sûrement l’occasion, pour elle, de faire ce qu’elle adorait faire : sa petite cheffe ! En pleine conversation avec Elena, Milwën en sortit pour se rappeler sa conversation avec Suki. Ce qui était aussi surprenant, c’est de voir qu’Elena semblait les connaître. Toutefois, et avant même que quiconque ne puisse parler, l’une des filles du couple, Kity, se rapprocha d’Elena, et lui posa des questions liées au port de la couronne.

Elena sourit alors. Adamante, de son côté, restait silencieuse, tout en fronçant les sourcils, s’interrogeant d’abord sur la sécurité de la Reine. Mais la Reine, pour seule réponse, et avant, là encore, que ses mères ne puissent reprocher à Kity son comportement indécent, se pencha vers la petite boule de poils, et la saisit à hauteur des aisselles, puis la souleva, et la posa sur ses genoux.

« Eh bien, tu es très curieuse, toi ! Mais, pour te répondre… Ma couronne est… Plutôt grande. J’évite de la mettre autant que possible. »

Un choix qui semblait surprendre Kity. Une Reine, ça devait mettre une couronne, non ?

« Tu verras le jour où tu en porteras une, c’est lourd à porter, à la longue ! Et puis… Les Reines n’ont pas de chevaux, tu sais, elles ont des carrosses, avec plein de chevaux ! »

De quoi faire rêver la petite Kity, assurément. Puis Kity demanda si Adamante était sa femme… Ce qui les fit rire toutes les deux.

« Adamante ? Oh non…
- Je ne suis que son amie, et sa protectrice. »

Bon, dans les faits, elle n’était pas que ça, certes, mais Elena se voyait mal parler à un si jeune enfant de ses frasques sexuelles. Kity avait sans aucun doute dû entendre parler d’Edoras, où la Princesse ne devenait Reine que quand elle se mariait. Mais, à Lumen, les choses étaient différentes. Elena lui expliqua donc, sommairement, qu’elle était devenue Reine quand ses parents étaient morts. Avant ça, elle était bien une Princesse.

Elena rendit ensuite Kity à ses mères.

« Elle est très curieuse, votre fille ! »

Milwën en profita alors pour leur indiquer qu’Ève était à la garderie.

« C’est à l’entrée du restaurant.
- Vous pouvez ensuite revenir ici… La table est suffisamment grande pour vous deux également. Du moins, si ça ne te dérange pas, Milwën ?
- Ma foi… Ce sera avec plaisir. Il est rare de pouvoir converser avec des Celkhanes, après tout. »

Difficile de dire comment la conversation allait évoluer. Elena avait pu le constater. Sur la plage, la discussion avait été assez tendue, mais elle pouvait le comprendre. L’esclavage était une pratique horrible, mais qu’on ne pouvait pas abolir. Ce qu’il fallait, c’était arriver à la réguler davantage, à offrir des droits et de la protection aux esclaves. C’était un vaste débat, et c’était ce que ses parents avaient cherché à faire.

Adamante se chargea d’appeler une servante pour qu’on rajoute deux couverts, ce qui, bien entendu, ne gêna nullement l’établissement. Comme ça, ils pourraient libérer une table, ce qui tombait d’autant mieux qu’ils avaient récemment reçu un appel d’un couple de résidentes, des touristes qui avaient demandé une réservation, et qui comptaient, elles aussi, venir avec leur fille, un bébé du nom de Kyoko.

Du beau monde, ce soir !

LAURA KINNEY
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Wonderland était un immense parc d’attractions, très vaste. Elles étaient au cœur de ce dernier, et, visiblement, leurs petites explorations n’étaient pas passées inaperçues. Il n’y avait, fort heureusement, aucun tourisme dans le square. On voyait, le long de ce square, une petite rivière. Le square longeait une attraction, assez classique dans les parcs d’attractions, à savoir la promenade en amoureux sur une rivière artificielle, filant à travers des grottes pour voir un décor agréable et joli.

Mais, pour l’heure, en-dehors du circuit, c’était un tour bien moins romantique qui avait lieu. Déployant ses griffes, Laura bondit vers l’une des ninjas, et ses griffes fendirent l’air. La ninja évita l’attaque en bondissant en arrière, et une autre en profita pour lui lancer un shuriken, qui se planta dans le dos de Laura.

« Aagh ! »

Une autre se rapprocha rapidement, en déployant son wakizashi, faisant un mouvement circulaire du haut vers le bas. Laura leva les mains, et ses griffes heurtèrent l’acier de la lame. Elle serra les dents, puis attaqua rapidement, en pivotant sur place, optant pour un coup de pied retourné qui frappa la ninja au ventre, une griffe pointant le long des orteils de Laura pour se planter dans le ventre de la ninja. Cette dernière émit un grognement, et se recula, son sang coulant sur son ventre, se coagulant rapidement, tandis que sa plaie commença à cicatriser.

*C’est pas possible !*

Laura sentait le sang très particulier de ces créatures. Ce n’était pas des humaines, et une autre l’attaqua, en bondissant en hauteur, filant droit vers elle, la lame pointée vers l’avant. Laura bondit sur le côté, évitant l’attaque, et la ninja la poursuivit immédiatement, en relevant sa lame. Là encore, Laura évita l’attaque, et frappa la femme au visage avec ses griffes, entaillant son masque, et le lui arrachant à hauteur du visage. Des morceaux tombèrent sur le sol, révélant son visage… Et Laura fronça les sourcils.

« Beurk ! »

Au moins, elle comprenait mieux pourquoi ces femmes ne parlaient pas… On avait cousu au fur rouge les lèvres de cette tueuse, et sa chair tuméfiée, autour de ses lèvres, faisait état de la torture qu’elle avait reçu.

« J’ignore pour qui vous bossez, mes chéries, mais… J’ai pas envie de vous rejoindre ! »

La ninja, en réponse, envoya des shurikens supplémentaires, et Laura bondit en hauteur, les évitant, puis fila vers la ninja. Cette dernière évita sa charge en sautant sur le côté, et fit orienter son épée, cherchant à l’abattre sur elle. Laura se retourna, et bloqua avec les griffes d’une main sa lame, et attaqua avec l’autre, tranchant la lame en deux, puis frappa encore, tranchant la gorge de la femme, manquant la décapiter. La créature s’écroula sur le sol.

Une autre ninja l’attaqua alors avec une chaîne, et Laura hurla quand le bout tranchant de la chaîne, que la ninja faisait tournoyer en l’air, s’abattit sur son dos. Elle gémit en sentant son sang couler le long de son dos, et tomba au sol. La ninja récupéra sa chaîne, et s’apprêta à une nouvelle attaque… Quand une silhouette sombre et rouge émergea à côté de Laura, avec deux longues lames qui se mirent à briller dans la nuit, avant de décapiter rapidement, dans un saut impressionnant la tête du ninja.

Laura écarquilla les yeux en voyant la silhouette se retourner vers elle, léchant sa lame pour en boire du sang.

« Vous êtes qui, les touristes ?! Vous empiétez sur mon terrain de chasse ! »

La jeune mutante fronça les sourcils devant cette apparition… Belle et sauvage, Rayne venait d’apparaître !
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Hinata Kaguya »

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Hinata Kaguya
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Hinata
Décrire sa joie était impossible. Elle qui pensait ne pas pouvoir être plus heureuse que depuis son mariage avec Shunya, elle venait d'avoir un événement aussi joyeux en pleine face. C'était le but de leur union mais Hinata ne s'attendait pas à ce que leur amour porte aussi vite ses fruits. Ce n'était pas plus mal. La jeune reine ne pouvait que voir cela avec plaisir, imaginant toute sorte de choses une fois le bébé arrivé. Eléna comme Rhian venant lui rendre une petite visite, sa famille, évidemment dés le premier jour ! Le bonheur de son pays. Hinata aurait pu continuer de pleurer comme une fontaine mais elle avait digérer la nouvelle, savourant ce plein bonheur en restant heureuse, sans trop en faire. Shunya a intérêt à être prête au mille et une petite attention de sa femme, de même que dorénavant, ce qui sera le plus sexy chez elle, sera son ventre. Son corps ne sera pas mis de côté mais durant les neufs prochains mois, il y a de fortes chances que son ventre recouvre plus de caresses que son ventre, voir même plus de baiser que ses lèvres. C'est à voir...

« Notre famille... »

Elle le disait doucement, toujours sa bulle. Elle était déjà heureuse d'avoir Sa femme alors maintenant – enfin dans neuf mois si tout va bien – Sa famille. Ce sera les neufs mois les plus longs de sa courte vie ! Naturellement, elle pensait déjà à des noms de princesses, bien évidemment Kagami mais elle était en plein doute pour ce nom porteur de grande joie comme de tristesse. Puis il y avait bien des noms dans ce monde, ainsi que l'avis de sa femme. Elles verront bien, elles ont neuf mois pour trancher. L'air rêveur sur le visage, la jeune reine finassait son repas, son sourire ne pouvait pas se détacher de ses lèvres et elle pensait autant au présent qu'au futur. Hinata mangeait sans appétit, ce bonheur suffisait à combler son estomac. Si bien qu'une fois le repas terminé, elle se pressait de quitter son siège pour venir aider Shunya, à croire qu'en une annonce et un repas, sa femme avait déjà un ventre prêt à faire sortir le bébé.

« Ne te presse pas, chérie et lève toi doucement. Nous allons rejoindre notre chambre où tu pourras te reposer. »

Maintenant terminé, Nora se rapprocha d'elles, venant même baiser la joue de Shunya en lui adressant ses félicitations discrètement, aussi ravie qu'Hinata mais moins expressif, se contentant d'un sourire ravie et d'un regard aussi doux. Hinata tenait la hanche de sa femme, avançant doucement à son rythme en marchant à travers le restaurant et le chemin inverse pour rejoindre leur chambre. Cependant, dans le long ascenseur aux baie vitrés, elle se tenait dans son dos, tenant et caressant son ventre très plat, son menton posé sur son épaule.

« Tu es vraiment la femme de ma vie, Shunya-chan... Tu me combles d'un tel bonheur en si peu de temps... Dire que bien des années nous attendent encore... Ma joie est sans limite, ma Shunya-nya. »

Le grand amour entourait le couple, Nora restait proche d'elles, en tant que garde du corps sans agir dans leur bulle rose bonbon.

« Attends-toi à toujours veiller sur toi, plus encore que depuis notre mariage. Souhaites-tu te balader un peu ? Tu n'es pas fatigué au moins ? »

Dire que là, elle s'inquiétait pour si peu ? Qu'est-ce que ce sera plus tard ?! Elles pouvaient profiter de la nuit pour une ballade nocturne au bord de la plage, même ailleurs, cet endroit avait bien des lieux si ravissant, autant savourer leur voyage de noces pleinement !
Tessou
Tessou avait peut-être des soucis, surtout depuis sa rencontre avec la Duchesse mais elle suivait quelqu'un pour l'aider et ça allait, oui... Il est vrai qu'elle avait encore des marques psychiques mais elle a frôlé la mort. De plus, elle allait bien... Ce n'est pas parce qu'un horrible cauchemar la fait bondir de son lit pour aller dans la chambre de Kyoko et inspecter la chambre à la lumière de son portable que ça va pas... Cela ne lui était arrivé que quelques fois, toujours sans Kara, heureusement. Mais que voulez-vous, cette folle avait menacé sa fille, elle avait vu sa photo et la Duchesse était toujours en vie aux dernières nouvelles, c'est normal d'avoir peur. Elle approfondira ses rendez-vous quand nécessaire, pour le moment, ça allait... Elle pouvait faire confiance aux autres mais sur ce point, sans même parler de son ennemi juré, elle était dans un monde étrange ou des démons et des filles-chats se baladaient comme si de rien n'était. Elle n'était qu'une pauvre humaine qui pensait ne voir cela que dans des mangas ! Alors forcément, l'idée de confier sa fille à des inconnues de ce genre, ça ne l'aide pas.

Kara avait beau lui avoir dit qu'il y avait des caméras à tables ou autres pour s'assurer qu'elle va bien, Tessou restait une mère qui veillait sur sa fille. Une mère poule certes mais une mère quand même.

« Tu as sans doute raison... Les premières minutes risquent d'être pénible mais il faut un début à tout. »

Tôt ou tard, Kyoko ira dans une vraie crèche, à l'école, le genre d'endroit qui n'est pas un endroit où sa famille surveille sa fille donc... Un peu de nerf ! Pour ce qui était de la robe, elle laissait le soin à Kara de se préparer à côté, même si Kyoko y était, elle faisait sa sieste et puis, elle va se changer, pas danser toute la soirée donc elle ne risquait pas de la réveiller. Ce souci n'en était pas vraiment un, Kyoko allait bientôt se réveiller pour la changer et ensuite aller vers le restaurant mais c'était le fait que Kara soit nue, près d'elle. Bien entendu, elle n'imagine rien de bizarre mais Tessou restait très pudique devant Kara, c'est à peine si elle se laissait baiser la joue devant sa fille. Partager un quelconque lien avec Kara ne la gênait pas mais... Devant Kyoko, outre son jeune âge, elle ne voulait pas que sa fille la voie embrasser – ou autre – une autre femme. C'était sa fille, à elle et Ryota et... c'était bizarre mais devant Kyoko, elle voyait ça comme une trahison alors... Elle évitait.

Une fois Kara prête, Tessou avait pris le temps de se coiffer, laissant pour le moment ses cheveux détaché et lisse, habillé simplement pour l'occasion, sa robe était encore à choisir. Mais concernant la belle blonde, elle avait vraiment bien choisi.

« Ouah ! Ce que tu es belle dedans ! »

Tessou la regardait avec envie car comme bien des Japonaises, elle enviât ses cheveux blond naturel, son corps bien proportionné. Tessou était loin d'être moche mais elle jalousait certains côtés de Kara, physique comme mental. Se rapprochant d'elle, elle toucha du bout des doigts les fameux cristaux, se demandant sur Terre, combien pourrait valoir ses petites beautés ! Juste pour comparer ça et les bijoux sur Terre. Toujours du bout des doigts, elle toucha le tissu rouge, aussi doux que délicat. Elle venait poser sa main sur sa peau découverte sur le côté en se rapprochant d'elle.

« Tu es vraiment superbe dedans. »

L'occasion pour elle de l'embrasser doucement, fermant ses yeux pour mieux savourer ce petit plaisir. Un court baiser mais toujours plaisant. Il fallait encore préparer sa fille pour sortir, lui mettre des habits convenables – elle lui avait laissé sa couche et un maillot pour sa sieste – pour sortir et ensuite choisir sa robe avant de rejoindre le restaurant. Elle se pencha sur sa fille en lui baisant le front à travers ses petites mèches noires.

« Réveille-toi mon bébé chat. Allez, il faut te réveiller, après on part se balader, d'accord ? »

Comme à chaque réveil, sa petite puce était loin d'être la plus radieuse des petites filles, quelques épis sur la tête et un petit air grognon, ça n'empêchait pas sa maman de lui faire un tas de bisous et de câlin, venant placer ses petits membres dans les ouvertures pour l'habiller correctement. Pendant cela, elle se posait une question avant de quitter leur chambre.

« Selon toi, je devrais lui donner quelque chose ici ou bien ou bien ils ont de quoi la nourrir là-bas ? Ce serait plus prudent ici, non ? Imagine que Kyoko y soit allergique ? »

Toujours trop inquiète pour sa fille mais cela dit, qu'est-ce qui lui prouvait que le lait ou les biscuits d'ici étaient bon pour elle ? Comme pour Tessou d'ailleurs ? C'est un autre monde donc ça peut être dangereux de trop se la couler douce. Voyant le regard de sa petite chérie posé longtemps sur Kara, elle se tourna vers elle en approchant sa petite fille.

« Tu as vu comme Tata Kara est belle dedans ? Toi aussi un jour tu auras de belles robes et tu seras aussi belle ! Mais j'espère que ce sera dans très longtemps. Maman veut garder son petit chat le plus longtemps possible avec elle. »

Elle gratifiait cela d'un long baiser sur la joue de Kyoko qui retrouvait peu à peu le sourire. Kyoko n'avait qu'un seul parent, mais Tessou se chargeait de lui en fournir pour deux.
Karistal
Qu'il était bon d'avoir cette petite chatte en guise de maîtresse, à force de subir les Karistal, elle était devenue une vraie Karistal ! Bien sadique avec un soupçon d'amour dans ses coups et ses punitions. Quelle gentille petite chatte elle faisait. Yuko avait bien morflé depuis le début, elle qui était pourtant la moins attirée par les punitions, c'était plutôt Yuka qui n'attendait que ça. Là où Yuko aime donner, Yuka aime recevoir. La pauvre petite Yuka attendait avec impatience les coups de la petite neko qui ne se concentrait que sur elle pour le moment. Heureusement, sa torture allait prendre fin. Luna avait décidé de s'occuper d'elle mais que Yuko devrait regarder. En soit, cette partie n'était pas la plus déplaisante, Yuko avait déjà bien reçu alors regarder la belle maîtresse Luna se faire plaisir sur sa sœur, c'était délicieux.

Sous le coup de sa petite fessée, elle tremblait de joie, sa queue caudale était bien droite comme un crayon devant Luna alors que cette dernière prenait un malin plaisir à planter sa queue entre ses fesses. Tellement bon ! Yuka couinait, miaulait et ronronnait de plaisir en laissant sa bave couler. Il ne manquait plus que Luna soit plus dominante et plus déterminé à la frapper pour rendre cela parfait. Mais comme ça, c'était tout aussi bien. Au pire des cas, rien ne les empêchent par la suite de reprendre ce petit jeu dans leur harem, Luna restait toujours leur petite chatte, même si bien des filles souhaitent passer un moment avec ses maîtresses. Et sur ça, elles n'ont pas menti, hors rendez-vous important, Luna pouvait toujours venir dans leur bureau ou leur chambre pour réclamer un câlin ou bien plus.

« Nyyyyyaaaaan !!!! Ouiiiiii ! Haaaan Maîtresse !!! Maîtresse Luuuunyyyaaaan ! »

Sa sœur était aux anges, Yuko se caressait doucement le corps en savourant ce spectacle avec envie, elle se retenait de tout commentaire, du moindre geste. Elle avait envie de caresser leurs deux corps si beaux, si parfaits, en action mais... Elle devait obéir à sa délicieuse Maîtresse neko. Yuka remuait ses fesses, s'amusant à faire de petits cercles avec pour que cela soit encore plus plaisant, elle bombait ses fesses pendant que le haut de son corps était ras du sol.

« Nyyyyaaaan ! PLUS FORT MAÎTRESSE !!!! FESSER VOTRE VILAINE ESCLAVE !!!! NNNNNYYYAAAAAAAAAAA !!!!! »

Une chose était sûre, il y avait une petite neko qui prenait son pied dans cette chambre et ce n'était pas surjoué.
Blanche & Noire
Elles avaient attendu ça, depuis qu'elles avaient prévu cette petite surprise avec leurs maîtresses, les lapines étaient rester entre Alice et leurs maîtresses mais comme ses dernières s'amusaient bien avec Luna, il n'y avait pas à s'en faire. Mais il fallait tenir leur rôle de garde du corps au sérieux donc une fois que ce fut sûr que les jumelles resteraient dans leur chambre à jouer avec Luna, les lapines étaient partie retrouver Alice, cherchant à travers tout l'hôtel la chambre de la belle princesse blonde, « grande soeur » de leur maîtresse. Déboulant comme il se doit selon leur débordement d'énergie, les lapines avaient presque été enlever la princesse dans sa chambre, la tirant joyeusement par les bras.

« Vite vite ! Les Mâitresses ont surement déjà commencer à jouer avec Luna ! »
« Nos maîtresses vont êtes très contente de vous revoir ! »
« Yeap ! Leur grande sœur, en chair et en os ! Même si Luna reste avec vous, je suis sûre qu'elles vont passer une super soirée ! »
« Et nous aussi. »


Faisant donc le chemin arrière, les lapnines étaient si impatientes de voir la tête de leurs maîtresses en revoyant Alice ! Une surprise de leurs esclaves pour leur maîtresse, elles avaient de la chance de leur faire une telle surprise. C'était important de leur faire plaisir aussi, avec tout ce qu'elles ont fait pour elles. Arrivant devant la porte, elles s'assuraient que tout était bon puis hop, la porte s'ouvrait d'un coup, laissant les usagis et Alice entrée ! Yuko se tourna vers elles pendant que Yuka continuant de se faire prendre par la petite neko. Déjà le sourire de Yuko voulait tout dire ! Elle se tourna vers Luna, lui disant de continuer. Il est vrai que cette invitée surprise allait changer leur soirée mais Luna, même si elle allait peut-être mettre fin à son statut de maîtresse, elle retrouvera ce rôle bien assez vite. Yuko arriva vers elle pour bondir dans les bras d'Alice, l'embrassant fougueusement en la serrant dans ses bras.

« Huuuuum, Grande sœur !!! Je savais pas que tu étais ici ? Pourquoi tu n'es pas venue plus tôt ?! »

Yuka aussi ira saluer sa grande sœur mais pour le moment, elle savourait sa petite-maîtresse. Les usagis en tout cas n'avaient as perdu de temps pour venir vers les deux nekos, venant caresser Luna en se montrant curieuse de la voir membrée et en maîtresse... mais ça lui allait bien.

« Ooooh Luna, tu es trop belle ! Et tu prends Maîtresse Yuka en plus ? Han, elle a l'air super contente ! »
« Tu voudras jouer avec nous aussi ? »


Noire avait beau être la futa entre les deux sœurs, elle n'était jamais dominante, plus souvent « violée » que dominante. Alors là, elle voulait s'amuser autant avec ses maîtresses que leur copine esclave.
Kiriko
Peu importe ses autres aventures, ses autres futurs enfants, Kiriko était sa femme, seule et unique, justifier en apparence par un simple anneau autour d'un doigt mais cet anneau fut forgé dans un amour millénaire et toutes les Sanguila et Açoka ne pouvaient rien face à ça. La Celkhane était unique, ayant eu bien des visages, des formes, des caractères aussi similaires que différent, toujours elle était l'élue du cœur de cette déesse sombre. Si elle avait fait son devoir, faisant que Kiriko portait la prochaine génération de sorcière issue du sang de Sha, Kiriko devait en faire autant et rendre sa femme enceinte. Une expérience a partagé à deux, deux fois d'amour à donner dans environ neuf mois mais elle s'en sentait capable.

En futanari, elle prenait la déesse, chevauchant cette dernière en y mettant tout son amour pour la pénétrer, lui faire ce plaisir si intime entre elles, faire en sorte que la déesse soit prête à porter celle qui, dont le nom était déjà tout tracé. Si Kiriko portait Arya, Sha aura Abbigail. La Celkhane y mettait tout son amour, la sueur perlait doucement son corps pendant qu'elle remuait sur elle, sa poitrine remuait elle aussi en douceur, au rythme de ses coups. Entre les gifles sur sa croupe et son plaisir qu'elle transmettait par le regard, pas les soupirs, par tous les pores de sa peau, Kiriko venait à approcher de la fin, donnant les derniers coups de reins en essayant d'y aller plus fort encore ! Aucune preuve que cela aide à faire venir le bébé mais c'était toujours agréable.

« HHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN !!!!! »

Elle sentait sa queue tressauter, expulser son foutre pour remplir sa femme. Reprenant son souffle, elle venait 'embrasser délicatement en se couchant sur elle. Sa queue restait encore bien au chaud en elle, certainement plus aussi dur qu'il y a quelques secondes mais un rien suffirait à la rendre aussi dure.

« Plus je l'utilise, et plus j'aime le cadeau de notre petite Nausicaa... Hum, je préfère quand même quand c'est toi qui me prends... mais à moins de me violer, je suis bien obligée parfois de te dominer si nous voulons de nombreuses petites sorcières a éduquer. »

Un peu à la manière des animaux, la queue de Kiriko avait gonflé près de la base, rendant leur séparation loin d'être évidente. Qu'elle le fasse volontairement ou involontairement, que leur petite Abby soit déjà en train de chercher les divines ovules ou non, Kiriko comptait bien user de sa queue le plus longtemps possible. Pas uniquement par cette voie-là mais ce soir, sa semence allait surtout remplir son utérus même si tôt ou tard, ses autres orifices y auront le droit.

« Et toi, que préfères-tu ? Me prendre ou te faire prendre par moi ? »

Le second choix était bien plus rare donc plus tentant mais la sorcière mauve avait bien des atouts qui rendaient le mot « ennui » impossible quand il s'agissait de lui faire l'amour. Elle savait tellement bien y faire en agitant son corps pour rendre sa femme très envieuse de son corps.

« Moi, j'ai hâte de te voir enceinte de plusieurs mois... ton allure divine, magnifique avec un ventre rond et chaud... haha... je me demande si même dans ce cas de figure, tu resteras belle et fier en te caressant le ventre ou si tu afficheras un petit sourire plus chaleureux et maternelle ? »

Les deux hypothèses lui plaisaient en tout cas mais inutile de dire que Kiriko voudrait la voir plus souriante dans cet exemple. Ça arrivera, elle n'en doutait pas.

« Tu veux qu'on change de position pour la suite ? »

Même pour faire un bébé, il existait bien des positions que de simplement rester allonger sur le lit, ceci restait la base même et il y avait bien plus drôle, étrange et/ou fatigant.
Neferia
Elle a toujours réponse à tout, souvent en se donnant de grands airs et le beau rôle mais la jeune dragonne avait un côté plus sentimental, nostalgique du passé où elle vivait en paix et où ses seules idées étaient préoccupé par ce qu'elle ferait demain ? Maintenant, elle travaille dur pour devenir une Dovakiin, jouant avec son tigre parfois, restant auprès de Crystal quand elle pouvait. Parfois, on pouvait se demander si elle songeait vraiment à un royaume ou si cela n'était pas une excuse pour rester avec Crystal ? Mais elle y tenait à son histoire, elle voulait redevenir souveraine et imposer ses lois et être traitée comme une reine ! Dans les bras de la dragonne, elle se laissait bercer par ce petit moment de douceur, écoutant un petit passage de son passé, de sa vie de famille. Ça faisait bizarre de partager ce genre de pensée mais elle comprenait ses joies et ses peines à travers ses mots. Sans même connaître ses enfants, elle était aussi heureuse que triste.

Elle s'en voulait un peu de rappeler certaines choses mais parfois, on devait se rappeler pour ne pas oublier. Néféria aimait se rappeler de l'époque bénis où elle était une princesse, entouré de ses parents mais parfois elle devait se souvenir des derniers moments pour ne pas oublier la haine qu'elle portait à cette saleté de race humaine ! Même s'ils sont fragiles et peureux, elle ne pardonnerait pas à ses saletés ! Mais elle préférait ne pas y penser et savourer ce petit moment avec elle. Mine de rien, c'était assez rare autant de complicité. Neferia aimait dormir contre elle, s'y blottir mais partager un câlin, toutes les deux bien réveillé, c'était rare.

« Ils sont stupides alors. S'ils refusent de me servir docilement et avoir le droit de contempler de telles choses, alors je devrais passer par la force. »

Neferia avait déjà évoqué ses plans, détrôné un roi pour lui prendre son royaume mais depuis le temps, elle avait trouvé d'autres hypothèses, d'autres possibilités. Toujours contre elle, elle ne la regardait pas, fermant les yeux en posant sa joue sur son épaule.

« Je verrais d'ici là pour jeter un œil à Zon'da. C'est essentiellement des Terranides qui sont là-bas mais il existe peut-être des dragons sur place ? Que ce soit de simples camarades ou une relation plus intime, il est toujours bon de s'entourer. J'ai entendu dire que le royaume d'Edoras avait un dragon en tant que capitaine de division. Je ne pense pas qu'elle acceptera de m'aider mais elle connaît peut-être des dragons ? »

Même si celle-ci servait une humaine, son passé avait peut-être une mine d'or en connaissance ? Sans connaître personnellement les reines d'Edoras et l'histoire de cette dragonne, elle trouvait pas mal sa place au sein de cette bande d'humain, même si pour elle, la place de reine revenait à cette consœur inconnue. Zon'da n'était pas une mauvaise idée non plus, sans vouloir créer une armée de terranide qui veut écraser les humains, elle pourrait trouver de l'aide là-bas ? Elle était au sommet de la chaîne alimentaire mais elle acceptait de s'allier à des terranides pour l'aider, mais pas à des humains. Neferia redressait sa tête pour regarder Crystal en lui souriant doucement, une légère rougeur aux joues avant de l'embrasser doucement, quelques secondes sur les lèvres mais pas plus. Elle reposa sa tête sur son épaule en prenant entre ses doigts quelques cheveux de sa préceptrice en les caressants.

« Crystal... tu veux bien me caresser les jambes ? »

Chez Neferia, ce genre de demande était comme des préliminaire. Elle le savait à force, généralement, ce genre de demande la rend un peu plus joueuse et coquine. Même si la petite princesse était du genre hautaine et fière quand il s'agissait de faire quoi que ce soit, ce genre de jeu la rendait plus douce et timide. Le sexe était un domaine qu'elle ne pouvait maîtriser en restant le nez entre les livres. Et avec le temps, elle avait commencé à s'habituer à ce genre de choses avec elle.
Harley
Faire l'amour avec Pamy était toujours une bonne chose ! La belle rouquine avait bien des atouts outre son charme et avec les années passées ensemble, les deux docteurs avaient fini par se rapprocher. Même si ce soir, c'était une grande première que d'avoir un sexe masculin, il était arrivé à Harley de pouvoir dominer cette belle plante, de montrer qui était la patronne. Mais de là à en arriver là, c'était vraiment incroyablement bon. Et en plus, avec ce joujou végétal, Harley jouissait comme un torrent ! Elle se sentait si bien et ça durait encore et encore ! Plus elle jouissait et plus elle voyait ce ventre remuer et gonfler. Ça allait s'arrêter ? Eh bien oui et quand ce fut le cas, ça méritait bien une petite pause.

« Ravager ? Mais tu n'y es pas du tout, je te baise avec passion voyons ! Puis c'est pas bien de mentir, je sais que t'adore cette nouvelle facette de moi, autant que tu aimes que te remplisse. Hein, ma Pamy fourré à la crème ? »

D'un ton mielleux, elle frottait son nez contre le sien en gardant un grand sourire. Le jeu allait continuer mais elle savourait ce petit moment bien agréable avant de passer à la suite. Harley se redressa un peu, toujours planté dans sa rouquine, le haut de son corps se redressait, prête à reprendre le jeu on dirait bien.

« Alors je vais reprendre ton idée sauf qu'au lieu que tu me baises par tous les trous, c'est moi qui vais en profiter ! Alors voyons voir... Hum, je pense avoir bien butiné sa petite rose alors euh... Dois-je te te ramoner ton joli petit cul pour y planter mon poireau ou alors tu as grand faim ? »

Son sourire bien figé, elle se rapprochait d'elle à nouveau, son nez frottait le sien sans pour autant le remuer.

« Sache que j'ai une belle et looooongue queue rien que pour toi... Mais je ne sais pas si tu la mérites vraiment ? Après tout, c'est moi qui décide. Et si je veux la gigoter sans te la donner, tu n'aimerais pas ça... Alors dis moi à quel point tu veux la sentir en toi, je veux t'entendre me supplier de te prendre avec ma belle batte de chair ! Dis-le, vilaine Docteur Isley ! »

Cela leur était déjà arrivé de jouer au docteur, entre docteurs, mais là, Docteur Quinzel avait le beau rôle alors, elle voulait savourer chaque miette de ce fabuleux pouvoir liée à sa queue ! L'entendre demander sa queue derrière ou dans sa bouche, ce n'est pas le genre de chose auquel elle avait souvent le droit alors... elle allait se délecter de ce passage ! Harley avait retiré sa queue pour le moment, bien que toujours aussi dure et vigoureuse, elle s'amusait à tapoter Ivy avec, tapant entre ses jambes, elle aurait pu arroser son bouton de plaisir mais elle avait trop arrosé son minou. Il ne faut pas noyer les plantes quand on les nourrit et là... trop tard ? Non, Pamy est du genre à beaucoup absorber, rien à craindre donc !
Aoki
Dieu que c'était bon. Oh elle en avait vécu des choses torrides et extrêmement bon en compagnie de Félicia mais depuis que la chatte noire joue avec sa queue, ça avait encore mis la barre un cran au-dessus. Elle restait encore très douée et délicieuse en simple femme mais là, elle avait tout les avantages des hommes comme des femmes. Même sans parler de sa queue, elle avait déjà cette force qui faisait qu'elle se sentait en sécurité entre ses bras, ce ton parfois dominant quand elle lui parlait, ce côté aussi très doux quand elle le voulait, bref, Aoki était tout simplement amoureuse. Aoki était parfois très fleur bleue, ayant été privée de ce genre de petites choses dans son adolescence, elle avait des petits moments où une simple rose offerte par Félicia serait le plus merveilleux des cadeaux mais cela n'arrivait pas. Mais une bonne claque sur sa fesse et un sourire qui en disait très long était aussi une belle preuve d'amour pour elle. Elles avaient depuis longtemps dépassé le stade de simple copine de baise, oh ça oui !

Allongée avec elle, elle reprenait un peu son souffle et ses forces en restant contre elle, profitant de ses petites caresses et des petits mots tendres qui aurait pu la faire glousser comme une collégienne si elle ne s'était pas retenue. Mais face à sa nouvelle question, elle relevait la tête avec un sourire qui ne laissait pas présager de réponse négative.

« J'ai déjà essayé et même avec la meilleure volonté, j'arrive pas à t'épuiser, tu m'épuises avant, avec ou sans ta queue. »

C'était la preuve que Félicia était exceptionnelles car sans pouvoir, Aoki avait une bonne cadence dans un lit mais pour que la chatte l'épuise, il fallait que ce soit hors du commun !

« Et tu penses que j'aurais accepté de venir nous reposer ici, entouré de créature de rêve avec seulement une bikini et ça ? La beauté est la meilleure arme de la femme et crois moi, tu pourrais avoir les meilleures salopes autour de toi, tu n'auras d'yeux que pour moi. »

Aoki l'embrassait doucement certes, mais ses dents rappelait que ce petit chaton avait aussi des petites griffes et des petites dents pour se défendre. Il est vrai que le joli lapin avait rempli sa mission, à présent, il était temps de recharger son arme et se préparer à l'utiliser sur Félicia. Elle l'aurait utiliser tôt ou tard mais ce soir, ça ferait l'affaire. Elle voulait l'utiliser déjà avant mais à chaque fois, l'élan de sexe avait été plus fort que l'envie de quitter le lit pour se changer alors ce soir, comme elle le dit si gentiment, pourquoi pas.

« Toi, tu ne bouges pas de ce lit et tu m'attends. »

Elle ne comptait pas filer par la fenêtre pour voler un beau collier en or dans la chambre d'à coter mais autant 'avertir. Aoki allait dans la salle de bains avec sa valise. Elle prenait son temps, non pas qu'elle avait une valise exclusivement réserver aux tenues sexy mais l'enfiler correctement était une autre histoire. Quand la poignet de la porte de la salle de bain s'abaissa doucement, elle laissait entrevoir Aoki, non pas avec peu de tissu sur elle mais au couverte, pratiqement recouverte de tissu ! ne presque furry ! Elle avait un serre-tête en forme d'oreille de chat mais son corps, du cou aux pieds était couvert d'un tissu imitant le pelage d'un chat, son col était fourré de poil blanc avec une petite clochette et ses mains étaient nue, même si aux poignets, elle avait encore ce petit col de fourrure blanche. La tenue lui allait comme un gant, bien serré pour laisser voir les formes à travers le tissu, on voyait deux points dressés sur sa poitrine et une petite fente entre ses jambes. Sous ce pelage se cachait une tenue en latex mais l'extérieur était aussi doux qu'un vrai chat mais attention, c'était juste imité, Aoki refusait la maltraitance des animaux.

Elle se rapprocha, avançant à quatre pattes sur le lit en se dandinant, elle frotta son visage contre celui de sa petite amie en laissant le bout de sa langue caresser sa joue.

« Nyaaaa... Je crois bien que je suis en chaleur... Mrrrrraaaaawwww... »

Seule sa queue ne bougeait pas, invisible en regardant à peine, sa tenue avait des petits trous entre les jambes et les fesses pour la pénétrer sans retirer sa tenue. Il n'y avait que ses seins qui étaient caché mais ce n'est pas comme si Aoki pouvait sortir du lait de ses seins donc ce n'est pas un vrai souci. Continuant de ronronner contre elle, la chatte faisait tout pour aguicher la Chatte Noire.

« Huuuuum... nya, j'ai tellement envie de me faire caresser... Tu veux bien, nyan ? »

Caresser... Une fois que ses mains seront sur elle, elle ne voudra plus la lâcher...
Rouge
Elle en avait du caractère cette petite. Depuis toute petite, elle a dû monter sur ses grands chevaux pour se faire entendre et se faire respecter. Bien qu'elle eût quelque soucis avec la police pour ses nombreux vols, Rouge restait supérieure. Il y avait bien quelques personnes qu'elle respectait et donc, qu'elle ne prenait pas de haut mais en général, même sans être méchant, elle montre qui porte la culotte. Mais depuis sa mésaventure en compagnie des poneys, elle avait l'impression d'avoir perdu de cette force alors forcément, elle voulait retrouver cette force et ainsi, redevenir celle qu'elle était. Et dresser Miranda serait un bon moyen pour ça. En plus, elle avait une petite revanche à prendre sur elle. Mais hélas, ou heureusement, la belle blonde ne comptait pas se laisser faire si facilement. Si ce serait trop simple, elle n'y aurait pas pris beaucoup de plaisir après tout.

Rouge se fit donc allonger plutôt que ce qui était prévu – c'est-à-dire s'allonger sur Miranda – et cette dernière proposait même un petit jeu. Jeu était peut-être vite trop dit vu ce qu'elle risquait. Ce n'était pas la mer à boire en cas d'échec mais ce n'était pas ça qui aiderait Rouge à se sentir plus forte. Elle voyait Miranda lui faire face en proposant cela, elle avait presque l'impression de n'être que la proie... Non, c'était elle la prédatrice, pas l'inverse. Mais elle n'allait pas fuir donc elle allait devoir accepter ce petit jeu. Miranda venait même montrer quelques images de sa fameuse chambre ou tout pourrait se dérouler. Elle avait vu pire mais imaginer la belle blonde en victime dedans... hum, l'idée restait séduisante.

« Très bien mais tu perds aussi si tu jouis avant dix minutes alors. »

Eh oui, pourquoi ce serait qu'elle qui serait pénalisée ? Miranda avait l'habitude et tiendrait surement aisément dix minutes mais quand même, même chose pour elle. Ce serait étonnant qu'elle jouisse facilement, Rouge en avait fait les frais après tout. Mais si elle se bougeait bien, il y avait une chance de la faire jouir avant elle, non ? Elle se mit donc à quatre pattes, présentant sa croupe, bien moulée dans sa tenue, c'était le genre de vue où l'hésitation était présente... déchirer ou ne pas déchirer une telle chose ?

« Tu as le droit d'admirer mais ne t'excite pas trop, je ne voudrais pas te sentir jouir trop vite... »

Provocation ? Si Miranda espérait une gentille terranide docile, elle s'était fourré le doigt dans l'œil et jusqu'au coude. Doucement, elle remuait ses fesses, montrant ces belles choses remuées de droite à gauche, presque hypnotisant comme vue... Mais quand la queue de Miranda arriva, un frisson lui traversa le corps, c'était délicieux. Mais ce n'était qu'un début. Pour la vaincre, elle va devoir prendre les devants. Quelques coups plus tard, une fois bien en elle, Rouge commença à faire des petits cercles avec ses fesses, rendant la chose déjà plus intensse mais ce n'était pas tout car après les petits cercles, elle venait elle-même s'empaler sur sa queue, non pas pour passer pour une cochonne mais ça rendait la chose meilleure encore. Hélas, c'était vrai pour les deux camps donc elle jouait avec le feu mais elle prenait le risque de la faire jouir avant elle. Si ses petits jeux ne fonctionnaient pas, il restait la dernière option, elle aussi risqué mais qui pouvait déjà mieux fonctionné... le coup de la nymphomane.

« Huuuuuuuum ouaaaaais vas-y plus fort ! T'étais plus sérieuse, ha, dans la piscine. Alors allez, je suis pas fragile ! »

Miranda pouvait y aller à fond, malheureusement pour la voleuse, même si c'était bien tenté, elle n'allait pas tenir... C'était bien tenté mais dans quelques minutes, elle allait jouir avant Miranda...
Sya
Elle aimait sa mère, n'importe quel enfant aime sa mère en général, c'était d'autant plus vrais pour Sya. Amnésique en prenant le nom de Sya, elle n'avait plus de famille. Elle avait à présent une femme, même deux, trois beaux enfants dans sa maison dont un avec sa déesse, une vraie sœur qui l'avait retrouvé – même si faire face à des souvenirs inconnus lui faisait peur – et depuis quelque temps, elle avait une mère. Une mère démoniaque certes mais Sya se fichait de la race. Ça pouvait être une centaure, une neko ou une kitsune, elle l'aurait aimé tout autant. Et ce soir, outre la petite fille chérie à sa maman, elle comptait lui faire une surprise avec l'aide de Kazuha qui devait jouer pour le moment avec cette fille envouté sur la plage. L'ange comptait bien tomber enceinte et exiger à dormir avec Kazuha. Ce serait louche mais si elle dit que c'est pour une surprise, Samara dira surement oui. Sinon, elle va devoir faire ça quand sa mère dormira. Car elle comptait user de la magie pour faire passer neuf mois de grossesse en une seule nuit. Ça exigeait beaucoup de magie et après un tel exploit, Sya va surement dormir toute une jounée mais demain, Samara aura sa vraie petite fille...

Mais avant de songer à cela, elle devait s'amuser jusqu'à tomber de fatigue ! C'était risqué mais Sya avait pis forme d'une succube, comme sa mère. Elle avait peur que cela ne la chagrine à cause d'une fille cachée disparu ou autre mauvais souvenir mais cela n'avait fait que l'exciter d'avantage. Samara observait Sya avec envie en voulant oublier la douceur pour une relation très démoniaque. Ses cheveux étaient toujours les mêmes, son regard était le même, bien que ses iris avaient changé, tout comme leur couleur, Sya restait Sya. Ses exigences lui plaisaient et elle se mettait volontiers au travail !

« D'accord maman ! Hihihi ! »

Elle s'écartait avant de voir cette queue bien dure même si elle pouvait faire mieux. À quatre pattes, Sya se pencha dessus, posant ses lèvres dessus pour l'embrasser pendant que ses petites fesses bien bombées se dandinaient presque au même rythme que sa queue démoniaque qui remuait presque comme celle d'une chienne. Sya avait piqué la curiosité de cette queue qui remuait peu à peu à ses baisers. Elle lui souriait même, bien que sa queue n'allait pas lui répondre face à ce joli sourire carnassier, elle ouvrait la bouche avant de gober cette cette queue, venant sans peine chercher à la fourrer aussi loin des que possible. Une belle gorge profonde pour sa maman chérie !

« Huuuuuuuuk ! Ghuuuuuuuum ! »

Sa tête se balançait frénétiquement d'avant en arrière, sa mère lui avait demander d'être une vilaine démone, elle sera loin d'être la petite ange violée qu'elle était il n'y a pas si longtemps, elle risque même d'être le contraire, de provoquer sa mère pour la pousser toujours plus loin. Cela va être drôle ! Elle ne savait pas si elle devait juste remettre sa queue en forme ou si elle devait attendre qu'elle vide ses couilles dans sa bouche mais cela ne lui déplairait pas. Sya a toujours eu un faible pour le sperme alors quand il s'agit de celui de son mère adoré en plus, elle ne pas le refuser. Au contraire. Ses petites ailes noires dans son dos s'agitaient sous l'excitation, elle en demandait toujours plus. Encore ! Encore ! ENCORE ! Samara était bien placée maintenant pour savoir que quand sa fille avait envie de baiser, elle pouvait en épuiser des femmes. Ce n'est pas pour rien qu'on l'adorait dans les soirées de Samara, elle ne trouvait le sommeil que quand toutes ses invitées n'avaient plus la force de continuer et généralement, c'est dans les bras de sa chère maman qu'elle trouvait le sommeil avait avoir joué aussi avec elle avant de dormir paisiblement.

« Huuuuuuuuuuum ! Huuuuuu ! »

Elle prenait son pied, sous sa culotte de cuir noir, ça mouillait, si Samara y glisse la main ou autre chose, elle va découvrir une vraie petite inondation comme en témoignent les draps sous ses genoux. Sya était excité et ce soir, les deux succubes vont s'aimer à fond.
Tsukasa
C'était un vrai plaisir. Déjà si la venue de Ryouka était une source continuelle de plaisir depuis son arrivée peu avant le mariage de la reine, depuis, le sexe était devenue meilleur encore. Alors la venue de Nika n'était que la cerise sur le gâteau. Elle adorait ça, sentir ses belles queues se presser en elle, que de plaisir ! Pauvre Tsukasa, elle était prise en sandwich par les deux sœurs et même si elle ne pouvait pas faire grand chose à part prendre son pied, elle aurait aimé les dresser. Mais ça viendra, entre elle et Ryouka, ça a toujours été comme ça depuis le début. Tantôt c'est elle qui joue la putain à prendre par tous les trous, tantôt c'est elle. Elles échangeaient avec plaisir de rôle, le plaisir sexuel ne peut être pris à sa juste valeur que quand on a essayé les deux rôles.

« Haaaan ! Oh oui mes p-petites putains ! »

Des mains pressaient ses seins comme ses fesses, pinçant et caressant cette zone, elle savourait chaque contact aussi subtil que des mèches de cheveux qui la frôlaient que des dents qui pinçaient son cou. Tsukasa aimait tout chez ses partenaires mais même prisonnière, elle ne comptait pas se relâcher aussi facilement. Gérer les deux à la fois ne sera pas simple alors elle préférait commencer à faire jouir la première, Ryouka. Les deux sœurs tentaient de la rabaisser mais c'était mal la connaître tout ça.

« Huuuum nooooon... c'est vous mes saloooopes ! »

Ni une, ni deux, Tsukasa venait embrasser Ryouka à pleine bouche, comme si sa vie en dépendait, ses mains venaient se presser contre son corps chaud et tendre alors que, désolé Nika, son bassin venait surtout se concentrer sur son amie. Elle ne venait pas jouer les salopes mais elle venait plutôt s'empaler contre elle, comme si chaque coup de reins devait être le dernier, tout dans la puissance et le rebond. Nika pouvait savourer tout cela en elle, même si elle se concentrait moins sur ce qui se passait dans son dos. Tsukasa comptait agir et se donner à fond pour faire jouir sa petite partenaire de sexe favorite. Nika semblait presque ne plus exister pour elle, même si en agissant ainsi, la belle grande sœur n'avait pas besoin de bouger, Tsukasa le faisait si bien puis quand elle rebondissait sur Nika, elle rebondissait aussi sur Ryouka.

« Huuum fait pas ta maligne, haan... c'est toi ma salope... huuum, c'est qui, hier, ha, qui m'a bouffer la queue... Encore et encore... Combien de litres de foutre ta bu sale petite pétasse ? Haaan... j'aurais dû... t'acheter un collier et une laisse... ça t'irait comme un gaaant... »

Même si cela était la pure vérité, le sens inverse était tout aussi vrai, Tsukasa a été la chienne de Ryouka sur bien des choses. Elles partageaient tout ensemble. Dire que l'une a été plus dominée que l'autre reviendrait à dire qui à plus de cheveux que l'autre ? Ce serait trop long à compter et surtout inutile. Tsukasa tourna quand même la tête vers Nika, le sourire long et narquois.

« Toi aussi... hum, je vais te faire jouir... et tu seras ma petite chose.... Han ! Vous serez mes chiennes ! »

Edoras avait beau avoir des interdictions sur la possession d'esclave, Tsukasa respectait ça, mais elle était Tékhane d'origine, et même si elle refuserait un esclave à ses côtés, des chiennes, c'est pas pareil. Reste à savoir qui va gagner ce combat ? Tsukasa ou les deux sœurs ? Les paris sont ouverts et le résultat difficile à trancher...
Konata
Elle l'avait fait ! Elle avait montré son pouvoir devant cette fille. Oui, on connaît la chanson, ne pas divulguer son identité secrète, ne pas jouer avec, de grands pouvoirs et de grandes responsabilité, ect... Mais Konata lui faisait confiance et puis à quoi bon avoir des pouvoirs s'il faut s'en cacher ? Son pouvoir était idéal pour le cosplay, c'est sûr, mais il servait à faire le bien. À Yoake? elle commençait à s'en servir, variant les formes selon la situation, même sur Terra, dans la guilde qu'elle fréquente avec Akua, leur duo commence à faire parler ! Alors pour ces fameuses vacances, elle voulait montrer ses pouvoirs pour s'amuser avant tout, non pas pour combattre. Ce serait moins drôle sinon. Elle avait commencé avec cette forme féline, celle de Félicya, une neko devenue célèbre chez Capcom. Bon, elle avait nettement moins de formes que la vraie mais en dehors, le cosplay était réussi. Elle avait même des mèches plus claires.

« Ma vraie forme ? Ha non, je pense pas. Tu sais, je ne suis qu'une humaine normale. »

Ce qu'elle croyait, son père était un vrai humain, tout ce qu'il y a de plus japonais mais sa mère, en réalité était une ange. Elle tenait peut-être ses pouvoirs de là ? Mais comme elle n'a jamais connu sa mère, elle ne peut pas savoir. Elle est au ciel, comme le lui dit son père depuis toute petite alors forcément, elle pense à la mort. Pas au fait que sa mère a vraiment des ailes et qu'elle se trouve dans les nuages. Changelin, polymorphe, elle, elle avait un autre nom pour ça.

« Moi, j'appelle mes transformations des Otamorphoses ! »

Drôle de nom surement pour Jessica ? Mais pour Konata, c'était là la réalité, la plus fidèle retranscription de ses pouvoirs. Comprenant que son nom allait devoir mériter une petite définition, elle levait sa patte de libre en tendant une griffe plutôt qu'un index levé.

« En réalité, mes transformations sont inspirées de jeux vidéo, de manga, tout ce qui me passionne en gros. Et après, je peux plus ou moins me transformer de façon fidèle et plus je m'entraîne, forcément plus je deviens forte. Si ce n'est que pour te montrer mon panel, je peux tout te montrer mais si derrière je dois combattre ou même m'entraîner, je ne peux pas me transformer à volanter ou maintenir une forme trop longtemps. »

Ok pour un défilé de mode mais pour jouer avec, elle va pas pouvoir tout avoir ce soir, faut lui laisser le temps de se reposer et recharger ses batteries. Sa queue dans le dos remuait doucement, toute seule évidemment, basé sur ses émotions, elle observait Jessica qui était fascinée par cela. Pourtant dans un pays qui ont des ESPer digne de rejouer une version plus Yuri de To aru majutsu no Index, c'était bizarre.

« Donc bien sûr, y a pas que mon apparence qui change, si comme tu vois, j'ai des griffes, j'ai naturellement des atouts propres au personnage copié comme par exemple... » Sans même se tourner ou prendre de l'élan, elle bondissait en arrière dans un petit salto en atterrissant sans difficulté sur le lit avant de se laisser tomber pour finir simplement assise sur le lit. « Bah ça sous ma forme normale, j'aurais pas pu. Cette forme est plus adaptée pour des combats de rues, je suis plus rapide, plus agile, c'est pratique dans des ruelles étroites, je peux bondir partout et cogner sur les voyous. »

Eh oui, elle n'avait pas de cape, de masque ou de nom d'héroïne mais Jessica faisait face à une super-héroïne en herbe. Affichant un sourire plein de fierté, elle s'en reposerait presque sur ses lauriers.

« T'es épaté, hein ! »

Sinon oui, elle n'avait pas trop les chevilles qui gonflaient.
Suki
Si les deux jeunes mères tentaient de rester dignes et polies devant une reine et une baronne, les enfants avaient ce charme pour savoir être indiscrets sans pour autant qu'on puisse leur en vouloir. Elles ne savaient rien du monde des grands et dans leurs grands yeux d'enfant, elles ne comprenaient pas certaines choses. Si Holy restait timide devant les autres, Kity ne perdait pas de sa curiosité pour venir questionner la reine qui ne ressemblait pas à celle de ses contes du soir. Pas de couronne, de sceptre, de cape, de cheval blanc et de la belle guerrière venue sauver la princesse des griffes du méchant dragon. Elle était pourtant reine ? Elle avait du mal à le croire. Posé sur ses genoux, elle la regardait, cherchant surement à imaginer cette grande couronne trop lourde ? Par contre, le carrosse avec plein de chevaux, ça, ça faisait reine ! Mais plutôt que demander à voir ce carrosse plein de chevaux, elle se questionna sur la deuxième femme avec elles, peut-être sa femme ?

Kity avait bien compris, elle était rien depuis toute petite quand elle avait perdu ses parents, elle aussi avait perdu les siens, comme Holy mais elle n'était pas reine. Puis elle n'était pas vraiment triste de cela, elle avait deux mamans maintenant. Même si Holy pensait parfois à sa vraie maman, elle avait au moins deux mamans qui veillaient sur elle à présent. La petite kistune courrait vers ses mères pour revenir vers sa sœur tandis que la baronne leur disait où se trouvait Eve.

« Elle est très curieuse, oui mais c'est ce qui fait son charme aussi. »
« Merci, nous allons les déposer avant de revenir. »
« Reste ici, je vais les y conduire. »
« Tu es sure ? »
« Je ne vais pas me perdre, ne t'inquiète pas. »


Si revoir Eve n'inquiétait pas Kity qui s'en faisait une joie, comme toujours Holy restait très proche de Suki et réfléchissait à deux fois avant d'aller vers Rinako. Suki posa un genou à terre en lui caressant la tête en lui souriant.

« Va avec maman ma chérie. Tu iras jouer avec Kity et Eve, d'accord ? Nous, on va rester ici et parler avec les grandes personnes. Ne t'inquiète pas, si tu veux me voir, tu le diras à Kity ou à une grande personne, elle viendra me chercher tout de suite, d'accord ? »

Plus rassurée, la petite blonde acquiesçait avant d'aller prendre la main de sa seconde mère qui les amenaient vers Eve. Suki se retourna vers les autres avec toujours ce petit pincement au cœur. Elle l'aimait cette gamine...

