The Multiversity

[Lissandre Verrières]

« Oh. »

C’était une expression. Amateur de porno comme amateur de bonbons. Lissandre se sent bête. Et c’est bien pour ça qu’un seul « Oh » est sorti de sa bouche.

La petite langue malicieuse sort au sujet du bâillon. Pas besoin d’en dire, n’est-ce pas ? Car bien entendu que Lissandre a déjà été bâillonnée lors d’un jeu sexuel. Pas simplement pour la faire taire. Parfois, c’était également avec une protubérance à l’intérieur comme si elle faisait une fellation. Mais bon, Lissandre pourrait bien montrer la vidéo plus tard à Lyli si ça l’intéressait.

Modèle de sagesse. Lissandre écoute les instructions sans rien répondre. Apprendre à respirer alors qu’elle est une adulte, la perspective est tout de même étrange. Elle pense d’abord à une maison de retraite avec tous ces petits vieux qui ont besoin d’être assistés par des machines froides aux nombreuses LED clignotantes et aux « bip » stressant. Puis c’est un grand sourire. A la fois parce que Lyli colle ses lèvres contre les siennes, et aussi parce qu’elle n’est pas assistée par une machine mécanique : mais par une magnifique et réelle sirène !

Alors oui, quand elle sent cette langue venir jouer à l’intérieur de sa bouche, Lissandre oublie le réel objectif de l’exercice. Elle répond au baiser… jusqu’à sentir l’air s’engager dans sa bouche. Son visage se transforme en un instant. La folie est remise au placard pour laisser place au réalisme. Apprendre à respirer. Entendu. Aspirer l’air. Des quantités de plus en plus grandes. Avec une personne de confiance, Lissandre découvre que le procédé est plutôt simple. Parfait. Mais qu’en sera-t-il au fond de l’océan ? Moins simple, soudainement…

« Tu veux à ce point être filmée ? Coquine, va ! Mais je dois t’avouer que ça me plaît beaucoup. »

Partir maintenant et prendre le risque de voir la sirène disparaitre ? Rester, profiter de l’expérience et ne pas avoir les preuves vidéos que toute cette rencontre était bien réelle ? La décision est vraiment compliquée. Mais cette jolie bouille de sirène est convaincante. Ce n’est pas une meurtrière ni une cannibale. Probablement une nymphomane, oui. Tout être doit avoir au moins un travers, hein ! Mais c’est cet amour du sexe qui l’a sauvé tout à l’heure.

« Entendu. Je reviens très vite ! »

Un nouveau sourire. Un nouveau baiser. Et une claque sur les fesses de la sirène avant de repartir.

Lissandre fonce. Elle court. Elle sprinte, même ! Elle conduit comme une folle et se fait insulter de nombreuses fois. C’est en sueur, le souffle court et une pesante valise dans chacune de ses mains qu’elle revient sur la plage.

« Lyli ? Lyli ! Tu es là, jolie sirène. Ouf ! »

Le souffle toujours court, Lissandre pose les valises sur la plage et les ouvre l’une après l’autre. Ca ressemble à de petits bathyscaphes.

« Ce sont des prototypes que j’ai fait développer. Oui, j’ai de l’argent et des idées atypiques. Donc je fais des associations avec à peu près tous les métiers possibles. Mais… je vais me taire, n’est-ce pas ? Tu te fiches de savoir quel type d’arrangement j’ai eu avec un potier, un céramiste ou encore un plombier, n’est-ce pas ? »

Lissandre s’occupe donc de réveiller les deux drones sous-marins. Elle finit par se relever.

« Je suis prête. Et mes deux caméras autonomes aussi. Je te suis dans ton environnement plein d’eau, jolie sirène. »

[Lyli]

Ah voila que la pipelette revient, avec un tas de matériel en plus, de quoi s'amuser. Toujours la même tenue en latex, cela semble lui tenir à coeur et c'est tant mieux, Lyli l'aime bien, elle s'y est habituée, ça aurait presque été vexant pour la sirène si Liasandre était revenue sans. D'ailleurs, pensant que la petite riche parle encore comme un moulin, Lyli va fouiller tout le sac qu'elle a ramené, sans demander la permissions et avec un large sourire optimiste.

