Doutzen était épuisée, bien sûr, mais sentait en elle une incroyable énergie, une force terrible qui la ranimait à chaque fois. À Jimmu, elle avait été formée à bonne école, et Kou-san était une Maîtresse passionnante. Elle se refusait tout simplement à dormir, à se laisser aller à la fatigue, tant cette situation l’excitait ! Elle n’avait jamais vu un couple pareil, elle n’avait jamais rencontré de telles perverses, et, si cela aurait pu l’effrayer par le passé, aujourd’hui, elle était très emballée. Kou-san la provoquait en s’installant sur elle, en écrasant ses fesses contre son visage. Elle venait de subir une double sodomie, ce qui était particulièrement éprouvant. Pour autant, Doutzen sentait qu’elle allait bientôt repartir du bon pied... Mais rien ne semblait devoir calmer sa Maîtresse et sa femme.
Aoki s’attaqua ainsi à la verge de Félicia, une verge trempée, qui ne tarda pas à retrouver sa dureté. Elle la suça généreusement, tout en remuant d’avant en arrière, amenant le nez de Doutzen à caresser la croupe de la femme. La jeune adolescente crispa ses mains sur le lit, avant de voir Aoki s’écarter. Joueuse et mutine, la belle Japonaise s’étala lascivement sur le lit, et invita Félicia à venir la prendre. L’heure des mots doux était bien révolue, et elle s’exprima crument, rétractant sa verge pour faire apparaître une intimité trempée, dans son corps en sueur. Félicia sourit sur le coin des lèvres, puis reporta son attention sur Doutzen.
«
Oui, ma chérie, mais... Si on ne donne pas quelque chose à faire à ta Doutz’-chérie, elle risque de s’endormir. »
Félicia se déplaça alors, et caressa la joue de Doutzen, avant de lui faire signe de se relever. Doutzen obtempéra, et vit Félicia ouvrir un placard. Elle en sortit un ensemble moulant qu’elle jeta sur le lit, et invita Aoki à l’enfiler, tout en ordonnant à Doutzen de se rapprocher... Et lui présenta alors une ceinture de chasteté avec un
plug anal, un sourire sur le coin des lèvres. Doutzen, elle, les joues rouges, écarquilla doucement des yeux, et décolla ses lèvres l’une de l’autre.
«
Je... Qu’attendez-vous de moi, Maî-Maîtresse ? »
Pour toute réponse, la Chatte Noire sourit brièvement, et s’agenouilla, lui mettant la cage.
«
Je souhaite que tu aies un rôle très important, ma chérie, mais je refuse que tu te masturbes, alors... Je m’assure que tu ne fais rien d’idiot. »
Elle remonta la cage jusqu’aux cuisses, puis la referma, et veilla à bien enfoncer le
plug anal. Doutzen soupira doucement, mais son fondement était déjà tellement élargi qu’elle ne sentit pas vraiment la différence. Félicia resserra ensuite la cage de chasteté, et la verrouilla avec le cadenas. Doutzen soupira doucement, puis Félicia lui présenta ensuite une caméra. La jeune femme se pinça encore les lèvres, commençant à comprendre ce qu’elle voulait.
Sur le lit, Aoki attendait toujours, de nouveau allongée,
dans une tenue extrêmement sensuelle. Doutzen frémit sur place, puis Félicia lui glissa la caméra.
«
Tu vas nous filmer en train de baiser, ma Doutzen chérie. Tu vas aller sur le lit, et tu vas filmer chaque seconde de nos ébats.
-
Mais...
-
Ne t’inquiète pas, il y a de la batterie ! Commence donc par filmer le corps parfait de ta Maîtresse... »
Certes, Aoki avait demandé à ce que Félicia la baise, mais la Chatte Noire ne serait pas la Chatte Noire si elle n’était pas entreprenante un minimum. Doutzen rejoignit donc le lit, et filma scrupuleusement Aoki, glissant sur ses longues jambes, remontant progressivement, jusqu’à cadrer son visage. Elle se décala légèrement, et prit appui sur ses genoux. Félicia rejoignit ensuite sa comparse, et caressa ses magnifiques collants avec ses mains, faisant tendrement crisser le latex, et remonta ainsi jusqu’aux épaules d’Aoki, où elle s’allongea contre elle.
Souriant doucement, elle déposa un tendre baiser sur ses lèvres, sa queue dressée venant caresser sa culotte.
«
Pardon de t’avoir fait attendre, ma belle... »
Elle se redressa ensuite doucement, et déplaça son sexe, l’orientant vers l’intimité d’Aoki... Et la pénétra brusquement.
Un frisson la traversa sur place, et Félicia accéléra donc, sa combinaison crissant contre celle d’Aoki, accompagnant leurs soupirs et leurs gémissements des multiples couinements du latex.
Le rodéo pouvait reprendre !