« Je vous remercie pour l'invitation mais je tiens à préciser que je préfère éviter de parler de nos différents. Je suis ici en vacance avec ma famille pour profiter de ses quelques jours en paix, pas en tant qu'ambassadrice qui parlerait au nom de ma patrie. »

Parler de tout et de rien, d'accord, aborder les sujets qui fâchent Suki... elle ne voulait pas créer de souci politique à cause d'un mot plus haut que l'autre. De ce qu'elle avait vu avec la reine de Lumen sur la plage, elle pouvait lui faire cofinance et si ce n'est pas demain que les esclaves seront libre, elle va faire son possible pour en arriver là le plus rapidement possible, quant à la baronne, il y avait des esclaves ici, c'est évident mais hélas, Caelestis, ne pouvait pas être partout à la fois, leur nation ne pouvait pas agir sur tout Terra à la fois. Rinako ne tardait pas à revenir, un signe de la tête pour dire que tout allait bien pour les petites. Espérons qu'elles comme leurs filles passent une bonne soirée. Maintenant entre adultes, la soirée pouvait commencer !
Magie
Tout le monde avait sa vision des vacances et pour Magie, loin d'être une jeune femme semblable à celles de son âge pour qui les vacances se résumeraient à trainer avec des copines sur cette plage ou un bel homme et à passer des moments dignes d'une série télé en s'envoyant de l'eau ou en bronzant tranquillement au soleil. Pour elle, les vacances se seraient bien fait seule, en pleine méditation silencieuse, un peu comme Strange sans les démons venues de partout pour le déranger. Certes, elle n'était pas contre la plage au sable fin et blanc, la détente, les glaces et tout ce qui allait avec mais à petite dose et sans être dérangé. Hélas, étant étudiante, elle n'a jamais entendu parler d'un mutant ayant passer sa vie paisiblement sans que son pouvoir soit révéler et ainsi être montrer du doigt comme une créature de satan. Ces débiles anti-mutant... alors forcément, quelques jours, au moins un, de paix à la plage, c'était beaucoup trop, beaucoup trop !

Affronter des ninjas zombis, pour elle, c'était banal. Eh oui, qui dit mutant proche du paranormal et amie de Wolverine dit forcément la Main, tôt ou tard, cette bande de ninjas rouge vous tombe dessus pour un oui ou pour un non. Alors une version un peu plus SM, elle n'était plus à ça près. Magie venait donc à la rencontre de ses derniers, venant trancher sans plus de gêner ses derniers, assommant les plus chanceux et divisant certains autres. Elle ne connaissait pas les lois de ce monde mais elle était dans les siennes. Ils tentent de lui ôter la vie, elle devient plus rapide pour éviter que ça n'arrive. Car si Magie s'énerve et laisse parler la démone qu'elle est devenue, c'est pas une bande de ninja démon qui va pouvoir la stopper. Ne jamais énervée un mutant, surtout quand ce dernier à un lien avec la magie démoniaque. La mutante blonde venait aider Laura et envoya au cimetierre plusiseurs ninja – ou non – et quand le combat toucha à sa fin, voilà qu'une autre tarée debarquait en venant sucer le sang d'une des créatures.

Magie restait prudente sans pour autant lui sauter déjà dessus. Son territoire de chasse ? Une vampire, ça ne la choquait pas, il paraît que l'homme araignée en combattait un régulièrement alors que ce soit sur ce monde ou un autre, pas de surprise.

« Revois un peu tes panneaux pour la chasse car tes proies nous ont pris pour cible. Tu nous en voudras pas si on t'aide pas à ramasser les morceaux hein... »

Devoir faire le ménage en plus, faut pas y compter. Au moins, cette rouquine ne semblait pas leur en vouloir, bien que ses lèvres et ses dents soient teintées de rouge, la vampire avait apparemment comblé son appétit. Mais comme ce n'était pas forcément le cas, Magie restait prudente. Gardant son arme plantée dans le sol près d'elle, elle se permettais quand même une question, veillant à ce que la mini-Wolverine ne lui saute pas dessus avant elle.

« Je suppose donc que nous sommes dans le même camp ? À moins que tu ne comptes nous prendre pour cible ensuite, qui sont ses taré et pourquoi on est visé ? »

Trompé de cible ? Peu de chance. Raciste anti-mutant ? Peut-être ? Autre raison ? Peut-être aussi ?
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Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Kaguya Shunya »

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Kaguya Shunya
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Demande de RP
SHIZUKA SHUNYA
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Shunya était enceinte. Cette donnée était absolument merveilleuse, et, pendant les semaines à venir, elle savait qu’Hinata en profiterait, et qu’elle veillerait sur elle avec attention… Comme à la prunelle de ses yeux. C’était prévisible, mais Shunya savait qu’elle en serait touchée. Hinata allait soigneusement faire attention à elle, et la guérisseuse l’imaginait déjà, veiller à tous les détails, et s’inquiéter pour un rien. C’est comme ça qu’Hinata fonctionnai. Derrière ses airs calmes et posés, c’était une vraie pelote de laine, une boule de stress sur pattes !

Après avoir bien mangé, les deux se rendirent dans l’ascenseur de la Novac Tower, se rendant vers les bateaux, afin de pouvoir retourner au Paradisio Hotel. Et, tout en descendant, la Reine d’Edoras s’empressa de se glisser dans son dos, caressant son ventre, la faisant doucement frémir. Elle se pinça les lèvres, et, en souriant, se retourna vers Hinata. Sa main caressa la joue de sa femme, et elle l’embrassa tendrement.

« Hum… Une petite promenade digestive le long de la plage ? Ma foi, je ne serais sûrement pas contre ! »

Elle lui sourit encore, et l’embrassa une nouvelle fois, se pressant contre elle. Hinata l’avait comblé de joie en lui glissant tant de mots si gentils, et Shunya rougissait de plaisir, ce qui l’amena ensuite, après ce nouveau baiser, à embrasser la joue d’Hinata.

« Mais tu devrais arrêter de dire tant de si bonnes choses sur moi… Comment veux-tu que je me comporte calmement, tant mon cœur bondit de plaisir dans ma poitrine ?! »

Un bon quart d’heure plus tard, le duo retourna le long du Paradisio Hotel, et les deux femmes se retrouvèrent, main dans la main, à marcher le long de la mer. Elles avaient rangé leurs chaussures, et marchaient, pieds nus, sur le sable, longeant la côte, l’eau venant caresser leurs pieds. Même s’il faisait nuit, et que la plage s’était considérablement bien vidée, il y avait, ici et là, quelques groupes. Shunya pouvait entendre des accords de guitare autour de feux-de-camp. D’autres se baignaient tardivement, mais, ce qui capta surtout son attention, ce fut la vision d’un couple en train de se faire l’amour sur le sable. Ils étaient un peu éloignés, difficilement visibles, mais Shunya entendit les soupirs, ce qui lui permit de voir cette scène.

Elle rougit, et se pinça les lèvres, sentant un fantasme la traverser subitement, et baissa les yeux, avant de crisper ses doigts contre la main d’Hinata.

« On… Continuons, je ne veux pas les déranger ! »

Shunya continua à marcher, jusqu’à rejoindre une petite partie isolée de la plage, avec de grandes dunes, et une falaise au fond. L’eau continuait à lécher leurs mollets, et Shunya releva la tête, admirant les étoiles.

« Tu sais… J’ai toujours adoré, à Edoras, me coucher sur la pelouse de ma maison le soir, et observer les étoiles. C’est un spectacle magnifique… Mais, maintenant, je suis embêtée. Parce que j’adore toujours autant regarder les étoiles, mais c’est toi que je préfère regarder maintenant… »

La femme lui sourit, et Shunya recommença à l’embrasser, fourrant sa langue dans sa bouche, et posa une main sur ses cheveux, l’autre se glissant contre son corps, se rapprochant des fesses d’Hinata. Un baiser se voulant particulièrement langoureux, et, si Hinata ne faisait rien pour la repousser, Shunya comptait bien lui faire l’amour là, ce soir, sur cette plage…

SUPERGIRL
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Le spectacle de Kara dans sa magnifique robe rouge n’échappa nullement à Tessou, et la Kryptonienne sourit devant les compliments que Tessou lui fit. Oui, sa robe lui allait en effet très bien, c’était bien là le moins qu’on puisse dire ! Elle ne la sortait que pour de grandes occasions, car, dans cette tenue, elle faisait très princière. Tessou entreprit ensuite de réveiller Kyoko, lui annonçant qu’elles allaient manger. Kara s’apprêta alors à attraper sa fille le temps que Tessou aille enfiler une robe de soirée, mais, au dernier moment, Tessou s’inquiéta à nouveau… Encore.

Kara la regarda sans rien dire pendant quelques secondes, puis secoua la tête.

« Tessou, Tessou… Ne t’inquiète pas, ce n’est pas une compote qui mettra à terre ta dure-à-cuire. »

Elle se rapprocha d’elle, et lui sourit, caressant de la main la tête de Kyoko. Le bébé s’était réveillé, et elle fixait avec de grands yeux curieux les deux femmes. De fait, Kyoko n’allait sûrement pas tarder à avoir faim, et, quand un bébé avait faim, ça se traduisait généralement par de grosses crises de larme. Finalement, Tessou réussit à calmer sa fille en lui faisant un gros bisou.

« Allez, Tessou, file t’habiller, je vais veiller sur ton petit chat pendant ce temps ! »

Kara faisait partie de ces quelques rares élues qui avaient le droit de veiller sur Kyoko en l’absence de leur mère Tessou avait eu peur, au début, craignant que Kara ne contrôle pas sa super-force, et ne lui brise les reins… Comme si Kara pouvait un jour risquer la vie d’un petit bébé ! Elle attrapa donc Kyoko, et lui sourit, en jouant avec son nez, caressant l’organe de Kyoko avec son doigt, et la laissant encore jouer avec ses cheveux. Les Japonaises n’étaient pas blondes naturellement, ce qui faisait que ces dernières étaient très appréciées au sein de la société nippone. Alors, autant dire qu’avec sa chevelure dorée, Kara happait souvent le regard de Kyoko.

Les petits doigts du bébé se crispèrent sur ses cheveux, tirant délicatement dessus, sans lui faire mal, mais la firent sourire.

« Tu vas voir, Kyoko, tu vas bien manger ce soir ! Si on arrive à aller au restaurant, bien sûr… Ta maman est adorable, mais elle a un talent naturel pour s’angoisser, j’espère que tu seras moins nerveuse quand tu seras grande comme elle. »

Même si Kara pouvait comprendre l’anxiété de Tessou, ça ne voulait pas dire qu’elle ne cherchait pas à lutter contre ça. Supergirl savait ce que Tessou avait vécu, mais elle savait aussi qu’on ne pouvait pas vivre en ayant perpétuellement peur de tout. Tôt ou tard, il fallait aussi se dire qu’on ne pouvait pas tout contrôler. Le problème, c’est que ce n’était pas Kara qui aiderait Tessou à réaliser ça. Contrairement à la policière, Kara pouvait résister aux balles, aux explosions, et disposait de pouvoirs surpuissants dignes des Dieux. Forcément, avec un tel pedigree, on pouvait se permettre de ne pas être nerveuse !

En attendant, elle jouait doucement avec Kyoko, qui ne tarda pas à glousser sous le contact des doigts de Kara, ou encore quand elle lui souffla dessus, usant très légèrement de son super-gel pour la faire frissonner. Il ne restait maintenant plus qu’à attendre que Tessou enfile sa robe, puis les deux femmes pourraient enfin rejoindre la Novac Tower !

LUNA EARTHWELL
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Jouer la Maîtresse, c’était un rôle très particulier pour Luna, qui était la pure démonstration de la soumission. Pour qu’elle puisse jouer ce rôle, les Maîtresses Karistal avaient dû l’élever longuement. Les premières fois, même en jouant la Maîtresse, Luna manquait de confiance en elle, et s’effondrait rapidement. Lui inculquer ce rôle n’avait pas été simple, mais, en définitive, les Karistal pouvaient se montrer très fières du résultat obtenu. En effet, c’était bien grâce à elles que Luna avait réussi à sortir du rôle automatique de soumise qu’elle prenait, afin d’être plus libre, plus indépendante... Et, finalement, dominatrice. Qui aurait cru que la petite Luna, l’exemple même de la soumission, puisse se retrouver dans ce rôle, jouer cette position ? Mais c’était pourtant bien cela qui se passait.

Sa queue s’enfonçait durement dans les fesses d’Esclave Yuka, Luna prolongeant la sodomie. Malgré son frêle petit corps, elle donnait de solides coups de reins. Sa physionomie ne lui permettait pas de donner des cous trop puissants, mais elle s’efforçait de faire de son mieux, disposant en tout cas d’une belle queue, qui avait peiné à s’enfoncer dans l’étroit postérieur d’Esclave Yuka. Un trou bien serré, que Luna avait pris grand plaisir à défoncer sans ménagement, confirmant les expériences respectives des deux femmes. Même s’il avait été aussi possible de s’enfoncer rapidement dans le fondement d’Esclave Yuko, avec Esclave Yuka, la tâche avait été un peu plus simple, preuve que, des deux sœurs, c’était davantage Yuka qui était habituée à recevoir. C’était aussi pour ça que Luna, de manière intelligente, s’était retournée directement vers Esclave Yuko. Elle savait qu’elle était la plus dominatrice, et il avait donc été important de commencer par elle pour s’imposer. Maintenant, Luna s’en prenait au dessert : Esclave Yuka !

Elle la sodomisait donc brutalement, couinant et gémissant, sentant la queue caudale d’Esclave Yuka se durcir contre son ventre. Mais, comme elle la gênait, Luna attrapa la queue, et l’enroula autour de sa taille. Les Maîtresses Karistal savaient que Luna aimait serrer ses partenaires comme ça. Elles pouvaient ainsi sentir la douceur et la chaleur de sa queue. Devant les hurlements de joie d’Esclave Yuka, qui allait même jusqu’à remuer son petit cul, Luna ronronnait de plaisir... Et la fessa encore.

« E-Esclave Yuka est... Est une grosse pute, nyaaawww... !! »

Luna avait une voix très douce, très cristalline. L’imaginer jurer, c’était donc totalement contre-nature, et d’autant plus excitant. Maîtresse Yuko, qui les observait, pouvait sincèrement être honorée de voir comment Luna se comportait. Indéniablement, la neko était douée, et continuait à remuer sa queue dans le cul de sa sœur, l’enfonçant jusqu’à la garde. Ses mains griffaient parfois ses fesses quand elle se penchait et se crispait, avant de repartir en arrière. Fort heureusement, ce n’était pas trop douloureux pour Esclave Yuka, car les gants en latex de Luna limaient les griffes, de sorte qu’aucune griffure ne se forma, Esclave Yuka ayant juste la sensation de se faire gratter à hauteur des fesses, ce qui devait être loin d’être désagréable.

Luna la fessait ensuite, et, régulièrement, Luna s’arrêtait de la pénétrer, maintenant juste profondément sa queue en elle pendant quelques secondes. Elle reprenait alors son souffle, et fessait Esclave Yuka de nouveau, mélangeant plaisir et douleur dans une expérience sexuelle intense.

Petit à petit, Luna déplaça également sa queue caudale, et utilisa le bout pour fesser à son tour Esclave Yuka. Ce n’était évidemment pas digne d’un fouet, mais, même malgré ça, ça restait tout de même douloureux, Luna durcissant le bout de sa queue.

« Oui, Esclave Yuka est... Une vilaine esclave, haaa... TRÈS VILAINE, nyaaaaa... !! »

Luna se retourna alors vers Esclave Yuko, qui les observait silencieusement, et pointa son doigt vers elle.

« Esclave Yuko ! Aide Maîtresse Luna à... À punir la salope d’Esclave Yuka, hmmm... Pince-lui les seins, mords-lui... Nyaaaa... Les oreilles... Dis-lui qu’elle n’est... Nyyyyuu... Qu’une sale petite pute, nyaaaaaa... !! »

La neko ronronnait et miaulait, et reprit ses coups de butoir, sa queue étant délicieusement serrée dans le cul d’Esclave Yuka. Maîtresse Luna comptait encore jouer longtemps avec elles. C’était sa manière de leur montrer combien elle les aimait et les affectionnait !

ALICE KORVANDER
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Ce soir, Alice se reposait avec un livre sur ses genoux, le lisant tranquillement. Elle était dans une grande suite, partageant les locaux avec Mélinda. Mais la vampire était occupée avec ses esclaves. La Princesse, de son côté, hésitait donc. Soirée tranquille, ou soirée plus chaude ? Elle aurait bien aimé que Melendil, son mari, soit avec elle, mais le bel elfe avait malheureusement eu des obligations à Sylvandell. Après tout, il appartenait à l’armée, et, à ce titre, suivait parfois des formations. Alice avait compris, et les deux s’étaient au moins séparés en se faisant chaudement l’amour. Et là, ce soir, elle était donc seule, en réfléchissant sur la suite des évènements. Ce week-end se passait très bien pour le moment, et elle était ravie de voir que les Karistal étaient venues à l’hôtel au même moment.

*Comme quoi, le hasard fait parfois bien les choses...*

Alice songeait à cela, tout en ayant, près d’elle, une valise comprenant une tenue spéciale, sa « robe de soirée ». Melendil l’avait déjà vu comme ça, et il avait eu une fantastique érection. Une robe offerte par Mélinda, et, rien qu’en y repensant, Alice se surprit à rougir. Elle lisait donc paisiblement, quand la porte de sa chambre s’ouvrit brusquement... Sur deux Usagis enjouées, qui bondirent vers elle.

Blanche et Noire !

« Oh... Mais qu’est-ce que vous faites là ? »

Chacune des deux l’attrapa par les poignets, la soulevant, en lui demandant de la suivre, avec ce ton pressé et enjoué qui les caractérisait. Alice résista toutefois, au moins le temps de mettre un marque-pages sur son livre, et d’attraper sa valise. Dans le salon de la suit,e il y avait plusieurs amies de Mélinda, qui lui indiquèrent de prendre son pied. Elles avaient pris le numéro de la chambre des Karistal.

« D’a... D’accord. Je vous suis ! »

Elles filèrent dans les couloirs. Fort heureusement, la chambre des Karistal n’était pas trop éloignée. L’ascenseur étant trop lent au goût des deux Usagis, elles passèrent par l’escalier, tenant Alice par les mains, emmenant sa valise. C’est ainsi qu’elles arrivèrent dans l’appartement des Karistal. Une suite moins grande que celle de Mélinda, et le salon principal avait été transformé en dortoir, avec plusieurs sacs de couchage et matelas, permettant aux Karistal de dormir avec tous leurs esclaves.

Quand elles entrèrent, Alice écarquilla les yeux. Elle reconnut Luna, une petite neko qu’elle avait déjà vu en allant chez ses amies, et avec qui elle avait fait l’amour. Luna lui avait demandé de porter une culotte noire avec un vibromasseur, et elle avait longuement pénétré la jeune neko. Et là, elle lui tournait le dos, avec une tenue de dominatrice, un corset noir en latex, de longs gants, des collants avec des bottes à talon...

« Oh... »

Outre Luna, il y avait aussi Yuka, qui était sodomisée, et dont les hurlements et les couinements remplissaient la pièce. De fait, quand Alice était entrée, la première chose qu’elle avait entendu, et qui donnait le ton de l’ambiance, vint de Luna, qui hurla :

« GROSSE SALOPE !! »

Avec une telle entrée en matière, Alice sourit alors, tout en rougissant. Yuko était agenouillée à droite de sa sœur, et pinçait ses tétons avec ses doigts, avant de mettre des pinces sur ses tétons, puis se redressa. Elle aussi avait enfilé, pour faire plaisir à Luna, une tenue rouge en latex courte et sexy. Et, en voyant Alice sur le palier de la porte, elle se redressa, et caressa la tête de Luna, lui faisant signe de continuer, tout en se rapprochant de la femme. La Princesse lui sourit, sentant la forte odeur de sexe et de sueur qui régnait ici. Les deux femmes s’embrassèrent tendrement, Alice frissonnant sous ce contact.

« Oh, Yuko... Eh bien... J’ai croisé Blanche & Noire tout à l’heure, je pensais qu’elles vous auraient parlé de moi... Mais il faut croire qu’elles préféraient qu’on se voit directement. »

Alice lui sourit, et l’embrassa encore. Blanche & Noire se déplacèrent alors, et tournèrent autour de Luna.

« Nyyyyuuu... Blanche... Noire... Hmmmm... Vous... Vous voulez m’aider à... À pu-punir Esclave Yuka ? »

Entendant distraitement cela, Alice sourit, puis se pinça les lèvres.

« Vous savez comment vous amuser, vous... Je suis heureuse de te revoir, Yuko, en tout cas... Et, même si tes Usagis m’ont à moitié kidnappé, j’ai quand même eu le temps de prendre ma tenue de soirée. »

Elle désigna de la tête sa valise, puis demanda où se trouvait la salle de bains, et demanda à Yuko de la suivre.

« Je vais avoir besoin d’aide pour m’habiller... C’est une tenue que Mélinda m’a offerte. »

Les deux femmes filèrent donc dans la salle de bains, et Alice referma la porte, laissant ainsi Yuka jouer avec les trois Terranides. Pendant ce temps, Alice observa encore Yuko, et lui sourit, avant de l’embrasser encore, un peu plus longuement que dans le vestibule, sa langue jouant avec la sienne, l’une de ses mains venant caresser les fesses de Yuko.

« Il va aussi falloir qu’on aille voir Mélinda ensuite... Elle aussi, elle sera ravie de te revoir. »

La dernière fois qu’elles s’étaient vues, c’était il y a quelques semaines, à l’occasion du mariage de Mélinda avec Vanilla. La vampire avait invité beaucoup de monde, et avait célébré ce mariage par une longue orgie, véritable bacchanale mijakienne qui avait duré plusieurs jours. Alice ouvrit ensuite la valise, consciente que Yuko devait être curieuse, et commença par sortir des cordes.

« J’ai vu que tu étais douée pour les cordes... Et il faut être au moins deux pour me mettre cet harnais... »

Alice se déshabilla ensuite, et tourna le dos à Yuko, pour la laisser mettre la corde. Et, pendant que la blonde s’exécutait, Alice se renseigna sur ce qui leur arrivait.

« Tout se passe bien avec les Lilianstar ? Et... Ton partenariat avec Mélinda aussi ? »

Manifestement, aucun problème de ce point de vue. Yuko se marier prochainement avec ces autres femmes, et, depuis qu’elle avait ouvert une maison close, les Karistal avaient beaucoup de clients. Bien sûr, leur maison close était centrée sur les Terranides, et Mélinda ne leur envoyait que des Terranides. Alice, de son côté, expliqua à Yuko qu’elle était heureuse avec Melendil, et qu’il ne se passait rien de particulier à Sylvandell. Elle lui parla un peu de Cirillia, sa gardienne et mentor d’armes, en lui expliquant que cette dernière avait retrouvé son ancienne formatrice, une elfe redoutable, et cette dernière était provisoirement venue à Sylvandell, vivant avec Ciri’ dans leur maison. Alice avait eu l’occasion de venir à leur pendaison de crémaillère... Où Amalia l’avait dominée pendant toute la nuit, la faisant hurler et couiner.

Yuko termina alors de lui mettre son harnais, et Alice soupira. C’était Amalia qui l’avait attaché ainsi, et, depuis lors, Alice avait énormément pris goût à la pratique du shibari.

« Oh... Merci, Yuko... C’est fou, mais... J’adore sentir le contact des cordes sur moi... »

Ça la rendait beaucoup plus sensible, et elle se pinça les lèvres, excitée. La Princesse se retourna ensuite vers Yuko, et l’embrassa à nouveau. Elle enfila ensuite le reste de ses vêtements, à savoir de longs collants roses, de longues bottes violettes, et, surtout, une paire de longs gants roses, avec, pour finir l’ensemble, une superbe robe rose et violette.

« Voilà... Bon, habituellement, Mélinda me force à porter une culotte spéciale dessous... Mais je crois que ça sera inutile, là. »

Elle lui sourit alors, en rabattant ses cheveux vers l’arrière.

« Comment tu me trouves ?! »

MÉLINDA WARREN
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« Bien, les filles, on va passer aux choses sérieuses ! »

Mélinda frappa dans ses mains, un sourire ravi sur les lèvres. Elle était assise sur le rebord de son lit, dans la grande chambre de sa suite. On venait de l’informer qu’Alice avait été embarquée manu militari par deux Usagis pour aller voir les Karistal. Si elle avait été surprise d’apprendre que les deux jumelles étaient là, elle n’en avait pas été peinée, et s’était promise d’aller les voir... Plus tard. Pour l’heure, elle avait accueilli une nouvelle invitée au sein de leur folle assemblée, et c’était une invitée des plus prestigieuses... Sa femme ! Vanilla Warren était là, dans leur chambre, une très belle pièce avec un grand lit aux couvertures rouges.

Vanilla était d’ailleurs là, assise à sa gauche, portant une élégante guêpière en soie, avec de longs gants noirs, et exhibait son sexe à l’air libre. Un beau mandrin qui se dressait fièrement, trahissant l’excitation qu’elle ressentait. La pièce, de fait, empestait déjà le sexe, car Mélinda et Vanilla avaient fêté leurs retrouvailles par le biais d’une belle sodomie. C’était ensuite que Mélinda avait tenu à faire profiter pleinement à sa femme de leurs vacances, et avait, en conséquence, invité sa femme à venir. Cette dernière était venue un peu en retard, car elle avait des choses à gérer dans ses champs viticoles, mais avait ensuite fait le voyage.

Les deux vampires étaient donc là, dans la chambre, face à Ai, et, pour l’occasion, Mélinda avait enfilé une nouvelle robe, offerte à l’instant par Vanilla.

« Elle te va vraiment bien...
- Je l’ai enfilé sans même me poser la question, amour, confessa Mélinda. Tu connais mes mensurations par cœur, à force d’explorer mon corps dans tous les sens. »

Pour le coup, Mélinda portait une superbe robe noire en cuir, avec un beau décolleté en forme de goutte, des collants, et un dos très moulant. La robe lui allait à merveille, et elel aimait, pour le coup, se pencher d’avant en arrière, la faisant ainsi doucement craquer. Les deux vampires retournèrent rapidement s’embrasser, toujours sous les yeux de Ai, qui était, pour l’occasion, condamnée à les observer.

Ai avait aussi récupéré une nouvelle tenue, de la lingerie fine noire lui donnant un air élégant et sensuel en même temps. Mais qu’attendait-elle donc, cette pauvre jeune fille ? Tout simplement que sa partenaire de ce soir, Harmony, daigne enfin enfiler sa nouvelle tenue. Mélinda avait été intransigeante, tout en lui assurant que ça ne serait qu’entre elles. La vampire savait que sa femme appréciait Harmony, et rêvait surtout de la dévergonder un peu. C’est pour ça que Vanilla avait aussi amené un nouvel ensemble pour Harmony, très différent de ce qu’elle portait habituellement.

« Tu crois qu’elle va l’enfiler ?
- Oh, j’en suis sûre... Va donc l’aider, Ai !
- Et... Hmmm... Ne te sens pas particulièrement pressée, hmmm... »

En effet, les deux femmes avaient très envie de se retrouver aussi. Ai aurait déjà pu participer, mais Vanilla, très voyeuriste, aimait beaucoup coucher avec sa femme sous le regard des autres. Leurs moments d’intimité étaient extrêmement rares, car il y avait toujours des esclaves pour les observer. Autrement dit, Vanilla complétait réellement Mélinda à la perfection, tant les deux femmes fonctionnaient sur la même longueur d’onde.

Mélinda retourna donc l’embrasser, tout en la masturbant tendrement, sa main filant le long de sa hampe de chair. Ai fila donc dans la salle de bains, afin d’aider Harmony, qui ne devait sûrement pas savoir comment se débrouiller avec ça.

Il fallait bien avouer que Vanilla avait mis la barre haute, en lui proposant un étroit harnais en cuir, avec un collier de chienne. Harmony n’avait jamais porté quelque chose d’aussi indécent, mais se devait d’obéir. C’était un ordre direct de sa Maîtresse, et c’était grâce à elle qu’elle avait été séparée de son frère, et pouvait ainsi mener une vie libre et épanouie.

Elle allait donc devoir se forcer pour le plus grand plaisir pervers de Mélinda !

SHA
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Nausicaa (Luxuria) avait offert à Kiriko cette verge, bouleversant ainsi profondément les habitudes de Kiriko. Pendant longtemps en effet, la Celkhane s’était refusée à avoir cet appendice masculin, estimant que porter ce membre reviendrait à porter atteinte à son intégrité féminine. La Celkhane avait beau avoir quitté Caelestis, elle partageait toujours, au grand dam de Sha, leur haine du sexe masculin. Sha essayait de lui faire changer d’avis, car, même si le culte de Sha était essentiellement féminin, il existait aussi des sorciers masculins. Mais Kiriko était plutôt têtue. La preuve, il lui avait fallu des mois pour accepter de porter une verge. Néanmoins, elle y prenait goût, et ce d’autant plus que Nausicaa lui avait expliqué que, pour que son organisme accepte plus facilement cette queue, et que ce phallus soit plus efficace, elle devait fréquemment l’utiliser.

Sha savait donc que, désormais, Kiriko prenait l’habitude de coucher avec ce membre, mais, face à sa Déesse, elle se montrait beaucoup plus hésitante. Là, elle avait sorti sa verge, bourrant furieusement Sha, pour le plus grand plaisir de l’Ombre, qui la sentit jouir en elle, se répandant goulûment... Ce qui ne diminua nullement la taille de sa verge, au contraire. Comme pour certaines espèces animales, sa queue gonflait à la base, formant une sorte de nœud qui la rendait difficile à retirer tant qu’elle n’avait pas craché suffisamment de foutre. Un petit cadeau supplémentaire de Luxuria, afin de s’assurer que la femme soit bien à la hauteur de ce qu’on attendait d’elle. Et le résultat final était très convaincant.

« Hmmm... »

L’Ombre ferma les yeux pendant quelques secondes, et sourit quand Kiriko, l’embrassa. Elle venait donc de jouir en elle, mais cette salve était encore insuffisante pour l’engrosser... Ou pas. Mais peut-être que Sha voulait juste en profiter. En tout cas, la Déesse déplaça sa main, et la posa sur le creux des fesses de la belle Kiriko, répondant avec plaisir à son baiser, et lui sourit à nouveau.

« Je vais te faire une confidence, Kiriko... Il m’arrive parfois de me travestir en servante et de te provoquer, juste assez pour te pousser à me prendre violemment, mais en étant suffisamment subtile pour que tu ne le remarques pas. »

Sha sourit malicieusement, répondant ainsi à la question de savoir où était sa préférence. En réalité, elle aimait tout autant baiser Kiriko jusqu’à la limite de ce qu’elle pouvait endurer (limite qui était repoussée à chaque fois), mais il était parfois très grisant de voir sa petite soumise sous ses traits de dominatrice. Or, Kiriko ne pouvait jouer libérer pleinement son potentiel quand elle était réellement face à Sha. Il fallait donc la motiver un peu, et c’était là tout le sens des actions de l’Ombre, qui n’hésitait pas à changer de forme en ce sens.

Mais, pour l’heure, au-delà du plaisir purement pervers, elles avaient aussi une mission importante : féconder Sha. S’assurer qu’Abigail naisse dans son ventre.

« Je dirais que les deux ne sont pas incompatibles, Kiriko... Mais je serais très heureuse d’avoir ce ventre rond. »

Nul doute qu’être enceinte allait la rendre plus douce, réveillant en elle cet instinct maternel qui existait dans le corps de chaque femme. Mais, pour l’heure, être enceinte n’avait pas beaucoup changé Kiriko. Elle faisait un peu plus attention à son ventre, mais, comme elle se refusait d’être un poids mort, elle était toujours aussi active. Néanmoins, le fait d’être enceinte avait souvent tendance à influer fortement sur la libido des sorcières... C’était sans doute aussi ce qui expliquait pourquoi Kiriko se montrait si sensuelle, elle qui, habituellement, s’efforçait toujours d’être avant tout une guerrière.

Revenant à des sujets plus sérieux, Kiriko lui demanda quelle position elle voulait, ce à quoi Sha ne put que sourire malicieusement.

« Oh, ma chérie, n’espère pas t’en tirer si facilement ! C’est toi qui dois me mettre enceinte, c’est toi qui choisis les positions... En sachant que, plus tu es cruelle et dominatrice, et plus j’aime ça... Et donc, plus tu as de chances de me mettre enceinte, mon cœur. »

Sha sourit à nouveau, malicieusement. Kiriko allait-elle être capable de passer outre son affection pour Sha ? Elle savait bien qu’elle n’avait qu’à demander pour avoir tous les objets qu’il lui fallait. Si elle voulait fouetter Sha, la mordre, la pincer... Elle n’avait qu’à demander !

« Laisse parler ton imagination, ma chérie... C’est tout ce que je te demande ! »

CRYSTAL
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Peu à peu, la glace autour de Crystal se rompait. Pourquoi s’attachait-elle autant à Neferia ? Par pitié ? Parce qu’elle savait que Neferia avait tout perdu, et s’accrochait à des rêves et à des fantasmes impossibles à exaucer ? Pourtant, Crystal était la première à signaler que la pitié était inconnue des dragons, et qu’il ne fallait pas raisonner comme ça. Alors, la seule autre raison, si tant est que Crystal soit sincère sur son absence d’émotions, c’était bien parce que, au fond d’elle, en voyant Neferia, elle revoyait ses enfants... Ceux qu’elle avait perdus, et qui avaient amené la dragonne à devenir plus froide, à devenir une dragonne redoutable pendant plusieurs siècles.

Finalement, Crystal avait retrouvé son humanité, et, avec Neferia, commençait, peu à peu, à retrouver goût à la vie. C’était un changement subtil, mais notable, et de plus en plus persistant. Neferia, de son côté, lui expliqua qu’elle hésitait sur quel État aller. Zon’Da, Edoras... Crystal lui rappela alors ce que, auparavant, elle lui avait déjà dit :

« Je t’ai déjà parlé de Sylvandell, Neferia. Pour moi, c’est le meilleur endroit où commencer. »

Sylvandell était réputé pour être un royaume hébergeant de nombreux dragons. C’était même principalement pour ça qu’on connaissait ce petit royaume montagnard.

« On dit que la Princesse de Sylvandell est beaucoup plus diplomate que son père, je suis sûre qu’elle t’accorderait une audience. »

Mais le choix, en définitif, revenait à Neferia. Zon’Da, Edoras, Sylvandell... Crystal avait déjà été dans tous ces endroits, et savait à quoi s’attendre. Ceci étant dit, elle doutait vraiment que Zon’Da soit un bon choix pour Neferia. C’était une communauté libre, presque anarchique, qui n’apprécierait sans doute pas qu’une femme débarque pour souhaiter instaurer une monarchie absolue autour de sa personne.

Enfin, pour l’heure, Neferia avait une autre demande à satisfaire. Crystal se mit à sourire en observant ses longues jambes fuselées.

« Allonge-toi sur le lit, alors... »

Oui, Crystal savait où Neferia voulait en venir. Elle n’allait pas s’en plaindre, et attendit que la jeune dragonne se positionne, avant de lui tendre ses jambes. Crystal se rapprocha alors, et s’assit sur le côté, les posant délicatement sur ses genoux, avant de les caresser, et de les gratter.

« Là, voilà... C’est vrai que tu as de belles jambes, Neferia. Je suis sûre que tu adorerais avoir une cour avec de belles esclaves qui les lècheraient et les masseraient régulièrement, en voyant cela comme un immense honneur... »

Une telle fascination pour ses jambes, c’était aussi impressionnant qu’amusant. Crystal n’en était pas choquée, et continua donc à les gratter, remontant jusqu’à ses orteils, glissant le long de la plante de ses pieds, pour remonter ensuite.

« Est-ce que tu veux juste mes doigts, Neferia... ? Ou autre chose sur tes pieds ? »

Comme sa langue, peut-être... Ou ses lèvres.

Mais le choix lui appartenait.

POISON IVY
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Depuis qu’elles avaient quitté Gotham, qu’elles avaient fui cette ville nauséabonde, Harley et Ivy s’étaient considérablement rapprochées. C’était comme si quitter l’atmosphère puante de Gotham, avec son lot de criminels et de tueurs en série, leur avait permis de considérablement se détendre. Elles étaient maintenant en train de profiter royalement de leur vie paisible, en faisant l’amour comme des folles. C’était du sexe sauvage, intense, et, partant de là, tout simplement délicieux. Voir son beau petit clown avec une queue, c’était tout simplement très excitant, et là, face à elle, Ivy n’avait qu’une envie : lui faire l’amour... Encore !

Harley venait de jouir en elle, mais, même pour elle, ce n’était qu’un prélude. En ce moment, tout le corps de la jeune femme n’aspirait qu’à une chose : retourner pénétrer Pamela. Mais, au lieu de se ruer sur elle, Harley avait bien décidé de prendre les choses en main, faisant sourire doucement Ivy. Certes, il était parfois arrivé, en de très rares occasions, qu’Harley prenne les devants, mais, dans leur relation, c’était quand même Ivy qui avait le rôle dominant. C’était elle qui venait sauver Harley, elle qui avait amélioré ses performances, la soignait, et était là pour l’écouter pleurer.

« Ai-je seulement nié le contraire, ma chérie ? J’aime te voir avec une belle queue bien tendue, oui... Et j’aime tout autant voir ce côté-ci de ta personnalité, ça oui... »

C’était une nouvelle Harley qui se dessinait. Qui sait ? Peut-être même serait-elle vraiment en mesure de repousser Le Joker, si jamais ce dernier revenait un jour dans sa vie ? Pamela n’en savait rien, car Harley l’avait déjà déçu sur ce point beaucoup de fois... Mais elle l’espérait bien, en tout cas. Et, de toute manière, elles étaient là pour autre chose. Après avoir joui, la queue d’Harley restait bien dure, assoiffée, et bien dressée. Mais, avant de passer aux choses sérieuses, Harley expliqua à Ivy qu’elle devait choisir par où elle voulait se faire prendre... Et trouver les bons mots pour ça.

Pamela sourit en retour.

« Très bien... Maîtresse Quinzel. »

Ivy n’aurait jamais cru qu’Harley puisse changer à ce point, et c’était... Très excitant à voir ! Pamela se rapprocha donc, et fléchit les genoux.

« Maîtresse Quinzel, vous m’avez baisé avec tellement de force que votre patiente... Est en manque de votre grosse bite. Vous n’imaginez pas à quel point ce moment a été jouissif pour moi, Maîtresse Quinzel, vous avez baisé la pute nymphomane que je suis avec tellement de forces... Je suis tellement heureuse de vous avoir comme Docteur, Maîtresse Quinzel, mais vous savez à quel point je suis perpétuellement en manque... Alors, quand je vois une grosse bite tendue et assoiffée comme la vôtre... »

Son visage s’était rapproché de sa queue, et elle pouvait renifler l’odeur de sexe s’échappant de son mandrin, une odeur délicieusement excitante et jouissive. Elle s’en pinça les lèvres. Avec le sexe, on pouvait facilement jouer un rôle, et Ivy, en ce moment, jouait celle d’une patiente nymphomane subissant un traitement particulier de la part de son docteur... Elle approchait son visage, comme pour lécher ce mandrin, ce qu’elle fit d’ailleurs.

« Je n’en peux plus, Maîtresse... Je veux vous sentir me baiser la bouche, me violer la gorge avec force, en me traitant de catin, en disant que je suis votre petite pute... Je veux entendre votre délicieuse bouche prononcer toutes les insanités qui lui passent par l’esprit pendant qu’elle me violera longuement et furieusement... Pitié, Maîtresse Quinzel, je vous veux en moi ! »

Et, tandis qu’elle parlait, sa main se releva, caressant et soupesant les testicules de la femme.

FÉLICIA HARDY
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« Moi, c’est normal, tu sais... J’ai un sérum dans les veines similaire à celui de Captain America. C’est toi le monstre, tu n’es qu’humaine, et tu es tout simplement insatiable. Je n’ai jamais vu une traînée comme toi... »

Quand on commençait à bien connaître Aoki, comme Félicia, on comprenait mieux pourquoi elle couchait avec ses élèves. La Chatte Noire n’était pas jalouse. Leurs relations étaient très libertines, et, pour autant, elles n’étaient pas que des sex friends. Le sexe structurait étroitement leur relation, mais il n’y avait pas que ça. Entre elles, il y avait aussi... Un véritable élan, une liaison qui dépassait le cadre strictement sexuel. Quand Félicia lui disait qu’elle était une « traînée », c’était un compliment. Que ce soit sur l’île abandonnée, ou dans leur chambre, elles baisaient depuis maintenant des heures, copieusement et longuement. Et Aoki n’en avait pas encore fini. C’était une séance exceptionnelle, après tout. Ce n’était pas tous les jours qu’elles seraient au Paradisio Hotel, et, plutôt que de se promener, de découvrir les lieux, elles ne pensaient qu’à une chose : s’envoyer en l’air... Encore et encore !

On pouvait donc dire que les deux femmes étaient incorrigibles, mais aucune ne viendrait s’en plaindre. Aoki annonça avoir une surprise, et ordonna à Félicia d’attendre.

« Ohhh... Ne traîne pas, ma chérie, j’ai encore très envie de ton corps. »

Qui sait ce qu’Aoki lui avait trouvé ? Grâce à son boulot, elle touchait pas mal d’argent... Surtout depuis qu’elle avait cette gamine comme élève, Doutzen. Reto la payait plutôt généreusement, et Félicia avait convaincu Aoki d’accepter tout cet argent, ce qui lui permettait en outre de s’offrir pas mal de pilules, de sex toys, et de catsuits faites sur mesure par des tailleurs spécialisés. Et Félicia, qui gérait les comptes, savait qu’Aoki avait récemment passé commande auprès de cette boutique. Elle était donc curieuse... Curieuse de savoir ce que sa chérie avait préparé pour elle.

*Mais je sais déjà que je ne vais pas être déçue...*

Restant seule, elle tâchait de se calmer, tout en étant surtout de plus en plus excitée. Aoki avait néanmoins raison. Déjà très perverse auparavant, depuis que Félicia avait réalisé son opération à Uatis, elle avait une libido... Particulièrement instable. Elle couchait fréquemment avec Aoki, et avait de plus en plus mal, lors de ses ébats, à retenir sa verge. Elle avait désormais plus l’habitude de bourrer sèchement, longuement, et puissamment Aoki, et, rien qu’à y repenser, Félicia sentit sa queue l’élancer encore. Ses mains griffues caressaient la couverture, glissant sur les traces de sueur et de mouille, qu’elle reniflait ensuite, ressentant la délicieuse odeur d’Aoki grâce à son odorat surdéveloppé.

Autant dire que ce bref moment de solitude, loin de refréner ses ardeurs, ne contribua qu’à l’exciter davantage. Elle entendit alors la porte s’ouvrit lentement, et tourna la tête... Puis resta silencieuse. Silencieuse en voyant Aoki s’avancer, à quatre pattes, de manière très féline. Elle resta assise sur le rebord du lit, ses jambes posées sur le sol, et sa queue, au fur et à mesure qu’Aokis ‘avançait, se redressa et se durcit, se rigidifiant en défiant l’apesanteur. Aucun mot ne semblait devoir s’échapper des lèvres de Félicia pendant les premiers instants, jusqu’à ce qu’Aoki ne bondisse sur le lit, et ne se frotte à la femme, amenant cette dernière à sentir la texture incroyable de sa combinaison, mélange de douceur, de latex, et de fourrure.

« Ooohhh, Aoki... Ma petite chatte ! »

Elle avait choisi d’enfiler une catsuit... Au sens le plus littéral du terme ! Une délicieuse tenue qui moulait à la perfection ses formes, faisant ressortir sa volumineuse poitrine, et qui excita sensiblement Félicia. Impossible de le nier, tout simplement. Elle avait une superbe trique, qui se dressait furieusement. Ses mains se posèrent alors sur la tête d’Aoki, proche d’elle, et elle se mit à la gratter, avant de descendre le long de son dos, tout en se redressant, et en s’asseyant sur ses genoux. Ses doigts filèrent le long du dos d’Aoki, s’enfonçant dans la tendre combinaison, provoquant des crissements et des soupirs.

« Diable... Je ne sais même plus quoi dire, Aoki, tellement tu es sexy là-dedans... Alors, je vais la laisser parler. »

La ? Il ne fallait pas être grand sorcier pour savoir à qui Félicia faisait référence. Sans guère attendre, elle se glissa dans le dos de la femme, et posa ses deux mains sur ses hanches, puis la pénétra rapidement. Sa queue était devenue si grosse qu’elle en était très douloureuse ! Très clairement, Aoki avait fait un effort incroyable ce soir, un effort qui méritait d’être récompensé comme il se doit ! Félicia la pénétra donc, enfonçant longuement sa queue en elle, et en profita pour poser ses deux mains sur ses seins, en se penchant sur elle.

La Chatte Noire se courba donc contre le dos d’Aoki, et lécha le creux de son cou, avant de mordiller sa peau, tout en serrant ses seins entre ses doigts, sa queue s’enfonçant en elle.

« Ohhh... Je vais tellement te baiser, ma chérie ! »

Elle se redressa alors, tout en maintenant ses mains sur les généreux seins d’Aoki, ce qui eut pour effet de la relever, pendant qu’elle continuait à la baiser, en ondulant son bassin.

« Miaule... Hmmmrrrr... Miaule, ma salope de petite chatte !! »

Qu’elle ronronne bien comme il fallait ! Après tout, c’était bien ça qu’on attendait d’une belle chatte, non ?

MIRANDA FORGE
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Rouge était vantarde, tout comme Miranda... Mais avait-elle son expérience sexuelle ? Miranda était connue pour ses très impressionnantes frasques sexuelles, et, en la matière, elle avait largement de quoi remplir plusieurs mémoires pornographiques. Elle avait couché avec un très grand nombre de personnes, et il y avait très peu de choses sexuelles qu’elle n’avait pas fait, en réalité. Pour réussir à être si douée, Miranda avait ses petits secrets... À savoir que, quand elle était encore adolescente, et qu’elle n’avait pas encore récupéré les rênes de GeoWeapon Corp., elle avait suivi de multiples formations sexuelles, notamment auprès du culte de Lust situé à Uatis. Les Dieux étaient très rares à Uatis, qui était, après tout, à la gloire de la science, mais on trouvait encore quelques cultes. Il y avait bien sûr l’Ordre Immaculé, mais les différentes divinités de la Luxure avaient aussi leur influence. Et, en la matière, le culte de Lust était très puissant à Uatis. Miranda s’était rendue dans la ville où se trouvait le bastion de ce culte, une grande boutique sexuelle proposant de multiples activités, et qui était continuellement l’objet d’orgies.

Miranda s’y était rendue, et y était restée plusieurs mois, parvenant à rehausser les finances de ce club, et en était sortie... Transformée. Des propres aveux des prêtresses en place, elle aurait sans difficulté pu rejoindre le culte de Lust, et même, à terme, devenir la Grande-Prêtresse de la branche uatéene du culte lustien. Mais, au lieu de ça, elle avait choisi d’accomplir une plus grande destinée, en étant devenue une véritable bête de sexe. Rouge allait donc en faire les frais, et, si la jeune Terranide pensait pouvoir lui résister, c’est que c’était elle qui se surestimait... Ou sous-estimait Miranda.

En tout cas, la Terranide chauve-souris se mit à la provoquer, et, en guise de réponse, Miranda la gifla sèchement, tout en écartant sa fermeture Éclair, révélant son sexe. Elle approcha ensuite son propre membre, et caressa les lèvres intimes de la femme, qui recommença à la provoquer.

« Tu as décidément la langue bien pendue, toi... Mais ne t’en fais pas pour ça, je vais te prendre bine comme il faut ! »

Miranda prépara néanmoins un timer, et s’enfonça ensuite dans le con de Rouge. À cet instant, un drone se lança devant elles, et fit apparaître une projection holographique montrant un minuteur. On pouvait voir le chiffre « 10:00 » s’afficher sur l’écran, avant de défiler petit à petit. Pendant ce temps, Miranda s’enfonça profondément en Rouge, sa queue tapant rapidement contre son utérus, la rfaisant frémir. Ses doigts se crispèrent sur ses fesses, faisant délicieusement crisser sa combinaison, et elle fila en arrière, sa queue coulissant difficilement dans ce sexe étroit, avant de s’enfoncer de nouveau en avant, faisant couiner Rouge.

« Allez, ma chérie... Tu... Ha, putain, ce que tu es bonne ! »

Et Miranda la gifla sèchement, comme pour accompagner les mouvements de la jeune femme. La PDG la pénétra donc encore, respirant lourdement. Est-ce que Rouge pensait sincèrement qu’elle allait craquer ? Miranda sourit, en sentant la jeune Terranide se mettre à gémir, sa mouille ondulant le long de sa verge, et tombant petit à petit sur le sol.

« Là, là, oui... Hmmm... Lai... Liasse-toi aller, haaaa... Ouiii... !! »

Miranda la prenait encore, et les minutes défilèrent. Rouge avait une bonne allonge, et le temps filait rapidement... Mais, plus les minutes passaient, et plus Miranda accélérait. Elle sut alors qu’elle pourrait la faire jouir avant les dix minutes requises... Miranda connaissait et maîtrisait suffisamment le sexe pour sentir que Rouge allait craquer, alors... Elle s’arrêta brusquement, se bloquant, et maintint sa verge bien droite, nichée dans le corps de sa proie. Rouge se tortilla sur place, et Miranda se régala de ses hurlements, frémissant sur place.

Immobile, elle maintint cette douloureuse position pendant une bonne trentaine de secondes, jusqu’à sentir de multiples picotements traverser son phallus... Et recommença à la bourrer.

*Comme ça, on va voir, Rouge, voir de quoi tu es capable...*

Quand la petite finit par jouir, Miranda se répandit également simultanément en elle...

...Et ce au-delà du délai imparti de dix minutes, donnant ainsi à Rouge le privilège exclusif d’avoir la main sur Miranda.

Espérons qu’elle saura s’en montrer digne !

SAMARA
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Honnêtement, Samara n’avait eu aucune difficulté à adopter Sya. Elle était belle, elle était une Ange, elle était très perverse, et maîtrisait à la perfection la magie rose. Autant dire que, depuis qu’elle l’avait, les soirées de Samara s’étaient multipliées. Ses amies et invitées adoraient coucher avec elle, et, à chaque soir, Sya se faisait baiser pendant des heures, soit directement par ses invitées, soit par leurs puissantes esclaves hermaphrodites. Samara se rappelait encore de cette fois où une amie était venue avec une Terranide-minotaure. Une impressionnante femme, qui faisait plus de deux mètres de haut, et pesait plus de 200 kilos. Un véritable monstre qui avait baisé Sya à même le sol. Cette fois, l’Ange n’avait pas volé sa réputation d’Ange de la Luxure. Samara en conservait encore d’excellents souvenirs, tellement sa petite Ange s’était fait longuement baiser.

Et voilà donc où elles en étaient... Sya avait choisi de porter une combinaison très similaire à la sienne, et venait la pomper énergiquement, engloutissant son dard entre ses belles petites lèvres. Les mains de Samara se crispèrent sur ses cheveux, et elle se mit à soupirer, gémissant longuement, poussant de profonds soupirs en sentant très rapidement Sya engloutir sa verge, l’envoyant taper contre sa gorge, les testicules de l’Archimage claquant contre ses lèvres.

« Ohhhh... Hmmmm, ouuiii... Haaaa, Sya... !! »

L’intéressée se dandinait sur place, impatiente de sentir encore la queue de sa mère venir la fourrer. Elle se dandina dessus, sa bouche filant d’avant en arrière. Samara sourit alors, sans rien dire, et laissa, pendant quelques minutes, Sya glisser sur sa verge. Elle la serrait parfois au fond de sa gorge pendant de nombreuses secondes, avant de reprendre ses coups de succion, continuant à filer le long de sa queue. Les mains de Samara se crispèrent sur ses cheveux, et elle commença à l’accompagner, en remuant des hanches.

« Qu... Quelle affamée, S-Sya, haaaa... »

Mais il fallait bien admettre que sa petite Ange était terriblement excitante comme ça ! Assoiffée, affamée, insatiable... Peu importe les qualificatifs qu’on lui attribuait, elle était clairement à la hauteur de sa réputation. L’Ange de la Luxcure, véritable succube, engloutissait sa verge avec appétit, et, tandis qu’elle s’affairait, Samara déplaça sa propre queue caudale, et caressa les cuisses de la femme, sentant rapidement sa mouille, qui dégoulinait sous sa tunique, et venait imbiber sa queue.

« Oh, mais c’est que tu as soif, ma belle... Très soif, même ! »

Autant dire que tout ça ne manquait pas d’exciter profondément Samara, qui se pinça encore les lèvres, et laissa Sya sucer encore sa queue.

« Allez... C’est bon... Il est temps que je passe au plat principal, maintenant ! »

Et ça, visiblement, Sya en avait aussi très hâte ! Samara avait maintenant une verge bien tendue, mais, quand Sya se retira, elle put voir sa mère se concentrer... Cette dernière ferma les poings ainsi que les yeux, et usa de sa magie rose. Sa verge se mit à trembler sur place, la magie vibrant le long de son phallus, tandis qu’une aura rose se mit à l’entourer pendant quelques instants... Jusqu’à ce que sa queue n’enfle, grossissant à toute allure, pour finir part se découper en deux !

Une deuxième verge apparut donc, et Samara poussa un léger cri de plaisir.

« Voilà... Désolée de t’avoir fait attendre, ma petite pute, je sais comme tu es en manque... Et c’est le rôle d’une maman de satisfaire les pulsions et les soifs de sa fille, n’est-ce pas ? »

Et Samara était bien évidemment très attentionnée ! Elle se glissa donc dans le dos de Sya, et écarta légèrement sa tunique, juste assez pour pouvoir approcher ses deux membres. Les deux phallus se mirent en position, et, en souriant, Samara pénétra alors la femme, tout en fouettant son cul avec sa queue caudale.