Oh intéressant... Oh ça aussi j'aime bien... Mhhh.. et ça, ce sera pour plus tard j'imagine, tu disais vouloir monter les enchères au fur et à mesure... Mhh ah quoi, tu as dis quelqu chose ?

Me suivre dans mon environnement plein d'eau ? Mhh... Pourquoi donc être si pressée ! Lyli la retient au dernier moment, prenant sa main, et lui proposant d'abord autre chose.

Quoi, déjà hâte de te noyer à nouveau ? Ahah, t'y a prit gout hein ! Mais tu sais, si ça t'as fait de l'effet de manquer d'oxygène, il y a un tas d'autres manière de le faire... Je veux dire, ce serait même mieux de voir combien de temps tu peux retenir ton souffle hors de l'eau avant d'y retourner, pour qu'on puisse connaitre tes cpacités, et ne pas encore déraper trop vite vers les extrêmes...

Il y avait de quoi la ligoter dans le sac, comme Lyli avait demander lorsqu'elle avait dit de lui ramener des accessoire. Ainsi, la belle Lissandre se retrouva vite enrouler par plusieurs tours de scotch sous sa poitrine, collant ses deux bras le long d son corps. La sirène en fit de même au niveau des cuisses, et des chevilles. Puis vint enfin la bouche.

Je vais enfin pouvoir te faire taire petite pipelette.. héhé !

Un large morceau de scotch lui est alors collé sur les lèvres. Comme pour sceller ce bâillon une fois pour toute, Lyli fait un gros smouack sur sa bouche à travers le scotch. L'instant d'après, la créature marine agite déjà un deuxième morceau de scotch, plus petit, devant son nez.

Comme ça, on verra vraiment tes capacités, impossible pour toi de te libérer et... tu seras une jolie demoiselle en détresse... à ma merci... peut-être même que je serais assez sadique pour te pousser à aller plus loin...

Après avoir compté jusqu'à 3 le morceau de scotch vient sceller ses narines. Avec la bouche et le nez scotché, impossible alors pour Lissandre de respirer, en apnée totale. Elle aura beau se trémousser dans tous les sens et gémir, impossible pour elle de respirer. Pendant ce test d'endurance dans lequel Lissandre ne risque au moins pas de boire la tasse, Lyli s'assoit sur son bas ventre en latex, et s'y frotte, se faisant du bien directement sur son corps, en laissant vite une petite trainée de cyprine le long de ses vas et viens qui frottent. Elle joue également à pétrir ses petits seins dans sa tenue rose élastique, en la regardant retenir sa respiration, de force....

[Lissandre Verrières]

Lissandre voulait s’offusquer. C’était débile de vouloir assez se noyer une seconde fois. Elle n’avait pas envie de crever ! Pourtant… pourtant ses yeux dévoraient la créature féminine juste devant elle. Cette créature impossible : une sirène. En chairs et en écailles. Et qui voulait jouer avec elle et son esprit excentrique !

*Peut-être que j’ai eu un accident et que ma tête a tapé fort contre le bitume. Ou la tôle de la voiture. Ou l’un après l’autre. Bref. *

Rêve ou pas, Lissandre comptait profiter de cette occasion unique. Peut-être le genre de rencontre qu’on fait une seule fois dans sa vie. Et… il était vrai qu’elle était en train de changer d’avis. Concernant la suffocation. Il y avait quelque chose de terrible à ne plus pouvoir aspirer à gros bouillon de l’air. Mais comme toute expérience extrême, jouer avec l’approche de la mort tout en restant en vie provoquait des sensations grisantes. Sans compter le fait que la suffocation/noyade était liée à une rencontre impossible avec une sirène. Donc Lissandre pouvait comprendre pourquoi elle devenait fétichiste en ce sens.

