*Le sexe est devenu une partie intégrante de ma vie, et, plus que ça, de ma personnalité...*
Aurait-elle dû en être effrayée ? Oui, dans un sens... Mais c’était aussi quelque chose de tellement bon ! Oh, certes, elle avait rencontré des amants affreux, et, la plupart du temps, c’était ce à quoi elle avait droit... Mais, parfois, on tombait sur des Aoki, sur des femmes qui vous embrassaient délicieusement, vous palpaient les fesses, vous murmuraient des propos salaces, et on sentait qu’elles jouaient, qu’elles n’étaient pas des affamées se jetant sur vous comme la dernière des hyènes. Finalement, la femme finit par la pousser sur le lit, en lui disant qu’elle allait prendre cher.
Un sourire vorace sur les lèvres, Doutzen saliva devant le corps d’Aoki. Sa Maîtresse se déshabilla rapidement, restant avec de beaux sous-vêtements noirs, puis grimpa sur le lit, marchant à quatre pattes. Un nouveau frisson traversa le corps de la jeune blonde, qui s’appuya sur ses avant-bras en s’allongeant sur le lit. Elle s’humecta les lèvres, et Aoki s’assit ensuite sur ses seins.
« Ufff... » soupira Doutzen.
Assise ainsi, Aoki lui avoua qu’elle serait, ici, « sa petite chose », et Doutzen rougit légèrement. Oui, chacun des actes et des mots d’Aoki confirmait son amour pour les relations de domination... Elle était sûre qu’elle n’était pas la première « petite chose » d’Aoki, et, loin de la dégoûter, cette constatation silencieuse l’excita encore plus, l’amenant à se dire que, dans le fond, Aoki devait être une femme très expérimentée... Reto le savait sûrement, et c’était pour ça qu’il l’avait encouragé à éduquer Doutzen... Dans tous les sens du terme. Aussi horrible soit-il, son « père » avait vu juste. Aoki finit par se retourner, et lui donna son premier ordre, qu’elle répéta bien en plaquant la tête de Doutzen contre le lit : lui « bouffer » la chatte Les joues légèrement rouges, la jeune femme acquiesça en opinant du nez.
« T-Tout ce que vous voulez, Maîtresse... »
Doutzen soupira lentement, reprenant son souffle, puis passa ensuite à l’action.
Ses mains se crispèrent sur la culotte de sa Maîtresse, une belle culotte à dentelles, et elle sentit ensuite Aoki avancer son bassin, venant tout simplement s’asseoir sur elle. On put entendre Doutzen soupirer sous ce contact et sous ce poids. Il lui fallut bien quelques secondes pour s’y adapter, et elle ouvrit les lèvres, puis planta ses dents sur la culotte, les serrant sur le tissu, griffant au passage la peau d’Aoki. Elle n’avait pas de poils pubiens, signe qu’elle s’épilait donc... Et prenait donc soin de son corps... Doutzen appréciait ça.
Ses mains caressaient les hanches de la femme, et elle attaquait donc, tirant sur la culotte, enfonçant sa langue en elle pour atteindre ses lèvres intimes. Elle grognait et haletait, remuant sa tête, ses mains se crispant sur la peau nue et chaude de sa Maîtresse. Elle continuait à lécher, encore et encore, et tirait sur la culotte. C’était une belle culotte, elle n’avait pas envie de la déchirer... Mais elle se devait aussi d’obéir aux ordres de sa Maîtresse, et c’était ce qu’elle était en train de faire.
« Hummm... Hmmmm !! »
Elle léchait activement, nerveusement, tirant et mordant, remuant faiblement ses jambes. Sous le corps de sa Maîtresse, la petite Doutzen était aux anges, et elle espérait bien que la femme apprécierait ce qu’elle était en train de lui faire.