« Han, que c’est bon ! Hmmm... !! J’a... J’adore vraiment toujours autant te baiser, ma petite pute ! »

Et autant dire que, pour le coup, Samara n’y allait vraiment pas de main morte !
RYOUKA
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Ryouka et Nika étaient comme en transe, ; baisant sèchement et furieusement Tsukasa. L’Edorassienne était vraiment incroyable. Autant dire que les trois formaient un trio redoutable, et les deux sœurs Spänje prenaient Tsukasa sans concession, et sans la ménager. Ryouka lui défonçait le cul, Nika la chatte, et, ensemble, elles la prenaient joyeusement en sandwich, avec une symbiose qui était bluffante. Régulièrement, en effet, leurs membres s’enfonçaient simultanément dans le corps de la beauté.

« Hmmmm... T’as... T’as la langue bien pendue, toi !
- Tu n’as pas idée... Hmmmmrpfff... Du nombre d’in-D’insanités qu’elle... Qu’elle peut sortir à la minute ! »

Et elles gémissaient, et elles soupiraient, sans jamais négliger le fait de baiser la femme. Prise dans tous les sens, Tsukasa hurlait et couinait, les grosses queues continuant à sévèrement la labourer. Rien ne semblait devoir refréner l’ardeur des deux femmes occupées à la prendre ainsi.

« C’est... Haaaa... C’est embêtant ça, hmmm... Tsu-Tsukasa se-serait donc... Hnnnn... Une mauvaise influence ? Pourtant... Elle est à la Cour d’Edoras, haaa...
- Et... Hmmm... Elle veut... Elle veut faire de nous ses chiennes ! Tu... Haaaa... Tu l’as entendu, h-hein ? »

Nika sourit, et mordilla le cou de Tsukasa.

« Oui... Elle est bien arrogante, hmmm... Tu penses vraiment... Nous avoir toutes les deux comme chiennes ?! »

La femme l’empêcha de répondre en l’embrassant sèchement, mordillant ses lèvres, continuant à griffer ses fesses, pendant que Ryouka, imperturbable, maltraitait encore ses seins. En attendant, la double pénétration s’étalait, durant de nombreuses minutes, mais toutes les bonnes choses avaient une faim. C’est ainsi que, dans d’énièmes soupirs, les deux femmes finirent par se relâcher mutuellement dans le corps de Tsukasa, jouissant généreusement dans son corps, avant de la relâcher.

Pour autant, elles n’avaient pas encore fini de se décharger. Ryouka se mit à côté de Nika, et les deux se regardèrent en souriant.

« Je crois que...
- Oui... Moi aussi... »

Elles se masturbèrent alors toutes les deux, chacune astiquant son membre... Et des projections de sperme supplémentaire jaillirent alors, fusant pour éclabousser le visage de Tsukasa. Chaque giclée de foutre venait recouvrir sa tête, jusqu’à dégouliner le long de ses épaules et de ses seins.

« Ah ! Là, ça fait du bien !
- Oh ça oui...
- Toujours envie de nous traiter comme tes chiennes, Tsukasa ? »

Nika la provoquait... Mais il était fort possible, en réalité, que l’idée ne la dérange pas tant que ça... En fait, c’était même tout le contraire. Nika était toujours adepte de nouvelles expériences, et, en l’occurrence, Tsukasa lui promettait bien des merveilles ! Alors... Pourquoi ne pas essayer ? Le choix revenait à la jeune blonde, qui, pour l’heure, avait été bien tartinée !

JESSICA DREW
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Une « humaine normale »? Sérieusement ?

*Elle se fout de moi, là ?*

Konata ne pouvait pas être sérieuse, pas en passant d’une forme de petite adolescente à celle de... De bombe sexuelle Terranide ! Jessica avait beau être dotée de super-pouvoirs, elle n’en était pas moins estomaquée. Qui aurait cru qu’elle puisse rencontrer, de manière totalement aléatoire, une femme similaire à elle ? Enfin... Similaire dans le sens où elle avait des pouvoirs, pas dans le sens où leurs pouvoirs étaient proches. Mais Konata lui expliqua que son pouvoir consistait en une « Otamorphose », un terme dont... Dont elle n’avait jamais entendu parler, en vrai.

Surprise, Jessica resta donc silencieuse, et écouta alors Konata lui expliquer que son pouvoir était lié aux mangas, aux jeux vidéos, aux œuvres artistiques. Les mangas existaient à Uatis, où ils venaient principalement d’Edoras, et tendaient à se développer de plus en plus dans l’État uatéen. Mais Jessica n’avait jamais entendu parler d’une héroïne de manga ressemblant à cette étonnante créature...

*D’un autre côté, je ne connais pas toutes les bandes dessinées du monde entier...*

Répondant en avance aux questions que Jessica se posait, Konata expliqua que le changement n’était pas que purement physique, mais qu’elle récupérait aussi les propriétés des personnages qu’elle copiait. Elle lui en fit la dméonstration en faisant un prodigieux salto arrière, digne des mouvements que Spider-Woman pouvait faire. Autant dire que la femme était vraiment très impressionnée, et ne cherchait nullement à le masquer. Quand Konata le remarqua, sous la forme d’une question purement rhétorique, Jessica ne put que sourire.

Pour le coup, elle en avait totalement oublié ses jeux vidéos ! Elle qui était venue là pour une soirée purement gaming commençait à se faire une nouvelle idée de ce qu’elle allait bien pouvoir faire ce soir...

« Ben... J’avoue que je ne m’y attendais pas ! Tu as vraiment un pouvoir génial, Konata ! »

Jessica lui fit un grand sourire. Certes, Konata se la jouait un peu, mais... Eh bien, qui ne l’aurait pas fait à sa place, hein ? En tout cas, elle n’avait visiblement aucune gêne à admettre ses pouvoirs face à une inconnue, ce qui était d’autant plus touchant que Jessica, elle, se sentait toujours très nerveuse à cette idée. Mais Konata, elle, prenait tout ça avec légèreté...

« Et, puisque tu as été honnête avec moi, je crois qu’il est temps que je te confie mon secret, moi aussi... »

Un sourire malicieux se dessina sur les lèvres de Konata, qui savait qu’elle allait attirer l’attention de la femme comme ça. Konata se rapprocha donc, pour savoir ce que Jessica comptait lui dire, et...

*THWIP !*

Un filament de toile s’éclata brusquement sur le visage de Konata, l’empêchant de voir, tandis que Jessica se mit à rire... Et bondit en hauteur. Le temps que Konata retire la soie (ce qui ne sera pas difficile), elle pourrait constater que Jessica n’était plus devant elle... Jusqu’à ce qu’un sifflement se fasse entendre dans son dos.

Jessica avait bondi derrière elle, et s’était agrippée au plafond, la regardant en se retenant par les pieds et les mains.

« Tu vois ? Tu n’es pas la seule à avoir des talents cachés... Moi, j’ai les pouvoirs d’une araignée ! »

Et elle le prouva en s’avançant le long du plafond, avançant une main après l’autre, jusqu’à se retrouver pile au-dessus de Konata, où Jessica se laissa alors descendre vers le bas, en se maintenant juste avec ses genoux à hauteur du plafond.

« Comment tu as obtenu tes pouvoirs, toi ? »

Quelle était la petite histoire qui se cachait derrière ? Jessica était bien évidemment très curieuse de le savoir !

MILWËN NOVAC
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Est-ce que la Celkhane réalisait seulement que, si les rivaux politiques d’Elena la voyaient à sa table, elle pourrait être vue comme une traîtresse ? Caelestis était considérée comme un État-voyou, aussi bien par Lumen que par Mijak... Uatis avait un statut un peu plus neutre, car Caelestis n’avait jamais commandité d’actes terroristes sur son sol. De fait, beaucoup de gens accusaient Caelestis d’être une arme secrète de Uatis, et prétendant, sous couvert d’idéaux fallacieux, lutter contre le développement et la prospérité des deux autres grandes nations, afin que Uatis conserve son avantage technologique. La Baronne ignorait si cette théorie était exacte, mais elle savait en tout cas que les Celkhanes venaient régulièrement à Uatis. De là à en tirer d’étonnantes conclusions, il n’y avait qu’un pas à franchir.

Tandis que Rinako amenait leurs filles à la garderie, Suki prévint qu’elle ne cherchait pas à avoir une discussion politique. Elena se contenta d’un léger sourire, et répondit rapidement :

« Je suis venue à Novac prendre quelques vacances. Même si je ne suis pas encore officiellement investie à Lumen, j’essaie autant que possible de m’imprégner de mon futur rôle... Une tâche qui n’est pas aisée, comme vous pouvez vous en douter.
- Je l’imagine sans peine, acquiesça Milwën. J’ai beau être une scientifique, je passe beaucoup trop de temps sur des paperasseries administratives, ou fiscales... D’un ennui mortel.
- Oh oui, le droit fiscal, c’est... Terrible ! »

Aussi dur à comprendre que fondamental, car l’État tirait principalement ses revenus des taux d’impositions. Autant dire que les cours particuliers qu’Elena avait reçu là-dessus avaient eu de quoi la marquer ! Fort heureusement, Milwën déléguait énormément. Elle était fondamentalement une scientifique, pas une politicienne, ni une juriste. Mais, pour autant, il était bel et bien nécessaire d’avoir des connaissances juridiques en la matière, ne serait-ce que pour voter le budget, et assurer une politique sociale, a fortiori dans un pays qui connaissait régulièrement des manifestations et des soulèvements.

Enfin, fort heureusement, Novac était un pays qui engrangeait les bénéfices. Un État géré par une mentalité privée, où il fallait faire des bénéfices, en privatisant autant que possible, quitte à creuser la fracture sociale. Novac arrivait même à dégager des excédents budgétaires, c’est donc dire à quel point l’économie se portait bien ! Comme ça, Milwën pouvait investir davantage dans la recherche, en diminuant les taux d’impositions. Mais Lumen n’était clairement pas dans la même situation.

Elena se retourna ensuite vers Suki, visiblement soucieuse, elle aussi, d’éviter les sujets qui fâchent.

« En tout cas, Suki, vous avez beaucoup de chance d’avoir des filles. Je ne peux que vous conseiller de prendre soin d’elles, et de continuer à les aimer, elles sont adorables ! »

Milwën sourit, et, après quelques instants, reprit :

« Alors, que comptez-vous voir à Novac, Suki ? »

LAURA KINNEY
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Laura et Magie avaient débarqué au milieu d’une étrange convention de ninjas sadomasochistes, tant de sexe masculin que de sexe féminin. Et, au milieu de la bataille, une femme en rouge débarqua, avec une odeur très particulière, qui ressemblait à celle des ninjas... Mais, et alors qu’elle venait de se présenter, un ninja-démon fonça sur elle, l’attaquant dans son dos en lançant des shurikens. Rayne bondit alors en arrière, à l’aide d’une prodigieuse roulade, posa ses mains sur le sol, et frappa la tête du ninja avec le bout tranchant de son talon aiguille, faisant crisser son casque en fer noir. Le ninja en fut repoussé, et une femme attaqua alors Rayne sur le côté, avec une épée... Qui se heurta aux lames de la vampire aux cheveux rouges.

« Restez pas plantées là, les filles ! » s’énerva alors la vampire

Le combat se poursuivit donc au milieu du parc, Laura grognant en déployant ses griffes. Ils étaient doués, c’était indéniable... Mais elle était meilleure, en plus de disposer de son pratique facteur autoguérissant. Ses griffes tranchèrent une jambe, et elle planta ensuite ses mains dans le ventre d’un tueur, répandant son sang sur le sol. Le combat devint peu à peu très sale, surtout avec la mystérieuse Rayne, qui, non contente d’être une duelliste redoutable, rapide et brutale, se montrait aussi particulièrement cruelle. C’est ainsi qu’elle décapita un ninja, avant de lancer son grappin, le plantant dans le dos d’une tueuse qui s’en prenait à Magie, et la cloua au sol, avant de bondir vers elle, et de lui arracher les deux bras avec ses lames, en les faisant remonter du bas vers le haut, pour trancher ensuite ses jambes, laissant un tronc sanguinolent.

De son côté, Laura courut vers un ninja, et bondit sur le sol, glissant à terre. Elle frappa avec ses griffes en glissant, découpant partiellement les jambes, se releva, se retourna, et bondit sur sa proie, transperçant son dos de ses griffes en grognant, feulant comme une bête sauvage, faisant encore verser du sang sur la pelouse. Les ninjas étaient têtus, mais, face à ce trio redoutable, même eux durent se calmer.

Rayne, en tout cas, faisait preuve de raffinement de cruauté assez redoutable, allant jusqu’à arracher un bras, puis à l’utiliser comme un projectile avec son grappin, frappant un visage avec, avant de fondre encore sur ses proies. Elle termina en s’attaquant à une ninja, et bondit par-dessus elle. Avant que son adversaire ne puisse se retourner, les crocs de Rayne se plantèrent dans son cou, et elle absorba son sang. La ninja se débattit vainement, claquant des dents dans le vide en gesticulant sur place, avant de se liquéfier peu à peu... Puis s’effondra sur le sol.

Les pupilles de Rayne s’embuèrent de rouge pendant quelques secondes, puis elle soupira de plaisir, et s’avança vers les deux mutantes, au milieu du carnage.

« Ah, ces salopes ont vraiment un sang onctueux ! »

Rayne les regarda ensuite toutes les deux.

« Encore en vie, les gamines ? Pas mal... Toi, tu es une magicienne, fit-elle en regardant Magie. Et toi... Tes griffes me rappellent quelqu’un... Plus gros et plus poilu. »

Laura haussa imperceptiblement les sourcils. Était-elle surprise d’apprendre que Wolverine et cette femme aient pu, à un moment de leur longue existence mutuelle, œuvrer ensemble ? Pas vraiment...

« On vous a demandé ce qui se passait ici.
- Ces ninjas que nous avons joyeusement éviscéré appartiennent à un groupe très particulier. Ils vous ont attaqué parce que, non seulement vous les suiviez, mais vous n’avez pas le sang d’humaines normales. Ils vous ont pris pour une menace... Et ils sont sur les nerfs à cause de moi.
- Quel groupe ?
- Eh bien, il est à proprement parler faux de les qualifier de ‘‘ninjas’’, car ils viennent d’une école chinoise. Une société secrète qui avait historiquement pour but de fournir des assassins et des tueurs aux plus offrants. J’ignore tous les détails, mais l’école a peu à peu sombré dans la magie noire et dans le vampirisme, et a rejoint l’empire d’un très puissant seigneur vampirique terrien, Kagan.
- Ah... Alors, ce sont... ?
- Ses troupes spéciales, des vampires formés aux arts martiaux chinois. L’école est dirigée par la fille de Kagan, Ephemera... Et je les traque pour les tuer.
- Qu’est-ce qu’ils viennent faire ici ? »

Rayne n’en savait rien, mais espérait bien le découvrir.

« Je vous proposerais bien de retourner chez vous, mais quelque chose me dit que je risque d’avoir besoin de vous deux. J’ai tenté d’attaquer Kagan sur son yacht, mais j’ai bien failli mourir. Et ce yacht se trouve au port privé de Wonderland, de l’autre côté de l’île. Cependant... Ils savent que nous arrivons. »

Laura sourit alors, tout en caressant ses griffes entre elles.

« Alors... Ne les faisons pas attendre ! »
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Hinata Kaguya »

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Hinata Kaguya
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Hinata
Comment elle pourrait réussir ça ? Shunya lui demandait l'impossible ! Ne pas la complimenter autant, c'est comme lui demander de moins respirer, elle n'y arrivera pas et si elle essaie, elle va pas se sentir bien ! Mais si Hinata écoutait tous les conseils de sa femme, du plus futile au plus important, il y avait certaines choses où elle avait encore le dernier mot, comme pour ça ! Elle en gloussait presque en écoutant la « plainte » de sa femme.

« Désolé madame Kaguya mais je refuse de vous écouter ! Te dire la vérité fait partie de mes devoirs en t'acceptant comme femme alors tu vas devoir subir ça, tout les jours, pour toujours. »

Ce fut son tour de lui baiser la joue. Suivant le chemin vers la plage, elles retiraient leur chaussure pour marcher bien nue sur le sable, ensemble, main dans la main. Nora était là, derrière elles à quelques mètres pour veiller sur leur sécurité tout en leur laissant un peu d'intimité. C'était romantique cette petite balade, dommage qu'il ne fasse pas un peu plus clair, un coucher de soleil aurait été parfait mais la nuit étoilée, une petite lumière de la part de la lune, c'était tout aussi agréable. Et ce genre d'ambiance, Hinata ne voyait pas clairement ce qui se passait mais ses formes qui s'enlaçait ici et là, c'était des couples, comme elles, qui savouraient la vie. Shunya partageait à son tour un petit compliment romantique qui faisait sourire sa femme avant de venir l'embrasser, sentant ses mains sur son corps, sur des parties plus douces et tendre.

« Huuuum... »

C'était délicieux et si doux dans son dos. C'était excitant aussi de le faire dans ce coin mais... il y avait toujours mieux. La reine rompait baiser en gardant le bout de son nez se frotter sur celui de sa femme.

« Ma chérie, c'est quoi qui t'inspire autant ? Le changement d'air, le fait de porter une vraie robe pour une fois ou le fait que désormais, ce sera ton tour de prendre les rênes pour m'enfanter ? »

Pour cette soirée, Hinata avait délaissé ses kimonos et yukata pour une vraie robe de soirée, se faisant belle pour sa femme, autant dire que la soirée était parfaite ! La seule chose qui aurait rendu cette soirée meilleure, ça aurait été que Shunya soit enceinte depuis plus longtemps mais la savoir enceinte était déjà la plus belle annonce de leur voyage de noces. La reine passait ses bras autour d'elle, nouant ses derniers autour de son cou, gardant un sourire si tendre.

« Désormais, dans notre lit, il n'y aura plus que toi pour faire ce qui te plaira ma chérie. Je veux prendre toutes les positions, jouer tout tes fantasmes et tes envies, du plus étrange au plus difficile, si cela me permet de porter ton bébé, je serais prête à tout. »

Il faut dire que depuis le début, Hinata menait un peu la danse, étant la reine, certes mais aussi étant la membrée des soirées, désormais ce rôle reviendra à sa femme et leur but sera de quitter Novac avec un bébé en formation dans son ventre. Cela avait réussi le soir de leur mariage, pourquoi pas durant leur voyage de noces ? Nora était là, loin, sachant ce qui se passait sans pour autant passer pour un voyeur, au contraire même, elle empêchait les gens de venir déranger les amoureuses. La reine approchait sa bouche de son oreille, venant lui souffler quelques mots.

« Que veux-tu que je te fasse, là, maintenant ? »

Soit elle agit sur Shunya, soit sa femme agit sur elle, dorénavant, Shunya menait toutes les danses jusqu'à ce que le bébé soit dans son ventre. C'est aussi ça le mariage, question d'égalité.
Tessou
Dans le genre mère poule, Tessou était une championne ! C'était après tout son dernier souvenir qui la raccrochait à l'être qu'elle avait tant aimé, le fruit de leur amour. Leur petite Kyoko grandissait si vite, elle avait déjà presque un an. Un an de joie et de solitude pour cette femme courageuse qui en si peu de temps avait vécu bien des choses. La voilà aujourd'hui sur un autre monde, se préparant à aller dans un beau restaurant. Elle confia sa fille aux soins de Kara le temps de se changer. Seule dans son coin, elle commanda via une sorte de tablette reliée à l'accueil une robe de soirée, longue car elle ne voulait pas montrer ses jambes, quelque chose qui ne fasse pas aguicheuse ou... étrange ? Elle n'avait pas trouvé la robe qu'elle imaginait mais une s'en rapprochait, un poil trop long, elle aurait préféré une couleur plus foncée mais ça ira.

Elle le commanda et arriva directement dans un compartiment, comme dans ce genre d'hôtel ou le déjeuner pouvait arriver dans un petit ascenseur, ce fut pareil ici. Elle enfila la robe, se trouvant un peu étrange quand même... Ce n'était pas à cause du tissu ou autre mais la jeune femme n'était pas du genre à porter ce genre de robe. Sa tenue de travail était un uniforme, même chez elle, c'était très rare de la voir en robe, plus souvent en pantalon. Alors là... ça allait la changer. Elle retourna auprès de Kara et de sa fille, gênée par la robe, elle n'osait même pas regarder la jeune femme dans les yeux, observant plutôt ses pieds, osant à peine regarder sa fille, mais pas plus haut.

« A-Alors ? »

C'était sûrement un peu trop ? Elle s'avançait doucement en allant vers les deux femmes de sa vie, remontant enfin le regard vers la super blonde qui l'accompagnait pour ses vacances.

« Tu sais, je ne suis pas habituée à porter ce genre de chose alors... »

Alors rien, elle ne continuait pas, sa gêne disait clairement qu'elle n'avait pas l'habitude et qu'elle trouvait ça un peu honteux. Honte de quoi ? Mais de rien, elle était comme ça Tessou, elle se faisait des soucis pour rien, même quand ça ne concerne pas sa fille, elle arrive à se gêner toute seule.

« Tu ne penses pas que je devrais prendre quelque chose de moins long, de plus discret ? »

Se mettre en avant, voilà ce qui la gênait en vérité. Elle ne voulait pas être remarqué, juste être avec sa fille et son amie et dîner sans le moindre souci. Mais après quelques mots de la jeune femme, elle préférait ne pas perdre de temps plus encore et gardait donc cette robe. Gardant Kyoko dans les bras, elle se demandait si elles allaient croiser ce jeune couple dont cette Hinata était tombée sous le charme de sa fille ? Non, sinon le monde est petit. Elle avait encore un peu de mal à être habitué dans ce monde, certes, ce n'était pas si différent – à part qu'elle se croyait dans un film de science-fiction – mais voir autant de couple lesbiennes, dont certaines ne se privaient pas de montrer qui des deux dominaient, même sans avoir de collier de chien autour du cou, leur couple était très facilement visible, le regard dur pour l'une, l'autre aurait presque agiter la queue devant un tel comportement.

Une fois arrivée devant le restaurant, Kara se chargeait de la réservation, de la table, bref, de tout. Mais avant de laisser sa fille, elle l'embrassa en n'oubliant pas de préciser une chose.

« S'il y a le moindre souci, n'hésitez pas à venir me chercher d'accord, peu importe, vous ne me démangerez pas. »

Elle ne pensait pas à mal en disant cela, elle était juste, comme toujours trop inquiète. Elle ne s'en faisait pas quand elle confiait sa fille à sa famille, elle avait confiance et les connaissaient bien mais là, c'est des inconnues avec des enfants d'un autre monde, avec sûrement d'autres manières de jouer. Bref, c'était Tessou.
Karistal / Blanche & Noire
Dans la chambre des jumelles, c'était un vrai délice qui se passait, une neko était en train de faire l'amour à ses maîtresses, en les traitants d'esclaves. Ce n'était pas rares, les Karistal aimaient chouchouter leur neko alors une perle rare comme Luna méritait ce qu'il y avait de mieux. Yuko et Yuka avaient prévu de jouer à ça un bon moment avec Luna, cette petite chatte méritait ce qu'il y avait de mieux bien qu'elles ignoraient ce que leur garde du corps avait prévue pour elles. Yuko obéissait à Luna, pinçant les tétons de sa sœur en l'insultant. Dieu sait que Yuka devait être aux anges ! Mais en voyant l'arrivé d'Alice, Yuko mis son rôle d'esclave sur pause, laissant tout le loisir à Luna de s'occuper de sa maîtresse esclave.

En l'embrassant, Yuko était si heureuse de retrouver « sa grande sœur », une belle surprise de la part de leurs usagis.

« Mes petites lapines ont pensé bien faire en me cachant ça, elles ont eut raison. »

Les deux lapines en questions étaient autour de Luna et Yuka, d'ordinaire, ce sont elles aussi qui prennent Luna alors la voir membrée et dominante, ça avait un petit côté excitant ! D'autant plus que leur maîtresse Yuka semblait adorée !

« Oh bah oui ! Moi, je m'occupe de ce petit téton et toi Noire, tu prends le deuxième ? »

La lapine semblait d'accord, aidant la neko a faire couiner leur maîtresse. C'est Yuka qui était comblée, trois esclaves en guise de maîtresses ! Alice semblait déjà avoir des projets avant d'être enlevée par ses gardes du corps, elle continuait d'agripper son bras mais accepta de l'aider, d'autant plus que ça venait de Mélinda, alors elle se demandait à quoi ça pouvait bien ressembler ? Partageant dans la salle de bain un baiser avec sa sœur, elle la caressait alors que cette dernière voulait emmener Yuko voir Mélinda, avec Yuka aussi sûrement ?

« Mélinda est aussi là ? Il me semblait avoir croisé un ou deux visage famillier mais je pensais que c'était que mon imagination ? Va donc falloir que je me change et que je tire Yuka ? Bah, d'ici là Luna l'aura rempli et elle aura les lapines pour jouer les maîtresses, ça devrait aller. »

Sa soirée avec leur petit Luna sera remise à demain, là, il y avait Mélinda a saluer, elle était leur patronne mais aussi leur amie. Alice avait après tout une robe particulière a enfiler, du moins, des dessous peu commun. Yuko en gloussait, faisant caresser la corde et ses mains sur le corps d'Alice en répondant à Alice, ce genre de pratique, elle n'avait pas besoin de se concentrer pour la pratiquer.

« Hum oui, j'attends de les revoir, bientôt j'espère. Moi et Yuka, on est toujours impatiente de leurs visites et j'espère faire bientôt ma demande. Le mariage de Mélinda et de Vanilla m'a donné envie de m'unir à ma neko d'amour. Sans l'effet orgie je pense. À la limite, si elles sont d'accord, on ferra ça entre sœurs... »

C'était une idée comme une autre mais sûrement les deux couples préféraient faire l'amour uniquement à leurs femmes et non à leurs sœurs ou belle-soeur

« Quant au second harem de Mélinda, ça va aussi. Le nôtre est plus spécialisé vers les terranides et furry, on a trouvé notre clientèle, on attire les curieux mais nul doute qu'en hiver, ça va mieux marcher. Il y a rien de mieux que dormir entre les bras d'une belle nekos à grosse fourrure pour se sentir bien au chaud, kuhuhu ! »

C'était pas forcément dit avec une arrière-pensée. Lors des nuits froides, on se laissait volontiers blottir contre ses bras pour se perdre dans leur longs poil, leur épaisse fourrure si douce, si caline. Alice parlait aussi de son homme, de sa mentor et de sa nouvelle vie. Tout allait bien dans le meilleur des mondes. Une fois terminée, Alice était si belle dans cette tenue que Yuko aurait presque envie de s'amuser un peu mais elle laissait cela à Mélinda ou une autre, elle n'allait pas déjà tout défaire. Alice remit ses vêtements par-dessus, une jolie tenue mais elle aurait sûrement préférer la voir dans une autre robe.

« Tu es foutrement sexy si c'est ce que tu veux entendre. Bon, allons me trouver quelque chose à me mettre sur le dos, je compte garder ça comme dessous cela dit. »

Cela lui allait bien alors pourquoi en changer ? Sortant de la salle de bain, la situation avait quelque peu changer, le sexe était toujours au rendez-vous mais Luna était en train de recevoir une gorge profonde de Yuka, qui se faisait prendre par Noire qui, elle léchait le minou de Blanche. Dans le rôle de soumise, Yuka avait trouvé son bonheur ! Yuko se rapprocha de Luna, baisant sa petite chatte sur la joue en lui caressant les cheveux, son rôle d'esclave se terminait ici pour ce soir, elle avait certaines obligations après tout.

« Ma poupée, Maîtresse doit aller voir Mélinda, tu resteras sage ici ? Si tu veux, tu peux garder Yuka et tes copines ici, tu restes la maîtresse jusqu'à mon retour, d'accord ? »

Mais si elle voulait suivre Yuko ou libérer Yuka, elle ne lui dira pas non, il fallait juste s'habiller pour rejoindre la vampire. Yuko allait donc voir ses affaires en attendant pour trouver la bonne tenue, elle en trouva une bonne, rouge comme sa tenue, donc ça passera ! Ses dessous seront en partie cachés comme ça. Yuko enfila sa robe sans se gêner, sa sœur, ses gardes du corps, et Luna avaient l'habitude de la voire nue, s'habiller ou se déshabiller.

« Qu'est-ce que Mélinda a prévu pour nous du coup ? Un petit dîner, une petite sauterie ? »

Autre chose ? Allez savoir, cette vampire avait de folles envies !
Harmony & Ai
Après une bonne sieste pour récupérer de leur journée à la plage, Harmony avait dormi comme un bébé, Ai aussi mais comme un bébé qui aurait eu une fuite au lit, pas le genre fuite habituelle, le genre de fuite fait durant un rêve très érotique. Que voulez-vous, elle aimait tant dormir avec des femmes avec elle. Mais une fois propre, elle avait pris une bonne douche avant d'enfiler la tenue que Mélinda lui avait donné, si ravissant, elle adorait la porter autant que s'observer dans le miroir sous toutes ses formes. Élégant, raffiné, sexy, il y avait même une petite fente pour son minou lui permettant de coucher sans retirer sa culotte mais aussi pour laisser sa queue à l'air libre. Parfait donc !

Si la petite futa était condamné à observer, ça ne la dérangeait pas, elle aimait le voyeurisme alors voir sa maîtresse et sa femme s'embrasser et commencer à jouer ensemble était un vrai plaisir ! Certes, elle préférait jouer avec elles ou Harmony mais cette dernière traînait un peu la jambe. Non pas qu'elle soit du genre à être lente à son réveil mais Mélinda – surtout Vanilla – lui avait donné un ordre difficile a réussir pour elle. Ayant reçu l'ordre de l'aider, Ai en aurait presque couru pour l'aider mais elle devait prendre son temps – comme si la venue d'Ai allait faire sortir Harmony en deux secondes – laissant un peu d'intimité à ses maîtresses.

« A vos ordres, Maîtresses. »

Allant dans la salle de bain, comme elle l'aurait parier, elle trouva Harmony caché derrière une serviette, face au cadeau de Vanilla, elle était comme une poule devant un couteau, ne sachant pas quoi en faire. Son regard indiquait qu'elle avait une vague idée de ce qu'était cette chose mais ça ne collait pas à la servante. Si elle aurait porté une tenue comme Ai, elle aurait déjà eut du mal à sortir alors une telle chose !

« Comment je peux mettre une telle chose ?! »
« Je vais t'aider, ce n'est p... »
« Mais non ! Je-jejejejeje... C'est im-possible ! »
« Du calme... tu sais bien que ce sont les ordres de nos maîtresses... »
« Oui mais... pourquoi ça ? Pourquoi moi ? »
« Maîtresse Vanilla a un petit faible pour toi je pense. Puis je suis sûre que tu seras ravissante dedans. »
« Mais... ça ne cache rien. Juste quelques bandes pour couvrir mon corps ? Je ne comprends pas le terme... sexy dedans ? »
« Tous les goûts sont dans la nature, Harmony-chan. Moi je suis sûre que tu seras parfaite. Puis Maîtresse Vanilla n'est pas méchante tu sais donc tu n'a rien a craindre. »


Elle le savait bien, c'était cette dernière, sous les yeux de Mélinda qui l'avait défleuré, en douceur, c'était ce qu'elle avait promis en cas de réussite et maintenant qu'elle avait son corps, elle avait tenue parole.

« Enfile le, Harmony-chan, tu n'as rien a craindre, on restera entre nous avec nos Maîtresses, ce n'est pas comme si elle voulait te balader dans l'hôtel comme ça. »
« C'est vrai mais... »
« Chuuuut. Si elle le propose, je lui demanderais d'échanger nos places, d'accord ? Tu sais bien qu'elles ne feront pas quelque chose d'aussi dégradant. »
« Merci Ai... »


La petite futa aida la demoiselle en détresse, ayant passé cinq bonnes minutes enfermées ici, Ai ouvra enfin la porte en tenant Harmony par sa laisser, cette dernière était plutôt caché derrière sa petite copine futa, une fois face au lit, elle lui fit discrétement signe, voulant lui faire dire ce qu'elle conseilé de dire. La demoiselle s'avança doucement devant le lit, faisant face aux deux vampires à queues.

« M-me v-v-voici à v-vous, m-m-m-mes Maîtresses... »

Oui, la timidité était toujours au rendez-vous pour Harmony dans ce genre de situation, toujours en fuyant le regard de ses maîtresses, un de ses yeux comme souvent caché. Mélinda lui avait déjà fait remarqué qu'elle était mignonne avec mais pour elle, c'était mécanique, comme une personne aurait toujours ses lunettes sur le nez, elle, c'était son cache œil. Même si avec ses bras, elle tentait de cacher encore son corps, face aux deux vampires, ça n'allait pas durer. Mine de rien, Harmony était la seule ici qui ne possédait pas de queue... elle était une proie idéal pour ses trois-là. Mais c'était surtout les vampires qui allaient se régaler, de bien des façons.
Kiriko
La sorcière était une pièce, elle avait deux faces. La première qu'elle affichait aux yeux de tous, c'était celle de cette sorcière peu à l'aise avec la magie mais qui excellait dans le maniement du katana, remportant pour sa déesse les jeux de Walundrill, fière, froide et aussi sexy que sa tenue était moulante, il n'y avait qu'une personne à qui elle montrait du respect, Sha. Et cette seconde face était réservée à Sha car dés qu'elle était en privé avec elle, elle était aussi docile qu'un petit chiot, laissant Sha faire ce qu'elle voulait d'elle et de son corps, la fière guerrière n'était plus qu'une femme amoureuse de sa déesse à qui elle ne refusait rien. Elle pouvait être prise par Sha et ses clones, ses tentacules ou tout autre objets, elle disait un grand oui. Et de bout à bout, la voilà sa femme. Ce titre n'était que bon pour les papiers car ce n'est pas ça qui allait coincer Sha dans son lit avec Kiriko, la déesse a de multiples amantes et elle couche avec sans se cacher, que ce soit sa rivale Açoka ou une autre déesse, Kiriko s'en fichait. Elle s'en fichait car elle était sa femme, personne d'autre n'avait ce titre et de deux, elle était la première a avoir porté les enfants de Sha – dans cette génération du moins car Kiriko et Sha ont une trèèèèès longue histoire d'amour.

Mais si Kiriko portait déjà Arya en elle, la déesse n'avait pas encore de petite Aby en elle, car oui, déjà les filles savaient comment leur petite sorcière se nommerait. Kiriko les a si bien imaginées dans ses rêves, cette belle petite Arya à la peau caramel, le comportement si fière de Kiriko et son talent en magie de Sha et sa petite Aby, une belle petite blonde très gentille et très douce, un peu moins à l'aise avec la magie mais avec du potentiel. Ha, elle aimait ce genre de rêve si réel... Bref, si le portait de famille était presque prêt, elle devait encore en faire de même pour Sha afin que les deux amantes soient toutes les deux enceintes ! Avec son membre, un cadeau de sa « fille » - celle de Misha mais ce fut une ancienne Kiriko, soit une ancienne femme de Sha – elle pouvait devenir une futanari sans l'aide de sa propre magie ou de la technologie de Tékhos.

Dans leur petite pause entre deux orgasmes, la belle déesse comblée confia jouer parfois les servantes pour mieux tromper Kiriko et se faire pour par cette dernière. Kiriko avait du mal à gifler la fesse de Sha, ne serait-ce que l'insulter un peu mais les autres, pas de soucis. Alors savoir que sans le savoir, elle a pris Sha de force en se montrant dominante, elle n'en était pas désolé mais n'a pas aimé se faire tromper de la sorte. Mais elle n'était pas en colère, elle boudait comme une femme à qui sa copine ui aurait fait une petite blague.

« Quoi ? Mais ta pas le droit de faire ça ! Moi je veux juste être la plus amoureuse et la plus juste envers toi. Je dois te traitée avec amour, pas comme une de ses petites putes qui roule du cul au temple. »

Ha oui, en remportant les jeux, en plus d'être sa femme, de porter son bébé, la récompense initial était de devenir son bras droit, son garde du corps attitré ! Alors elle pouvait traiter les autres comme de la merde, elle avait le droit. De toute façon, en réalité la Celkhane n'était pas méchante ou jalouse, elle aimait juste étaler son talent et se vanter un peu. Jamais elle ne traiterais les autres comme des esclaves par exemple, si elle le faisait, c'est qu'elle savait que la prêtresse en question aimait ça, ou parce que c'était Açoka. Elle et Kiriko, c'est comme chien un chat, impossible que les deux s'entendent un jour ! Même malgré ce drôle de rêve ou Kiriko avait porté son enfant, pour agrandir la famille de Sha. Pff, un bébé entre Kiriko et Açoka, pourquoi pas une lune/soleil pour qu'il fasse jour/nuit en même temps ! Sauf que pour en revenir à nos moutons, plus Kiriko sera dominante envers Sha et plus elle aura de chance de tomber enceinte, c'est cruel comme dilemme. Elle qui a du mal à se montrer un peu dominante avec Sha, la voilà piégée...

« Chérie, tu sais bien que te dominer, c'est pas là où je suis le plus efficace... Mais si c'est ce qui faut pour qu'Abby grandisse en toi... »

Qu'allait donc faire la sorcière pour dominer sa déesse ? Elle était prise au dépourvu.... Elles auront sûrement besoin de se lever pour ça. Elle invita donc sa déesse à se lever, la prenant par la main comme pour se diriger vers la salle de bain, une soudaine envie de jouer les dominantes sous l'eau ? Pas vraiment car elle se retournant pour prendre Sha contre le mur, cette dernière adossée dessus, elle se pressa contre son corps pour un baiser endiablé. C'était un bon début, loin d'être très dominante mais c'était pas mal.

« Je pense qu'il est temps de te rendre la pareille avec tout ce que tu as pu me faire depuis que je te sert... »

Elle n'allait pas recopier mais s'en inspirer. Elle plongea sa tête dans ses seins, en pressant un avec une main, n'hésitant pas à surtout user de deux doigts pour mieux pincer la petite zone rose de sa poitrine, tandis que sa bouche absorbait cette même zone à côté. Sa langue frottait son petit bout, ses dents venaient le pincer même si rien ne sortait. Elle ne l'avait pas demandé en même temps.

« J'ai beau y avoir droit tout les jours, je peux pas me lasser de ton corps. »

En même temps, son corps était divin ! Kiriko délaissa un peu cette zone, ce n'était pas le principal, elle usa de ses mains pour soulever ses cuisses pour empaler sa queue en elle, avant de pouvoir la porter avec ses mains, pressant son délicieux petit cul.

« Hum, là, c'est déjà mieux. »

D'un grand coup de butoir, elle ouvrait la danse, commençant à prendre Sha, la cognant ainsi contre le mur pendant qu'elle pressait ses fesses, de façon à ce que ses ongles griffent ce délicieux petit cul. Encore une fois, ce n'était qu'un début mais la domination de Sha n'était pas dans ses habitudes alors laissons lui de la marge. Elle gifla l'une de ses deux fesses, une bonne claque qui avait retentit dans la chambre, faut avouer qu'elle avait aimé... mais elle avait toujours peur de dépasser ses limites avec Sha. C'était sa femme et déesse, pas une des prêtresses du temple. Elle avait même hésité à s'excuser sur le coup...

« Ca ne fait que commencer, ha... mhh... ma petite.... pute. »

Avait-elle été trop loin ? Espérons que non... Ce n'était pas son genre mais mieux vaut laisser à Kiriko le temps de s'habituer, dominer Sha, c'était si rare pour elle...
Neferia
Au final, sa destination, elle verra. Sylvandell semblait la meilleure option mais Neferia aimait aussi son propre avis. Crystal avait de bonnes idées, souvent très juste, la jeune dragonne souffrait d'une bonne dose d'arrogance et d'égocentrisme qui faisait qu'elle aimait aussi son avis, quand cela pouvait être une bonne idée. Mais la jeune Dovakiin se sentait d'humeur un peu plus... intime, elle invita donc la dragonne a voir l'honneur de caresser ses jambes. Oui, ce n'était pas le genre de chose qu'elle proposait à n'importe qui. Un tel honneur devait se mériter et souvent, Crystal avait cet honneur. Neferia s'allongea sur le lit, observant la dragonne passer ses mains sur ses jambes, doucement, avec précaution et même avec un presque amour. Oui, nul n'abîmait les jambes de Neferia sans subir sa colère.

« Hum, pour que ce soit régulièrement, elles seront triées sur le volet. Mais oui, j'ai déjà songé à ce genre de récompense. »

Que vaut les félicitations et les titres, un tel honneur était au sommet des récompenses ! Crystal descendait ses mains, venant même sur ses pieds qu'elle caressait doucement. Ça chatouillait un peu mais Neferia n'était pas spécialement une fétichiste du pied, quand ils sont propres, peut-être mais vu la journée qu'elle a eut, ce n'était pas spécialement le cas.

« Non, laisse-les. Concentre-toi sur mes jambes s'il te plaît. Puis, je te laisse décider ce qui te ferait le plus plaisir. »

De douces caresses, de délicieux coups de langue, qu'importe, c'était une grande récompense pour Crystal. Neferia avait toujours son maillot de bain sur elle, vu qu'elle avait boudé en ayant ce petit coup de blues après le départ de la dragonne, elle ne s'était pas changée. Elle laissait la dragonne choisir ce qu'elle préférait, savourant chaque caresse, gémissant très faiblement. Quand cela fut suffisant pour la motiver un peu, elle se redressa, délaissant ses jambes pour grimper sur les cuisses de Crystal, venant l'embrasser en douceur, même timidement. Elle fermait les yeux, pressant ses lèvres contre les siennes, caressant l'une de ses joues du bout des doigts, cherchant elle aussi un délicieux baiser et une tendre étreinte. Neferia n'était pas timide, sauf sur ça, c'est quelque chose qu'elle ne maîtrisait pas et un univers où elle avançait prudemment. Parfois c'était Crystal qui venait la chercher après ses caresses, parfois Neferia voulait bien prendre les devants. Plus rare mais de plus en plus commun. Doucement, mais surement.
Harley Quinn
L'arlequin qui portait la culotte, c'était plutôt rare. En général, Ivy ne lui laissait pas le choix, elle dirigeait et si Harley se plaignait, ses plantes savaient la maintenir sous son emprise. Mais se voir ainsi, dominante, hum pourquoi pas ? Il est vrai que cette queue apportait bien des avantages après tout alors ce serait bête de passer à coter. Puis mener Pamy par le bout du nez était aussi un petit jeu bien plaisant ! Puis plutôt que juste dire, je suis la maîtresse, voilà ma queue, elle voulait la faire languir un petit peu, voir à quel point sa belle plante pouvait être une vraie petite cochonne. C'était encore mieux de la voir face à sa queue en s'insultant de perverse ! Bon, Harley aussi était plus ou moins passé par ça donc ça ne change pas grand-chose mais la rareté de voir Pamela à ce rôle, c'était tellement bon !

« Huuuum... Je trouve qu'il manque un truc mais je sais pas quoi... »

Harley hésitait, remuait doucement ses jambes pendant que sa queue se baladait sous son nez comme un pendule, il ne manquait rien – à la limite un collier de chien mais elle n'en avait pas sous la main – et elle la faisait juste languir. Et quand arriva enfin la bonne volonté d'Harley, elle souriait en enfonçant sa queue dans la bouche de Pamela, soupirant de plaisir.

« Haaaa c'est ça qui manquait huuuum ! »

Une délicieuse petite bouche pour lui bouffer la queue, y a que ça de vrai ! Une de ses mains était posé sur sa tête, laissant son corps lui faire sentir ses vas et viens, enfonçant sa queue toujours plus loin dans sa gorge, sentant les délicieuses parois humide autour du bout de sa queue. D'autant plus que le petit clown ne ménageait pas ses efforts et enfonça sa queue toujours plus loin, toujours plus fort et plus vite.

« Hoooooo doucement ma belle ! Ha, tu vas m'avaler la queue ! Et moi, hum, je vais t'étouffer dans mon foutre ! »

Une belle mort... Elle n'oserait pas aller jusque-là, même folle, elle ne ferait pas de mal à sa petite Pamy chérie. Sous les coups puissants d'Harley, elle y allait parfois plus doucement en faisant de lente et savoureuses gorge profonde, prenant un pied incroyable !

« Han je vais te remplir ma chérie !!! Oh oui ma petite Pamy, tu vas être fourré touuuuute la nuiiiiiit haaaaa ! La bouche, le cul, la chatte !!! Han ouais tu vas adorer ma putain !!! Je vais tellement te butiner que je vais te coller une mini-moi dans le ventre ! »

Une petite Harley ? Ce serait chou mais difficile à éduquer. Bien entendu, cela n'était dit que dans le feu de l'action, quand bien même elle avait une queue et que ce monde avait bien des lesbiennes qui s'affichaient, elle pensait que comme sur Terre, pour avoir un gosse, il devait quand même y avoir un homme entre elles, au moins pour planter la graine. Puis de toute façon, elle ne pensait pas ce qu'elle disait, c'était juste pour s'amuser ses vacances, pas question de fonder une famille aussi bio que timbrer ! Une Harley Ivy, ça ferait une drôle de gosse... Mais passons, à force de lui ramoner la bouche, Harley sentait la moutarde lui monter au nez et il était grand temps de voir si Pamela préférait avaler ou cracher ?
Aoki
Cela faisait un bon moment qu'Aoki avait eu l'idée de cette combinaison mais elle n'avait jamais eu vraiment l'occasion de la sortir. C'était une chose unique, pas le genre de chose que l'on sortirait comme de la lingerie acheter en magasin. Là, c'était unique ! Il fallait que ce soit du latex pour bien mouler son corps et ce, à la perfection ! Mais il fallait aussi que l'extérieur soit aussi doux qu'un véritable chat, sans en arriver là, jamais elle ne cautionnerais quelque chose fait en peau d'animaux. Une belle fourrure, d'accord, en peau d'animaux, hors de question ! Et même si ça viendrait de Félicia ou de n'importe qui. Elle est de celles qui protègent les animaux, à poil, à plume ou à écaille. Bref, jouant les chattes géantes, elle venait se frotter à Félicia, sachant déjà que sa tenue en excitait une et ce, au plus haut point !

Félicia la caressait doucement, se collant de plus en plus contre elle, elle sentait surtout cette énorme queue qui se pressait contre elle et bientôt, en elle. Sa tenue avait deux petits trous, assez grand pour y glisser ou en sortir quelque chose mais pas trop gros pour gâcher sa tenue. Autant dire que sa petite copine avait trouver un de ses trous en y enfonçant son mandrin sans hésitation.

« Haaam... »

Voilà, ça commençait déjà à être si bon, cette queue en elle, ses mains pressant sa poitrine, sa bouche baisant son cou. Aoki était une femme comblé auprès de Félicia. Pas besoin de cadeau de luxe, de dîner romantique à Paris ou dieu sait où. Une nuit pleine de sexe en sa compagnie, c'était ce qu'elle voulait. Certes, la Japonaise avait aussi la fibre romantique, voulant voir Félicia comme sa moitié, imaginant un beau mariage en blanc entre femmes, une vie de famille, bref, le petit fantasme de base. Mais même si Félicia avait fait l'impossible en ayant un vrai pénis, il y avait tant de « mais » qui rendait ses rêves impossibles, préférant donc s'accrocher au sexe avant le romantisme, même si parfois ce facteur revenait au galop. Elle ne pourrait pas avoir un vrai bébé avec elle, quand bien même ça arriverais par dieu sait quel miracle, elle ne pourrait pas dire à ses parents vivre et être enceinte d'une femme, elle ne savait pas comment Félicia réagirait à une telle nouvelle car après tout, elle avait déjà des enfants dans son pays d'origine et outre ses parents, comment la société verrait ce couple qui serait pointé du doigt ? Un exemple pour une minorité de personne et une honte pour tout le reste du pays ? Du monde ! Mais bref, elle n'était pas là pour fantasmer sur ça, là, elle fantasmait sur le plaisir qu'elle allait prendre.

« Huuuuum Nyaaaaaa... Soit pas timide ma Féli-nyan... Tu sais ce qui me fait ronronner, nya ? »

Aoki aimait la douceur après avoir jouit,une petite séance de câlin dans ses bras, des caresses, des mots doux, ça c'était beau. Pendant le sexe, il faut que ce soit fort ! Que la chambre bouge au rythme de leurs ébats ! Et ça commençait ! Félicya n'y allait pas par quatre chemins et déjà, outre sa queue aussi dure que de l'adamantium, elle la pilonna avec passion, si elle ne tenait pas Aoki, elle était sur qu'un coup de reins pareil la délogerait de sa queue et elle s'étalerais sur le lit. Mais Aoki, même en neko, n'était pas du genre à se laisser faire – pas totalement – et elle se redressait doucement pour que son dos épouse les formes de la Black Cat, cherchant aussi à guider ses mains. Autant, elle en laissait une sur sa poitrine, délicieusement compressée, autant elle en fit glisser une sur son corps, doucement. Elle devait caresser la chatte dans le sens du poil, arrivant doucement, justement, à sa vraie chatte. Elle était poilue et douce, mais ce n'était que l'effet de la combinaison car en y glissant ses doigts, il y avait une petite fente bien humide et chaude.

« Haaaan ! Haaaaan ouiiiii Féli-nyyyyaaaan ! Défonce-moi le cul ! Fait jouiiiir ta petite chatte ! Nyyyaaaa ! »

Bien des gens, des féministes voulait mettre la femme à un meilleur rang dans la société, Aoki était d'accord. Mais entre deux femmes, il y a forcément une au-dessus de l'autre ? Alors Aoki laissait volontiers Félicia la rabaisser, désirant être uniquement son objet sexuel et depuis son retour de Tékhos, son petit sac à foutre. Autant dire que vu les nuits qu'elles ont passé, Félicia n'a jamais été déçu de son achat ! Et tout cela, ce n'était qu'un début ! Aoki avait bien des idées pour faire bander sa petite amie, nul doute dessus. La tête penchée en arrière, posé sur l'épaule de la Black Cat, elle soupirait et miaulait, gémissant dans ses oreilles, dieu que c'était bon !
Rouge
La terranide n'était pas du genre docile, si elle avait perdu la bataille en approchant Miranda, elle n'avait pas perdu la guerre, loin de là. Face à la belle blonde, elle avait un défi de taille, un défi qu'elle n'allait pas fuir, au contraire ! Elle va tout faire pour réussir et remettre les conteurs à zéro ! Ce fut surtout très dur, comme le sexe de Miranda ! Rouge avait tout fait pour résister et dieu sait que c'était dur ! Mais elle avait finalement réussi, même si cela s'était joué à peu de chose près, tant sur le timer qu'avec Miranda. Reprenant son souffle, la terranide observa le timer sur zéro quelques secondes avant d'afficher un léger petit sourire qui en disait long, soulager d'avoir réussi.

« Hum, c'était pas mal mais comme j'ai gagné, ce sera toi, ma chose. »

De quoi changer l'ordre des choses, l'humain enchaîné et la terranide dominante. Elle laissait Miranda se reculer puis elle observa son corps quelques instants, de sa belle poitrine à sa queue toujours tendue, elle se demandait ce qu'elle allait faire pour la dominer et la surprendre ? Elle avait bien une petite idée vu ses particularités mais elle ne voulait pas commencer par ça. Faire l'amour dans le noir, suspendu au plafond, ce serait étonnant que Miranda se plaigne de l'avoir déjà fait avant.

« Bon, pour qu'on soit sur un pied d'égalité, tu vas me dire où tu as planqué tes petites pilules pour devenir futa ? »

Miranda avait sûrement eut une opération pour ça, ça lui reviendrait moins cher que d'acheter des camions de pilules tous les jours mais elle devait en avoir de côté ? Pour ses invités ou qui sait, faire de drôle de blague ? Rouge se devait de se montrer dominante, elle avait bien une idée pour ça, même deux... mais elle ne savait pas par quoi commencer à vrai dire ? Elle laissait Miranda bouger, continuant de lorgner sur son corps, observant tant le bas de son corps que le haut, affichant un air très hésitante.

« Hum, on commence à peine que tu me poses une colle... Est-ce que je dois te punir à coup de ceinture sur ton cul ou t'humilier en te branlant avec mes pieds ? »

Si Miranda aimait les pieds, ce ne serait clairement pas une punition pour imposer sa loi. Mais elle savait que pour une punition, ce serait pas très haut placé alors que les coups de ceinture sur son beau cul, c'était classique mais indémodable. La voir retirer sa ceinture offrait déjà la réponse à la belle blonde sur ce qui allait suivre. Mais Rouge n'allait pas uniquement la punir, ce serait trop banal.

« Tu vas te mettre à quatre pattes en me présentant ton cul, j'ai deux trois choses à lui dire. Une dernière chose, je veux qu'entre chaque coup de ceinture, tu m'avoues qui ont été tes meilleurs coups, et pourquoi ? Je veux savoir à quel point tu est une salope... »

Le sourire diabolique, il était temps de montrer à cette humaine que Rouge était une dominante. Quand sa queue allait pointer, ce sera le moment de passer à la suite.
Sya
Baiser avec sa mère était toujours un plaisir, faire l'amour était toujours un plaisir pour elle. Mais quand l'ange avait décider de préparer une surprise à cette soirée, ça la rendait meilleure ! Non pas que changer sa tenue et prendre la forme d'une succube soit une vraie surprise – elle aurait pu aisément le faire avant ce soir – elle avait décider d'offrir à sa mère une descendance ! En accord avec Kazuha, si la belle blonde était absente, ce n'était pas que pour laisser un peu d'intimité à la mère et la fille. Combien de fois l'esclave avait assister et même participer à leurs petits jeux ? Beaucoup de fois ! Sya sentait le foutre de sa mère en elle mais comme toujours, mieux vaut en avoir trop que pas assez ! Ce ne serait qu'une fois l'heure de se reposer qu'elle entrera en action pour préparer sa grossesse accélérée. En attendant, elle devait profiter.

Et profiter, elle savait le faire en avalant sans complexe la queue de Samara. Aussi grosse et longue peut-elle être, ça ne lui faisait pas peur. Dans le pire des cas, elle aura des branchies sur la gorge pour respirer et offrir la plus longue gorge profonde au monde ! Mais la démone ne comptait pas jouir si facilement, ôtant le pain de la bouche de Sya, elle allait lui offrir un plaisir plus intensse ! Face à sa mère qui se concentrait pour sa seconde queue, Sya était comme une chatte sur le lit, tournant en rond en agitant sa queue caudale, s'impatientant d'envie ! Et une fois prête, elle avait des étoiles dans les yeux et avait un long sourire sadique, mettant en avant une petite dent aiguisé plus longue que les autres.