« Attends. Quoi- ?! »

Trop tard. Voilà que l’humaine est complètement scotchée de haut en bas. Ce n’est même pas esthétique voudrait-elle hurler ! Les deux femelles se trouvent dans le pays du shibari et de l’art du bondage, et voilà que Lissandre est immobilisée de façon très grossière avec du scotch ?

Sa petite poitrine s’agite de plus en plus vite. Sa mémoire semble lui rappeler qu’il faut prendre de grandes inspirations pour pouvoir tenir des records en apnée. Quelque chose qu’elle a du entrendre dans une vidéo concernant les plongeurs de l’extrême. Mais son esprit est beaucoup trop en alerte pour être sage. Et puis qu’est-ce que quelques secondes changeront dans cette expérience ?

Voilà. Le terrible et dernier morceau de scotch. Un misérable morceau qui vient condamner son nez. Est-ce que vous saviez que l’être humain respire avec une seule narine ? Non ? De toute façon, Lissandre se met à digresser parce que la peur commence à conquérir son organisme via son système sanguin.

Tandis que la sirène se masturbe sur son joli latex rose, laissant des traces de cyprine, Lissandre suffoque. En silence. Mais pas dans le noir. Est-ce que ça n’aurait pas été mieux dans le noir ? Bien sur que non ! Ses pensées sont chaotiques. Elles passent à une vitesse effrenée d’un bout à l’autre de son système de compréhension.

Lissandre veut respirer !

ELLE NE VEUT PAS MOURIR !

Alors elle se débat. Elle tire de toutes ses forces sur chacun des muscles de son corps fin mais athlétique. Mais rien n’y fait. La sirène a fait largement assez de tour pour qu’elle soit définitivement entravée.

Et voilà. Les premiers signes. Les étoiles dans les yeux. L’approche de l’inconscience.

Lissandre…

…se sent…

… partir…

[Lyli]

Plus Lissandre gigote et plus le latex  crépite agréablement à ses oreilles. Cette seconde peau est si parfaite que pour rien au monde Lyli ne voudrait la lui enlever. Avec l'eau, elle est encore plus moulante, la pointe de ses tétons ainsi que ses lèvres intimes... tout est parfaitement moulé dans le latex rose, c'est comme elle l'avait dit, ce latex est sa seconde peau... sa peau d'adoption. L'autre fait amusant est le corps de Lissandre qui réagit à l'asphyxie. Quand elle bouge, qu'elle se débat, que ses muscles se contractent, le latex aussi crépite au moindre mouvement. Son bas ventre qui se contracte, son buste qui se cambre et se soulève à chaque fois que ses poumons en feu veulent respirer... à chaque fois qu'ils essayent désespérément d'inspirer un air qui ne vient pas à cause des deux morceaux de scotch bien scellés. Ca aussi c'est un délice. Quand Lissandre commence à devenir un peu trop rouge, Lyli retire le scotch scellant son nez, la laissant ainsi respirer, en ricanant.

- C'est si bon de respirer après en être privée, hein ? Allons c'est quoi ce regards, tu voulais de l'extrême non ?

Lyli s'amuse à lui pincer le nez pendant 10 à 20 secondes, en la laissant ensuite respirer 2 ou 3 secondes, pas plus, puis recommence ce même manège 3 fois.... puis 4... puis 5... au bout de 6 fois elle s'arrête en la laissant reprendre plus longtemps son souffle. Avec l'autre main, elle avait stimuler ses petites seins dans le latex, ainsi que ses tétons, tout le long.

- Tu fais tout pour respirer, mais quand tu es entrain d'étouffer, tes tétons pointent encore plus j'ai l'impression... ton coeur bat plus vite, et entre tes cuisses,  c'est tout mouillé... je crois qu'au fond, l'asphyxie érotique, ça t'excite pas mal.. non ? Alors tiens bon, tiens longtemps, aussi longtemps que possible, c'est la scène de la vilaine sirène kidnappeuse, qui étouffe la vilaine humaine en latex trop imprudente !