« Hihihi ! Mais n'oublie pas que je tiens de toi alors, côté appétit... tu vas avoir du boulot, maman ! »

Aucun réel lien de sang mais la voir avec sa peau si rouge, provoquant de petites écailles sur ses épaules, ses cuisses et à divers endroits sur son corps, on pourrait se tromper. Dans son dos, elle ne tardait pas à venir planter ses queues en elle, la faisant couiner de plaisir.

« Haaan ! Oui Maman ! Donne tout ! Défonce moi !!! »

Pas de pitié ! Samara ne se faisait pas languir et Sya sentait déjà les puissants coups de reins, retenue par sa volonté et la puissante poigne de la démone, sans quoi, la petite succube devrait se remboîter à chaque fois sur ses queues, autant dire que cela casserait le rythme. Les petits cris de la succube raisonnaient dans la chambre, parsemée par les bruits de chair qui claque, de sa paire de bourses bien remplit venant parfois se claquer contre sa peau. Dommage qu'elle n'a pas pris une forme futa, ça aurait été délicieux de sentir ses boules se cogner contre les siennes. Mais elle garde ça pour après. Sya tournait parfois le visage sur le côté, voyant sa mère se régaler de la punition donné à Sya, n'hésitant pas à toujours repousser la puissance de ses coups, que ce soit des coups de reins, des gifles ou de sa queue, elle n'avait aucun scrupule à brutaliser sa fille. Que voulez-vous, elle était une prêtresse de la luxure, elle adorait ça.

« HAAAAAAAN !!! Encore !!! Plus FOOOORT HAAAAAAAAA OUIIII MAMAN!!!!! Baise moi ! BAISE-MOI !!!! »

Elle se redressa brusquement, manquant presque de donner un coup de tête à sa mère, en se blottissait contre elle. Elle leva ses bras, caressant les cornes de Samara, venant descendre ses mains sur sa nuque.

« Attends... Lâche mes hanches... j'ai mieux à te proposer, hum ... »

Profitant de sa souplesses, elle leva les jambes pour avoir les genoux près de la poitrine, retenant ainsi ses propres jambes pour laisser sa mère l'empoigner comme il faut. Soit par les fesses, soit en renforçant sa position avec les bras de Samara autour de Sya ?

« Comme ça, je serais moins étroite... et tu pourras plus me remplir, hihi. Je veux vider tes couilles, en-tier-ment... »

Sa langue passa doucement sur ses lèvres, Samara allait devoir combler sa petite fille après tout !
Tsukasa
On pouvait dire que Tsukasa était bien entourée, peut-être même un peu trop ? Entre les deux sœurs, elle était si bien, si épanouie. Qu'on aime se faire dominer ou non, avoir deux pareilles femmes en soit, c'était un plaisir divin. Les Spänjes gardaient la tête froide, se sentant puissantes et dominantes, ce qui n'était pas faux. Mais si l'Edorassienne comptait savourer ce moment, elle n'allait pas devenir chienne si facilement, rien que pour leurs beaux yeux, pas maintenant du moins. Ryouka y avait eu plus ou moins le droit depuis son arrivée auprès d'elle mais il était trop tôt pour Nika pour le mériter. Avec Ryouka, elles se connaissaient de vue, depuis déjà plusieurs jours mais avant ça, ce fut de longues séances de cyber-sex, que de bons souvenirs. Alors non, Nika, tu n'auras pas la peau de l'ours avant de l'avoir tuée.

« Haaaannnnn ! Oui putain ! Encore ! »

Alors que les frangines continuaient de la prendre en sous-entendant que les dominer était chose impossible, la belle blonde aimait les défis, surtout quand il s'agissait de remuer la queue, là, elle était prête à tenter l'impossible. Elle aurait voulu répondre mais Nika l'empêchait de répondre quoi que ce soit en fourrant sa langue dans sa bouche, continuant de la faire remuer au rythme de leurs coups de reins, jusqu'à jouir généreusement en elle. Inutile de préciser que Tsukasa aussi avait jouit en savourant tout ça, se sentant ensuite si bien... Mais les deux sœurs en avaient encore sous le coude, en se retirant et en astiquant leur membre sous son nez pour venir l'arroser, éjaculer sur son visage, ses cheveux, ses seins, bref, tout le haut de son corps. Elle retirait avec ses doigts ce qui gênait sa vue pour ensuite venir mettre tout ça à sa bouche, restant allongée en observant Nika qui croyait toujours avoir raison.

« Plus que jamais, ma belle. »

Tsukasa se relevait péniblement, encore bien remplit, elle essuyait les traces de foutre de son visage, retirant le plus gros, non pas pour le déguster mais s'en pétrir la poitrine, ainsi, elles auront un petit goût familier si elles s'attaquent à ses seins.

« Ce n'est pas parce que tu es une experte en arme ou au corps-à-corps que je ne vaux rien, tu sais ? Je suis sûre que derrière cette poitrine que tu bombe en avant se cache une petite chienne impatiente que la domine ? Ne cherche pas à te défendre, on est tout pareil, homme ou femmes, on a tous une partie plus ou moins grande qui ne demande que ça... Demande à ta petite sœur, c'est une maîtresse exigeante mais très douce quand on lui obéit. Et moi... tu le verras bientôt mais je suppose que tu sais déjà que ta sœur est elle aussi une petite chienne très docile quand elle a un bon nonos à mâchouiller. »

Le genre bâton de chair qu'elle adorait avoir en bouche, entre autres. Mais si elles devaient en venir un peu à la force pour imposer sa loi, c'est sûr que Tsukasa n'arrivera pas à la soumettre mais vu qu'elle avait un peu d'aide, elle allait profiter de ça pour obtenir gain de cause.

« Ryo-chan... » le petit surnom de Ryouka quand Tsukasa la dominant. « Je sais que toi aussi ta envie de la voir toute docile alors aides moi, tu veux... Tu vas lui bouffer le minou, la doigter, la branler, bref, amuse toi avec le bas, moi je gère le haut. »

Tsukasa lui avait presque sauté dessus pour la faire tomber sur le lit, venant saisir ses poignets pour les maintenir autant que possible contre le lit, pendant qu'elle venait l'embrasser, laissant Ryouka immobilier la partie sous la ceinture de sa sœur, la domination commençait maintenant, ce ne sera peut-être pas simple mais ça sera amusant, promis.

« On va commencer par voir, hunph, si tu choisi la voie simple ? Appelle moi Maîtresse et j'éviterais de te punir... »

Alors, Nika avait un penchant pour les fessées et les tétons pincés ?
Konata
Voilà qui était fait, Konata avait révélé son secret à Jessica. Elle n'avait pas peur de possibles menaces, elle était nouvelle dans le métier et après tout, elle n'avait pas encore d'ennemi qui veut sa peau, que risquait-elle donc ? Elle qui voyait la vie comme un manga ou un jeu, qui pourrait bien être sa rivale ? Une grande fille plantureuse et musclée, tout le contraire d'elle ? La même chose en homme ? C'est assez rare d'avoir un rival de sexe différent en général mais bon... Ou bien une fille comme elle mais avec un côté diabolique ? L'un ou l'autre, ça ne semblait pas être Jessica. Konata aimait se montrer en public et jouer les justicières, ça faisait plus comic que manga mais le manga a quand même des titres basés sur les comics, idem chez les jeux vidéo. Alors bon, c'était dangereux mais elle avait une confiance aveugle pour sa nouvelle amie. Elle est fan de jeux vidéo, ça ne peut pas être sa Némésis ?!

Elle aussi voulait lui rendre la pareille en parlant de son secret, se rapprochant de plus en plus, elle pensait avoir droit à quelque chose à voix basse ou à une blague ? Tout le monde n'a pas une vie trépidante. Mais elle fut surprise, pas trop dans le bon sens puisque quelque chose venait lui coller le visage. Pas un vêtement mais quelque chose entre la bulle de chewing-gum qui explose et passer à travers une toile d'araignée. C'est fin et collant et beurk, ça ne lui avait jamais plus !!! Retirant cela à la fois soulagé et dégoûte, elle avait une étrange surprise sous le nez. Dans son dos, sa nouvelle amie se tenait au plafond, justifiant ses pouvoirs similaires aux araignées. Par chance, elle n'avait pas plusieurs bras et/ou jambes ni plusieurs yeux, ça aurait été flippant !

« Hééééé... c'est plutôt cool ! »

Elle n'avait rien pour grimper aux murs comme ça, pas si facilement et directement. Elle observait comment elle se tenait, sans difficulté, ce n'est pas comme si elle avait rentré ses doigts dans le mur, non, c'est comme si de rien n'était, elle le touchait simplement. Par contre, pour ce qui est de ses origines, ça n'avait rien de bien surprenant. Pas de cosplayer radioactif qui l'a mordu ou qu'elle viens de la planète otaku qui été réduite en cendres après avoir explosé ou dieu sait encore. C'était même... gênant. Elle s'en frottait l'arrière du crâne en regardant ailleurs, espérant que Choco n'allait pas se moquer d'elle...

« Baaaaah en fait... tu promet de pas rire ? Tu vois, je m'amusais devant le miroir et... en imitant un perso, bah je me suis transformer comme ça... puis j'ai essayé un autre et ça a marché aussi... Je peux pas imiter n'importe qui, je crois que comme dans tout bon rpg, je débloque d'autre costumes en montant de niveau... Ou comme tout jeux des dernières années, j'ai pas encore eut les nouveaux DLC. »

Mouais, à qui elle devrait filer son pognon pour avoir plus de pouvoir ? Ce qu'elle ignorait, c'est que ses pouvoirs n'ont rien de hasardeux. Bon d'accord, ce n'était pas banal mais si son père est bel et bien humain, sa mère était en réalité une ange, sauf qu'elle ne l'a jamais rencontrée puisqu'elle la croit morte. Faut dire que son père gardait le secret, comme demander et qu'à chaque fois qu'elle posait la question, elle entendait comme réponse « elle est au ciel ». Même en étant otaku, elle ne se dit pas que sa mère est une ange en réalité.
Suki
Qu'on soit bien clair, Suki n'était pas à son aise en présence de ses femmes. La reine l'avait plus ou moins convaincu avec son discours voulant placer Lumen dans une nouvelle voie mais Suki n'avait pas pour habitude d'être comme ça. Dans les deux sens du terme. Si dévêtue. Ce n'était qu'une robe mais elle qui a toujours porté les combinaisons de Caelestis, ce genre de tenue était étrange, lui laissant peu de place pour le confort et la sécurité. Et de plus, elle était toujours à l'aise en soldate, en mère, en femme, elle se retrouvait en pleine bataille lourdement armée et elle était équipé que d'un vulgaire couteau. Autant dire que dans sa tête, la bataille était loin d'être gagné. En compagnie de sa petite amie et de ses filles, elle se sentait forte, là, elle n'était qu'une pauvre femme écoutant les conversations de ses puissantes femmes.

Après tout, même si elle serait à l'aise, elle était entre la baronne de cet endroit et la reine de Lumen ! Que viens faire une soldate – soyons gentil, Lieutenant – face à elles ? Elle ne répondait pas vraiment pour le coup, ne sachant pas trop expliquer ce genre de chose vis-à-vis de son archipel. Elle était soldate, pas une politicienne quelconque. Elle aurait eut un verre de vin – ou autre – qu'elle l'aurait siffler ! Mais elle préférait éviter, il y avait encore les enfants à gérer après et elle avait eut sa mauvaise période liée à la boisson. Dieu merci, la reine changea de sujet en parlant de ses filles, de quoi la rassurer et la rendre fière !

« Merci majesté mais comptez sur moi pour ça. Elles n'ont pas eut un début de vie très joyeux pour le moment alors j'espère faire en sorte que le reste de leur vie soit la plus belle possible. Que j'ai par la suite un vrai bébé avec Rinako ou non, ça restera toujours mes filles, peu importe si notre sang n'est pas le même, je veillerais sur elles. »

C'était une chose qu'elle ne pourrait pas briser. Elle a trouvé Holy dans une de ses casernes à esclaves alors qu'elle a été ou était sur le point de se faire violer. Elle n'avait pas attendu d'avoir la preuve, elle a vu ce sale type remonter sa braguette une fois la porte enfoncé, la pauvre gamine sur le bureau, elle a tué ce misérable à coup-de-poing avant d'embarquer Holy avec elle et les autres esclaves. Le pire, c'est que la mère de la gamine était morte. Si Suki s'attachait aux enfants qu'elle sauvait, généralement, une fois arrivée sur place, elles se joignent aux autres enfants et reprennent doucement le sourire mais Holy restait attaché à elle comme un petit koala et pleurait à chacun de ses départs de l'orphelinat. Aussi dur était la soldate, elle fondait en larmes une fois la porte passé, n'ayant d'autre choix que d'adopter cette petite pour la rendre heureuse. Une chance que Rinako la soutenait dans ce projet.

Quant à Kitty, elle l'avait trouvé au milieu du chaos qui régnait dans un assaut échoué dans un château mijakien, elle semblait pas vraiment traumatisé mais elle avait un collier d'esclave et se baladait nue dans une chambre en se cachant. Elle n'a jamais trouvé à qui elle « appartenait » mais il ou elle aurait connu un très mauvais moment. De même que pour Holy, elle adopta cette petite une fois Rinako revenue, les deux petites s'étaient trop attaché pour qu'elle la laisse seule à l'orphelinat. La baronne venait légèrement changer de sujet, se demandant juste ce que Suki prévoyait pour la suite de son séjour.

« Je ne sais pas encore, je verrais avec Rinako et les enfants. Nous sommes là avant tout pour elles, pour les changer d'air, leur faire profiter un peu de tout ça. Elles se sont bien amusé aujourd'hui à la plage, j'espère y revenir avant la fin de notre séjours mais nous verront bien. Il y a beaucoup a visiter par ici après tout, si elles auraient été plus âgées, ont auraient pu les pousser vers un peu plus de culture mais vu leur jeune âge, je préfère qu'elles s'amusent avant tout. Et de savoir que déjà, elles ont pu se faire une copine, c'est la preuve que nous ne sommes pas venue ici pour rien. »

Autant en mission, elle pouvait être froide et cruelle, autant ici, à parler de sa famille, c'était juste une femme qui aimait sa famille qui parlait. Elle pourrait parler de ses trois-là encore très longtemps. Il était difficile de parler à plusieurs personnes alors Suki tentait de varier les personnes, la baronne venait de lui poser une question, elle renvoyait donc la balle vers la reine.

« Vous êtes venues ici uniquement avec votre amie, majesté ? »

Elle préférait rester polie et qualifier Adamante d'amie, elle ne savait pas si elle devait dire amante, garde du corps ou dieu sait quoi...
Magie
Depuis toujours ou presque, Magie était habitué à ce genre de soucis. Qu'elle ai été simple New Mutant dans l'école de Xavier, Professeur quand Scott dirigeait l'école ou à nouveau professeur après l'épisode du Phénix et d'Hope, il ne se passait pas une seule journée sans que des pépins de ce genre n'arrivent ! Des mauvais mutants, des anti-mutants, des démons, des terroristes, des ninjas, c'était à se demander quel genre d'ennemi elle et les X-Men n'avaient jamais affronter ? Franchement, trouver la bonne réponse et vous aurez dix mille dollars de récompenses ! Face à cette réplique des ninjas de la Main – à moins que ses tarés n'aient poussé plus loin leurs fanatismes et leurs bizarres – les filles assuraient mais une nouvelle arriva, bien décidée à donner un coup de main et à éradiquer cette menace.

Elle avait du mordant cette nouvelle mais là encore, Magie est habituée à aller dans les lymbes alors il faudra un peu plus que quelques morsures pour lui faire peur. Si la bataille reprenait bien rapidement, Magie n'avait aucun mal à se remettre dans le bain, faisant balancer son épée ici et là, décrochant quelques membres et parfois, transformant sa lame en une broche à barbecue, laissant ainsi les vampires tomber comme des mouches. Ils n'étaient pas tous nuls, parfois certains se rapprochaient mais une bonne esquive ou un peu d'aide extérieur et ils ne valaient pas grand-chose. Même si l'inconnue l'avait aidé une fois ou deux, elle restait quand même méfiante. Une fois le silence revenu, il était temps de mettre un peu d'ordre dans ce beau merdier.

Elle ne disait rien quand on la nomma Magicienne, c'était une mutante mais elle pratiquait la magie, c'est vraie. Elle restait toujours méfiante surtout que comme Laura, elle pensait à Wolverine quand elle mentionnait connaître quelqu'un qui lui ressemblait. Même si elle ne donnait aucun nom concret, elle ne pouvait s'empêcher de voir ses adversaires comme des membres de la Main mais d'un autre monde. Même si là, ce n'était que des ninja au service d'un certain Kagan, un vampire. Elle avait déjà tué des vampires, l'araignée de New-York en avait souvent un aux trousses il paraît ? Bref, que ce soit Kagan ou une certaine Ephemera, elle n'allait pas trembler des genoux comme ça !

« Pff ! Même si on est là en vacance, ça serait le même bordel ailleurs, sans qu'ils nous suivent. Cherche pas à comprendre, c'est notre lot d'emmerde quotidienne qui nous tombe dessus. »

Les emmerdes auront attendu presque la fin de la journée pour leur tomber dessus, ouah, quel progrès ! Magie gardait son épée sur l'épaule en faisant signe à Laura d'y aller, même en ignorant cette fille, elles auront quand même des ennuis donc autant éliminer celui-ci pour espérer un peu plus de paix demain. Croisons les doigts.

« Dis-moi, à quoi on doit s'attendre sur leur bateau ? Juste de ses ninjas ou il y de plus gros spécimens ? »
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Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

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Kaguya Shunya
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Demande de RP
SHIZUKA SHUNYA
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Shunya portait un bébé. C’était indéniable. Et, au-delà du plaisir immédiat, et immense, que le fait d’être enceinte lui procurait, ça signifiait surtout qu’elle allait, désormais, devoir enfanter Hinata à son tour. Shunya savait en effet combien leur responsabilité était immense. Les Kaguya avaient été quasiment tous décimés, et il fallait donc, tout simplement, créer une nouvelle lignée. Pour cela, il fallait donc beaucoup de bébés ! Une famille royale méritait plus qu’un ou même deux enfants, et, de plus, c’était là la volonté, tant de Shunya, que d’Hinata. Régulièrement, Hinata lui avait confié combien elle avait hâte d’entendre le Temple de la Lune crouler sous les hurlements, les ricanements, et les bruits de pas précipités d’une ribambelle d’enfants. Ce rêve était désormais très palpable, en train de devenir réalité. Shunya en était enchantée, mais elle savait que, compte tenu de son passé, Hinata l’était encore bien plus qu’elle. Elle allait enfin avoir des enfants, des bébés sur qui elle prendrait grand soin ! Que ce soit des garçons ou des filles, quelle différence ça pouvait bien faire ? Shunya, en tout cas, savait qu’elle les aimerait tous, peu importe leur sexe, leur intelligence, ou n’importe quel élément !

Les deux femmes se mirent donc à déambuler, s’éloignant peu à peu, jusqu’à rejoindre une petite crique isolée, entre deux grandes dunes. L’eau continuait à venir, avec un magnifique ciel étoilé, ce qui donnait à cette scène une ambiance très particulière, et non moins agréable. Shunya se retrouva en compagnie d’Hinata, seule, Nora restant à l’écart, pour fermer la marche... Et Hinata lui parla alors du fait que, désormais, ce serait à elle d’enfanter sa femme. Shunya en sourit délicatement, tout en rougissant aussi.

« Oui... Oui, ma chérie... »

Shunya hocha la tête, avant de sourire délicatement, et de se pincer les lèvres. Pour le faire, pour mettre sa femme enceinte, il allait falloir qu’elle... Elle rougit encore à l’idée de porter un tel appendice entre ses cuisses. Après tout, la jeune guérisseuse n’y était clairement pas habituée, ce qui expliquait sa nervosité ambiante. Elle n’avait jamais porté un sexe, mais, surtout, elle avait un profil plus soumis...

*Mais je ne peux pas être la femme de la Reine si je ne prends pas plus d’initiatives !*

Hinata se pressa contre elle, en lui demandant de passer aux choses sérieuses. L’intéressée se pinça les lèvres, et inspira ensuite fort, avant de poser ses mains sur les épaules de sa femme.

« N-Non... Hi-Hinata, cette fois, c’est moi qui... C’est moi qui prends les devants ! »

Elle la regarda fièrement, comme pour montrer qu’elle était sérieuse. Évidemment, ce n’était pas contre Hinata, mais, si Shunya voulait l’enfanter, il fallait bien qu’elle prenne des initiatives. Néanmoins... Shunya se mit à rougir, en cherchant une idée. Elle hésita un peu, puis regarda derrière elle.

« Hum... Dis... Je... Euh... J’ai... Euh... »

Shunya se pinça encore les lèvres, visiblement très gênée devant la proposition indécente qu’elle avait en tête. Reprenant son courage à deux mains, elle inspira l’air, et enchaîna :

« Je... En fait, je sais ce que je dois faire p-pour... Pour que tu aies un bébé et tout, mais... Je... Je ne sais pas trop co-comment faire... A-Alors, je... Je me disais que... Euh... Enfin, on... Hmmm... No-Nora pou-pourrait me... Nous faire une démonstration... A-Avec... Avec toi... »

Elle respira lourdement, mortellement gênée. Que venait-elle de dire, concrètement ? Qu’elle voulait voir Nora pénétrer Hinata, qu’elle voulait voir, sous ses yeux, comment ça se passait en face ! Certes, Hinata l’avait déjà pénétré, mais Shunya n’avait encore jamais vu sa femme se recevoir un chibre dans le corps, et elle voulait tout simplement s’assurer que ça ne ferait pas mal à Hinata...

Tout simplement !

SUPERGIRL
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Difficile à croire que Kara avait enfin réussi ! Convaincre Tessou d’aller à ce restaurant, ça avait véritablement été une épreuve herculéenne ! Mais elle commençait à bien connaître le fonctionnement de sa policière, une spécialiste des actes manqués, qui inventait toujours n’importe quelle excuse pour éviter de se mettre en avant. Que ce soit dans sa vie privée ou au travail, elle était d’une discrétion à toute épreuve. Mais il fallait bien la ténacité d’une super-héroïne pour la convaincre de venir au restaurant ! Et puis, elle avait enfilé une superbe robe. Il était évident que Kara lui avait dit de la laisser, car ça lui allait très bien.

Après avoir déposé Kyoko à la garderie, Tessou se rapprocha de Kara, qui l’attendait impatiemment.

« Allez, t’en fais pas, Kyoko ira très bien ! »

Certes, elle n’avait qu’un an, mais, si Tessou restait aussi protectrice, d’ici quelques années, sa fille pourrait se montrer bien rebelle... Mais bon, il n’appartenait pas à Kara de critiquer les choix de Tessou. Et puis, vu ce que la policière avait enduré, face à la Duchesse, Supergirl pouvait comprendre sa nervosité. Le duo rentra en tout cas dans le restaurant, une grande et agréable pièce avec une série de vitres donnant sur la mer, avec une série d’îles et îlots.

*Très impressionnant...*

Une jeune femme ne tarda pas à s’avancer vers elles, en leur souriant. Elle portait un élégant blazer, et était plutôt belle :

« Bonsoir, Mesdames. Vous avez réservé ? »

Kara secoua la tête, mais, fort heureusement, il y avait une place pour elles. La serveuse invita les deux femmes à la suivre, et les amena à un angle, dans un petit coin, avec une table ronde, et deux fauteuils. Kara remercia poliment la femme, et s’assit face à Tessou, en lui souriant encore.

« Tu vois ? Personne ne te hurle au visage, Tessou... Cette robe te va donc très bien ! Tu n’as rien à craindre ici, c’est l’occasion de se détendre, et... De profiter un peu. »

Tournant la tête, Supergirl montra du visage le décor.

« Tu vois ? C’est joli ici... Et je suis sûre qu’on va très bien manger ! Ça va te faire du bien, je t’assure... »

Dire ce que Kara avait à lui dire n’était vraiment pas simple, et ce surtout que, au vu de ses pouvoirs, elle n’était pas la personne la mieux placée pour parler de ça, mais... Eh bien, il fallait bien que quelqu’un le fasse, et Kara était, en réalité, la personne la mieux indiquée, aux yeux de Tessou, pour lui dire de se détendre, et lui conseiller de profiter de la vie.

« J’admire beaucoup ta dévotion pour Kyoko, Tessou, et c’est tout à fait normal, parce qu’une mère doit se sacrifier pour son enfant, mais... Enfin... Je ne veux pas que tu prennes ça comme une critique, mais... Il faut aussi que tu penses à toi ! Je veux dire... Si tu surprotèges Kyoko constamment, je ne pense pas qu’elle mènera une vie bien épanouie... Je ne dis pas qu’il faut l’ignorer complètement, bien sûr ! Mais... Il y a forcément un juste milieu quelque part... »

Est-ce qu’elle l’avait bien dit ? Tout d’un coup, elle avait peur... Mais, maintenant que c’était dit... Au moins, il fallait crever l’abcès !

LUNA EARTHWELL
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Maîtresse Yuko enfila sous les yeux des femmes une magnifique robe rouge, qui dissimulait un sous-vêtement encore plus magnifique, un beau bikini rouge moulant, avec de longues bottes-collants rouges. Luna savait que Maîtresse Yuko n’enfilait pas souvent une telle tenue. Qu’elle la porte donc, en compagnie de Madame Alice, c’était donc la preuve que quelque chose d’important se passait. Madame Alice fit également beaucoup saliver Luna. Luna connaissait déjà cette belle blonde aux yeux bleus, qu’elle avait déjà vu plusieurs fois au manoir de ses Maîtresses. Étrangement, elles la désignaient comme leur « sœur », alors qu’elles n’avaient pas le même nom de famille ! Mais, au lit, Madame Alice était aussi énergique que ses Maîtresses, et très douce et très gentille. Elle et Madame Alice avaient eu l’occasion de faire l’amour à plusieurs reprises, et Madame Alice aimait beaucoup la câliner, l’embrasser, la gratouiller, et lui offrir à manger. Les voir là, toutes les deux, dans leurs belles robes, ça ne manqua pas d’exciter Luna, mais Maîtresse Yuko indiqua qu’elle partait ailleurs avec Madame Alice.

La petite Luna, qui était occupée à sentir Esclave Yuka lui pomper le dard, avait du mal à répondre à Maîtresse Yuko, tant elle était excitée. Cette dernière enfila donc sa robe sous son nez, tout en lui disant que, jusqu’à son retour, elle resterait la Maîtresse. Toute flattée, Luna hocha la tête, et entrouvrit les lèvres, laissant Maîtresse Yuko l’embrasser tendrement.

« Nyaaaa... Maîtresse Luna... Prendre soin de la chambre en l’ab-L’absence de... De... De Maîtresse Yu... Yuuuuko, nyaaaawwww... !! »

Madame Alice déposa à son tour un baiser sur les lèvres de Luna, et salua également Esclave Yuka, et Esclave Blanche et Esclave Noire, avant de partir. Luna ronronnait de plaisir, et la porte se referma derrière les deux femmes, laissant les quatre femmes dans un cocon de luxure et de perversion. Luna avait la lourde responsabilité de trouver quoi faire avec elles quatre, mais, fort heureusement, ce n’était pas les idées qui lui manquaient. On aurait même pu dire que son esprit carburait à toute allure en ce moment.

Luna gémit encore, couinant en sentant Esclave Yuka enfouir sa queue dans sa gorge, ses deux mains gantées se crispant sur ses cheveux, les serrant fort. Elle se tortilla sur place, la langue pendante, miaulant encore, pendant que son corps approchait du plaisir suprême.

« Hmmmm... Nyyyaaawwwwnnn... Miiiiaaaaaaa... !! Hnnnnnnnnnnnnn... !! »

Vu tout le plaisir qu’elle ressentait, Luna ne put retenir pendant très longtemps son orgasme. Sa queue se mit à durcir encore, et, dans un ultime couinement, Luna se mit à jouir généreusement, balançant d’épais chapelets de foutre dans la bouche de la femme. Un long soupir, puis un hurlement de plaisir, tandis que tout son corps se relâcha d’un coup sec. Ses muscles se détendirent puis se relâchèrent, en expulsant des filaments de foutre en elle.

Luna jouit donc généreusement, remplissant l’estomac d’Esclave Yuka, puis se redressa ensuite... Et fit disparaître son sexe masculin.

« Allez ! Il est temps de passer aux choses sérieuses ! Esclave Yuka ! À quatre pattes, tout de suite, à côté de Maîtresse Luna ! »

Prenant très à cœur son rôle de Maîtresse, Luna se posa sur le sol, à côté d’Esclave Yuka, et fit ensuite signe aux deux Usagis.

« Blanche ! Noire ! Prenez Esclave Yuka et Maîtresse Luna avec vos queues ! Prenez-nous dans le trou que vous voulez, mais que ce soit bien fort ! »

Aucune gêne, aucune hésitation chez Luna... Indéniablement, elle n’était pas la « nekoquine » des Maîtresses Karistal pour rien !

ALICE KORVANDER
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Main dans la main, Alice et Yuko sortirent de la chambre. Voir cette débauche n’avait pas manqué d’émoustiller Alice, surtout avec la tenue qu’elle portait. Le délicieux harnais serrait son corps à chaque mouvement qu’elle faisait, provoquant en elle une série de frissons. Et, pour ne rien arranger, Yuko était également très belle, et visiblement très excitée aussi. Mais, après tout, l’heure du souper était passée, et la nuit promettait d’être longue. Alice, qui ne s’attendait vraiment pas à ce que Yuko et Yuka soient au même hôtel qu’elle, était en tout cas très ravie de les voir. Elles ne s’étaient pas encore revues depuis le mariage de Mélinda, et c’était un heureux hasard, car Alice avait été bien décidée à aller les voir. Le destin l’avait finalement devancé.

En chemin, Yuko lui demanda ce que Mélinda avait en tête, et Alice lui sourit.

« À ton avis ? Avec toi et moi ? Je croyais pourtant que tu commençais à bien la connaître, surtout quand elle est avec sa femme... »

Mais peut-être que Yuko voulait juste l’entendre ? Alice sourit donc, et continua à marcher, avant de s’arrêter brusquement au moment où le couloir faisait un coude... Et embrassa alors Yuko. Son corps se colla au sien, sa main se posa sur sa nuque, et l’autre, sans aucune hésitation, se posa sur l’une de ses fesses, pressant doucement ses doigts dessus. Alice était aussi de moins en moins pudique, à force, et surtout dans le contexte actuel.

« Tu m’as manqué, Yuko... Je sais que j’aurais dû passer te voir plus tôt, toi et Yuka... »

Surtout après l’incroyable orgie qu’avait été le mariage de Mélinda ! Elles avaient fait l’amour pendant plusieurs jours, et Alice avait bien dû mettre une semaine avant de pouvoir s’y remettre. Elle retourna embrasser Yuko, se retrouvant ensuite plaquée contre le mur du couloir. Plusieurs femmes passèrent à côté d’elles, les regardant en haussant les sourcils sous la surprise, puis sourirent brièvement. Alice, de son côté, prolongea ce baiser pendant plusieurs secondes, puis rompit ensuite finalement le baiser, un sourire sur le coin des lèvres. Une lueur de malice brûlait dans ses yeux.

Alice sourit encore, puis se décolla du mur.

« Allons-y ! »

Ses doigts se serrèrent davantage sur ceux de Yuko, et Alice rejoignit une porte. Elle était fermée, mais elle attrapa son passe magnétique, et l’ouvrit. La porte la conduisit alors dans un vestibule. La chambre de Mélinda était plus grande que celle des Karistal, car Mélinda avait plus de monde à héberger. Elle s’avança un peu, et rejoignit le salon principal, pour l’heure calme, et partit sur la droite, dans un petit couloir avec une chambre au fond... Celle de Mélinda. Alice toqua alors à la porte, et entra...

MÉLINDA WARREN
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Depuis le début, Harmony avait dû s’attendre à ça. Quand Mélinda avait choisi de l’inviter pour qu’elle fasse partie de leur délégation au Paradisio Hotel, en sachant que Vanillia et Ai seraient aussi de la partie, elle devait bien s’attendre à se retrouver dans l’un des jeux pervers de sa Maîtresse et de sa femme. Entre Mélinda et Vanillia, il n’y avait aucune différence de ce point de vue. Les deux femmes étaient toutes les deux de redoutables perverses, sans une seule pour rattraper l’autre. Vanillia était une redoutable coquine, et elles étaient donc impatientes, en étant assises sur le lit, qu’Ai et Harmony reviennent.

« Tu crois qu’elle va l’enfiler ?
- Je ne sais pas... Elle est vraiment très timide, tu sais... Mais elle me suit depuis des semaines, maintenant, et, comme je l’ai aidé à se libérer de son maléfice, elle m’est fortement redevable. »

Tous les efforts du monde n’avaient pas permis à Mélinda de rendre Harmony perverse. Elle restait toujours extrêmement timide, et se débrouillait toujours pour se cacher au bon moment, surtout quand Vanillia choisissait des femmes pour partager sa couche le soir. Au bout d’un moment, il fallait bien que son abstinence se fasse remarquer. Les deux femmes attendaient donc, et Vanillia en profita pour embrasser sa femme, tout en caressant sa délicieuse robe en cuir. Cette dernière lui allait à la perfection, et Mélinda soupira lentement, appréciant doucement ce tendre et suave contact. Les lèvres de Vanillia étaient très douces, tendres et agréables.

Mélinda ferma les yeux, y répondant avec envie, et décolla sa main du lit, venant caresser à son tour la joue de sa femme, prolongeant le baiser pendant plusieurs secondes... Jusqu’à ce que la porte ne se rouvre. Les deux femmes tournèrent alors la tête, et sourirent malicieusement. Vampires, elles sentaient le trouble émotionnel d’Harmony. Dissimulée derrière Ai, recroquevillée sur place, elle s’était transformée en une véritable écrevisse, et la manière dont son cœur tambourinait dans sa poitrine formai tune délicieuse symphonie, qui ne manquait pas d’exciter les deux vampires.

Harmony se mit à bégayer follement, peinant visiblement à rester calme, et les deux vampires sourirent, avant de glousser légèrement.

« Eh bien... Écarte-toi, Ai, ma chérie... »

Ai obtempéra, et se mit contre le mur. Impossible pour Harmony de se cacher, et Vanillia, qui avait récupéré la laisse, tira dessus, déstabilisant Harmony, qui tomba à genoux devant le lit, près des jambes de la vampire. Vanillia se pencha alors, et lui fit signe de se redresser, de se tenir bien debout.

« Tourne lentement sur toi-même, ma chérie, laisse-nous t’observer... »

Ne pouvant rien faire de plus, Harmony obtempéra donc, et, quand elle leur tourna le dos, Vanillia lui ordonna de s’arrêter, et posa ses mains sur ses fesses, tirant sur le fin trait en cuir noir qui se trouvait là, avant de sourire, et de caresser ses belles fesses, ses doigts glissant amoureusement dessus.

« Tu as vraiment de très belles fesses, Harmony... »

Mélinda s’écarta alors, et, de la main, fit signe à Ai de les rejoindre. La jeune femme s’assit à côté de Mélinda, qui l’embrassa, pendant que Vanillia tira sur Harmony, l’amenant tout contre elle. Ses bras s’enroulèrent autour du corps de la femme, et elle l’embrassa sur les lèvres, sa main se déplaçant ensuite le long des lanières en cuir de la femme, appréciant son corps, griffant tendrement sa peau, remuant dessus, à hauteur des lanières situées sur ses seins.

« Tu veux que je te confesse quelque chose, Harmony ? Depuis que je suis mariée à ta Maîtresse, je me suis efforcée de coucher avec tout le personnel du harem. Esclaves, majordomes, domestiques, gardes du corps... J’ai utilisé le registre du personnel de ma femme, en en faisant une copie, et en rayant le nom de la personne qui a eu l’honneur de coucher avec moi. Et il ne reste plus qu’un nom, dans ma liste, qui n’a pas été rayée... Le tien, petit bout. »

Vanillia lui sourit alors, tendrement, remontant sa main pour caresser les lèvres de la femme.

« Alors, il est temps que je règle ça, Harmony... Mets-toi bien à quatre pattes sur le lit, je vais lécher ton fondement bien comme il faut avant de t’enculer bien fort... ! »

La passion de Vanillia pour la sodomie était bien connue, et le petit cul d’Harmony allait sûrement y passer ! La belle jeune servante n’avait toutefois pas d’autres options... Et puis, Mélinda l’avait déjà sodomisé. Elle savait qu’Harmony était très timide, mais aussi plus perverse que ce qu’on pouvait croire. C’était, comme soute, inévitable quand on vivait avec les Warren. Et, tandis qu’Harmony se déplaçait, et que Vanillia commençait à la lécher, la porte s’ouvrit brusquement.

Alice Korvander entra, et resta silencieuse pendant quelques secondes, clignant des yeux en voyant Mélinda embrasser Ai à pleine bouche, tout en masturbant son sexe d’une main. Et, dès qu’elle entra, ce fut au même moment où Vanillia enfonça sa verge dans le fessier d’Harmony...

« Oh... On dirait qu’on arrive au bon moment... »

SHA
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Sha était plus espiègle que ce qu’on pensait. Certes, elle était une dominatrice, une Déesse, mais, parfois, il fallait bien admettre que voir sa Kiriko dominer les autres était... Très excitant. Pour ça, la stratégie de Sha était plutôt bien rodée. Elle prenait parfois la forme d’une belle servante, et, tout en venant nettoyer la chambre de Kiriko, se débrouillait pour mentionner sa rivale de toujours, Açoka. Succès garanti à chaque fois, elle finissait sur le lit, et Kiriko la prenait, en ne s’arrêtant que quand la servante reconnaissait en elle la première femme de Sha. Ça, Kiriko y tenait vraiment beaucoup ! La Celkhane pouvait se montrer très autoritaire quand il le fallait, et, là, en apprenant les manœuvres de Sha, Kiriko se décida à lui révéler son meilleur visage.

« Oh... Tu t’en sens capable ? »

Le ton de Sha était légèrement moqueur, car elle connaissait suffisamment Kiriko pour savoir combien cette dernière, non seulement l’aimait, mais aussi la vénérait. Dès lors, il lui était trop difficile de franchir le pas. Sha la sentit essayer, en la plaquant contre le mur, et en la sodomisant. La Déesse soupira de plaisir, mais sentit rapidement que quelque chose clochait. Kiriko l’appela bien « ma petite pute », mais sans cette conviction qu’elle avait habituellement en dominant d’autres femmes.

« A... Attends, Kiriko... Je... Ce n’est pas comme ça qu’il faut s’y prendre ! »

D’une part, la tenue de Kiriko n’était vraiment pas indiquée pour ce qu’elles avaient à l’esprit. Sha claqua donc des doigts, et la belel tenue edorassienne de Kiriko disparut, remplacée par une belle combinaison en latex bien plus moulante, ouverte à hauteur des cuisses pour libérer son imposante verge, et lui donnant une allure bien plus prononcée.

« Voilà... Quand on veut dominer, les tenues sont très importantes, Kiriko. Quant à moi... Je vais te montrer la forme que je prends habituellement... »

D’autre part, en effet, Sha avait encore une petite surprise à montrer à sa femme, et se transforma à son tour, prenant la forme d’une jeune servante qui était une amante régulière de Kiriko... La belle Rem. Une jeune servante un peu nerveuse, qui était une ancienne esclave, libérée par les sorcières de Sha, mais qui aimait toujours autant la soumission. Officiellement, Rem était au service de Kiriko, s’occupant de sa literie, de ses affaires, la peignant, la coiffant... Et subissant aussi ses assauts sexuels.

« Voilà, Madame... Ou Maîtresse. Vous aimez quand la belle Rem vous appelle comme ça, n’est-ce pas ? »

Elle avait une petite voix fluette, très douce, et très timide. Le contraste avec Sha était saisissant, mais c’était pourtant bien elle qui s’exprimait à travers ce corps. De la main, Rem fit battre ses cheveux derrière elle, les joues rouges.

« Vous pouvez baiser la petite Rem autant que vous le voulez, vous savez combien elle aime ça, combien elle admire les femmes fortes comme vous, Maîtresse... »

Rem se mordilla doucement les lèvres, en l’observant encore. Peut-être que Kiriko préférerait cependant le véritable corps de Sha, mais Sha sentait bien que Kiriko n’était pas encore prête pour ça. En prenant la forme et la personnalité de Rem, elle espérait bien pouvoir la convaincre de céder le pas.

Le choix appartenait donc à sa Kiriko d’amour...

CRYSTAL
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Neferia et ses jambes... Il fallait admettre que ces dernières étaient plutôt belles, mais la fascination que Neferia leur portait était, somme toute, plutôt amusante. Elle alla même jusqu’à refuser que Crystal ne lèche autre chose, afin qu’elle se concentre exclusivement sur ses jambes. Crystal opta donc pour une série de caresses. La Dovahkiin avait beau être belle, elle n’était pas spécialement habituée à la douceur qu’induisait des caresses, et elle faisait donc de son mieux, en ce moment, pour ne pas froisser Neferia. Les deux filles avaient eu une journée plutôt mouvementée, difficile, et il était bon de voir que les choses allaient maintenant mieux.

Crystal caressait donc ses jambes, glissant parfois ses griffes sur sa peau, la grattant sans la couper. Neferia était assise sur ses genoux, ressemblant presque à sa fille. Et, à vrai dire, si on avait bien compris ce qui traversait Crystal, c’était bien ce qui se passait. La Dovahkiin voyait en Neferia ses filles perdues, son amour maternel bafoué se refondant en elle. Alors, bien sûr, Neferia ne remplacerait jamais sa défunte famille, mais elle pouvait être à l’origine d’une nouvelle. Sans doute était-ce pour cela que Crystal avait accepté de la suivre dans son projet démentiel.

« C’est vrai que tu as de magnifiques jambes... »

Mais Crystal, pas plus que Neferia, n’allaient pouvoir éternellement se contenter des doucereuses jambes de Neferia. C’est ce qui amena la jeune dragonne à venir chercher les lèvres de Crystal. Crystal y répondit, bien entendu, en conservant sur ses lèvres un léger sourire, et poursuivit ensuite le baiser, sa mains e serrant sur les cheveux de la jeune Neferia.

« Mais il n’y a pas que ça qui est merveilleux chez toi, tu sais... Tes lèvres aussi ! »

Crystal l’embrassa à nouveau, tout en continuant à gratter ses délicieuses jambes, et déplaça ensuite son visage, venant embrasser Neferia dans le creux du cou, léchant sa délicieuse peau.

« Tu es vraiment très belle, Neferia... Quand tu grandiras, tu seras vraiment une magnifique femme, au port altier... Digne d’une Princesse ! »

C’est fou comme Crystal, habituellement si froide, pouvait se montrer chaleureuse et affectueuse quand elle le voulait...

POISON IVY
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Sa Harley était vraiment douée. Qui aurait cru qu’elle puisse se faire si facilement au fait d’être membrée ? Maintenant que son petit clown y avait pris goût, Ivy était sûre qu’elle allait en redemander. Il avait fallu que Pamela se rende sur Terra, et ne fasse des expériences à partir des plantes de cette planète, pour pouvoir développer des substances hermaphrodites. Terra présentait une flore vraiment très particulière, que Pamela avait su utiliser au mieux pour améliorer ses toxines et ses potions. Harley en avait fait les frais, et elle continuerait encore sûrement à être son cobaye. Il fallait bien dire que, à l’époque de Gotham, Pamela s’était beaucoup servie d’Harley pour tester ses aphrodisiaques, ses stimulants, ses drogues... Elle se rappelait encore des fois où les injections qu’elle lui faisait plongeaient Harley dans un autre monde, et où elle se mettait littéralement à planer. Ivy n’avait jamais vraiment eu besoin de faire des braquages pour obtenir des fonds. Il lui suffisait de commercialiser certaines plantes et substances, tout simplement, car elles se vendaient comme du petit pain.

Sur ce point, Harley avait toujours été très efficace. C’est comme ça que Pamela avait pu améliorer les capacités d’Harley, sa résistance, sa souplesse, son agilité... Les résultats finaux étaient admirables, et la voir avec une verge, ça ne manquait pas de stimuler l’appétit d’Ivy. Dès qu’Harley glissa sa membrane chaude en elle, Pamela soupira, et engloutit ce membre, ses mains venant rapidement se poser sur le cul musclé d’Harley, en appui.

« Mmmhmmm... »

Ah ! Que c’était bon ! Yeux clos, adorait sentir cette belle saucisse de chair glisser dans sa bouche, et elle y allait généreusement... Sans doute même un peu trop pour Harley, qui, en gloussant, lui demanda de se calmer. Autant dire que Pamela ne comptait pas lui obéir, et continuait à pomper sur son dard, gémissant encore. Elle filait donc d’avant en arrière, sans relâche, sa langue remuant sur sa queue, et serra encore ses doigts.

Harley annonça qu’elle allait la remplir, ce qui ne manqua pas d’exciter Pamela. Son intimité se réchauffait doucement, et elle soupira une nouvelle fois.

« Hmmmm-mhhhhmmmm... !! »

Impossible de lui répondre autrement, car, pour rien au monde, elle ne voulait rompre ça. Elle sentait le souffle d’Harley, sa respiration s’alourdir... La femme approchait du point de rupture, et, pour mieux la motiver, Pamela n’hésita pas, et glissa un doigt dans son fondement. Elle soupira encore, et remua donc son doigt, en continuant à agir. La queue d’Harley était maintenant bien dure, et le résultat final ne tarda pas à se faire sentir...

Un magnifique orgasme traversa le corps d’Harley, et elle eut bientôt la réponse à la question qu’elle se posait. Pamela choisit en effet d’avaler son délicieux sperme, et elle soupira longuement, laissant filer les secondes, titillant encore son phallus avec sa langue. Elle finit ensuite par se relever, et sourit à Harley, glissant ses mains dans les siennes, l’embrassant tendrement.

« Tu as vraiment un très bon sperme, ma Harley-chérie... Ça t’a fait plaisir, de te relâcher en moi, hein ? »

Le contraire serait très étonnant !

FÉLICIA HARDY
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Aoki était vraiment une femme incroyable ! En la rencontrant initialement, Félicia n’aurait jamais cru que leur relation pourrait atteindre un tel niveau. Et pourtant... Voilà où elles en étaient ! Félicia avait connu un véritable pic de perversion avec elle, bien plus fort qu’avec tous ses anciens amants. Elle n’avait jamais été aussi sexuellement insatiable avec Peter, ou même avec Flash. Avec Aoki, c’était une nouvelle jeunesse qui s’emparait d’elle, un pan totalement inédit de sa personnalité, et qui s’affirmait en ce moment dans les coups de butoir qu’elle infligeait à la belle chatte. Aoki se dandinait contre elle, couinant et gémissant longuement, pendant que Félicia continuait à la bourrer, sa queue claquant contre sa combinaison en latex. Que ce soit en bunny girl, ou dans sa délicieuse combinaison, Aoki était toujours magnifique, c’était aussi simple que ça ! La prendre, encore et encore, c’était un bonheur sans fin !

« A-Aaoki, haaaa... Ohh, Aoki... »

Là, debout au-dessus d’elle, Félicia multipliait les coups de reins, prenant la femme sans ménagement, savourant sa magnifique combinaison moulante. Elle lui allait si bien ! Ha, que c’était agréable ! Félicia gémissait encore, ronronnant sur place, sans s’arrêter, accélérant le rythme. Si Aoki songeait à une relation sérieuse, c’était aussi le cas pour Félicia. Elles s’étaient déclarées leur flamme mutuelle, non ? C’était donc bien la preuve qu’elles ne se voyaient pas juste comme des sex friends, mais qu’il y avait quelque chose de bien plus profond là-dessous, un amour souterrain qui était en train de faire surface, d’éclater au fur et à mesure que les jours passaient.

Félicia la prenait donc, avec cette énergie incroyable, cette fougue qui les amenait à baiser comme des folles comme des heures. Et, tandis que ses coups de reins se multipliaient, Aoki prit soudain une heureuse initiative, et bondit en arrière, se redressant, courbant son dos, usant de son agilité. Félicia s’empressa de la soutenir, et laissa Aoki orienter ses mains, en posant une sur ses seins, et l’autre sur son ventre, grattant et caressant son estomac.

Pour la Chatte Noire, ce fut le signal de changer de trou. Sa queue sortit de la chatte trempée de la femme, mais ne resta pas longtemps à l’air libre, puisqu’elle s’enfonça dans le second trou, bien plus étroit, amenant Félicia à pousser un léger grognement, et à mordiller le cou d’Aoki, tout en enfonçant sa main dans les cuisses de la belle blonde, remuant ses doigts en elle, sentant rapidement son nectar intime dégouliner de ses doigts.

« Hmmmm... Haaaaa... Ton... Hmmmm... Ton cul est vraiment magique, Aoki, hmmmm... Si serré, si étroit, mmmmhmmm... »

C’était presque un prodige, vu le nombre de fois que Félicia prenait sa belle Aoki par là ! En tout cas, vu leur position, les mouvements de Félicia étaient plutôt profonds et longs, permettant de savourer l’intensité de cette sodomie, chaque coup faisant crisser la combinaison de la femme. En sueur, Félicia continuait à se blottir contre elle, pinçant le téton à travers la combinaison, et continuant à la masturber.

« Je vais te baiser toute la nuit, Aoki... Oh ça oui ! Encore et encore, hrmmmm... »

Pour Aoki, il n’y avait tout simplement aucune autre échappatoire que du sexe... Encore et encore ! Un programme simple, mais ô combien jouissif...

MIRANDA FORGE
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Rouge avait gagné le défi, en effet. Mais avait-elle vaincu Miranda pour autant ? La PDG avait envie de s’amuser, ce soir, d’innover en essayant des postures originales. Et force est d’admettre que de se laisser aller à la soumission, de s’incliner devant son partenaire, c’était une grande forme d’originalité pour elle. Une sorte de parenthèse dans sa vie, dont il ne resterait nulle trace que dans son plaisir personnel. La Terranide chauve-souris avait-elle seulement conscience de l’immense honneur que Miranda lui faisait en ce moment ? Probablement...

Le fait est que Rouge se retrouvait manifestement aussi dans une position inattendue, puisqu’elle hésitait sur plusieurs approches. Bras croisés, silencieuse, Miranda attendait ses instructions, plus amusée que réellement intimidée. Rouge allait-elle pouvoir dépasser son état naturel, pour s’imposer sur l’humaine ? Visiblement, la créature n’était pas dénuée d’idées, puisqu’elle demanda à Miranda l’utilisation de petites pilules pour devenir hermaphrodite. Miranda sourit légèrement. Elle, elle pouvait se transformer naturellement, après avoir subi des opérations chirurgicales et des modifications génétiques en ce sens, mais il existait aussi des solutions intermédiaires.

Miranda alla récupérer une petite boîte, et la posa sur un meuble, près de Rouge.

« Voilà... Les pilules. »

Elle laisserait le soin à Rouge de chercher comment les utiliser au mieux. En attendant, la Terranide avait l’air de se décider pour battre un minimum Miranda, et lui ordonna de se mettre à quatre pattes, tout en déboutonnant sa ceinture.

*Elle a fait son choix...*

Battre le cul de Miranda Forge... Même si Miranda l’avait autorisé, il fallait quand même un sacré culot ! Mais les règles étaient les règles, et Miranda savait s’y plier. Elle se retourna donc, et fléchit les genoux, avant de se mettre en position, jambes écartées, serrant ses mains sur le sol.

« Tu... Tu veux la jouer comme ça, R-Rouge... ? »

Le ceinturon claqua alors sur ses fesses, arrachant un soupir à Miranda, qui crispa ses poings sur le tapis, et gémit légèrement.

« Mes... Mes meilleurs coups, hein ? Hmmm... Honnêtement... Dur à dire, haaaa... !! »

Nouveau coup, de quoi faire rougir ses fesses. Fort heureusement, Miranda était plutôt du genre endurante. Il en faudrait plus que ça pour la faire céder ! Mais, n’ayant pas oublié ce que sa partenaire lui demandait, Miranda reprit sa respiration, et poursuivit :

« Il y a bien cette fois avec une policière... Qui m’avait mise en garde-à-vue pour atteinte aux bonnes mœurs... Je l’ai sodomisé pendant l’interrogatoire. D’excellents souvenirs, haaaa... »

Rien ne valait, cependant, la fois où Miranda avait couché avec sa fille, Kara, mais ça, elle le gardait pour elle. Au lieu de ça, elle se montra toujours aussi provocante et piquante, puisqu’elle se retourna vers Rouge, et la nargua encore :

« Pour l’heure, en tout cas, toi et moi, on est bien loin d’être dans mon Top 5... »

Un peu de provocation pour la motiver, ça marchait toujours, non ?

SAMARA
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S’il fallait attribuer des péchés capitaux à Sya, il y aurait, non seulement la Luxure, mais aussi la Gourmandise. Gourmande, Samara l’était beaucoup, en effet, et même énormément. Elle se dandinait sur place, en véritable petite démone. La transformation était saisissante, confirmant les pouvoirs magiques de sa fille. Samara sentait une terrible pointe d’excitation la traverser en voyant ainsi Sya se changer en une si belle démone. Elle avait pensé au moindre détail, en se recouvrant de la peau rouge, de la tunique en cuir, mais aussi des arabesques noires sur son corps. Même ses yeux avaient pris une teinte jaunâtre. D’aucuns auraient pu croire que cette transformation aurait pu amener Samara à prendre sa fille avec davantage de retenue, mais c’était bien tout l’inverse qui se produisait.

« Hmmmm... Haaaaa... S-Sya, haaaa... !! »

La démone bourrait sa fille avec énergie. Ce soir, c’était un moment partagé entre elles, si intime que Kazuha n’était pas là. C’est ce que Sya avait demandé à Samara, et, maintenant, l’Archimage comprenait pourquoi. Prendre cette forme démoniaque devait sûrement être très important pour la petite Ange. Et ça, Samara pouvait le comprendre, elle était très sexy comme ça !

Sya finit par changer de position, en soulevant ses genoux, les maintenant avec ses bras. Une position assez particulière, qui amena rapidement Samara à agir encore. Les mains de l’Archimage se posèrent sur les fesses de sa fille, se crispant dessus, et elle retourna la bourrer... Doublement. Maîtrisant aussi la magie, Samara fit grossir sa verge, la faisant enfler, jusqu’à ce qu’elle se dédouble. Deux belles verges se dressèrent ainsi, et s’enfoncèrent mutuellement dans le corps de Sya, un dans son vagin, et un autre dans son fondement, Samara retenant Sya contre elle par les bras, en la baisant sèchement et furieusement, se régalant des hurlements et des couinements de Sya.

Elle la baisait debout, sans relâche, les minutes défilant à toute allure. Dans le sexe, Samara n’avait clairement pas à rougir de ses performances. Elle était monstrueusement douée, et ne cessait de le rappeler à qui en doutait, permettant à faire l’amour intensivement sur la durée. Face à elle, on ne pouvait guère que s’incliner, et suivre le rythme, en hurlant et en piaillant. C’était tout ce que Sya faisait, les queues de Samara grossissant en elle, sur le point de rupture.

Samara finit même par repousser Sya, car, à terme, ses genoux la dérangeaient plus qu’autre chose. Elle la coucha sur le dos, et la souleva par les hanches. Très souple, le corps de Sya suivit le mouvement. Samara redressa les jambes de la femme, souleva son corps, et fit partir ses jambes vers le devant. Entre elles, elle voyait donc la tête de Sya, qui était en position figée de « semie-galipette ». Autrement dit, c’était comme si Sya, en étant couchée sur le dos, avait relevé les jambes, pour les envoyer rejoindre sa tête. Son bassin était donc relevé, et Samara, qui avait ainsi accès à ses trous, retourna s’enfoncer en elle, tout en griffant ses cuisses.

« Haaaaaaaaa... !! »

L’avantage de cette position ? Il semblait évident à voir. Elle pouvait directement regarder sa fille, et la mouille de Sya glissait le long de son corps. C’est comme ça que Samara comptait inonder le corps de Sya de sa crème juteuse.

« S-Syyyyaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaa... !! Co-Couine, ma salope... Couine, et... JOUIS !! »

En définitive, c’est tout ce que Samara attendait d’elle...

RYOUKA
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Après avoir été la victime des assauts des sœurs Spänje, Tsukasa était bien décidée à prendre sa revanche, et, surtout, à démontrer à Nika qui était la Boss ici. La femme ne put que sourire devant les arguments de Tsukasa, au demeurant assez peu convaincants. Certes, Ryouka aimait dominer, mais, pour autant que Nika s’en souvienne, c’était toujours elle qui avait géré sa sœur. Nika avait un naturel de fonceuse, une dominatrice qui allait toujours devant, une guerrière à la tête brûlée. Une fonceuse qui avait affronté son lot de gangsters, de monstres, de robots tueurs... Dans de telles conditions, on ne pouvait pas s’attendre à ce qu’elle se soumette comme un petit chaton, n’en déplaise à Tsukasa.

Mais, après tout, comme elle était l’invitée, elle accepta au moins la proposition de Tsukasa. Ryouka, elle, sourit malicieusement, et fléchit les genoux, approchant son visage du sexe de Nika, avant de le lécher.

« Ça, je ne vais pas refuser l’offre de te sucer, Nika, surtout quand ta queue est couverte de sperme... »

Voir Tsukasa répandre son sperme sur ses seins n’avait pas manqué d’exciter Ryouka, mais aussi Nika, dont la verge avait conservé un peu de sa dureté. Ryouka se mit à genoux devant son membre, donc, et commença à le titiller, pendant que Tsukasa rejoignait le duo, et déposait un baiser sur les lèvres de Nika, frottant son corps enduit de sperme contre le sien, tout en lui demandant quelle voie Nika allait choisir. La voie douce si elle l’appelait « Maîtresse »...

...Ce qui amena Nika à glousser. Elle posa une main sur les cheveux de Ryouka, l’amenant de force à sucer sa queue, sa sœur venant à gémir. Son autre main claqua alors le cul de Tsukasa, et Nika lui sourit rageusement, une lueur provocante dans les yeux.

« Ma cocotte, il va falloir faire beaucoup plus que ça si tu veux que je te respecte. Pour moi, tu n’es qu’une femme aux ongles manucurés, une perverse nymphomane comme Ryouka. Hmmm... Alors, de mon point de vue, il n’y a qu’une seule Maîtresse ici, pour calmer les deux chaudasses que vous êtes, mes salopes... »

Elle rajouta ensuite :

« Moi. »

Nika avait fait son choix !

JESSICA DREW
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Naturellement, Jessica était à la fois curieuse et enchantée ! Enchantée, car elle avait du mal à croire à sa chance. Elle venait de tomber sur une fille qui, comme elle, disposait de pouvoirs particuliers, exceptionnels, surnaturels ! Jessica avait beau avoir une petite-amie qui connaissait tout d’elle (Aemiliane), le fait est que Jessica était seule, car elle ne connaissait personne disposant, comme d’elle, de pouvoirs surnaturels. Partant de là, elle était donc ravie de pouvoir partager avec quelqu’un d’autre ses pouvoirs surnaturels. Jessica se tenait donc au plafond, sans aucun mal de tête. Surprise, Konata finit par avouer que ce pouvoir était « plutôt cool », ce qui fit naturellement sourire Jessica, qui se laissa ensuite tomber gracieusement au sol.

« Ouais… Je trouve aussi ! »

Pour le coup, Jessica en avait complètement oublié leur partie ! Elle trouvait ça bien plus intéressant ! Mais Konata avait une explication sur l’origine de ses pouvoirs assez… Mystérieuse. Elle avait regardé une borne, et… Et voilà ! Jessica en fut assez surprise, et se convainquit surtout que la jeune fille ne devait pas lui dire toute la vérité.

*Enfin, peu importe, après tout, je comprends qu’elle cherche à protéger un peu ses origines.*

En tout cas, Konata avait le pouvoir de se transformer en personnage iconique du jeu vidéo, et ses capacités étaient en perpétuelle amélioration. Même elle avait l’air de ne pas trop en savoir sur ses pouvoirs, mais elle avait l’air de le prendre plutôt bien.

*Rien à voir avec moi, j’ai été terrorisée au début…*

Maîtriser ses nouvelles facultés avait été un effort de tous les diables. Maintenant, Jessica s’en sortait plutôt bien, mais il lui manquait encore de l’expérience. Au moins, elle pouvait générer de la toile sans difficulté, et se suspendre aux murs très intuitivement, sans jamais sentir de migraine la saisir.

« Et… Tes mères, elles en pensent quoi, de tes pouvoirs, Konata ? Les miennes… Ça les ferait grave flipper si je leur disais ! »

C’était une bonne raison de ne rien leur dire ! Mais, sur ce point, un avis extérieur ne pourrait pas lui faire de mal…

MILWËN NOVAC
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Milwën n’aurait jamais cru qu’une telle conversation puisse se produire. Cette scène était tout simplement surréaliste. La Reine de Lumen, en train de discuter avec une Celkhane ! Autrement dit, une terroriste, car Lumen considérait Caelestis comme un État-voyou, et assimilait les commandos celkhans à des attentats terroristes. Au-delà des qualifications juridiques, c’était un débat complexe et moral. Que faire de l’esclavage ? Les Celkhanes étaient favorables à une abolition rapide, sans prendre conscience que l’esclavage n’était que l’expression juridique d’inégalités économiques et sociales. Pour Elena, supprimer l’esclavage ne reviendrait qu’à créer une nouvelle forme d’esclavage, plus insidieuse, plus sombre, mais non moins présente. On ne pouvait d’ailleurs pas nier que bien des esclaves n’étaient pas si malheureux que ça, car ils étaient logés, nourris, et soignés. Du point de vue de la Reine, le sujet était donc complexe. Ses parents s’étaient convaincus que l’esclavage était un mal, mais Elena se devait aussi de réfléchir en toute objectivité. Même si, pour l’heure, elle n’avait aucun pouvoir, à sa majorité, ce serait à elle de prendre cette importante décision.

*Et, vu l’influence que Lumen a, une telle décision est susceptible d’avoir d’importantes conséquences à l’échelle mondiale…*

Abolir ? Réformer ? Conserver le système actuel tel quel ? Voilà, en gros, les pistes qui s’offraient à Elena, celles sur lesquelles elle devait trancher, proposer des réponses et des solutions. Même en vacances, Elena ne cessait d’être la Reine. En cas de crise grave, elle disposait d’un miroir magique susceptible de la ramener au Palais d’Ivoire. Et, au-delà de ça, elle songeait toujours aux choix qui l’attendaient. Gouverner un royaume, surtout un royaume comme Lumen, ça n’avait vraiment rien de facile. C’était même une tâche harassante, tant il y avait à apprendre, tant il y avait à retenir, tant il y avait de problèmes, d’enjeux, et de possibilités… Aucune solution n’était simple, aucune réponse n’était évidente, car il y avait toujours des conséquences différentes, dépendant des opinions politiques de celui qui les prenait. Fallait-il favoriser l’emploi en rendant le marché du travail plus souple, par exemple ? Des questions qui se posaient…

Elena sortit de ses pensées quand Suki leur demanda s’il n’y avait qu’elle et Adamante.

« Oh… Euh… Eh bien, oui…
- Elena est en vacances, elle n’a pas tenu à venir avec toute une cour. Mais je la suis partout où elle va. »

À l’entendre, on aurait vraiment pu croire que les deux formaient un couple. C’était à se demander si ce n’était pas le cas, d’ailleurs. Une telle idée n’aurait pas manqué de rendre blême bien des conseillers politiques lumeniens, qui voyaient d’un mauvais œil la mainmise d’Adamante sur la Reine, voyant en cette sorcière aux cheveux roux le cheval de Troie des Îles Mélisi.

« Pourquoi cette question, Suki ? Vous trouvez que la Reine est seule ? Vous cherchez à lui tenir compagnie ?
- Adamante ! Ce ne sont pas des questions à…
- Bah, bah, nous sommes entre nous, Majesté ! Moi, je suis sûre que, derrière ses airs grognons, Suki vous apprécie déjà beaucoup. N’est-ce pas ? »

Sans trop pouvoir s’expliquer pourquoi, Elena se mit à légèrement rougir…

RAYNE
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Rayne aurait honnêtement eu du mal à affronter ce groupe sans l’aide de ces deux femmes, dont le sang était très particulier. Sans aucun doute possible, il s’agissait de mutantes. Rayne avait déjà entendu parler d’eux sur Terre, et, comme elle l’avait annoncé à Laura, elle avait croisé Wolverine. Les deux s’étaient affrontés à Tokyo, lorsque Rayne traquait un clan vampirique. Wolverine avait cru qu’elle faisait partie de ce clan, et elle-même avait cru qu’il faisait partie des exécuteurs envoyés par le clan pour la supprimer. Les deux s’étaient combattus ardemment avant de… Hum…

*Inutile d’en dire trop à ces jeunes filles.*

Elle pouvait lire de l’ennui chez la magicienne, Magie, mais, chez l’autre… Il y avait davantage d’agressivité. Elle fronçait les sourcils, visiblement prête à en découdre avec Rayne, sans savoir jusqu’à quel point elle pouvait lui faire confiance. La Dhampir n’allait pas s’en familiariser. Elle avait vu le potentiel de ces beautés, et ça lui suffisait amplement comme démonstration. Sa première tentative d’attaque sur le yacht de Kagan s’était soldée par un échec retentissant, qu’elle ne tenait pas à réitérer. Avoir de l’aide, ce n’était donc pas de refus.

Rayne ne répondit pas à la remarque sur leurs « vacances », et commença à marcher, suivant le sentier, qui longeait une sorte de gros volcan artificiel. Le volcan était au centre de Wonderland, et elles laissaient derrière elles un joli carnage. Les corps et les traînées de sang n’allaient pas tarder à être découvertes par des touristes. Un peu de panique ne dérangerait pas Rayne, si cela permettait d’évacuer les civils, même si évacuer une île aussi grande que Wonderland serait une tâche assez ardue. Magie lui posa ensuite une question plus intéressante, tandis que Rayne atteignait le sommet de la colline, et découvrait le reste de Wonderland.

« Je ne pense pas. Kagan est un seigneur vampirique sur le déclin. La plupart de ses troupes sont parties. Seule Ephemera lui est restée fidèle, et les ninjas que vous avez vu sont ses soldats. »

Quand Kagan était à l’apogée de sa puissance, il avait envoyé Ephemera en Asie, où elle avait pris le contrôle d’un dojo, transformant les moines guerriers en ces affreux ninjas, à l’aide de rituels macabres. Il était néanmoins permis de supposer que Kagan dispose de seconds couteaux, bien moins dangereux que ces ninjas.

Wonderland s’étalait donc devant elles. Rayne pouvait voir une grande roue lumineuse, et quantité d’autres attractions. Elles approchaient en réalité du Manoir Hanté, une attraction en libre service, avec de multiples animations holographiques. Compte tenu de la particularité de l’épreuve, il fallait réserver son tour en arrivant à Wonderland, car le Manoir Hanté fonctionnait sur un système d’investigations, en écoutant la voix lancinante d’un narrateur vous contant l’histoire macabre de ce lieu, le fil rouge de l’animation étant de retrouver votre enfant, qui s’était aventuré dans le Manoir Hanté. Trop de participants d’un coup nuiraient forcément à la qualité du spectacle, ce qui expliquait pourquoi on limitait le nombre.

Et, alors que le trio s’en approchait, Rayne perçut soudain des groupes sanguins très spéciaux, et Laura grogna à son tour, écartant ses doigts, comme pour faire jaillir ses griffes. La Dhampir vit alors, sur le toit du Manoir Hanté, plusieurs silhouettes, correspondant à des ninjas, et enjamba le portique.

« Il y a un agent qui vérifie les tickets, normalement… »

Or, il n’y avait personne à l’entrée du grand jardin qui entourait le Manoir Hanté. Rayne ne tarda pas à comprendre pourquoi en découvrant, dissimulé derrière les arbres, un cadavre. On lui avait bu son sang, évitant ainsi de laisser des traînées de sang, puis on avait fermé l’animation, en débranchant la machine qui permettait de valider les tickets.

« Vous savez, il y a une question à laquelle je n’ai pas encore la réponse… Ce que Kagan vient faire ici, à Wonderland. Mais ses hommes ne viendraient pas dans ce manoir sans raison… »

Autrement dit, avant d’aller dans le yacht, Rayne comptait faire un détour par le Manoir Hanté
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

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Hinata
Il est vrai que sur cette plage, sous les étoiles et au bruit des vagues, l'ambiance était très romantique. Si les filles ne se seraient pas déclaré leur flamme, l'endroit y aurait été propice mais il était un peu tard pour ça. Elles étaient mariées et l'une d'elles enceinte, peut-être bientôt deux ? La reine était prête à tout pour connaître le même bonheur que sa femme et tomber enceinte, elle commença donc en espérant allumer la mèche pour commencer leur petit jeu mais elle fut surprise de voir Shunya la repousser. Pas en mal évidemment, la guérisseuse voulait juste prendre les commandes seules, sans aide ? C'était surprenant mais en soit, Hinata était tout à fait d'accord pour ça. Aux yeux d'Edoras, elle était la reine, mais dans le couple, elles partageaient un équilibre parfait, si Hinata était la dominante, elle pouvait parfois laisser ce rôle à sa femme, surtout quand il s'agit de tomber enceinte après tout, c'était plus logique.

Mais malgré cet élan de confiance, sa femme se retrouva vite à court de mot et de courage, venant demander avec bien des hésitations une démonstration avec Nora ? Hinata fut surprise mais pas choqué. Depuis qu'elles se côtoyer, Nora fut la seule exception à « participer » à leurs ébats. Elle n'a fait que les embrasser, les caresser un peu ou les surprendre en plein acte. Mais rompre le cercle intime ? Bon, elle était très proche d'Hinata et Nora avait obtenu bien des premières fois d'Hinata, serait-ce l'unique exception ou leur couple allait avoir de plus en plus de personne dans leur cercle intime ? Il était trop tôt pour se poser ce genre de question.

« Hihi, dis-donc toi, tu ne serais pas un petit peu menteuse ? Tu veux vraiment voir un exemple ou c'est l'idée de voir ta femme faire l'amour à une autre qui te motive tant ? Pfff-fufufu ! Je te taquine ma chérie. Nora ? »

Hinata n'avait pas crier mais élever un peu la voix pour attirer son attention. Dans l'obscurité, on entendait les bruits de pas se rapprocher, l'ange venait auprès du petit couple si proche, fraîchement marié. Elle portait sa tenue habituelle, venant à elles en se demandant pourquoi elle devait venir ? Elles semblaient aller bien et l'ambiance était faite pour un petit moment intime.

« Un souci ? »
« Oui et non. Ma femme a besoin d'une démonstration pour comment me faire un bébé ? »


Nora semblait amusée et étonnée. Hinata ne manqua pas de câliner sa femme en lui baisant la joue. La pauvre, elle la taquinait un peu trop, non ?

« Tu es sûre de toi ? Moi, je n'ai rien contre mais... enfin, tu vois ? »
« C'est un ordre de Shunya, alors je le ferais avec joie si c'est ce qu'elle demande. »
« Très bien. Ça va nous rappeler des souvenirs. »


Mais avant de commencer, Nora exécuta un sort pour les masquer aux yeux de potentiels curieux avant d'y ajouter un autre petit sort, comme pour mettre une couverture invisible sur le sable. Tout le plaisir de faire des galipettes sur le sable, sans les inconvénients. Avoir du sable entre les orteils n'était pas un vrai soucis mais ailleurs... La reine embrassait à nouveau sa femme sur les lèvres cette fois en restant souriante, comme toujours avec elle à ses côtés.

« Observe bien ma chérie, après, ce sera à ton tour ! »
« Par contre, pour ce qui est de la fin, je finis où ? Sur elle ou pour toi ? »


Nora caressa le visage de Shunya en gardant un petit sourire si fidèle à l'ange, taquin, sachant très bien que la réponse ne sera pas dit avec facilité, mettant mal à l'aise Shunya mais Nora n'était pas méchante, juste un peu joueuse. Une fois rassuré que personne ne les verraient, Hinata pris place sur le sable, remontant sa robe de soirée quelque peu pendant que Nora laissait uniquement son pantalon tombé, déjà doté d'une queue.

« Ma petite Hinata, tu as bien grandi depuis ta première fois. Je dois avouer que ça m'avais manqué depuis que tu étais tombé amoureuse. »
« C'est l'occasion d'en profiter alors. »
« Cela ne te dérange pas de faire ça sous les yeux de ta femme ? »
« Eh bien... je sais pas si c'est à cause de toi mais... je trouve ça... un peu excitant. »


Nora lui souriait avant de se rapprocher d'elle et de l'embrasser doucement, commençant à allonger son corps contre le sien, laissant sa queue la pénétrer avec assez de force pour ne pas y avoir de mal. L'ange entama un doux va-et-vient pour imposer son rythme. Elle ne jouirait pas en elle, pour laisser à Shunya toute la place pour y poser sa semence mais elle verra après. Dés que Shunya se sent prête, elle lui laissera la place. Après quelques instants, le baiser se rompit et Hinata, toujours si épanouis observait sa femme.

« Han, tu vois ? Hum, j'adore ça ! Alors après, han, ma chérie... tu me, hum oui, feras l'amour ? Han, tu sais... ha, j-je ha ! Une fois... rentrer d-dans notre chambre... tout ce que han ! Tout ce que je t'ai fait subir... tu me le feras subir, huuum ! »

Elle avait un peu de mal à être clair mais une fois membrée, fellation, elle saura ce que ça fait de ressentir ça, masturbation par sa femme, aussi mais surtout, la promesse de leur nuit de noces et même d'avant... Hinata lui laissera sa première fois, la sodomie. Elle l'avait déjà pratiqué, jamais subit et Shunya lui fera découvrir la douleur et le plaisir de cet acte. Leur nuit va être agitée, aucun doute !
Tessou
Éloigner Tessou de Kyoko n'était pas une mince affaire. Autant pour aller au travail, elle y était habituée mais en dehors, c'était dur. Elle avait passé tant de temps auprès de sa petite fille que la lâcher simplement pour faire autre chose était dur à supporter. Elle n'avait pas de soucis affectif ou autres, elle était juste proche de sa petite Kyoko. Kara la tirait tant bien que mal vers leur table, Tessou tendait toujours l'oreille au cas où mais pour le moment, pas le moindre signal d'alarme en tant que Maman. Installée à une table avec l'héroïne, elle observa autant les autres gens que le décor qui était beau, elle ne pouvait pas le nier ça. Elle restait un peu tendue mais, elle soupira en observant ses mains.

« Tu as raison, je vais tenter de faire un effort. »

Quand remontait la dernière fois qu'elle avait porté une robe de soirée ? Il y a très longtemps ! Kyoko n'était pas née, peut-être même qu'elle n'était pas encore enceinte donc au moins deux ans environ. La commande n'était même pas encore passé que Kara venait à aborder un sujet non pas sensible mais crucial mais la vie de la jeune femme. Kara avait passé assez de temps au quotidien avec elle pour savoir que sa fille était sa priorité. Tessou va voir sa fille au moindre petit pleur, de jour comme de nuit. Même en plein câlin, elle se dépêchait d'enfiler quelque chose pour aller voir sa fille. Elle observait ses mains à nouveau, coupable de ce qu'elle avait entendue.

« Je suis bien placé pour le savoir tu sais. Mais je n'y arrive tout simplement pas, Kara... Elle est encore petite, je sais que ce n'est pas si grave mais avec le temps, cela pourrait avoir des conséquences et pas les bonnes malheureusement. J'ai beau me réveiller en me disant, aujourd'hui, je laisse respirer ma fille, au moindre souci ma détermination s'écroule comme un château de cartes... Tu sais... Après la naissance de Kyoko, j'ai passé de longues journées avec elle, seule. Il m'arrivait de passer des journées entières au lit, à la garder contre moi, à la protéger. De quoi ? De rien, mais j'avais peur qu'en ouvrant les yeux, elle ne soit plus là. »

Tessou n'avait jamais dit clairement que Ryota était mort, elle l'avait sous-entendu à Kara, mais les photos chez elle prouvait bien que si Kyoko n'avait pas de père, ce n'était pas par abandon, loin de là. Tessou a vécu seule avec sa fille pendant six mois environ. Il y avait sa famille bien entendu, de son côté comme de celui de Ryota mais ils ne pouvaient pas toujours être là. Aujourd'hui encore, même en ayant repris le travail, même en ayant Kara auprès d'elle de plus en plus souvent, il lui arrivait encore de rejoindre la chambre de Kyoko et de dormir sur une chaise à bascule, sa fille dans les bras.

« Tu as beau être là, Kara, j'ai peur... Elle l'a vue... Cette tarée a vu une photo de ma fille et... et je ne veux pas qu'elle vienne la prendre ! »

Tessou commençait à avoir vraiment peur, les larmes aux yeux apparaissaient doucement alors qu'elle voyait les quelques cicatrices laissées par la Duchesse sur ses bras, ses horribles marques qui lui prouvent que ce n'était pas un cauchemar. Elle ne sera à l'aise que quand la Duchesse sera devant elle, dans une morgue avec le corps ouvert, prouvant que ce n'était pas un mauvais tour mais qu'elle était bien en enfer. Tessou prenait une serviette pour essuyer ses yeux derrière ses lunettes et se calmer en respirant doucement.

« Pardon Kara, je... tu m'offres des vacances de rêves et je pourris l'ambiance avec ça... Désolé, ça iras... »

Après quelques moments de silence pour reprendre son calme, elle reprenait donc la conversation avant qu'elle ne dérape.

« Je veux être une bonne mère pour Kyoko, c'est juste que je n'arrive pas à me détacher d'elle, dés que j'ai fini mon travail, je dois être avec ma fille. Elle est ma drogue, ce qui m'a maintenue en vie depuis presque un an. Sans elle, j'aurais pu... faire des bêtises... »

Suicide et autres joyeusetés. Comme elle l'avais dit, à avoir passé tant de temps près de sa fille, être présente dans la seconde à la moindre de ses envies, il était dur de détruire ce qu'elle avait construite. Tessou aurait bien voulu demander comment ça se passait sur Krypton mais elle avait déterrer avant de mauvais souvenir pour en demander plus à Kara.
Karistal Yuka
Yuko laissait donc le rôle de Maîtresse à Luna, qu'elle puisse continuer un peu à diriger comme il se doit en son absence. Elle avait encore Yuka à sa botte et elle avait en plus les deux usagis pour lui tenir compagnie, c'était déjà pas mal. Elle n'en perdait pas son plaisir à enfoncer sa queue le plus loin possible dans la bouche de Yuka. Cette dernière avait fait un petit signe à Alice quand elle quitta la chambre avec sa sœur, préférant pour le moment la compagnie de sa petite neko dominante. Une Luna dominante, c'était si rare de la voir si à l'aise dans cet élément après tout. La petite neko venait jouir de plaisir dans la bouche de Yuka, sous les yeux des deux usagis, amusée et excitée par ce qu'elles voyaient mais la partie était loin de finir. Les nekos des Karistal n'étaient pas connue pour faire la sieste après avoir joui une ou deux fois, si c'est le cas, elle ne devait pas traîner bien souvent avec Yuko et Yuka, pour les nekos, elle avaient un appétit d'ogre !

À peine avait-elle fini qu'elle venait donner de nouveaux ordres à Yuka, même si elle avait fait disparaître sa queue avant de rejoindre Yuka à quatre pattes. La petite neko en chef venait donner des ordres bien prévis aux usagis mais seule Noire était déjà membrée et cela se voyait à sa bosse dans sa culotte. Blanche lui lança un regard de défi.

« Elle est pour moi... »
« Pyon ! Non, elle m'excite trop comme ça ! »
« Noire, Non ! »
« Trop tard ! »


Il était rare de voire Noire sortir de son rôle de soumise mais sa sœur n'était pas prête et Luna était très attirante comme ça, à se demander si la petite chatte ne les contrôlait pas tant elle envoûtait ses trois esclaves ? Noire baissa sa culotte juste assez pour venir enfoncer son membre bien dur entre les fesses de Luna, couinant de plaisir en sentant ses petites fesses serrer sa queue tendue.

« Haaaaaan ! »
« Blanche, tu trouveras ce qui faut dans le tiroir. »


Les Karistal pouvaient se changer en neko à volonté mais devenir une futa passait encore par les mélanges d'U'lani et autres petites choses bien pratique. Blanche avait avalé une pillule mais le temps que cela faisait effet, elle venait caresser Yuka, se frottant contre elle en faisant en sorte que ses mains baladeuses viennent pincer ses tétons pour mieux lui donner envie de jouir en elle. Voir sa sœur se faire autant plaisir lui donnait envie de la punir mais elle devait obéir à Luna dans cette chambre et lui voler son jouet serait mal vue... Mais une fois cette histoire finit, elle allait punir sa sœur comme il se doit ! Noire de son coté avait les mains bien agrippée aux hanches de Luna, donnant de rapides coups de reins à Luna, sa vitesse était dingue mais les lapins ne sont pas connue pour leur lenteur même si l'orgasme pourrait être rapide comme lentement. Les claquements de chair donnaient naissance à un bruit très agréable pendant que Noire allongeait de plus en plus son corps sur la neko, couinant dans ses petites oreilles, sortant quelques mots, parfois, entre deux gémissements de pur plaisir.

« Haaaan ! Maiaîtresse !!! Han Maîtresse Luna ! Ha c'est si booonnnn, Pyon !!! »

Ce « Pyon » si rare à entendre surtout venant de Noire prouvait bien qu'elle était excitée et qu'elle adorait sa maîtresse Luna. Pourtant Noire était du genre dominé mais là, elle ne pouvait qu'approuver sa petite-maîtresse neko.
Karistal Yuko
Yuko avait donc laissé sa neko en charge du rôle de maîtresse pour maintenir la paix dans sa chambre, veillant ainsi sur sa sœur et leurs deux gardes du corps aux longues oreilles. De son côté, elle partait avec sa « grande sœur » pour aller voir Mélinda, cette vampire qui leur avait chaparder bon nombre de neko avant de devenir une grande amie, elle était même sa patronne en quelque sorte à présent mais ça ne la gênait pas, tout se passait bien dans le meilleur des mondes. Un bon job, une fiancée, un mariage dans quelques mois, non, elle était très heureuse. Même si sa question était peut-être bizarre, elle devait savoir car après tout, maintenant Mélinda pouvait appeler les Karistal pour parler boulot même si jusque-là, il n'y a jamais eu aucun souci sur ce sujet.

« On ne sait jamais, c'est qu'elle est pleine de surprises cette vampire. »

Même si depuis qu'elle était mariée, quand le couple Warren était là, il était étonnant de les voir faire autre chose de sage quand elles ont un brun d'intimité. Mais maintenant la vampire avait des raisons d'appeler les Karistal pour autre chose que jouer, c'est qu'elles étaient liées à travers un contrat de travail, les Karistal bossaient pour elle à présent. En continuant d'aller vers la chambre, elles s'arrêtèrent un instant, Yuko étaient prise par Alice qui l'embrassait sous les yeux des autres clientes sur leurs chemins.

« Hum, c'est une bonne façon de demander pardon, je trouve. »

Si Yuko était peloté au niveau de ses fesses principalement, elle renvoyait la pareille pour Alice, baladant ses mains sur son corps, venant tirer à travers sa robe moulante sur deux ou trois petites cordes pour offrir de meilleurs sensation à la belle grande blonde. Et même si le baiser se termina, Yuko garda la main de sa grande sœur dans la sienne en rejoignant la porte de Mélinda, avant qu'Alice ne frappe et qu'elles n'y entre pour voir que le spectacle avait déjà commencé ici ! Quoi de plus étonnant ? …
Harmony & Ai
Quelle épreuve pour la pauvre domestique de Mélinda. Quand on travaillait pour elle, on pensait forcément que son entourage savait gérer ce genre de chose et qu'assister à tout ce qui touche au sexe serait aussi gênant que regarder quelqu'un manger mais il fallait bien une exception ? Et la voilà. Ai s'étant écarté, elle était criblé du regard des deux femmes, contemplant son corps caché par quelques vulgaires bandes de cuir. Elle qui n'aimait pas se montrer nue – même auprès de Mélinda, il li arrivait de porter des dessous voir même un pyjama pour dormir avec elle, même si cela était soufflé par Mélinda au fil de la nuit – la voilà exposée devant elles. Alors quoi maintenant ? Ai allait rejoindre Mélinda en l'embrassant à côté d'elle, se caressant par la même occasion pendant que Harmony était tombée à genoux avec un petit coup de tirage de laisse qui l'avait déstabilisée. Et face à la femme de sa maîtresse, elle se faisait petite.

Obéissant à ses ordres, elle tourna sur elle-même, doucement avant de sentir une main sur ses fesses, ce qui la fit sursauter. Non pas que c'était désagréable et que c'était surprenant de la part de Vanilla mais n'en demander par trop à cette petite semi-ange.

« Me-merci, M-M-Maîtresse.... »

Les mots qui tombaient doucement de son petit discours étaient que le clou enfoncé à ce qu'elle redoutait. Elle le savait, qui dans le harem ignorait la passion des Warren ? À moins de tout juste être engagé, tout le monde y mettrais sa main au feu en répondant que leur plus grande passion était la sodomie ! Même si ce fut pratiqué avec Mélinda, elle n'y était pas encore très habituée et elle avait toujours une petite peur liée à la douleur qui, par la suite se transformait en plaisir. Même si sentir sa langue entre ses fesses était bien agréable, elle savourait cette préparation qui était peut-être bien une des choses qu'elle aimait bien pratiquer. Tant sur elle que sur les autres. Harmony venait donc se mettre à quatre pattes, en tremblant un peu. La différence entre les Warren, c'était que Mélinda savait être plus polie, ce n'était pas ça qui allait gâcher la chose mais Harmony et son doux petit univers préférait quand même la douceur à la vulgarité. Une fois prête, sa lance de chair venait s'enfoncer en elle d'un coup sec, une chose qu'aurait aussi pu faire Mélinda, tout dépendant de son envie de jouer avec elle.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN ! »
« Hihi, vos invitées sont arrivées maitresse... »


Cela n'empêchait pas Ai de continuer à se caresser en baisant la peau de Mélinda quand elle répondait à ses invitées. Avec son cri de plaisir/douleur, Harmony n'avait pas fait attention aux invités mais elle n'avait pas tellement l'occasion de faire attention, elle subissait les assauts de Vanilla, gémissant de plaisir et de douleur, remuant sous les assauts en puissances de la vampire qui se faisait un vrai festin.

« J'aurais envie de dire que c'est impoli de commencer sans vos invités mais... nous aussi, on a eu un ou deux pépins qui nous on retarder sur la route, kuhu... »

Le fait que Yuko n'était pas prête et ce petit baiser dans le couloir par exemple. Yuko ne retirait pas encore sa robe mais elle venait quand même embrasser Mélinda, en délicatesse, un baiser pas trop long mais assez pour qu'il soit doux.

« Excuse Yuka, elle était dominée par une gentille petite neko alors elle ne pouvait pas venir. Kuhuhu, quand Luna joue les dominantes, elle fait pas semblant. Pour réussir à frustrer Yuka au point de ne pas la faire venir, c'est fort. Coucou Ai, ta copine n'est pas là ? »
« Honoka-chan ? Non, elle est restée avec ses parents. »


Ha, Honoka la passionne de neko, une grande amie des Karistal et depuis que la famille savait être sous l'emprise du sexe et de Mélinda, ils étaient plus heureux. Mais là n'était pas le sujet. Yuko observait Harmony et Vanilla qui s'amusaient ensemble, faisant un petit coucou à la vampire, la domestique ne faisait attention à rien pour le moment. Autant Yuko avait déjà croisé Ai de temps de temps au harem de Mélinda, elle comptait même sur cette humaine pour aider sa fiancée qui voulait créer de la lingerie. Quoi de mieux que cette petite perverses pour aider sa fiancée ? Quant à Harmony, c'était difficile de l'ignorer malgré sa timidité, Mélinda l'avait toujours à ses côtés, prête à se plier en quatre pour convenir aux ordres de sa maîtresse. Parlant d'elle, la pauvre petite semi-ange tentait de rendre cela moins éprouvant mais face à Vanilla, ce genre de demande tombait souvent dans l'oreille d'un sourd, ou alors c'était fait pour la faire redoubler de vigueur.

« Haaaaa M-Maî-Tresse ! S-S'il vous plais... Plus... dou... plus DOUCEMENT ! »

C'était bon... et douloureux. Mais bon. Mais la domestique personnelle de Mélinda était bien trop douce pour subir ce genre de chose quotidiennement, une chance que ce n'était pas tout les jours qu'elle soit entre les mains de Vanilla. Quoique à force, elle aimerait peut-être ? Quoiqu'il en soit, elle n'avait pour le moment toujours pas fait attention aux invitées.
Kiriko
Soumettre Sha était plus facile à dire qu'à faire car Kiriko n'arrivait pas à passer outre son admiration et son amour pou sa femme. Lui être soumise était simple pour cette puissante sorcière, l'amour suffisait à transformer cette tigresse en chaton mais rester tigresse et dominer la déesse n'était pas simple en revanche. Sha commença même par venir changer sa tenue, laissant sa tenue edorassienne aux oubliettes pour plutôt la changer en une tenue de cuir noire très moulante, se rapprochant de sa tenue Celkhane. Kiriko n'était pas habituées aux tenues et aux dessous et si elle en portait en dehors de sa combinaison habituelle, c'était pour plaire à Sha car depuis toute petite elle portait une tenue Celkhane. Et généralement, il n'y a rien en dessous, chose qui déplaît rarement à Sha.

Soit, la tenue, elle n'avait rien contre car c'était une chose similaire à sa tenue habituelle, sauf que ça devait mieux crisser. Mais la suite l'étonna et pas qu'une peu ! Voir Sha se changer et prendre forme de Rem ? Rem ! Cette même Rem qui s'occupait d'elle, la coiffait, rangeait sa chambre et subissait ses envies de domination parfois – souvent mais quand même moins souvent que faire l'amour avec Sha. C'est même ce petit côté timide qui la rendait si attirante, donnant envie à la Celkhane de la prendre violemment en la dominant. Elle était belle et foutrement sexy, surtout dans cette petite tenue, là n'était pas la question mais... mais... La sorcière se rapprocha, tenant son menton entre deux doigts, elle était plus grande que Rem, enfin, Sha, sous cette forme, son regard était aussi autoritaire que lorsqu'elle faisait face à Rem, donc, autant dire que la dominer sera un jeu d'enfant, cependant...

« Tu as osé te moquer de moi durant tout ce temps ? Sache que là, je vais avoir aucun mal à te baiser. Mais une dernière chose, il est pas question que tu portes mon enfant. Ce droit est réservé à ma Déesse et à ma femme, pas à une vulgaire domestique. »

Donc oui, Sha aura bien le bébé de Kiriko, mais pas sous cette forme, même si elle est très belle, c'était Sha que Kiriko voulait enfanter, pas elle. Qu'importe ensuite, sa forme humaine, divine, slime, plus jeune, plus musclée, tant que ça restait Sha. Retournant Rem pour se placer dans son dos, elle venait baiser sa tempe, laissant ses mains glisser doucement, passant sur sa poitrine pour descendre plus bas, laissant sa queue se frotter contre son dos.

« Tu sais que je déteste qu'on me roule dans la farine, donc, tu auras beau dire ce que tu veux... Jamais je ne vais te baiser comme tu vas y avoir le droit... »

La seule façon de stopper Kiriko serait de reprendre une forme plus... Sha, sans ça, Kiriko va montrer à sa femme qu'elle sait dominer et se montrer Maîtresse, sauf qu'elle n'y arrive pas avec Sha, c'est tout. Sa main écartait sa tenue, juste assez pour laisser son katana de chair s'enfoncer doucement entre ses fesses, trouvant la bonne entrée. D'un coup de reins puissant, elle enfonça sa queue, tenant Rem au niveau des bras pour l'éviter de trop bouger. Avec la différence de taille, Rem/Sha devait se trouver légèrement sur le pointe des pieds, ce qui rendrait leur petit jeu plus amusant.

« Huuum, tu es toujours plus étroite ma petite salope... Raison de plus pour y aller plus franchement alors ! »

Tenant Rem comme sa prisonnière, elle continua à la prendre en donnant des coups de reins, si Sha voulait être dominé, elle allait être servie sous cette forme !
Neferia
La jeune dragonne avait toujours respecté Crystal, tant en mentor pour ses leçons qui l'ont forgé et fait progresser – ne serait-ce que guérir ses ailes à leur rencontre – mais en plus elle retrouvait chez cette femme une seconde maman. Elle n'était pas du genre à lui sourire à tout bout de champ en lui offrant moult câlins et baiser mais la dragonne était toujours présente à ses côtés et même si parfois Neferia devait mentir pour la rejoindre, elle acceptait toujours de lui laisser une place auprès d'elle pour dormir. Ou plus si affinité. Et ce soir, ça ne faisait pas exception, la jeune dragonne avait eu peur en voyant Crystal partir alors que Neferia espérait pouvoir souffler avec elle. Ce n'était pas volontaire mais elle a souffert de l'abandon, passant une année à erré de coin en coin sur Terra avant de trouver Isthar.

Alors imaginer que la dragonne la quittait avait causé un énorme chagrin chez Neferia. Heureusement, le tir a été rectifié. Assises sur ses cuisses, elle savourait la douceur de ses mains sur ses cuisses car bien sûr pour caresser Neferia dans le sens des écailles, il fallait non pas flatter sa beauté en priorité mais ses jambes. Elle vouait presque un culte à ses jambes, c'est aussi pour cela qu'elle les exhibait sans aucune gêne. Mais aussi doux était ses caresses, elle aimait gratter doucement la surface pour avoir toujours un peu plus d'attention. Elle ne serait pas dérangée d'avoir Crystal ou une autre personne pour caresser ses jambes à longueur de journée mais elle savait que son mentor avait des goûts plus... adultes. D'où le petit baiser qu'elle venait chercher même si là encore, elle venait la flatter sur ses lèvres. Du peu de sexe qu'elle ont vécu, à deux ou même seule, Neferia avait surtout de l'expérience dans les baisers, le reste n'était pas au même niveau que sa grandeur démesurer.

Continuant de l'embrasser en venant viser aussi son cou, Crystal avait appris à dompter Neferia en venant aussi flatter sa beauté, estimant que plus tard, elle sera encore plus belle et plus grande. Elle en glousserait presque sous les caresses et les baisers sur sa douce peau.

« Huum, mais je suis déjà une princesse. »

Elle n'avait peut-être pas – plutôt plus – de château, de robe mais elle en avait toujours l'attitude et selon elle, toujours le titre aussi ! Doucement, elle changeait de position de façon à pouvoir s'asseoir sur ses cuisses en lui faisant face. Elle était toujours peu vêtue, ayant gardé depuis ce matin sa tenue de place, son petit bikini avec ses ailes qui avaient toujours tendance à s'agiter, légèrement tressauter quand elles commençaient à se couvrir de baiser et même un peu plus. Elle tendait ses bras pour les passer autour d'elle, partageant ainsi un baiser plus long et plus intenses. Sa menue poitrine se collait contre celle bien plus développée de Crystal, devant légèrement se redresser pour embrasser Crystal sans qu'elle ne doive se baisser un peu. Ses fesses se décollaient donc de ses cuisses, laissant aussi sa queue doucement s'agiter le long de ses jambes. Elle faisait attention à ce que les piques sur sa queue ne viennent pas abîmer la peau de Crystal.

« Tu aimes quand je me presse contre toi ? »

Sa question restait un poil hésitante mais gardait quand même une légère impression de princesse comme toujours chez Neferia. Mais c'était lors de ce genre d'activité que la grande Neferia avait tendance à se montrer moins solide et distingué qu'une princesse.
Harley
Freiner Harley dans sa course était possible mais va en valoir du monde pour l'empêcher de continuer à butiner sa petite rose. Harley était le bourdon et Pamela la fine fleur qui devait se faire butiner. Réviser vos cours de sciences en observant la nature faire son devoir devait vous assurer une bonne note ! Mais pour le moment, l'arlequin continuait de faire sentir sa queue dans sa gorge, toujours plus loin et plus fort en savourant chaque instant en elle. Les mains de Pamela restaient sur ses fesses, un bon choix certes sur elle ou non, gentille ou méchante, le petit clown va pas tarder à lui lancer sa tarte à la crème au visage ! Ou plutôt dans sa bouche. Elle n'aurait pas imaginé Ivy si gourmande, le nombre de fois qu'Harley a subi ses tentacules végétale ou même avec une verge depuis que le Japon l'a inspiré, elle ne pensait pas la voir subir l'univers. Ou alors il aurait fallu qu'Harley trouve ses formules et se décide à vouloir jouer la maîtresse en forçant Ivy à se soumettre. Mais d'elle-même ? Comme quoi, elle cachait bien son jeu mine de rien.

Harley continua de soupirer au fil de ses coups de reins, de cette langue un peu trop câline qui se frottait contre sa queue mais elle passait l'éponge, elle se servait bien de sa langue. Et quand enfin elle fut libérer d'un poids entre les jambes, elle pouvait décompresser un peu en souriant devant l'appétit de Pamela. Brave fifille ! Elle se redressa après avoir titillé sa queue avant de l'embrasser tendrement, main dans la main. Ça en serait presque romantique.

« Hum j'sais pas trop... »

Une telle réponse à cette question ? C'était une blague ? Harley levait les yeux au ciel, cherchant une réponse alors que son petit sourire trahissait le mensonge de cette réponse. Évidemment que c'était bon mais il lui fallait une bonne excuse après tout.

« Je crois qu'il faudrait qu'on recommence pour que je sois sûr mais comme tu dois plus avoir faim, va falloir nous dépenser. »

Aussitôt dit, elle avait presque plaquer Pamela contre le mur en la retournant pour continuer leur baiser mais en oubliant la tendresse et en laissant parler la sauvagerie de leur corps. Même si Ivy avait vidé sa queue, elle commençait déjà à se relever comme un boxer qui refusait de perdre son combat en restant dix secondes à terre !

« Faudrait pas qu'on me traite de menteuse après tout. Je t'ai dit, la bouche, le cul, la chatte, j'en ai fait qu'un sur trois là ! »

Autant dire que Pamela allait être servit ! Ses mains sur ses petites fesses, elle la soulevait un peu plus haut pour laisser à sa queue tout le plaisir de lever la tête avant de plonger en elle, doucement mais surement mais une fois bien en place, le rodéo pouvait commencer ! Ha bah oui, Harley a peut-être des moments où elle aime le mielleux et le romantique mais c'est comme les phrases censées, ça sort peu souvent. Le plus souvent, c'était place à la folie et à la manière forte ! Et ce cas ne faisait pas une exception !

« Accroche-toi bien Pamy-chérie, ma fusée va te faire grimper au septième ciel ! »

Et déjà, l'arlequin remuait son corps de façon à donner des coups de reins à Pamela, toujours plus vif et plus fort en faisant rebondir cette dernière sur sa queue, comme Harley, infatigable ! Bon, ce n'était que le début donc il n'y a pas de quoi se vanter non plus...

« Haaa ! Hummm ha tu l'aimes hein ?! Mon haricot magique !!! »

Quitte à jouer sur les mots, la différence était que son haricot n'était pas encore en train de grandir, heureusement sinon à ce rythme, Ivy va passer le reste de ses vacances dans ce lit à se reposer. C'est qu'elle a de l'énergie à revendre la Harley Quinn !
Aoki
Dire qu'avant de rencontre Félicia, Aoki était une femme plutôt dominante. Certes, elle a eut des rencontre avec qui elle n'en menait pas large en tentant de porter la culotte mais sinon, elle avait un penchant pour cette forme. Mais avec Félicia, que ce soit son côté héroïque où à cause de ce qu'elles ont traverser avec cette histoire d'Ombre, elle ne pouvait pas se voir en talon haut en train de marcher sur elle, elle ne pouvait pas la dominer. Cela leur était déjà arrivée d'échanger les rôles mais Aoki retombe bien vite dans ses bras pour que tout revienne dans l'ordre des choses. Ça l'était tout autant plus vrai maintenant que Félicia pouvait avoir un pénis. Depuis qu'elles « vivaient » ensemble, y avait-il eu un jour où elles se sont simplement endormi l'une dans les bras de l'autre sans rien faire ? Il ne s'est pas passé une journée sans que leur câlin ne les mènent plus loin, elles étaient comme deux aimants, à trainer trop près de l'autre, elles finissent coller l'une à l'autre.

« Haaaaaaaaaaaaaaan !!! »

Félicia n'y allait pas de mainmorte et ce qui était bon, à vrai dire, Aoki adorait ça ! Les choses douces et câlines, elle préférait ça au réveil ou en dernier avant de s'endormir, de façon à finir ou commencer en douceur et comme la soirée ne faisait que commencer et qu'elles sortaient de leur sieste, la douceur n'est pas près d'arriver ! Blottie contre elle, elle fermait les yeux en savourant chaque coup porté à son cul. Le latex crissait contre sa peau mais Félicia ne faisait que sentir la douceur de cette petite chatte. Douceur de ses « poils » pour Félicia, crissement de latex pour Aoki, un doux mélange. Sa main se pressait sur son sein, pinçant un de ses tétons avant que ses doigts remuaient entre ses jambes. Dieu ce qu'elle était heureuse !

« Huuuum ouuuuh.... Je suis ton petit chaaaat, hum.... ta petite pute, hum, rien qu'à toi... Tu peux... tout me faire... Et je peux... tout avaler ! »

De bien des façons mais ça, c'était une chose que Félicia savait déjà. Mais c'était toujours apprécier de l'entendre le lui dire après tout. Sa tête posée sur son épaule, elle approcha ses lèvres pour un baiser du bout des lèvres mais un baiser quand même, d'autant plus savoureux tant leur lien était fort, reliée par sa queue, certes mais reliée quand même. Aoki se délogeait doucement de la Black Cat, se mettant doucement à quatre pattes, se penchant en avant pour mieux courber ses fesses.

« Donne tout, Féli-nyan... Huuum... Défonce-moi le cul ! »

C'était Félicia la maîtresse mais serait-il raisonnable d'ignorer la demande de sa petite chatte ? Une telle demande, il faudrait être cruelle pour refuser de lui donner satisfaction ! Remuant sous tant de force et de passion, Aoki se perdait entre miaulement et gémissements en subissant les assauts furieux mais jouissifs de Félicia, un petit sourire sur le visage, elle avait le regard remplit d'étoile en se faisant prendre sur le lit. C'est ça, ça qui était si bon et merveilleux, là, elle se sentait tellement bien, tellement... amoureuse. Parfois elle tentait bien de passer un regard par-dessus son épaule mais elle remuait trop et l'orgasme ne tardait pas à pointer le bout de son nez. Quand il arriva, elle se redressa, courbant son dos, la tête en arrière, reprenant son souffle en savourant ce morceau de paradis qu'elle avait atteint grâce à Félicia. Son corps battait si vite mais dieu que c'était bon.
Rouge
Elle ne pensait pas gagner, vraiment. Elle s'était donné à fond mais pensait ne pas faire le poids face à elle, c'est que Miranda avait un passif sexuel plus chargée encore que le nombre de plaintes que Rouge avait aux fesses à cause de ses divers vols. Bien plus gros même ! Mais elle avait réussi, Forge était sa chose ! La voleuse avait à ses pieds l'une des – si ce n'est LA – femmes les plus puissantes de Tékhos ! Elle n'en oubliait pas sa défaite et souhaite réussir à lui voler de l'argent ou autre chose de valeur pour marquer le coup mais il lui fallait produire un certain effet pour ça, parce que le vol se termine un haussement d'épaule pour Miranda qui serait autant agacer que de ne plus retrouver une de ses chaussettes. Mais une chose à la fois. Pour le moment, elle devait réfléchir à une façon de faire avec Miranda Forge, ce n'était pas tout les jours qu'elle couchait avec elle et même mieux, qu'elle l'avait à ses pieds !

Ayant pris une des pilules de Miranda, elle patienta avec sa ceinture en guise de fouet le temps que cela fasse effet, elle fouetta le cul de la belle blonde en se demandant quel était son meilleur coup ? L'un des meilleurs du moins. En le racontant, elle se demandait pourquoi ce coup précis ? À cause du fait qu'elle baisait littéralement l'autorité ? Celle qui la surveillait était un coup en or ? Ou autre chose ? Si Rouge arrivait chez elle dans la nuit, qu'elle la bâillonne et qu'elle la viole, ce serait un de ses meilleurs coups ? Ce serait une chose à essayer même si Miranda Forge devait habiter en haut d'une haute tour pas facile d'accès et en plus bien protégée mais ça ne faisait pas peur à la Terranide. Elle avait volé des bijoux bien plus étroitement surveiller et elle s'en tire plutôt bien jusqu'ici, même si elle laissait parfois sa carte de visite, personne ne lui a mis la main dessus, malgré que parfois c'était des pièges pour l'attirer et la capturer. L'attirer, c'était une chose, la capture était plus compliqué !

Rouge fouetta de nouveau le cul de la belle blonde en souriant à son tour. Plus elle y réfléchissait et plus elle prenait son courage à deux mains.

« On ne fait que commencer alors soit patiente ! C'est dingue ce que les bourgeoises sont en manque de cul, ma parole ! »

La terranide se pencha sur elle, caressant ses fesses chaudes mais surtout son petit trou entre les jambes, ça glissait comme sur une patinoire ! Elle mouillait bien, c'est sûr ! Elle profita de quelques instants où la teranide était tout sauf dominante car elle la sentait pousser petit à petit et quand elle retira sa main, elle lâcha un soupire en contemplant sa nouvelle queue, entre les jambes cette fois.

« Ce qui te faut, c'est de la nouveauté. »

Elle ne lui sauta pas dessus si rapidement, elle allait calmement chercher la télécommande pour éteindre la tv montrant l'autre couple en train de s'envoyer en l'air, et éteindre les lumières. La pièce était dans le noir, pas le plus total, les lumières dehors offraient une petite source d'éclairage dans le piège mais pas totalement. Furtivement, Rouge avait fondu dans le décor, se cachant dans les zones d'ombre de la pièce et les caméras la voyait peut-être très bien mais sauf si Miranda avait des lentilles pour voir dans le noir – où que ses lunettes faisaient automatiquement cette option – elle rodait autour de Miranda. La blonde sentit une paire de main la caresser, une venant caresser son ventre, la seconde venant lui caresser un sein, sentant son souffle chaud dans la nuque.

« Ne t'inquiète pas... »

Miranda n'avait peut-être pas peur de faire ça dans le noir, évidemment, mais la suite, elle serait étonnée qu'elle lui dise avoir vécu ça. Rouge bondit en agrippant Miranda, agitant ses ailes pour se retourner avec elle, alors que Rouge se tenait au plafond, Miranda devait trouver ça étrange. Pas tant que ça, Rouge était une chauve-souris après tout, et comment elles font l'amour ses petites bêtes ? La tête à l'envers ! Elle pouvait très bien le faire comme tout le monde mais puisque Miranda était dure à satisfaire... Rouge n'était ni très grande ni très musclé mais elle maintenais bien Miranda qui ne risquait pas de tomber. Sa queue se trouvait entre ses jambes pointait déjà vers sa cible. Sa main posée près de son ventre appuyait dessus, plus ou moins près de sa vessie pour la faire automatiquement se courber un peu en avant alors que la terranide commençait à la pilonner, enfonçant sa queue en elle, d'avant en arrière. La voleuse était habituée mais faire ça à l'envers devait être une première pour Miranda !