Lyli se prends au jeu de la caméra, puis lui recolle le morceau de scotch sur le nez, avant d'aller murmurer sensuellement à ses oreilles, d'une voix basse.

La vilaine sirène va te faire suffoquer...

Les deux mains bien ancrées sur ses petits seins pétrissent a chaire moelleuse à travers le latex.  Et étirant ses bras pour garder ce contact, Lyli descends sa tête, léchouillant et couvrant de bisous son ventre, tout en la regardant, son visage à moitié rougit comme une tomate. Pas encore de contraction dans le bas ventre, sous l'effet de son diaphragme qui chercherait à pousser pour avoir de l'air, c'est que Lissandre n'est pas encore dans la phase manque d'air intense. la sirène a encore le temps, et le temps, elle le prends, s'attardant sur son bas ventre bien longtemps, jusqu'à sentir une petite secouse pendant un baiser aux alentours de son nombrils. Une première petite contraction de son bas ventre, accompagné d'un léger gémissement.. Lissandre manque d'air, parfait.. Une deuxième petite contraction quelques secondes après... C'est maintenant que Lyli descends un peu plus bas, pour embrasser, et sucer ses lèvres intimes, en aspirant à travers le latex.

[Lissandre Verrières]

Elle aurait voulu crier « BORDEL DE MERDE !! MAIS C’EST QUOI CE DELIRE ?! ». Mais impossible. La vicieuse sirène l’a privé de sa respiration bien trop longtemps. Elle avale de très grandes goulées d’air. Le pire ? C’est d’essayer de respirer de l’air et d’être pris d’une quinte de toux à la fois. Douloureux…

Et voilà qu’elle recommence. Un petit jeu très simple d’apparence. Pincer le nez. Mais cela prend une toute autre tournure quand tout le corps est immobilité dans un étau de gros scotch noir et que la ravisseuse est une créature impossible. Pour l’esprit disons, originale, de Lissandre : c’est à la fois un cauchemar et un rêve éveillé !

L’asphyxie érotique. Alors que Lissandre essaie encore de reprendre son souffle après avoir survécu aux 6 séries de la sirène, elle ne peut s’empêcher de sourire bizarrement. Ces deux mots ne devraient pas être ensemble. Et parce qu’ils ne le devraient pas, une partie de son esprit ne peut qu’apprécier. Quel vilain esprit qui la plonge dans des situations improbables…

Le scotch qui bouche ses narines ! ENCORE ! Son esprit est déjà paralysé par ce qu’il va advenir. Ce n’est pas la première fois que Lyli joue ainsi. Donc l’appréhension et la connaissance de ce qui va advenir augmente la peur. Quand on a peur. On respire plus vite et plus fort. Donc tout va dans le bon sens pour la sirène. Lissandre va se vider de son air plus rapidement. Cela se voit à la façon dont le scotch réagit. Il est plaqué de la même façon que les sacs qu’on vide de leur air.

Si son esprit déraille et commande à son corps de bouger dans tous les sens pour échapper au supplice. Son corps… réagit aussi à cette espèce de jeu BDSM. Ses tétons sont érigés durs. Son bas-ventre est si chaud qu’il transpire de la mouille. Ses grandes lèvres sont ouvertes comme un poisson hors de l’eau. Des grandes lèvres qui demandent un genre de baiser spécial. Qui voudraient être libérés de ce latex rose moulant.

Alors la moitié basse du corps de Lissandre se déhanche. Elle tente de relever son bas-ventre vers le haut comme pour l’offrir en sacrifice. Ses cuisses essaient de s’écarter au maximum pour permettre à la sirène de donner libre cours à tous les (sé)vices que ses doigts veulent commettre.

*Je vais l’enfermer dans une piscine privée cette CONNE !! *

L’esprit devient bourgeois et méchant. Il veut enfermer le monstre de foire.

Et le corps est complètement soumis à ces nouvelles sensations. Une seule finalité visée : un orgasme puissant d’un nouveau genre.