« Alors ? Huuuum, tu fais moins la maline, là ! »

Rouge continuait de la prendre en rythme, ce n'est pas parce qu'elle était suspendue au plafond qu'elle ne bougeait pas, au contraire. Elle ne mentait pas quand elle disait faire de Miranda sa chose. Sa vie ne tenait pas entre ses mains mais si elle la lâchait, elle va se faire mal, ce qui risque de mettre fin à leurs petits jeux. Mais pas de panique, Rouge a tout en main et elle comptait bien non seulement surprendre la bourgeoise mais aussi lui montrer qu'elle est la patronne.
Sya
Tout était magique ce soir, de ce moment avec sa mère à ce qui allait suivre. Sya avait Kazuha de mèche avec elle où la servante sera importante une fois tout cela terminé. Mais pour ne pas la faire languir, la belle blonde pouvait jouer avec la fille que Samara et Kazuha avaient envoûté et qui devait rejoindre Sya ce soir, elle aura donc Kazuha à la place pour jouer avec elle, ce qui était tout aussi bien. Mais pour le moment, pour renforcer ce moment précieux avec la démone, l'ange devenait elle aussi une démone, à la peau-rouge, aux marques noir sur le corps et aux petites cornes sur la tête. Elle était ravissante ainsi, une vraie mini-Samara si on en oublie la couleur des cheveux et le manque de certaines formes mais c'était ce qui faisait le charme de Sya aussi après tout.

Recroquevillée sur elle-même, la démone était portée par sa mère qui la prenait avec une double dose de plaisir, fourrant ses queues le plus loin possible en elle, donnant toujours plus de force et d'amour à sa fille en la pénétrant. Que c'était bon ! Un moment mère-fille comme ça, ça n'avait pas de prix ! Même si elle terminait par la poser sur le lit, le haut de son corps sur le lit et le bas redresser, elle voyait ses jambes rejoindre sa tête pendant que sa mère continuait de lui montrer son amour, ses queues ayant pris encore plus de volume pour lieux satisfaire l'appétit de sa fille.

« Haaaaaaaaaaaa ouiii ! Encore Maman ! Encooooore ! »

La démone faisait preuve de plus en plus de force et de passion, elle tentait toujours de repousser ses limites, d'aller le plus loin possible avec Sya, et elle était d'accord avec ça. Sa bouche ouverte, elle respirait fort en gémissante, ne pouvant contempler autre chose que le regard de sa mère et quand le final approcha, elle se cambra un peu, comme elle pouvait dans cette position alors qu'une explosion avait lieu en elle !

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!!!! »

Une explosion de plaisir, évidemment ! Elle était bloquée durant tout le temps que ses queues avaient quelques choses à cracher et une fois terminé, elle reprenait une pose plus confortable trouvant juste assez de force pour tendre les bras vers Samara, s'accrochant à elle pour un câlin mais surtout un baiser plutôt doux. Après un tel plaisir, un peu de douceur n'allait pas les tuer. Sya l'embrassait tendrement en sentant les queues se dégonfler doucement pour retomber en dehors de ses antres à plaisir. Les jambes accrochées autour de la démone, Sya passait une excellente soirée, se sachant déjà porter le fruit de sa mère en elle, elle comptait juste activer le processus d'accélération une fois assoupi, pour le moment, la bombe était prête et demain, ce sera une énorme surprise pour Samara ! Mais ça attendra, quand la démone aura baisser sa garde dans son sommeil, Sya pourra commencer, pas question de vendre la mèche avant.

« Huuuum que je t'aime, Maman. C'est l'air des vacances qui t'excite autant ou ta petite démone adorée, kihihihi ! »

Même son petit rire avait changé pour l'occasion, toujours aussi attendrissante, avec une pointe de malice dedans ! Bientôt Samara aura une petite démone rien qu'à elle à élever comme sa vraie fille mais pour le moment, Sya était parfaite dans ce rôle. Sa queue dans son dos ne servait pas décoration puisqu'elle s'enroula autour de sa vraie queue qu'elle masturbait doucement. Une autre queue artificielle était aussi sensible mais rien ne vaut la queue originelle pour plus de plaisir.

« On a encore plein plein de choses à faire ce soir alors il faut que tu soit en forme, toujours ! Car tu m'as pas encore arrosé, pas encore biffler, et puis je t'ai pas masturbé, ni avec les mains, ni avec les pieds, ni les cheveux aussi. Tu n'as pas non plus encore joui entre mes seins, ni entre mes fesses en sandwich, puis j'ai pas gobé tes bourses et puis... ohlala, j'espère que tu vas tenir le coup, khihihi ! »

Une petite provocation pour masquer son plan et jouer le plus longtemps avec Samara. Autant dire que Sya comptait faire autant de position que de pratique sexuelle qu'elle pouvait pour épuiser sa mère. Enfin, ce n'est pas comme si c'était une corvée pour la démone que de jouer avec sa fille.
Tsukasa
Jouer avec Nika était une chose, tenter de la dresser en était une autre mais l'Edorasienne n'avait pas encore baisser les bras. Elle avait déjà Ryouka de son côté mais ce n'était pas compliqué, elles jouaient ensemble depuis plusieurs jours, elles ont été chacune dominante et dominée par plaisir, difficile de dire laquelle des deux avaient eut un rôle plus que l'autre. Si là la petite esclave obéissait docilement à sa maîtresse, au prochain claquement de doigts de sa sœur, elle va peut-être retourner sa veste, allant toujours là où l'herbe était la plus verte après tout. Elle s'était jetée avec joie entre ses jambes pour commencer à lui brouter le minou – ou plutôt sa queue – comme le désirait Tsukasa, reste la partie la plus dure, convaincre Nika.

Tsukasa avait sursauté à sa petite fessée mais elle gardait le sourire en laissant sa main caresser le corps de la jeune femme.

« Et alors ? Tout ce que tu as dit sur moi est vrai mais ça ne veut pas dire que je ne sais pas commander ? »

Nymphomane, elle l'était, elle avait couché avec tant de monde, ne serait-ce qu'au sein du palais à Edoras. Combien de servantes ont prit du retard dans leur travail en étant tombé sur la belle blonde qui avait un problème urgent a régler nécessitant l'aide d'une ou de plusieurs personnes ? Alors ce n'était pas non plus Nika qui allait lui faire peur. Lui résister, surement mais elle tombera entre ses mains... peut-être. Tsukasa se pressa contre son corps, la caressant en la charmant avec son regard alors qu'une de ses mains se dirigeât vers son fessier et doucement, elle inserra son index entre ses fesses, souriant de plus en plus.

« Avoir une queue ne fait pas de toi une dominante tu sais. Je dirais même que dominer une fille à queue, ça rend l'expérience encore meilleure. C'est toi qui la baises, toi qui décides quand elle doit jouir et face à tant d'assurance, elle n'ose pas jouir... Alors ma jolie Nika, tu joue les durs mais quand je te baiserais, ce sera peut-être toi qui va m'empaler avec ta matraque... mais c'est moi qui te donnerais l'occasion de jouir, personne d'autre ! »

Son index continua de titiller son petit trou pendant que la belle blonde combla sa faim en embrassant la belle brune, toujours en se pressant contre elle, étalant sa semence sur elle comme une pommade avec sa poitrine.

« Edoras a tant offert au sexe au fil des générations alors c'est pas une forte tête à bite qui va me faire peur. Tu sais quoi ? Pour le moment, ta sœur est mon invitée et à vrai dire, elle m'a jamais rien imposée car on agit par pulsion toutes les deux. Toi, tu est donc notre invitée, on va donc t'écouter ce soir mais demain, tu nous renvoies l'ascenseur ? Tu en penses quoi ? »

Ce qui voudrait dire que demain, Nika sera entre deux perverses ? Pas mal, non ? Enfin, faut-il encore que demain elle accepte mais Tsukasa avait un plan pour que demain, elle soit forcer de leur obéir donc autant endormir sa confiance...

« Je serais bête de passer à coter de tes talents alors, montre-moi laquelle des sœurs est la vraie dominante ? »

Tsukasa n'excluait pas Ryouka, elle comptait elle aussi dans l'équation.
Konata
Bye bye la partie, Konata avait aussi lâché la console pour faire plus ample connaissance avec la belle Jessica qui savait grimper aux murs même si elle se disait qu'elle devait avoir une tenue pour se cacher ? AU moins un masque ? Konata agissait sans vraiment se masquer – sauf que le perso de base était lui aussi camouflé comme Lelouch, là, elle peut prendre le masque de Zéro, sinon, rien de rien et elle ne regrette rien ! Après tout qui dans la rue irait porter plainte à la police en disant qu'une fille déguisée en Ryu leur a filer un Hadoken et ils ont été mis au tapis ? C'est d'autant plus ridicule que Konata n'avait rien d'une forte athlète qui en imposait, elle faisait crevette, aussi légère que petite ! Alors, qui aurait les boules d'avouer sa défaite face à elle ?

Jessica n'insistait pas sur l'origine de ses pouvoirs, elle pouvait penser ce qu'elle voulait mais Konata n'avait pas mentit, du moins, elle disait ce qu'elle savait. Est-ce qu'une de ses consoles ou manga l'a mordu dans la nuit pour la transformer en otaku ayant le pouvoir de se transformer ? Ça, elle n'en savait rien. Mais elle, elle avait été honnête pour le moment, elle n'a pas raconter faire équipe avec une amie en allant parfois sur Terra et que dans une guilde d'aventurier, elles s'amusent à se la jouer Fairy Tail même si bon, elles y mettent du sérieux et ainsi, réussir leur quête sans trop de dégât autour d'elles. Mais Jess rebondissait sur autre chose, mentionnant le fait que ses mères ne savaient pas et que si elles savaient... elles auraient peur ! Konata en aurait presque gloussé, pas pour se moquer mais pour sa demande qu'elle allait mettre de suite au clair.

« Moi j'ai qu'une mère mais j'ai aussi un père ! Il ne sait pas mais je suis sûre que s'il saurait, ça l'amuserait, c'est un vrai gosse mon père. »

C'était la faute de qui si depuis son plus jeune âge elle était douée en jeux vidéo et accroc aux mangas ? À son père, oui. Mais elle allait dire la suite sans se sentir triste ou quoi, espérant un peu ne pas casser l'ambiance pour autant ?

« Et ma mère, je l'ai jamais connue, elle est morte à ma naissance. Mon père m'a toujours dit qu'elle était au ciel maintenant. »

Konata ne pouvait pas savoir que cela ne voulait pas dire qu'elle était morte mais bel au bien au ciel. Ses pouvoirs lui viennent d'un ange, de sa mère exactement mais quelle personne normale irait s'imaginer ça quand on lui dit que sa mère est au ciel ? Bien sûr, même en connaissant Terra, elle n'a encore jamais vu d'ange et elle ne s'est même jamais dit venir d'ailleurs ? Alors pourquoi elle changerait maintenant. Pour avoir la puce à l'oreille, faudrait qu'elle voit sa propre mère, des anges ou un signe dans ses pouvoirs la mettant sur cette piste mais elle n'a encore jamais copier d'un pouvoir avec des ailes alors, pas de chances !

« Mais du coup, ta juste des pouvoirs comme ça ou tu te la joues héroïne ? Moi c'est ce que je fais et c'est super marrant ! »

Par chance pour le moment, elle n'était pas tombée sur une bande de Yakuza ou pire, juste des petites frappes. Mais quand on est expert en rpg on sait qu'en débutant, on va pas se frotter de suite à Sephiroth en se disant que sur un malentendu, ça peut fonctionner ! On tue des petits mobs et on progresse en même temps que l'histoire, point.

« Ce qui a de cool avec mes pouvoirs c'est que ça s'adapte aux situations, je peux autant être un healer qu'un sniper qu'un pro au corps-à-corps ou même manier des katanas ! Bon par contre si je jongle trop sur mes transfos en les utilisant, ça m'épuise. Mais juste changer de cosplay pour m'amuser, ça me fatigue pas. »

Se déguiser, pas de soucis, jouer les héroïnes, ça la fatiguait et elle ne pouvait pas maintenir trop longtemps sa transformation ou en changer à volontés.
Suki
Vacance. Suki était ici en famille, en vacance, elle n'était pas là pour négocier, débattre sur leurs différents points de vue ou autre. Elle pourrait, ce n'était pas interdit mais d'une part, ses propos ne regarderait qu'elle et non Caelestis et de deux, elle était là pour passer un bon moment en famille, pas pour taper du poing sur la table en hurlant son point de vue, non. Alors c'est pour cela qu'elle parlait calmement de ce qu'elle pensait, ignorant parfois certains propos lancés, préférant ne pas se lancer dans leurs jeux. Elle posa innocemment la question sur Adamante, se demandant si elle était seule avec Eléna ou s'il y avait plus de monde ? Pas d'arrière-pensée, c'est juste qu'il s'agissait d'une reine alors la voir avec peu de monde serait assez étrange quand même ?

Mais rapidement, Adamante répondit en supposant de drôle de choses ? Rien de bien méchant mais Suki avait peur de comprendre ? Le regard de la rouquine était braqué sur elle à présent.

« En tant que personne, la reine m'a l'air d'une personne agréable avec qui conversé et plaisanter. »

En tant que personnalité, elle appréciait mieux cette reine qui tentait de faire changer certaines choses plutôt qu'Mijak qui continuait ses bêtises et rester têtue. Suki avait peur que ce qu'Adamante puisse vouloir dire était d'une façon plus... personnelle et charnelle. Mais ce n'était clairement pas le genre de Suki de faire ça. Non seulement elle était en couple mais elle était aussi mère de deux enfants, elle avait un exemple à donner. Certains couples peuvent être libertin, ça ne la regarde pas, elle ignorait par exemple que sa voisine était elle aussi ici, sans sa femme ni ses filles mais il y avait quelqu'un chez elle pour aider sa moitiés et ses filles. Mais ce n'était pas le sujet.

« Mais hélas pour elle, je suis ici avec ma petite amie et mes filles donc je ne pourrais pas les abandonner comme ça. Si la reine veut se joindre à nous pour changer d'air ou avoir un aperçut de ce que c'est que d'élever des enfants, elle est la bienvenue. »

Rinako serait sûrement d'accord ? La voilà justement qui revenait, une brève caresse sur l'épaule de la petite blonde en souriant, signe que tout s'était bien passé et la voilà à nouveau avec elles. Oui, Suki était assez stricte, bien que plus détendue en famille, elle se méfiait un peu des autres donc ce n'était pas la première à faire la fête. Avant oui, quand elle avait un petit coup dans le nez mais ce n'est plus le cas à présent.

« De quoi parlez-vous ? »
« Rien, Adamante supposait que j'appréciais la reine. »
« Et c'est le cas. Je crois en vous et en vos projets. Suki m'en a rapidement parlé, je sais bien que ce genre de choses ne se font pas en un claquement de doigts mais j'ai confiance. Enfin, on est pas là pour parler de ça, hein ? Vous avez déjà une fiancée, Majesté ? Ou peut-être un prétendant ? »


Pauvre Eléna, elle en avait pour son grade ce soir...
Magie
Un moment pour souffler, c'était trop demander quand on était un mutant, elle ne pouvait pas avoir une semaine, ni même trois jours de paix sans qu'on vienne lui présenter de nouveaux ennuis sous le nez ! Grr, ça en devenait lassant ! Et on s'étonne après que Magie est pas douce et gentille ! Ce n'était pas dû au fait qu'elle avait vécu dans les limbes – pas uniquement du moins – mais aussi à cause de ça ! Tantôt des sentinelles viennent les chasser, puis des ordres d'anti-mutant, puis un danger mondial ! Et bien sûr, ils viennent sauver le monde et on les traite de monstre et que c'est leur faute mais quand les Avengers en font autant, on leur déroule le tapis rouge ! Foutue débiles ! Et maintenant elle se retrouve avec Laura face à des vampire ninja ! À croire que Morbius avait décidé de s'allier avec la Main !

Au moins à en croire cette fille, leur adversaire – oui « leur » car il est venue les faire chier alors trop tard – était sur la pente de la sortie et il n'avait pas non plus énormément de ressource même si une personne forte peut en valoir un certain nombre. Se dirigeant donc vers une autre attraction sur le chemin du yatch, les filles trouvaient la maison hantée plutôt calme bien que certaines personnes n'étant pas les bienvenue traînaient sur le toit...

« Y a pas beaucoup de réponse à ça, soit ils ont faim, soit ils cherchent une personne précise. Dans les deux cas, on les laissera pas faire. »

Magie empoignait déjà son épée en avançant avec Rayne et Laura dans la maison hantée. Elle qui avait vécu dans les limbes une partie de sa vie, il va en falloir beaucoup pour lui faire peur ! Passant les premiers metres il y avait bien sûr les bruits étranges, les petits coups sur les murs mais mieux vaut ne pas essayer de faire peur à une personne ayant entre les mains une énorme épée ! Ce ne serait pas une bonne idée, oh que non. Leur avancée était calme, calme si on ignorait les faux cris et les jumpscare inefficace sur Magie. Mais au détour d'un autre couloir, dans une autre pièce, un mur se brisa en laissant passer un vampire affamé se jetant sur la mutant mais cette dernière abaissa son épée. Ce dernier finissait presque couper en feux, n'ayant de choix que d'abandonner et filer vers un monde meilleur.

« On se rapproche. »

S'il y en avait un ici, les autres ne devraient pas être loin... Prudence.
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Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Kaguya Shunya »

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Kaguya Shunya
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Demande de RP
SHIZUKA SHUNYA
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Shunya avait fait une demande très particulière, qui la mettait dans tous ses états, ramenant chez elle les bégaiements de leurs premiers jours. Mais, en même temps, elle venait de faire une proposition très indécente ! Elle avait proposé que Nora les rejoigne ! Shunya savait que, avant qu’Hinata ne la connaisse, elle et Nora étaient des amantes, et... En fait, Shunya avait du mal à voir Nora comme une simple femme qui surveillerait la porte de la chambre à coucher. Ou peut-être que sa perversion commençait peu à peu à grimper... En tout cas, ça ne changeait bien évidemment rien à ce qu’elle ressentait pour Hinata, mais elle était tout de même très gênée. Hinata, qui semblait plus amusée qu’autre chose, appela finalement Nora. La belle Ange borgne s’approcha, et Shunya rougit encore plus quand Hinata parla d’elle, évoquant son idée...

*Ce n’est peut-être pas la peine d’insister autant sur le fait que l’idée vienne de moi, non ?* aurait-elle envie de dire.

Mais, en réalité, Shunya était bien trop nerveuse, bien trop gênée, pour oser formuler ça ouvertement ! Elle rougissait benoîtement sur place, n’osant pas parler, et vit Nora user de magie pour les dissimuler aux yeux du monde entier. Une petite bulle qui se briserait si jamais un touriste devait passer à travers, mais, vu l’heure, et leur emplacement reculé, c’était peu probable. Shunya vit alors Nora se déshabiller, et rougit encore en voyant, entre ses cuisses, un beau morceau de chair qui se dressait. Un membre tendu et assoiffé, qui pointa fièrement en l’air, et qui ne semblait qu’attendre un ordre pour s’enfoncer dans un corps.

Hinata s’allongea près de Shunya, et Nora rejoignit sa femme, puis la pénétra alors. Bien sûr, la guérisseuse avait entendu la question de Nora à propos de l’endroit où elle allait jouir, mais... Est-ce qu’Hinata et Nora pensaient vraiment que Shunya allait pouvoir répondre à ça ? Pour l’heure, son cœur était en train de faire de l’hyperventilation, surtout ! Elle se pinça encore les lèvres, et ferma les yeux pendant quelques secondes... Avant de les rouvrir rapidement.

Il fallait bien reconnaître que, ensemble, Nora et Hinata étaient très belles ici. Nora était plus musclée et plus grande qu’Hinata, ce qui devait sûrement rendre ses coups de reins encore plus intenses. Pour autant, Hinata ne perdait pas des yeux Shunya une seule seconde, revenant régulièrement la titiller et la provoquer. Shunya rougissait donc, se délectant des soupirs de sa femme, des coups de reins de Nora, s’imaginant aussi à sa place.

*Pourquoi est-ce que tout cela m’excite autant ? songea-t-elle. Je suis vraiment devenue si perverse ?*

Cette scène la laissait particulièrement perplexe, tout en l’excitant profondément. Son cœur remuait nerveusement dans sa poitrine, et elle se rapprocha lentement. Marcher semblant trop difficile, elle avançait à quatre pattes, rougissant à l’idée d’infliger à Hinata tout ce qu’elle lui avait fait subir... Soit beaucoup de choses !

« Vous êtes si belles toutes les deux... »

Elle s’était instinctivement rapprochée, désireuse de les observer encore. Néanmoins, pour que Shunya demande à prendre la place d’Hinata, il allait falloir avoir de l’espoir ! Shunya n’osait que peu parler, et murmurait plus qu’autre chose...

...Mais, indéniablement, tout ça l’excitait !

SUPERGIRL
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Tessou avait souffert entre les mains de la Duchesse. C’était, somme toute, la grande raison expliquant pourquoi elle était habituellement si nerveuse, manquait à ce point de confiance en elle, et redoutait tellement de se faire attaquer. Elle craignait que sa fille ne subisse ce qu’elle-même avait vécu, et vivait dans la peur permanente que la Duchesse ne revienne. Kara s’était renseignée sur cette tueuse en série. Elle avait terrorisé la ville pendant quelques mois, avant d’être finalement abattue alors qu’elle avait attaqué une femme dans un hôpital, une secrétaire qui avait commencé à être torturée par elle, avant que Batgirl n’intervienne. La police avait finalement abattu la Duchesse, qui était tombée dans les égouts. Son corps n’avait pas été retrouvé, mais la police avait tenu une conférence de presse signalant que Lucrezia H. Nietzsche avait été tuée.

Pour autant, Tessou était encore convaincue que cette femme était toujours en vie, et qu’elle reviendrait la hanter. Kara n’était pas du genre à négliger la moindre possibilité. Elle était d’ailleurs bien placée pour savoir que, tant qu’on n’avait pas vu le corps d’un mort, il fallait partir du principe qu’il était toujours en vie. Elle-même avait inspecté les lieux de la fusillade, et avait remonté les égouts, recherchant le cadavre de cette folle, mais n’avait rien trouvé.

« Tessou… »

Kara se pinça les lèvres. Elle ne savait pas trop comment réagir à tout ce que la policière avait dit, et attrapa doucement sa main.

« La Duchesse ne te fera jamais rien. Si jamais elle s’approche de toi, ou de Kyoko, à moins de cinquante mètres, je viendrais lui refaire le portrait. »

Quand on avait une amie proche comme Supergirl, on pouvait tout de même se sentir rassurée un peu ! Néanmoins, Kara ne voyait pas trop quoi dire de plus. De son point de vue, Tessou aurait besoin de discuter avec un psychologue. Ce que la Duchesse lui avait fait subir… La police avait certes arrêté Tessou en lui enjoignant d’aller voir un psychiatre, la jeune femme n’avait pas pu arrêter. Le métier de flic courait dans les veines de Tessou comme une drogue, et elle ne pouvait rien faire contre ça. À chaque fois qu’elle était en congés, Tessou ne savait pas quoi faire, comme en ce moment. Une véritable petite pile électrique, qui vivait dans la hantise de perdre Kyoko, comme elle avait jadis perdu son mari, de se retrouver dans l’impuissance la plus totale à nouveau.

Kara estima qu’il était temps de passer à un sujet moins déprimant, et se racla la gorge :

« Bon, euh… Tu veux manger quoi ? Il y a pas mal de fruits de mer ici, mais aussi de la viande et… Enfin, y a l’air d’avoir pas mal de trucs ! »

La carte était assez impressionnante, mais une servante s’approcha rapidement.

« Bonsoir, Mesdames, je vous souhaite la bienvenue. Désirez-vous un apéritif ? »

LUNA EARTHWELL
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Les Karistal avaient découvert quelque chose que Luna ignorait même encore à ce jour : sa maîtrise de la magie rose. Une maîtrise étonnante et très innée. Luna n’avait pourtant jamais appris à être une magicienne auparavant, et elle n’avait jamais eu le moindre cours de magie. Pourtant, elle était bel et bien capable de manipuler cet art très particulier, et en avait déjà fait preuve sur les Karistal, transformant ses Maîtresses en femmes affamées, en terribles nymphomanes. Mais Luna n’avait qu’un contrôle très atténué sur ses pouvoirs. Plusieurs esclaves essayaient de la former discrètement, mais sans réel succès. N’ayant jamais reçu la moindre formation magique, et peinant à se dire qu’elle était réellement dotée de pouvoirs magiques, Luna rencontraient de piètres succès. Les Karistal avaient néanmoins pu noter que, quand on forçait Luna à dominer les autres, à avoir un rôle actif, la magie rose avait tendance à resurgir instinctivement. Peut-être que c’était le cas en ce moment...

En tout cas, Luna ne tarda pas à obtenir satisfaction, et sentit Noire se presser contre elle. La neko se pinça les lèvres, puis sentit également une belle verge remonter entre ses fesses, tapant contre son fondement. Ses griffes se crispèrent, et elle se mit à miauler, avant de sentir une grosse verge se glisser dans ses fesses, écartelant ses chairs, et s’enfonçant énergiquement en elle.

« Nyyyyuuuuuuuuu... !! Haaaannnnwwwwww... !! »

Un long miaulement ténu s’échappa de ses lèvres, et Luna redressa la tête, lèvres écartées, sentant le plaisir éclater en elle.

« En-Encore, Esclave N-Noire, hmmm... !! »

La queue caudale de Luna s’était enroulée autour de la taille d’Esclave Noire, afin de bien la retenir, et de l’inciter à se faire prendre plus énergiquement. Encore, c’était pourtant de la gourmandise, car Esclave Noire était déjà très rapide ! La vitesse avec laquelle elle prenait Luna, ça n’avait pas de prix ! La neko hurlait et couinait, gesticulant sur place, bien incapable de pouvoir la repousser, et surtout de le vouloir. Au contraire, elle aimait cette douleur, elle en raffolait ! Yeux clos, elle se laissait baiser, hurlant, ronronnant, gémissant, et, quand elle les rouvrit... On pourrait voir, pour peu qu’on observait ses yeux, que ses pupilles avaient pris une lueur violette.

Luna était encore en train de faire parler sa magie, inconsciemment, sans même le réaliser, ce qui n’avait que pour effet de stimuler encore plus fortement ses amantes. Car, en ce moment, Luna était tout simplement terriblement heureuse, folle de joie, et incroyablement excitée par tout ce qu’elle vivait !

ALICE KORVANDER
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C’était avec plaisir qu’Alice embrassa Yuko, sa « sœur ». Il n’y avait aucun lien sanguin entre elles, mais Yuko était une amie d’enfance, qui s’était amusée, avec Yuka, à se considérer comme ses sœurs, en voyant combien Alice souffrait du fait d’être fille unique. Depuis lors, leur amitié n’avait fait que s’améliorer, que se raffermir, et ce surtout depuis l’époque où Alice s’était retrouvée plus libérée, sexuellement parlant. Elle avait découvert que les Karistal étaient de grandes perverses, et c’était en partie grâce à son intermédiaire que les Karistal avaient pu faire un partenariat avec Mélinda. La famille Karistal était désormais un partenaire solide du clan Warren, et Alice était fière d’y avoir un peu participé.

Alice gémit, se tortillant contre les mains expertes de Yuko, qui, tout en l’embrassant, en profitait volontiers pour la palper, tirant sur les cordes à travers sa séduisante robe en latex, faisant crisser cette dernière, arrachant à la Princesse de nouveaux soupirs et autres couinements. Yuko était toujours aussi douée, et Alice, en réalité, avait très envie de passer davantage de temps avec elle. Elle alla encore chercher un baiser, mais Yuko la rappela à la raison. Alice rougit alors en se mordillant les lèvres.

« Oui... Je fais de mon mieux ! Mais je crois qu’il va encore falloir que je donne de mon corps pour que tu me pardonnes définitivement... »

C’était, somme toute, un excellent subterfuge ! En tout cas, Alice attrapa Yuko par la main, et les deux femmes rejoignirent la chambre de Mélinda. Disposant d’un passe magnétique, Alice entra sans peine, et fut accueillie par un bel hurlement. Sur un lit, Mélinda, dans une redoutable robe noire en cuir, observait, sur le sol, sa femme, qui sodomisait Harmony, recouverte de bandages noires. La puissante femme portait une magnifique guêpière, et avait ses mains gantées posées sur les fesses de la servante, la bourrant fortement.

En voyant tout cela, Alice se mit à rougir furieusement, posant une main devant ses lèvres, avant de serrer ses doigts entre eux, et de se les pincer fermement.

« Mélinda... Je te présente Yuko, et... »

MÉLINDA WARREN
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« Je connais Yuko, ma chérie, ne t’en fais pas. Et je suis ravie de te voir ici, bien que surprise... Comme quoi, Terra est... »

Mélinda ne put achever, car Harmony venait brusquement d’hurler, réclamant à sa Maîtresse d’y aller plus doucement. Vanillia sourit en retour, et retira sa queue, avant de retourner en elle. Elle n’y allait pourtant pas si fort que ça. Vanillia pouvait certes se montrer un peu plus brutale que Mélinda, mais elle restait sa femme, et elle savait très bien à qui elle avait affaire. Harmony était une petite fleur fragile, qu’il ne fallait pas brusquer, ce qui expliquait pourquoi elle l’avait longuement léché, avant de finir par la prendre.

« On ne s’entend plus parler ! Ai, mets-lui un bâillon, ou enfourne ta queue dans sa bouche ! »

Harmony se laissait aller, ce qui n’était pas un mal, mais Mélinda avait tout de même des invitées à accueillir ! Laissant Ai s’occuper de la petite Ange, Mélinda se redressa, et se rapprocha du duo. Très rapidement, elle embrassa tendrement Yuko sur les lèvres, collant son corps au sien, l’enlaçant, glissant ses doigts sur ses cheveux.

« Hmmmm... On ne se voit pas assez, Yuko... Je me rappelle encore des miaulements que toi et ta sœur poussiez... Et tu as enfilé mon cadeau, en plus... J’en suis flattée ! »

Yuko portait une très belle tenue rouge, extrêmement moulante, dévoilant ses formes, et Mélinda s’amusa à les caresser. Certes, Yuka n’était pas là, mais Mélinda avait bon espoir de la voir venir rapidement. Elle comprenait tout à fait qu’elle soit occupée avec d’autres nekos, quand on connaissait la passion dévorante des jumelles pour ces créatures hybrides. La vampire s’écarta un peu d’elle, et observa brièvement Harmony. La jeune Ange était en train de succomber au plaisir suprême. Après des semaines et des semaines d’hésitation, il était quand même temps ! Vanillia avait fini par la forcer un peu, mais Mélinda savait qu’Harmony allait aimer ça.

En attendant, Mélinda se retourna vers Yuko.

« Alors... Comme c’est Alice qui nous a permis de nous connaître, Yuko, je pense que le mieux est que nous nous occupions d’elle toutes les deux, non ? Tu la trouves comment dans sa belle robe violette ? C’est moi qui la lui ai offerte, tu sais... Je trouve que ça lui va très bien ! »

Très gênée, Alice n’osait pas parler, les joues rouges, et surtout très excitée à l’idée d’être la cible de ces deux femmes belles et fortes !


SHA
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Sha avait avoué son plus grand fantasme... Celui de jouer une petite servante soumise, très proche de Kiriko. Pour autant, jusqu’à quel point Sha était-elle honnête ? Elle lui avait affirmé que Rem n’était qu’une projection d’elle-même... Mais la réalité était plus subtile. Elle avait parfois pris l’apparence de Rem, mais Rem existait vraiment. Elle le dirait plus tard à Kiriko. Pour l’heure, Sha avait effectivement envie de sentir cette femme la prendre fort. Elle avait donc monté ce petit subterfuge, cette douce histoire. Elle ferait ensuite à Kiriko les précisions utiles, car elle ne voulait pas que la vraie Rem soit sanctionnée. Si Sha avait choisi l’identité de Rem, c’est parce qu’elle savait que la petite servante, une orpheline, était secrètement amoureuse de Kiriko, qu’elle idéalisait beaucoup, voyant en elle un exemple à suivre, une mentor, une idole. Rem était après tout refermée sur elle-même, manquant terriblement de confiance en ses propres capacités. Partant de là, elle ne pouvait qu’être très impressionnée par Kiriko. Et ça, Sha avait su el rendre à la perfection.

Elle se pinça les lèvres en constatant que Kiriko ne se retrouvait pas bloquée. Sha était sûre que, si elle avait dit à Kiriko qu’elle prenait parfois l’apparence de Rem, la sorcière n’aurait pas réagi de la sorte. Il fallait la stimuler un peu, l’énerver, et lui faire croire qu’elle lui avait menti depuis le début, c’était, à on sens, un moyen très efficace. Son instinct ne lui avait pas menti, et elle sentit la Celkhane se presser dans son dos, jurant à Rem qu’elle allait la faire souffrir.

« Mais, Maîtresse, Rem est gentille avec vous... »

Rem avait une petite voix, incroyablement douce, et parlait très souvent d’elle à la troisième personne du singulier, comme pour mieux marquer sa nature de soumise. Elle se dandina sur place, avant de se mordiller les lèvres en sentant la verge de Kiriko heurter le creux de ses fesses. Kiriko avait indiqué qu’elle enfanterait uniquement Sha, pas Rem... Et c’était une vision que Sha partageait entièrement. Se mordillant les lèvres, la jeune servante sentit alors la verge de Kiriko s’enfoncer dans ses fesses étroites.

« Haaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaannn, Maî-Maîtresse, haaaaaaaaaaaa... !! »

Les hurlements de Rem se mirent à emplir l’espace. Les mains de Kiriko tenaient ses poignets, l’empêchant de pouvoir trop se débattre, et continua à la prendre, reculant son corps, puis fila encore en avant. Oh ! Comme Sha aimait ça ! Elle aimait toujours voir Kiriko jouer la dominatrice avec ses amantes, tant le spectacle lui changeait. Certes, elle adorait soumettre et humilier sa Celkhane, mais, parfois, la voir fouetter des servantes, coucher avec des gardes, c’était un pur délice. Et, maintenant que Kiriko était membrée, Sha sentait bien qu’elle reviendrait souvent usurper les traits de la brave Rem.

« Maî-Maîtresse... Ne doit pas pu-punir R-Rem, hmmmm... !! Rem... Rem est gen... Haaaaaaannnn... Gen-Gentille !! Rem ne... Ne mér-mérite pas ça... ! »

Tout était fait pour irriter Kiriko, pour la forcer à baiser Rem avec encore plus d’énergie et d’hardiesse. En même temps, il fallait bien admettre que, avec sa combinaison moulante et noire, qui crissait à chacun de ses coups, Kiriko était tout simplement magnifique, une pure œuvre d’art... La définition même de la beauté, en vérité ! Sha était tout simplement sous le charme, entièrement et totalement subjuguée...

CRYSTAL
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Crystal et Neferia étaient en train de singulièrement se rapprocher. Et ça, ce n’était vraiment pas une mauvaise chose, bien au contraire. Entre elles, une relation très particulière avait progressivement vu le jour. Crystal, la dragonne si froide, qui ne s’imaginait pas devoir un jour se rapprocher à nouveau d’une autre personne au point de la laisser entrer dans sa vie... Et elle, Neferia, une jeune femme extrêmement arrogante, qui avait également de gros problèmes de sociabilité. Somme toute, quand on mettait tout cela en perspective, on en tirait pour conclusions qu’elles étaient faites pour se rencontrer, l’une et l’autre.

« C’est vrai, Neferia... Ma Princesse. »

Neferia se redressa alors contre Crystal, et vint partager avec elle un long et tendre baiser. Les deux femmes se collèrent doucement l’une à l’autre, et, si Neferia entoura ses bras autour de la nuque de Crystal, celle-ci posa une main sur ses cheveux, serrant sa nuque, et caressa son corps avec l’autre. Elles s’embrassèrent ainsi pendant quelques instants, jusqu’à ce que Neferia ne rompe tout doucement le baiser, un léger sourire sur les lèvres.

Elle s’était bien collée à elle, et, pour première réponse, Crystal raffermit ses bras sur les siens, venant caresser son dos, ses ongles glissant sur sa peau, la caressant, la grattant. Bien plus que du sexe, c’était un véritable câlin maternel qu’elle lui faisait. Crystal releva même un peu son corps, enfouissant ainsi le visage de Neferia entre ses seins volumineux.

« Bien sûr... J’ai câliné comme ça mes enfants pendant très longtemps, tu sais... Je leur chantais des comptines pour les endormir en jouant avec leurs cheveux. Mais toi, tu es un peu trop vieille pour des comptines, n’est-ce pas ? »

Crystal en sourit doucement, et, joignant le geste à la parole, s’attaquait aux cheveux de Neferia, les caressant doucement, tendrement, avec une lente et savoureuse passion. Rien ne pressait avec elle, et elle avait bel et bien envie de profiter le plus longtemps possible de l’agréable corps de Neferia...

POISON IVY
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Harley & Ivy, c’était une longue histoire ! Et les deux avaient indéniablement changé en s’étant rencontrées. Pamela s’était adoucie, et avait vu en l’humanité autre chose qu’une menace à éradiquer. Quant à Harley, elle avait gagné en confiance, en assurance, au point de se libérer de la mainmise du Joker, et de mener une vie plus épanouie. Qui aurait pu imaginer qu’Harley puisse un jour porter la culotte ? Là, dans cette chambre d’hôtel, la jeune blonde accomplissait d’incroyables progrès, ce qui ne manquait pas d’exciter furieusement Pamela. Une nouvelle Harley se tenait là, plus dominatrice, plus sûre d’elle-même et de ses propres capacités... Comment ne pas être heureuse ? Ivy la suçait donc, frénétiquement, énergiquement, avec un appétit renouvelé, et elle n’était que motivée par les multiples soupirs et gémissements que son amante poussait.

Poison Ivy s’évertuait à pousser la femme dans ses ultimes retranchements, et ne tarda pas à avoir entière satisfaction. Dans un grand soupir, Harley se vida en elle, répandant sa semence contre ses lèvres. Elle se mit à jouir généreusement, et, yeux clos, Ivy soupira ce liquide, cette projection de sperme qui filait dans sa bouche.

« Hmmmmmmmm... !! »

Ceci fait, Ivy se redressa, et s’empressa d’embrasser sa belle, se serrant contre elle. Elle n’aurait jamais cru pouvoir le dire un jour à l’égard d’un autre être humain, mais... Il n’y avait plus aucun doute.

« Ma chérie, je t’aime... »

Ivy lui fit un petit câlin, sentant la queue trempée d’Harley caresser son bas-ventre. Néanmoins, Harley avait d’autres projets en tête. Elle s’était engagée à prendre Ivy en de multiples endroits, et, comme elle l’indiqua rapidement, pour l’heure, elle n’avait rempli qu’un objectif sur trois. Il fallait donc, par conséquent, passer à la suite. Encore une fois, Harley surprit très agréablement Ivy, car elle la repoussa contre le mur, et la retourna la mettant ventre au mur. Les mains de Pamela s’écartèrent et se posèrent sur ce dernier. Elle se pinça doucement les lèvres, frissonnant en sentant ensuite le phallus de son amante approcher sa porte arrière.

« Oh, Harley, tu comptes vraiment me baiser... Moi, Pamela ? Poison Ivy ?! »

Ce n’était qu’une manière de la narguer davantage. La petite soumise du Joker était maintenant une femme forte et indépendante, qui avait très envie de le rappeler à quiconque oserait en douter. Ivy hurla donc en sentant Harley la pénétrer, serrant son corps contre le sien, et se laissa aller à son tour, sa mouille se répandant sur le mur.

« Ohhhhh... Hmmmm... !! Ha-Harley, haaaa... !! Bai-Baise-moi f-fort, haaaaannnn... !! Fais-moi maaaal, hmmmmm... !! »

Oh oui, oui, qu’elle la fasse hurler, c’était tout ce que Poison Ivy réclamait de sa part !

FÉLICIA HARDY
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Félicia n’arrivait plus à s’en lasser. Elle n’avait pourtant jamais été aussi perverse, mais, face à Aoki, la Chatte Noire ne pouvait que se rendre à l’évidence : Aoki la rendait nympho’. Terriblement perverse, pourrait-on dire. Coucher avec Aoki, c’était dépasser le stade de la raison. Leurs câlins étaient aussi longs qu’intenses, très souvent brutaux et violents, à tel point que, si on ne les connaissait pas, on aurait pu croire qu’elles se haïssaient. Très souvent, Félicia mêlait la douleur à leurs ébats, en baisant Aoki longuement, même quand elle finissait par perdre connaissance. Savoir qui avait déteint sur l’autre était un grand sujet de débat, mais à bien y réfléchir, Aoki était déjà très coquine avant de croiser la route de Félicia. Elle s’amusait à coucher avec ses élèves, et Félicia avait suivi le mouvement avec elle. Maintenant, on pouvait toutefois dire que l’élève avait dépassé le maître, tant Félicia se montrait une amante gourmande, énergique, insatiable...

Elle s’enfonça donc dans le cul d’Aoki quand cette dernière le lui demanda. Comment résister à une telle demande ? Au corps parfaitement moulé d’Aoki ? À ce petit cul qui se frottait contre elle, et qui ne contribuait qu’à la stimuler ? Non ! Impossible de lutter, tout simplement ! La Chatte Noire s’enfonça donc dans ses fesses, et, tandis que sa queue remontait dans son fondement, et faisait hurler Aoki, ses mains se crispèrent sur ses fesses, les pinçant, les serrant. Tout son corps en frémissait, des vibrations sonores s’échappant de sa peau.

« Hmmmm... A-Aoki, haaaaa... !! Petite pute, hmmm... Tu aimes ça, h-hein ? Hmmmm... Me-Me sentir dans... Haaaa... Dans ton cul de salope, hmmm... !! »

Oh oui, les mots venaient, bien fleuris, bien sentis ! La Chatte Noire ne la prenait pas par le dos de la cuiller, s’enfonçant énergiquement en elle, faisant hurler son aimée, la giflant et la fessant au passage. Le corps d’Aoki filait d’avant en arrière, la douleur hurlant dans le corps de Félicia, partant de son sexe, délicieusement comprimé contre la rondelle d’Aoki, pour se diluer en elle, la remplissant intégralement.

« Hnnnnnn... Haaaaaaaaaaa... Mmmmhmmmm... !! »

De longs et profonds soupirs accompagnaient les coups de reins de Félicia. Imperturbable, cette dernière ne cessait de la prendre, sans relâche, jusqu’à finir, au bout de nombreuses minutes, par jouir copieusement. Ses mains la griffaient alors, car Félicia adorait tout. Le corps d’Aoki, sa combinaison moulante qui crissait contre ses doigts... Oh, ce ne serait sûrement pas la dernière fois que Félicia jouerait ainsi avec « {i]Cat Aoki[/i] » ! Sûrement pas, même, vu la beauté phénoménale qu’était son amante.

Après avoir joui en elle, Félicia se retira en soupirant, respirant lourdement.

« Normalement, je devrais aller aux toilettes pour me soulager, mais... Tu as dit que tu prendrais ‘‘tout’’ ce qui sort de mon corps, alors... C’est le moment de voir si tu es une gentille chatte, ou si tu aimes fanfaronner ! »

Allait-elle avaler son liquide doré ? À Aoki de voir !

MIRANDA FORGE
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Pour dominer Miranda, Rouge allait clairement devoir se surpasser ! Les Uatéenes étaient réputées pour leur expérience sexuelle, et, pour le coup, Miranda faisait très largement honneur à cette réputation. Le sexe était pour elle quelque chose de quotidien et de très fréquent. Elle faisait très souvent l’amour, quotidiennement, sous bien des positions, et avec bien des partenaires, autant des femmes que des hommes. Miranda était une véritable pansexuelle, et Rouge était en train de le réaliser. Elle réfléchissait donc, et opta pour une approche différente. La Terranide chauve-souris éteignit la télévision, et plongea la pièce dans l’obscurité. Miranda, qui disposait de ses lunettes, pouvait, le cas échéant, activer une vision nocturne. En effet, les lunettes de Miranda ne servaient pas à corriger un défaut de vue inexistant, mais, outre à lui donner un ton sexy, à l’aider.

Les lunettes de Miranda disposaient en effet de fonctions très avancées, mais, pour l’heure, elle choisit de les laisser inactives. Rapidement, Rouge vint à la palper, à la caresser, à la titiller, perturbant et désorientant Miranda, tout en l’intriguant aussi.

« Rouge, qu’est-ce que tu... »

Sa question mourut dans sa gorge quand Rouge la souleva brusquement. Miranda avait perçu un courant d’air, et sentit des bras la soulever, avant de rejoindre le plafond. Elle battit des jambes, mais sentit une main se poser sur son bassin, la ramenant en arrière, l’aidant ainsi à s’allonger contre Rouge. Miranda cligna des yeux, surprise, sentant une autre main se poser sur ses seins. Rouge la ceinturait, la tenant contre elle, la tête de Miranda plongeant vers le sol... Et elle sentit soudain la verge de la femme s’enfoncer dans son corps, ciblant le premier trou accessible... Miranda se pinça les lèvres en sentant la queue de Rouge s’enfoncer dans son fondement, remuant dans ses fesses, lui offrant une véritable sodomie aérienne.

« Ohhhh... Rouge, hmmm... !! »

Cette sensation était réellement incroyable ! Miranda se mit à mouiller rapidement, sa cyprine tombant sur le sol, et remua ses mains, caressant la main de Rouge pinçant son téton, et usa de son autre main pour se masturber, gémissant longuement.

« Oui, ma chérie, haaaa... C’est b-Bien, Rouge, hmmm... Baise-moi fort, hmmmm... Ma belle voleuse, haaaaaa... !! »

En ce moment, Rouge était en train de marquer des points, ce qui, à terme, ne serait peut-être pas pour la rassurer. En effet, et à bien y réfléchir, Miranda avait de plus en plus envie de l’embaucher avec elle ! Une Terranide chauve-souris, ça ne courait pas les rues, et cette jeune femme était tout simplement exquise, bourrant Miranda bien comme il fallait, la faisant hurler et longuement gémir de plaisir.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa... Hmmmmmmmmmmmmmm... !! O-OOOOUUUIIIII, haaaaaaaaaaaa... !! »

SAMARA
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Les hurlements hystériques de Sya étaient particulièrement jouissifs. Difficile de croire, en voyant la jeune femme, qu’elle avait jadis été une Ange prude et chaste. Le sexe était désormais le pilier de Sya, un élément fondamental de son identité profonde. Impossible, pour elle, de chercher à le nier. Samara, qui était encore loin de se douter des véritables projets de Sya, la baisait avec une énergie remarquable. Avec Sya, Samara savait qu’elle pouvait se lâcher, et, à chaque fois qu’elle lui faisait l’amour, elle y mettait toujours une énergie assez impressionnante, confirmant ainsi que le sexe était, fondamentalement, une violence solide et exquise. La démone la prenait donc vigoureusement, très excitée par Sya, par sa transformation en démone, et par sa beauté redoutable.

Sya, elle, hurlait à s’en casser la voix, et c’était une chance que les murs de la chambre d’hôtel soient insonorisés. Les cris de Sya étaient ainsi couverts, pendant que l’Archimage continuait à la prendre, énergiquement, sans relâche, en la giflant sans hésitation.

« Ouiii, hmmm... Sa-Salope, hmmm... Tu aimes ça, h-hein... ?! Sentir ta Mère... Te baiser... Petite pute, hrmmmmpffff... !! »

Jouer simultanément avec deux verges, c’était assez difficile, et Samara était en train de puiser dans la magie rose pour tenir le rythme. Elle continuait à griffer la doucereuse chair de Sya, jusqu’à... Les ongles de Samara se crispèrent, son corps se tendit, et ses muscles semblèrent se bloquer. Puis, dans un nouveau cri, crachant même de la salive, Samara ferma les yeux, et se laissa aller au plaisir exquis, et indescriptible, d’un double orgasme. Ses deux queues, bien grosses, et bien juteuses, répandirent des filaments de foutre dans tout le corps de Sya. Samara éjacula joyeusement, serrant les lèvres, gémissant longuement, en crachant des monceaux de sperme, des filaments crémeux qui partirent remplir le corps de la petite Ange.

« Haaaa... Haaaa, que c’est bon, bordel... ! »

Samara avait généreusement joui dans le corps de Sya, mais la petite Ange en voulait encore. Elle caressa avec sa queue caudale le sexe de Samara, qui soupira lentement, tout en souriant. Le ventre de Sya s’était très joliment arrondi, lui donnant l’apparence d’une femme enceinte. Une heureuse coïncidence, car l’Archimage, faut-il le répéter, ignorait que Sya prévoyait de lui faire un enfant surprise. La démone se contentait de la baiser, mais Sya, insatiable, lui énuméra toute une liste de choses à faire, espérant que sa Maman n’était pas encore épuisée.

En retour, la démone sourit encore, et s’assit sur un fauteuil, tournant la tête sur le côté. Son sexe avait repris une apparence normale, ne se dotant plus que d’une seule verge, trempée, recouverte de la cyprine de Sya, et qui se dressait encore joyeusement en hauteur, comme un signe.

« C’est l’atmosphère de cet hôtel qui te rend si gourmande, Sya ? Mais... Ce n’est pas pour me déplaire, après tout. »

Elle sourit donc, et trouva rapidement ce qu’elles allaient faire. Que Sya se rassure, Samara ne s’épuisait pas aussi facilement ! Mais, pour l’heure, l’Ange restait encore avec son ventre arrondi. Samara usait en effet de sa magie pour maintenir tout ce flot de foutre en elle, s’assurant ainsi de donner à Sya une apparence de femme enceinte. Elle aimait voir sa petite Sya ainsi, sans trop se l’expliquer. Qui sait ? Peut-être que, inconsciemment, Samara avait envie d’avoir une fille, et que Sya la porte...

En tout cas, elle tendit la main, et la chaîne métallique de Sya s’allongea alors, jusqu’à se nicher dans sa paume. Samara tira alors dessus, et renversa Sya, la faisant tomber du lit. La jeune Ange tomba à même le sol, et Samara tira sur la chaîne.

« Allez, sale pute ! Approche à quatre pattes de Maman, et viens nettoyer sa queue avec tes seins. Et ouvre bien la bouche, Maman a envie de se soulager en toi... »

Samara montrait à chaque fois à Sya à quel point elle aussi était perverse. En effet, ce que Samara avait en tête, ce n’était pas du sperme, mais un liquide plus acide, plus doré... Elle comptait bel et bien uriner dans sa bouche !

RYOUKA
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Ainsi donc, Tsukasa avait vraiment envie de dominer Nika ? Ryouka ne put qu’en sourire. Son corps était légèrement en sueur, ce qui était une habitude chez elle. La Uatéene avait pourtant longuement parlé à Tsukasa de sa sœur, mais, visiblement, tout ce qu’elle avait dit sur elle n’avait fait que l’encourager. Nika était une grande dominatrice. Mais sa domination n’était pas que sexuelle. En fait, la domination sexuelle de Nika n’était qu’une facette de la relation qui les unissait, toutes les deux. Les lèvres de Nika se posèrent sur les lèvres de Tsukasa, et, pendant que cette dernière faisait ses tractations, et titillait des doigts les fesses de Nika, cette dernière gifla son cul, avant de poser fermement sa main sur son postérieur.

« Oh, mais il n’y a pas que la queue, petite impertinente. C’est comme ça, c’est tout… C’est moi qui veille sur Ryouka depuis qu’elle est toute petite. Nous ne sommes pas vraiment sœurs, tu sais… »

Tsukasa faisait partie des rares personnes, sur Terra, qui savaient que les Spänje n’étaient pas des sœurs de sang. Elles étaient deux orphelines, victimes des attaques des Formiens sur les cités uatéenes, qui avaient fini dans un orphelinat. Et Nika et Ryouka s’étaient rapidement trouvées. Nika était déjà une tête brûlée à l’époque, qui tapait sur les garçons et sur les autres filles, et, surtout, qui protégeait continuellement Ryouka. Ryouka s’en souvenait encore très bien, disposant d’une mémoire eidétique.

Ryouka et Nika s’étaient rencontrées pour la première fois dans le bus les emmenant à l’orphelinat, et Ryouka était inconsolable, pleurant à chaudes larmes. Un bus militaire, ramenant des survivants d’une attaque formienne. Nika s’était approchée d’elle, et lui avait donné son ours en peluche, à qui il manquait une patte. Même aujourd’hui, cet ours en peluche borgne était son bien le plus précieux, qu’elle conservait soigneusement chez elle, et qui symbolisait l’amour régnant entre elle et Nika. Nika avait donc toujours veillé sur Ryouka, y compris en matière sexuelle. Nika s’était même demandée si, quand les Formiens avaient attaqué la ville, Ryouka n’avait pas été infectée par une quelconque spore, ce qui expliquerait, à la puberté, son côté très nymphomane.

Tsukasa, donc, connaissait cette histoire, que Ryouka lui avait raconté entre plusieurs coups de reins. Ryouka ne refusait donc rien à Nika, c’était comme ça entre elles. Mais Tsukasa n’était pas Ryouka, et elle pouvait donc aller à se risquer à provoquer Nika, et à émettre l’idée que cette dernière puisse aimer être soumise.

« Ryouka n’a pas tari d’éloges sur toi, tu sais… Ton insolence, ton manque de pudeur. Mais je constate qu’elle était en-deçà de la réalité.
- J’ai fait un rapport honnête ! protesta Ryouka.
- Tu as entendu ce que Tsukasa a dit, n’est-ce pas ? Elle voudrait que toi, mon petit chaton, tu me dresses, moi… »

Ryouka se pinça les lèvres en rougissant.

« Ben je, euh… »

Nika sourit alors, et reporta son regard sur Tsukasa, qui continuait à se lover contre elle.

« Mais je vais vous montrer, à toutes les deux, que je sais être bonne joueuse, et que je ne suis pas psychorigide. Mets-toi à quatre pattes, Tsukasa, je vais t’enculer bien fort, et… Si tu jouis en premier, alors je te dominerai toute la nuit, et on en reparlera demain. Mais, si c’est moi qui me lâche en toi… Vous pourrez toutes les deux me dresser. Qu’en dis-tu ? »

Pour Ryouka, ce marché semblait honnête, mais elle avait encore bien du mal à s’imaginer Nika en soumise. Ce rôle ne lui irait tellement pas ! Mais, en pensant ça, Ryouka n’était pas du tout objective. Nika, elle, ponctua sa proposition d’une bonne grosse claque sur le cul de Tsukasa, faisant claquer sa main sur sa peau. C’était maintenant à Tsukasa de choisir, mais, si elle acceptait, Nika s’empresserait de la sodomiser bien fort !

Quant à Ryouka… Difficile de dire si elle allait se contenter de faire sa spectatrice silencieuse, ou choisir d’intervenir quand même.

JESSICA DREW
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Une mère et un père ?! Jessica tiqua un peu à cette idée. Comme quoi, vu le naturel avec lequel Konata parlait de sa famille, c’était bien la preuve qu’elle ne venait pas de Uatis. Non pas que cette idée choque Jessica, mais il fallait bien admettre que, à Uatis, la norme sociétale était d’avoir deux mères. Enfin, tout cela était sans importance, et elle garda ses réflexions pour elle-même. Jessica avait encore du mal à croire ce qui lui arrivait. Qui aurait cru, en effet, qu’une simple excursion touristique au Paradisio Hotel de Novac puisse l’amener à croiser une femme dotée de superpouvoirs ? Terra était un monde bien petit ! La belle féline, devant elle, lui avoua alors que sa mère était morte, et Jessica, déjà silencieuse, resta encore plus taisante, un peu gênée par cet aveu… Et quand même heurtée par l’idée que Konata puisse être élevée par un seul mâle. Comme quoi, le poids des préjugés avait son importance.

Konata lui demanda alors, comme pour mettre fin à une conversation gênante, si elle utilisait ses pouvoirs pour faire le bien. Et, là encore, avant que Jessica ne puisse répondre, Konata enchaîna, en mélangeant super-héros et gaming, expliquant qu’elles feraient un bon duo. Cet entrain ne manqua pas d’arracher un léger sourire sur les lèvres de Jessica, qui croisa les bras.

« Eh bien… Oui, tu es plutôt polyvalente. Moi, mes pouvoirs sont beaucoup plus restreints. »

Restait encore à savoir ce qu’elle devait en faire.

« Au début, je m’entraînais juste avec, à essayer de les maîtriser, et, quand j’ai vu une femme se faire agresser, je suis intervenue… Mais je ne voulais pas que mon identité soit connue, pour ne pas poser de soucis à ma famille. J’ai donc poursuivi mes entraînements en enfilant une combinaison avec un masque, mais… »

Elle se pinça les lèvres.

« C’est amusant à dire, mais… Je suis devenue une super-héroïne un peu contre ma volonté. »

En s’entraînant, elle avait affronté des gangsters, aidé des individus dans des incendies. Comment faire autrement ? Quand elle se déplaçait d’immeuble en immeuble, elle avait vu un incendie ravager un laboratoire, suite à une fuite de produits chimiques, et était rentrée dedans par la fenêtre. Elle avait secouru les gens, et, depuis lors, Spider-Woman était devenue une justicière. Sa réputation était faite, mais elle n’était pas sans lui poser de problèmes. La vie de Spider-Woman n’était pas simple, et elle ne pouvait surtout pas se confier à ses mères. Maman Carol détestait Spider-Woman, voyant en elle une excentrique dévergondée, une folle furieuse bonne à enfermer, et qui, par ses actions, donnerait de mauvaises idées à la jeunesse uatéene.

Alors, forcément, Jessica agissait en secret, sans trop savoir si elle devait raccrocher ou non. Aemiliane l’avait clairement aidé à faire le bon choix, en comprenant qu’elle pouvait être une force positive, et qu’il y avait peut-être une place sur Uatis pour Spider-Woman.

« Enfin, voilà, je fais de mon mieux… »

Jessica se pinça encore les lèvres. On pouvait constater qu’elle était toujours un peu nerveuse à l’idée de parler d’elle-même, et enchaîna donc :

« Et, sinon… Je ne t’ai jamais vu du côté de Uatis city, tu es dans quelle ville ? »

MILWËN NOVAC
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Visiblement, marier Elena passionnait autant la noblesse lumenienne que les simples citoyens uatéens ou celkhans ! Milwën en souriait légèrement. Très bizarrement, on ne lui demandait jamais, à elle, si elle voulait se marier. Or, Milwën était aussi un chef d’État. Elle était la Baronne de Novac, un micro-État qui était devenu extrêmement populaire en développant les nanomachines, et en parvenant à développer le traitement le plus efficace qui soit, à l’heure actuelle, contre le cancer. Milwën était un véritable génie scientifique, respectée sur tout Terra. Elena était ravie de pouvoir manger avec elle, et le simple fait qu’elle accepte de partager sa table avec Suki et Rinako suffisaient à démontrer qu’elle n’était pas une femme prétentieuse et orgueilleuse. Sur ce point, on ne pourrait sans doute jamais suffisamment remercier assez les moines du monastère de Saint-Antoine, qui avaient scrupuleusement veillé à ce que la jeune Reine apprenne l’humilité et la modestie.

Elena était pour l’heure une Reine conspuée et honnie par son peuple, et Milwën savait toute l’injustice de cette situation. La Reine avait hérité d’un pays au bord de la crise économique, acculé par une guerre interminable contre les Mijakiens, et dont l’économie était gangrénée par de grands groupes et de puissantes guildes qui exerçaient des monopoles étouffant l’économie libérale lumenienne. Une situation très difficile à gérer, d’autant plus qu’elle n’avait toujours pas récupéré tous ses pouvoirs, la régence étant toujours exercée, pour l’heure, par le Conseil de régence de la cité-État.

Rinako demanda donc à Elena si elle avait une fiancée, voire un prétendant, ce qui la fit légèrement sourire.

« Non, il n’y a personne en vue.
- C’est gentil à vous de vouloir caser Elena à tout prix, mais la Reine est encore un peu jeune pour songer à ce genre de choses.
- Et j’ai des priorités bien plus importantes que de songer à me marier. »

Sur ce point, Milwën pouvait la contredire. Il était fréquent que, dès l’âge de dix ans, les Lumeniens de bonne famille soient déjà engagés dans des fiançailles. Et, dans le cas de Lumen, il ne faisait aucun doute qu’un mariage politique permettrait à Elena de raffermir son autorité sur certaines familles… Mais le tout au détriment d’autres familles. Lumen avait failli sombrer dans le chaos après la mort de Liam et de Nöly Ivory. Les grandes familles de Lumen y avaient vu l’occasion de pouvoir prendre le contrôle du royaume, qui avait toujours été dirigé par les Ivory. On avait parlé de l’avènement d’une nouvelle dynastie pendant quelques semaines, jusqu’à ce que le Grand Confesseur de l’Ordre Immaculé en personne ne certifie que la jeune Reine Elena Ivory était toujours en vie. La guerre civile avait été évitée, mais les ambitions naissantes avaient toujours du mal à s’éteindre.

La Baronne était suffisamment cultivée pour savoir que tout cela était un sac de nœuds.

« En tout cas, j’espère que votre séjour ici se passera bien, enchaîna Milwën.
- Je ne me fais aucun doute là-dessus, répliqua Elena en souriant légèrement. Novac est à la hauteur de sa réputation… »

Milwën sourit légèrement.

« Il faut bien l’être, Majesté. »

La Baronne se retourna alors vers les deux Celkhanes :

« Et vous, Mesdames ? Si vous nous parliez un peu de Caelestis ? L’Archipel Céleste est-il aussi joli qu’on le dit ? »

RAYNE
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Le Manoir Hanté n’était pas une attraction à sensations, mais sur le thème de l’horreur. Les touristes, dans la peau d’un détective, devaient résoudre la disparition d’une jeune fille, et en profitaient pour découvrir les secrets de cette redoutable maison. L’attraction reposait donc sur une exploration libre de ce vaste manoir. Salon, chambres à l’étage, grenier… Certaines pièces étaient fermées, et nécessitaient de résoudre des énigmes pour les déverrouiller. C’était une attraction à succès, mais, pour pouvoir y aller, il fallait nécessairement, préalablement, réserver sa place, l’attraction ne pouvant fonctionner qu’avec un nombre de personnes limitées.

Ce soir, le Manoir Hanté était fermé, ce qui faisait que le trio s’y aventurait sans risque de tomber sur des touristes. Rayne menait la marche, laissant les deux mystérieuses mutantes la suivre. Elle se fiait à ses instincts vampiriques, sentant la présence des vampires de Kagan à proximité. Kagan, son père… Rien qu’à l’évocation de ce nom, Rayne sentait sa colère revenir. Elle avait failli tuer Kagan jadis, mais ce maudit cancrelat avait réussi à lui échapper, et avait pansé ses plaies. Il était dangereux, sans doute encore plus qu’avant, maintenant qu’il avait trouvé de sinistres alliés.

« Soyez prudentes, il y a quantité de pièges et de fausses portes ici… »

Le trio rejoignit une mezzanine surplombant la salle à manger, où une grande table avec de l’argenterie avait été dressée. Un feu crépitait sous elles, dans l’âtre de la cheminée. Rayne ouvrit la porte qui se présentait à elles, les amenant dans un débarras poussiéreux et qui sentait le moisi. Il y avait plusieurs seaux sur le sol, du désherbant le long des étagères… Et Rayne fronça les sourcils en sentant soudain des groupes sanguins se rapprocher.

« Attention… !! »

Trop tard ! Un vampire jaillit depuis l’un des étagères, tendant ses doigts griffus et ses canines géantes vers la gorge de Magie. Rayne allait déployer sa lame dhampir pour trancher la gorge du malandrin, mais l’épée nflammée de Magie réagit al première, et embrocha le vampire, l’enflammant sur place. Rayne sourit légèrement.

« Bien joué, pe… »

Le mur du fond explosa brusquement, et un autre vampire attrapa Rayne à la gorge, puis fila à côté des deux jeunes femmes. Rayne retourna dans la mezzanine, et le vampire, une masse épaisse, l’envoya par-dessus la balustrade, l’envoyant s’écraser au milieu de la table à manger, avec lui au-dessus d’eux.

« Gaaaah… !!
- Rayne ! Tu es toujours en vie ? Quelle ténacité ! »

La Dhampir se débattit en sentant des griffes s’enfoncer dans la peau de son cou, faisant couler son sang.

« Gor… Gorgoth ! »

Gorgoth était l’un des éternels lieutenants de Kagan, un vampire massif qui le suivait docilement depuis des siècles. Un individu monstrueux, dénué de morale et de compassion. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, quand Kagan avait rejoint le Troisième Reich, dans l’espoir d’en faire un Empire vampirique, Gorgoth avait été un officier de la Waffen-SS, et avait commis bon nombre d’exactions, de viols, de meurtres, et de scènes barbares sur le front soviétique.

Le vampire sourit hideusement, et souleva Rayne sur quelques centimètres, pour envoyer son corps s’écraser à nouveau sur la table. Tout autour de Gorgoth, des chauve-souris volaient dans les airs, prenant alors la forme de vampires à la peau grisâtre ou sombres, dotées d’ailes, et qui hurlèrent vers Laura et Magie. Des noctules, mélange entre des monstres nécrophages et des vampires.

« Tu te reconvertis dans la garderie, Rayne d’amour ?
- Aaahh… Je… J’vais t’buter, enfoiré !
- Oh, j’en doute… J’ai failli te tuer sur ce yacht, si tu n’avais pas eu la présence d’esprit de sauver dans l’eau. Je savais bien que tu avais dû atterrir sur l’une des îles proches du yacht, mais… Il y a beaucoup d’îles ici ! »

Rayne grogna encore, et planta ses mains dans le poignet de Gorgoth, enfonçant ses griffes, ce qui ne manqua pas de faire rire le vampire.

« Aurais-tu oublié, petite teigneuse ? »

Avec son autre main, il frappa violemment Rayne au visage, lui brisant le nez. Elle cracha du sang. Gorgoth était insensible à la douleur. Une insensibilité génétique, qui le rendait particulièrement redoutable, faisant de lui le parfait exécutant pour Kagan.

« Il est trop tard, ma jeune Rayne… Jadis, Kagan aurait voulu que je te ramène en vie, mais, cette fois, je crois qu’il se contentera de ton cadavre… »

Il serra encore, et Rayne se mit à cracher, cherchant à aspirer de l’air, ou à trouver un objet suffisamment contondant pour repousser Gorgoth.

*BANG !*

La détonation rugit dans la pièce, la balle atteignant le dos du massif vampire. Un puissant coup de feu qui l’amena à se retourner.

« Que… ? »

*BANG !*

Le second tir l’atteignit en pleine tête, et lui fit lâcher prise, son corps s’effondrant sur le sol. Rayne toussa en se relevant, et cligna des yeux, croyant avoir encore un traumatisme crânien… Car une superbe femme en robe rouge en latex se tenait devant elle, pistolet à la main.

Rayne toussa en cherchant de l’air. Malheureusement, elle n’avait pas le temps de discuter avec elle, car les chauve-souris se rapprochèrent des deux femmes, plusieurs noctules venant les attaquer…
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Hinata Kaguya »

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Hinata Kaguya
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Hinata/Nora

L'idée de Shunya était quand même drôle, vu le nombre de fois où Hinata avait honorer sa femme, lui demander comment faire avait quelque chose de comique à vrai dire. Mais ni Hinata, ni Nora ne s'en offusquait, venant uniquement obéir à la jeune femme et donc pour Nora, faire l'amour à Hinata. Une chose qu'elle n'avait pas fait depuis bien longtemps à faire dire. L'ange a été celle qui lui a prise bon nombre de première fois même si le plaisir anal restait encore un mystère pour elle, un cadeau pour Shunya qu'elle comptait lui offrir durant ce voyage de noces, maintenant que la belle avait une queue, il fallait en profiter et jusqu'au bout. Nora n'avait pas touché Hinata depuis sa rencontre avec Shunya justement, depuis leur rencontre, l'ancienne princesse n'avait d'yeux que pour sa fiancée et personne d'autre. C'était l'occasion pour Nora de ressentir les mêmes choses qu'au bon vieux temps.

« Huuuum, ma petite Hinata, tu es toujours si délicieuse... »

La jeune reine profitait des coups de reins de la belle ange contre elle, elle aussi se remémorait de vieux souvenir tout de même plaisant. Et puis faire cela sous les yeux de Shunya apportait une petite touche d'excitation supplémentaire qui n'était pas négligeable. La voir si proche d'elle à les observer, sans être choqué mais plutôt happé par ce qu'elle voyait, elle trouvait cela meilleur encore. Bien que l'ange se faisait plaisir, elle laissait ses yeux sur Shunya, lui souriant, l'invitant presque, sans un mot, à venir remplacer Nora Mais l'ange n'était pas dupe et face à sa non-réponse, elle avait la réponse à sa question pour décoincer Shunya face à cette nouvelle première fois. L'ange gardienne continuait de faire remuer le corps d'Hinata sur le sable, sous les yeux de la moitée de sa petite reine.

Mais Nora finie par se retirer sans qu'elle ou Hinata n'ait atteint le septième ciel, elle fit briller une petite lumière au bout de son index et de son majeur avant de les enfoncer en Hinata, ressortant ses doigts sans cette sphère lumineuse au bout. Elle se rapprocha d'Hinata à genoux, masturbant son membre en souriant à la femme de sa reine, un petit sourire qui en disait long avant qu'elle ne regarde Hinata à nouveau, venant se soulager, aspergeant le visage d'Hinata, atteignant un peu sa bouche, son cou et sa joue, ainsi qu'une paupière vu qu'elle fermait un œil. Nora se redressait avant de se pencher vers Shunya, les mains sur ses épaules en lui parlant à voix basse.

« Elle est toute à toi, Shunya. Tu vois, j'ai empêché Hinata de jouir, et ce petit sort ne fera qu'augmenter son désir et, tu sais ce qui arrive quand on attend trop ? Ça devient de plus en plus dur, non ? Pour ôter ce sort, il faut la faire jouir mais cela ne fonctionne qu'avec une belle queue bien dressée et pleine de vigueur... un peu comme la tienne à vrai dire. Alors ? Tu ne vas pas aider ta femme ? Regarde là, regarde sa poitrine se lever. Tu n'entends pas son petit cœur qui bat si vite ? Tu devrais la soulager et te soulager aussi par la même occasion. Pense aussi à lui nettoyer le visage, c'est un petit cadeau pour vous. »

Quand Nora s'y mettait, elle pouvait avoir l'air tout aussi perverse que Tsukasa sauf que la belle blonde cherche par la même occasion à rejoindre la partie, chose que Nora fait en sorte d'éviter, elle ne veut pas que cette perverse ne déteigne trop sur Hinata. Cependant, Nora en profitait aussi pour encourager, à sa façon, la petite femme de sa petite reine.

« Si tu as besoin d'aide, je pourrais te rejoindre, faire en sorte que ton sexe soit le plus dur possible. »

Il y avait une méthode pour ça, ça s'appelait la sodomie mais ça ferait sûrement rattrécir la durée de ce plaisir. Shunya va donc devoir coucher avec sa femme pour la guérir, c'était son rôle de guérisseuse. Pourtant vu son statut, elle pourrait ordonner simplement à Nora d'ôter ce sort mais a-t-elle les idées claires devant cette Hinata en manque ?

Tessou

Kara avait sûrement raison, c'était la femme la plus forte, la plus rapide et la plus indestructible qu'elle connaisse alors comment on pourrait faire du mal à Kyoko ? Sa fille était la dernière chose qui la ratachait vraiment à Ryota et sa belle-famille. Ils n'ont pas eut le temps de se marier et bien qu'elle aimait sa belle-famille autant qu'eux aimaient Tessou, sans Kyoko, elle aurait fini par s'éloigner d'eux peu à peu. La jeune femme ne sera débarrassée de la Duchesse que le jour où elle verra son cadavre sur une table d'autopsie, le corps ouvert en Y, aussi froid que le pôle Nord. Pas avant. Mais c'est ainsi, elle avait toujours peur que quelque chose joue en sa défaveur et mette Kyoko en danger. Essuyant ses larmes, elle caressait doucement la main de Kara avec son pouce, hochant de la tête pour tenter de tourner la page de ce mauvais début de soirée.

Passant donc au menu, une serveuse venait prendre leur commande, Tessou ouvrait le menu mais la langue de Terra n'était pas vraiment la même qu'au Japon donc elle observa rapidement les images de quelques plats sans se sentir pour le moment très inspiré. Mais face à la proposition, la jeune femme refusait poliment.

« Non merci, je n'aime pas trop les alcools. »

Kara pouvait en boire un si elle voulait, elle n'allait pas l'en empêcher. Elle continua d'observer les plats sans vraiment être décidé mais une photo d'un plateau d'huître semblait l'inspiré.

« Dites moi, ce sont bien des huîtres ? »
« Oui, une variété de Balamas pour être précise. »
« Mettez en moi alors, ça fait longtemps que je n'en ai pas mangé. »
« Je dois vous avertir qu'elles sont servie avec une sauce à base de vin. »
« Ce n'est pas grave, en sauce, cela ne me dérange pas. Pour le reste, mettez-moi quelque chose qui se marie bien avec comme plat. »


C'était généralement qu'une goutte ou deux d'alcool. La serveuse prenait sa commande puis celle de Kara avant de partir en souriant. Tessou n'y avait pas fait attention puis elle ne connaissait rien à Terra mais cette variété d'huître n'était pas celle qu'un commerçant du coin allait proposer puisqu'elles avaient la réputation d'être très aphrodisiaque. Après le repas, Tessou n'allait pas se transformer en une ange nymphomane avide de sexe mais une fois Kyoko au lit, cela risque d'être elle qui va venir remercier personnellement Kara pour ces vacances. Patientant donc l'arrivée de leur plat, Tessou souriait à Kara avant de se lancer. Ce n'était pas le genre de chose qu'elle aimait parler car tout ce qui touchait sa planète d'origine, elle évitait d'en parler de peur de réveiller des souvenirs qui pourraient la rendre triste mais le sujet était loin d'être triste pour autant.

« Dis moi Kara, sur ta planète, le calendrier, jour et mois, ne devaient pas être les mêmes que sur Terre ? Donc, à quel jour tu pourrais associer ton anniversaire sur Terre ? Il faut bien qu'un jour, moi et Kyoko ont puisse t'offrir un cadeau après tout. »

Dit-elle en souriant. Un cadeau de Kyoko pourrait être quelque chose de mignon et d'adorable, un cadeau de Tessou pourrait être une chose plus privée et intime... ou non. SI la jeune femme est inspiré par un cadeau plus matériel et classique, elle le fera sûrement. Mais bon, rien n'empêchera Kara de demander un petit plus dans ce cas. Tessou n'en avait peut-être pas conscience ou alors elle faisait semblant de ne pas le voir mais elle se rapprochait de plus en plus de Kara, ses vacances en était la preuve après tout.

Yuka/Blanche/Noire

Dans la chambre, Luna restait la petite reine. Maîtresse de cette petite bande d'esclave personnelle, la neko se faisait une véritable joie ce soir ! Armée de son membre, Yuko n'avait pas su refuser l'invitation d'Alice, elle aura l'occasion de revoir sa Luna dominante plus tard maus Yuka avait voulut avoir sa petite neko en maîtresse plus longtemps. Puis l'arrivée des deux usagis n'avait fait que rendre les choses encore plus passionnantes pour Luna. Noire était comme une petite folle, agitant son bassin à une vitesse folle ! Les usagis étaient connu pour leur rapidité, pas forcément qu'ils balancent vite la sauce, mais leur mouvement était si vif ! Il était difficile d'égaler un usagi sur ce terrain-là. Noire allait si vite que sa peau claquait très rapidement contre Luna, difficile de croire que cela est naturel. Et pourtant, la belle lapine était accrochée à Luna pendant que sa queue ne faisait que des vas et viens en elle.

Même à côté, Yuka avait Blanche comme dominante dans le dos mais la lapine ne freinait pas sa joie pour autant en venant prendre le cul de sa maîtresse. Pas aussi rapide que Noire, elle n'était pourtant pas la dernière sur ce terrain. Il faut dire que Luna dégageait sa magie sans vraiment s'en rendre compte mais la première touchée était Noire, Blanche et Yuka en profitait aussi mais pas autant. Mais dans al chambre des Karistal, c'était une vraie petite partouze qui se déroulait, pour la plus grande joie de ses demoiselles, surtout d'une petite neko esclave d'ordinaire.

« Pyyyyyyyyooooooooon ! Lunaaaaaa, han, ton cuuuuuuuuuul est si.... Haaaaaannnnn booooooon ! »
« Nyaaaa, vas y ma petite Blanche... Plus fort et plus viiiiiiiiiite haaaaan ! »
« Pyyyyyyyyyyyyoooooooooooooonnnnnn ! Petite salope de Yuka aime çaaaaa haaaaaaannnn !!!! »


Aux côtés de Luna, Yuka tentait de se pencher vers elle pour partager un baiser mais même si elle pourrait ignorer Yuka, elle viendrait lécher sa délicieuse petite peau sucrée et si douce... Les Karistal avaient beau savoir grâce à U'lani de quoi était capable la neko, volontairement ou non, ça restait leur petite chatte et dieu sait que les nekos sont rois à leurs côtés. Dans sa fougue, Noire s'écrasa dans le dos de Luna, sa poitrine se pressait dans son dos, ne ralentissant pas pour autant, la lapine continuait de se faire plaisir, le nez dans les cheveux d'or de la petite chatte, martelant ses fesses de ses coups de reins. Quelle soirée mémorable pour elles. Il y a quatre damoiselles qui vont très bien dormir ce soir à se dépenser autant !

Yuko/Harmony et Ai

C'était une sacrée soirée qui s'annonçait ! À peine arrivée que Yuko et Alice étaient très bien accueillit par Mélinda mais elle n'était pas la seule à offrir une bonne soirée en perspective. Vanilla était déjà en train de s'amuser avec la domestique personnelle de Mélinda, Harmony. Yuko l'avait croisé quelques fois, pas du genre bavarde mais elle se faisait une joie de rendre service à la vampire. Et pour le moment, c'était plutôt Vanilla qui en profitait, faisant hurler la demoiselle en enfonçant sa queue en elle. Avait-elle déjà connue la sodomie ou bien elle adorait ça ? Difficile à dire pour Yuko mais de leurs côtés, le trio s'amusait très bien déjà. Seule Ai restait en retrait mais elle observait la scène avec tant de plaisir. Harmony continuait de crier son plaisir mêlé à la douleur, Yuko était forte pour reconnaître ce genre de cris, elle était même experte là-dedans ! Mais quand bien même Harmony avouait son plaisir primaire, pour Mélinda, c'était trop de bruit alors Ai avait une nouvelle mission.

Face à la semi-ange, elle lui caressa doucement le visage en lui souriant tendrement. Elle pourrait obéir à Mélinda et se relever pour mettre sa queue dans sa bouche mais Harmony était si timide et fragile, elle avait quand même réussi à coucher avec elle grâce à Mélinda cette après-midi, n’allons pas tout gâcher. À vrai dire, Ai n'était pas très fan de la tenue choisi pour son amie. C'est sexy, certes, mais elle était trop attachés aux mignons petits dessous en dentelles, si sexy et raffiné que quelques bandes de cuir, bah ce n'est pas la même chose... Enfin, ce n'était pas elle qui devait choisir pour ses maîtresses. Ai aurait pu rester là à l'écouter couiner encore et encore, c'était si mignon. Elle aurait pu aussi se toucher mais elle ne faisait que contempler la scène, laissant sa bosse tranquille pour le moment.

« Doucement, Harmony-chan, tu déranges Maîtresse... Laisse-moi profiter de tes petits cris d'amour... »

Sur ses genoux, Ai posa une main sous son épaule et l'aida à se redresser malgré les coups de butoir de Vanilla avant de doucement se presser contre elle en l'embrassant. Les cris étaient devenue plus sourd mais bel et bien là, la petite futa sentait sa bouche vibrer sous les cris de la belle semi-ange. Ça remuait un peu trop mais au moins comme ça, ça évitait toute référence romantique. Avec une Vanilla en forme dans son dos, cette scène pouvait être mignonne, pas romantique. Sa langue s'agitait contre la sienne, ses mains caressait sa délicieuse et douce peau, que c'était bon. Trop perdue dans ce qu'elle ressentait, elle avait même pas vraiment remarqué les invités. Il faut dire que la pauvre semi-ange gardait ses yeux clos depuis le début de cette sodomie pour ainsi dire.

Du côté des deux blondes, Yuko se laissait caresser par la vampire, venant presque ronronner sous ce petit baiser. Dominante peut-être mais elle savait se montrer généreuse avec les personnes à qui elle tenait.

« Khuhu, mais tu n'as qu'à nous dire de passer, Maîtresse, avec Yuka, on viendra miauler, assise sur tes cuisses. »

C'est sûr qu'au début, les Karistal étaient venues voir Mélinda comme cette sale voleuse de neko qui généralement se croisaient lors des ventes et qui, de son côté, Mélinda n'avait aucun mal à rajouter une somme plus grande que la leur, laissant ainsi défilé bien des nekos qui n'allaient pas finir chez elles. Mais c'est de l'histoire ancienne. Puis la « Petite Chatte d'Mijak » fonctionnait très bien comme second harem de Mélinda, il avait la réputation d'être surtout tenue par bien des nekos ou des furrys mais tout le monde y trouvait son compte ! Il ne fonctionnait pas aussi bien que le véritable harem de Mélinda mais il fonctionnait tout de même très bien.

Tournant dans le dos d'Alice, Yuko se frottait presque contre elle, laissant ses mains caresser son corps, le bout de ses doigts filaient le long des cordes à travers sa robe. Ses mains venaient trouver sans mal la poitrine d'Alice, pressant délicatement ses seins, titillant la belle en tirant sur les cordes de son dos avec ses dents. Elle s'y connaissait assez pour savoir ce que quelle corde pourrait lui faire ressentir comme sensation.

« Elle est parfaite dedans... Mais je n'ai jamais été très fan de ce genre de tenue si moulante... Moi, je préfère les beaux tissus ou le cuir et latex, mais dans une tenue très dominante ou très soumise. Mais comme c'est ma grande sœur, je sais que tout lui va si bien... »

Une grande amitié liait les Karistal à la fille Korvander, cette fausse grande sœur avec qui elles ont tant partagé. Quoi de plus normal, trois petites têtes blondes qui jouent ensemble, ça semblait normal de les voir presque comme une famille. 

Kiriko

Depuis combien de temps elle connaissait Rem ? À peu près depuis son arrivée auprès de Sha, c'était presque une habitude que de la voir déboulé dans sa chambre pour faire le lit, voir même la peigné parfois quand Kiriko sortait du bain et que la servante était là. Mise à part quand elle avait prévu de voir Sha au plus vite, bien coiffé, c'était le cadet de ses soucis ! Bien que la servante existait vraiment – sans que Kiriko ne le sache – il est vrai que jamais elle n'avait vu les deux ensemble. Après, le temple était grand et avait moult servante prête à tout pour aider les sorcières et les prêtresses. Pourtant, Kiriko n'était pas spécialement méchante avec Rem, au début, elle la traitait normalement même. Son éducation Celkhane faisait qu'elle ne voyait pas une esclave et puis, Kiriko aimait les filles qui avaient du caratère, qui savait se battre, lui tenir tête, pas les demoiselles qui disent oui à toute ses demandes. Mais quand elle a commencé à se mettre souvent du côté d'Açoka, elle ne pouvait pas laisser son honneur en jeu. Dés qu'il était question de cette maudite Mijakienne, Kiriko voulait faire mieux que cette garce !

Elle était forte ? Kiriko sera plus forte ! Elle tenait longtemps au lit ? Elle fera mieux ! Açoka était sa rivale depuis son arrivée auprès de Sha, quelle meilleure rivale pour une Celkhane qu'une Mijakienne après tout ? Alors face à ce mensonge, elle ne pouvait pas se laisser faire. Certes, ça restait Sha mais au moins, elle était ne lui ressemblait pas et elle n'avait ni sa voix, ni son caractère. Un rôle, certes, mais qui masquait l'amour de Kiriko car la sorcière ne pouvait agir avec Sha comme elle agissait avec Rem. Avec le temps, peut-être mais pour le moment, son amour égalait son respect et même si cet acte était de l'amour, elle ne pouvait pas parler et agir de la sorte avec Sha. En soit, qu'on lui ai menti, qu'importe, surtout venant de Sha mais autant profiter tant que le fer est chaud.

« Tu m'as menti, petite salope... Et je déteste être prise pour une imbécile. »

Profitant autant de sa force que de son poids, Kiriko bloquait Rem pour commencer enfin à lui faire l'amour, enfin, si on pouvait appeler ça ainsi. Vu sa force, vu son désir, on n'était pas loin du viol. Consentant, certes mais quand même. Chacun de ses coups était plus fort que le précédent, offrant à Rem toute la brutalité et la passion de la Celkhane. Vu sa force, vu son désir, on n'était pas loin du viol. Mais Kiriko doit aussi mettre du sien, elle doit enfanter Sha pour qu'Abby soit en elle. Pas en Rem, elle n'était que l'échauffement. Mais pour Sha. Ce serait un mensonge de dire qu'elle n'aimait pas ça, c'était même délicieux. Mais autant prendre le cul de Rem était facile et délicieux, autant reproduire la même chose avec Sha... Elle serait bloquée. Pas par la sodomie, mais elle ne pourrait pas agir comme ça, elle ne pourrait que lui offrir la plus belle partie d'elle-même, cette Kiriko amoureuse de sa déesse. Elle pouvait se rabaisser pour plaire à Sha, elle ne pouvait pas rabaisser Sha en revanche.

Rem effectua une vaine tentative d'adoucir cette dernière ou de la provoquer, c'était forcément la seconde option qui fonctionnait avec Kiriko. Une chance pour elle qu'elle la retenait sinon elle l'aurait sûrement fessée.

« Pas ça ? Huuum, je suis d'accord petite pute... Tu mérites bien pire ! Han ! Je devrais avoir une bite deux fois plus Grosse ! Et te bourrer le cul ! Ha ! Et la chatte ! Et nettoyer ta petite gueule pour que t'arrête de dire tes conneries ! Rhaaaa ! »

Kiriko serait aussi énergique si elle savait que Sha n'avait pas dit toute la vérité et que Rem existait en chair et en os ? Pas si sûr. Toujours plus forte et plus dure, Kiriko se recula légèrement sans pour autant éloigner Rem. Contre le mur, vu ses coups de reins, Sha avait du se sentir à l'étroite et se cogner deux ou trois fois. Mal à cause de sa queue, ok, pas à cause de mauvaise position. Même Rem, ça restait Sha. La sorcière se pencha en avant, forçant Rem à en faire autant avant de glisser ses mains sous ses genoux pour la porter. Toujours enfoncée sur son membre, la petite servante ne touchait plus le sol, elle était adossée à Kiriko qui ne perdait pas de son sourire, de son machiavélisme.

« Ne crois pas que j'irais vite... Je savourais ta punition, ma salope... »

Et nouveau retour en force en faisant rebondir la servante contre elle, Kiriko la tenait bien mais ça ne l'empêchait pas de rebondir contre elle à chaque coup de reins. Au moins, Kiriko se défoulait et Sha trouvait son bonheur.

Neferia

Entre elles, il y a toujours eu une alchimie, pas une attirance sexuelle au premier regard, ce genre de coup de foudre qu'aime utiliser les humains pour justifier le désir d'un corps, mais ce fut plutôt inconscient, un manque qu'éprouvaient les deux dragonnes sans le dire à haute voix. Crystal aurait sûrement payé cher pour revoir ses enfants à ses côtés, tout comme Neferia aurait payer le prix pour avoir à nouveau ses parents auprès d'elle. Ainsi, Neféria avait retrouvé une mère et Crystal une fille. Cela leur faisait du bien à toutes les deux. Il y a déjà eu du sexe entre elles évidemment, mais rien de trop brutal ou « d'incestueux », lors de ses moments, ça restait deux dragonnes, pas une mère, pas sa fille. La tête entre ses seins, elle aurait pu y trouver le sommeil, combien de fois à-t-elle trouvé un faux prétexte pour dormir avec elle, que ce soit uniquement dans le même lit ou directement contre elle ? Aussi mature voulait paraître Néféria, au fond d'elle, c'était qu'une enfant ayant perdu ses parents trop tôt pour être jeté dans un monde bien cruel pour elle.

Mais actuellement, elle ne voulait pas dormir et face à la demande de Crystal, elle ne relevait pas le nez mais répondait tout de même pas un petit bruit, digne de ses réponses sans arguments qui montrait son désaccord sans pour autant l'avouer.

« Mph ! Si cela pourrait m'y aider, tu pourrais le faire si tu en as envie. »

Mais il est rare que la princesse ne trouve pas le sommeil entre les bras de sa tutrice.La dragonne de glace paraissait froide mais comme sa peau, elle était chaude et tendre et elle trouvait toujours le sommeil entre ses bras, amenant toujours Tigra avec elle pour s'endormir, comme son doudou qui prenait de plus en plus de taille et de poids mais jamais elle ne pourrait abandonner le bébé tigre qu'elle avait trouvé, elle avait tué sa mère et sa culpabilité envers cette créature la rendait sûrement plus humaine ce qu'elle pouvait dire. Mais comment ne pas se voir en ce petit tigre dont la mère a été arrachée à sa vie ? Dans ses bras, elle restait attachée à elle, la tête entre ses seins mais après un tel moment de douceur, elle se redressait un peu, retirant son visage de là pour approcher ses lèvres des siennes, les pressant doucement contre celles de Crystal, partageant ainsi un tendre baiser. Néféria n'a jamais été très brusque dans ce domaine, encore novice, elle approchait ce genre de rapport avec bien de la délicatesse et de la méfiance. Les yeux clos, elle se serrait contre elle en gardant ses bras autour d'elle, prolongeant ce baiser, sa poitrine se faisait écraser par celle bien plus développée de Crystal.

Face à cette douceur, ses petites ailes s'agitaient un peu dans son dos, s'agitant un peu en fonction de ce qu'elle éprouvait, tout comme sa queue qui se baladait un peu dans son dos. Légèrement redressé pour pouvoir l'embrasser, ses fesses avaient quitté ses cuisses de quelques centimètres pour l'embrasser à sa hauteur. Quand son baiser se termina enfin, elle ouvrait les yeux en observant ceux de Crystal, prononçant quelques mots à voix basse. Personne ne les espionnait mais elle s'en fiche.

« J'en ai envie, Crystal... »

Jamais Néféria ne demandait à être baisée ou à faire l'amour, elle le disait sans être direct en général, presque comme si elle avait honte de demander. Mais après un tel baiser, elle ne peut pas justement dire, non, pas envie, si elle partageait un baiser aussi long, c'est que son corps le réclamait. Ce n'était pas leur première fois, loin de là, mais on ne pouvait pas dire que Néféria était le genre de fille à réclamer le plaisir charnel tout les soirs.

Harley

Délicieux. La petite bouche de Pamela était parfaite mais elle avait encore tant à faire avec elle que la nuit ne faisait que commencer pour elles. Sa belle rouquine avait reçu sa crème et elle lui glissa quelques mots qui réchauffaient son petit cœur même si entre elles, ce genre de déclaration n'était pas à prendre au sérieux. Non pas que ce qu'elles se disaient était faux mais Harley avait dit ça bien des fois sur l'oreiller sans pour autant jouer le couple amoureux en pleine rue en se partageant un milkshake à la fraise ou en se tenant la main. À vrai dire, c'était aussi banal d'entendre ça chez elles que de la part d'un couple amoureux depuis longtemps. C'était agréable à entendre mais ça n'allait pas les faire fondre d'amour. Comme si bien avant que l'une d'elles ne le dise, c'était l'évidence même.

« Mais moi aussi ma Pamy-chérie... »

Venant préparer la suite de la soirée, la belle plante semblait toujours vouloir garder un air de grandeur en faisant jouer son rôle de vilaine de Gotham. Oh, elle était peut-être maîtresse pour servir les plantes mais ce soir, c'est Harley qui avait le sceptre de la reine entre les jambes.

« Oh ta raison, poupée... Faisons en sorte que la belle plante ai une belle vue. »

Elle tira Pamela pour la remettre en position sur la baie vitrée de leur chambre. Que les gens les plus curieux voient ce qui se passent ou voient uniquement le reflet de la plage de Novac, quelle importance, Ivy allait se faire baiser là, contre la vitre de sa chambre. Enfonçant sa baguette en elle, elle serrait les dents en étirant son sourire à mesure que sa queue s'enfonçait en elle, savourant les petits mots lâchée par la belle plante qui voulait avoir mal. Harley gloussa près de son oreille, venant mâchouillé l'un de ses lobes.

« Non, ma Pamy-chérie... Hum, tu vas avoir, Très mal... »

Parole d'Harley ! Les mains bien ferme sur ses hanches, elle s'amusait à la prendre en l'amenant contre elle, plantant sa queue le plus loin possible en elle, se servant de son délicieux petit cul pour la faire rebondir et recommencer l'opération encore et encore. Chaque coup de butoir était un vrai délice pour Harley qui recommençait sans se lasser. Peu à peu ses mains glissaient sur son corps chaud et humide, remontant vers sa poitrine qu'elle pressait avec autant d'amour que de passion. Le plaisir et la douleur se mêlaient au creux de ses mains, pendant que son souffle chaud passait sur sa joue.

« Haaan, à qui elle est cet...te petite pute, hum ? Dis-le moi, ma salope... allez... hmmmm, je veux te l'entendre dire... »

Pamela va devoir répondre... Mais dans un sens, plus elle tardait et plus, à chaque respiration, Harley donnait un coup de bassin plus fort pour mieux la coller à la vitre de leur chambre.

« Tu aimes te... hum montrer aux autres, ma petite putain... Imagine...Il y a d'autres vicieuses qui observent notre chambre... Haaan, elles se touchent... en t'observant te faire prendre comme la salope que tu EST ! Ça t'excite, heiiiiiiiiin ? Vilaine Pamy, huuum, tu mérites... plus de coup de queue ! »

Pour dire la vérité, elle ne voulait pas lâcher ses seins alors les fessées attendront. Pour le moment, c'était de nouveaux coup de reins de la part de l'Arlequin qui se faisait une joie de prendre Ivy dans cette position. Après, pour le trou final, ça va être encore mieux ! Mais ne passons pas du coq à l'âne, savourons pour le moment. C'est pas tout les jours que sa baguette se remue dans son petit cul.

Aoki

Difficile de se dire que derrière cette fausse neko se trouvait Aoki. Dire que dans sa jeunesse, elle était le parfait exemple de jeune Japonaise exemplaire, passant ses journées à potasser des bouquins plus épais les uns que les autres avec des notes frôlant la perfection. Elle aurait pu continuer à aller de grande école en grande école et avoir un métier de rêve et pourtant, elle avait choisit la voie du showbiz. Son intelligence mêlée aux fourberies du showbiz, ça ne lui faisait pas peur. Elle voulait offrir à ses jeunes tout ce qu'elle n'avait pas pu avoir étant jeune. Elle aimait ses parents mais elle aurait aimé plus de liberté étant plus jeune alors à ses autres jeunes, elle ouvrait cette fois pour réaliser leur rêve. Et avec le monde du showbiz, elle a connu l'effet pervers. Intégrant ce monde, elle savait déjà des choses sur le sexe, elle avait déjà eut un petit ami mais qu'elle a plaqué une fois la vérité découvert, ce qui l'avait atteint au point de faire une croix sur l'amour.

Puis elle avait revu Hitomi, une de ses connaissances de la fac, elle avait un an de plus qu'elle et elle fut son premier amour au féminin même si durant sa jeunesse, elle ne lui avait rien dit. Mais ces retrouvailles ont vite tourné au vinaigre quand là aussi, elle a ouvert son cœur trop vite et la rouquine a fuit en la laissant brisée... Puis il y a enfin eut Felicia, là où Aoki refusait de faire le premier pas, se contentant de sexe. Mais une chose en entrainant une autre, la voilà éprise de cette femme, plus amoureuse d'elle de jour en jour. Et pour rien au monde elle ne changerait sa vie. Déjà avant, leur amour était si grand mais maintenant que Felicia s'était fait greffer une queue, c'était plus de porte qui s'ouvrait sur leur débauche !

« Haaaaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaaannnnnnn ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Haaaaa j'adooooore çaa !!!! Huuuum oui encoooore ! Felinyaaaan, donne touuuuut ! Défonce-moiiiiiiiii le cuuuuuuul !!!! Haaaaaaaaaaaannnnn !!! »

L'amour avait bien des formes, en de rares occasions chez elles, il était doux et mielleux mais dans la grande majorité, cet exemple était leur version de l'amour. Brutal, vulgaire, bestiale, mais sincère. Encore toute tremblante sous l'effet de sa semence qui coulait en elle, Aoki reprenait ses esprits, encore toute chaude et en manque de caresse, comme une vraie chatte mais Felicia avait autre chose que des caresses à lui proposer, une chose plus sale... Mais Aoki avait déjà connu ça, l'arroseur comme l'arrosée. La Golden shower, ça passe mais si elle propose quelque chose de plus sale, ce serait un non de sa part. Chacun ses limites après tout. Aoki se tourna vers Felicia en souriant, elle était encore un peu dans les étoiles mais elle comprenait ce qu'elle voulait dire.

« Je n'ai qu'une parole, Felinyan, cela dit... Tu veux me le faire boire ou m'arroser ? »

La seconde option était aussi possible mais avec sa tenue, ce serait moins amusant et puis vu que c'est un mélange de faux poils et de latex, ce sera dur à nettoyer mais sans sa tenue, la Black Cat aurait pu marquer son territoire et faire d'Aoki sa chose. Prévenir toutes les filles ici que la belle Japonaise était rien qu'à elle. Allongée sur le dos, Aoki passait les mains sur son corps, entre ses jambes. Devant comme derrière, on ne voyait pas ses orifices, il y avait évidemment un trou pour y faire glisser sa queue en elle mais il était petit et caché donc Felicia ne voyait rien de rose mais elle se touchait sans hésitation.

« En revanche, je veux après ça un long baiser bien tendre et de looongues caresses. Il faut bien savoir récompenser ta jolie chatte, Felinyan ! »

Soumise ou pas, Aoki avait toujours son petit mot à dire pour montrer que même en étant sa chose, elle n'était pas la petite pute de bas étage qui dis oui à tout le monde. D'ordinaire, c'est Aoki qui pisse sur les gens, pas le contraire. Mais que pouvait-elle refuser à Felicia ? Aoki se tortillait, la bouche ouverte en sortant sa petite langue, elle attendait de voir ce que la belle allait lui faire avaler car à la voir ainsi, ce ne sera peut-être pas sa pisse qu'elle va boire mais quelque chose de blanc qu'elle connaît très bien. C'était à Felicia de se faire plaisir avec sa petite chatte. Aoki avait toujours quelque chose de prévus pour pimenter leur soirée.

Rouge

La voilà dans son élément, le noir n'était pas totale et avec sa chevelue blanche, on pouvait plus ou moins deviner la position de Rouge mais entre sa discrétion et sa rapidité, la garder à l’œil était difficile. Ayant emporté la grande blonde avec elle au plafond, elle lui montrait de nouveaux horizons dans le sexe. Elle avait peut-être déjà fait l'amour dans un hamac ou un lit plutôt haut, ce n'était rien ça car il y avait une surface plus ou moins solide sur laquelle se poser. Mais là, là, rien ne la retenait au plafond si ce n'est Rouge elle-même. Les cheveux tombant en direction du sol sous l'effet de la pesanteur, Miranda ne pouvait qu'observer et surtout ressentir ce qui se passait. Rouge la prenait sans ménagement, savourant cette petite victoire. La chauve-souris venait en même temps appuyer sur son ventre, près de sa vessie. Non pas pour que la grande patronne vienne à faire sur elle mais pour la forcer à se courber afin que Rouge ai une meilleure prise. Après, si son envie pressante s'échappe, Rouge s'en fiche, elle a connue pire et en plus, ce n'était pas sur elle que Miranda pourrait se lâcher mais sur elle-même.

« Hmmmmm, j'étais sûr, ha, que t’allait adorer... »

Rouge avait une certaine maîtrise de l'amour au plafond, il ne faut pas croire qu'elle crache que la marchandise, quand ses vols se déroulaient un peu trop facilement chez ses petites bourgeoises trop prétentieuses, elle aimait user de certains gadgets pour les accrocher au plafond et leur faire l'amour. Les membres accrochés au plafond, elles ne voyaient pas vraiment ce qui leur arrivait mais parfois elles voyaient leur compagnon/compagne en train de paisiblement dormir en dessous d'elle pendant que Rouge se faisait plaisir. Un petit somnifère ensuite pour lui laisser une bonne nuit de repos et annoncer le vol qu'au petit matin. Quand elle était bien loin en sécurité. Qui sait, Miranda aussi aura sûrement droit à cela ? Pour l'instant, la terranide savourait une petite partie de sa revanche. Elle n'était pas soumise, elle maîtrisait la belle blonde mais ce n'était pas ça encore, ce n'était pas SA revanche... ça viendra, elle ne savait pas quand ni comment mais elle allait se venger, la détrousser de quelque chose d'important, plus que son pognon... Car ça, elle claquait des doigts qu'elle retrouvait déjà la somme que Rouge aurait pu voler.

Sa main pressait le sein qu'elle avait pour maintenir la belle blonde la tête en bas, elle n'était pas aussi grande que Miranda donc les baisers sur la joue ou dans la nuque, ça ne fonctionnait pas. Au mieux, elle pouvait lui embrasser le dos mais ce n'était pas encore ça. Agréable mais pas aussi sexy et intense que tout ce qu'elle pourrait lui proposer.

« Haaaaa! En te baisant comme ça.... hum, tu pourrais bien t'évanouir, ma belle salope ! »

Non pas que Rouge était la meilleure partenaire au monde qui lui ferait perdre les pédales mais le plaisir plus le sang qui monte à la tête et la belle blonde allait avoir une grosse nuit de sommeil. Mais qu'elle n'en ai pas peur, Rouge n'allait pas la laisser s'en tirer aussi facilement. Pas question. La soirée ne faisait que commencer pour Rouge en ayant cet avantage.

Sya.

Quoi qu'il se passe, elle était toujours aussi contente de passer du temps avec sa maman. Sya était docile et toujours souriante aux côtés de la démone, sauf quand cette dernière aimait abuser de son rôle de démone et de la gentille et innocente Sya, alors là, elle était triste et malheureuse à l’extérieur, mais toujours aussi contente à l'intérieur. Elle était impatiente de voir le visage de Samara quand elle tiendra sa surprise entre ses bras, de voir la bouille de sa petite fille mi-ange et mi-démone. Elle se demandait si elle aurait la peau-rouge aussi ou non ? M'enfin, ce n'était qu'un détail. Car pour le moment, il n'y avait pas de bébé en cours, enfin si mais de façon normale donc même si Sya savait que son utérus se mettait à travailler doucement mais sûrement, une fois sa mère bien épuisée et en train de dormir, elle ira rejoindre Kazuha pour commencer le rituel, rien de dangereux mais une fois le travail fait, l'ange sera épuisée et tombera presque aussitôt de sommeil, il faudra bien quelqu'un pour amener la petite princesse auprès de Samara et lui faire la surprise.

Sya avait donc encore envie de s'amuser avec Samara, aussi longtemps que possible et dieu sait que ça peut durer longtemps entre elles. Mais Sya énuméra toute sorte de choses à faire entre elles ce qui poussa sa mère à agir, reprenant sa laisse en main en tirant dessus. La démone tomba du lit pour se rapprocher de sa mère, confortablement installé avec sa belle trique. Sya avait la même tenue que Samara sauf que la sienne avait une sorte de cuir élastique, gardant son ventre arrondie sans qu'il ne soit vraiment compressé. Ça ne risquait rien, son ventre n'avait que la semence de Samara mais trop serrer ne serait pas confortable. Devant sa queue dressée, elle se redressa de façon à mettre la queue rouge et chaude de Samara entre ses seins en souriant, une façon de sourire très sadique comme bien des démones après tout.

« Tu es sûre de vouloir pisser dans ma bouche ? »

Ce n'est pas que Sya refusait, elle avait déjà fait ça bien des fois et pas qu'avec Samara mais en disant cela, elle se redressa en baissant les yeux vers son ventre. Elle ne voulait pas lui dire qu'elle était vraiment enceinte – d'autant qu'à ce stade, elle ne risquait rien – mais elle se demandait si elle allait se prendre au jeu et traitée sa fille avec douceur en jouant les femmes enceintes où si elle a juste un faible pour son ventre rond, rien de plus ?

« Tu pourrais aussi me pisser dessus, non ? Khihihi ! »

Qu'importe son choix au final, Sya pressait ses seins contre la queue tendue de la démone, heureuse avec ce petit air fière sur le visage, elle se plaisait à satisfaire la démone qui lui servait de mère, venant passer sa langue sur le gland de la démone. Sya relevait la tête observant Samara avec ce petit air presque hautain sur le visage. Ce n'était pas dans son habitude mais elle était une démone après tout ?

« Vas-y, crache moi dans la bouche, Maman. »

La bouche bien ouverte, la langue tendue, elle ne se privait pas de lui demander bien des choses vulgaires et ce n'était que le début. Cela dit, même en temps normal, elle ne se prive pas de récolter la salive de la démone. Sya avait pour fétichisme les baiser edorasiens, cette pratique que ses femmes avaient à lécher, surtout sucer une langue avec passion, elle était tombée amoureuse de cette pratique durant sa formation. Samara avait une fille parfaite avec Sya, elle était aussi imaginative que bandante !

Tsukasa

La belle blonde était contre Nika, défiant son regard sans la moindre gêne, si Nika était une tékhane pure souche, il ne fallait pas oublier qu Tsukasa l'était aussi, elle avait grandi comme n'importe quelle Tékhane, ce n'était qu'à sa majorité qu'elle a plaqué la grande ville pour Edoras et grimper les échelons. Après toute, une édorassienne blonde comme Tsukasa, c'était d'un rare ! Les femmes de ce pays étaient connues pour leurs cheveux aussi noir que la nuit, parfois assez clair pour être brune mais que très rarement blonde. Sans oublier leurs petits yeux bridés qui les rendaient incroyablement mignonnes. Tsukasa n'avait pas de ses traits-là, mais ça n'empêchait pas que la belle blonde fût incroyablement sexy ! Elle était au courant des racines des frangines, personnellement, elle trouvait presque ça dommage qu'elles ne soient pas sœur. Aussi incroyable que ça puisse l'être, elle n'avait jamais fait l'amour avec deux sœurs en même temps, séparément, oui mais jamais en même temps.

« Justement, le fait que vous soyez sœurs m'excite plus encore, ma belle... »

Même si ce n'était pas le même sang dans leurs veines, ça restait un détail pour Tsukasa. Nika continuait de lui peloter les fesses en notant ce qui définissait bien Tsukasa qui en rigolait presque de ce rapport.

« Que veux-tu, j'ai grandi à Tékhos, comme vous deux. »

Ce qui expliquait bien des choses, elle ne s'en ai jamais cachée. Mais bon, quand on compare Tsukasa aux Edorasienne adultes comme elle enfant et les autres enfants du pays, il y a bien des différences après tout. Mais face à son deal, ça semblait plutôt un marché honnête ! Tsukasa redressa ses lunettes sur son nez en gardant le sourire.

« Très bien, mais ne me déçois pas... Ryou-chan... tu viendra sous moi, que je puisse jouer un peu avec toi. »

Peu de chance que cela arrive mais il était toujours bon de le rappeler et de le préciser, ne serait-ce que pour titiller la passion de la belle Nika. Tsukasa prenait donc position, les jambes écartées avec sa belle croupe offerte à la belle grande sœur, quant à la plus jeune des deux, elle pourra l'embrasser et la laisser jouer avec son corps. Ça pourrait toujours faire une petite excuse en cas de défaite mais surtout, servir à mieux s'amuser. Pour une fois qu'elle avaient les deux sœurs en même temps, autant en profiter après tout. Nika ne perdait pas de temps pour venir à elle et surtout se faire bien ressentir dans son antre, faisant tout de même gémir la belle blonde.

« hmmmm, tu y vas un peu fort, ma belle... »

Comme si c'était un réel souci ?! Venant vite trouver son rythme de croisière, en savourant la queue de Nika en elle, sa bouche allait trouver celle de Ryouka, qu'elle embrassait, tout sourire. Elle était plutôt bien entre les deux sœurs mais les tenir en laisse serait un réel plaisir aussi. Mais pour le moment, elle devait résister mais cela ne sera pas facile après tout...