[Lyli]

La jolie bourgeoise en latex ondule dans tous les sens et de plus en plus vite. Son coeur accélère, chaque fibre de son corps se bat pour inspirer de l'oxygène, faisant craquer le latex agréablement. La seconde peau rose qui la recouvre crépite à chaque ondulation, mais peu importe à quel point elle se bat, ce scotch ne cédera pas. Lorsqu'elle tente d'inspirer, un grand creux se forme, faisant rentrer le scotch collant entre ses lèvres. Cette prison collante ne laissera passer aucune molécule d'air.

- Tu es en train de suffoquer, petit poisson ?

Oui, à suffoquer comme ça, la petite bourgeoise ressemble à un poisson, un poisson qui semble un peu frustré et énervé. Oh, qu'elle est mignonne quand elle regarde la sirène ainsi. Son regards, qui semble l'insulter, lui dire " laisse moi respirer salope !!! ", cache également une certaine excitation. Ces émotions contradictoires se mélengent en elle, alors quand elle fixe la sirène avec ce regards haineux, une partie de ses yeux semblent également, au contraire, lui dire " j'adore ça, je veux jouir !!! " Quel petite masochiste !

Lyli ne se fait pas prier, abandonnant les baiser sur son vagin enflé, qui semble prêt à déchirer le latex tant il l'étire. Pour commencer, elle donne une bonne giffle à la bourgeoise, puis lui rattrape la tête, serrant une main autours de ses deux joues gonflées, et toutes rouges à cause de l'air qu'lle y retient... et qui ne peux sortir. Ses deux joues semblent sur le point d'éclater.

- Ne me regarde pas comme ça vilaine petite salope de bourgeoise. Je sais qu'au fond, tu aimes ça... ton corps me suplie de ne pas te laisser respirer tout de suite malgré tout, j'en suis sure, car tu n'est qu'une vilaine petite salope masochiste !

Puis une autre giffle, sur son autre joue qui ne peut pas rougir plus. J'espère toutefois qu'elle aura compris que les insultes viennent du scénario entre-elles, rien de personnel donc. Mais la sirène sait qu'il faut faire vite, car déjà les signes intenses ud manque d'oxygène sont là, visible. La cage thoracique de Lissendre se soulève toute seule, de manière oncontrôlée et de plusen plus souvent. Elle se cambre, faisant sauter sa poitrine, comme de spasmes régulier. Une réaction normale du corps, quand les poumons cherchent à forcer la respiration. Elle doit faire au plus vite, sa main n'y va pas par plusieurs chemin, se jetant sur les lèvres enflées de son vagin. Elles sont si gorgées que la sirène peut facilement y passer le doigt dans ce gros sillon formé, répendant un son de latex sur la plage. L'écart innexistant entre sa peau et le latex glisse si parfaitement qu'on peut deviner à quel point elle mouille. Encore, encore plus, encore plus vite.. Lyli ne s'arrête pas, frotant de toute ses forces, la doigtant comme elle peut en étirant le latex vers l'intérieur de ses parois intimes.

Le manque d'air gagne du terrain autant que l'orgasme, le rouge colorant le visage de Lissendre vire au cramoisi, et son corps se tortille de plus en plus, accompagnant la mélodie de ses gémissements étouffées et de ses quintes de toux brûlantes, retenue par le scotch. Vite, il fauit faire vite. La sirène avec son autre main va maltraiter un des seins de la bourgeoise, Son si téton gonflé est un jouet que la sirène peut facilement tirer et pincer, tout en continuant de pétrit son orbe de chaire. La cage thoracique qui se soulève de plus en plus fort et de plus en plus souvent, vite... il faut faire encore plus vite ! Le deuxième sein de la petite masochiste en latex est assaillit par la bouche de la sirène, ses lèvres s'y jettent à corps perdu pour sucer son deuxième téton, le mordiller, le tirer férocement entre les deux avant de le relâcher comme un élastique... puis recommencer.

J'espère que la pauvre bourgeoise suffoquante atteindra vite la jouissance. Son orgasme sera surement, en tout cas, très puissant... Lyli compte bien lui faire voir les étoiles et la laisser en extase.