Konata


L'avantage de son pouvoir, c'est que Konata pouvait jongler avec différentes capacités. Assurer les attaques au loin en interprétant un personnage armée d'un arc ou d'une arme à feu, pro du combat avec un personnage de jeu de combat ou d'un manga, divers pouvoirs magiques selon ses choix, bref, elle avait dans sa manche un bel arsenal qu'elle devait maîtriser. Car hélas jongler entre plusieurs otamorphoses et en appliquer les différentes capacités, ça l'épuisait là où juste défiler sous bien des formes était aussi simple que changer de chemise. Parlant de leurs différentes capacités, Jessica ne semblait pas avoir une grande palette de capacité dans sa manche mais ça viendra peut-être plus tard ? Goku n'a pas commencé sa carrière en maîtrisant ses différentes formes de Saiyajin, idem ici, pour Konata comme Jessica.

« C'est le bon état d'esprit, faut pas non plus foncer tête baissée dans un combat perdu d'avance mais faire peur aux méchants, aider ceux qui ont besoin d'aide, c'est à ça que sert nos pouvoirs ! »

Konata était jeune mais elle avait le bon état d'esprit, pas du genre à se dire qu'elle pourrait diriger une armée de méchant et semer le chaos sur Yoake ou Terra, pas son genre. Elle pouvait plaisanter avec ses pouvoirs mais faire le mal, ce n'était pas son genre. Par contre elle aurait aimé voir Jessica avec sa fameuse combinaison et son masque. Qui sait, elle avait peut-être une allure de Kamen raider, digne des plus grands sentaï Japonais ? Ce serait assez drôle ! Mais quand arriva sur le tapis la question de sa zone de travail, elle allait devoir dire la vérité sans trop en dire non plus...

« Non j'y ai même jamais vraiment mis les pieds. Disons que la ville où j'opère est bien loin de Tékhos, elle est quand même confortable mais on n'est pas aussi avancé que Tékhos. Yoake, ça te parle ? »

Oui, elle saura d'où elle vient, non, va falloir rester vague. Dire qu'elle provient d'un autre monde pourrait rendre cela bizarre après tout ? Avec Akua elles avaient fait quelques missions dans la guilde mais toujours dans des coins assez paumés, des petites villes, des petits villages quoi, rien d'aussi développé que Lumen ou Mijak ou encore Tékhos. Elles y allaient doucement quoi.

« C'est quoi le truc que ta fait le plus dingue en justicière ? Moi c'est pas fou mais j'ai affronté des gars, je sais pas si c'était juste des abrutis ou des sortes de yakuzas mais j'en ai affronté trois, c'était un vrai film d'action ! Mais j'ai réussi à les assommer et à sauver la personne qu'ils embattaient. Enfin, elle a fui pendant qu'ils étaient occupés par moi mais je l'ai sauvé quand même. »

C'est ce qui compte après tout. Mais plutôt que rester en Felicia, Konata venait à prendre une grande inspiration en fermant les yeux et peu à peu son corps changeait à nouveau. Elle prenait cette fois la forme non pas d'un personnage connu des jeux vidéo ou manga mais un personnage qu'elle adorer dans un dojinshi érotique et la neko laissa place à une kitsune plus vrai que nature ! SI ce n'est sa longue chevelure bleue qui sortait de lordinaire. Mais elle était bien là, nue certes mais son pelage suffisait à la masquer un peu. Ne serait-ce que sa fourrure cachant sa poitrine un peu plus developpé. Et si elle n'avait rien entre les jambes, c'est qu'il fallait en écarter les poils qui cachaient sa nudité. Avec son petit sourire en smiley (:3) elle avait l'air craquante, et elle l'était ! Elle se demandait si sa nouvelle amie allait la prendre dans ses bras ou juste s'amuser de son changement de forme.

« Ça, ce n'est pas une forme très utile au combat mais tu sais pas comment c'est agréable de rester en kitsune ! »

Surtout pour dormir avec quelqu'un, c'était agréable de se faire câliner la nuit, très !

Suki/Rinako

Rinako était revenue et prenait déjà part aux différentes conversations qui avaient pu avoir lieu en son absence, en commençant par ce que Suki avait dit, sur le cas de la reine de Lumen qui n'avait pas encore de bague au doigt. Sans le moindre sous-entendu, la Celkhane à la chevelure rose bonbon se demandait si quelqu'un était en vue pour la jeune reine mais personne apparemment. Pas d'homme, ni de femme, jugeant d'abord devoir gérer son pays avant de penser à cela. Rinako restait souriante face à sa remarque, ajoutant juste un petit commentaire de femme amoureuse.

« Certes mais avoir une moitié est tout aussi bien, elle nous aide dans les moments durs et a parfois des idées auxquelles on n'aurait pas pensé. »

Pourtant des deux, c'est bien Suki qui avait le plus changé depuis qu'elle était amoureuse mais face à ce compliment, elle masquait sa gêne, ayant quand même un petit regard vers sa petite amie, un regard qui la remerciait évidemment. Ni Suki, ni Rinako n'avait pensé à la même question pour la baronne, non pas qu'elle était âgée ou autre mais étant donné qu'elle avait déjà une fille, Suki et Rinako pensait qu'elle avait déjà une personne dans sa vie ? Peut-être discrète ou malheureusement plus de ce monde, voir séparé mais aucune des deux Celkhanes ne posa la question. Après tout à cette table, elles étaient les seuls à être clairement en couple. Même si elles n'étaient pas encore mariée, elles étaient très proche et même mère de famille. La baronne se renseigna d'ailleurs auprès de ses invités, voir si tout allait bien pour elles, d’abord la reine de Lumen, puis les Celkhanes en se renseignant sur Caelestis ?

« Chacun a ses goûts mais ayant grandi là-bas depuis mon plus jeune âge, je trouve que c'est un endroit charmant. Il y a le confort de certaines installations Tékhans et ce petit côté nature et grand air. C'est vraiment agréable ! »
« Je suis d'accord avec Rinako, depuis que je suis née, je suis là-haut et je ne regrette pas. Les gens nous voient uniquement comme des soldates mais les gens ne voient que ce qu'ils veulent. Les plus curieuses peuvent voir de leurs yeux que notre cité est agréable et paisible, on est certes un peu isolé mais ça nous évite bien des tracas. Même les gens, tout le monde est agréable avec nous. Nous avons par exemple des voisines qui sont devenues nos amies depuis qu'on a emménagé avec les filles. Une ange et une neko qui s'aiment autant que nous. Une vraie petite famille heureuse avec leurs trois filles. Je ne veux pas remettre ça sur le tapis mais je suis sûre qu'en absence de guerre, ce souci d'esclave serait réglé plus facilement. »


Certes, moins de guerres, moins de main-d’œuvre, moins d’enlèvement et de vente d'être humain. Mais bon, Suki évitait de remettre ça dans la conversation. Elle-même a dit qu'elles étaient en vacances mais bon, la Celkhane avait toujours cette passion à défendre les valeurs de sa patrie et faire de Terra un endroit sans esclave. Mais pour éviter que de nouveaux, les avis soient étalés sur la table sur l'esclavage, Rinako changeait doucement de sujet.

« Et vous, Baronne, vous envisagez d'offrir une petite sœur ou un petit frère pour Eve ? »

La reine de Lumen n'avait personne en vue donc ce genre de question ne la concernait pas encore. Mêmes pour les Celkhanes, elles ont déjà deux filles à élever, pas de leur sang certes mais un jour, elles auront leur propre enfant à elles mais quand ça viendra, pour le moment, elles sont très heureuses à quatre. Faut encore bien s'installer et trouver le bon rythme avant d'envisager une suite pour agrandir la petite famille. 

Magie

Leur petite aventure avait bien commencer mais comme toujours, la vie d'un mutant n'est jamais de tout repos. Visitant ainsi cette fausse maison abandonnée, Magie avait peur que les vampires se servent des gens dedans comme d'otage ou bouclier. Par chance, il n'y avait personne dedans, en théorie, mais on ne sait jamais si un ou deux petits malins s'y sont glissé après tout ? Passant les premières portes, ça allait pour le moment, il ne semblait pas y avoir de danger mais Magie ne savait que trop bien qu'il fallait rester sur ses gardes. Mais rapidement, le danger arriva vers Magie, les griffes en avant mais la belle blonde avait vu plus rapide et plus dangereux dans sa vie alors le vampire avait vite finit par croiser son épée qui non seulement l'empala mais le brûla par la même occasion.

Mais pas le temps de dire ouf qu'un adversaire de poids fit face à Rayne tandis que les mutantes se voyaient faire face à une bande de chauve-souris a apparence humaine ! Elles n'avaient pas l'air très redoutable mais il fallait s'en méfier. Armée de son épée, Magie les tenaient à distance pour le moment, voyant bien que leur alliée de fortune était en mauvaise posture face à ce type.

« Je vais les retenir, tu te sers de ton agilité et ta rapidité pour aller l'aider ! »

C'était bien beau de le dire mais les mutantes avaient à peine le temps de trancher un ou deux de leurs adversaires que ses derniers venaient à fuir après un coup de feu qui venait de trouer le crâne du vampire sur Rayne. Ça marche aussi ça ? En tout cas, après la fuite de leur adversaire et l'arrivée de cette fille en robe de latex rouge, les questions restaient en suspend pour bien des gens... Prudente, Magie gardait son arme à la main, non pas en menaçant cette femme mais en se tenant prête à agir en cas d'attaque...

« Je suppose qu'on doit te dire merci mais je préfère savoir d'abord qui tu es... »

Prudence est mère de sûreté...
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Re: Voyage de noces [PV : Kaguya Shunya]

Message par Kaguya Shunya »

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Kaguya Shunya
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Demande de RP
SHIZUKA SHUNYA
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La lente voie de Shunya sur la perversion se poursuivait devant ce singulier spectacle. Nora pénétrait sa femme, et l’Ange était très impressionnante. Se mordillant les lèvres, la guérisseuse clignait des yeux, posant parfois sa main devant sa bouche, rougissant encore, tout en regardant l’Ange multiplier les coups de reins, prenant sans ménagement la femme. Les bourrades s’accéléraient, s’accentuaient, s’approfondissaient, l’Ange maîtrisant son domaine. Shunya savait que les deux femmes avaient déjà fait l’amour, car Hinata, par sincérité, le lui avait déjà dit. Et, si Shunya n’avait jamais tiqué là-dessus, elle devait bien admettre que... Que tout ça ne manquait pas de l’exciter. Elle se sentait certes jalouse de voir une autre femme coucher avec sa femme, mais son esprit malicieux envisageait déjà moult possibilités et moult moyens de profiter de la situation.

Fort heureusement, Nora avait des idées derrière la tête. Bien plus perverse que ce qu’on pourrait croire au vu de la nature angélique, après avoir longuement pénétré sa femme, la laissant dans un état de grande nervosité, Nora utilisa un sort magique, l’empêchant de jouir... Et se masturba ensuite, avant de jouir copieusement sur son visage. Shunya, qui avait de plus en plus chaud à hauteur des cuisses, rougit furieusement, intriguée et fascinée devant ce spectacle, voyant le corps de sa femme. Nora se rapprocha ensuite d’elle, et l’incita à agir, à faire ce que bon lui convenait, tout en lui expliquant qu’Hinata ne pouvait pas jouir.

« Oh... C’est... »

Confuse, Shunya était très gênée, mais aussi, parallèlement... Excitée. Bien plus excitée que ce qu’elle voulait bien admettre. Elle regarda encore sa femme. Bien sûr, elle pouvait arrêter le tir, maintenant, mais... Eh bien, pour être honnête, Shunya avait bien d’autres projets concernant sa belle Hinata... Et elle sourit donc malicieusement, tout en se mordillant les lèvres.

« J’ignorais que tu étais aussi perverse, Nora... C’est de toi qu’Hinata tient ça, non ? »

Ou peut-être pas... Qui sait ? En tout cas, ces deux femmes étaient loin de laisser la belle Shunya insensible ! Elle déglutit donc, et regarda Nora, avant de hocher la tête.

« Je vais m’occuper de ma femme, alors... Je vois bien qu’elle est... Assoiffée... »

Shunya regarda encore Nora, et l’embrassa brusquement, le cœur battant follement la chamade.

« Mais... »

La guérisseuse rougit lentement, et observa encore sa femme, qui la regardait avec insistance, le corps assoiffé. Puis Shunya sourit malicieusement, et se pinça les lèvres.

« Je ne suis pas équipée pour m’occuper d’une telle soif... Est-ce que tu pourrais... ? »

Shunya n’osa pas le prononcer, rougissant encore, désignant du doigt son intimité. Nora maîtrisait la magie à la perfection, et, quand elle usa d’un sortilège pour doter la guérisseuse d’une verge. Cette dernière poussa un léger cri, avant de sentir tout son corps se mettre à frémir... Puis un magnifique phallus se dressa, et ses yeux se mirent à luire d’une intense lueur violette. Le tatouage dans son dos se mit également à briller furieusement, et Shunya se rapprocha ensuite, dotée désormais d’un magnifique phallus.

Respirant lourdement, la guérisseuse caressa avec sa queue le visage d’Hinata, ramassant le long de son sexe un peu de sperme.

« Ma pauvre chérie, tu as l’air d’avoir envie de jouir... »

De dos, Nora pouvait voir que le papillon situé dans le dos de Shunya, cet étrange tatouage, brillait d’une intense lueur violette.

« Mets-toi à quatre pattes, Hinata... Je crois qu’il est temps que je te défonce le cul... »

Douce, mais empreinte d’une assurance incroyable, c’était comme si, sous l’effet de la magie rose, Shunya trouvait en elle une force insoupçonnable, et particulièrement impressionnante.

Et là, il était temps que le cul d’Hinata prenne cher !

SUPERGIRL
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Tessou, toujours aussi sérieuse, rejeta l’alcool. Kara sourit alors, et enchaîna :

« On dirait que je vais devoir boire pour deux, alors. Donnez-moi... Hmmm... Du vin Carnelle. »

Le serveur acquiesça poliment, puis Tessou enchaîna ensuite sur les plats, prenant des huîtres. De quoi donner des idées à Kara, qui commanda un plateau de fruits de mer.

« Ce sont des plats pour deux, précisa la serveuse.
- Ça ira à merveille avec les huîtres. »

Novac étant un pays insulaire, bâti à même la mer, les fruits de mer étaient une spécialité locale. La serveuse acquiesça, récupéra les menus, puis fila. Kara en profita alors pour observer le décor. L’endroit était vraiment très cossu, et très agréable. Il était toujours difficile de se dire qu’elle se trouvait sur une planète où on trouvait, parallèlement à ces structures immenses et futuristes, des châteaux-forts et des cités médiévales. Un impressionnant décalage technologique, qui ne manquait pas de l’étonner.

Perdue dans ses réflexions, elle était loin de se douter que Tessou évoquait déjà en pensée leur nuit d’amour... Une nuit qui promettait d’être assez intense. La policière s’offrait de plus en plus à elle, mais, surtout, Kara ignorait que, depuis sa rencontre avec Mélinda, Tessou disposait de quelques bottes secrètes dans sa manche pour s’assurer de passer une nuit particulièrement exceptionnelle. En tout cas, elle se lança à nouveau, et demanda à Kara comment célébrer son anniversaire.

« Oh... Euh... »

C’était une assez bonne question, qui amena Kara à cligner des yeux.

« Eh bien, le calendrier kryptonien fonctionnait exactement comme le calendrier grégorien, sur la base d’une révolution de Krypton autour de son étoile. Mais Krypton tournait autour de son étoile sur un délai différent de la Terre, donc, en conséquence, les âges en correspondent pas... Honnêtement, quand je suis arrivée sur Terre, j’ai converti mon nombre d’années, et j’ai mis comme date d’anniversaire le jour où je suis arrivée sur Terre. »

Pour elle, c’était le meilleur anniversaire possible à célébrer, après tout, puisque Krypton n’existait plus.

« On n’en est pas très loin, d’ailleurs, maintenant que j’y pense... Désolée, je n’ai pas l’habitude de célébrer mon anniversaire. En fait, je ne l’ai pas fait depuis plusieurs années, ou seulement de façon très superficielle. »

Clark, son cousin, était devenu un tyran mégalomane dans son monde d’origine, de sorte qu’il avait perdu l’habitude de célébrer l’anniversaire de Kara, et elle-même avait plus ou moins fini par y voir une importance modérée. Elle sourit alors légèrement, et pencha la tête sur le côté.

« Il va falloir que tu m’offres un beau cadeau, alors... Tu as pensé à te travestir en bunny girl ? Ou à me faire un strip-tease avec un costume de policière sexy ? »

Tessou en train de faire une danse sensuelle... Rien qu’à l’imaginer se dandiner sur place, Kara en gloussait !

LUNA EARTHWELL
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Dame U’lani avait expliqué à Luna que cette dernière était une magicienne. Luna n’avait honnêtement pas très bien compris, car elle ne voyait pas en quoi elle pourrait être une magicienne. Dame U’lani lui avait patiemment expliqué, mais Luna n’étant pas très intelligente, elle s’était contentée de hocher la tête, et de suivre les cours de Dame U’lani, qui tournaient généralement autour du sexe. Autant dire que Luna aimait plutôt bien ça. S’il semblait difficile d’amener Luna à contrôler très efficacement sa puissante magie, U’lani espérait en réalité au moins réussir à amener Luna à contrôler instinctivement plus facilement sa magie, afin d’évitrer de transformer ses amantes en esclaves décérébrés.

Ce qui était sûr, c’est que Luna avait pu user de ses pouvoirs en arrivant chez les Maîtresses Karistal, comme si la saine ambiance qui régnait dans le manoir avait pu réveiller les pouvoirs latents, endormis chez Luna. La neko adorait être l’esclave des Karistal, et, ce soir, elle usait encore de sa magie rose, mais à un degré bien moindre que la première fois, permettant encore à ses partenaires de pouvoir faire l’amour avec d’autres, sans ressentir le besoin irrépressible de se coller au corps de Luna.

« Nyaaaaawwww... »

Esclave Noire continuait à lui martyriser douloureusement le cul, arrachant à Luna de profonds soupirs, qui s’empressa d’embrasser Maîtresse Yuka. Devant elle, la belle blonde se faisait également prendre par Esclave Blanche, et la langue de Luna fila jouer avec celle de la femme, offrant à sa Maîtresse un baiser intense et bien humide, sa salive jouant avec la sienne. Ronronnant furieusement, Luna sentit Esclave Noire se courber dans son dos, caressant ses hanches, griffant sa peau, glissant jusqu’à ses seins, qu’elle se mit à masser tendrement, pinçant ses tétons, arrachant à Luna de nouveaux soupirs et miaulements.

Luna se dandinait sur place, mouillant frénétiquement, et rompit le baiser avec sa Maîtresse pendant quelques secondes, avant de miazuler fortement dans ses oreilles en sentant son orgasme approcher.

« Nyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyuuuu... Mrrrraaaaawwwwwwwww... !! »

Et son orgasme impacta sur les autres également, envoyant une onde de choc qui fit jouir les trois femmes. Le foutre d’Esclave Noire vint remplir lez cul de Luna, qui jouit généreusement le long de ses cuisses. Il en fut de même pour Maîtresse Yuka et pour Esclave Blanche, qui s’abandonnèrent également, dans un concert onctueux de cris et d’hurlements. Toutes les quatre perverses jouirent donc, atteignant le plaisir suprême.

Luna était heureuse, mais toujours aussi délicieusement excitée, et reprit ensuite, pendant que sa magie rose influait instinctivement sur le corps de Maîtresse Yuka, la dotant, à son tour, d’une belle verge tendue, qui poussa le long de son corps.

« Nyaaaaa... Haaaaa... Lu... Luna veut... Hmmm... Veut trois belles queues en elle, qui la prennent fort... »

Avec sa bouche, sa bouche du bas, et sa bouche arrière, Luna avait bien trois emplacements disponibles pour ses amantes...

ALICE KORVANDERMÉLINDA WARREN
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Vanillia était effectivement en forme. Mélinda, tout comme Alice, étaient bien placées pour savoir que la femme de Mélinda aimait beaucoup les sodomies... Peut-être même plus que Mélinda ! En tout cas, Alice observait la scène en étant fascinée, rougissant devant l’aisance naturelle avec laquelle Mélinda savait plonger ses partenaires dans une profonde perversion. Harmony, si timide, était doucement en train de sombrer, elle aussi. Vanillia remuait dans son cul, élargissant progressivement des parois, tout en crispant ses mains sur ses fesses. Soupirant longuement, elle fermait les yeux, filant d’avant en arrière, sans relâche, sa queue assoiffée se tortillant dans le cul de la femme. Harmony gémissait sur place, poussant parfois des hurlements suraigus, tant et si bien qu’on aurait pu croire qu’elle était forcée... Mais Mélinda ne se faisait aucun doute. À force, elle finissait par bien connaître Harmony, et, avec elle, la vampire avait vraiment pris tout son temps, la séduisant progressivement, lui faisant lentement découvrir les joies du plaisir sexuel.

La femme de Mélinda la prenait donc, crispant ses mains gantées sur le petit cul d’Harmony, le malaxant, usant de ses pouces pour écarter ses fesses, et permettre ainsi de faciliter sa sodomie. Elle continuait à la prendre, énergiquement, tout en venant la gifler, souriant en voyant Ai, plutôt que de venir lui fourrer sa queue dans la bouche, se positionner pour l’embrasser.

« Hîhî ! Vous... Mmmhmm... On dirait un très joli couple, haaaa... Mes chéries... !! »

Vanillia savait qu’elle n’était pas leur Maîtresse, ce qui expliquait pourquoi elle avait tendance à se montrer plus calme et plus assagie que cette dernière, et, en tout cas, bien moins autoritaire. Pour autant, elle était tout autant perverse que sa femme, et ce n’était pas au harem de Mélinda qu’elle apprendrait à se calmer. Son membre s’enfonçait donc avec joie dans les fesses d’Harmony, sans aucune gêne de la part de la vampire.

Un tel spectacle formait une délicieuse toile de fond pour Mélinda et Yuko. Alice, gênée, rougissait en sentant les deux femmes autour d’elle. Yuko se glissa dans son dos, palpant ses formes, ses doigts gantés glissant sur sa orbe mauve, faisant crisser son latex, tout en allant embrasser le creux de son cou, se blottissant dans son dos, se lovant contre elle, tout en indiquant qu’elle préférait des tenues plus tranchées, soit des robes plus douces, ou des tenues en latex plus serrées. Alice portait, pour le coup, un mélange des deux, une robe en latex qui, tout en moulant légèrement ses formes, ne pouvait guère s’analyser en une combinaison.

Mélinda sourit alors, et se glissa également dans le dos d’Alice, venant caresser le dos de Yuko, grattant sa peau, descendant sans ménagement jusqu’à ses fesses, et approcha son autre main de ses seins, venant les peloter.

« Il est vrai que ta tenue te va vraiment à ravir, Yuko... Tu sais que j’aime beaucoup te voir dans ce sling bikini rouge, non ? Il moule non seulement tes formes à la perfection, mais me permet d’accéder très facilement à tes parties intimes... »

Elles avaient beau être sur un pied d’égalité, il était fréquent que Yuko, ou Yuka, lui donnent instinctivement du « Maîtresse ». Autant dire que ce n’est pas Mélinda qui allait s’en plaindre, elle qui aimait qu’on lui obéisse servilement. À la base, les Karistal avaient été plutôt hostiles, voyant en Mélinda, non seulement une rivale en affaires, mais aussi quelqu’un qui leur avait pris leur « grande sœur ». Il avait fallu rectifier les quiproquos, et, visiblement, les Karistal, considérant qu’Alice aimait donner à Mélinda du « Maîtresse », avait décidé d’en faire de même. Toujours est-il que, maintenant, les Karistal étaient de proches amies de Mélinda, et des amantes confirmées.

Tout en palpant le corps de Yuko, Mélinda alla l’embrasser, et sa main glissa le long du ventre de Yuko, jusqu’à caresser ses lèvres intimes, la masturbant tendrement, tout en fourrant sa langue dans sa bouche. Elle joua avec celle de Yuko, tout en se pressant langoureusement contre elle, soupirant longuement.

« Hmmmm... »

Alice se retourna alors, et rougit donc. Devant, elle voyait Harmony se faire défoncer le cul. Mais, derrière, le spectacle était sans doute encore pire. Mélinda pelotait Yuko sans ménagement, et l’embrassait longuement, un baiser particulièrement sensuel, très beau à voir, et qui ne manqua pas de provoquer sur les joues d’Alice de belles rougeurs, cette dernière venant encore à se pincer les lèvres.

« C’est moi qui lui ai acheté cette robe, et je trouve qu’elle lui va très bien. Elle la porte pour des cérémonies très spéciales, il faut bien trouver un mélange entre la Princesse qu’elle est... Et la délicieuse chienne que j’aime qu’elle interprète.
- Hey, je... ! »

Pour seule réponse, Mélinda embrassa Alice, puis l’incita à embrasser Yuko, ce que cette dernière fit, serrant son corps contre le sien. Alice frémit ensuite en sentant les doigts baladeurs de la vampire glisser sur son dos, titillant ses cordes... Avant de donner une belle claque sur ses fesses, la faisant gémir de plus bel...

« Voilà qui me plaît, clairement... »

Mélinda continuait à jouer avec le corps des deux femmes, venant palper leurs fesses. Alice gémit lentement, tout en se serrant contre le corps de Yuko.

« Alice est une vraie traînée, non, pour une Princesse ? Elle qui passe pour une femme si prude, si chaste auprès de ses sujets... »

De nouvelles rougeurs pointèrent sur les joues de l’intéressée.

« Moi, je dis qu’il est temps que la sœur corrige l’autre... Tu ne crois pas, Yuko ?
- Mais... »

Coupant court aux questions de la femme, Mélinda la gifla encore.

« Alors, Yuko, prête à me montrer de quoi tu es capable ? »

SHA
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Avec Sha, Kiriko ne fonctionnait pas normalement. Face à sa Déesse, elle conservait toute sa combativité, mais perdait sa fureur et son agressivité. Même quand elles faisaient des jeux de rôle, et que Sha assurait Kiriko qu’elle pouvait se lâcher, la Celkhane ne le faisait jamais complètement. Et, même si Sha appréciait cela, car c’était le signe du profond respect que Kiriko vouait envers sa Déesse, une partie d’elle-même ne pouvait s’empêcher d’en être... Frustrée. Sha n’était pas une Déesse olympienne qui considérait tous les autres comme des inférieurs, elle était, au contraire, très proche des humains. Or, Kiriko, outre être sa sorcière préférée, était aussi sa première femme. Il était donc normal qu’elle puisse se venger. Voilà pourquoi Sha s’était indument servie de Rem. Bien sûr, l’Ombre dirait ensuite toute la vérité à sa femme, car il était hors-de-question que Kiriko se venge ensuite sur la pauvre Rem. Ce que Kiriko faisait en ce moment à Sha, il était en effet impensable qu’elle le fasse subir à la vraie Rem, qui était bien trop gentille et bien trop fragile pour supporter ça.

Là, sous sa forme de Rem, Sha prenait véritablement son pied, car elle sentait toute l’énergie de sa femme. Kiriko la baisait sans ménagement, faisant fi de ses protestations, et raffermit son emprise sur le corps de Rem, la soulevant, usant de ses muscles. Rem se trouva ainsi dans une sorte de position perpendiculaire par rapport à Kiriko, sentant ses jambes s’élever, ses poignets tirés en arrière. Kiriko remonta ses mains, et continua ensuite ses coups de reins, sodomisant profondément le cul de Rem.

« Nyaaa... Maî-Maîtresse, haaaa... Pi-Pitié... !! »

Sa voix doucereuse de crécerelle poussait des cris allant jusqu’à l’aigu, sans parler de son fondement. Sha avait modifié la forme de ses parois anales, de sorte que la verge de Kiriko avait du mal à s’enfoncer, lui donnant ainsi le sentiment de baiser une véritable vierge. Cette douleur exquise enflammait les ardeurs de la Déesse, qui prenait indéniablement goût au fait d’être ainsi torturée par sa femme. Et c’était, somme toute, un juste retour des choses, car Sha avait, de son côté, très souvent torturé sexuellement Kiriko. Il était d’ailleurs exact de dire que la libido disproportionnée de Kiriko était une conséquence des actions de Sha sur son corps.

Elle sentait donc sa verge pilonner son cul, et gémit encore, poussant un cri supplémentaire, mouillant sur le sol, les joues rouges, terriblement excitée.

« Maî-Maîtresse est... Si violente, si dure... En-Envers la... La pauvre Rem... Haaa... Aurait-elle... Quelque chose à... À compenser, haaaa... ? »

Qui sait jusqu’où Sha allait être en mesure de pousser Kiriko ? Elle voulait la voir la battre, l’humilier, la briser, la torturer... C’était tout ce que Sha réclamait, tout ce qu’elle souhaitait en ce moment !

CRYSTAL
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Sans aller jusqu’à parler d’une relation platonicienne, Crystal et Neferia n’étaient pas non plus, entre elles, de grandes et infatigables amantes. Elles faisaient parfois des câlins assez osés, mais, pour autant que Crystal se rappelle, elles n’avaient jamais vraiment fait l’amour entre elles. Relation tutrice/élève oblige, certes, mais il y avait aussi le tempérament naturel de Crystal. La dragonne de Glace était, par définition, une femme peu encline à manifester ses émotions. Et puis, il y avait aussi le fait que Crystal voyait en Neferia ses enfants perdus, et portait donc davantage sur elle un regard de mère que d’amante... Mais, pour autant, la Dovahkiin savait faire la différence. Et là, sur ce lit, pendant que Neferia frottait son visage contre la généreuse poitrine de Crystal, la dragonne aux cheveux électriques réfléchissait à la suite, sentant une saine chaleur pointer en elle. Être de Glace ne l’empêchait pas de ressentir des émotions, ou même du désir, et, quand Neferia se redressa, et lui indiqua qu’elle en avait « envie », Crystal ne put que doucement sourire.

Neferia s’était redressée, et les deux femmes s’embrassèrent. Crystal, non seulement la laissa faire, mais répondit aussi à ce baiser, caressant le dos de Neferia avec ses mains, et descendit jusqu’à ses fesses. Elle en empoigna une, serrant ce petit cul entre ses doigts, ce qui conduisit donc son élève à dire qu’elle avait envie d’elle. Crystal sourit en retour, et embrassa encore Neferia.

« Moi aussi, Neferia... » répondit-elle.

Ensemble, elles avaient déjà fait des caresses, des baisers, et, ce soir, profitant de l’originalité de leur emplacement, Crystal avait envie d’essayer autre chose. Elle repoussa Neferia, et se redressa elle-même. Neferia resta assise sur le lit, et Crystal, tout en se relevant, écarta les plaques recouvrant son sexe. Elle se concentra alors, fermant les yeux.

« Il faut que tu saches... Que je suis une femme pleine de ressources, Neferia... Et je pense que nous pouvons joindre l’utile à l’agréable. »

Qu’avait-elle en tête ? Crystal restait volontiers mystérieuse, car Neferia n’allait pas tarder à comprendre. La dragonne puisa dans sa magie rose, et son corps se transforma rapidement... Ce qui, concrètement, amena une verge à émerger de ses cuisses. Un phallus masculin se dressa brusquement. Crystal n’ignorait pas que Neferia avait été quelque peu marquée par la brutalité d’Ishtar, mais Crystal avait malgré tout envie de tenter l’expérience. Un membre veineux se dressa alors, avec une paire de testicules, et elle se retourna vers Neferia, devinant la peur en elle.

Souriant alors légèrement, Crystal se rapprocha, sa queue dressée se secouant de droite à gauche.

« Si tu veux devenir une grande fille, Neferia, il faut passer par là... Ne t’inquiète pas, je resterai douce avec toi. Je veux juste te montrer... Qu’il n’y a pas à avoir peur de... De ça. »

Crystal lui sourit à nouveau, et caressa avec sa main les cheveux de Neferia, son sexe proche de son visage.

« Fais-moi plaisir, Neferia... Caresse-le, lèche-le... Apprivoise-le. »

POISON IVY
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L’époque où les deux femmes n’étaient « que » les meilleures amies du monde étaient bien éloignées. Ivy admettait maintenant sans problème être amoureuse de la jeune femme. Un amour très intense, qui n’avait rien de platonique, et qui reposait énormément sur les rapports sexuels, sans aucune exclusivité. Ivy et Harley participaient régulièrement à des orgies, mais Pamela aimait toujours autant son petit clown. Et, maintenant qu’elle avait goûté à une Futa-Quinn, elle était bien décidée à renouveler l’expérience. Mine de rien, Harley s’en sortait merveilleusement bien avec ce zob’ ! Elle mit la femme contre la fenêtre, et Pamela se mordilla les lèvres, le ventre heurtant cette surface froide.

Qu’on les observe n’avait rien d’impossible, à Novac. Depuis la plage, la tâche était difficile, car elles étaient en hauteur, mais il y avait d’autres ailes du Paradisio Hotel. Et, avant que Pamela ne puisse dire quoi que ce soit, Harley enfonça sa trique dans son cul, arrachant à la femme un long soupir, ses mains venant se crisper sur la vitre. Ses doigts s’enfoncèrent, et elle gémit longuement, son souffle précipité formant des auréoles de buée sur la vitre.

« Hmmm... Haaaa... Haaarley, hmmm... !! »

Rapidement, elle sentit les mains de son aimée s’appuyer sur ses seins, les pinçant douloureusement, lui arrachant de nouveaux soupirs. Le corps du clown se serra contre le sien, et elle recommença à la narguer, faisant doucement mouiller la belle plante verte.

« Je... Haaaa... Je suis à... À t-toi, ma... Ma chérie, hnnn... »

Elle tourna la tête vers elle, et posa sa main en arrière, sur les cheveux d’Harley, réussissant à lui arracher un baiser, avant de sentir Harley serrer ses doigts sur ses seins, pinçant et tirant sur les tétons, déclenchant en elle une nouvelle vague de douleur. Puis le corps d’Harley partit vers l’arrière, prenant de l’élan, et retourna la pénétrer, son corps s’écrasant contre la vitre, amenant Ivy à cracher de la salive. Harley lui limait le cul. Elle n’allait pas spécialement vite, mais se débrouillait pour envoyer sa saucisse bien profondément, de quoi stimuler Ivy plus que de raison, qui était bien incapable de lutter contre ça.

« Ha-Harley, haaaa... Hmmm... !! »

Se mordillant encore les lèvres, l’Empoisonneuse reprit :

« Oui, hmm, je... Haaaa... Je suis une sa-Salope, Harley, ta... Ta salope, hmmm... Et... Hnnn... Ne... Ne me donne pas des... Hooo... Des idées comme ça ! »

Du sexe public, de l’exhibitionnisme... Ivy avait déjà prouvé qu’elle était tout à fait capable de le faire ! Néanmoins, reprenant son souffle, elle reprit ensuite, tout en se frottant contre le corps de sa chérie, essayant de la sentir à chaque coup :

« À-À moins que... Haaa... À moins que tu n’en aies... Hmmm... En-Envie, hey... ? »

Qui sait de quoi sa délicieuse Harley était capable, en terme de perversion sexuelle, quand on la poussait bien...

FÉLICIA HARDY
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Quand on pensait à l’amour entre deux femmes, on s’imaginait souvent la douceur, les caresses, les tendres baisers et les câlins sensuels. Ce n’était pas faux, bien sûr, mais c’était aussi très réducteur... Et, pour s’en rendre compte, il suffisait de s’attarder un peu sur Félicia et sur Aoki. Le sexe était souvent violent et brutal entre elles, et ce avant même que Félicia ne réalise cette opération à Uatis. Depuis lors, leur relation n’avait fait que gagner en perversion, mais il n’y avait pas que ça. À leur manière, elles étaient amoureuses l’une de l’autre, et, quand « Felinyan » voyait Aoki transformée en neko, avec une magnifique combinaison moulante, formant presque une forme de seconde peau. Impossible de la lui retirer ! Félicia avait une passion bien trop grande pour le fétichisme pour faire ça. Elle préférait donc l’observer, et se tenait devant elle, s’apprêtant à lui offrir son ultime « récompense » : un liquide tout aussi intime que le sperme. Une autre preuve que l’air de Yoake n’aidait pas à rendre chaste. À New York, Félicia n’aurait jamais cru en arriver jusque-là ! Pour autant, elle ne se plaignait évidemment pas, et sourit devant la demande d’Aoki.

Sa queue était devant ses lèvres, légèrement recouverte de sperme. Félicia avait commencé à prendre goût à lui pisser dessus. Oh, Aoki le lui rendait bien, et, comme elle-même n’hésitait pas parfois à uriner sur certaines de ses élèves, Félicia estimait que ce n’était que justice. Quel plaisir pouvaient-elles trouver là-dedans ? Félicia n’avait pas la réponse à cette question, elle trouvait juste ça... Très excitant. Suffisamment pour rapidement faire quelques précisions à Aoki :

« N’avale pas tout, ma chérie, je veux le partager avec toi... »

Elle tenait d’une main sa queue, et posa l’autre sur les cheveux d’Aoki. Elle enfonça ensuite son chibre dans ses lèvres. Félicia était plutôt du genre à pisser dedans que dehors, et, très rapidement, la pisse jaillit, inondant la bouche d’Aoki. Un flux jaune continu qui se répandit dans ses lèvres. Félicia frémit, et sentit sa queue se redresser, puis pissa encore, pendant une bonne quinzaine de secondes. Elle se calma ensuite progressivement, venant serrer ses deux mains sur la tête d’Aoki, appuyant bien. Son érection revint de plus bel, mais, comme elle venait déjà de jouir, elle ne gratifia malheureusement pas Aoki d’une seconde couche crémeuse.

Au lieu de ça, Félicia, après s’être vidée, retira sa queue, puis observa son aimée, souriant en voyant les joues de celle-ci se gonfler. Elle conservait l’urine entre ses lèvres, et la Chatte Noire se pinça les lèvres.

« C’est fou à quel point tu me rends perverse, ma Aoki d’amour... »

Félicia n’était sûrement pas innocente là-dedans, mais il fallait bien un coupable. En vérité, et à bien y réfléchir, elles étaient sans aucun doute toutes les deux responsables ! En tout cas, elle se lova contre Aoki, s’allongeant contre elle, et plaqua ses lèvres aux siennes, puis fourra sa langue dans sa bouche. Elles partageaient généralement le sperme entre elles, et c’était bien la première fois que Félicia poussait le vice jusqu’à partager cette douche dorée. Au moins, c’était la preuve qu’elles fonctionnaient sur un pied d’égalité. L’urine fila rapidement entre leurs bouches respectives, et Félicia continua son baiser, caressant et grattant le corps d’Aoki, sans jamais rompre son baiser.

« Hmm... »

Pour ne rien arranger, sa queue tendue caressait le corps de la femme, laissant ici et là des traînées de sperme. Félicia faisait crisser la combinaison en prolongeant le baiser, serrant son corps contre le sien, et en profita ensuite pour enfoncer son chibre entre les cuisses d’Aoki, retournant tendrement la pénétrer, et ce en continuant, bien évidemment, à l’embrasser, et à la gratter.

Autant dire qu’elle s’occupait avec tout l’amour possible de sa petite chatte !

MIRANDA FORGE
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Miranda et Rouge faisaient donc l’amour en suspension. Au moins, on ne pouvait pas taxer Rouge de ne pas manquer d’originalité ! La manière dont elle s’occupait de Miranda était tout simplement divine, et la belle PDG se tortillait sur place. Elle ne comprenait pas trop comment, physiquement, une telle scène était possible, mais ça ne l’empêchait nullement de pleinement en profiter. Dans son dos, Rouge continuait à la prendre, tout en la narguant régulièrement. Néanmoins, la PDG se mit à glousser quand Rouge, moqueuse, lui affirma que, sous cette position, elle risquait de s’évanouir.

« Hmmmm... Ne te... Haaaa... Ne te surestime pas, ma belle ! »

Croyait-elle donc qu’on pouvait triompher de Miranda Forge si facilement ? Si c’était le cas, Rouge risquait de vite déchanter ! Miranda était fidèle à elle-même, tout simplement, et elle ne comptait pas laisser chanter victoire si facilement à Rouge. Certes, les deux femmes s’envoyaient en l’air, mais il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir la compétition sous-jacente qui régnait entre elles. Elles se défiaient mutuellement, tout simplement.

« Hmmm... Baise-moi fort, Rouge... ! »

Qu’est-ce que Miranda pouvait faire d’autre ? Dans sa position, elle savourait, relevant le visage, et, à la rigueur, elle risquait surtout de se faire un torticolis, puisqu’elle ne pouvait appuyer sa tête nulle part. Elle flottait donc au-dessus du sol, son corps filant d’avant en arrière, décorant le mobilier en bas de sa mouille, soupirant encore, les joues bien rougies par l’effet du désir qui s’insinuait en elle...

SAMARA
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Entre la démone et l’ange, la perversion était de rigueur. Samara ignorait-elle ce que Sya avait en tête ? Rien n’était moins sûr, car, se confier à Kazuha, c’était se confier à Samara. Il n’y avait aucun secret que Kazuha ne puisse faire à sa Maîtresse. Pourtant, Samara n’avait fait aucune allusion, n’avait pas parlé d’un quelconque enfant. Soit Kazuha ne lui en avait pas parlé, soit elle feignait de ne pas le savoir, ce qui, dans ce cas, signifiait que l’idée d’avoir une fille de Sya ne la dérangeait pas. Un enfant d’un ange et d’un démon était promis à un grand destin, car ce serait un Nephalem. Jadis, Anges et Démons les traquaient, mais, maintenant que ces deux races avaient perdu de leur influence, les Nephalems étaient plus heureux. Quoi qu’il en soit, ce n’était nullement ça qui venait à l’esprit de Samara, mais bien savoir ce qu’elle allait faire de sale, de dégradant, et d’humiliant sur Sya.

Qu’une ange puisse à ce point sombrer dans la luxure et la perversion était vraiment bluffant, et très excitant. La queue trempée et durcie de Samara se retrouva nichée entre les seins de Sya, glissant sur la combinaison en cuir que l’ange s’était fabriquée, par hommage à sa mère. Sya masturbait donc son sexe, et le léchait avec sa langue, titillant l’extrémité, tout en invitant Samara à lui pisser dessus, ou à cracher dans sa bouche.

« Tu es vraiment une incroyable traînée, Sya... »

Samara se redressa alors, et attrapa les cheveux de Sya, tirant dessus, puis la souleva. Elle avait un ventre arrondi, du fait du sperme de la démone, et se retrouva collée contre le corps de Samara. Sa main se posa sur son menton, tandis que la démone avait choisi de ne pas encore pisser, emmagasinant ainsi de l’urine.

« Ouvre la bouche, sale pute » ordonna simplement Samara.

Sya s’exécuta, et Samara approcha ses lèvres des siennes, puis regroupa de la salive... Et cracha dans la bouche de la femme.

« Mastique bien, petite chienne. »

Ne manquant pas d’idées pour surnommer Sya, Samara la laissa agir, puis lécha alors son visage, glissant sur ses lèvres, et lui ordonna encore d’ouvrir la bouche, revenant lui cracher dedans, tout en l’embrassant ensuite, fourrant sa langue dans la sienne. Elle pouvait certes lui transmettre des microbes, mais le risque restait en réalité minime, compte tenu de leur résistance naturelle à ce genre de choses.

Une fois ceci fait, Samara sentit à nouveau sa queue s’élancer, et se redressa alors.

« Allez, ma chérie, il est temps de recueillir ta récompense... Et, comme je m’en voudrais de salir une si belle tenue, ouvre bien tes belles lèvres. »

Sa voix était douce, chaleureuse, mais la perversion brûlait dans le firmament de ses yeux. Sya obtempéra, toutefois, et se retrouva agenouillée sur le sol, la queue de Samara s’enfonçant dans sa bouche. La main de la démone se serra sur les cheveux de Sya, et Samara se relâcha ensuite, poussant avec son sexe. L’urine vint rapidement, et afflua dans la bouche de la femme pendant de longues secondes. Comme l’Archimage avait pris son temps, elle urina en conséquence, balançant ce liquide dorée dans la bouche et dans la gorge de l’Ange pendant plusieurs dizaines de secondes.

Le flux jaune, humiliant, se déversa en elle, jusqu’à ce que Samara ne se calme petit à petit. Pendant toute cette séance, ses mains avaient serré fortement les cheveux bleus de la femme, les pinçant douloureusement.

Une fois satisfaite, Samara retira sa queue, légèrement trempée.

« Tu es toujours un si bon vide-couilles, Sya... Mais n’avale pas tout, je veux que tu en conserves ça dans ta bouche. »

Samara changeait légèrement les règles, et retourna s’asseoir sur le fauteuil. Uriner l’avait considérablement excité, et sa queue était maintenant bien douloureuse, du fait de son érection. La démone observa encore brièvement Sya, avant de lui sourire malicieusement.

« Viens t’empaler sur moi, ma chérie... »

Avec l’urine dans sa bouche... L’idée excitait en réalité beaucoup Samara !

RYOUKA
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Certes, Nika et Ryouka ne partageaient pas le même sang, mais est-ce que cela suffisait à considérer qu’elles n’étaient pas sœurs ? De son point de vue, Nika entretenait avec Ryouka une relation bien plus proche que de simples sœurs. Devant elle, Nika observa le corps de Tsukasa, et Ryouka s’allongea sous elle, bien décidée à continuer à agir. Ce n’était pas du jeu, car Tsukasa allait être prise d’assaut par les deux femmes... Mais on ne dominait pas les sœurs Spänje si facilement ! Nika sourit lentement, et enfonça sa trique dans le cul de la femme. Ses mains se serrèrent sur les fesses de la femme, et elle se pinça les lèvres, continuant ensuite ses coups de reins, s’enfonçant dans les fesses de Tsukasa.

« Hmmm... Ma parole, ton cul est... Haaaa... Tes fesses de salope se dilatent si vite ! »

Surtout, Nika sentait clairement des relents de sperme le long des fesses de la femme. Elle n’était pas la première à passer par là ce soir, et donna une puissante gifle sur le fessier de Tsukasa. L’Edorassienne put ainsi sentir, sans aucun doute, que la Tekhane avait une poigne bien plus ferme que sa sœur, et n’hésitait pas à donner de grosses claques bien senties. Sa main s’abattait sur elle, et Ryouka n’hésita pas à venir pimenter le jeu, posant sa main sur la nuque de Tsukasa, et l’embrassa alors, fourrant sa langue dans sa bouche, son autre main grattant le dos de la femme, glissant jusqu’à ses fesses. Ses doigts caressèrent ainsi ceux de Nika, faisant sursauter l’amante, qui continua à la prendre.

Nika la bourrait plutôt fort, sans ménagement. C’était le même style que Ryouka, mais en plus expéditif, en plus intense. Nika ne la ménageait pas, fonçant en elle, sa queue remontant jusqu’à la garde, pour repartir ensuite, revenant ensuite en s’accompagnant de claquements supplémentaires sur le cul de la femme. Tsukasa se dandinait sur place, bien incapable de pouvoir faire quoi que ce soit... Et Ryouka, elle, continua à la titiller, sa verge caressant les lèvres intimes de la femme, se recouvrant de sa mouille.

« Allez... Il ne serait pas juste que je ne soutienne pas ma sœur, n’est-ce pas ? »

Ryouka appuya soudain sur la fesse de Tsukasa, et enfonça sa verge dans sa chatte. Les yeux de Tsukasa s’écarquillèrent, et Ryouka maintint sa prise, levant les hanches, accompagnant les mouvements de Nika. Deux grosses queues s’enfonçaient dans le corps de Tsukasa, mais Nika, très excitée par la situation, était sur le point de jouir.

« Hmmm... !! »

Ryouka retourna embrasser Tsukasa, et sourit doucement à cette dernière :

« Résiste, ma belle, résiste, ma sœur ne va pas tenir longtemps... Montre-lui de quel bois tu te chauffes, et nous aurons toutes les deux un collier autour du cou, avec une laisse dans le creux de ta main ! »

Une perspective alléchante, n’est-ce pas ? Pour ça, tout ce que Tsukasa avait à faire, c’était de tenir... De tenir jusqu’à ce que Nika jouisse en elle, ce qui ne saurait tarder !

JESSICA DREW
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« Yoake ? »

Jessica s’accorda le temps de la réflexion pendant quelques secondes, pour arriver finalement à la conclusion qu’elle n’avait jamais entendu parler de ce pays, ou de ce royaume. Elle secoua donc négativement la tête en lui répondant :

« Négatif, Konata, ce nom ne me dit absolument rien. »

Elle allait sûrement se renseigner. Il s’agissait peut-être d’une ville tekhane ? Mais elle avait bien précisé que son pays ne se situait pas à Uatis. Ce faisant, Jessica était confuse. Elle lui aurait bien posé de plus amples questions, mais, curieuse comme une pie, Konata lui demanda son meilleur souvenir en tant que super-héroïne. Jessica sourit légèrement, et se pinça les lèvres, croisant ensuite les bras en se rappelant ce souvenir :

« Eh bien, j’ai affronté une énorme femme cyborg arachnéenne une fois... Une histoire impressionnante, tu n’as pas idée ! »

Jessica avait d’ailleurs failli en mourir ! À bien y réfléchir, c’était là son plus rude combat jusqu’à présent. Elle avait affronté cette femme dans les ghettos de Uatis city, tout en cherchant des informations sur les secrets des ghettos et de certains complexes paramilitaires souterrains. Même maintenant, Jessica n’avait pas obtenu les réponses à toutes ses questions, mais en savait désormais beaucoup.

Konata prit alors une nouvelle forme, et Jessica sourit en la voyant se transformer en une petite kitsune. Une forme peu utile au combat, mais très agréable. Un léger sourire moqueur sur les lèvres, Jessica se rapprocha de la femme, fléchit les genoux, et caressa avec sa main la tête de Konata, grattant ses cheveux entre ses oreilles, son autre main glissant sous son museau, titillant son cou. Un sourire enjoué sur les lèvres, Jessica se faisait plaisir.

« Comme ça, c’est encore mieux, non ? »

Et elle continua à la gratter, à lui faire un gros câlin, plein de tendresse et d’affectuosité !

MILWËN NOVAC
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La conversation se poursuivait avec les deux Celkhanes. Elena restait encore un peu déstabilisée d’inviter à sa table des terroristes potentiels. Aux yeux de son royaume, Caelestis restait un État-voyou, et, même si Elena comprenait les motivations idéalistes et utopistes qui sous-tendaient les actions celkhanes, elle ne pouvait pas être suffisamment naïve pour ne pas voir que Caelestis était tout simplement l’idiote utile du gouvernement tekhan. Ses actions ne visaient qu’à déstabiliser les autres royaumes, mais Elena n’allait pas rentrer dans ce débat.

Au lieu de ça, les deux Celkhanes demandèrent à Milwën si elle comptait donner une sœur à Ève. L’intéressée cligna des yeux. Elle n’avait jamais caché qu’Ève était une fille exceptionnelle, car elle n’avait eu qu’un seul parent. Milwën avait utilisé son propre sperme pour se féconder elle-même.

« J’ai souvent essayé de reproduire l’expérience qui a permis à mon corps d’enfanter Ève, mais... Sans succès, malheureusement. J’ignore ce qui a permis à mon corps d’accepter mon propre sperme, et... Hum... Disons que, même si les Gen-7 permettent de maintenir le cancer à un état récessif, il est toujours présent. Enfanter est pour moi extrêmement difficile, car les Gen-7 ont tendance à repousser et à détruire la plupart des corps étrangers. »

C’était d’ailleurs pour ça qu’elle avait mis en place ce système d’autoprocréation.

« Ève aimerait beaucoup avoir une sœur », reconnut la Baronne, avec un léger sourire évasif sur les lèvres.

Elena resta silencieuse, n’osant rien dire. Que pouvait-elle dire ? Elle-même n’avait plus aucune famille, et espérait bien ne pas rencontrer les mêmes problèmes. Honnêtement, la Reine allait avoir du boulot ! Elle devait reconstituer toute une famille royale ! Ce n’était pas un petit enjeu, après tout.

« Enfin, peu importe... Je suis ravie de voir que votre couple est si épanoui. On oublie souvent que les Celkhanes ont aussi un cœur, derrière leurs combinaisons de combat. »

RAYNE
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Au beau milieu du manoir hanté, Rayne et Magie avaient fait du dégât, et, face au pistolet de cette femme en robe rouge, Rayne déploya ses lames. Rayne avait le sang et des bouts de cervelle de Gorgoth sur le corps, tâchant ses cheveux et sa combinaison. Devant elle, il y avait cette étrange femme, qui pointait toujours son pistolet. Curieuse, Magie lui demanda alors de décliner son identité.

« Police de Uatis ! C’est à vous de parler ! Qui êtes-vous ? Qu’est-ce qui se passe ? Que...
- Attention ! »

Dans le dos de Pezzini, émanant du plafond, un noctule débarqua. Surprise, Pezzini fut renversée sur le sol, et Rayne s’élança vers le monstre, qui ouvrit la gueule, libérant des ultrasons. C’était la spécialité des noctules, vampires monstrueux capable de générer de fortes attaques sonores. Rayne hurla en sentant ses oreilles siffler, et entendit de loin les détonations de Pezzini. Ses balles heurtèrent la chair du monstre, sans toutefois percer sa peau solide, et il bondit en avant, cherchant à mordre la femme... Qui évita l’attaque en roulant sur le sol, mais y perdit une partie de sa robe. Sarah, proche du noctule, se releva ensuite, et le monstre bondit alors sur elle, plantant ses crocs dans son cou...

*NON !* songea Rayne.

Toutefois, quelque chose de très inattendu se passa. Au lieu de perdre son sang, la mystérieuse femme sembla aller bien... Et les dents du noctule éclatèrent contre une sorte d’armature métallique brillante qui recouvrit une partie de son corps. Illyana dut probablement ressentir la forte magie émaner de la policière, qui frappa alors le noctule d’un coup de pied retourné, le repoussant alors sur plusieurs mètres. Le paume de sa main généra ensuite une onde énergétique, puis une sorte de boule lumineuse en émana, et frappa le noctule, le faisant exploser, ne laissant plus qu’une carcasse fumante.

La femme se retourna ensuite vers les deux autres, visiblement pas peu fière de son petit numéro, et les observa silencieusement :

« Je me répète, je suis Sarah Pezzini, détective au sein de l’unité criminelle du département central de la police de Uatis City. Qui êtes-vous ? Et que se passe-t-il ici ? »
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
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